La société actuelle est obnubilée par la réussite, l’argent et le pouvoir. Des objectifs de vie qui tendent à éloigner de la réalité du monde. Dans l’optique d’attirer l’attention sur ce qui est essentiel, un artiste de rue transforme des ruines en œuvre d’art. Les résultats sont épatants.
DES DÉCOMBRES RETROUVENT UNE NOUVELLE VIE GRÂCE À UN MAÎTRE DE LA PEINTURE
Tous les génies ne demandent pas à être célèbres, mais leurs travaux méritent qu’on s’y attarde. C’est le cas de Thrashbird, un artiste de rue dont les créations sont fantastiques.
En effet, il a décidé de redonner vie à des vieux blocs de béton en transformant des ruines en œuvre d’art. Un projet intitulé “thrashbird’s valley of secret values“ ou “ la vallée des valeurs secrètes de thrashbird“.
Thrashbird a commencé ce projet artistique en 2014, dans l’Oregon. Pour ce faire, il a cherché un endroit à l’abandon dans lequel il pourrait laisser libre cours à son imagination. Une recherche qui lui a permis de trouver “ un labyrinthe de monolithes géants“. Ce dernier est devenu le site dans lequel son projet trouva vie.
En fait, l’artiste voit dans les débris des immeubles à l’abandon une beauté qui s’effrite à travers le temps. Il s’agit là d’une sorte de métaphore décrivant la société de consommation toujours en quête de nouveauté.
À l’exemple de ce sac à main Chanel dont les lanières sont soigneusement imitées avec des pneus en or reliés par des cordes. Une image symbolisant le gaspillage et la pollution sans fin de l’homme.
DES CRÉATIONS QUI POUSSENT AUSSI À LA RÉFLEXION
Il faut savoir que, cet adepte de la peinture à la chaux est un représentant de l’agence artistique JM art management. En outre, Thrashbird n’est en fait qu’un simple pseudonyme, il travaille surtout en incognito.
Cette façon de travailler est donc un moyen pour l’artiste de montrer sa vision du monde. Mais c’est aussi sa manière d’exprimer sa propre lutte personnelle entre “ego“ et “grandeur“. Une bataille visible par rapport à la taille du projet.
D’autre part, même si ce sculpteur fait usage d’un nom empreint pour signer ses productions, il utilise un clone. Ce dernier est surtout visible par terre, pour faire un clin d’œil aux piétons plongés dans leur portable.
Ainsi, Thrashbird, artiste innovant dans les créations, pousse à la réflexion sur la société de consommation...
L’artifex, pour les anciens, c’est, indifféremment, l’homme qui exerce un art ou un métier ; mais ce n’est, à vrai dire, ni l’artiste ni l’artisan au sens que ces mots ont aujourd’hui (et encore celui d’« artisan » tend-il de plus en plus à disparaître du langage contemporain) ; c’est quelque chose de plus que l’un et que l’autre, parce que, originairement tout au moins, son activité est rattachée à des principes d’un ordre beaucoup plus profond. Si les métiers comprenaient ainsi en quelque manière les arts proprement dits, qui ne s’en distinguaient par aucun caractère essentiel, c’est donc qu’ils étaient de nature véritablement qualitative, car personne ne saurait se refuser à reconnaître une telle nature à l’art, par définition en quelque sorte ; seulement, à cause de cela même, les modernes, dans la conception diminuée qu’ils se font de l’art, le relèguent dans une sorte de domaine fermé, qui n’a plus aucun rapport avec le reste de l’activité humaine, c’est-à-dire avec tout ce qu’ils regardent comme constituant le « réel », au sens très grossier que ce terme a pour eux ; et ils vont même jusqu’à qualifier volontiers cet art, ainsi dépouillé de toute portée pratique, d’« activité de luxe », expression qui est bien vraiment caractéristique de ce qu’on pourrait, sans aucune exagération, appeler la « sottise » de notre époque.
"(...) tout le monde sait que la Saoudie finance, larga manu, non seulement le terrorisme international dit islamiste, mais aussi la formation massive d’imams propageant la doctrine wahhabite qui prône une interprétation erronée de l’islam, sachant que cette doctrine découle en droite ligne de l’origine sabbataïste de ses concepteurs et promoteurs." Le Libre Penseur
La population musulmane de France compterait 15 à 17 millions de personnes, mais on ne connaît pas le nombre exact à cause de la loi interdisant la collecte officielle de données sur l'origine ethnique.
A ces 15 à 17 millions de personnes, il faut ajouter la population musulmane ayant immigré en France depuis l'Afrique du Nord dans les années 1960 et au début des années 1970. Il y en a plusieurs millions - personne ne sait combien précisément. Les démographes ne considèrent plus leurs petits-enfants et arrière-petits-fils comme des musulmans. Ces musulmans entrent dans les statistiques en tant que citoyens français, nés de parents français. Ils sont musulmans, mais ne tombent pas dans le champ de la statistique.
En 2015, selon une étude de l'INSEE, 42% des 7,3 millions d'enfants nés en France de parents immigrés ont des racines africaines, principalement en Afrique du Nord. Ils venaient d'Algérie (15%), du Maroc (11%), de Tunisie (5%) et des pays du sud du Sahara (11%). Bien que l'étude ne précise pas, mais, apparemment, la grande majorité serait musulmane.
Les enfants des familles de migrants turcs, représentent 4% des 7,3 millions de personnes. Ces personnes sont classées comme Asiatiques ; elles ne sont pas incluses dans les groupes africains et musulmans. La plupart de ceux qui ont des racines turques sont aussi supposément musulmans.
Été 2018
Au bord de l'eau, le musulman doit porter un maillot de bain spécial (le rajoul) qui couvre la partie du corps à dissimuler obligatoirement (l'awra) qui va du nombril au bas des genoux. Pour cacher l'awra de la musulmane, il faut un burkini qui laisse apparaître seulement le visage, les mains et les pieds.
Il mange de l’uranium, enflamme du plutonium dans sa main, a bu et nagé dans l’eau usée d’un réacteur nucléaire !
Matt Groening, le créateur de la famille Simpson en 1986, a-t-il fait de son héros Homer Simpson un grand consommateur d'uranium en se référant à Galen Windsor ?
D'après BEFORE IT'S NEWS :
Galen Windsor est un ingénieur nucléaire qui a réveillé les gens au sujet des mensonges que l’on nous a racontés au sujet de l’énergie nucléaire et de la radioactivité. Il l’a fait dans les années 80 avant qu’il n’y ait un internet, alors pourquoi pas autant de gens à ce sujet. Stew Webb a rencontré Galen alors qu’il allait faire une conférence sur la vérité. Stew dit que Galen est 100% légitime et correct et lui a montré comment manipuler l’uranium et le plutonium en toute sécurité. Cette conférence va vous époustoufler ! Tout ce qu’on nous a dit sur l’énergie nucléaire et les radiations est un mensonge. Ce n’est pas une grande surprise puisqu’ils mentent sur tout !
