samedi, juin 09, 2018

Le guide religieux pour tuer les non-juifs


(3:27)
Vidéo en anglais d'une réunion de rabbins fondamentalistes favorables aux préceptes du livre "Torat Ha'Melech", "La Torah du Roi", un traité sur la "Halakha" (Loi juive) qui justifie le meurtre de non-Juifs y compris des enfants. (source : Max Blumenthal, Joseph Dana et Alternet)


Torat Ha'Melech 
(Loi du Roi)
Le guide complet pour tuer des non-Juifs

Le livre ne contient pas moins de 230 pages sur les lois concernant le meurtre de non-Juifs, une sorte de guide pour quiconque se pose la question de savoir si et quand il est permissible de prendre la vie d’un non-Juif. 

Quoique le livre ne soit pas vendu par les grands distributeurs, il a reçu de chaudes recommandations par des éléments de la droite, y compris les recommandations de rabbins importants tels que Yitzhak Ginsburg, Dov Lior et Yaakov Yosef, qui sont imprimées au début du livre. Le livre est distribué via Internet et par la yeshiva... [...]

Au long du livre, les auteurs traitent en profondeur des questions théoriques de la loi religieuse juive concernant le meurtre de non-Juifs. Les mots « Arabes » et « Palestiniens » ne sont pas mentionnés même indirectement, et les auteurs prennent soin d’éviter de faire des déclarations explicites pour qu’un individu applique la loi de ses propres mains. Le livre contient des centaines de sources de la Bible et de la loi religieuse. Il inclut des citations d’Abraham Isaac Kook, un des pères du Sionisme Religieux, et du rabbin Shaul Yisraeli, un des doyens de la yeshiva Mercaz Harav, la citadelle du Sionisme national-religieux située à Jérusalem.

Le livre débute par une interdiction du meurtre de non-Juifs et la justifie, entre autres choses, au motif de prévenir l’hostilité et toute désacralisation du nom de Dieu. Mais très rapidement, les auteurs passent de l’interdiction à la permission, aux diverses dérogations pour faire mal à des non-Juifs, la raison centrale étant l’obligation de faire respecter les sept lois Noahides, que chaque être humain sur terre doit suivre. Parmi ces commandements se trouvent les interdictions du vol, de l’effusion de sang et de l’idolâtrie. [Les sept lois Noahides interdisent l’idolâtrie, le meurtre, vol, les relations sexuelles illicites, le blasphème et la consommation de la chair d’un animal vivant, et exige des sociétés l’institution de lois justes et de cours judiciaires]. 

« Quand nous approchons un non-Juif qui a violé les sept lois Noahides et que nous le tuons par souci de faire respecter ces sept lois, aucune interdiction n’a été violée », déclare le livre, qui souligne que tuer est interdit sauf si c’est effectué par obéissance à la décision d’une cour. Mais plus loin, les auteurs limitent l’interdiction, notant qu’elle ne s’applique qu’à un « système approprié concernant les non-Juifs qui violent les sept commandements Noahides ». 

Le livre inclut une autre conclusion qui explique qu’un non-Juif peut être tué même s’il n’est pas un ennemi des Juifs. « Dans toute situation où la présence d’un non-Juif met en danger des vies juives, le non-Juif peut être tué même si c’est un Gentil
(goy ou non-juif) vertueux pas du tout responsable de la situation qui a été créée », disent les auteurs. « Quand un non-Juif aide un meurtrier de Juifs et cause la mort de quelqu’un, il peut être tué, et dans tous les cas quand la présence d’un non-Juif pose un danger à des Juifs, le non-Juif peut être tué ». 

Une des dérogations pour tuer des non-Juifs, d’après la loi religieuse, s’applique dans un cas de din rodef [la loi du « poursuivant » d’après laquelle celui qui suit un autre avec une intention meurtrière peut être tué de manière extrajudiciaire] même si le poursuivant est un civil. « La dispense s’applique même quand le poursuivant ne menace pas de tuer directement, mais seulement indirectement », indique le livre. « Même un civil qui vient en aide à des combattants est considéré comme un poursuivant et peut être tué. Quiconque assiste l’armée des malfaisants d’une quelconque manière renforce les meurtriers et est considéré comme un poursuivant. Un civil qui encourage la guerre donne au roi et à ses soldats la force pour continuer. Par conséquent tout citoyen de l’État qui s’oppose à nous qui encourage les soldats combattants ou exprime de leurs actions une satisfaction est considéré comme un poursuivant et peut-être tué. Pareillement, quiconque affaiblit notre propre État par la parole ou par une action similaire est considéré comme un poursuivant ». 

Les rabbins Shapira et Elitzur déterminent qu’on peut aussi faire du mal à des enfants parce qu’ils sont des « entraves ». Les rabbins écrivent ce qui suit : « Entraves - on trouve souvent les bébés dans cette situation. Ils bloquent le chemin du secours par leur présence et le font complètement de force. Néanmoins, ils peuvent être tués parce que leur présence aide le meurtre. Il est justifié de tuer des bébés s’il est clair qu’ils grandiront pour nous nuire, et dans une telle situation on peut leur faire du mal délibérément, et pas seulement pendant le combat avec des adultes ». 

De plus, les enfants du meneur peuvent être touchés pour faire pression sur lui. Si l’attaque des enfants d’un mauvais chef va l’influencer pour qu’il ne se comportent pas méchamment, on peut leur faire du mal. « Il vaut mieux tuer les poursuivants que tuer d’autres », déclarent les auteurs.

Dans un chapitre intitulé « Mal délibéré à des innocents », le livre explique que la guerre est dirigée principalement contre les poursuivants, mais ceux qui appartiennent à la nation ennemie sont aussi considérés comme ennemis parce qu’ils assistent des meurtriers.

La rétorsion a aussi une place et une fonction dans ce livre des rabbins Shapira et Elitzur. « Pour vaincre les ennemis, nous devons nous comporter envers eux dans un esprit de représailles et de mesures pour mesures », écrit-il. « Les représailles sont absolument nécessaires pour que cette méchanceté ne vaille pas le coup. Par conséquent, parfois nous faisons des actes cruels pour créer le bon équilibre de la terreur ».

Dans une note de bas de page, les deux rabbins écrivent d’une manière qui semble permettre à des individus d’agir par eux-mêmes, hors de toute décision du gouvernement ou de l’armée : « Une décision par la nation n’est pas nécessaire pour permettre de verser le sang du royaume du mal », écrivent les rabbins. « Même des individus de la nation attaquée peuvent les frapper ».

À la différence des livres de loi religieuse publiés par les yeshivas, cette fois-ci les rabbins ont ajouté un chapitre contenant les conclusions du livre. Chacun des six chapitres est résumé en points principaux de plusieurs lignes, qui exposent, entre autres choses : « Dans la loi religieuse, nous avons trouvé que les non-Juifs sont généralement suspects de verser le sang juif, et dans la guerre, cette suspicion devient bien plus grande. On doit considérer de tuer même des bébés, qui n’ont pas violé les sept lois Noahides, à cause du danger futur qui sera causé s’ils sont autorisés à devenir aussi mauvais que leurs parents ».

