lundi, avril 16, 2018

Le messianisme juif et la destruction de la Syrie

Selon la guématria juive (la valeur numérique des lettres qui composent un nom), Donald Trump signifie "Messie pour la Maison de David" (משיח בן דוד), écrit le rabbin Adam Eliyahu Berkowitz.

Sans l'intervention de la Russie, la Syrie devait connaître le même sort que la Libye. Le plan sioniste du Grand Israël allait se réaliser et donner naissance à un ordre nouveau surgi du chaos (Ordo ab chao).

Beaucoup de juifs, en Israël et aux États-Unis, veulent la destruction de la Syrie en raison d'une prophétie clé du judaïsme.

Le Rabbin Yehudiel Fish, l'auteur d'un célèbre blog sur la Torah, associe le conflit qui dévaste la Syrie à la prédiction du prophète Jérémie.

"Jérémie a prédit le feu dans la forteresse de Damas, ce qui annonce la venue du Messie", a-t-il déclaré à Breaking Israel News.

"Et j'allumerai un feu dans les murs de Damas, et je détruirai les murs de Ben-Hadad", dit le livre du prophète Jérémie.

À cet égard, dit Fisch, Assad joue un rôle dans l'exécution de la deuxième partie des prophéties messianiques de la venue triomphante du Messie, le Machia'h ben David, ce qui implique le retour de la dynastie de David et la mise en place du troisième Temple (Les Juifs croient qu'il sera construit sur le Mont du Temple à Jérusalem, où autrefois il y avait deux autres temples).

Le Rabbin Yehudiel Fish, cite le Midrash, la section de la Torah orale, dans l'interprétation de Shimon Bar Yochai, qui fait référence à la montée de l'étoile à l'Est et l'apparition de « Messie fils de David. ». Apparition qui mettra fin au règne du « Néron de l'Orient » à Damas et détruira la Syrie.

Assad est le "Néron de l'Orient", affirme Fish. Le rabbin se réfère à d'autres subtilités étymologiques, y compris le fait que le mot "Assad" dans la numérologie juive est traduit par "Néron de l'Orient".

"Il y a d'autres indices que la chute de Damas est liée à l'érection de Mikdash (le Temple). Les lettres juives en écrivant le mot "Damas" peuvent être reconstruites pour faire le mot "Mikdash", dit Fish.

La décision du président américain de reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël a fait que de nombreux Juifs ont vu en Donald Trump le Messie ou son héraut. En tout cas, Trump incarne le chef spirituel et politique capable de mener une bataille décisive pour protéger Israël.

Les sectes évangéliques ont également aimé la décision de Trump. Elles croient que la reconnaissance de Jérusalem est la partie la plus importante de la prophétie biblique de la "fin des jours" et de la seconde venue du Christ. Le messianisme juif et évangélique espère l'ultime confrontation militaire qui aboutira à la destruction de Gog, le dernier ennemi d'Israël, et "fera triompher la gloire de Christ parmi les nations et achèvera la délivrance d'Israël". (Mais le protestantisme évangélique sait-il qui est vraiment Gog ?)

L'expression "délivrance d'Israël" signifie en réalité l'annexion par la force de tous les territoires qui s'étendent du Nil à l'Euphrate, la prétendue Terre promise des Juifs ou Grand Israël. 






dimanche, avril 15, 2018

Trois esprits impurs : TRUMP - MACRON - MAY

TRUMP - MACRON - MAY
Les trois esprits impurs de l'alliance militaire de l'empire satanique

Les médias mentent sur la Syrie. Macron est un agent de l'empire du mal.
Macron est le déshonneur de la France.


Le livre de l’Apocalypse qu’on attribue à l’apôtre Jean et que les chrétiens reçoivent comme une révélation faite à l’humanité sur les évènements marquant son destin dans le temps, parle d’une dernière grande confrontation au lieu dit de l’ARMAGEDDON.

« Puis, de la gueule du Dragon, et de la gueule de la Bête, et de la gueule du faux prophète, je vis surgir trois esprits impurs, comme des grenouilles – et de fait, ce sont des esprits démoniaques, des faiseurs de prodiges, qui s’en vont rassembler les rois du monde entier pour la guerre, pour le grand Jour du Dieu Maître-de-tout. Ils les rassemblèrent au lieu dit, en hébreu, Armageddon. » (Ap.16,16)



L'empire satanique

"Nous avons une société beaucoup plus saine que celle de l’Europe actuelle. L’Occident a trahi les valeurs européennes. L'Occident d’aujourd’hui est une société post-chrétienne, post-européenne [...] Les valeurs européennes sont restées en Russie."
Andrei Fursov



Selon l'historien russe, sociologue, journaliste Andrei Fursov, la Russie est l'ennemi "numéro un" de l'empire anglo-saxon. Elle  s'oppose au plan de domination mondiale et de subordination coloniale de la planète par l'empire satanique bicéphale (Wall Street et la City).





Fil conducteur : 


Les adorateurs de Baal-Satan


Les maîtres de l'empire sont majoritairement des occultistes (cercles kabbalistes, contre-initiés khazars, talmudistes dégénérés...) adorateurs de Baal-Satan, comme les Hsing Nu.

Les Hsing Nu habitaient une région du Tibet septentrional, au sud de la magnifique chaîne du Kun Lun, zone actuellement désertique et en grande partie inexplorée. Ils n’étaient pas d’origine chinoise ; on pense qu’ils étaient arrivés de Perse ou de Syrie ; les recherches effectuées désigneraient plutôt Ugarit et le dieu Baal avec son casque conique et son corps recouvert d’argent.



Les Palestiniens victimes de Gog

Texe Marrs découvrit "que le matériel génétique (ADN) des Juifs modernes n’est effectivement relié d’aucune façon aux anciens Israélites. Comme l’ont maintenu si longtemps les historiens et les anthropologues, les « Juifs » d’aujourd’hui sont les descendants de la nation caucasienne connue sous le nom de Khazars. Les Juifs sont khazars". Les Khazars sont Gog et Magog.

Il n’y a pas de doute là-dessus, les nouvelles recherches sur l’ADN prouvent que les Arabes et les Palestiniens — oui, les ennemis des « Juifs » d’aujourd’hui — ont autant sinon plus de sang des anciens Israélites dans leur corps que les gens qui, en Israël et en Europe se donnent le nom de « Juifs » et sont identifiés comme « Juifs ».



Se libérer de Gog

"Gog, écrit Daniel Patrick, est la force tapie derrière la création de la Matrice au pouvoir monétaire mondial et dans laquelle nous vivons tous aujourd’hui. Gog œuvre avec une armée de fanatiques s’étant associés aux gouvernements depuis des centaines d’années comme prêteurs sur gages. Au début du dernier siècle, l’armée de Gog a commencé à prendre le contrôle total des pays qu’elle a envahis. Depuis le 11 septembre 2001, elle a entamé le stade final de sa guerre de conquête de la terre entière, prenant le pouvoir de tous les gouvernements et des ressources naturelles afin d’introduire son Nouvel Ordre Mondial."