Il mange de l’uranium, enflamme du plutonium dans sa main, a bu et nagé dans l’eau usée d’un réacteur nucléaire !
Galen manipule des substances radioactives pendant la conférence et mange même de l’uranium ! Il joue avec du plutonium et l’enflamme dans sa main ! Il dit que la raison pour laquelle les substances radioactives comme l’oxyde d’uranium ne peuvent pas vous nuire, c’est qu’elles ne sont pas solubles. Elles ne peuvent pas être décomposées par les acides de votre corps, alors elles traversent tout simplement le corps. Ils ne vous le diront jamais, bien sûr. Bien que je ne mangerais pas de l’uranium tous les soirs, cette conférence devrait apaiser toutes vos inquiétudes en ce qui concerne le nucléaire. Si cet homme peut manger de l’uranium, boire l’eau d’un réacteur, nager dans la piscine de refroidissement et travailler toute sa vie dans l’industrie nucléaire sans aucun problème de santé, je ne pense pas que nous devrions beaucoup nous inquiéter !
Galen a découvert que les normes de rayonnement du gouvernement étaient 1 million de fois plus basses que ce à quoi il était exposé pendant les premiers jours des réacteurs nucléaires avant même qu’ils n’aient des détecteurs de radiation ! Il affirme que vous pouvez être exposé à 60 Roentgens (R) par heure et que vos cellules ne seront pas endommagées parce qu’elles s’auto-réparent. Elles ne mutent pas comme on nous l’a dit. Ils ont fixé les limites de radiation des millions de fois plus bas que ce à quoi il a été exposé pendant des décennies ! Il dit qu’une grande raison est d’effrayer les gens à propos de tout le combustible nucléaire qui traîne et qui pourrait être facilement volé si les gens se rendaient compte qu’il n’est pas dangereux ! Un de ses propres patrons lui a même dit qu’ils ne voulaient pas que les gens volent le combustible nucléaire ! Pour prouver son point de vue sur les radiations, il a nagé dans une piscine de refroidissement avec de l’eau usée et a bu l’eau de celle-ci en utilisant une bouteille en plastique qu’il gardait sur son bureau ! C’est de la folie !
Essentiellement, il dit que nous devrions tous avoir accès à l’électricité dans nos foyers pour à peine 20 euros par mois maximum. Il dit qu’il y a tellement de combustible nucléaire déjà traité et que l’exploitation des centrales nucléaires est bon marché en excluant les règlements ridicules, qu’elles ne valent pas la peine que l’on prenne des précautions de sécurité ! Ils veulent faire payer des milliards aux consommateurs en enterrant du “carburant” alors que ce n’est pas du tout nécessaire ! C’est une arnaque pour que les gens gagnent de l’argent et que le consommateur le mange comme toujours !
Une autre pépite est que l’État profond a donné tous nos secrets nucléaires directement à la Russie et les a expédiés par avion ! Il dit que la disparition de Three Mile Island était une escroquerie totale. Ils ont fait un livre à ce sujet avant l’événement et l’île n’a pas fondu du tout ! Il dit que toute l’usine aurait pu fonctionner à nouveau en 6 semaines sans problème ! Il s’agissait d’un événement planifié pour laver le cerveau des gens au sujet des radiations nucléaires afin d’empêcher le vol de leur précieux combustible, car il y a tellement d’uranium sans surveillance dans les centrales.
Pour Philippe de Villiers, "Macron a perdu sa sacralité"… après la fête de la musique à l’Elysée
Par Louis Hausalter
Il nous avait habitués à afficher sa proximité avec Emmanuel Macron. Mais Philippe de Villiers ne s'est pas remis de la fête de la musique électro à l'Elysée...
Emmanuel Macron ? « S’il avait une soirée à perdre, il préférerait la passer avec moi plutôt qu'avec Christophe Castaner », fanfaronnait Philippe de Villiers sur BFMTV en avril. Mais il se trouve que le chef de l’Etat aime aussi passer ses soirées avec des DJ électro, comme il l’a montré en leur ouvrant les portes de l’Elysée pour la fête de la musique, le 21 juin… Et cela, ce n’est pas du tout du goût de Villiers, qui n’a pas digéré la photo d’Emmanuel et Brigitte Macron entourés du DJ Kiddy Smile et de ses danseurs, ainsi que leur démonstration enflammée de voguing - mouvement issu de la communauté LGBT noire et latino aux Etats-Unis - sur le perron du palais présidentiel. « C’est une insulte au cœur de la France ! », a rageusement tweeté Philippe de Villiers.
Il est vrai qu’on est assez loin du Puy du Fou, de ses courses de chars et de ses duels chevaleresques, auxquels Macron avait assisté au côté de Villiers en 2016, lorsqu’il était encore ministre de l’Economie… Alors l’ex-candidat à la présidentielle, qui a loué à plusieurs reprises le chef de l’Etat pour avoir restauré « la symbolique régalienne », « ne comprend pas ». « Je suis un peu perdu. Qu’est-ce qui correspond à ce qu’il pense ? », s’interroge Villiers. La fin tragique d’une idylle ?
« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »
Simone Veil
Simone Veil, décède le vendredi 30 juin 2017. Elle entrera au Panthéon le 1er juillet 2018 pour avoir obtenu, dit-on, le "droit à l'avortement". Or Simone Veil n'a jamais défendu de droit à l'avortement.
Les politiciens ont-ils modifié l'esprit de la loi Veil afin d'offrir un gigantesque holocauste aux forces des ténèbres ? Forces qui sont, n'en doutons pas, au cœur des loges occultes où l'on coopte les valets de la république.
Le nombre d'IVG dépasse les 200 000 par an
Simone Veil était opposée à la banalisation de l’avortement dont elle considérait qu'il "restera toujours un drame" et précisa au sujet de sa loi que "si elle n'interdit plus, elle ne crée aucun droit à l'avortement".
Le droit d’accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a été renforcé, en 2014, par la suppression de la condition de détresse, prévue initialement dans la loi du 17 janvier 1975. Le délai de réflexion de sept jours entre les deux premières consultations a également été supprimé...