Même si les auteurs prennent soin, comme indiqué, d’utiliser le terme « non-Juif », il s’en trouvera certainement pour interpréter la nationalité des « non-Juifs » responsables de mettre en danger le peuple juif. Ceci est renforcé par la brochure « La voix juive » publiée sur Internet depuis Yitzhar, qui commente le livre : « Il est superflu de faire remarquer que nulle part dans le livre il n’est écrit que les déclarations ne concernent que les non-Juifs d’autrefois ». Les éditeurs de la brochure n’ont pas oublié une remarque cuisante en direction des services de sécurité (GSS), qui se donneront certainement la peine de se procurer une copie. « Les éditeurs suggèrent au GSS qu’ils attribuent le prix de la sécurité d’Israël aux auteurs », déclare la brochure, « qui ont donné aux enquêteurs le choix de lire les conclusions résumées sans avoir besoin d’une étude du livre entier en profondeur ».

Un étudiant de la yeshiva Od Yosef Hai à Yitzhar a expliqué d’où, de son point de vue, les rabbins Shapira et Elitzur ont tiré le courage de parler si librement sur un sujet tel que le meurtre de non-Juifs. « Les rabbins n’ont pas peur de poursuites parce que dans ce cas, Maimonides [le rabbin Moses ben Maimon, 1135-1204] et Nahmanides [rabbin Moses ben Nahman, 1194-1270] devraient être aussi traînés en justice, et de toute façon, ceci est une recherche sur la loi religieuse », a dit l’étudiant de la yeshiva. « Dans l’État juif, personne n’est ainsi en prison pour avoir étudié la Torah ».


* Note du traducteur : Ces interprétations religieuses ont été traitées de manière détaillée dans : Israel Shahak et Norton Mezvinsky, « Jewish Fundamentalism in Israel », Pluto Press (1999).

Source :
http://didiremez.wordpress.com/2009...
Traduction : JP Bouché 


Des textes religieux prétendent que les juifs sont des hommes supérieurs, des seigneurs qui doivent dominer les non-juifs (sous-hommes) et leur imposer une loi impitoyable :

LA LOI DU ROI (Torat Ha'Melech)  

(Livre en vente sur le site Virtual Geula, 56 $)





jeudi, juin 07, 2018

Israël, le nouvel apartheid


 Le 5 mai, Macron, le golem rothschildien, a reçu Netanyahu, le bourreau de Gaza.



Israël, le nouvel apartheid 


Michel Bôle-Richard 



S’il est un terme que les Israéliens et la communauté juive mondiale réfutent avec violence pour caractériser la situation des Palestiniens en Cisjordanie, c’est bien celui d’apartheid. Bien sûr, il ne s’agit pas du modèle qui a eu cours en Afrique du Sud jusqu’à la libération de Nelson Mandela en février 1990. Nous ne sommes plus à la même époque et les situations politiques sont différentes. Pourtant, dans les principes et leur mise en application, les méthodes sont souvent similaires et la ségrégation des Palestiniens en Cisjordanie et en Israël est une réalité que personne ne peut nier. Apartheid réinventé, apartheid masqué, les faits et les réalités sur le terrain le démontrent facilement. [...] 


(…) Le comportement de l’État juif peut s’assimiler à une forme réinventée de l’apartheid que l’on appelle quelquefois l’« apartheid masqué ». Le terme fait bondir aussi bien nombre d’Israéliens que de Juifs français. Cependant il revient de plus en plus fréquemment dans la bouche des politiciens tant israéliens que palestiniens ainsi que dans les rapports d’organisations internationales pour qualifier l’attitude d’Israël tant à l’égard des Palestiniens d’Israël que ceux des territoires occupés. Cette forme de ségrégation a toutes les chances de s’amplifier en raison de la volonté d’Israël de maintenir le caractère juif de l’État hébreu et de son obstination à refuser de créer à ses côtés un État palestinien digne de ce nom. 


Avraham Burg n’hésite pas à comparer l’état de la société israélienne à une
forme de « nazisme » à l’encontre des Arabes en mettant en avant « le caractère central du militarisme dans notre identité. La place des officiers de réserve dans la société. Le nombre d’Israéliens armés dans les rues. Où va cet essaim de gens armés ? Ils disent publiquement « les Arabes dehors ! » Se définissant comme un citoyen du monde, un pacifiste, il qualifie l’occupation de la Cisjordanie d’« Anschluss » et prédit « une explosion sans fin ». « Nous sommes au pied du mur, avait-il conclu. Demandez à vos amis s’ils sont sûrs que leurs enfants vont vivre ici. Au maximum 50 % diront “oui”. Autrement dit, l’élite israélienne est déjà partie et sans élite, il n’y a pas de nation. » 


Menahem Klein constate : « nous gouvernons par la force. Nous sommes devenus un régime ethnosécuritaire, arrogant, égoïste, ethnocentriste. Nous sommes convaincus d’être les meilleurs et que les autres ne valent rien. Désormais, le conflit est devenu religieux, ethnique et la politique est inefficace » […] 


Gideon Levy, de Haaretz, est consterné : « Les formes de racisme envers
les Arabes et les étrangers, l’arrogance israélienne envers l’opinion internationale, tout cela peut s’expliquer par la croyance aveugle et primaire de la majorité des Israéliens selon laquelle nous pouvons nous permettre tout ce que l’on veut puisque Dieu nous a choisis. » Il note que, de plus en plus, « la religion est l’État et l’État est la religion » soulignant qu’aujourd’hui, le facteur religion gagne du terrain en Israël. Son emprise s’accroît dans la vie quotidienne, à la Knesset, dans l’armée où il y a de plus en plus de soldats orthodoxes. » [...] 


C’était la même chose en Afrique du Sud. Les Afrikaners pensaient qu’ils
étaient les envoyés de Dieu, les apôtres de la civilisation, confortablement retranchés derrière leurs préceptes religieux. Ils s’estimaient supérieurs aux Noirs auxquels ils étaient venus apporter la bonne parole et leur savoir-faire. Ils pensaient qu’ils étaient le fer de lance du progrès parmi « les sauvages ». 


Theodor Herzl n’a-t-il pas écrit dans « L’État des juifs » : « Si sa majesté le
Sultan consentait à nous donner la Palestine, nous pourrions nous charger de mettre en ordre les finances de la Turquie. Pour l’Europe, nous formerions là-bas un élément du mur contre l’Asie ainsi que l’avant-poste de la civilisation contre la barbarie… Nous formerions une garde d’honneur autour des lieux saints et garantirions par notre existence même l’accomplissement de ce devoir. » Les Juifs israéliens se considèrent toujours comme le poste avancé de l’Occident entouré d’une nuée de barbares.


A lire : "Israël, le nouvel apartheid" de Michel Bôle-Richard.



L'Observatoire de la haine

Le CRIF, qui a lancé son "Observatoire de la haine sur Internet", devrait observer Israël où la haine n'est pas un vain mot :


Assassinats de Palestiniens, 
Discrimination envers les Arabes israéliens, 
Blocus de Gaza, 
Pillage des ressources et des terres palestiniennes et leur transformation en bantoustans, 
Colonisation galopante, 
Humiliations quotidiennes des Palestiniens, 
Racisme à l'encontre des juifs noirs comme les Falashas éthiopiens...


La Torah du crime

Beaucoup de juifs s'inspirent des préceptes du livre "interdit" « Torat ha-Melekh » (la Torah du Roi) dans lequel on justifie le meurtre préventif de non-Juifs (goyim), y compris les femmes et les enfants « si leur présence met en danger la vie d’un Juif ».


