mercredi, juillet 11, 2018

Le Dalaï-lama a appris l'exécution de son ami Shoko Asahara


L’ex-gourou de la secte Aum, Shoko Asahara, condamné à mort pour sa responsabilité dans l’attaque au gaz sarin dans le métro de Tokyo en mars 1995, a été exécuté le 6 juillet 2018.

Shōkō Asahara était initié à l'ésotérisme politique de Kalachakra ce qui lui avait valu l'amitié du dalaï-lama, le grand hiérophante des arcanes ténébreux de Kalachakra.

Marc Bosch écrit :

"Le gourou de la secte Aum se proposait de transformer à marche forcée le monde en un "royaume de Shambhala" et avait mis en valeur ses introductions auprès de sa Sainteté le Dalaï-lama pour faciliter la pénétration des idées du tantrisme bouddhique de Shambhala dans la société japonaise. [...]

A la fin des années 80, Shoko Asahara n’était plus un inconnu. Il rencontra cinq fois le Dalaï-lama dont il se disait le disciple. Même après l’attaque au gaz sarin, le Dalaï-lama aurait, selon le magazine Stern (Stern 36/95, p. 126), réaffirmé son amitié pour le responsable de Aum Shinrikyo, appelant ce dernier " un ami, peut-être pas parfait, mais un ami ". De nombreux courriers attestaient de relations très amicales et respectueuses entre Asahara et les nombreuses autorités tibétaines, incluant Khamtrul Rinpoche et Kalu Rinpoché.



Sa Sainteté le dalai-lama pose main dans la main avec le riche bienfaiteur Shoko Asahara qui aurait donné en tout à la cause tibétaine 45 millions de roupies, soit environ 170 millions de Yen ou encore 1,2 millions de dollars selon le journaliste Christopher Hitchens.

Quelques années plus tard, le 20 mars 1995, le même Shoko Asahara, gourou de la secte Aum, et surtout psychopathe ayant l'intention d'anticiper à sa manière la vision apocalyptique de Shambhala, fera gazer au sarin de sa propre initiative les passagers captifs du métro de Tokyo. L'attentat entraîna de nombreuses morts et de très nombreuses intoxications (environ 5500) dans ce qui devait s’avérer l'une des plus grandes catastrophes contemporaines en relation avec une secte.


Le dalaï-lama vient de perdre un ami


par Maxime VIVAS




« Troublants […] les rapports entre le gourou japonais de la secte Aum, Shoko Asahara, sponsor de « la cause tibétaine » et le dalaï-lama (des photos les montrent main dans la main). Or, Shoko Asahara a défrayé la chronique de l’horreur en faisant gazer au sarin des passagers du métro de Tokyo le 20 mars 1995 ».


En 2016, Macron rencontre en France le dalaï-lama et il twitte, extasié : « j’ai vu le visage de la bienveillance ».


Le 25 avril 2018 aux USA, il parle du dalaï-lama aux étudiants de l’université George Washington : « C’est un leader extraordinaire, je le respecte beaucoup ».

Il est juste de dire que l’engouement de Macron pour l’ex-esclavagiste théocratique est largement répandu dans la classe politico-médiatique française. La raison en est un alignement idéologique derrière les USA qui travaillent inlassablement à essayer d’amputer la Chine de sa région autonome tibétaine.

Lors de la recension par LGS en 2012 de mon livre sur le dalaï-lama, un lecteur (qui signe BQ) nous a envoyé ce commentaire dont je fais un copié-collé car il est un condensé puissant :


« Le 13 septembre 1994, à l’approche de ses 60 ans, le 14ème dalaï-lama invita quelques personnes à Londres pour un lunch. Des personnes qui avaient été au Tibet « avant l’arrivée du régime communiste », c.-à -d. avant les années 1950 (...).

Un des invités était Heinrich Harrer, célèbre alpiniste autrichien et nazi confirmé (SA) à partir de 1933, bien avant « l’Anschluss » de l’Autriche par l’Allemagne (1938) (...) Il se rendra à Lhassa où il deviendra le tuteur du jeune 14ème dalaï-lama.

Harrer était également un des hommes de liaison des Etats-Unis pour organiser concrètement en 1959 le départ en exil du 14ème dalaï-lama (...).

Un autre « invité de marque » en 1994 : Bruno Beger. Un nazi un peu plus dérangeant : condamné en 1970 pour assassinat de 86 personnes dans le camp d’Auschwitz (pour une recherche sur les crânes), mais jamais interné. (...) Fin des années 1930, Beger était allé au Tibet avec le zoologue SS Ernst Schäfer pour y mesurer des crânes, dans le cadre d’une recherche ethnologique subsidiée par… Himmler. Il était devenu l’ami du 14ème dalaï-lama.

Mais l’étrange cercle d’amis du 14ème dalaï-lama ne s’arrête pas là.