La loi Veil fut définitivement enterrée sous François Hollande
"Le 26 novembre 2014, écrit Pascal Borie, l'Assemblée Nationale votait une "résolution réaffirmant le droit fondamental à l'interruption volontaire de grossesse en France et en Europe". Adopté à l'unanimité moins sept voix, ce texte symbolique prétendait célébrer solennellement les 40 ans de l'adoption de la loi Veil de 1974. Le Monde titrait "Le droit à l'avortement a 40 ans", Libération "La bataille de Simone Veil pour le droit à l'avortement" et Madame Figaro "Le droit à l'avortement menacé en Europe"...
Problème : la malheureuse Simone Veil n'étant plus en âge de le faire, personne ou presque n'a fait remarquer qu'il s'agissait au contraire d'enterrer définitivement sa loi, et que tous ces titres relevaient d'un révisionnisme éhonté. A l'occasion de son propre discours devant l'Assemblée le 26 novembre 1974, celle qui était à l'époque ministre de la Santé avait exposé on ne peut plus clairement l'esprit de sa loi : "Si elle n'interdit plus, elle ne crée aucun droit à l'avortement."
Le Monde, Libération ou Madame Figaro ont donc tout faux: Aucun droit à l'avortement n'a jamais été proclamé en France. Pas plus qu'en Europe, puisque la Commission de Strasbourg réaffirmait à l'inverse le 10 décembre dernier (2014) que l'IVG ne saurait être un "droit". En 1974 déjà, Simone Veil affirmait la nécessité de ne pas confondre l'avortement, "que la société tolère mais qu'elle ne saurait ni prendre en charge ni encourager", avec la contraception.
Son discours était limpide: "L'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue." Et sa loi ne devait s'appliquer que pour une durée limitée à cinq ans, le temps de trouver de meilleures solutions. Concernant la génération politique de ses successeurs, la ministre de la Santé déclarait: "Sachons lui faire confiance pour conserver à la vie sa valeur suprême." Elle ne doutait pas qu'ils agiraient de façon responsable.
En attendant, la loi Veil "interdit l'incitation à l'avortement par quelque moyen que ce soit car cette incitation reste inadmissible". Et ce, pour une raison évidente: "C'est toujours un drame et cela restera toujours un drame. C'est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s'il admet la possibilité d'une interruption de grossesse, c'est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme." Ainsi parlait madame Veil il y a 40 ans.
"Qui est pour l'avortement ? Personne. Il faudrait être fou pour être favorable à l'avortement", écrivait quant à lui Pier Paolo Pasolini dans ses Lettres luthériennes. "Eh bien moi, ajoutait-il, je me suis prononcé contre l'avortement et pour sa légalisation". Exactement comme Simone Veil, lorsqu'elle confiait: "Personne ne peut éprouver une satisfaction profonde à défendre un tel texte." Car enfin: "Personne n'a jamais contesté, et le ministre de la Santé moins que quiconque, que l'avortement soit un échec quand il n'est pas un drame."
Alors qu'elle jugeait inconcevable d'en tirer une quelconque fierté, c'est lui faire la pire injure aujourd'hui que de falsifier ainsi le sens de la loi qui porte son nom, pour la travestir en un "droit fondamental" aberrant: celui de recourir encore et encore à ce qu'elle a toujours considéré comme une tragédie, et de prolonger indéfiniment ce qu'elle espérait n'être qu'une solution d'exception, faute de mieux. Non seulement madame Veil n'a pas mérité ça, mais elle aurait mérité qu'un peu plus de sept voix défendent son réel combat."
La cérémonie du 1er Juillet, évoquant l'holocauste des anges (l'avortement est faiseur d'anges, disait-on), est précédée d'un hommage au Mémorial de la Shoah (l'holocauste des juifs), dont l'exploitation a permis à la Cabale d'affirmer sa domination mondiale.
(Chico : diminutif de Francisco - Franciscus papa)
François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit de l’hommiste
par Ivan Rioufol
S’il est une personnalité dont il ne faut pas suivre les conseils concernant l’immigration, c’est le pape François. C’est pourtant ce que risque de faire Emmanuel Macron.
A l’issue de sa rencontre avec le Saint Père, mardi (26 juin 2018) au Vatican, le chef de l’Etat a confié que la conversation avait notamment porté sur "les populismes". Selon La Croix de ce mercredi, les deux hommes partagent la conviction qu’il faut aujourd’hui "entendre les angoisses dans la société, mais ne pas céder à la manipulation de ces peurs". Or la position que défend le pape, d’une ouverture de l’Europe à l’Autre, n’est qu’en apparente conformité avec le message du Christ ("J’étais étranger et vous m’avez accueilli", Matthieu).
Le 16 avril 2016, sur l’île grecque de Lesbos, François a invité les Européens à l’accueil sans limite des étrangers, comme le rappelle Jean-Philippe Vincent dans une note pour la Fondation pour l’innovation politique (Ethique de l’immigration, juin 2018, Fondapol) : "L’Europe est la patrie des droits humains, et quiconque pose le pied en terre européenne devrait pouvoir en faire l’expérience (…)", avait-il notamment déclaré.
Le christianisme n’a jamais eu pour prétention d’être une doctrine politique destinée à changer le monde
Cependant, cette vision millénariste, qui voudrait faire la cité de Dieu sur terre en oubliant les nations, est contestable et dangereuse. Le christianisme n’a jamais eu pour prétention d’être une doctrine politique destinée à changer le monde. "Mon royaume n’est pas de ce monde", dit Jésus.Comme l’écrit Jean-Louis Harouel dans un livre déjà cité (Revenir à la nation, Editions Jean-Cyrille Godefroy, 2014) : "La manière chrétienne de changer le monde consiste à se changer soi-même", tandis que la démarche millénariste vise "à changer les autres". C’est ainsi que François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit de l’hommiste, insensible aux angoisses identitaires des Européens qui se tournent vers les populistes honnis.
Immigration le pire est à venir
Légitimes sont les peurs de ceux qui s’affolent de l’angélisme du Vatican et de l’entêtement de Macron à ne pas percevoir la crise migratoire. Le président préfère parler de "crise politique", au prétexte que les flux de clandestins ont effectivement baissé depuis 2015. Mais cet argument factuel ne tient pas, si gouverner c'est prévoir. Or la pression migratoire actuelle n’est rien en comparaison de ce qui s’annonce.
Selon un rapport de l’ONU de 2016, 60 millions de jeunes arabes se retrouveront, dès 2020, devant un marché du travail saturé.
Quant à l’Afrique, qui compte 1,2 milliard d’habitants (Europe : 510 millions), elle sera forte de 2,5 milliards d’habitants en 2050, tandis que l’Europe en aura perdu 60 millions. Si rien n’est fait dès à présent pour protéger l’Europe de l’immigration, il n’est pas besoin d’être prophète pour annoncer de profonds déséquilibres culturels et religieux à venir.