Razan Al-Najjar était infirmière. Agée de 21 ans, elle faisait partie des volontaires qui, au péril de leur vie, interviennent dans la bordure frontalière, soit quelques centaines de mètres près de la clôture séparant la bande de Gaza d’Israël. C’est là qu’elle a été tuée, le 1er juin, par un sniper israélien, à l’est de Khan Younès. Une centaine d’autres personnes ont été blessées, lors de ce nouveau rassemblement de la « marche du grand retour », entamée le 30 mars, dont le bilan, en termes de victimes, s’élève à ce jour à près de 120 morts et plus de 3 500 blessés par balle.


"Israël, le nouvel apartheid", interview de Michel Bôle-Richard, ancien journaliste au Monde.




mercredi, juin 06, 2018

Une nouvelle conscience




Moins on fait de théories sur l’apparition d’une nouvelle conscience, et plus on l’aide à naître. Il ne faut pas la réduire à un idéal à atteindre, car cette naissance s’accomplit dans les difficultés de la vie. C’est un processus dramatique et réel sinon ce ne serait rien d’important. 



L'inutilité des pratiques


Certains ont tenté de l’appréhender par des pratiques diverses, mais il ne faut pas se tromper d’objectif. La nouvelle conscience n’a rien à voir avec la recherche du bien-être ou de la santé. Ceux-ci sont les conséquences d’un mode de vie juste pour autant que la société actuelle le permette. En voulant forcer l’organisme et le psychisme, on risque de restimuler des forces rétrogrades qui seraient un frein à l’émergence d’une conscience nouvelle. 

Certaines pratiques énergétiques ou spirituelles sont bonnes pour l’équilibre mental et la santé mais incapables de gérer les forces cosmiques nouvelles qui pénètrent actuellement l’atmosphère en provenance du centre de l’univers. Nous n’avons pas prise sur ces hautes énergies dont nous sommes incapables de maîtriser le flux avec nos instruments psychiques. Il s’agit d’une effusion spirituelle pour tous, mais qui ne peut devenir consciente que chez ceux qui l’accueillent consciemment en leur être. Il est possible que son effet positif s’inverse chez ceux qui s’y opposent, et qu’ils aillent ainsi au devant d’un jugement et d’une destruction. 

C’est ainsi qu’on voit apparaître une nouvelle forme de mal chez les êtres qui se mentent à eux-mêmes pour défendre le vieux système auquel ils sont identifiés. C’est l’obstination dans l’attachement au fond du plan matériel quand l’heure est venue d’en ressortir. 


Le satanisme

Ce « mal » pourra atteindre à l’avenir des proportions monstrueuses à cause du désespoir qui s’empare de ceux qui s’accrochent à ce qui va disparaître. C’est pourquoi, ils se blindent derrière la technologie, le béton et l’acier depuis plus d’un siècle. Ou derrière des dogmes et des
idéologies. Mais ce rempart fragile sera renversé. 


En attendant, le satanisme – Satan est « celui qui résiste » - s’insinue dans les pensées et les actes, et devient de ce fait identifiable ce qui aide
les esprits éveillés à s’en dégager. 


Nombre de personnes s’éveillent à la réalité, et au lieu d’en ressentir de l’accablement, elles appellent de leurs vœux une nouvelle existence. Malheureusement, les conditions de la civilisation actuelle s’opposent fortement à la mise en pratique d’une nouvelle organisation sociale qui
serait mieux adaptée aux rayonnements cosmiques qui se déversent sur l’humanité. 



Le vieux système doit disparaître


Il y a le risque d’une trahison lorsqu’on veut parodier un âge d’or qui n’existe pas. Et c’est pourquoi nombre de personnalités médiatiques prennent le masque des bons sentiments et d’une bonté humanitaire superficielle. Il y a dans cette mascarade un test de lucidité pour tous. Il faut en tirer la leçon suivante : quoique la période actuelle apporte de nouvelles possibilités potentielles, la situation politique au sens large du terme empêche leur actualisation, sans toutefois entraver leur action au fond de notre être. 

La vérité est bafouée mais rien ne l’arrête ou la diminue. Sachant cela, la sagesse nous demande de nous préparer, en n’opposant aucune résistance aux rayonnements universels. Il est impossible d’atteindre une vie nouvelle
dans l’état actuel de notre conscience qui est le produit du vieux système. C’est simple à comprendre, mais difficile à admettre pour l’ego qui ne recherche que sa conservation. D’ailleurs, l’ego est prêt à jouer à « l’ego spirituel » pour se maintenir. Il peut même se transformer, en un « ego de saint homme » ou de grand humanitariste ou encore de grand thérapeute. Voyez le défilé des prix Nobel ! C’est un défilé de mode. 


Il ne sert à rien d’améliorer les conditions sociales et politiques, et c’est même ce qu’il y a de plus négatif, car ces systèmes sont condamnés à disparaître, non par la volonté humaine mais par l’action des forces universelles de régénération. S’y opposer conduit à l’aggravation de la maladie mondiale, pour l’individu comme pour l’humanité. 

La nouvelle conscience est en train de naître. Le refus d’accueillir cette renaissance conduira une partie de l’humanité à s’endurcir dans le mal. Il y
a une sélection en cours. Rien de malveillant dans ce processus, mais une parfaite justice. Le jugement qui vient est une sélection fondée sur l’amour. 



La fin des hiérarchies parasitaires

L’univers respecte la loi du libre-arbitre mais les forces de correction – qui tentent de sauver ce qui est perdu – se mettent alors à l’œuvre de toute leur pureté angélique intraitable. 


Il va donc y avoir un « jugement » en vue de régler leur compte aux hiérarchies parasitaires. Nous ne développerons pas cet aspect, mais
l’observation de nous-mêmes nous enseigne qu’on ne peut pas s’opposer à la loi universelle sans tomber malade ou devenir déséquilibré. 


Si l’on ressent déjà l’aiguillon de cette conscience nouvelle qui nous mobilise, nous pouvons nous organiser pour lui préparer un cadre favorable. Pour l’instant, nous sommes déchirés entre la vie sociale pleine d’embûches et notre vie intérieure qu’il faut parfois dissimuler à notre entourage. Cette situation difficile nous permet toutefois de nous détacher du vieux système tout en demeurant au cœur de la réalité. C’est une très grande force. Nous sommes en train d’accumuler ainsi de la puissance puisqu’il n’y a pas de conditions plus pénibles que celles où nous vivons actuellement. 


L’être qui est engagé sur la voie spirituelle n’a pas à se soucier des conditions politico-sociales, pour les améliorer, ce qui est d’ailleurs
impossible, et constituerait une perte d’énergie. Il faut être tout à fait clair à ce sujet : le vieux système est celui par lequel nous sommes éprouvés en fonction de notre karma, et du point de vue spirituel, cette épreuve est excellente pour notre perfectionnement. 



La civilisation nouvelle

Lorsque nous parlons d’une civilisation nouvelle, il ne s’agit pas de faire la révolution, ou d’attendre l’avènement d’un âge d’or qui s’installerait progressivement sur l’ordre ancien. Si les choses devaient se passer ainsi, rien ne changerait en profondeur. Non, nous prédisons que la civilisation actuelle va encore durer, sans qu’on puisse prédire durant combien de temps, mais que parallèlement à sa décadence irréversible, une partie de l’humanité va connaître une mutation. Cette mutation entraînera l’apparition progressive d’une société sans aucun rapport avec l’ancienne. Cette nouvelle organisation sociale communautaire sera propice à l’accélération des processus de transformation pour ceux qui sont orientés vers une démarche libératrice, mais elle offrira également un cadre matériel harmonieux pour les êtres qui se préparent à cette transformation. Il y aura inévitablement un choc et une rupture entre les deux groupes humains qui vont en sens opposé : l’un recherchant l’harmonie avec l’univers et l’autre devenant toujours plus robotique. 