Dans le désordre :

Carl Gershman : ex-directeur de la NED (New Endorsement [lire : Endowment] for Democracy, USA, cousine germaine de la CIA et sponsor du DL) : a reçu une médaille « Lumière et Vérité » du DL en 2005 ;

Miguel Serrano : ouvertement nazi au Chili : rencontres avec le DL ; entre autres, accueil à l’aéroport de Santiago en 1992 (photos sur le net) ;

Shoko Asahara : gourou japonais (attentat au gaz dans le métro de Tokyo) : plusieurs rencontres. Le DL lui donna des lettres de recommandation destinées au gouvernement japonais, pour favoriser des subsides. Shoko Asahara fait un don important à Dharamsala [ C’est-à-dire au « gouvernement tibétain en exil » installé à Dharamsala. Note de MV].

Pinochet : le DL a au moins pris sa défense contre un jugement d’un tribunal international [En avril 1999, le dalaï-lama a appelé le gouvernement britannique à libérer le dictateur chilien, Augusto Pinochet, arrêté au cours d’une visite en Angleterre. Note de MV] ;

G.W. Bush : lors de la réception de sa médaille d’or par le Congrès américain, le DL appelé G.W. Bush un « grand ami qui a fait beaucoup de choses pour la démocratie et les droits de l’homme… ».

J’ajoute ceci : le 29 avril 2005, le dalaï-lama, parlant à des sénateurs français, a réussi en deux phrases à approuver deux guerres étatsuniennes et à suggérer leur prolongement en Chine : « La politique américaine veut promouvoir la démocratie en Irak et en Afghanistan, par des méthodes parfois controversées. Je dis tant mieux, c’est bienvenu. Mais ce serait encore mieux si la démocratie était promue en Chine ».


Reprendre des moules ?



Shoko Asahara, responsable de l’attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo en 1995, a été exécuté le vendredi 6 juillet 2018. J’ai souvent dit que j’étais hostile à la peine de mort. Cela me distingue en cette circonstance de quelques imitateurs de Pierre Desproges, lequel reprit deux fois des moules en apprenant la mort de Tino Rossi.


Lecture :
« Dalaï lama pas si zen » Maxime Vivas (Editions Max Milo, 2011).

Source :

mardi, juillet 10, 2018

TRADITION BOUDDHIQUE

Tradition universelle, intemporelle et primordiale


Texte rédigé par l’Instructeur de Patrick



Certains bouddhistes affirment qu’il n’est de “traditionnel” en Bouddhisme que dans les “écoles”. Nous considérons comme fausse cette opinion.

Rappelons que “Tradition” a pour racine indo-européenne dô : transmettre la possession de… Cette racine a donné en latin : traditio, action de transmettre, tradere : transmettre, livrer.

Dans l’acceptation moderne, le mot tradition a deux sens, l’un, caractérisant la transmission des éléments des Voies authentiques, l’autre, profane, caractérisant la transmission d’éléments sans articulation métaphysique. C’est à l’honneur de René Guénon d’avoir rétabli le premier sens, effacé par le modernisme, le sens profane ayant prévalu, dans l’oubli du troisième composant de l’homme : l’articulation métaphysique, Prajñâ, en Bouddhisme.

Quelle est la Tradition primordiale dans le Dharma du Bouddha ?

Elle est exprimée par les données suivantes :

1 – Les quatre Excellentes ou Nobles Essentialités

les ârya Satya ; nous abandonnons la traduction commune “Vérité” qui ne rend pas compte du concept exprimé par “AS” : être. Les quatre Essentialités sont indiscutables, irréfutables ; ce ne sont pas des hypothèses, des légendes, ce sont des constatations, soit :

1. L’insatisfaction phénoménale

2. La cause de cette insatisfaction

3. L’annihilation de cette insatisfaction

4. La Voie qui mène à l’extinction de la cause.

2 – La Chaîne des origines interdépendantes

3 – Les éléments qui furent rassemblés sous le titre : 
les 37 “ailes” ou auxiliaires de la Bodhi [mal traduit par Eveil, Bodhi étant féminin].

Tels sont les éléments de la Tradition primordiale, surgis lors de l’Eveil du Bouddha, transmis sans discontinuité et ils forment la base de toutes les écoles, qui sans eux ne seraient pas bouddhistes. C’est cette base même qui permet de reconnaître les données de la Tradition primordiale.

On voit que cette position qui est la nôtre, “réception et transmission” est parfaitement traditionnelle.

Comment se marque la régularité de la transmission ?


1. Par les Refuges [hélas, très mauvaise traduction de “saranam” mais que trouver d’autre dans les langues modernes infirmes ?

2. Par la transmission du code éthique, variable selon la position du disciple.

3. Par la transmission d’une technique de base.

L’ensemble étant validé par “adombrement” de Prajñâ, la Connaissance Transcendante.

Ainsi pourra se manifester Prajñâ, facteur d’articulation métaphysique, d’abord en faculté, indriya, puis en “Force”, bala ; enfin, quand cette Force est suffisante, Prajñâ donne l’Eveil, l’ouverture, Bodhi.

On voit qu’il n’y a pas en ce propos l’idée “d’école”. Qu’entend-on par “école” ? Le mot a pour sens : “ensemble des partisans d’une même doctrine”, “source d’enseignement, de réflexion”. On pourrait donc penser à l’Ecole bouddhique, dans la Tradition primordiale.

