mardi, août 01, 2017

Sogyal dénoncé par ses plus proches disciples

Durant des décennies, Sogyal Lakar a profité du silence du dalaï-lama et de Matthieu Ricard.




La lettre qui révèle la véritable mentalité des gourous lamaïstes



14 juillet 2017 




Sogyal Lakar,


La sangha de Rigpa est en crise. Les allégations évoquées depuis longtemps concernant votre conduite ne peuvent plus être ignorées ni niées. En tant qu'étudiants engagés et dévoués depuis longtemps, nous nous sentons contraints de partager notre profonde inquiétude concernant votre conduite violente et abusive. 


Vos actions nous ont blessés individuellement, elles ont blessé nos frères et sœurs au sein de l'organisation Rigpa, et par extension elles ont fait du tort au bouddhisme en Occident. En vous écrivant, nous suivons le conseil du Dalaï Lama ; il a en effet déclaré que les étudiants des lamas du bouddhisme tibétain avaient obligation de communiquer leurs préoccupations concernant leur maître :

« Si quelqu'un présente les enseignements avec clarté, les autres en bénéficient. Mais si quelqu'un est censé propager le Dharma et que sa conduite fait du mal, il est de notre responsabilité de la critiquer avec une bonne motivation. Il s'agit de critique constructive, et vous ne devez pas vous sentir gêné de le faire. Dans les "Vingt versets des vœux des bodhisattvas", il est dit que toute action accomplie avec une motivation pure ne comporte pas de faute. Les maîtres bouddhistes qui abusent du sexe, du pouvoir, de l'alcool ou de la drogue, et qui, une fois confrontés aux reproches légitimes de leurs propres étudiants, ne réforment pas leur conduite, doivent être critiqués ouvertement et nominalement. Ceci peut les embarrasser, et les amener à regretter et à mettre un terme à leur conduite abusive. Exposer les aspects négatifs donne de l'espace pour que s'accroissent les aspects positifs. Lorsqu'on rend public de telles fautes de conduite, il importe de souligner que de tels maîtres ont méprisé les conseils du Bouddha. Cependant, lorsque l'on dévoile publiquement des fautes de conduite d'un maître bouddhiste, il est juste de mentionner également ses qualités. »

Dalaï Lama, Dharamsala, Inde, Mars 1993 




Par cette lettre, nous vous faisons la requête de mettre un terme à votre conduite contraire à l'éthique et à la morale. Vous avez un visage public de sagesse, de bonté, d'humour, de chaleur et de compassion ; mais votre conduite privée, dans les coulisses, est profondément dérangeante et perturbante. Un certain nombre d'entre nous ont soulevé avec vous en privé nos préoccupations concernant votre conduite ces dernières années, mais vous n'avez pas changé.


Ceux d'entre nous qui vous écrivons aujourd'hui avons une expérience personnelle directe de vos conduites abusives ainsi que des très grands efforts que vous déployez pour qu'elles ne s'ébruitent pas. Nos préoccupations sont aggravées par la culture d'organisation que vous avez créée autour de vous, qui maintient le secret absolu sur vos actes, et qui est en contradiction flagrante avec votre directive déclarée d'ouverture et de transparence au sein de la sangha. Notre souhait est de briser le mur du secret, de la tromperie et de la fausseté. Nous ne pouvons plus garder le silence.


Notre espoir profond et sincère est que ce message collectif puisse apporter un résultat plus tangible que ne l'a fait aucune de nos discussions individuelles avec vous. Nous espérons que des changements sincères et durables puissent advenir, plutôt que des promesses éphémères.


Nos préoccupations principales sont :


1. Vos abus physiques, émotionnels et psychologiques perpétrés sur les étudiants. 

2. Vos abus sexuels perpétrés sur les étudiants. 

3. Votre mode de vie extravagant, avide et sybarite 

4. Vos actions ont souillé notre appréciation de la pratique du Dharma.




1. Les abus physiques, émotionnels et psychologiques perpétrés sur les étudiants.


Nous avons subi directement de vous de nombreuses formes d'abus physiques, et nous avons été témoins de situations où d'autres les subissaient. Vous nous avez frappé du poing et du pied, tiré par les cheveux, tiré violemment les oreilles. Vous nous avez frappés, nous-mêmes et d'autres, avec différents objets comme votre gratte-dos, un cintre en bois, des téléphones, des tasses, et d'autres objets à portée de votre main. Nous avons cru pendant de nombreuses années que ce traitement physique et émotionnel des étudiants – que vous rapportez à vos "moyens habiles" de la "compassion courroucée" dans la tradition de "folle sagesse" – était fait pour notre plus grand bien afin de nous libérer de nos "schémas habituels". Nous ne le croyons plus désormais. Nos ressentons que les coups que nous et d'autres avons reçus n'étaient pas motivés par la compassion, mais qu'ils révélaient bien plutôt votre manque de discipline et vos propres frustrations. Vos abus physiques – qui constituent un crime selon les lois en vigueur dans les pays où vous les avez commis – ont causé à certains de vos moines, de vos nonnes et de vos laïcs des blessures sanglantes et des cicatrices permanentes. Il ne s'agit pas là d'informations de seconde main ; nous avons vu de nos propres yeux et fait l'expérience directe de tels actes
pendant des années. 


Pourquoi avez vous infligé une telle violence à nous-mêmes et à nos frères et sœurs du Dharma ? Pourquoi nous avez-vous frappés du poing et du pied, giflés, tiré les cheveux ? Votre repas n'était pas assez chaud ; on vous avait réveillé de votre sieste avec trente minutes de retard ; il manquait un nom à la liste téléphonique, ou bien elle était imprimée avec une taille de caractère qui ne vous convenait pas ; la connexion internet était lente ; le manuel d'utilisation de la télévision n'était pas clair ; un objet technologique ne fonctionnait pas ; votre assistant n'était pas assez attentif (1) ; nous n'avions pas réussi à "nous accorder avec votre esprit" et à prédire ce que vous vouliez ; ou bien vous étiez de mauvaise humeur car l'une de vos maîtresses vous énervait. Il y a des centaines d'exemples d'incidents triviaux qui vous ont fait réagir, et votre réponse a été de nous frapper violemment.