La nouvelle civilisation que nous devons mettre en place ne sera pas décrétée du haut des tribunes internationales. Au contraire, les autorités planétaires feront leur possible pour la réprimer car elle signera la fin de leurs privilèges. C’est pour cette raison qu’il ont mis en place des systèmes de contrôle pour soustraire les masses aux influences du nouveau cycle. Ils les abrutissent par la télévision qui diffuse sa propagande subliminale sans interruption. 

A un certain moment, nous sortirons de leur jeu. Ce sera comme un exil, une sortie d’Egypte, et nous détachant définitivement du vieux système, nous n’aurons pas d’autre solution que de recréer des cadres de vie qu’on ne peut pas encore définir. 


Aucune autorité mondiale ne peut l’empêcher car des forces cosmiques irrésistibles sont en action. Ceux qui sont sensibles à de nouvelles pensées
et de nouvelles aspirations, vont se reconnaître, se rejoindre, et peut-être s’unir pour établir les bases de la civilisation nouvelle. Cela peut passer par l’expérimentation de nouvelles formes de vie communautaires, car un être n’existe qu’en relation avec d’autres.



Joël Labruyère



Lumière sur la civilisation de l'âge Noir
de Joël Labruyère

« Dans la Tradition universelle, le déroulement du monde se divise en quatre âges marquant chacun un nouvel effondrement moral et un éloignement du divin. Les Hindous nomment le dernier de ces âges le Kali Yuga, l'Âge Noir. Ils considèrent que nous y sommes entrés il y a 5000 ans et que nous ne sommes pas prêts d'en sortir. Pendant l'Âge Noir, seul subsiste un quart de vérité contre trois-quarts de mensonge. Plus l'Âge Noir avance et plus ce quart de vérité se trouve englouti, non pas disparu, mais mélangé et difficilement identifiable. Malgré tout, les Anciens considéraient que l'Âge Noir était un cycle propice pour ceux qui recherchent la grande Libération. Insatisfaits des gratifications illusoires de la matière, nous pouvons être propulsés vers le haut par la pression insoutenable du mensonge grandissant. Endurer ce mal nous force à rechercher le Bien absolu. Si nous n'avons pas le goût de flâner dans le jardin des délices de la civilisation matérialiste pour éprouver son bonheur virtuel, il faut s'en extraire avec force au risque de s'y perdre. Il faut s'arracher à l'entropie ambiante par un mouvement énergétique, une révolution de la conscience et de l'être. Au cœur de l'Âge Noir, il existe donc une porte vers l'Âge d'Or intérieur. Mais cette porte est cachée. Il faut combattre pour la trouver. »



mardi, juin 05, 2018

L'opération Mamoudou Gassama


Spiderman ou l'autopsie d'une imposture

Les créateurs de la vidéo, Artémisia Collège, précisent : "Nous présentons un travail de recherche critique de la vérité, sans prétendre la détenir de façon absolue. Si des journalistes dignes de ce nom faisaient ce travail, nous n’aurions pas à le faire…"

Commentaire de Florence Vivès


Je suis docteur en physique et je voulais vous informer que je peux démontrer par le calcul mathématique que toute cette histoire avec Mamoudou n’est qu’une vaste fumisterie.

Voici la démonstration : quelle est la vitesse d’un corps en chute libre à une hauteur H donnée ? Mettons H = 6 m, soit grosso modo la hauteur de deux étages. L’objet a donc un mouvement rectiligne uniformément accéléré par la gravité, la formule qui permet d’obtenir sa vitesse est donc v = racine carrée de (2*g*h) Avec g = 9.81 et h = 6 m (c’est la distance parcourue lors de la chute, soit deux étages = 6 m). On obtient donc une vitesse de 10.85 m/s, soit encore v = 39.06 km/h La chute d’un corps de 6 m de haut équivaut donc à projeter ce même corps à près de 40 km/h contre un mur en béton.

Mon ami Didier Long, aussi titulaire d’un doctorat de physique vient appuyer mes calculs, je le cite : « Lorsque l’on tombe de trois mètres et que l’on s’accroche à une barre, située donc trois mètres plus bas que le départ de la chute, l’énergie doit être encaissée par le travail mécanique exercé par les bras. Si le dépliement des bras au cours de l’arrêt se fait sur une longueur de 1 m, les bras doivent supporter quatre fois le poids du corps. Si ce dépliement se fait sur une longueur de 50 cm, les bras au cours de l’arrêt de la chute sept fois le poids du corps. Le tout sans que les mains glissent. C’est un peu ce que font les gymnastes aux barres fixes. Si la chute est d’une hauteur de 6 mètres, et selon l’amplitude du dépliement des bras au cours de l’arrêt, 1 mètre ou 0.5 mètre, la force encaissée par les bras est de 7 fois le poids du corps, ou 13 fois le poids du corps. »

Conclusion : la version officielle est donc scientifiquement impossible. L’enfant ne peut en aucun cas être tombé d’une hauteur de 6 m et s’être rattrapé à la rambarde, c’est mathématiquement et physiquement impossible, ses bras et ses mains n’auraient pas survécu à l’impact. Macron tient donc son Théo.




La fabrication du consentement


Partout en Europe, la vague migratoire inquiète les populations européennes. Après le Brexit britannique, la percée de l'extrême-droite en Allemagne et son entrée au gouvernement en Autriche, l’Italie a voté pour une coalition de droite nationaliste et eurosceptique.  

Devant les millions de migrants qui affluent en Europe, Macron doit dissiper l'inquiétude grandissante des Français. L'opération Mamoudou Gassama vise à fabriquer une image positive des sans-papiers entrés illégalement en France.

La connivence entre le pouvoir et les médias permet de manipuler l'opinion publique et de fabriquer du consentement. Ainsi, l'exploit de Mamoudou Gassama, qui n'est certainement pas spontané, est relayé par les journalistes aux ordres jouant la partition de Macron.  


Noam Chomsky et Edward Herman mettent en évidence dans leur livre "La fabrication du consentement" l’existence d’une propagande visant à diffuser la vision du monde des dominants


A lire ou à relire, La Fabrication du consentement 

"Les médias constituent un système qui sert à communiquer des messages et des symboles à la population. Ils ont vocation à distraire, amuser, informer, et à inculquer aux individus les croyances et codes comportementaux qui les intégreront aux structures sociales au sens large."



Pourquoi faut-il dénoncer le mondialisme messianique ?


Le mondialisme messianique entend élargir le magma cosmopolite d'esclaves volontaires déracinés. Les masses, abruties par la propagande des médias aux ordres, sont soumises dès l'enfance à une impitoyable compétition, un darwinisme social, qui exclut les plus faibles et les transforme en parias. Parias qui seront probablement relégués, ainsi que les dissidents, dans des zones concentrationnaires comme Gaza... La dictature est en marche !




lundi, juin 04, 2018

Les Dix Devoirs du ROI

La société "démocratique" contre-traditionnelle




Les Dix Devoirs du ROI

par Patrick

Au temps du Bouddha vivaient, comme aujourd’hui, des souverains qui gouvernaient injustement leurs états. Ils levaient des impôts excessifs et infligeaient des châtiments cruels.Le peuple était opprimé et exploité, torturé et persécuté. Le Bouddha était profondément ému par ces traitements inhumains. 