En fait, quand on parle “d’écoles bouddhiques”, il s’agit de “greffons” (quelquefois bien étranges !) apparus au cours des temps et poussés sur le tronc de Dharma. Les greffons ont eu pour raison d’être les différentes conformités de la psyché, les unes fortes, capables de s’en tenir à la tradition Primordiale, les autres ayant besoin de soutiens, par exemple le soutien du phénoménal subtil (autre que les dhyâna), des rites, des cérémonies, d’un apparat religieux, des mythes, voire du rappel des imprégnations passées, par exemple pour les européens, l’imprégnation judéo-christo-catholique ; nous en reparlerons.

Le choix est grand, car le Dharma en toute tolérance, accepte, mais “scolastiquement”, les “traditions” des pays où il s’implante, pourvu que les éléments de ces traditions soient en accord, où à peu près, avec le Tradition primordiale.

Il n’est pas dans notre propos d’étudier chaque école. Cette étude serait trop longue et d’ailleurs si nous sommes éclairés sur leur origine, nous n’en connaissons pas toutes les modalités, par exemple : panthéon des Bouddha et des Bodhisattva mythiques, techniques d’origine hindoue ou asiatique, etc…

Il est, pour nous, caractéristique de constater que toutes ces écoles, plus ou moins, se critiquent, chaque école proclamant sa supériorité : les Theravâdin estiment que leur “école” est la plus proche de l’Enseignement du Bouddha, position niée par le Mahâyâna ; à l’intérieur de celui-ci, les écoles s’affrontent et ont des positions curieusement opposées : dévotion extrême ou bien attitude de Lin-Tsi à qui on demande : “Qu’est-ce que le Bouddha ?” et qui répond : “Bâton merdeux !”. Action et réaction président à la formation de certaines écoles.

Réaction du Ch’an contre l’excessive recherche littéraire ; réaction du Mahâyâna contre le “Hinayâna”, école de l’Arhat égoïste (?!), où le laïc est en mauvaise position, aussi le Mahâyâna et d’autres écoles compensent-ils le laïc par l’idéal du Bodhisattva ou par les techniques du Vajrayâna.

Comment pourrions-nous, si nous en avions la moindre envie, “appartenir” (mot très juste) à une école ?


Le Theravâda ? Son canon Pâli n’a pas été dit par le Bouddha qui ne parlait pas le Pâli, langue réservée à l’expression du canon bouddhique. Comment dans ce canon accepter ces histoires fantaisistes ? : la biche donnant naissance à un moine à tête de cerf, pour avoir bu de l’urine mêlée de sperme d’un Bhikkhou ! le ver que les moines allaient manger : “Arrêtez, frères ! Ce ver est la re-naissance d’un Bhikkhou qui aimait trop le fromage ! Et les Jataka, et bien d’autres histoires qu’il nous paraît indécent de mettre dans la bouche d’un homme sage.

Le Mahayana ? Son canon sanskrit prétendument réservé à une élite de haute compréhension (pauvres Theravâdin !) et caché au fond d’un lac à la garde des Nâga, jusqu’à leur réapparition 600 ou 700 après le parinirvâna du Bouddha ?

Le Ch’an ou le Zen ? Il faudrait croire à la légende du Bouddha montrant une fleur, que seul Kasyapa comprend (les autres étaient trop simplets !). “Transmission en dehors des écritures…”

C’est enfoncer une porte ouverte et ceux qui prônent la transmission uniquement par l’écriture sont débiles.

La Nichiren sho shou ? Il faudrait croire que Nichiren est le Bouddha de l’ère Mappa ?

Les “Bonnets rouges” ? Il faudrait croire à cette rencontre mythique de Tilopa avec le Bouddha mythique Vajradhâra ?

Arrêtons-nous là et admettons que nous sommes infirmes par notre incapacité à “croire” ou, pourquoi pas ? “Normaux”.

Mais pourrait-on dire, toutes ces légendes sont des symboles ! des images qui indiquent la Voie ! Nous sommes dans la Voie, par la Tradition primordiale (que certains en doutent, c’est leur droit !), nous n’avons pas besoin de poteaux indicateurs, ni d’un “culte” rendu à ces poteaux indicateurs le long de la Voie.

Certains diront : “Ces fables, ces légendes, ces rites, ces cérémonies sont nécessaires pour compenser le subconscient, l’irrationnel qui existe en tout homme. Mais le rêve aussi ! Est-il cependant conseillé de toujours rêver ? Le subconscient a des degrés d’intensité : les angoissés, les agressifs, les passionnés, aux réactions incontrôlables – combien en avons-nous vu dans notre monastère, pendant les méditations – sont pour nous des “anormalement anormaux”, leurs purulences, leurs âsrava, expulsent un pus abondant qui les empoisonne, les intoxique à un degré parfois extrême. Par contre, et là, référons-nous, encore aux ludions ; ceux dont les âsrava, sans être éteints, ne sont pas à un degré d’irritation “anormal”, nous les appelons “normalement anormaux”, et ceux-là n’ont pas besoin de moyens dionysiaques pour arriver à l’extinction des purulences, les Dhyâna suffisent.