Ce mercredi matin, le navire humanitaire Lifeline attendait encore d’être autorisé à accoster sur l’île de Malte, l’Allemagne n’ayant toujours pas donné son aval à la solution commune retenue hier pour répartir les "migrants". Jeudi et vendredi, le Conseil européen, qui a toujours vanté les mérites de l’immigration, va devoir se confronter à ses erreurs et à leurs conséquences politiques. Elles mettent en péril l’avenir d’Angela Merkel. Si les européistes persistent dans leur ouverture impensée, en se contentant de la bénédiction papale, les peuples ne tendront pas l’autre joue.
En modernisant le catholicisme, la Compagnie s’en servira pour abattre ce qu’il reste des sociétés traditionnelles à travers le monde : que ce soit par la force, accompagnée d’armées européennes comme ce fut parfois le cas en Amérique ou, plus subversivement, par les idées, la propagande et l’enseignement comme ce fut plutôt le cas en Asie.
La Société de Jésus va s’imposer comme une nouvelle église, et bien qu’elle commença en Europe par prendre le masque du catholicisme afin de le récupérer, elle fera de même dans le monde avec le confucianisme, le bouddhisme, les idolâtries des Indiens d’Amérique du Sud, le brahmanisme, le chamanisme – bref, avec toutes les croyances traditionnelles qui n’avaient pas encore été éteintes par le monothéisme. Rapidement, les jésuites poseront les bases d’une « nouvelle religion mondiale », en promouvant une théologie qui vise à mettre en relief les points de ressemblance entre les différentes cultures et croyances.
Le catholicisme ne devint plus qu’un instrument parmi d’autres pour la Compagnie de Jésus qui, fondamentalement, méprisait cette religion.
« La Compagnie surpasse l’Église, tant parce qu’elle est le monument qui a révélé à la Terre les merveilles du Christ, que par les prérogatives singulières qu’elle octroie et décerne à ses fils. (…) Saint Ignace dépasse et surpasse tous les fondateurs d’ordres religieux. C’est lui qui s’est le plus rapproché du Christ. Il a vu intuitivement la Divine Essence. En fondant la Compagnie, il fonda pour la seconde fois l’Église. »
Les jésuites ne modèrent pas leur arrogance. Ignace disait déjà en son temps : « De cette chambre, je gouverne le monde entier ». Et, en quelques décennies, la Compagnie de Jésus devint le pouvoir international le plus important qui soit. [...]
Un matérialisme spirituel
La Compagnie de Jésus va, en fait, amener une nouvelle conception étrangère au catholicisme : Dieu est celui de la raison, et le progrès technique et intellectuel est son oeuvre. Les missionnaires doivent d’ailleurs convaincre les peuples non pas par la foi, mais par la raison.
Au sein de la Compagnie va donc proliférer ce qu’on appelle « le matérialisme spirituel » qui sacralise ce qu’il y a de plus matériel et de plus humain. La religion se résume à la vie terrestre et à une philosophie intellectualiste, sans aucune transcendance. Le salut de l’âme proposé par les jésuites est en fait sa perdition dans la contingence de l’incarnation. Plus aucune référence sacrée et authentique ne va persister dans leurs enseignements.
« L’énoncé le plus exact est que toutes les choses inanimées et irrationnelles peuvent être légitimement vénérées », affirme le père jésuite Gabriel Vasquez, énonçant là ce qui sera à compter parmi les fondements de l’athéisme, du nihilisme ou encore de la pseudo-spiritualité du Nouvel Âge.
Les jésuites ont introduit dans le catholicisme l’idolâtrie de la matière, véhiculée entre autre par la sacralisation du progrès scientifique.
Et lorsqu’ils affirmeront combattre l’idolâtrie, ils combattront en fait, comme en Asie, des systèmes religieux et philosophiques plurimillénaires qu’ils ne peuvent absolument pas comprendre, tout d’abord parce que ceux-ci sont adaptés aux Orientaux, et ensuite parce qu’ils sont à l’opposé des conceptions matérialistes de la Société de Jésus.
Un PDF gratuit de Freddy Malot "Un ANTI-PAPE de plus, François Dernier", "(...) un faux “François” flattant Jean XXIII, Vatican II et la clique
épiscopale française, un faux “Dominique” nous pend au nez, jouant du Pie IX (Vatican I), et
à la clique jésuitique des “Ultramontains” du Syllabus (menés par Mgr Manning – semence
de Newman – High church de Westminster)."
En France, des journalistes, des responsables d'ONG, des francs-maçons, des politiciens... sont des sayanim, autrement dit, des traîtres au service d'une puissance politico-financière et de son mondialisme messianique. (Israël n'est que la partie visible de l'iceberg occulte.)
Le Mossad et ses collabos français
Jacob Cohen : Les sayanim – informateurs en hébreu – sont des juifs de la diaspora qui, par « patriotisme », acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l’aide nécessaire dans le domaine de leur compétence. (Ils sont quelques milliers en France mais personne ne les connaît. Leur existence est niée. Leur force vient justement de leur infiltration secrète dans tous les secteurs de la société. Ils agissent en citoyens français, mais en réalité ils travaillent pour une puissance étrangère.) [...]
La puissance médiatique du lobby pro-israélien
JC : Je suis d’assez près l’actualité proche-orientale, et je consulte les médias des 2 bords. Et je suis sidéré, presque fasciné, par la puissance médiatique du lobby pro-israélien. Et comment il arrive à faire rentrer dans les esprits, jusqu’à devenir des banalités admises, des concepts comme « la seule démocratie de la région », ou tellement aberrants, comme « assurer la sécurité d’Israël ».
Le fait de savoir que des sayanim sont en grande partie le moteur de cette propagande permet une lecture plus lucide et plus pertinente de l’actualité. [...]
Un million de sayanim
JC : En France ils seraient près de 3000. Ostrovski, ex-agent du Mossad, estime leur nombre à 3000 rien qu’à Londres. On peut imaginer leur importance aux Etats-Unis. Mais le « réservoir » est infini. Si on associe le B'nai Brith (franc-maçonnerie juive internationale), la WIZO (organisation internationale des femmes sionistes), les organisations judéo-sionistes nationales, comme l’UPJF, l’UEJF, le CRIF… en France, ainsi que les sympathisants, on arrive facilement au chiffre de un million de juifs prêts à travailler pour le Mossad.