DNA Science and the Jewish Bloodline by Texe Marrs.



jeudi, avril 12, 2018

Quel régime pour la France ?



TV Libertés L’imposture de la démocratie – vers un nouveau régime politique


Quel régime pour la France ? 


par Eudoxe 


Face à l’imposture de la démocratie, qui n’est en réalité que le masque de l’Oligarchie mondialiste (le 1 % dominant les 99 autres), un nouveau régime sera nécessaire pour la France, mais lequel ? On nous a vanté une VIe République, mais sans remettre les dogmes en question.

Depuis plusieurs années, nous pouvons observer un essoufflement de cette prétendue démocratie qui n’en est pas une, progressivement décrédibilisée par la succession de mensonges et une déconnexion entre l’« élite » et le peuple. Notre régime est contrôlé par des hauts fonctionnaires, des partis politiques et une caste médiatique traîtres et vendus à la finance apatride, qui les paie grassement pour distraire, désinformer, appauvrir et asservir le petit peuple. Cette armée d’« élitistes », qui se réunissent dans ces réseaux de pouvoirs que sont le club Le Siècle, le Bilderberg, la French-American Foundation ou la Trilatérale (liste non exhaustive), a pour objectif de nous conduire vers un « Nouvel ordre mondial », c’est-à-dire vers une gouvernance mondiale qui émergera d’un chaos planétaire planifié.

Pourtant, quand bien même l’oligarchie mondiale soit un jour renversée et actant l’échec du Nouvel Ordre Mondial, quel pourrait être le régime à instaurer pour remplacer l’imposture démocratique actuelle ?

Pour le philosophe Éric Guéguen, auteur de l’ouvrage "Le miroir des peuples : enquête sur l’avenir de la République"
, le problème se pose déjà dans le choix des hommes appelés à gouverner le pays par le plus grand nombre. 

Il est un constat difficile à accepter pour certains : le peuple est, dans sa généralité, facilement influençable et manipulable, baignant dans l’ignorance et la bêtise.

Pourquoi le peuple vit-il dans une telle condition ? Parce qu’on a enlevé à l’Homme ses « défenses immunitaires » en le rendant individualiste et orgueilleux ; le « moi » au détriment du « nous ». Les racines de cette transformation de l’Homme, qui n’existe plus en tant que membre appartenant à une communauté, mais en tant qu’individu dépendant entièrement de l’État, nous les retrouvons dans la philosophie des Lumières, puis dans ce qui en découlera : la Révolution française, les principes de 1789 et la République.

La suppression des corporations, qui constituaient le tissu économique traditionnel de la France, et qui a été imposée par la Terreur républicaine, représente le commencement de cette dérive.

Cette « émancipation » de l’Homme de sa communauté, de sa religion et de ses traditions allait le rendre dépendant d’un État (maçonnique) puissant, décidant de tout à sa place, et permettant ainsi à l’Oligarchie apatride de mieux le dominer, car ne pouvant plus s’appuyer sur une communauté de soutien, puisque émancipé en tant que simple individu devenu, par la suite, un consommateur recroquevillé sur lui-même.

Le philosophe Jean-Jacques Rousseau l’avait parfaitement compris en son temps :

« Jamais dans une monarchie, l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus du Prince ; en revanche, dans une République, il peut aisément le mettre au-dessus des lois.»

— Jean-Jacques Rousseau, philosophe des Lumières, auteur du Contrat social (cité par l’historien Henri Guillemin).

Le nouveau régime que nous cherchons consisterait à remettre en cause les fondements de 1789 et serait bâti sur le retour à une communauté solidaire et traditionnelle. Toujours selon le philosophe Éric Guéguen, ce régime alternatif pourrait se situer entre « le bon côté de la démocratie » et « le bon côté de l’aristocratie », avec un chef pour assurer la pérennité du bien commun.

En somme, faire émerger une élite dans laquelle le peuple se retrouverait. Une élite où les meilleurs de la société prendraient les rênes du pouvoir, et cela peu importe leur statut social. Ce système éviterait l’écueil du népotisme effréné, ainsi que la déconnexion entre le sommet et la base ; une sorte de méritocratie. Reste à élaborer les mécanismes et les structures de ce nouveau régime.

République VS Monarchie – par l’historien Henri Guillemin
Source :



mercredi, avril 11, 2018

Macron et les chrétiens dissidents

YouTude a censuré JC2R et lui a interdit de s'exprimer durant plusieurs semaines.
JC2R a immédiatement créé une nouvelle chaîne et mis en ligne cette vidéo :


Jeremy David, alias JC2R, est bien connu des internautes proches de la dissidence chrétienne opposée aux nouvel ordre mondial. 

Des chrétiens sont persuadés que le but de la mondialisation est le règne de la bête. Par exemple, disent-ils : "le passage de l'Apocalypse 13 : 15 – 17 montre clairement que la bête dominera le monde d’une autorité absolue. Seul un gouvernement mondial unique aurait la capacité de forcer tous les peuples du monde à l’adorer et à prendre sa marque, sans laquelle personne ne pourrait ni acheter ni vendre"(Source)

Ainsi selon ces chrétiens, la rencontre de Macron-Rothschild, comme l'appelle JC2R, avec les évêques de France est une mascarade. En effet, le président mondialiste de la république maçonnique de France, intronisé devant la pyramide du Louvre, rencontre des prélats catholiques qui sont presque tous des franc-maçons. On a constaté, "le succès total et mystérieux de l'infiltration judéo-maçonnique jusqu'au sommet de l'Eglise, tel que l'avait voulue la Haute Vente et prédit ses agents".

"Le journaliste italien Pecorino révéla dans les années 70 une liste de plus de cent hauts prélats affiliés à la maçonnerie avec leur numéro d'affiliation... Il fut peu après assassiné."

"Aux Etats-Unis même, une ancienne haute responsable communiste repentie, Bella Dodd, déclara lors de conférences publiques dans les années cinquante, à la stupeur de ses auditoires, avoir, au début des années trente, incité plus d'un millier de jeunes marxistes à entrer au séminaire, afin de détruire l'Eglise de l'intérieur, et que beaucoup le firent, accédant par la suite aux plus hautes dignités de l'Eglise... La même opération eut également lieu en Europe, et cela donna Vatican II." (Deirdre Manifold)

mardi, avril 10, 2018

La bouddhophobie des chrétiens





Semi-bouddhiste, semi-marxiste 
Les semis du diable 


Un jour, le Dalaï-lama déclara : « Je me considère moi-même comme semi-bouddhiste, semi-marxiste ». Cet aveu ne rassura pas les chrétiens qui avaient lu Richard Wurmbrand, un pasteur luthérien Roumain qui avait passé une bonne partie de sa vie dans les geôles communistes.

Selon Wurmbrand, Karl Marx avait une éducation chrétienne qu'il a rejeté pour rejoindre le satanisme. Karl Marx était en réalité sataniste, pas athée. Bien qu'issu d'une longue lignée de rabbins juifs, Marx fut baptisé dans la religion protestante car son père Hirschel, avocat, s'était converti au Protestantisme.