Un autre aspect se décèle aussi dans cette nécessité d’une école, particulièrement en ce qui concerne les écoles Tibétaines. Il est indéniable que par leur mystère, leur apparat religieux, leurs techniques, elles ont exercé, de nos temps, une influence importante sur le monde occidental, car elles sont propres à calmer à la fois la soif d’absolu et l’angoisse, la peur archaïque. Pourtant, René Guénon a dénié aux écoles tibétaines la qualité de bouddhistes. On peut lire dans “Mélanges”, à propos d’une mission dans l’Asie centrale : “La réalité est que le Bouddhisme n’a jamais eu dans ces régions qu’une influence toute superficielle et au Tibet même, on aurait peine à en retrouver quelques traces malheureusement pour ceux qui, maintenant encore, viendraient en faire le centre de la religion bouddhique”. Nous n’irons pas à cette extrémité, René Guénon a écrit ce texte avant sa rencontre avec Coomaraswamy [personnage bien curieux qui traduit “Tathâgata” par ‘Trouveur de Vérité !”]. Le Dharma du Bouddha, via negativa par excellence, dans son état primordial a été pour René Guénon une pierre d’achoppement. On peut le voir à son enthousiasme pour le Roi du Monde, l’Agartha, les “Maîtres inconnus”… etc …

Ces voies orientales quand elles sont exprimées par des Occidentaux dévots font penser à une nostalgie due à l’imprégnation judéo-christo-catholique, pendant des siècles ; les “wangs” sont appelés des “initiations” ; on parle “d’influences spirituelles” alors que cette notion est étrangère au Bouddhisme car en celui-ci rien qui rappelle un “spir” ; on parle de bénédictions, on donne à certains moines le titre de “Sa sainteté”, typiquement catholique ; mitres, chasubles, trônes, instruments du culte, musique, chants psalmodiés dans les langues “sacrées” [et pourtant quand on psalmodie le Vinaya, la traduction donne pour certains versets : “C’est une faute de stocker de la nourriture dans ses bajoues, …C’est une faute de pisser debout”] qui semblent bien être des emprunts aux religions occidentales. Cet enchantement des dévots est visible, nous gardons dans notre souvenir l’attitude d’une dame recevant un cordon rouge et trois pilules, de la même façon qu’elle eût reçu l’hostie. Il en est de même de l’Amidisme. Ceux qui croient au vœu du Bouddha Amithaba n’ont-ils pas la nostalgie d’un Paradis (paradesha = entrée) ? A noter qu’un représentant actuel de cette école est un ancien Chanoine. Certains, trouvent là leurs délices. Pour nous, nous partageons la conviction de ce Rimpoché, tulkou (spécialité tibétaine), vivant en France depuis longtemps, solitaire, étudiant et méditant ; quand nous lui avons posé la question : “Pourquoi n’enseignez-vous pas la Voie tibétaine ?”, il nous a répondu : “Parce que les Voies tibétaines conviennent pour les Tibétains, pas pour les Français”.

Voilà ce que nous avons voulu préciser, non pas pour répondre à certaines attaques – elles nous laissent indifférent – mais bien pour rappeler la Tradition primordiale, la présenter à ceux qui sont surpris, amusés, repoussés, par certains “greffons” ethniques.

On aurait tort de considérer cette étude comme une attaque contre les écoles, elles entrent pour nous dans la catégorie des “upâya”, les moyens habiles, les approches.

Souvenons-nous de l’image donnée dans le Saddharma Pundarika Sûtra, aux enfants de la maison en feu ; on présente des jouets divers pour les en faire sortir. Chacun peut y trouver ce qui lui convient. Nous n’hésitons pas d’ailleurs à emprunter aux diverses écoles les éléments qui nous semblent en accord avec la tradition primordiale. Quoi de plus illuminant que le Hrdaya Sûtra ? De plus précieux que les Mantra ? Jambes croisées, corps droit, l’attention établie devant soi, n’est-ce pas l’attitude sur laquelle l’école Soto Zen insiste ? (Probablement en réaction contre la position du fœtus remplaçant, dans certaines écoles, celle du Lotus !). Et les charmantes anecdotes du Ch’an ou du Zen ne sont-elles pas éclairantes ?

Toutefois ce que nous condamnons, suivant en cela René Guénon, c’est le syncrétisme :


Yogzen, Zen chrétien, Bouddhisme franc-maçon, etc … un pied sur une voie, un pied sur l’autre, c’est l’écartèlement, la chute ou la folie.

Pour nous, le seul garde-fou est de s’en tenir à la Tradition primordiale, sans exclure une compréhension de “sympathie” pour toutes les écoles.

lundi, juillet 09, 2018

Faites l'amour, pas du flouze !

Que penserait Charles Fourier de la blague d'Attali ? 


Aujourd'hui, comme le redoutait Charles Fourier, la France est devenue une vaste synagogue vouée à Mammon et à l'usure.