Le Dhammapadatthakathâ raconte qu’il porta alors son attention sur le problème d’un bon gouvernement. Ses idées doivent être appréciées dans le contexte social, économique et politique de notre temps. Il montra comment tout un pays pouvait devenir corrompu, dégénéré et malheureux quand les chefs du gouvernement, c’est-à-dire Roi, ministres et fonctionnaires deviennent eux-mêmes corrompus et injustes. Pour qu’un pays soit heureux il doit avoir un gouvernement juste. Les principes de ce gouvernement juste sont exposés par le Bouddha dans son Enseignement retrouvé dans les Ecritutres Canoniques du Canon Pâli sur les “Dix Devoirs du ROI” : Dasa-râja-Dhamma

Le mot ROI d’autrefois doit être remplacé aujourd’hui par le mot “Gouvernement”. Par conséquent les Dix Devoirs du ROI s’appliquent maintenant à tous ceux qui participent au gouvernement, chef d’état, ministres, chefs politiques, membres du corps législatif et fonctionnaires d’administration.

1. Le premier de ces dix devoirs est la libéralité, la générosité, la charité (Dâna). Le souverain ne doit pas avoir d’avidité ni d’attachement pour la richesse et la propriété, mais il doit en disposer pour le bien du peuple.

2. Un caractère moral élevé (Sîla). Il ne doit jamais détruire la vie, tromper, voler ni exploiter les autres. Il doit appliquer à lui-même les 5 préceptes que respecte le laïc qui comprend l’enseignement du Bouddha.

3. Sacrifier au bien du peuple (Pariccâga). Il doit être prêt à sacrifier son confort, son nom et sa renommée, et sa vie même dans l’intérêt du peuple.

4. Honnêteté et intégrité (Ajjava). Il doit être libre de peur ou de faveur dans l’exercice de ses devoirs. Il doit être sincère dans ses intentions et ne doit pas tromper le public.

5. Amabilité et affabilité (Maddava). Il doit avoir un tempérament doux.

6. Austérité dans les habitudes (Tapa). Il doit mener une vie simple et ne doit pas se laisser aller au luxe. Il doit être en possession de soi-même.

7. Absence de haine, mauvais-vouloir, inimitié (Akkodha). Il ne doit garder rancune à personne.

8. Non-violence (Ahimsa), ce qui signifie qu’il ne doit non seulement faire de mal à personne, mais aussi qu’il doit s’efforcer de faire régner la paix en empêchant la guerre et toute autre chose qui impliquent violence et destruction de la vie.

9. Patience, pardon, tolérance, compréhension (Khanti). Il doit être capable de supporter 
les épreuves, les difficultés et les insultes sans s’emporter.

10. Non-opposition, non-obstruction (Avirodha). C’est-à-dire qu’il ne doit pas s’opposer à la volonté populaire, ne contrecarrer aucune mesure favorable au bien-être du peuple.

En d’autres termes, il doit se tenir en harmonie avec le peuple. Il est inutile de dire combien serait heureux un pays gouverné par des hommes possédant ces qualités.



Agence France Presse du 31 mai 2018 à 11h30 :

“Notre Premier ministre nous dit qu’il assume les conditions de travail difficiles à Matignon :

14 secrétaires et 4 conseillers ont quitté leur poste de travail depuis son arrivée à Matignon. Pressions, horaires à rallonge, menaces… l’ambiance est malsaine à Matignon selon des fonctionnaires au service de ce Premier ministre qui dit assumer un engagement total, une exigence totale dans les services de Matignon : “à Matignon on travaille beaucoup, beaucoup, et j’y veille, dit-il.” Il admet une pression considérable… “Lorsque je demande à quelqu’un de partir, il est réaffecté dans un autre poste administratif.” Les témoins de cet état de fait nous disent que ces responsables menacent de faire sauter à tout moment un collaborateur. Des secrétaires assistent des conseillers jusqu’à 3 ou 4 heures du matin et reprennent le travail dès le lendemain matin après avoir dormi de 5 à 7 heures du matin… “ On n’est jamais sûr de garder son poste, on ne sait jamais si on finira la semaine, on a vu des conseillers pleurer… On a eu des anciens Premiers ministres qui étaient difficiles, mais non, ce n’était pas aussi dur. Ce n’était pas aussi malsain comme ambiance…” …

Les mots harcèlement moral ou vampirisme psychique sont devenus la norme ISO dans le Kali Yuga actuel, cet âge de fer, l’âge sombre, et l’Ethique traditionnelle si favorable aux équilibres disparaît aux profits des comportements malsains-financiers justifiés par le politique dans ses aberrations comportementales. Les Sciences politiques ont ce jour la tête et le cœur vers le bas dans la fange car, la caste des Vaisyas, celle des nouveaux financiers-commerçants de notre époque du “ Règne de la quantité”, domine et tient fermement sous son joug les deux premières castes Sacerdotale et Guerrière des traditions antiques : celles des Brâhmanes et des Ksatriyas. Après la guerre 39-45 des psychiatres étudièrent les témoignages rapportés par des rescapés des camps de concentration et de soldats revenus vivants des enfers. Une abondante littérature médicale montrera de quoi est capable un dominant en situation de dominance politique ou religieuse. Les diagnostics médicaux les concernant sont accablants et éloquents.

Ce qui se passe à Matignon serait-il un simple exemple assez inquiétant parmi bien d’autres ?

Cela ressemblerait-il aux pratiques de harcèlement moral des sectes toujours pratiquées par des pervers narcissiques parfois doublés de chefs de sectes pseudo-religieuses qui procèdent par leurs endoctrinements au lavage des cerveaux de leurs croyants illusionnés. 

Propagandistes, prestidigitateurs, fakirs politiques procèdent bien ainsi tandis que le mensonge a toujours été la marque d’infamie du politique. Si le peuple se trouve asservi dans la peur par instinct de troupeau et s’il vient à oser manifester sa désapprobation… alors, il est malmené et peut se retrouver en prison comme ces Turcs intègres opposés au dictateur de la Turquie actuelle.

Sommes-nous en France au bord d’une dictature naissante ? 

Le prétexte du politique est toujours le même : Il veut votre bonheur en vous dictant votre conduite et, ce faisant, ce n’est que le malheur qui sort de son chapeau de prestidigitateur… rarement une colombe… Souvenons-nous de l’ex-URSS, de l’Allemagne nazie, et de combien d’autres exemples si nombreux…
——————


“Que toutes les existences soient Heureuses, que leurs Coeurs soient Heureux …”
Le Bouddha

samedi, juin 02, 2018

Soral et Xav, le dessin satirico-subversif condamné



Soral et Xav, le dessin satirico-subversif condamné


« En France, rappellent Daniel Salles et Magali Eymard, la caricature est une tradition républicaine, protégée par la loi sur la liberté de la presse de 1881 et par la jurisprudence des tribunaux. (...) l’essor de la caricature politique a toujours correspondu à des périodes de crises sociales et politiques : mouvement de la Réforme, Révolution française, monarchie de Juillet, affaire Dreyfus. »


Des dessins "tolérables"


Des caricatures sont tolérées quand leur objectif est la confrontation entre musulmans et non musulmans.

En revanche, l'oligarchie et la secte messianique (qui orchestre la globalisation du chaos) ont recours à la coercition quand des caricatures soulignent le rôle de leurs agents. 


Quand la LICRA accuse d'antisémitisme, le couperet tombe inéxorablement. Le dessinateur Jean-Phillipe Martin, dit "Zéon", fut condamné à 6 mois de prison avec sursis et à des amendes et dommages et intérêts de 18 000 €. 