Vos abus émotionnels et psychologiques ont peut-être fait plus de dégâts que les cicatrices que vous avez laissées sur nos corps. Lorsque nous avons travaillé pour vous lors de l'organisation et de la mise en place de l'infrastructure vous permettant d'enseigner dans différents lieux dans le monde (Europe, Amérique du Nord, Australie, Inde et Népal), vos humiliations et vos menaces ont conduit certains de vos plus proches étudiants et assistants à des dépressions nerveuses. Vous nous avez toujours enseigné à apprécier l'attention personnelle que vous nous consacriez : il s'agissait selon vous de "mettre le doigt sur nos fautes cachées" de notre caractère, et de nous libérer de notre "amour immodéré pour notre propre ego". Nous ne pensons plus que ce soit vrai. Ceci a été perpétré d'une façon telle que cela nous a été nuisible plutôt qu'utile : une méthode pour nous assujettir à votre contrôle, un moyen flagrant et injustifié de domination et d'influence pour nous ôter notre liberté. Vous nous avez menacés, nous-mêmes et les autres, en disant que si nous ne vous suivions pas de façon absolue, nous mourrions "en crachant du sang comme Ian Maxwell" (2).

Vous nous avez dit que nos proches risquaient la maladie, ou bien étaient décédés,
parce que nous vous avions déplu de quelque façon (3). Pendant les enseignements publics, vous nous avez régulièrement critiqués, manipulés et humiliés, nous-mêmes ainsi que ceux qui travaillaient à faire fonctionner les retraites. Pendant des années, vous nous avez dit que ceci faisait partie de votre style unique "d'entraînement" des étudiants, et que ces humiliations faisaient partie de la relation gourou-disciple. Nous ne croyons plus que ce soit vrai.


Alors que davantage d'étudiants étaient sur le point de craquer nerveusement à cause de vos "entraînements", vous avez introduit la "thérapie Rigpa" à l'intention de vos plus proches étudiants. Des psychothérapeutes diplômés et en exercice (qui sont aussi vos étudiants) se sont vus assigner la tâche de gérer la douleur créée dans le psychisme de ceux que vous abusiez physiquement, émotionnellement et psychologiquement. Pendant les séances individuelles, l'étudiant parlait au psychothérapeute de méthodes de "folle sagesse" et du traumatisme qu'elles lui avaient causé. Pour traiter le traumatisme, on devait ne pas vous considérer, vous, le maître et l'instigateur, comme la source du traumatisme. Au contraire, on nous avait donné l'instruction de rejeter le blâme sur nos histoires de relations familiales anciennes. Ainsi, notre discernement tangible et clair qui vous désignait comme l'auteur de l'abus était bloqué, et au lieu de cela nous étions blâmés et conduits à nous sentir incompétents. Dans les cas où cette "thérapie" ne débouchait  pas sur un changement de perspective de la part de l'étudiant à votre égard, le psychothérapeute était humilié par vous, et conduit à penser qu'il ne faisait pas son travail correctement et qu'il n'était pas assez compétent. 




2. Les abus sexuels.




Vous utilisez votre rôle de maître pour avoir accès aux jeunes femmes, et les contraindre, les intimider et les manipuler afin d'obtenir d'elles des faveurs sexuelles (4). Les controverses continuelles concernant vos abus sexuels que l'on peut lire et regarder sur internet ne sont qu'une petite fenêtre ouverte sur des décennies d'une telle conduite de votre part. Certains et certaines d'entre nous ont été sujets au harcèlement sexuel suivant : on nous a intimé de nous dénuder, de nous montrer nos parties génitales (hommes et femmes), de vous faire une fellation, de nous faire manipuler sexuellement, de vous donner des photos de nos parties génitales, de faire l'amour avec notre partenaire dans votre lit, et de vous décrire nos relations sexuelles avec notre partenaire. Vous avez donné l'ordre à vos étudiants de photographier vos assistants et vos maîtresses nues, et forcé d'autres étudiants à en faire à votre intention des collages pornographiques que vous avez montré à d'autres. Vous avez offert l'une de vos assistantes à un autre lama (bien connu à Rigpa) pour ses ébats sexuels. Depuis des décennies vous avez continuellement, et continuez à avoir des relations sexuelles avec vos étudiantes et assistantes, dont certaines sont mariées. Vous nous avez intimé de mentir en votre nom, de dissimuler vos relations sexuelles à vos autres maîtresses. Publiquement, vous déclarez que vos relations intimes sont ordinaires, consensuelles et autorisées puisque vous n'êtes pas moine. Vous niez toute conduite incorrecte et vous avez même été jusqu'à déclarer, à l'occasion, que l'on vous avait séduit (5). Vous-même et d'autres individus dans votre organisation déclarez que c'est ainsi qu'un maître bouddhisme de "folle sagesse" se conduit, tout comme les adeptes tantriques du passé. Nous ne croyons pas que ce soit vrai et voyons dans de telles déclarations des tentatives de justifier des conduites outrageuses.




3. Le mode de vie vorace. 




Vous dissimulez votre mode de vie luxueux à vos milliers d'étudiants. C'est une chose d'accepter l'offrande du meilleur de tout (ce que nous avons) en tant que reconnaissance de notre gratitude pour les enseignements spirituels. Cela en est une autre de l'exiger de nous. Une grande partie de l'argent utilisé pour satisfaire vos appétits pour le luxe vient des dons de vos étudiants, qui croient que leur offrande est utilisée pour propager la sagesse et à la compassion dans le monde.
En tant que vos assistants, chauffeurs et organisateurs, la majeure partie de notre temps et de notre énergie est utilisée pour vous fournir une source constante de plaisirs sensuels. 


Vous exigez que toutes sortes de nourritures vous soient préparées, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, par vos cuisiniers personnels et leurs assistants (payés par Rigpa), qui voyagent dans le monde entier avec vous. 

Vous exigez toutes sortes de distractions, dont par exemple : un guide TV détaillé des programmes des shows télévisés que vous regardez souvent pendant des heures à la fin de chaque journée ; des listes élaborées de films afin que vous sachiez exactement ce qui se joue dans les cinémas alentours à n'importe quel moment ; des plats continuellement  à votre disposition provenant de restaurants take-away ; des conducteurs et des masseuses disponibles 24 heures sur 24 pour vous servir, vous emmener, vous et votre entourage, au cinéma, dans des restaurants coûteux, des centres commerciaux et des lieux particuliers où vous pouvez fumer vos coûteux cigares. 