"On ne saurait croire quelle quantité d’usuriers contient aujourd’hui la France. On a commencé à s’en apercevoir sur les bords du Rhin, où les juifs ont envahi par l’usure une grande partie des propriétés (…) Il est heureux dans une telle conjoncture que les juifs ne soient pas encore bien répandus en France, car cette nation spécialement adonnée à l’usure, aurait déjà envahi la plupart des propriétés et l’influence qui leur est attachée ; la France ne serait plus qu’une vaste synagogue, car si les juifs tenaient seulement le quart des propriétés, ils auraient la plus grande influence, à cause de leur ligue secrète et indissoluble." (Charles Fourier)

Charles Fourier 
(1772-1837)

"Utopiste par excellence, Charles Fourier est un homme à multiples visages. Psychologue, il élabore une théorie des passions amoureuses, qui choqua tant ses contemporains qu'elle ne fut publiée qu'en 1967, plus d'un siècle après sa mort. Critique de la société, il imagine une communauté modèle dont il s'ingénie à détailler tous les aspects, planifiant même la couleur des uniformes ou la forme des meubles d'enfants. Visionnaire enfin, il prévoit une époque où les oranges mûriront à Varsovie et où l'on pourra transformer l'eau de mer en limonade... Non sans amertume sans doute, il demande aux romanciers qui critiquent ses écrits : Ferez-vous jamais un roman qui vaille le quart du mien ? "On a souvent qualifié d'insensées certaines spéculations du célèbre autodidacte de Franche-Comté. Et si la "folie" de Fourier n'était qu'une autre facette de son optimisme radical ? Convaincu que les hommes sont capables de changer la société et que nos seules limites sont celles de nos désirs, il élabore une explication complète de l'univers, où s'inscrit un curieux système cosmogonique, et n'aura de cesse que sa vision idéale de la société devienne réalité. Fourier a été présenté tour à tour comme un précurseur de Marx, de Freud ou du surréalisme, sans que l'on s'intéresse à la genèse de ses idées." 

Dans "Fourier : Le visionnaire et son monde", une biographie exhaustive et colorée, Jonathan Beecher montre que toute la doctrine de Fourier s'est forgée en réaction contre la Révolution française et qu'elle est née du désir de recréer un ordre dans un monde ébranlé jusque dans ses fondements. Ainsi apparaît, au-delà de ses naïvetés et de ses outrances, un système cohérent, dont la modernité n'a pas fini de nous inspirer, qu'il s'agisse de son programme d'éducation, ou de sa conception du travail, où Fourier voyait un exutoire vital de la personnalité."

Dans "Le nouveau monde amoureux", Charles Fourier analyse la société de son temps, critiquant sévèrement le mariage monogame et l’asservissement des femmes. Il élabore un autre modèle théorique et politique de société, l’Harmonie, fondée sur la disparition du mariage monogame, la multiplication systématique des relations amoureuses de toutes natures, et une égalité absolue entre les sexes.

Dans "Le nouveau monde industriel et sociétaire", Fourier résume l’ensemble de sa doctrine : c’est une critique systématique de la civilisation et de ses déviations intrinsèques (individualisme, exploitation mondiale des ressources au profit des plus puissants, capitalisme libéral fondé sur la loi du plus fort et des parasites) et le projet possible d’une autre société déterminée par le principe de l’association mutuelle, régie non plus par des contraintes et des répressions mais selon le vrai moteur (le seul réel) de l’attraction passionnée (le principe de la motivation).

Charles Fourier dénonçait la "spoliation du corps social par la banqueroute", pratique bien connue de la secte d'Attali.

"(...) les civilisés n'ont jamais commis tant d'inepties politiques, que depuis qu'ils ont donné dans l'esprit mercantile, dans ces systèmes qui prétendent que toute entreprise des marchands ne peut que tourner au bien général, et qu'il faut laisser aux marchands une pleine liberté, sans exiger aucune garantie sur le résultat de leurs opérations."

Le juif Iscariote, écrit Fourier, arrive en France avec 100.000 livres de capitaux, qu'il a gagnés dans sa première banqueroute : il s'établit marchand dans une ville où il a pour rivales six maisons accréditées et considérées. Pour leur enlever la vogue, Iscariote débute par donner toutes ses denrées au prix coûtant ; c'est un moyen sûr d'attirer la foule : bientôt les rivaux d'Iscariote jettent les hauts cris ; celui-ci sourit de leurs plaintes, et continue de plus belle à donner les denrées au prix coûtant.

Alors le peuple chante merveille : vive la concurrence, vivent les Juifs, la philosophie et la fraternité ; toutes les denrées ont baissé de prix depuis l'arrivée d'Iscariote ; et le public dit aux maisons rivales : « C'est vous , messieurs, qui êtes les véritables juifs et qui voulez trop gagner : Iscariote seul est un honnête homme, il se contente d'un bénéfice modique, parce qu'il n'a pas un ménage aussi splendide que les vôtres ». Vainement les anciens commerçants représentent-ils qu'Iscariote est un fripon déguisé, qui fera tôt ou tard banqueroute ; le public les accuse de jalousie et de calomnie, et court de plus en plus chez l'Israélite.