"La LICRA, écrit Zéon, par ses actes, est un trouble à l’ordre public perpétuel, perfide, et nocif au possible aux valeurs fondamentales garanties par les lois de la République, le venin despotique que ses dirigeants et membres veulent insuffler dans la veine démocratique, au profit de l’hégémonie esclavagiste américano-sioniste, imposée au peuple au niveau planétaire sous l’intitulé revendiqué du « nouvel ordre mondial », comme jadis Joseph Goebbels et Adolf Hitler qui, après avoir dans un premier temps privé les écrivains et artistes de leur droit à exprimer leurs pensées, les ont privés ensuite, carrément et tout simplement de leur droit de vie". (Source)


Xav et Soral


Le dessin "Les cancrelats", de Xavier Duhayon, dit "Xav"...


... et un autre dessin, intitulé "l’Échiquier politique", diffusés en 2017 sur le site "Egalité et réconciliation". 

A cause de ces deux dessins jugés antisémites, le 1er juin 2018, le tribunal de grande instance de Paris condamne Alain Soral à un an d’emprisonnement avec sursis et au paiement de 31.004,00 euros.



L’Échiquier politique

A LIRE :


jeudi, mai 31, 2018

Hervé Ryssen ira-t-il en prison ?

La liberté d'expression en France, pays des droits de l'homme, pas du goy.




Les origines politico-religieuses du mondialisme
Extraits de : 
Psychanalyse du judaïsme


Entretien avec Hervé Ryssen (extraits)

Hervé Ryssen, vous venez de publier un livre qui met enfin en pleine lumière la logique mondialiste et ses soubassements religieux. Depuis trop longtemps, en effet, les intellectuels de la mouvance nationale n’osent pas aborder les « sujets qui fâchent » et s’interdisent de dénoncer la propagande cosmopolite. Pourriez-vous tout d’abord expliciter le titre de votre livre pour nos lecteurs ? 

HR : Je me suis penché sur la production écrite des intellectuels juifs afin de tenter de comprendre leur vision du monde. Après avoir lu des dizaines d’essais politiques, de romans et de récits en tout genre, je me suis aperçu que le mot « espérance » apparaissait régulièrement dans les textes. Il s’agit bien entendu pour eux de l’attente d’un monde meilleur, du messie et de la « terre promise ». Rappelons que si les chrétiens ont reconnu leur messie, les juifs attendent toujours le leur. Cette attente messianique est au cœur de la religion hébraïque et de la mentalité juive en général, y compris chez les juifs athées. C’est le point fondamental. Quant au terme « planétarien », c’est un néologisme qui ne signifie rien d’autre que l’aspiration à un monde sans frontière. 

Mon travail est exclusivement centré sur les intellectuels juifs. Contrairement à ce que beaucoup de gens peuvent penser, l’utilisation du mot « juif » ne tombe pas encore sous le coup de la loi. Je sais bien que nombreux sont ceux dans le milieu nationaliste qui se mettent à avoir des sueurs à la simple évocation de ce mot, mais c’est probablement parce qu’ils craignent de tenir des propos antisémites, qui sont effectivement aujourd’hui lourdement condamnés. Personnellement, je n’éprouve nullement cette crainte, puisque mes travaux sont exclusivement basés sur la recherche à travers les sources hébraïques. Disons que j’ai une approche rationnelle du sujet, et, osons le dire, totalement dépassionnée. 

On entend effectivement souvent parler chez les juifs de « terre promise » et de « messie », mais nous avons toujours du mal à comprendre ce que ces concepts signifient. La « terre promise », n’est-ce pas l’Etat d’Israël ? 

HR : Historiquement, c’est bien la terre du pays de Canaan, que Yahvé à donné à Abraham, ainsi qu’on peut le lire dans la Genèse, le premier livre de la Torah. Mais avant même la destruction du second Temple par les légions romaines de Titus et la dispersion, de nombreux juifs vivaient déjà dans la diaspora. Il n’en demeure pas moins qu’en 1917, avec la déclaration Balfour qui créait un « foyer juif en Palestine », certains juifs ont pu penser qu’en récupérant la « terre promise », les temps messianiques étaient enfin proches. Mais il ne faut pas oublier que d’autres juifs, beaucoup plus nombreux, pensaient alors à la même époque que cette terre promise se situait plus au Nord, dans cette immense Union soviétique où, après la révolution d’Octobre 1917, tant de juifs apparaissaient aux plus hauts échelons du pouvoir. Cependant, il suffit de lire des textes un peu plus anciens pour s’apercevoir qu’au XIXe siècle, c’était la France - le pays des droits de l’homme - qui soulevait tous les espoirs et constituait aux yeux des juifs du monde entier la « terre promise ». La Vienne du début du XXe siècle, ou l’Allemagne de Weimar durant l’entre-deux guerres ont aussi pu être considérées comme des « terres promises », tant la culture et la finance, notamment, étaient à ce moment-là très largement influencées par les banquiers, les intellectuels et les artistes d’origine juive.

On notera que cet espoir se termine toujours par une cruelle désillusion. Le fait est que l’Etat d’Israël ne constitue pas un havre de paix, c’est le moins que l’on puisse dire. Quant à la Russie judéo-bolchevique, elle s’est retournée contre les juifs qui ont été évincés du pouvoir après la Seconde Guerre mondiale. La « France des droits de l’homme » est aujourd’hui en voie de tiers-mondisation, et l’on entend depuis 2001 certains juifs appeler à fuir ce pays « antisémite », où les juifs subissent de plus en plus la colère des jeunes Arabes. Bref, pour les juifs, tout semble se finir toujours très mal, où qu’ils aillent, quoi qu’ils fassent. La « terre promise » s’est aussi pendant longtemps incarnée dans le rêve américain. Dès les années 1880, des dizaines de milliers de juifs d’Europe centrale partent pour les Etats-Unis où ils espèrent une vie meilleure, loin des Cosaques, des pogroms et de ce tsar honni. 


La « terre promise » s’est aussi pendant longtemps incarnée dans le rêve américain. Dès les années 1880, des dizaines de milliers de juifs d’Europe centrale partent pour les Etats-Unis où ils espèrent une vie meilleure, loin des Cosaques, des pogroms et de ce tsar honni. Mais la « terre promise » la plus récente fut évidemment la Russie après l’effondrement du soviétisme. En quelques années, une poignée d’« oligarques » avait réussi à mettre le grappin sur une grande partie des richesses russes privatisées. Le plus connu d’entre eux, le milliardaire Khodorkovski, dort aujourd’hui dans les prisons de la nouvelle Russie de Vladimir Poutine. Manifestement, cette nouvelle « terre promise » n’a pas non plus été la bonne ! Bref, vous l’avez compris, depuis la sortie du ghetto, les juifs ne cessent de changer de « terre promise », et leur errance se termine systématiquement par une déception. Seuls les Etats-Unis représentent toujours à leurs yeux cet Eldorado et nourrissent encore leurs espérances. Mais pour combien de temps ? 


Vous nous entretenez ici d’histoire et de géographie, mais le messianisme et l’idée de terre promise ne sont-ils pas plutôt des concepts religieux ? 