Karl Marx, vrai ou faux prophète


Extraits du livre de Deirdre Manifold, "Karl Marx, vrai ou faux prophète" :


La Ligue des Justes 


Karl Marx participait à des réunions de groupes révolutionnaires, dont le plus notable fut la Ligue des Justes, société très secrète, à la demande de laquelle il écrira plus tard le « Manifeste Communiste ». [...]

La Ligue des Justes (majoritairement formée d'askhénases anglais et américains, était patronnée par le financier Lionel Rothschild. […]



La finance internationale contrôle la politique 


Depuis la fondation de la Banque d'Angleterre, en 1694, qui suivit immédiatement la bataille de la Boyne, les Sociétés Secrètes s'étaient attachées à faire des gouvernements leurs pions, leur faisant accepter leurs prêts à haut taux d'intérêt. La centralisation du Crédit signifiait l'acquisition d'un pouvoir absolu par ces Sociétés Secrètes. […]

Aux USA, dans les années trente, le gouvernement US abandonna tous ses privilèges monétaires à une banque privée, la Fed. Reserve Bank.



Le Talmud et Marx 


Toujours d'après le livre de Deirdre Manifold, "Karl Marx, vrai ou faux prophète" : « Le Talmud est la source de la doctrine illuministe et du Communisme que Marx mit en programme. »

Le Nouvel Ordre Mondial 

Si l’automation a joué son rôle libérateur, la société d'abondance a été une tactique politique par manœuvre keynesienne de la part des trésoriers-payeurs amis de Marx : ce fut l'appât jeté pour faire passer le programme de destruction morale et sociale et opérer les avancées majeures du Nouvel Ordre mondial, en endormant les foules.


Le programme

Au cours des quarante années d'abondance de la fin du XXe siècle, le programme judéo-illuministe s'est instauré partout, à l'Ouest comme à l'Est, sous le nom de Socialisme, de Travaillisme, de Social-démocratie : suppression de tous les régimes nationaux qui n'étaient pas liés aux Illuminati, et instauration de gouvernements maçonniques à leur service ; lourde imposition des revenus du travail, lourds prélèvements étatiques et destruction des patrimoines par la législation (sauf niches ou paradis fiscaux réservés aux juifs et Illuminati) ; abolition du patriotisme que les lois et l'école assimilent au racisme (ainsi le Canton de Gruyère en Suisse interdit désormais le port du drapeau suisse !) ; destruction des mœurs et des familles par l'immoralisme matraqué par les médias, enseigné dès la scolarité par les programmes officiels et facilité par les lois ; mise en tutelle des enfants dès deux à trois ans hors de la famille dans les écoles maternelles au prétexte de socialisation ; abolition de fait de la religion par l'école publique, et depuis les années 50 par le clergé lui-même... Cette démocratie se fait passer pour liberté, en ayant mis le monde en esclavage.

Et l'évolution n'est pas terminée. Le Socialisme et l'immoralisme acceptés, reviendra le Communisme d'esclavage et de misère : le libéralisme en est dialectiquement l'annonce. Il précarise le travail, réduit les salaires, détruit les services publics, exigeant leur transformation en entreprises à haut profit,ce qui va en priver de plus de en plus de gens, y compris des soins de santé.

Des mots, des maux

Le Marxisme, le Communisme, n'appartient pas à un passé révolu : il est plus actuel que jamais, en plein développement sous les noms de Nouvel Ordre Mondial, d'Ecologie socialiste, de Nouvel Age, d'Ethique Globale ou Nouveau Paradigme, de Globalisation, de Village Mondial. Il est mis en place par les plus hautes autorités mondiales, maîtres des Gouvernements Occidentaux, de l'Economie et de la Finance, et de l'ONU, qui désormais taxent de Nazis ceux qui les dénoncent. C'est le surgissement dans l'Histoire de l'Empire de Satan, inversion du Christianisme et de tout l'Ordre naturel, et ce, par les moyens de Satan : mensonge, haine, et meurtre, orgueil paroxystique, aidés des moyens scientifiques modernes. 



Dictature mondiale


L'objectif des Dirigeants du Pouvoir mondial est de s'ériger, eux, comme l'Absolu, pouvant TOUT sans exception, se posant comme Dieu, et faisant des hommes, y compris la procréation humaine, leur chose, les hommes qui pour eux ne sont que des bêtes ! Un projet qui jamais dans l'Histoire n'avait encore vu le jour, pas même chez Nabuchodonosor.

Pour y arriver, le mensonge est leur règle et le moyen indispensable, pour tromper à la fois la classe thèse (le peuple et ses élites) désignée par eux comme "la Bourgeoisie" afin de la stigmatiser, la décomposer moralement et l'endormir, et la classe antithèse, le peuple réduit à l'état de masse manipulable par la dynamique de groupes, afin de l'appâter par des promesses fallacieuses, pour le faire se dresser ensuite déçu contre "l'Injustice bourgeoise" et détruire l'ordre qui le protégeait.

Pour ce directoire du Nouvel Ordre Mondial, la fin justifie TOUS les moyens, et leur union spirituelle à Satan leur confère une intelligence supra-humaine. [...]

Un culte mondial



Vichinski avait dit : "Nous ne (re)ferons pas le monde grâce à l'arme atomique, mais avec quelque chose que l'Occident ne comprend pas, avec nos idées" ( citation en exergue de "L'empire écologique" de Pascal Bernardin). [...]


On ne peut qu'alerter nos contemporains sur cet "idéalisme" suicidaire et fou, que dénonca le philosophe Marcel DE CORTE dans presque toutes ses œuvres (notamment dans sa Philosophie des mœurs contemporaines), volontarisme dont nous avons connu et subissons chaque jour davantage les funestes conséquences, et les inciter à lutter de toutes leur énergie contre cette entreprise de Lucifériens qui veulent soumettre scientifiquement et par la force le monde entier à leur domination et à leur CULTE de L'HOMME DIVINISE, y consacrant toute leur puissance pour amener l'humanité à s’adorer comme Dieu dans une Religion Mondiale Unitaire dite "Noachique", sans plus de règle morale que celle de la "liberté" des Caïnites, servant aveuglément la Nomenklatura de ses maîtres en esclaves ou comme des bêtes et sacrifiables pour sa seule pérennité.





lundi, avril 09, 2018

Le triomphe des ténèbres


Theodore Illion, a german academic, published a book in 1937, "Darkness Over Tibet" :
« Gradually our conversation drifted to more vital matters. For half an hour we conversed about Milaraspa, called short Mila by the Tibetans, and Padmasambhava, who wrote legends which are very different from the mild and cheerful legends of Mila and contain descriptions of horrible scenes of cannibalism and unimaginable depravities. »




L'occultisme nazi et ses liens avec le Tibet sont bien connus des lecteurs du blog. Ce thème a également inspiré Jacques Ravenne (écrivain franc-maçon) et Éric Giacometti (scénariste de la bande dessinée Largo Winch) pour écrire leur thriller ésotérique de la Seconde Guerre mondiale, "Le triomphe des ténèbres".