(Le B’nai B’rith, la franc-maçonnerie juive mondiale, forte de 500 000 membres, représente un réservoir inépuisable dans lequel le Mossad puise ses futurs « sayanim ». Mais on peut devenir « sayan » sans être lié au B’nai Brith.)...
"Le printemps des sayanim", le cinquième roman de Jacob Cohen, a révélé de façon prémonitoire l'influence prépondérante, et en particulier ses moyens d'action et de pénétration, d'une certaine communauté juive organisée et liée à Israël, pour renforcer l'alliance avec ce pays, et délégitimer toute forme de critique à l'encontre des politiques sionistes, en les faisant passer pour de l'antisémitisme.
Dix membres d'un groupe armé baptisé «Action des Forces Opérationnelles » (AFO) sont actuellement en garde à vue. Ils sont suspectés de vouloir commettre des attentats contre des musulmans, "des imams radicalisés, des femmes voilées, des détenus islamistes sortis de prison...". Ces attentats auraient provoqué un affrontement entre le monde « caucasien » helléno-chrétien et l’Islam présenté comme obscurantiste, terroriste et sanguinaire. Autrement dit, leur but était de générer le chaos de la guerre civile en France.
Il existe une "mystique du chaos" dans de redoutables mouvements messianiques qui œuvrent à la destruction de l'Europe helléno-chrétienne.
Vivez l'Apocalypse des trois derniers jours de la France.
Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément.
La cité s'embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose.
Forces de l'ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos.
Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d'approvisionnements, d'ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel.
Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s'apprêtent à faire face au carnage.
Les événements décrits dans "Guerilla" reposent sur le travail d'écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d'immersion au contact d'agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l'auteur du chef-d'oeuvre "Utøya" (l'affaire Breivik) et de l'enquête phénomène "La France Orange Mécanique" livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile.
La France Big Brother, enquête sur un sujet tabou : le conditionnement d'une population.
Michel Collon : La guerre de l'information fait rage surInternet. Des fanatiques disposent de moyens considérables pour neutraliser et détruire la réputation des personnes qui dénoncent les crimes de l'entité sioniste. Jacob Cohen : En France, la cinquième colonne d'Israël est composée de milliers d'agents nommés les sayanim, tous collaborateurs du Mossad. Ils occupent des postes importants dans de nombreux secteurs de la société française et notamment dans le domaine des médias...
Michèle Sibony, ex-présidente de l'Union juive française pour la paix (UJFP), réclame que Benjamin Netanyahou soit "jugé par la Cour européenne de justice pour crimes de guerre". Pour elle, le Premier ministre israélien, reçu par Emmanuel Macron à Paris, "a porté avec lui le sang de milliers de blessés pendant la marche du retour à Gaza et de plus de 100 morts, tirés à bout portant comme des lapins par des snipers alors qu'il s'agissait de gens désarmés qui manifestaient pacifiquement".
L'attentat du Bataclan : De nouvelles zones d'ombre...
Deux bateaux pour Gaza ont été interdits d'accoster à Paris par la préfecture, le 17 juin. "Ces bateaux font partie de la flottille internationale de la liberté qui tous les deux ans environ tentent de briser le blocus illégal de Gaza," dit Claude Léostic, coordinatrice en France pour la flottille pour Gaza. "On est dans une dérive extrêmement grave de l'État français. Ici ils interdisent des bateaux qui ont une vocation pacifique. La politique française actuelle prend une tournure qui est extrêmement inquiétante."
Monsieur le Président de la République, monsieur le Ministre de l’Intérieur,
La France a-t-elle une autonomie politique par rapport à l’État d’Israël ?
Dimanche dernier, 17 juin, une flottille de deux petits voiliers en route vers Gaza, dont ils tentent de briser le blocus imposé par Israël depuis 11 ans, s’apprêtait à accoster au Quai Saint Bernard, à Paris, où l’attendaient quelque 300 personnes.
Le matin, à l’écluse de Suresnes, ont surgi des zodiacs de la brigade fluviale de la Préfecture de Paris, qui ont imposé une fouille si pointilleuse que 2h30 ont été perdues. Enfin repartis, nos bateaux furent brutalement accostés près du lieu du rassemblement par les zodiacs de la police, qui les ont repoussés au milieu du fleuve, en les heurtant violemment. L’amarrage sur la berge de la Seine et l’accueil par les Parisiens mobilisés contre le blocus de Gaza – les élu.e.s et les personnalités dont M. Lang, président de l’Institut de Monde Arabe – n’auront pas pu avoir lieu.
En raison de quoi ? En quoi la sécurité publique parisienne était-elle menacée ? Pourquoi cet énorme déploiement policier sur la Seine, les berges et le quai St Bernard ? Quel était le donneur d’ordre ? L’Elysée ? Le Ministère de l’Intérieur ? L’ambassade d’Israël en France, dont on sait qu’elle a fait pression pour interdire cette escale de la Flottille ? La France est-elle sous influence d’un pays tiers ?
La semaine passée, un rapport révélait que trois sociétés françaises à capitaux publics sont impliquées dans la construction des lignes de tramway destinées à relier Jérusalem aux colonies israéliennes, toutes illégales, situées en Cisjordanie. Ainsi la France, qui dénonce officiellement la colonisation, continue, par l’action de sociétés comme Systra, Egis Rail et Alstom, de participer à la colonisation de Jérusalem.
D’où vient la consigne de bafouer les recommandations de l’Union européenne sur les relations économiques avec les colonies israéliennes en Cisjordanie ? De Bercy ? De l’Elysée ? De l’ambassade d’Israël en France ? La France est-elle sous influence d’un pays tiers ?
Le 12 juin, la mairie de Bezons, qui venait d’honorer par la pose d’une plaque la mémoire des Palestiniens dépossédés et violemment chassés de chez eux en 1947-49, s’est vue contrainte de l’enlever sur ordre du ministre de l’Intérieur et sous les pressions du Crif, l’officine de propagande israélienne en France. La France est-elle sous influence d’un pays tiers ?
S’y ajoute la scandaleuse visite, le 5 juin dernier, du criminel de guerre Netanyahou. Le Premier ministre israélien a été reçu avec tous les honneurs à l’Elysée, alors même que les manifestants pacifiques de Gaza tombaient par milliers, morts ou blessés, sous les balles israéliennes. Sans parler de la détention arbitraire de notre compatriote Salah Hamouri, dont on attend toujours la libération, demandée officiellement par Emmanuel Macron. Quelle humiliation pour la France !
Le président français doit affirmer les principes qui fondent la République. Paris n’est pas Tel-Aviv, la Seine ne coule pas en Israël.
Nous n’acceptons pas l’ingérence d’un État tiers dans les affaires de notre pays.