HR : Nous rentrons ici au cœur du sujet. Si vous allez discuter avec un rabbin dans la rue des Rosiers, il va immédiatement vous dire que les juifs aspirent par-dessus tout à l’instauration d’un monde de Paix, un monde dans lequel tous les conflits auront disparu, qu’il s’agisse des conflits sociaux, ou qu’il s’agisse des conflits entre races ou nations. C’est à ce monde de Paix universelle qu’il faut parvenir, parce que ce monde de Paix se confond pour eux avec les temps messianiques. Les auteurs sont ici assez clairs. Voici ce qu’écrit le philosophe Emmanuel Lévinas à ce sujet : « On peut grouper les promesses des prophètes en deux catégories : politique et sociale. L’aliénation qu’introduit l’arbitraire des puissances politiques dans toute entreprise humaine, disparaîtra ; mais l’injustice sociale, l’emprise des riches sur les pauvres disparaîtra en même temps que la violence politique… Quant au monde futur, poursuit-il, notre texte le définit comme l'humanité unie dans un destin collectif. » ("Difficile liberté", 1963, pp. 85-86.) 

Le Grand Rabbin du Consistoire central, Jacob Kaplan a rappelé lui aussi dans "Le vrai Visage du judaïsme" (Stock, 1987) le passage célèbre qui est l’une des sources du messianisme juif : « le loup habitera avec la brebis, le tigre reposera avec le chevreau ; veau, lionceau, bélier vivront ensemble et un jeune enfant les conduira. » (Isaïe, XI, 6 à 9). « C’est évidemment une image, ajoute Kaplan, des relations qui s’établiront entre les nations, heureuses de maintenir entre elles l’union et la concorde. » 

Dans son livre sur le messianisme, David Banon confirme bien cette vision du monde : « L’ère messianique telle qu’elle a été décrite par l’ensemble des prophètes consiste en la suppression de la violence politique et de l’injustice sociale. »

Les prophéties hébraïques nous promettent donc à la fois une progression de l’humanité vers un monde unifié, et parallèlement à cela, la suppression des inégalités sociales. On reconnaît là évidemment aussi bien les sources primitives du marxisme que celles qui inspirent aujourd’hui notre idéologie planétarienne en ce début de troisième millénaire, et qui, publicité aidant, fait rêver tant de nos concitoyens. Voilà le point central de la vision juive du monde. C’est de là qu’il faut partir si l’on veut comprendre l’univers mental des juifs. Et c’est ce qui explique que les juifs ont toujours le mot « paix » plein la bouche. Leur « combat pour la paix » est incessant.

Un exemple : En mars 2000, Chirac inaugura un « Mur pour la paix » sur le Champ de Mars, conçu par Clara Halter, l’épouse de l’écrivain Marek Halter : c’est une sorte de vestibule de verre, où la petite Clara a écrit le mot « Paix » en trente-deux langues, pour narguer, on imagine, les élèves-officiers de l’école militaire installés juste en face. Ces œuvres ont une signification religieuse que bien peu de goys peuvent déceler. 

On peut donc avancer que le concept de « terre promise » ne signifie rien d’autre qu’un espoir de dimension planétaire, où toutes les nations auront disparu. C’est bien ce que nous dit le philosophe Edgar Morin, lorsqu’il écrit : « Nous n’avons pas la Terre promise, mais nous avons une aspiration, un vouloir, un mythe, un rêve : réaliser la Terre patrie. » Et c’est aussi ce dont parle Jacques Attali, dans "L’Homme nomade" : « faire du monde une terre promise. » C’est donc ce monde unifié, pacifié, qui sera la « terre promise ». Mais les textes nous laissent parfois penser que dans l’esprit de certains intellectuels, l’idée est prise au sens littéral : ce serait bien toute la Terre qui leur serait promise ! D’où certains comportement parfois un peu envahissants… [...]

On entend souvent dire que les juifs étaient considérés par les nazis comme une « race inférieure ». Vos recherches, je crois, tendent à démontrer qu’ils auraient plutôt tendance à se considérer eux-mêmes comme « la race supérieure ». Qu’en est-il ? 

HR : Je puis vous assurer qu’il existe un orgueil immense d’appartenir au « peuple élu ». Et cet orgueil se combine chez les intellectuels, avec un mépris non moins grand pour les nations sédentaires, considérés, comme très nettement inférieures. Les propos à ce sujet sont innombrables. Voici ce qu’écrivait par exemple Bernard-Henri Lévy, dans le premier numéro du journal Globe en 1985 : « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux ». Les « patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries » le dégoûte au dernier degré : tout cela n’est qu’un « repli frileux et crispé sur les identités les plus pauvres ». « Parler patois, danser au rythme des bourrées, marcher au son des binious… tant d’épaisse sottise » l’ « écœure ». (L’Idéologie française, 1981, pp. 212-216). 

Le philosophe Emmanuel Lévinas a exprimé lui aussi sa foi dans les vertus du déracinement et du nomadisme. Pour lui, la plus grande arriération, assurément, est celle que représentent les civilisations païennes de l’antiquité : « Le paganisme, écrit-il, c’est l’esprit local : le nationalisme dans ce qu’il a de cruel et d’impitoyable. Une humanité forêt, une humanité pré-humaine. » Assurément, tout cela ne vaut pas le génie des bédouins du désert : « C’est sur le sol aride du désert où rien ne se fixe, que le vrai esprit descendit dans un texte pour s’accomplir universellement… La foi en la libération de l’homme ne fait qu’un avec l’ébranlement des civilisations sédentaires, avec l’effritement des lourdes épaisseurs du passé… Il faut être sous-développé pour les revendiquer comme raison d’être et lutter en leur nom pour une place dans le monde moderne. » 

Il ne suffit donc pas à ces intellectuels de nous raconter n’importe quoi, de nous endormir avec les droits de l’homme, de nous ligoter les mains dans le dos avec les lois répressives, et de nous injecter dans les veines un corps étranger. Il faut aussi qu’ils nous glissent à l’oreille leur mépris pour nos vieilles cultures. Mais le mépris ne semble pas apaiser complètement leur esprit de vengeance. Il faut encore qu’ils nous insultent et nous crachent au visage : « ignorants, xénophobes, paranoïaques, stupides, délirants, etc. » : voilà ce que nous sommes. Dans La Vengeance des Nations (1990), Alain Minc, qui nous explique les bienfaits de l’immigration, nous assure que c’est « l’ignorance qui alimente la xénophobie » (p. 154), qu’il faut donc « lutter contre le délire xénophobe » et en finir avec cette « paranoïa française » (pp. 208). Et pour ce faire, Alain Minc propose de favoriser systématiquement les immigrés par rapport aux Français sur le modèle américain. Comme le proclame le très médiatique Michael Moore, aux Etats-Unis, dans son livre sorti en 2002, ce n’est plus vraiment la peine de prendre de gants avec ces "Stupid White Men" (c’est le titre du livre), puisqu’ils ne comprennent rien à rien à ce qui leur arrive. 

Et je ne vous récapitulerai pas ici de tous ces films innombrables dans lesquels les cinéastes cosmopolites semblent assouvir leur vengeance contre la civilisation chrétienne et l’homme blanc en général. Il me paraît évident, au regard de toute cette logorrhée, que ces gens-là nous haïssent. S’ils étaient fluorescents, clignotants ou s’ils portaient un gyrophare sur le tête, on y verrait un peu plus clair ! 

Comment expliquez-vous ce sentiment manifeste de vengeance, alors que les textes religieux tendent vers la paix universelle ? D’où vient cette vengeance dont vous parlez ?

HR : L’esprit de vengeance se retrouve dans de très nombreux textes. Il transparaît sous la plume de romanciers comme Albert Cohen, dans Frères humains, ou chez Patrick Modiano (La Place de l’Etoile). 