"Tibet, janvier 1939. Une expédition SS met la main sur une Swastika (croix gammée) ciselée dans un métal inconnu. c'est l'un des Quatre Eléments (le feu, l'air, l'eau et la terre) qui, selon une antique prophétie, permettra à celui qui les détiendra de devenir le maître du monde. Espagne, janvier 1939, un commando républicain conduit par un aventurier français, Tristan, cambriole le monastère de Montserrat et découvre un tableau lié à la cachette d'un des éléments.

Octobre 1940. L'Allemagne nazie règne en maître sur l'Europe. c'est le triomphe des ténèbres. Une course s'engage alors pour récupérer les trois autres éléments. Le colonel SS Weistort, chef de l'Ahnenerbe (institut spécialisé dans l'ésotérisme et l'archéologie), délivre Tristan des geôles franquistes pour l'obliger à collaborer avec lui. Leur quête va les mener à Montségur, dernier bastion de l'hérésie cathare. En Angleterre, le commander Malorley, agent du SOE (nouveau service secrets de Churchill), monte une opération pour mettre la main sur le deuxième élément. S'engage alors la lutte entre l'"Étoile" et la "Swastika", qui déterminera l'issue de la Seconde guerre mondiale.

Inspirée de faits réels, cette série est une plongée dans les arcanes secrets de la guerre qui révèle la dimension occulte et méconnue du nazisme."

Giacometti et Ravenne ont certainement lu le livre de Theodore Hillion "Darkness Over Tibet" (Ténèbres sur le Tibet) :

Bouddhisme radical mais modéré



Interlude drolatique

dimanche, avril 08, 2018

Ténèbres sur le Tibet



Sigismond de La Chesnaie 


L'auteur américain Peter Moon remarque "la méconnaissance de l’Occident pour le Tibet, surtout d’un point de vue géographique et historique", mais nous pourrions également de notre côté ajouter celle de la religion et de la vie spirituelle. En effet, la simple prononciation du Tibet évoque aussitôt en Occident un monde spirituel très en avance sur le nôtre où une bonne partie de la population vit selon des principes moraux et comportementaux relativement élevés. Il en est de même de cette religion, le bouddhisme, qui est rarement connotée négativement dans l’hémisphère occidental, ou de ce haut personnage religieux qu’est le Dalaï-lama.




Ténèbres sur le Tibet 


Dans les années 1930, le voyageur allemand Théodore Illion se serait rendu au Tibet, après des séances préparatoires d’endurcissement sur les terres désolées de l’Islande et la maîtrise de la langue tibétaine, après quoi il aurait écrit deux ouvrages, « Rätselhaftes Tibet » (« Dans le Tibet secret »), paru en 1936 (sera publié en anglais en 1937 sous le titre « In Secret Tibet ») et « Darkness Over Tibet » (« Ténèbres sur le Tibet »), publié directement en anglais en 1938 (ouvrages qui ne firent pas l’objet d’une traduction en français). Vu que cet auteur relate son séjour (dans le 2e livre) dans une cité souterraine où étaient pratiqués le cannibalisme et la sorcellerie, un monde d’où il avait pu s’échapper de justesse, de nombreux critiques n’hésitèrent pas à le qualifier d’affabulateur dont les aventures ne seraient finalement qu’un pur produit de son imagination et qu’il ne s’était probablement jamais rendu au Tibet. Précisons toutefois que ces deux ouvrages, qui pourraient gagner une grande popularité chez les amateurs de science-fiction, ne jouirent d’aucun battage médiatique et restent relativement rares, ce qui est assez singulier pour un « roman » de ce genre. Curieusement encore, c’est justement après la parution des ouvrages de l’aventurier allemand qu’Hitler aurait décidé d’envoyer au Tibet sa division des recherches occultes, peut-être, comme certains le suggèrent, afin d’y établir quelque contact avec les moines « surnaturels » tels que décrits dans les livres. Il appert de surcroît que l’itinéraire suivi par l’Ahnenerbe jusqu’au Tibet s’avéra très similaire à celui pris par Aleister Crowley, itinéraire qui, selon certaines sources, avait encore été imité en 1942 par le prédécesseur de la CIA, l’OSS, dans une mission hautement secrète. Il semblerait donc que les nazis étaient loin d’être les seuls intéressés par ces histoires fantasmagoriques liées au « Toit du monde ».

S’il était avéré que Théodore Illion inventât toute cette histoire, il n’en demeure pas moins que certains éléments connexes au cannibalisme se retrouvent rapportés en de très nombreux points du globe et ce, dans des lieux censés être civilisés, c’est-a-dire bien à l’écart des peuplades primitives de forêts impénétrables. Ces pratiques d’actes cannibales semblent curieusement être omniprésents dans les comptes rendus de rituels sataniques perpétrés partout sur la planète, actes de surcroît qui commencent a se répandre parmi certaines populations comme chez les Chinois.



Les révélations de Juri Lina 


Si Illion inventa cette histoire, où puisa-t-il son inspiration ? En tout cas, à titre d’exemple, voici un passage du livre [...] de l’Estonien Juri Lina où, tout comme Illion, révèle la présence de chair humaine dans les repas pris au réfectoire d’un sanctuaire souterrain, la consommation de chair humaine est mise en lumière en Chine rouge. L’auteur estonien cite à cet effet un extrait du journal suédois « Dagens Nyheter » du 17 août 1992 :

« En même temps, une épidémie de cannibalisme déferla sur Wuxuan. Ses formes les plus extrêmes étaient des "banquets cannibales" : viande, foie, cœur, reins, cuisses, jambes… bouillis, frits, grillés. Au point "culminant" de cette épidémie, de la chair humaine était même préparée dans les salles à manger du comité révolutionnaire pour la ville de Wuxuan. »

Ajoutons que ces pratiques cannibales perdurent encore aujourd’hui en Chine que ce soit à l’égard des fœtus par exemple résultant des nombreux avortements qui sévissaient énormément lors de la politique de l’enfant unique par famille ou bien de corps d’adultes. 



L'ogre Staline, initié lamaïste 



A propos de Staline, Juri Lina, qui, rappelons-le, eut accès à d’importantes archives soviétiques, releva encore un aspect relativement méconnu de sa biographie, celui où il aurait été initié justement dans des lamaseries tibétaines. Quand on jette de nouveau un regard en arrière sur la carrière de l’« homme d’acier », l’on peut se demander a juste raison la véritable nature de l’initiation du bourreau soviétique. Étrange retour encore une fois au pays de l’ « abominable homme des neiges ». 


Les dangers du véritable Tibet sont méconnus


Bien entendu, il reste impossible de découvrir exactement ce que les nazis, au même titre qu’Aleister Crowley, l’OSS ou Staline, allèrent chercher ou trouvèrent en Asie centrale. Il n’en reste pas moins certain en revanche que des moines tibétains vêtus de l’uniforme SS furent bel et bien retrouvés morts en Allemagne à la fin des hostilités même si l’identification d’aucun d’entre eux ne s’avérât possible, ne permettant donc pas de déterminer qui ils étaient, comment ils étaient arrivés là ou ce qu’ils faisaient là. Certains penchent pour Shambhala comme une quête nazie en vue d’exploiter la puissance de ce royaume légendaire. Le fait que l’OSS et le mage satanique s’y aventurassent de même arguerait ainsi en faveur de la présence en des contrées aussi isolées de quelque chose de très important en lien avec le pouvoir.