Voici le calcul de ce larron : En vendant au prix coûtant, il ne fait d'autre perte que celle de l'intérêt de ses fonds, soit 10,000 livres par an, mais il se forme un débouché considérable, il se fait dans les ports une renommée de gros consommateur, et il obtient un grand crédit pour peu qu'il soit exact dans ses payements. Ce manège continue pendant 2 ans, au bout desquels Iscariote n'a rien gagné , tout en vendant énormément. Sa manœuvre n'est point divulguée, parce que les Juifs n'ont chez eux que des employés Juifs, gens qui sont ennemis secrets de toutes nations, et ne décèlent jamais une friponnerie préméditée par quelqu'un d'entr'eux.

Quand tout est prêt pour le dénouement, Iscariote use de tout son crédit, donne d'amples commissions dans tous les ports, pour la somme de 500 à 600 mille livres , achetés à terme. Il dirige ses denrées sur le pays étranger et vend à vil prix ce qui se trouve dans ses magasins. Enfin, quand il a fait argent de tout, l'honnête Iscariote disparaît avec son portefeuille, et retourne en Allemagne où il a acheminé ses denrées achetées à crédit. Il les réalise promptement, et se trouve au sortir de France quatre fois plus riche qu'il n'était en y entrant ; il est possesseur de 400 mille livres, et s'en va à Livourne, à Londres préparer une troisième banqueroute.

C'est alors que le voile tombe et qu'on revient au bon sens, dans la ville où il a fait le coup. On reconnaît le danger d'admettre au commerce les juifs, les vagabonds qui ne tiennent à rien ; mais cette banqueroute d'Iscariote n'est que le premier acte de la farce ; suivons les résultats ; voyons le feu de file.

Il y avait six maisons rivales de l'Israélite : nommons-les A , B , C, D , E , F.

A était depuis longtemps gêné, il se soutenait sans fortune et sur sa bonne renommée ; mais l'arrivée d'Iscariote lui ayant enlevé toute sa consommation, il n'a pu fournir qu'un an de lutte, après quoi il a perdu courage, et ne concevant rien à ces nouveaux systèmes philosophiques qui protègent les vagabonds, A se voit forcé à plier devant la tactique d'Iscariote et à faire banqueroute.

B a soutenu plus longtemps le choc : il prévoyait de loin la friponnerie d'Iscariote et il attendait que cet orage fut passé pour rétablir sa consommation enlevée par le fourbe Israélite : mais dans l'intervalle, B éprouve une forte banqueroute au dehors, c'en est assez pour accélérer sa chute : il croyait pouvoir tenir 2 ans, et au bout de 5 mois il est forcé à faire banqueroute.

C était en société avec une maison du dehors qui se trouve ruinée par un autre Iscariote, (car s'en établit dans toutes les villes.). C est entraîné par la chute de son associé, et après avoir fait pendant 18 mois des sacrifices pour soutenir la concurrence du voleur hébraïque, C se voit forcé à faire banqueroute.

D avait une probité plus apparente que réelle. Il lui reste des moyens de se soutenir, malgré qu'il souffre depuis 20 mois de la concurrence du Juif; mais irrité par les pertes qu'il éprouve, il se laisse aller au vice dont tout lui donne l'exemple ; il observe que trois de ses confrères ont ouvert la marche, et que lui quatrième, passera dans le nombre , en prétextant des malheurs fictifs ou réels; d'après cela, D ennuyé d'une lutte de 20 mois contre Iscariote, ne voit rien de plus prudent que de faire banqueroute.

E avait prêté de fortes sommes à ses quatre confrères qui viennent de faillir. Il les croyait très solvables, et véritablement ils l'étaient avant que la manœuvre d'Iscariote leur eut enlevé leur industrie. E se trouve au dépourvu par la faillite de ces quatre maisons ; en outre il n'a plus de consommation, tout le public court chez Iscariote qui vend à prix coûtant. E voit ses moyens anéantis, son crédit altéré ; on le presse, et ne pouvant plus satisfaire à ses engagements, il finit par faire banqueroute.

F sans manquer de moyens se trouve décrédité dans tous les ports de mer, par la faillite des cinq précédents ; leur exemple fait soupçonner que F ne tardera pas à imiter ses confrères ; d'ailleurs quelques-uns d'entr'eux qui ont terminé l'accommodement, vendent à très vil prix pour faire face aux premières échéances de leur contrat. Voulant accélérer leur vente, ils perdent un dixième, et gagnent pourtant quatre dixièmes, puisqu'ils ont accommodé à moitié de perte. F se trouve écrasé par cette circonstance et réduit à faire, comme tous ses confrères, banqueroute.

C'est ainsi que l'établissement d'un vagabond ou d'un juif suffit pour désorganiser en entier le corps de marchands d'une grande ville, et entraîner les plus honnêtes gens dans le crime ; car toute banqueroute est plus ou moins criminelle, quoique fardée de prétextes spécieux comme ceux dont j'ai coloré ces six banqueroutes ; et dans tous ces prétextes il n'y a presque rien de vrai : le fin mot est que, chacun saisit habilement les occasions d'exercer un larcin qui demeure impuni. Si à la banqueroute on ajoute l'agiotage et tant d'autres infamies qui sont le fruit des théories philosophiques, on se rangera facilement à l'opinion que j'ai précédemment émise ; c'est que les civilisés n'ont jamais commis tant d'inepties politiques, que depuis qu'ils ont donné dans l'esprit mercantile, dans ces systèmes qui prétendent que toute entreprise des marchands ne peut que tourner au bien général, et qu'il faut laisser aux marchands une pleine liberté, sans exiger aucune garantie sur le résultat de leurs opérations.