Vous avez exigé avec impatience ces distractions et ces plaisirs sensuels décadents.
Quand elles ne sont pas disponibles d'un simple claquement de doigt, ou bien pas exactement comme vous le vouliez, vous nous avez insultés, humiliés, faits nous sentir indignes, stupides et incompétents, et bien souvent frappés ou giflés. Votre conduite n'a pas cultivé notre attention et notre vigilance, mais plutôt terrifiés à l'idée de faire une erreur. Vous dites à vos étudiants que vous passez la plupart de votre temps engagé dans l'étude et la pratique du bouddhisme, mais ceux d'entre nous qui ont été vos assistants privés pendant des années savent que cela n'est pas la réalité. 

Pour maintenir votre style de vie luxueux et extravagant, vous utilisez les
contributions financières que nous-mêmes et d'autres vous accordons en croyant qu'elles servent à propager le Dharma. Nous pensons que cela est contraire à l'éthique. Veuillez mettre un terme à une telle duplicité dans votre mode de vie ! Si vous n'éprouvez aucune honte de votre conduite, alors dévoilez-là donc au grand jour !

Permettez à tous vos étudiants de voir ce que vous êtes vraiment, et une fois informés, laissez-les décider par eux-mêmes s'ils vous considèrent comme un maître !



4. Vous avez souillé notre appréciation de la pratique du Dharma. 




Veuillez comprendre que le mal que vous nous avez infligé à aussi souillé notre appréciation pour le Dharma, et notre pratique ! Lors de décennies d'étude et de pratique du bouddhisme tibétain avec vous, nous nous sommes entraînés à vous voir comme "le joyau qui incorpore tout", et la "source de tous les enseignements et de toutes les bénédictions" du Bouddha-Dharma. Nous vous avons accordé une confiance totale. Cependant, nous avons été en conflit intérieur pendant des années car vos actions n'étaient pas en accord avec l'enseignement. Aujourd'hui, pour beaucoup d'entre nous qui avons quitté la communauté de Lérab Ling, l'organisation Rigpa et vous même, notre base de confiance dans le Bouddha-Dharma a été compromise. 

Certains d'entre nous ont choisi de quitter Lérab Ling en catastrophe, laissant derrière nous tous nos biens, car nous étions au désespoir de couper au plus vite avec vos abus et la communauté qui s'en faisait complice (6). Que nous soyons partis brusquement ou que nous nous soyons éloignés de vous et de Rigpa progressivement, nous avons bien du mal à retrouver une appréciation à l'égard des enseignements et des maîtres que nous avons rencontrés. 

Souvent, lorsque nous nous asseyons pour méditer et pratiquer, nous nous sentons souillés par le traumatisme de notre expérience ; certains d'entre nous considèrent le Vajrayana avec grande suspicion ; et certains d'entre nous tentons de repartir à zéro pour reconstruire les fondements de notre étude et de notre pratique, reconnaissant que votre
manipulation était mêlée à tout ce qui nous a été enseigné. 

D'autres parmi nous recherchons dans la psychothérapie conventionnelle un moyen de traiter cela. 

Contrairement à votre aspiration déclarée d'amener le Dharma à tous les êtres, le
résultat de vos méthodes est que notre relation au Dharma a été souillée. Nous voyons clairement maintenant que pendant de nombreuses années, vous avez trahi notre confiance, vous nous avez manipulés et abusés, nous-mêmes ainsi que nos frères et sœurs du Dharma.


Nous ne faisons pas preuve d'un manque de confiance ou de respect, de "paroles négatives", comme vous le dites souvent dès que quiconque ose émettre une objection à vos méthodes. En fait, nous avons eu confiance en vous trop longtemps, nous vous avons donné le bénéfice du doute encore et encore. Lorsque nous avons tenté de parler de nos préoccupations, vous nous avez humiliés et menacés de retirer vos enseignements à tous les étudiants parce que "nous avions des doutes". Vous nous avez encouragés à diffamer autrui, en particulier en France, où des voix se sont élevées contre vous ces dernières années. Nous avons vu comment vous prenez les enseignements en otage pour exiger que vos étudiants montrent leur dévotion par des "offrandes" continuelles sous forme d'argent et de travail gratuit. Vous nous dites que c'est ainsi que l'on devient un authentique pratiquant du Dharma. Nous ne croyons pas que ceci soit le chemin du Dharma.



Concernant votre conduite abusive, votre inconduite sexuelle et votre style de vie extravagant, nous ne voyons aucun texte ou critère éthique identifiable qui puisse le justifier. Vous ne rendez des comptes à aucune instance. Nous espérons qu'en vous envoyant cette lettre, en la partageant avec vos pairs et avec les étudiants du mandala dzogchen de Rigpa, nous comblerons ce vide.


Ce que vous nous avez enseigné pendant les trente dernières années, et en particulier dans le "Livre Tibétain de la Vie et de la Mort", a amené un bienfait immense à un grand nombre de gens, y compris ceux qui vous écrivent aujourd'hui. Si ce qui est écrit est incorrect, veuillez corriger nos vues erronées. Si le fait de nous donner des coups de poing, de nous frapper, nous-mêmes et les autres, d'avoir des rapports sexuels avec vos étudiants et des femmes mariées, de financer votre mode de vie sybarite par les dons de vos étudiants, constitue la conduite éthique et compatissante d'un maître bouddhiste, veuillez nous expliquer comment il peut en être ainsi. Si en revanche notre évaluation est correcte, veuillez mettre un terme à ces comportements que nous considérons comme nuisibles à autrui.


En conclusion nous voulons déclarer que la plupart des critiques publiques formulées à votre encontre sur internet relatent des faits réels. Certains d'entre nous, qui avons occupé des positions de responsabilité au sein de Rigpa, nous sentons en conflit intérieur pour avoir joué un rôle en couvrant vos agissements, "expliqué" et justifié votre conduite, tout en négligeant de prendre soin des victimes d'expériences traumatisantes. Notre motivation passée consistant à voir toutes les actions de notre maître tantrique comme pures, nous a rendus aveugles au véritable mal que vous infligez. Nous examinons longuement et sérieusement notre propre conduite, nous essayons d'apprendre de cela et de nous soutenir mutuellement sur notre chemin. 