Le jour de l’anniversaire des 49 ans du Maître du Reich, le 20 avril 1938, une expédition de 5 hommes sera montée pour le grand voyage au Tibet. Ces cinq participants étaient tous membres de la SS ou le devinrent (condition exigée par Himmler) et se trouvaient sous la direction du biologiste et ornithologue Ernst Schafer, les quatre autres étant : Bruno Beger (anthropologue-géographe), Karl Wienert (géophysicien-météorologue), Edmund Geer (chef de caravane et logistique-directeur technique de l’expédition) et Ernst Krause (entomologiste-cameraman-photographe). [...]

(...) l’Ahnenerbe sera officiellement intégré à la SS de Himmler en 1940, ce dernier se faisant nommer président de l’institut en 1942 en y incluant certains de ses protégés, à l’instar de l’intellectuel ésotériste autrichien Karl Maria Wiligut [1866-1946], le « Raspoutine d’Himmler ». Wiligut se fera aussi connaître sous les noms de Karl Maria Weisthor et Jarl Widar. (...) c’est un Juif qui créa la Société de l’Héritage Ancestral du peuple allemand et qui se chargera par la suite de superviser les diverses recherches devant conduire à la confirmation de la suprématie aryenne ! (Sigismond de La Chesnaie)




Dans les ruines de Berlin, les cadavres de soldats tibétains et du lama aux gants verts 

Lorsque les Soviets débarquèrent à Berlin à la fin de la guerre, ceux-ci découvrirent, à leur étonnement, des cadavres de Tibétains. En voici un compte rendu par l’auteur Peter Moon :

"Cinq jours avant la prétendue mort d’Hitler dans le bunker, les Russes se frayaient un chemin à travers Berlin. Dans la cave d’un bâtiment, ils trouvèrent 6 Tibétains gisant morts dans un cercle rituel. Au centre se trouvait un moine tibétain portant des gants verts.

Sept jours plus tard, plus d’un millier de corps asiatiques furent trouvés morts. C’étaient des Tibétains qui avaient combattu aux côtés des Allemands et qui portaient les mêmes uniformes. Il n’y avait aucun papier ni d’autre moyen d’identifier les corps. [...]

Le moine aux gants verts était résolument une influence mystérieuse. Pas grand-chose n’a été écrit sur lui mais il a été dit qu’il était en contact constant avec Hitler. Si cela devait être le cas, je pense que cela devait être davantage sur un plan psychique que quotidiennement à l’heure du thé. Ce moine était appelé « Gardien de la Clé » vu qu’il connaissait, dit-on, l’entrée d’Agartha (aussi identifiée sous les noms d’Aryana, Akkadia ou Arcadia), un royaume au centre de la terre d’où provenait la race aryenne. Nous savons en revanche que ce moine exista bel et bien parce qu’il était surnommé « l’homme aux gants verts » dans la presse et avait correctement prédit le nombre d’assistants d’Hitler élus au Reichstag. On croit généralement que toutes ces morts, dont celle de « l’homme aux gants verts », furent le résultat d’un suicide rituel."

Le bouddhisme inquiète de plus en plus



La comparaison iconographique du bouddhisme et du christianisme soulèvent des interrogations plus ou moins fondées. 


Quoi qu'il en soit, les rituels lamaïstes ainsi que la méditation ne sont pas dénués de risques. Risques totalement occultés de nos jours mais connus des pratiquants d'autrefois. Par exemple, dans la Chine du 5ème siècle, pour remédier aux troubles physiques et psychologiques provoqués par la méditation (dhyana), les moines bouddhistes avaient recours aux conseils thérapeutiques d’un ouvrage : Les Fondements secrets du traitement des troubles dhyana (Tche tch’an-ping pi-yao fa).


"Un grand nombre d’Occidentaux connaissent une confusion, voire des troubles mentaux et physiologiques en pratiquant de supposées techniques orientales de méditation. Ce n’est pas qu’ils soient de mauvais adeptes mais simplement qu’ils ne respectent pas les mises en garde habituelles des sciences méditatives traditionnelles. La psychopathologie des erreurs de pratique est connue et abondamment documentée dans le bouddhisme. Certains cultes plongent leurs adeptes dans une méditation intensive sans leur donner une connaissance de base, une compréhension et une expérience suffisantes. Parfois, cet oubli est délibéré et sert des visées manipulatrices. L’esprit est particulièrement vulnérable au conditionnement lorsqu’il manque de bases solides." (Thomas Cleary)

vendredi, avril 06, 2018

Exorcisme bouddhiste mortel


Des moines bouddhistes organisent un exorcisme, une jeune fille, en pleine forme auparavant, en meurt.

La police du district de Chaiyaphum, Kaeng Khro (Thaïlande) recherche trois moines impliqués dans un rituel exigeant que la jeune fille de 18 ans boive deux grands bols "d'eau bénite", après quoi elle est morte.

La cause de la mort de la fille reste un mystère car les moines ont fui et ôté toutes traces de ce liquide appelé "eau bénite". Le corps a déjà été incinéré.

Pendant le rituel de dimanche, la fille a vomi et est entrée en état de choc, après quoi elle a été emmenée à l'hôpital Krang Khro. Puis, alors qu'elle se trouvait dans un état critique, elle a été transportée à l'hôpital de Chaiyaphum, mieux équipé, où elle a été déclarée morte après une crise violente qui a privé son cerveau d'oxygène.

L'affaire a attiré l'attention du public lorsque les parents de la jeune fille, Khan Cherdjorhor, 48 ans, et Doungjit Khanakhao, 38 ans, ont déposé une plainte à la police mardi.

Khan a dit qu'ils regrettaient avoir cru l'un des moines, un visiteur du village résidant temporairement dans un temple abandonné depuis le 18 mars, qui lui a dit que sa fille était maudite et devait subir un rituel.

Le père de la fille a ajouté qu'avant le rituel, sa fille avait l'air bien et ne présentait aucun symptôme de maladie. On ne sait pas pourquoi il a laissé les moines pratiquer le rituel.

Le Dr Passakorn Chaiyaset, responsable de la santé publique de Chaiyaphum, a déclaré qu'il était difficile de déterminer la cause de la mort, car les moines avaient fui le temple et qu'il n'y avait plus aucun échantillon du liquide qui aurait pu être testé pour connaître sa toxicité.

Le corps de la jeune fille a été incinéré sans autopsie, a-t-il dit, ajoutant que l'affaire dépendait des efforts de la police pour localiser et interroger les moines.

Passakorn a également conseiller à la population de ne pas participer à d'étranges rituels, notamment en buvant ou en mangeant quelque chose d'origine inconnue.

Khan a indiqué que la famille avait tenu la cérémonie funéraire mercredi conformément à une tradition locale de crémation après une prière maximale de trois jours.