Paris, le 20 juin 2018
Les signataires :
Jérôme Gleizes, conseiller de Paris
Claude Léostic, coordinatrice de la Flottille de la Liberté en France
Raphaëlle Primet, conseillère de Paris,
présent.e.s sur les bateaux le 17 juin.
Avec Danielle Simonnet, conseillère de Paris
et les membres de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine et/ou du Collectif pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens :
AMANI (Association franco-palestinienne d’aide & de formation médicale )
AFPS (Association France Palestine Solidarité)
AJFP (Association de jumelages entre les camps palestiniens et les villes françaises)
Américains contre la Guerre
AURDIP (Association des universitaires pour le respect du droit international)
CICUP (Collectif interuniversitaire pour la collaboration avec les universités palestiniennes)
CJACP (Collectif judéo-arabe et citoyen pour la Palestine)
CJPP5 (Comité justice et paix en Palestine)
CVPR-PO (Comité de vigilance pour une paix réelle au Proche-Orient)
EELV (Europe Ecologie-Les verts)
ENSEMBLE
FEN (Femmes en noir)
LDH (Ligue des droits de l’Homme)
MIR (Mouvement international de la réconciliation)
MJCF (Mouvement des jeunes Communistes de France)
Mouvement de la paix
MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples)
L'évangile d'Israël est plus grand que l'Évangile de Jésus
(...) les Écritures disent que « le salut vient des Juifs », mais cela veut simplement dire que c’est par l’intermédiaire de cette nation que Dieu jugea bon d’inaugurer le Royaume de Dieu par la foi en Son Fils, Jésus. [...]
Dans son livre excellent, "Le sionisme chrétien – en route pour Armageddon" (Christian Zionism: Road-map to Armageddon), Stephen Sizer se plaint des principes des sionistes et des judaïsants, « Israël est élevé à un statut au-dessus de l’Église… Israël remplacera l’Église sur terre… des nations entières seront bénies au travers de leur association et leur support pour Israël… »
Il y a au milieu de nous une apostasie et une hérésie qui font rage. Un changement fondamental a eu lieu dans les dernières brèves décennies, changement qui a fait des dommages sévères et qui continue de causer des ravages à la foi chrétienne et à son message rédempteur. Jésus a dit : « …quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi » [Jean 12:32]. Les sionistes n’ont pas élevé Jésus, mais la juiverie mondiale et Israël. Leur message d’Israël alpha et omega a pris d’assaut de nombreuses églises et a détourné des dizaines de millions de personnes du message profond et vivifiant de Jésus et de la croix.
Pour les chrétiens sionistes, l’évangile d’Israël est plus grand que l’Évangile de Jésus.
W.G. Carr : "Quand on lit "The Talmud Unmasked" ("Le Talmud sans masque" de Pranaitis), avec ses terribles extraits du Talmud (la Loi), il est clairement démontré que cet ouvrage effrayant n’est aucunement fondé sur la Loi Mosaïque, telle qu’on la trouve dans la Bible, mais forgé à Babylone, par les adeptes de Baal (le démon)".
La troisième guerre mondiale - le métissage généralisé - l'éradication de la spiritualité - Jérusalem capitale du gouvernement mondial.
par William Guy Carr
Discours du Rabbin Emmanuel Rabinovitch, prononcé lors d’une réunion du Conseil d’urgence des Rabbins d’Europe, tenu en Hongrie le 12 janvier 1952 :
(...) "Le but vers lequel nous tendons toutes nos forces DEPUIS TROIS MILLE ANS est en vue ; et, puisque cette prophétie est si proche de sa réalisation, il nous appartient d’accroître nos efforts en les décuplant. Je puis vous assurer en toute certitude que dans les dix ans à venir, notre race occupera la place qui lui revient de droit dans le monde : faisant de chaque Juif un roi et faisant de chaque Goy un esclave [...].
La Synagogue de Satan et la guerre
(Rabinovitch annonce la Troisième Guerre mondiale)... "qui dépassera en destruction toutes les prévisions calculables. Israël, évidemment, conservera sa neutralité ; en sorte que lorsque les deux blocs se seront mutuellement dévastés et épuisés, nous puissions proposer notre arbitrage en envoyant partout des "Commissions de Contrôle", là où auront sombré les patries. Cetteguerre marquera le terme de notre lutte contre les Goyim." [...]
La disparition des "Blancs"
"Nous révélerons ouvertement notre identité avec les races asiatiques et africaines. Je peux avancer avec assurance qu’à présent les dernières générations d’enfants blancs ont vu le jour. Nos Commissions de Contrôle, ayant en vue d’une part les intérêts de la paix, d’autre part la cessation des tensions interraciales INTERDIRONT AUX BLANCS D’ÉPOUSER DES BLANCHES."
"De la sorte, la race blanche va disparaître, car le métissage des Blancs et des Noirs signifie la fin de l’Homme Blanc ; en sorte que notre plus mortel ennemi ne subsistera que comme souvenir. Alors s’ouvrira une ère de dix mille ans de paix et d’abondance : la Pax Judaïca ; et notre race régnera sans partage sur le monde. Notre intelligence supérieure nous met en état de demeurer les maîtres incontestés dans un monde peuplé de métis de Noirs."
L'éradication de la véritable spiritualité
— QUESTION : « Rabbi Rabinovitch, que pouvez-vous dire des religions variées après la Troisième Guerre Mondiale ? »
— Réponse de Rabbi Rabinovitch : « Il n’y aura plus du tout de religions. Non seulement l’existence d’une caste de prêtres demeurerait un constant danger qui menacerait notre Loi, mais la croyance d’une vie spirituelle dans l’au-delà alimenterait des forces de résistance contre nous. Nous maintiendrons cependant les rituels et les coutumes juives comme le signe royal de notre caste héréditaire ; renforçant nos lois raciales, en sorte qu’il ne soit permis à aucun Juif de se marier en dehors de sa propre race, ni qu’aucun étranger ne soit accepté par nous. » [...]
Jérusalem capitale du gouvernement mondial
Le RABBIN JULIUS T. LOEB nous dit : « Les Juifs qui gouvernent à Washington sont tous répertoriés dans le Who’s Who comme détenant la Fortune de la Nation en 1929- 1930, ainsi qu’en témoigne le titre attribué à Jérusalem : « ICI — À JÉRUSALEM — SE TROUVE LA TÊTE DE LA HAUTE-FINANCE AMÉRICAINE QUI RÈGNE SUR LE MONDE ENTIER ».