Nous ne pouvons plus garder le silence pendant que vous faites du mal à autrui au
nom du bouddhisme. Notre souhait le plus cher est de voir le bouddhisme fleurir en Occident. 

Nous ne voulons plus nous complaire dans la stupidité consistant à voir le gourou comme parfait à tout prix. Le chemin de requiert pas que nous sacrifiions notre sagesse, notre discernement, notre sens éthique et moral et notre intégrité sur l'autel du "gourou yoga".



Notre souhait le plus cher est que vous demandiez conseil à Sa Sainteté le Dalaï Lama, à d'autres lamas renommés ayant bon cœur, ou à quiconque peut vous aider à vous ramener sur le chemin authentique du Dharma. 

Avec notre profond respect pour le Dharma,





Mark Standlee, étudiant pendant 33 ans, retraitant de trois ans, ex-directeur du programme international de cours en ligne et des enseignements à Rigpa USA pendant 5 ans, instructeur sénior international.


Sangye, étudiant pendant 16 ans, retraitant de trois ans, moine bouddhiste pendant 14 ans, co-directeur du département technologie à Rigpa International.


Damchö, étudiante pendant 15 ans, retraitante de trois ans, nonne bouddhiste pendant 11 ans, assistante privée de Sogyal Lakar.


Mattéo Pistono, étudiant pendant 19 ans, ex-membre du conseil d'administration de Rigpa USA, auteur du livre "Fearless in Tibet ; the life of the mystic Tertön Sogyal".



Joanne Standlee, étudiante pendant 18 ans, directrice du service privé de Sogyal Lakar pendant 15 ans à Rigpa USA, directrice nationale de Rigpa USA pendant 7 ans, directrice de Zam USA pendant 5 ans, instructrice de Rigpa.


Graham Price, étudiant pendant 20 ans, assistant personnel et chauffeur de Sogyal Lakar. 


Gary Goldman, étudiant pendant 23 ans. 



Michael Condon, étudiant pendant 21 ans, assistant personnel et chauffeur de Sogyal Lakar.





Notes :

1 – Sogyal Lakar a frappé du poing au ventre une nonne devant une assemblée de plus de 1000 étudiants à Lérab Ling, en France, en Août 2016. 

2 – En décembre 2005, lors d'enseignements transmis en direct sur internet depuis le temple inachevé, Sogyal Lakar a dit que Ian Maxwell, l'un de ses plus anciens étudiants, était un "trou du cul", alors que Ian agonisait dans un hôpital parisien.

Après la mort de Ian, Sogyal Lakar a utilisé régulièrement cet incident, disant : 

"Voulez-vous finir par mourir en crachant du sang comme Ian, pour m'avoir défié ? ", comme un exemple pour d'autres étudiants, lorsqu'il les menaçait de terribles conséquences s'ils n'obéissaient pas à ses ordres.

3 – Sogyal Lakar a dit à Graham Price que sa compagne Elena était tombée malade parce que Graham avait crié après lui (Sogyal Lakar).


"Gérard demanda une entrevue avec Sogyal, qui était initialement méfiant, mais admit finalement ses rapports sexuels avec Janine. Il essaya de rejeter le blâme sur elle – proclamant qu'elle l'avait séduite et qu'il était au départ réticent, mais s'était ensuite laissé convaincre. " 

6 – Le moine Ngawang Sangye et la moniale Ani Damchö Drolma luttèrent pendant des années pour satisfaire les exigences toujours croissantes de Sogyal Lakar, tout en
étant victimes d'abus physiques et émotionnels. Ils demandèrent de l'aide au sein de la communauté, mais furent blâmés et considérés comme manquant d'appréciation
pour la bénédiction qui leur était donnée de travailler à proximité du lama. Ils subirent une pression extrême pour rester et se soumettre. Ils sentirent tous deux qu'ils devaient éluder le problème, étant donné qu'il n'y avait aucun lieu où en discuter, où trouver comment tolérer cette relation de travail avec Sogyal Lakar.



The Western Buddhist Teachers Conference with His Holiness the Dalai Lama Shimano archive_19930300_Dharamsala.pdf

Ethics in the Teacher Student Relationship Kumare the movie





samedi, juillet 29, 2017

Allé... Allé... Allélua !



Une religieuse polonaise de 70 ans parcourt 4000 kilomètres à vélo pour aller à Saint-Jacques-de Compostelle.

Malgré l'habit religieux, elle maîtrise bien l'aérodynamisme de la bicyclette sans trop se soucier de la limitation de vitesse.


Source


vendredi, juillet 28, 2017

Matthieu Ricard doit désavouer Sogyal Rinpoché, dignitaire lamaïste tyrannique et obsédé sexuel

N'oublions pas que "Sogyal Rinpoché a été adoubé par le dalaï-lama et Matthieu Ricard lors de l’ouverture de son temple en 2008".

Scandale chez les bouddhistes : Matthieu Ricard recommande aux disciples plus de vigilance


Pour la première fois, Matthieu Ricard, proche conseiller du dalaï-lama, qualifie d'"inadmissibles" les agissements de Sogyal Rinpoché. Régulièrement brocardé pour ses violences et abus sexuels, le lama qui officie dans l'Hérault jouissait jusqu'à maintenant d'un silence total de la part des plus hautes instances du bouddhisme tibétain.


Depuis des années, le lama Sogyal Rinpoché agit en toute impunité, dans son centre de retraite situé dans l’Hérault, mais aussi ailleurs en Europe et dans le monde. Malgré sa position à la tête d’une association bouddhiste d’envergure internationale (Rigpa), aucune des plus hautes autorités bouddhistes n’a jusqu’à maintenant dénoncé les abus sexuels dont le tibétain est régulièrement accusé. 


Hier, Marianne publiait de larges extraits d’une lettre signée par huit de ses plus proches disciples, qui révélait des détails inédits et glaçants sur la violence des pratiques du maître.
 Suite à nos sollicitations, le plus célèbre moine bouddhiste de France et proche conseil du dalaï-lama, Matthieu Ricard, a fini par envoyer un texte de réaction à notre journal.