Il a ajouté que le moine qui avait pratiqué le rituel avait insisté sur le fait que l'eau bénite ne contenait rien qui aurait pu nuire à la jeune fille, ajoutant que cela n'aurait pas pu être un facteur dans sa mort.

Khan, le papa, a dit que les moines lui avaient promis qu'ils assumeraient la responsabilité de la mort de la jeune fille, mais qu'ils avaient ensuite fui le temple, l'amenant à porter plainte à la police.

L'un des moines est décrit comme âgé, tandis que les deux autres sont d'âge moyen.



La grande parodie ou la spiritualité à rebours



La constitution de la « contre-tradition » et son triomphe apparent et momentané seront proprement le règne de ce que nous avons appelé la « spiritualité à rebours », qui, naturellement, n’est qu’une parodie de la spiritualité, qu’elle imite pour ainsi dire en sens inverse, de sorte qu’elle paraît en être le contraire même ; nous disons seulement qu’elle le paraît, et non pas qu’elle l’est réellement, car, quelles que puissent être ses prétentions, il n’y a ici ni symétrie ni équivalence possible. Il importe d’insister sur ce point, car beaucoup, se laissant tromper par les apparences, s’imaginent qu’il y a dans le monde comme deux principes opposés se disputant la suprématie, conception erronée qui est, au fond, la même chose que celle qui, en langage théologique, met Satan au même niveau que Dieu, et que, à tort ou à raison, on attribue communément aux Manichéens ; il y a certes actuellement bien des gens qui sont, en ce sens, « manichéens » sans s’en douter, et c’est là encore l’effet d’une « suggestion » des plus pernicieuses. Cette conception, en effet, revient à affirmer une dualité principielle radicalement irréductible, ou, en d’autres termes, à nier l’Unité suprême qui est au delà de toutes les oppositions et de tous les antagonismes ; qu’une telle négation soit le fait des adhérents de la « contre-initiation », il n’y a pas lieu de s’en étonner, et elle peut même être sincère de leur part, puisque le domaine métaphysique leur est complètement fermé ; qu’il soit nécessaire pour eux de répandre et d’imposer cette conception, c’est encore plus évident, car c’est seulement par là qu’ils peuvent réussir à se faire prendre pour ce qu’ils ne sont pas et ne peuvent pas être réellement, c’est-à-dire pour les représentants de quelque chose qui pourrait être mis en parallèle avec la spiritualité et même l’emporter finalement sur elle.

Cette « spiritualité à rebours » n’est donc, à vrai dire, qu’une fausse spiritualité, fausse même au degré le plus extrême qui se puisse concevoir ; mais on peut aussi parler de fausse spiritualité dans tous les cas où, par exemple, le psychique est pris pour le spirituel, sans aller forcément jusqu’à cette subversion totale ; c’est pourquoi, pour désigner celle-ci, l’expression de « spiritualité à rebours » est en définitive celle qui convient le mieux, à la condition d’expliquer exactement comment il convient de l’entendre. C’est là, en réalité, le « renouveau spirituel » dont certains, parfois fort inconscients, annoncent avec insistance le prochain avènement, ou encore l’« ère nouvelle » dans laquelle on s’efforce par tous les moyens de faire entrer l’humanité actuelle, et que l’état d’« attente » générale créé par la diffusion des prédictions dont nous avons parlé peut lui-même contribuer à hâter effectivement. L’attrait du « phénomène », que nous avons déjà envisagé comme un des facteurs déterminants de la confusion du psychique et du spirituel, peut également jouer à cet égard un rôle fort important, car c’est par là que la plupart des hommes seront pris et trompés au temps de la « contre-tradition », puisqu’il est dit que les « faux prophètes » qui s’élèveront alors « feront de grands prodiges et des choses étonnantes, jusqu’à séduire, s’il était possible, les élus eux-mêmes ».





jeudi, avril 05, 2018

Les médias



Médias aux ordres 

(...) à l’instar de quelques rares journalistes qui tentent des remarques timides, on pourrait avancer que ce sont les médias qui poussent l’image du Dalaï-lama et transforment le Bouddhisme tibétain en un supermarché de la spiritualité. Voilà une thèse à creuser, sans perdre de vue que les journalistes sont, eux-mêmes, des fonctionnaires employés par les multinationales. 


Que signifie encore la « liberté de la presse », lorsque celle-ci est subsidiée à condition qu’elle diffuse les idées qui alimentent l’économie de marché ? Un journaliste « intègre » se trouve facilement « éloigné » de la scène médiatique. Les informations relayées par nos médias à propos du Tibet et reprises par les organisations aussi prestigieuses que « Free Tibet » ou « Amnesty International », proviennent d’une seule et même source : « Asie Libre ». Or, le directeur « d’Asie Libre » n’est autre que le frère aîné du 14ème, qui, de longue date, collabore avec la CIA. Le virus dalaïste emprunte certainement les voies médiatiques pour se répandre, mais on ne peut pas dire qu’il ne soit pas inoculé par le Dalaï-lama et son entourage. Car Sa Sainteté ne peut décevoir ses « employeurs » du marché libre qui, à l’époque de son exile, l’ont acheté à bon prix. N’oublions pas que, dès 1951, le ministère des Affaires Etrangères des USA a décrit clairement sa stratégie pour le Tibet : attirer le Dalaï-lama en Occident, le rendre célèbre et, par ce biais, créer un mouvement international bouddhiste dont le but n’est pas l’expansion du Bouddhisme, mais la capitulation du communisme en Chine. Depuis une cinquantaine d’années, les Etats-Unis adoptent cette stratégie et diffusent une propagande dalaïste à grande échelle, tout en soutenant financièrement la « cause tibétaine ». 

 
Extrait de « Histoire du Bouddhisme tibétain » d'Elisabeth Martens.

Médias et capitalisme 


Les gens ne croient plus à l’information, ils sont devenus tellement susceptibles qu’ils ne croient même plus à la vérité. Les médias et le capitalisme sont un géant aux pieds d’argile en train de s’écrouler. Si les grosses boîtes survivent c’est par la violence, violence qui se retournera contre elles et les détruira […].

Les gens, on les harcèle, on les envahit, on les force, on les viole ; les boites à lettres sont remplies de publicité, de plus en plus de gens frappent à la porte ou sonnent, on est arrêté dans la rue, les boites à messages électroniques sont découvertes et violées, on change d’adresse électronique plusieurs fois et on ne se rappelle plus son code, partout il y a des codes secrets, il y a plus de codes secrets que de codes non secrets…

Pour forcer les gens à lire un journal, on le remplit de sexe, d’horoscopes favorables, de cadeaux, d’histoires extraordinaires inventées, ou on leur vend ce journal gratuitement, les informateurs qui louent des pages paieront…

Ceux qui regardent internet doivent détourner les yeux, ou aller faire un petit tour dans la pièce voisine, s’ils ne veulent pas voir la publicité apparaissant devant leurs yeux et qu’ils n’ont pas demandée.

Les médias et le capitalisme sont comme cette vieille pute dont personne ne veut plus, jadis si belle, si fraîche, si sexy… Il faut trouver autre chose.

Les médias aboient comme des chiens, la caravane des hommes forts de caractère passe.