Charles FOURIER, Théorie des quatre mouvements et des destinées générales.



La vallée des valeurs secrètes

La société actuelle est obnubilée par la réussite, l’argent et le pouvoir. Des objectifs de vie qui tendent à éloigner de la réalité du monde. Dans l’optique d’attirer l’attention sur ce qui est essentiel, un artiste de rue transforme des ruines en œuvre d’art. Les résultats sont épatants.


DES DÉCOMBRES RETROUVENT UNE NOUVELLE VIE GRÂCE À UN MAÎTRE DE LA PEINTURE

Tous les génies ne demandent pas à être célèbres, mais leurs travaux méritent qu’on s’y attarde. C’est le cas de Thrashbird, un artiste de rue dont les créations sont fantastiques.

En effet, il a décidé de redonner vie à des vieux blocs de béton en transformant des ruines en œuvre d’art. Un projet intitulé “thrashbird’s valley of secret values“ ou “ la vallée des valeurs secrètes de thrashbird“.

Thrashbird a commencé ce projet artistique en 2014, dans l’Oregon. Pour ce faire, il a cherché un endroit à l’abandon dans lequel il pourrait laisser libre cours à son imagination. Une recherche qui lui a permis de trouver “ un labyrinthe de monolithes géants“. Ce dernier est devenu le site dans lequel son projet trouva vie.

En fait, l’artiste voit dans les débris des immeubles à l’abandon une beauté qui s’effrite à travers le temps. Il s’agit là d’une sorte de métaphore décrivant la société de consommation toujours en quête de nouveauté.

À l’exemple de ce sac à main Chanel dont les lanières sont soigneusement imitées avec des pneus en or reliés par des cordes. Une image symbolisant le gaspillage et la pollution sans fin de l’homme.





DES CRÉATIONS QUI POUSSENT AUSSI À LA RÉFLEXION

Il faut savoir que, cet adepte de la peinture à la chaux est un représentant de l’agence artistique JM art management. En outre, Thrashbird n’est en fait qu’un simple pseudonyme, il travaille surtout en incognito.

Cette façon de travailler est donc un moyen pour l’artiste de montrer sa vision du monde. Mais c’est aussi sa manière d’exprimer sa propre lutte personnelle entre “ego“ et “grandeur“. Une bataille visible par rapport à la taille du projet.

D’autre part, même si ce sculpteur fait usage d’un nom empreint pour signer ses productions, il utilise un clone. Ce dernier est surtout visible par terre, pour faire un clin d’œil aux piétons plongés dans leur portable.

Ainsi, Thrashbird, artiste innovant dans les créations, pousse à la réflexion sur la société de consommation...

Ambre Leclerc


SOURCE


Note de René Guénon sur l'artifex

L’artifex, pour les anciens, c’est, indifféremment, l’homme qui exerce un art ou un métier ; mais ce n’est, à vrai dire, ni l’artiste ni l’artisan au sens que ces mots ont aujourd’hui (et encore celui d’« artisan » tend-il de plus en plus à disparaître du langage contemporain) ; c’est quelque chose de plus que l’un et que l’autre, parce que, originairement tout au moins, son activité est rattachée à des principes d’un ordre beaucoup plus profond. Si les métiers comprenaient ainsi en quelque manière les arts proprement dits, qui ne s’en distinguaient par aucun caractère essentiel, c’est donc qu’ils étaient de nature véritablement qualitative, car personne ne saurait se refuser à reconnaître une telle nature à l’art, par définition en quelque sorte ; seulement, à cause de cela même, les modernes, dans la conception diminuée qu’ils se font de l’art, le relèguent dans une sorte de domaine fermé, qui n’a plus aucun rapport avec le reste de l’activité humaine, c’est-à-dire avec tout ce qu’ils regardent comme constituant le « réel », au sens très grossier que ce terme a pour eux ; et ils vont même jusqu’à qualifier volontiers cet art, ainsi dépouillé de toute portée pratique, d’« activité de luxe », expression qui est bien vraiment caractéristique de ce qu’on pourrait, sans aucune exagération, appeler la « sottise » de notre époque. 

dimanche, juillet 08, 2018

Combien de musulmans en France ?

L'ISLAM CONTRE-INITIATIQUE se répand
"(...) tout le monde sait que la Saoudie finance, larga manu, non seulement le terrorisme international dit islamiste, mais aussi la formation massive d’imams propageant la doctrine wahhabite qui prône une interprétation erronée de l’islam, sachant que cette doctrine découle en droite ligne de l’origine sabbataïste de ses concepteurs et promoteurs." Le Libre Penseur



La population musulmane de France compterait 15 à 17 millions de personnes, mais on ne connaît pas le nombre exact à cause de la loi interdisant la collecte officielle de données sur l'origine ethnique.