« Je connais personnellement deux des auteurs de la lettre récemment envoyée à Sogyal Rinpoché et suis convaincu qu’ils sont honnêtes et que leur parole est fiable, écrit le co-auteur du best-seller "Trois amis en quête de sagesse". Les comportements décrits dans cette lettre et dans d’autres témoignages passés sont à l’évidence inadmissibles, du point de vue de la morale ordinaire et à plus forte raison de l’éthique bouddhiste, notamment du fait que les comportements incriminés ont été sources de nombreuses souffrances ».



"Il n'y a pas de police des mœurs dans le bouddhisme"


Contacté par téléphone, et pour justifier que des années se soient écoulées avant qu’il ne prenne la parole à ce sujet, Matthieu Ricard argumente « qu’il n’y a pas de police des mœurs dans le bouddhisme » et que c’est « aux personnes qui connaissent les choses de l’intérieur de les dénoncer ». Et, le cas échéant, de porter plainte auprès de la justice. Dans son courrier, le moine insiste sur ce point en rappelant que les enseignements recommandent « de ne pas se confier à un maître avant de l’avoir minutieusement examiné, de loin d’abord, en s’informant auprès de tierces personnes, puis de près en vérifiant par soi-même si l’opinion que l’on s’est faite est conforme à la réalité. Il est même conseillé d’attendre plusieurs années avant d’accorder toute sa confiance à un maître et de suivre ses enseignements. On ajoute que se confier à un maître non qualifié revient à absorber du poison ».


"Ne pas se confier à un maître avant de l'avoir minutieusement examiné"


Autrement dit, Sogyal Rinpoché a beau avoir été adoubé par le dalaï-lama et Matthieu Ricard lors de l’ouverture de son temple en 2008, charge aux disciples, et à eux seuls, de démasquer l’imposture. « Ce n’est pas notre rôle d’œuvrer en justiciers », affirme Ricard. « Il existe maintenant des milliers de centres bouddhistes dans le monde, tous indépendants les uns des autres »,rappelle-t-il, soulignant que « le bouddhisme n’est pas organisé de façon hiérarchique comme c'est le cas, par exemple, de l’Eglise Catholique ».


A ceux qui accusent le dalaï-lama de s’être tu pour des raisons financières ou pour protéger le bouddhisme, Matthieu Ricard oppose un démenti catégorique. Selon lui, le seul rôle qui incombe au maître spirituel est de « servir de référence en enseignant et en incarnant clairement ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour être un pratiquant du bouddhisme digne de ce nom ». Et pour expliquer que l’organisation de Sogyal Rinpoché, Rigpa, figure à la liste des donateurs de sa propre association Karuna shechen, il évoque une donation d’à peine 5 240 € en 2015, destinée aux victimes du tremblement de terre au Népal.

Matthieu Ricard a beau minimiser la portée de sa prise de parole, se décrivant comme « un pauvre moine errant de droite à gauche », nul doute que ses mots auront un impact sur les 600 000 pratiquants de la religion bouddhiste en France. Et plus encore sur les victimes, qui craignent toujours, en prenant la parole, de nuire au bouddhisme tibétain dans son ensemble.


Source :
https://www.marianne.net/societe/scandale-chez-les-bouddhistes-matthieu-ricard-recommande-aux-disciples-plus-de-vigilance



Le temple lamaïste de Roqueredonde, dans l'Hérault, est un lieu malsain.

mardi, juillet 25, 2017

Vaccinations obligatoires, le devoir de désobéissance civile



De son temps, Georges Bernanos avait prévu ce qui nous arrivera si nous acceptons cet asservissement qu'on cherche à nous imposer et qui mènerait au «Nouvel Ordre Mondial», évoqué en 1991 par l'ancien Président américain, Georges Bush senior, et relancé avec les attentats du 11 septembre 2001 par son fils Georges W. Le Congrès des Etats-Unis n'a-t-il pas accordé les pleins pouvoirs au Gouvernement fédéral, en votant l'USA Patriot Act, le 26 octobre 2001 (toujours en vigueur en 2017) et en publiant la stratégie nationale de sécurité, le 11 septembre 2002, avec The Madel Emergency Health Powers Act, permettant d'exiger la vaccination pour tous les américains, tout refus étant considéré comme un délit ?

Face aux méthodes de destruction de plus en plus efficaces, qui finiront par rayer notre espèce de la planète, Georges Bernanos mettait déjà en avant, il y a un demi siècle, « la docilité, l'absence de responsabilité de l'homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public ».

L'obéissance aveugle n'est plus une vertu lorsque la confiance s'effondre. Elle devient alors la plus sournoise des tentations, contre laquelle nous devons évidemment lutter. Car, en l'absence du rétablissement de la confiance et de réelles prises de conscience de nos autorités, qui doivent impérativement se libérer de toute pression économico-politique, la docilité contagieuse de l'homme ira de pair avec le développement de nouvelles maladies émergentes, qui finiront par détruire la planète et ses habitants.

À moins que le trop célèbre « responsable mais pas coupable », qui définit l'irresponsabilité du politique, ne génère, avec l'instinct de survie, la désobéissance civile. Dans le cadre du scandale du sang contaminé, que nos politiciens actuels semblent avoir bien vite oublié, André Glücksmann stigmatisait cette même désobéissance civile, « forme de responsabilité qui appelle à davantage de responsabilité ». Dans la dernière affaire des paillotes corses, le Premier ministre de l'époque, Lionel Jospin, avait à son tour évoqué cette désobéissance en déclarant : « le préfet et les gendarmes auraient dû désobéir à des ordres illégaux », sans toutefois préciser l'origine de ces ordres !

Devant la puissance financière des multinationales agroalimentaires et pharmaceutiques, et la persistance de leur mainmise sur la politique de santé et sur la gestion des crises sanitaires, au niveau de l'OMS et des institutions sanitaires, sommes-nous condamnés à développer cette désobéissance civile?