Les médias ont fini leur temps, personne ne leur fait plus confiance. Fini le temps où l’Occident, avec ses bombes atomiques, braquait l’humanité, lui mettait sous le nez ses journaux, devant ses yeux ses images, lui hurlait aux oreilles ses discours, et lui racontait des histoires montées de toutes pièces. C’est à lui-même qu’il se les raconte, ces histoires, à présent que ses bombes atomiques ne font plus peur, ni à ceux qui en ont fabriqué les leurs propres, ni à ceux qui n’en ont pas encore et qui comptent bien en avoir.

En France, un homme, un seul, a mis à genoux les médias ; Dieudonné, en rigolant, et eux en rageant. Travaillant sans producteur, sans publicité, sans affiches, libérant l’art et la pensée de leurs esclavagistes et de leurs bourreaux, il attire les gens qui ont envie de rire un peu, tellement on les a fait pleurer, ces gens le cherchent eux-mêmes, déçus et dégoûtés par tous les intermédiaires qui les trompaient, qui leur présentaient des artistes et des écrivains prostitués maquillés et déguisés en personnes honorables, qui truquaient les sondages, les statistiques et les élections, qui prostituaient la démocratie et la liberté d’expression…

Extrait de « L'Antidico de Bennoui Hassen ». (PDF gratuit)




mercredi, avril 04, 2018

Le Dzogchen de Namkhaï Norbu Rinpoché

Namkhaï Norbu Rinpoché a réalisé une adaptation du Dzogchen à la mentalité des Occidentaux et à leur mythe du surhomme. Le Dzogchen développe une idéologie du super yogi pourvu de tous les pouvoirs magiques et d'un corps de gloire immortel (ja'-lus).




Le Dzogchen de Namkhaï Norbu Rinpoché 


par Marion Dapsance 


Les Nyingmapa déclarent « conserver les enseignements les plus anciens introduits par le maître indien Padmasambhava, que les Tibétains appellent « Gourou Rinpoché ». Leurs enseignements les plus élevés sont le dzogchen (Grande Perfection), présenté comme une voie d’accession « directe » à l’éveil, fondée moins sur le savoir philosophique que sur la pratique rituelle comprenant des techniques d’ordre physiologiques, liées à une conception ésotérique du corps et de l’esprit humains ». 


C’est en 1976 que Namkhaï Norbu Rinpoché commença à transmettre un savoir et une pratique désignés sous le nom de Dzogchen, d’abord à quelques-uns de ses étudiants de l’Université, puis à un plus large public d’Italiens, enfin, à des Européens, Américains, Australiens et Russes. Il lui a consacré de nombreux ouvrages en anglais170 et a fondé, en Toscane au milieu des années 1970, un centre international, la Communauté Dzogchen. […]



Une adaptation du Dzogchen 



Les enseignements et pratiques proposés par Namkhaï Norbu sont présentés comme une « adaptation du Dzogchen au monde moderne ». Ils ont trait à « l’esprit, la voix ou l’énergie, et le corps », suivant la conception tibétaine des composantes de la personne. Les exercices visant à transformer l’esprit sont, selon Namkhaï Norbu, les plus difficiles d’accès, l’esprit étant tout à la fois une entité insaisissable et la cause ultime de la souffrance et de la libération. Ses enseignements se déroulent de la manière suivante.


Tout d’abord, il convient d’écouter de longues explications détaillées de notions bouddhiques, des plus simples (les Quatre Vérités) aux plus complexes (la nature de l’esprit dans le Dzogchen). Ces notions sont replacées dans leur contexte historique et dans un panorama relativement complexe des autres traditions bouddhiques existantes. Cependant, cet exposé érudit n’empêche pas Namkhaï Norbu de se présenter davantage comme un religieux que comme un historien, plaçant sa propre tradition en position de supériorité par rapport aux autres, ou, au moins, la considérant comme la plus adaptée au « monde moderne ». 



Contemplation et chant du Vajra 


Selon Namkhaï Norbu, le pratiquant doit avant tout s’observer et réfléchir sur ce qui le constitue en tant qu’être mortel, à partir d’exercices tels que la contemplation de la syllabe tibétaine « A », souvent accompagnée de son émission sonore. L’exercice se pratique notamment au moment de s’endormir. Des rituels de « présentations directes de la nature de l’esprit », caractéristiques de la tradition Dzogchen, sont officiellement programmés trois ou quatre fois par an à dates fixes, suivant le calendrier lunaire tibétain. Depuis peu, ils peuvent aussi se faire via internet (en video-streaming, l’essentiel étant de voir le maître en direct). Ils associent comportent une exégèse et des rites, accompagnés de la récitation de formules. Parmi les exercices centrés sur la voix ou « l’énergie » (laquelle fait l’objet d’explications succinctes concernant le système physiologique tibétain traditionnel, avec mention des canaux, chakras et souffles subtils), figure surtout la pratique du « Chant du Vajra », récitation chantée d’un poème philosophique composé par Namkhaï Norbu Rinpoché. Ce chant est destiné à faciliter la concentration et la contemplation de la « nature de l’esprit » et, dit simplement, à parvenir à un état de quiétude intérieure. 



Le Yantra Yoga


Entre les niveaux « énergétique » et physique, se situe la pratique du « Yantra Yoga », une série de 108 postures physiques accompagnées d’exercices respiratoires et de gestes dits « yogiques », dont le maître affirme qu’ils sont destinés à « ouvrir des canaux subtils » et à obtenir « la Vue ». Namkhaï Norbu Rinpoché explique ainsi que le fait de porter sa main à l’oreille comme on le voit sur les représentations de Milarépa ne signifie pas que ce dernier se met à l’écoute des êtres souffrants, comme il est souvent dit, mais qu’il pratique un exercice yogique précis, destiné à ouvrir un canal d’énergie.



La danse du Vajra 


Enfin, les exercices centrés sur le corps comprennent la « Danse Vajra », une autre innovation importante de Namkhai Norbu. Sur un large tapis rond en matière synthétique représentant un mandala coloré, un groupe d’une dizaine de personnes effectuent de lentes figures chorégraphiques. Leur sens varie en fonction de l’endroit où leurs pieds sont posés et de leur emplacement les uns par rapport aux autres. Cette tradition modernisée n’exige pas, au préalable, la maîtrise des pratiques dévotionnelles tantriques, comme c’est le cas au Tibet : démocratisé, le Dzogchen est accessible à tous. 