Le grand Gourou américain du courant afro-centriste, Martin Bernal, qui est un « blanc », lui aussi, a lui aussi évoqué ce sentiment : « Mon but est de réduire l’arrogance intellectuelle des Européens. » Maintenant, si l’on se plonge dans un passé plus lointain, on peut se rendre compte que ces permanences ont traversé les siècles sans prendre une seule ride. 

Au début du XVIe siècle, par exemple, Rabbi Chlomo Molkho, qui était considéré par de nombreux juifs comme une figure messianique, écrivit ses visions prophétiques très révélatrices dans lesquelles on retrouve l’idée d’une « vengeance contre les peuples » qui va s’accomplir. Il nous assure aussi que « les étrangers seront brisés » et que « les nations trembleront. » (Moshe Idel, "Messianisme et mystique", 1994, pp. 65-66). Et Moshe Idel fait ce commentaire : « le poème de Molkho évoque clairement l’avènement d’une double vengeance : contre Edom et contre Ismaël », c’est-à-dire contre la chrétienté et l’islam, puis ajoute un peu plus loin : « Dieu révèle non seulement comment lutter contre le christianisme… mais encore comment briser la force du christianisme pour qu’advienne la Rédemption. » (page 48). C’est clair, non ? 

On peut trouver ce type de délire prophétique chez bien d’autres personnages historiques juifs, tel cet Isaac Abravanel (Editions du Cerf, Paris, 1992), qui était le chef de la communauté juive d’Espagne avant l’expulsion de 1492, et qui devint un des héros mythique des Juifs d’origine ibérique. Il a lui aussi exprimé très explicitement la vengeance du peuple d’Israël contre la chrétienté et appelait déjà « toutes les nations à monter vers la guerre contre le pays d’Edom » (vision d’Obadia, dans la Genèse 20, 13) (page 256). 

Pour ceux qui s’interrogent encore sur les raisons de cette haine séculaire, voici une petite explication : « Il est proche le jour où l’éternel tirera vengeance de toutes les nations qui ont détruit le Premier Temple et qui ont asservi Israël dans l’exil. Et à toi aussi, Edom, comme tu as fait lors de la destruction du Second Temple, tu connaîtras le glaive et la vengeance. (Obadia)… Toute délivrance promise par Israël et associé à la chute d’Edom. » [Lamentations 4, 22] (page 276). 

Cette haine vengeresse de vingt siècles a été aussi exprimée par le philosophe Jacob Talmon, qui écrit aussi en 1965 : « Les Juifs ont des comptes sanglants et très anciens à régler avec l’Occident chrétien. » Pierre Paraf, l’ancien président de la LICA (Ligue contre l’antisémitisme), rappelle, par la voix d’un personnage de son roman réédité en l’an 2000 : « Tant de nos frères, marqués de la rouelle, gémissent sous le fouet du chrétien. Gloire à Dieu ! Jérusalem les réunira un jour ; ils auront leur revanche ! » 2000 ans de haine ! Il faut croire que ces gens-là ont la rancune tenace !

Quelques livres d'Hervé Ryssen :




L’eschatologie, c’est l’étude de la fin des temps. Dans les trois grandes religions monothéistes que sont le judaïsme, le christianisme et l’islam, il y a cette croyance que le monde que nous connaissons a été créé par Dieu, mais qu’il doit aussi se terminer.

Les cataclysmes, les guerres et toute sorte d’événements terrifiants qui doivent avoir lieu se retrouvent dans chacune de ces grandes traditions, ainsi que chez les anciens Aryas et dans la mythologie nordique. Du combat final contre les forces du mal – la grande guerre de la fin des temps – naîtra un monde régénéré, d’où seront bannis les incroyants et les hérétiques.

L’histoire a donc un sens : celle que lui donnent les hommes. On voit ici que la ligne de fracture ne se situe pas tant entre les adeptes d’une vision linéaire et les adeptes d’une vision cyclique de l’histoire, qu’entre ceux qui croient à une victoire terrestres et qui s’activent en ce sens, d’un côté, et ceux qui vivent dans la nostalgie d’un Âge d’or passé ou la vague espérance d’un paradis éternel dans l’au-delà.

C’est l’eschatologie qui permet de comprendre pourquoi, aux États-Unis, des millions de chrétiens évangéliques sont les plus fervents partisans de l’État d’Israël.

C’est l’eschatologie qui permet de comprendre pourquoi les musulmans sont aujourd’hui leurs ennemis les plus acharnés.

C’est l’eschatologie qui permet de comprendre le triomphe de l’idéologie mondialiste, le long déclin de l’Église catholique et la crise morale que traverse l’Occident.




Les Juifs ont un rapport très particulier avec l'argent. Il ne s'agit pas là d'un odieux « préjugé antisémite », mais d'une réalité tangible, puisque les Juifs sont très largement sur-représentés parmi les milliardaires de la planète. Depuis la nuit des temps, disséminés dans tous les pays, ils sont connus pour s'adonner au grand commerce international. Ils sont aussi, depuis des siècles, les maîtres de la banque et de la spéculation.

Naturellement, tous les financiers internationaux ne sont pas juifs – il s'en faut de beaucoup – et inversement, tous les juifs n'exercent pas les métiers de la banque. Mais il est indéniable qu'ils y ont joué et qu'ils y jouent encore un rôle moteur. Ils sont aussi les rois des escroqueries. Les records en la matière ne cessent d'être pulvérisés ; pas simplement dépassés, mais bien « pulvérisés », au point que les affaires précédentes évoquées dans La Mafia juive, en 2008, paraissent relever d'une autre époque.

Là encore, il faut préciser que tous les escrocs ne sont pas des juifs, et que tous les Juifs ne sont pas des escrocs. Mais on peut difficilement cacher le fait que tous les très grands escrocs internationaux sont des membres de cette communauté.




L'histoire du judaïsme est celle d'une secte en guerre permanente avec le reste de l'humanité. Ainsi, à toutes les époques et dans tous les pays, les juifs ont naturellement suscité l'antisémitisme. 

Le scénario qui se déroule est alors toujours le même : après les violences et les règlements de compte, les goys (les non-juifs) légifèrent pour tenter d'endiguer le phénomène puis expulsent les indésirables. Mais inévitablement, au bout d'un certain temps, ceux-ci parviennent à se réintroduire dans la place et recommencent leurs trafics et leurs intrigues, n'ayant rien appris de la leçon qui leur a été donnée. 

Cette histoire dure depuis trois mille ans. Après la lecture de ce livre, en tout cas, on l'espère, personne ne parlera plus jamais de civilisation judéo-chrétienne.



La christianophobie au cinéma

À la télévision et au cinéma, les chrétiens sont le plus souvent représentés comme des gens bigots, bornés, racistes et intolérants, voire comme des violeurs ou des assassins. Quant au clergé catholique, il est le plus souvent dépeint comme un repère de sadiques.

Les films contenant ici ou là une charge anti-chrétienne se comptent par dizaines, et la liste se complète de plusieurs films chaque année.

Il faut donc se rendre à l'évidence : le christianisme - et plus particulièrement l'Église catholique - est attaqué au cinéma comme ne le sont ni l'islam, ni le judaïsme, ni aucune autre communauté au monde.

Depuis quelques décennies, les messages sont même de plus en plus explicites et agressifs, comme si l'affaiblissement du christiannisme en Occident excitait une haine vengeresse trop longtemps contenue.


Ce livre de 64 pages est accompagné d'un DVD contenant un documentaire vidéo de deux heures.





Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...