ASHER GINSBERG (HASHAD-HA-HAM : en hébreu = « Un parmi le Peuple ») : Le journal juif-allemand "Actualité juive", N°83, de 1921, se référant à lui le cite : « La seule vraie place future de la Ligue des Nations ne peut être ni Genève, ni La Haye ; Asher Ginsberg a rêvé de bâtir un Temple sur le Mont Sion, où les nations représentatives élèveront un Temple à la Paix éternelle. »
— « Viendra un temps, poursuit-il, où tous les peuples de la terre se rendront à CE temple en pèlerins pour déclarer solennellement, pour déclarer COMME UN FAIT, la paix éternelle. »
Ainsi, précise William Guy Carr, ce n’est pas une nouvelle idée des Sionistes que Jérusalem doit devenir le siège du Gouvernement Mondial. En fait, toutes leurs ambitions se résument dans leur constante nostalgie célébrée par leur poète Izraeli Zangwill, dans ces mots : « Viendra un jour où l’humanité prendra garde au son de la trompette des Hébreux leur soufflant que la foi de tous les peuples du monde n’est autre que notre foi ».
Le Commodore William Guy Carr (1895-1959), de la Marine Royale Canadienne, fut longtemps membré des Services de Renseignements et se consacra à partir de 1931, sauf pendant l’interruption de la guerre, à des tournées de conférences destinées à faire connaître la « Conspiration Internationale ». Il apporte bon nombre de preuves à l’appui de ses dires et des documents de première main, la plupart secrets et inédits.
L’ouvrage contient le récit de faits historiques échelonnés sur les trois derniers siècles, faits qui ne sont révélés nulle part ailleurs, sauf en de rares et fragmentaires exceptions.
Au cours des dix-huit chapitres de son livre, William Guy Carr nous dévoile tout le programme de domination universelle forgé par les « Illumines » — « Ceux qui détiennent la Lumière » — nom du petit groupe d’une trentaine d’hommes environ, organisé de 1770 à 1776 par Adam Weishaupt, un luciférien de la plus belle espèce.
Les « Illumines », appellation générique, historiquement exacte, s’applique en fait de nos jours à leurs descendants spirituels et charnels, les « Illuminati », chefs actuels, secrets et réels de la Subversion Mondiale, dont la Franc-Maçonnerie est l’élément le plus efficace, et des Forces Occultes dont le Communisme est de loin l’élément le plus redoutable.
C’est ce petit groupe de hauts subversifs qui tend à former un Gouvernement Mondial et travaille actuellement d’arrache-pied à la constitution des États-Unis d’Europe, piédestal obligatoire de la République Universelle d’après un « document controversé capital », aujourd’hui censuré...
W. G. Carr veut nous dévoiler les machinations occultes destinées à provoquer les diverses révolutions et guerres, qui, pour répondre aux projets des Illuminati, ont ensanglanté le inonde depuis 1773 et il présente les preuves à l’appui de sa thèse.
Pour consolider leur pouvoir et asseoir leur puissance, les Illuminati ne reculent devant rien : spéculations financières gigantesques, sociétés secrètes, infiltrations d’agents à tous les niveaux, formation de groupes et d’agents révolutionnaires, mafias, assassinats, campagnes de diffamation, chantage, corruption, etc.
On saisit mieux ainsi le déroulement des faits historiques car ils sont soulignés par cette « histoire parallèle » mais bien réelle, cette histoire occult(é)e qui se sert des êtres humains et surtout des plus hauts placés comme autant de « pions sur l’échiquier ».
W. G. Carr veut nous montrer que le danger est sur nos têtes — et davantage encore quarante ans après la parution de l’édition canadienne originale !... — et que le pouvoir occulte, d’inspiration satanique, qui lutte pour la Domination du Monde par l’argent, le chantage, la haine, les divisions et tous les péchés capitaux, ne peut être combattu par tel ou tel mode de gouvernement, telle ou telle idéologie, puisque — dit-il — ceux-là ne serviront que d’instruments de guerre, et les tenants de celles-ci que de « pions sur l’échiquier du monde »...
Il faudrait donc bien plutôt s’appuyer sur l’Amour de Dieu et du prochain, sur l’esprit de pauvreté et sur toutes les vertus qui découlent de la seule recherche de la volonté de Dieu. Seule cette politique permettra d’échapper à l’encerclement des Forces du Mal et de ne pas succomber.
Depuis deux cents ans que les forces de la Contre-Révolution Catholique et Monarchiste essuient échec sur échec, le moment ne serait-il pas enfin venu de demander à Dieu « SA » Solution pour qu’Il nous débarrasse du joug odieux de la « Synagogue de Satan » ?...
« Des pions sur l’échiquier » est un livre très important qu’il faut lire et relire. Un livre important par la quantité de faits historiques occultés, accumulés dans ses pages. Toute l’Histoire Secrète vous est ainsi dévoilée grâce aux explications d’un homme qui en savait beaucoup dans ce domaine.
Que l’Auteur, de formation anglo-saxonne, n’ait pas tout analysé à sa juste mesure et que la Conspiration Mondiale ait progressé depuis quarante ans, qui serait assez téméraire pour lui reprocher ?!...
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Racisme juif sans complexe en 2018
Le 13 juin 2018, Miki Zohar, un député du Likoud, parti au pouvoir en Israël, a dit que la «race juive» est la plus intelligente du monde et possède le «capital humain le plus élevé».
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec.
Alain de Benoist donne son avis sur Alain Finkielkraut
ALAIN DE BENOIST : « POURQUOI LE CONFLIT ISRAÉLO-PALESTINIEN EST D’ORDRE RELIGIEUX ET MÉTAPHYSIQUE… »
Israël fête, cette année, son soixante-dixième anniversaire. Certains, à droite, y voient une extension de l’Occident en Orient. D’autres, à gauche, un État colonial. Les Israéliens paraissent eux-mêmes divisés sur la question, tiraillés qu’ils sont entre socialisme d’origine et fièvre mystico-religieuse. Que reste-t-il, aujourd’hui, des idéaux sionistes ?
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec. Le succès porte un nom : c’est l’État d’Israël, dont la naissance en 1948, dans les conditions que l’on sait, montre bien qu’une idée qui n’a longtemps été qu’une abstraction (ou un rêve) peut parfois se réaliser dans les faits. C’est d’autant plus remarquable qu’à l’époque où Theodor Herzl écrivait son État des Juifs (1896), le sionisme était loin de faire l’unanimité dans les milieux juifs religieux. Ce succès comporte, d’ailleurs, un autre volet : l’extraordinaire renaissance de l’hébreu parlé, grâce notamment aux efforts d’Eliézer Ben-Yehoudah.