La modernisation du Dzogchen 


La modernisation du Dzogchen revendiquée par Namkhaï Norbu consiste donc avant tout en une simplification et en un élargissement des conditions d’accès. Au Tibet, les techniques physiologiques, liées à une conception ésotérique du corps humain, ne sont accessibles qu’à une extrême minorité d’ascètes. En dépit de cette innovation, l’exégèse doctrinale reste reliée aux textes Dzogchen d’une part, aux notions bouddhiques du Mahayana d’autre part. Au sortir d’un weekend de « retraite Dzogchen » avec Namkhaï Norbu, le participant détient des informations techniques relativement claires sur cette tradition spirituelle – ou du moins sur sa place dans le paysage religieux tibétain. Il repart avec des exercices à effectuer chez lui, tels la contemplation du « A » et le « Yoga du sommeil ». Il aura souvent reçu une « introduction » publique à la « nature de l’esprit » et été invité à venir apprendre le « Yantra Yoga » et la « Danse Vajra » dans un centre local. En somme, il aura pu faire l’expérience d’une altérité culturelle, fondée sur des savoir-faire et un solide corpus doctrinal.

mardi, avril 03, 2018

Le Talmud

Tous les disciples des lamas tibétains ne lisent pas les textes sacrés du Vajrayana, les « tantras supérieurs », et ignorent les aspects ténébreux du véritable lamaïsme. De même, beaucoup de juifs et de non juifs parlent du Talmud sans l'avoir lu. Or l'idéologie talmudique inspire le mondialisme messianique.










L'idéologie talmudique 

« Pour être juste, écrit Gérard Menuhin il est presque impossible pour la personne lambda, peu importe son intelligence, d'accepter ou d'imaginer la notion de conspiration qui se perpétue depuis plus de cinq cents ans, ou, selon certains, depuis beaucoup plus longtemps. Ceux qui l'ont découvert sont, le plus souvent, rejetés comme théoriciens du complot.

Même le mot « conspiration » évoque des sentiments d'embarras et de honte chez les personnes qui ont été conditionnées à le rejeter. Le fait est qu'il y a une conspiration ; ce n'est pas une théorie. Une des raisons pour lesquelles c'est difficile à avaler est que cette durée implique intrinsèquement que l'exécution du plan n'est pas interrompue par la mort de ses instigateurs ou par celle de leurs descendants. Dans un monde souvent dirigé par l'Amérique, avec sa population désespérément ignorante et sans instruction et ses rapports axés sur l'entreprise avec une capacité d'attention de trois mois, une telle éternité est inconcevable.

Dans des circonstances normales, une telle incrédulité pourrait être justifiée. Pourtant, c'est le gouvernement américain lui-même, totalement subordonné et infiltré par le lobby juif et soutenu par d'innombrables « think tanks » et des organisations non gouvernementales innocentes mais subversives (par exemple, NED, National Endowment for Democracy) qui, par le biais de l'armée et de la commercialisation, impose les changements qui permettront finalement au plan juif de réussir. En outre, il faut se rappeler que ce mouvement et son credo sont basés sur des tomes tout aussi ostensiblement idolâtrés par les juifs que l'est la Bible par l'Église chrétienne. Ce n'est pas parce que les membres d'une famille meurent que la génération suivante quittera l'église de ses ancêtres ; quand un pape meurt, il n'y a pas de discontinuité à Rome.

Il en va de même avec la Torah et le Talmud. Ces instructions ont supposément constitué le principe déterminant des ambitions juives depuis qu'elles ont été concoctées (oui « concoctées » : la Bible a également été concoctée, comme dans « fait d'ingrédients mélangés »).

Cependant, le symbole de Mammon est plus joyeux que celui du Christ, dont l'icône est un homme souffrant sur une croix. Il est également plus efficace : pendant que la croix est retirée des salles de classe et des cours de justice, l'étoile de David est presque inviolable. La continuité juive est assurée à sa base par le battement rabbinique sans remords de l'idéologie talmudique du peuple (auto)-élu, qui, mirabile dictu, accorde la propriété universelle aux juifs et à son apogée environ trois cents familles - « Le sens de l'histoire du siècle dernier est qu'aujourd'hui 300 financiers juifs, tous maîtres des loges, dominent le monde. » (Jean Izoulet, membre éminent de l'Alliance juive israélienne universelle) – se sont tellement enrichies au cours des deux derniers siècles qu'elles pourraient réellement s'approprier tout ce qui pourrait être utile ou nécessaire à la réalisation de leurs objectifs. En tout cas, ils font tout leur possible pour que cette assertion insolente se réalise.

« L'union que nous désirons trouver ne sera pas une union française, anglaise, irlandaise ou allemande, mais juive, universelle ! Les autres peuples et les races sont divisés en nationalités ; nous ne possédons pas de co-citoyens, mais exclusivement des co-religieux... Dispersés parmi d'autres nations, nous souhaitons avant tout être et rester immuablement juifs. Notre nationalité est la religion de nos pères et ne reconnaît aucune autre nationalité. Nous vivons dans des pays étrangers et nous ne pouvons pas nous préoccuper des ambitions de pays qui nous sont totalement étrangers... Il n'est pas loin le jour où toutes les richesses et les trésors de la terre deviendront la propriété des Enfants d'Israël. (James Rothschild III : « Manifesto to all the Jews of the Universe », The Morning Post de Londres, le 6 septembre 1920).

Étant donné l'ascendance juive sur la plupart des leaders mondiaux, ce n'est pas un hasard si un intérêt et un développement parallèles existent entre les actions des États-Unis et de leurs états clients - plus précisément leurs « vassaux » - d'une part, et le modus operandi typiquement juif de l'autre, de sorte qu'on pourrait dire qu'ils fonctionnent en tandem. Les événements récents en Ukraine le confirment. D'abord, les oligarques juifs ont pillé le pays. Ensuite, les intérêts États-Unis/OTAN ont financé des groupes d'insurgés pour infiltrer les protestations légitimes des citoyens sur la place Majdan contre ces oligarques et pour contrer le gouvernement élu, dans le but de mettre leurs marionnettes au pouvoir et de conduire le pays vers l'adhésion à l'UE et l'acceptation des prêts du FMI/UE, de mettre les terres agricoles entre les mains de l'agro-industrie américaine et, bien sûr, d'installer des bases de missiles à la frontière russe. […]

L'Irak et la Libye ont eu leurs réserves d'or (prétendument 144 tonnes) confisquées par les États-Unis (et leurs pays ont été transformés en un terrain vague contaminé où règne l'anarchie), après que ces derniers aient décidé que Saddam Hussein et Muammar al-Kadhafi avaient fait leur temps. […]

Le peuple juif pris collectivement sera lui-même son Messie. Son règne sur l'Univers s'obtiendra par l'unification des autres races humaines, la suppression des frontières et des monarchies... et l'établissement d'une République Universelle qui reconnaîtra partout les droits de citoyens aux juifs. Dans cette organisation nouvelle de l'humanité [le Nouvel ordre mondial], les « fils d'Israël »… deviendront sans opposition l'élément partout dirigeant... Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront tous, sans effort, dans des mains israélites... La propriété individuelle pourra alors être supprimée par les gouvernements de race judaïque qui administreront partout la fortune publique. Ainsi sera réalisée la promesse du Talmud que, lorsque les Temps du Messie seront venus, les juifs tiendront sous leurs clefs les biens de tous les peuples du monde. (Baruch Lévy dans une lettre à Karl Marx, citée par Salluste, Henri Heine et Karl Marx : « Les origines secrètes du bolchevisme », La Revue de Paris, 1er juin 1928, pp. 567-589, p. 574).


Gérard Menuhin, "Dites la vérité et vous humilierez le diable".



Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...