En suivant les conseils éclairés de la fable de Jean de la Fontaine, « le rat des villes et le rat des champs », que nos dirigeants semblent également méconnaître, nous pourrions retrouver, tel le rat des champs, le contact avec nos racines et la confiance perdue, restaurant ainsi la conscience et le bon sens institutionnels et individuels, tout en respectant la nature. Ces institutions doivent donc impérativement se libérer du joug des lobbies de l'industrie notamment, tandis que l'homme doit retrouver le contact avec ses racines.

Comme le souligne Edgar Morin : « toute notre philosophie s'écroule, mais un être nouveau peut être procréé. Le vrai problème, le seul non technique, c'est celui du modèle d'homme ou plutôt de post hominien qu'il faut édifier. Ce modèle devra être la réalisation concrète de l'humanisme au moment où celui-ci tombe en miettes.»

Cet « humanisme » doit bien évidemment intégrer et même contaminer nos institutions, manipulées par des experts inféodés à l'argent roi des multinationales, pour lesquelles le marché prime sur tous et sur tout, sauf les indices boursiers ...

Comme le disait fort justement Alexis Carrel, nous ne pourrons entreprendre la propre restauration de l'homme et celle de nos institutions, « sans avoir réformé notre mode de pensée », lequel doit retrouver toute sa liberté d'expression, aux antipodes de la pensée unique.

Docteur Marc Vercoutère


La face cachée des vaccins













PDF gratuit, Henry David THOREAU 
LA DESOBEISSANCE CIVILE.



vendredi, juillet 21, 2017

La franc-maçonnerie, 300 ans d'imposture

La plupart des bouddhistes qui participent à la gestion des centres du dharma sont francs-maçons. Le psychiatre grenoblois Jean-Pierre Schnetzler, qui est membre de la loge Villard de Honnecourt, a même créé le centre tibétain de Karma Mygiur Ling à Montchardon, dans l'Isère.



Johan Livernette, auteur catholique anti-libéral et contre-révolutionnaire, dénonce le complot mondialiste qui trouve ses sources dans le talmudisme et la franc-maçonnerie.


La franc-maçonnerie, 300 ans d'imposture

par Johan Livernette



Ce livre est dans la continuité du précédent, Le complot contre Dieu, qui démontait le mondialisme, ce projet de destruction à grande échelle. Cette fois, La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture est centré uniquement sur la secte maçonnique. Mon but fut de publier le livre le plus complet et le plus documenté possible sur le sujet, en structurant mon travail sur différents axes, de manière à faire le tour de la question en 372 pages. Lorsque j’ai vu que la franc-maçonnerie allait fêter son tricentenaire, je me suis dit que c’était le bon moment pour fournir ce travail de synthèse.


Sur des francs-maçons qui, par le passé, se sont permis de dévoiler leur secte : le célèbre Albert Pike, le palladiste Domenico Margiotta, mais aussi François Clavel, Jean-Marie Ragon, Alexandre Lenoir, Oswald Wirth… Et puis surtout de nombreux auteurs antimaçonniques de référence comme Mgr Ernest Jouin, Mgr Henri Delassus, Mgr Léon Meurin, Léon de Poncins, AG Michel, l’abbé Barrruel, l’abbé Barbier, Henry Coston, Epiphanius, Jacques Ploncard d’Assac ou encore Jean-Claude Lozac’hmeur sur les origines de la franc-maçonnerie. Dans L’Église romaine en face de la révolution, l’historien Jacques Crétineau-Joly avait diffusé les documents de la Haute-Vente, à l’instar de Mgr Delassus dans Le problème de l’heure présente.


Pour les compte-rendus du Grand Orient, il y a l’ecclésiastique AG Michel.


Pour l’infiltration au sein de l’Église : l’abbé Emmanuel Barbier ;


pour les illuminés de Bavière : l’abbé Barruel et la Britannique Nesta H. Webster ;


pour l’initiation : Charles Nicoullaud ;


et pour l’analyse de la gnose : Étienne Couvert.


L’étude d’Emmanuel Ratier sur le B’naï B’rith est incontournable, tout comme celle d’
Antony C. Sutton sur la Skull and Bones ou celle de l’Américain Craig Heimbichner sur l’Ordo Templi Orientis.


Pour les francs-maçons décrits par eux-mêmes et les origines de l’ONU, le travail de Léon de Poncins est très précieux. Quant à l’action maçonnique durant l’histoire, il y a l’immense ouvrage du père Nicolas Deschamps intitulé Les sociétés secrètes et la société (éditions Saint-Rémi). Lors de mon étude, il m’a semblé nécessaire de rassembler un maximum d’informations et de documents, afin d’effectuer la synthèse de tous ces travaux. »



lundi, juillet 17, 2017

Le 11 Septembre 2001


Allusion au 9/11 et à la franc-maçonnerie dans un épisode des Simpson datant de l'année 1997.


Lisa Simpson montre un magazine de 9 $ intitulé "New York" sur lequel apparaît un 11, la silhouette des deux tours jumelles du World Trade Center. Ce magazine serait une allusion aux attentats du 11 septembre (9/11) qui auront lieu quatre ans plus tard. Dans la même scène, Bart Simpson exhibe des billets verts, d'étranges dollars dont le dessin représenterait les 2 colonnes (Jakin et Boaz) des temples maçonniques...



Le 11 septembre selon des sceptiques




Pour en savoir plus :




dimanche, juillet 16, 2017

Le nombre 11



Sans aucune concertation, Emmanuel Macron a décidé le 4 juillet 2017 que 11 vaccins chargés d’aluminium seront injectés aux enfants. Les parents récalcitrants encourront une peine de prison. La ministre de la Santé Agnès Buzyn souhaite que la loi concernant les 11 vaccins obligatoires soit rapidement votée.


Agnès Buzyn, la ministre des Solidarités et de la Santé, s’était déclarée favorable à l’euthanasie lors d’un colloque au Grand Orient de France en 2015 sur la « fin de vie des enfants ».

Hématologue (née le 1er novembre 1962 à Paris), Agnès Buzyn est l’aînée des trois enfants d’Élie Meir Buzyn, né le 7 janvier 1929 à Lodz (Pologne). Ce chirurgien orthopédique aujourd'hui retraité est membre actif de la loge Sigmund Freud du B’naï B’rith. La grand-mère de la ministre de la Santé était engagée dans le mouvement des femmes sionistes (Wizo).