L’échec tient au fait que l’idéologie sioniste s’était fondée, au départ, sur la conviction que seule la création d’un État juif permettrait au peuple juif de disposer d’un lieu sûr après des siècles de tribulations et de persécutions, alors que l’on constate aujourd’hui qu’Israël est peut-être le pays où les Juifs sont le moins en sécurité ! À cela s’ajoute que le vieux principe « une terre sans peuple pour un peuple sans terre » était d’un parfait irénisme : la Palestine n’a évidemment jamais été une « terre sans peuple ».
Le conflit israélo-palestinien dure depuis le début de l’État d’Israël. Comment pensez-vous qu’il pourrait prendre fin ?
Israël ne veut pas d’un État binational, car il sait bien qu’à court terme, pour de simples raisons démographiques, cet État cesserait d’être un État juif. Mais il ne veut pas, non plus, d’une solution à deux États, estimant qu’un État palestinien constituerait pour lui une menace. Toutes les options paraissent donc bouchées.
Je crois que c’est au politologue Quentin Skinner que l’on avait demandé un jour qui avait raison, selon lui, les Israéliens ou les Palestiniens. Il avait répondu que les uns comme les autres avaient raison, et que c’est pour cela que ce conflit ne prendrait jamais fin. C’est aussi mon avis, mais pour une raison différente : plus qu’un conflit politique, stratégique, territorial ou démographique, le conflit israélo-palestinien est d’abord un conflit religieux et métaphysique. Les conflits métaphysiques ne sont pas négociables. Ils ne peuvent faire l’objet d’un compromis, parce que le Bien ne peut pas faire de compromis avec le Mal. Quand les deux parties se regardent mutuellement, non pas seulement comme des ennemis, mais comme des incarnations du Mal, la guerre devient inexpiable. Elle ne prend fin qu’avec la disparition de l’un des belligérants.
Les dernières manifestations palestiniennes dans la bande de Gaza se sont soldées par plus d’une centaine de morts et un millier de blessés. Israël affirme que le Hamas pousse lui-même en avant les manifestants, en particulier les enfants, pour qu’il y ait parmi eux le plus de victimes possible afin de s’attirer la sympathie de l’opinion internationale. Qu’en pensez-vous ?
Dans ce cas, il y aurait une excellente façon de déjouer ce cynique calcul : ce serait de ne tirer sur personne ! Au demeurant, le raisonnement selon lequel l’armée israélienne sert la cause palestinienne quand elle tue des Palestiniens ne me paraît pas conduire bien loin… Pour ma part, je m’en tiens aux définitions courantes. Quand une armée régulière tire à balles réelles sur des manifestants seulement équipés de pierres, de bâtons, de cocktails Molotov et de cerfs-volants, cela s’appelle un massacre.
Quant à la décision de Donald Trump de transférer l’ambassade de son pays de Tel Aviv à Jérusalem, dont la portée symbolique est évidente, rappelons qu’elle a été prise en violation de la résolution adoptée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée plénière de l’ONU qui plaçait Jérusalem sous un régime spécial international (raison pour laquelle les ambassades étrangères se sont installées à Tel Aviv).
En France, dans certains milieux conservateurs, il est souvent dit que ce qui se passe là-bas « ne nous regarde pas ». Beaucoup de gens de droite se disent aussi solidaires des Israéliens au seul motif que ceux-ci font face à des Arabes. Politique à courte vue ?
Quand on montre la Lune, il y a toujours des idiots qui regardent le doigt ! Il y a aussi des gens qui préfèrent regarder « On n’est pas couché » plutôt que de s’intéresser à ce qui se passe à l’étranger. Je crois vain d’essayer de leur faire comprendre que ce qui se passe en Palestine n’est qu’une pièce sur l’échiquier proche-oriental, et que ce qui se passe sur cet échiquier nous concerne directement, ne serait-ce que parce que cela conditionne le maintien de la paix ou le déclenchement de la guerre dans le monde. À l’époque de la mondialisation, les conséquences des grands événements ne s’arrêtent pas plus aux frontières que les perturbations climatiques ou les nuages de Tchernobyl. Quant à ceux qui adorent voir tirer du Palestinien en Israël parce qu’ils aimeraient bien voir quelque chose de semblable se dérouler dans les banlieues, on ne peut que leur conseiller d’aller vivre quelque temps dans les territoires occupés. Ils constateront que les deux situations n’ont rien de comparable, que les « occupants » ne sont pas les mêmes et qu’il n’est pas très logique de déplorer « le Grand Remplacement » en France tout en soutenant, dans les territoires, le Grand Remplacement des Palestiniens (qui sont chez eux aussi) par des colons israéliens.
Un recours aux racines. Une spiritualité pour notre temps
Alain de Benoist
« Entre le paganisme et le christianisme, quelles sont au fond les différences essentielles ? De nombreux historiens avaient avant moi retracé l'histoire de l'affrontement entre les systèmes religieux de l'Europe ancienne et la religion nouvelle qui, surtout à partir du IVe siècle, s'est peu à peu imposée sur le continent européen. De cet affrontement, quelles étaient véritablement les causes ? Sur quels points précis s'opposaient les façons de croire, les théologies, les conceptions du monde ? Les chrétiens, quant à eux, ont au fil des siècles adopté vis-à-vis du paganisme des attitudes assez contrastées. Après s'être attaquée frontalement au paganisme, qualifié d'"idolâtrie" diabolique, l'Église a réalisé qu'elle parviendrait mieux à ses fins en recourant à plus de souplesse. C'est alors que les évêques et les prêtres, suivant les instructions des papes, se sont employés à "récupérer" des lieux de culte traditionnels en leur affectant une destination nouvelle, à attribuer à des saints légendaires des attributs ou des hauts faits qu'on attribuait auparavant à des héros ou à des dieux, à donner aux pèlerinages qui se pratiquaient depuis la nuit des nuits une signification conforme à l'espérance de salut, à greffer sur l'ancien calendrier liturgique des commémorations ou des solennités d'un genre nouveau. Aujourd'hui encore, l'attitude des chrétiens reste ambivalente. D'un côté, le paganisme est à l'occasion toujours décrié et honni. De l'autre, il ne manque pas de bons esprits pour assurer que le christianisme a repris à son compte, et finalement mieux exprimé que lui, "ce qu'il y avait de meilleur" dans le paganisme. Cette idée que le christianisme européen est peu à peu devenu un "pagano-christianisme" n'est pas entièrement fausse, à condition de bien distinguer la théologie des pratiques populaires, mais elle n'est pas sans contribuer à entretenir l'équivoque. C'est pour dissiper cette équivoque que "Comment peut-on être païen ?" a été écrit ». A. B.