"Aujourd’hui, seuls 3 vaccins sont obligatoires en France pour les nourrissons (Diphtérie, tétanos, poliomyélite), ça fait déjà 9 doses (vaccins plus rappels) injectées la première année de la vie du bébé. Mais avec 11 vaccins, ce sont 25 à 40 doses qui doivent être encaissées par leur système immunitaire immature. Avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé", s'inquiète Stéphane Guibert.

LE NOMBRE 11


Des chrétiens contre les francs-maçons. 

Les Simpson, une vision idéalisée du bouddhisme






Pour améliorer ses finances, l'église de Springfield loue son espace mural aux annonceurs locaux. Horrifiée par ce mercantilisme, Lisa Simpson renonce au christianisme et se convertit au bouddhisme.


Le bouddhisme ne serait pas aussi vénal que le christianisme. LOL !



Les Simpson et la science
Un livre de Marco Malaspina

"A tous ceux que la science ne laisse pas indifférents - qu'ils soient profanes ou savants - Marco Malaspina propose de redécouvrir les grands problème scientifiques d'aujourd'hui avec humour... dans le canapé des Simpson ! Au programme : le nucléaire, les OGM, la querelle du créationnisme et bien d'autres questions que nous pose très sérieusement la science au quotidien. 

En zappant entre les meilleurs épisodes - dont les dialogues irrévérencieux et sarcastiques sont fidèlement restitués - l'auteur met en lumière le regard critique que porte sur la science la célèbre série télévisée. Pour tous les fans qui veulent redécouvrir leur dessin animé fétiche sous l'angle de la vulgarisation scientifique, mais aussi pour tous ceux qui recherchent une approche non académique de la science, ce livre est un guide sans équivalent. Il permet de saisir toute la modernité de la série et la pertinence de son regard su la société occidentale. C'est en effet nos valeurs et notre mode de vie qui, par l'intermédiaire de cette famille américaine moyenne, sont auscultés et critiqués."




samedi, juillet 15, 2017

Les Georgia Guidestones


R. C. Christian, le nom du commanditaire des Georgia Guidestones évoque Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-croix (R.C.), le mythique fondateur de la société secrète des rose-croix et fait allusion au 18ème degré de la franc-maçonnerie (chevalier rose-croix).


La franc-maçonnerie a toujours été présente dans les coulisses du pouvoir républicain et ploutocratique. Des francs-maçons occupent des postes importants dans le gouvernement actuel.

La cérémonie de la pyramide du Louvre inaugure un quinquennat totalement contrôlé par la loge (ou la synagogue) de Satan. D'ailleurs, à peine élu et selon le 1er commandement des Georgia Guidestones, Macron projette d'empoisonner lentement les enfants avec 11 vaccins obligatoires bourrés d'adjuvants toxiques. Le nombre 11 est un nombre maçonnique qui symbolise le chaos et l'instauration du nouvel ordre mondial. « Le 11 exprime l'ambivalence, le débordement, la violence d'un renouveau, la rupture de l'unité, et annonce un conflit virtuel, une faille de l'univers. » http://homme-et-espace.over-blog.com/article-le-11-septembre-a-la-lumiere-des-nombres-58249780.html 




Les Georgia Guidestones

par Claire Séverac

Les Georgia Guidestones, appelé aussi le Stonehenge américain, c'est un monument en granite érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, près d'Elberron en Géorgie.

Commandé par un homme s'étant présenté sous le nom de R. C. Christian , il a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company. Le banquier qui s'est occupé de la transaction a dû signer une clause de confidentialité et a reçu l'argent et les documents relatifs à cette transaction de diverses banques et villes des États-Unis afin que les commanditaires ne soient jamais localisés, identifiés ou divulgués.

C'est un ensemble de six blocs de granite de 5,87 mètres de haut pour un poids total de 107 840 kg, sur lesquels sont gravés « dix commandements » en huit langues modernes différentes : l'anglais, l'arabe, le chinois/mandarin, l'espagnol/castillan, l'hébreu, l'hindi, le russe et le swahili.

Et sur la pierre du haut, une courte inscription en quatre langues anciennes : babylonien, grec ancien, sanskrit et hiéroglyphe égyptien.

La plaque sur le sol donne les explications avec des références astronomiques, et indique la présence d'une capsule temporelle enterrée deux mètres en dessous, « à
ouvrir le . . . » sans préciser de date.

Ces « dix commandements », censés nous guider vers un « Âge de Raison » et aider les survivants d'une probable apocalypse à reconstituer une meilleure civilisation, sont :

1. Maintenir l'humanité en dessous de 500 000 000 d'individus, en perpétuel équilibre avec la nature. (Il y avait, à l'époque, 4,5 milliards d'humains sur la planète, ce qui voulait dire que huit sur neuf devaient disparaître ; aujourd'hui ce serait environ 12 sur 13 !)

2. Guider la reproduction avec sagesse en améliorant l'aptitude et la diversité.

3. Unifier l'humanité avec une nouvelle langue vivante. (Certains craignent le Livre des Révélations, qui prévenait qu'une langue commune et un gouvernement mondial verrait l'accomplissement de l'Antéchrist.)

4. Gouverner la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses (qui divisent) par l'usage de la raison et de la modération.

5. Protéger le peuple et les nations par des lois équitables et des tribunaux justes.

6. Laisser toutes les nations gérer les problèmes internes, et régler les conflits internationaux devant un tribunal mondial.

7. Éviter les lois insignifiantes et les fonctionnaires inutiles.

8 . Contrebalancer les droits personnels par les devoirs sociaux.

9. Privilégier la vérité, la beauté, l'amour, et chercher l'harmonie avec l'infini.

10. Ne sois pas un cancer sur la Terre. Laisse de la place à la nature.

Il est évident que ces commandements vont dans le sens du Nouvel Ordre mondial, comme la réduction massive des populations, le contrôle de la reproduction, un gouvernement mondial unique, la raison froide qui doit prendre le pas sur toute individualité, sur notre héritage...

En fait, sous le vernis écaillé de la démocratie, c'est bien une dictature mondiale absolue qui est en train de se mettre en place, où une hyperclasse fasciste dominera des hordes de pauvres exécutants, et où, dissimulé (pour l'instant) derrière des déclarations d'intention humanistes ou des prétextes bidons, tout est mis en œuvre pour atteindre ce but en repérant, écartant et supprimant tous les dissidents jusqu'à extinction de la race !

« Ce que nous voulons ne compte plus. Ce qui compte, c'est leur propre agenda », nous avertissait Aaron Russo dans America : Freedom to Fascism peu avant sa mort dans une interview pour Alex Jones. « Ils ont les machines à billets. Ce n'est pas une question d'argent, ils ont tout l'argent qu'ils veulent. C'est une histoire de pouvoir et de leur vision du monde. »



vendredi, juillet 14, 2017

En marche... vers la dictature

Macron imposera l'injection de 11 poisons vaccinaux à tous les enfants de France.



« Pourquoi a-t-on triplé le nombre de vaccins que les enfants reçoivent et développent-ils autant de maladies auto-immunes dans le sillage de ces vaccinations ? Les élites ne vaccinent pas leurs enfants et ne mangent pas non plus les OGM ni la nourriture industrielle que l'on trouve à foison dans les supermarchés et que « la crise économique » oblige « les sans dents » à consommer ! » (Claire Séverac)




La Guerre secrète contre les peuples

Conférence de Claire Séverac



Claire Séverac répond aux questions du public





(extrait de la préface de Pierre Hillard)

Le livre de Claire Séverac, « La Guerre Secrète contre les Peuples », appartient à la catégorie des ouvrages qui vous marquent. L'auteur présente et explique, à partir de documents officiels et multiples, qu'une élite financière, scientifique, industrielle et politique s'est engagée dans une voie d'optimisation maximale des richesses à leur profit dans le cadre d'un nouvel ordre mondial en cours d'élaboration.

Manipulations génétiques, épandages (chemtrails), portables, OGM, armes électromagnétiques, projet HAARP, etc sont autant d'éléments permettant la soumission, l'abrutissement mais aussi la destruction de l'humanité à plus ou moins long terme. Pour les survivants ayant échappé à ce rouleau compresseur, leur réduction à l'état de serf au profit d'une oligarchie prédatrice n'est finalement que leur seule ligne d'horizon. Le lecteur peut être choqué par de tels propos. Après tout, il n'entend pas un tel discours dans les médias officiels. Ce lecteur oublie que ces médias sont, eux aussi, étroitement liés à ces élites politico-financières et qu'ils ne délivrent comme messages que ceux conformes à la doxa du système. Ce ne sont sûrement pas eux qui présenteront les origines profondes de l'étrange et révélateur Georgia Guidestones. Cet ensemble de blocs granitiques érigé en 1980 aux États-Unis présente dans de nombreuses langues, mais pas en français, une série de mesures dignes d'un régime dictatorial (limitation de l'humanité à 500 millions d'habitants, unification du genre humain, tribunal mondial... ). Toutes ces menaces recensées par Claire Séverac ne sont pas le fruit d'élucubrations. L'intérêt de ce livre est de dresser une liste très complète des acteurs œuvrant dans l'élaboration de techniques de pointe permettant l'assujettissement de l'humanité.

D'une certaine manière en raisonnant à froid et en faisant abstraction de toute morale, on peut dire que ces actions sont « logiques ». En effet, la volonté d'établir un nouvel ordre mondial oblige à une restructuration complète du monde. Celui-ci obéit à deux étapes. Premièrement, il s'agit de mettre en place des blocs continentaux (Union européenne, Unasur, Union eurasienne, Union africaine, .. . ) constituant une gouvernance mondiale. Cette dernière se doit, pour des raisons d'efficacité, d'être en mesure d'appliquer un modèle commun planétaire diffusé via des unions régionales. Celles-ci, à l'instar des « Administrations régionales » du « Meilleur des mondes » d'Aldous Huxley, répercutent ces mesures afin de les diffuser en profondeur dans leur espace géographique. Ainsi, l'humanité entière, subdivisée en blocs régionaux régis de manière technocratique, peut recevoir sa dose de poison de Monsanto et consorts. Cependant, le projet de gouvernance mondiale lié aux mesures décrites par Claire Séverac va plus loin encore et c'est le deuxième point. La finalité du est d'aboutir à une fusion de ces unions régionales avec mélange complet et indifférencié de tous les peuples de la terre. C'est le principe du « glocal » ou « région-monde »Une surface territoriale réduite (le local) doit représenter l'échantillon planétaire humain. La multiplication de ce « local » sur toute la surface de la terre doit constituer le « global ». L'idéal suprême pour l'oligarchie est d'avoir un simple individu, déraciné, psychologiquement déstructuré et nomade afin de mieux le soumettre, en paraphrasant le général Eisenhower, au complexe militaro-industrialo-pharmaco de la gouvernance mondiale. Pour l'oligarchie et en liaison avec les techniques les plus développées, une humanité réduite à 500 millions d'habitants, comme le prescrit le Georgia Guidestones, représente le profil adéquat de la rentabilité maximale.

L'ironie dans cette histoire est que le système teste déjà les réactions psychologiques des peuples par des films annonçant, par la voie de la science-fiction, un avenir ressemblant furieusement au programme concocté dans les cénacles oligarchiques. C'est le cas du film Elysium sorti en 2013 avec Matt Damon et Jodie Foster. Tandis qu'une humanité mélangée, appauvrie et vivant d'expédients survit péniblement, une minorité oligarchique jouit des meilleures conditions de vie (alimentation, soins médicaux... ) dans un immense vaisseau spatial arrimé à l'orbite terrestre. Vue de terre, cette île spatiale flottante réunissant la crème oligarchique représente un pentagramme renversé, l'emblème par excellence du satanisme. Et c' est aussi l'intérêt du livre de Claire Séverac. Outre la diversité des mesures pour soumettre et avilir l'humanité, on ne peut qu'être frappé du caractère démoniaque de ces politiques touchant tous les secteurs propres au bon développement de la vie. 

Un tel degré de perversité et cette persévérance inouïe pour mener à terme ces projets ne peuvent pas être seulement l'œuvre d'êtres dépravés.

Elysium












Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...