A ces 15 à 17 millions de personnes, il faut ajouter la population musulmane ayant immigré en France depuis l'Afrique du Nord dans les années 1960 et au début des années 1970. Il y en a plusieurs millions - personne ne sait combien précisément. Les démographes ne considèrent plus leurs petits-enfants et arrière-petits-fils comme des musulmans. Ces musulmans entrent dans les statistiques en tant que citoyens français, nés de parents français. Ils sont musulmans, mais ne tombent pas dans le champ de la statistique.

En 2015, selon une étude de l'INSEE, 42% des 7,3 millions d'enfants nés en France de parents immigrés ont des racines africaines, principalement en Afrique du Nord. Ils venaient d'Algérie (15%), du Maroc (11%), de Tunisie (5%) et des pays du sud du Sahara (11%). Bien que l'étude ne précise pas, mais, apparemment, la grande majorité serait musulmane.

Les enfants des familles de migrants turcs, représentent 4% des 7,3 millions de personnes. Ces personnes sont classées comme Asiatiques ; elles ne sont pas incluses dans les groupes africains et musulmans. La plupart de ceux qui ont des racines turques sont aussi supposément musulmans.




Été 2018

Au bord de l'eau, le musulman doit porter un maillot de bain spécial (le rajoul) qui couvre la partie du corps à dissimuler obligatoirement (l'awra) qui va du nombril au bas des genoux. Pour cacher l'awra de la musulmane, il faut un burkini qui laisse apparaître seulement le visage, les mains et les pieds.


samedi, juillet 07, 2018

La blague du nucléaire, ce ne sont que des mensonges !

Il mange de l’uranium, enflamme du plutonium dans sa main, a bu et nagé dans l’eau usée d’un réacteur nucléaire !

Matt Groening, le créateur de la famille Simpson en 1986, a-t-il fait de son héros Homer Simpson un grand consommateur d'uranium en se référant à Galen Windsor ?


D'après BEFORE IT'S NEWS :

Galen Windsor est un ingénieur nucléaire qui a réveillé les gens au sujet des mensonges que l’on nous a racontés au sujet de l’énergie nucléaire et de la radioactivité. Il l’a fait dans les années 80 avant qu’il n’y ait un internet, alors pourquoi pas autant de gens à ce sujet. Stew Webb a rencontré Galen alors qu’il allait faire une conférence sur la vérité. Stew dit que Galen est 100% légitime et correct et lui a montré comment manipuler l’uranium et le plutonium en toute sécurité. Cette conférence va vous époustoufler ! Tout ce qu’on nous a dit sur l’énergie nucléaire et les radiations est un mensonge. Ce n’est pas une grande surprise puisqu’ils mentent sur tout !

Il mange de l’uranium, enflamme du plutonium dans sa main, a bu et nagé dans l’eau usée d’un réacteur nucléaire !

Galen manipule des substances radioactives pendant la conférence et mange même de l’uranium ! Il joue avec du plutonium et l’enflamme dans sa main ! Il dit que la raison pour laquelle les substances radioactives comme l’oxyde d’uranium ne peuvent pas vous nuire, c’est qu’elles ne sont pas solubles. Elles ne peuvent pas être décomposées par les acides de votre corps, alors elles traversent tout simplement le corps. Ils ne vous le diront jamais, bien sûr. Bien que je ne mangerais pas de l’uranium tous les soirs, cette conférence devrait apaiser toutes vos inquiétudes en ce qui concerne le nucléaire. Si cet homme peut manger de l’uranium, boire l’eau d’un réacteur, nager dans la piscine de refroidissement et travailler toute sa vie dans l’industrie nucléaire sans aucun problème de santé, je ne pense pas que nous devrions beaucoup nous inquiéter !

Galen a découvert que les normes de rayonnement du gouvernement étaient 1 million de fois plus basses que ce à quoi il était exposé pendant les premiers jours des réacteurs nucléaires avant même qu’ils n’aient des détecteurs de radiation ! Il affirme que vous pouvez être exposé à 60 Roentgens (R) par heure et que vos cellules ne seront pas endommagées parce qu’elles s’auto-réparent. Elles ne mutent pas comme on nous l’a dit. Ils ont fixé les limites de radiation des millions de fois plus bas que ce à quoi il a été exposé pendant des décennies ! Il dit qu’une grande raison est d’effrayer les gens à propos de tout le combustible nucléaire qui traîne et qui pourrait être facilement volé si les gens se rendaient compte qu’il n’est pas dangereux ! Un de ses propres patrons lui a même dit qu’ils ne voulaient pas que les gens volent le combustible nucléaire ! Pour prouver son point de vue sur les radiations, il a nagé dans une piscine de refroidissement avec de l’eau usée et a bu l’eau de celle-ci en utilisant une bouteille en plastique qu’il gardait sur son bureau ! C’est de la folie !

Essentiellement, il dit que nous devrions tous avoir accès à l’électricité dans nos foyers pour à peine 20 euros par mois maximum. Il dit qu’il y a tellement de combustible nucléaire déjà traité et que l’exploitation des centrales nucléaires est bon marché en excluant les règlements ridicules, qu’elles ne valent pas la peine que l’on prenne des précautions de sécurité ! Ils veulent faire payer des milliards aux consommateurs en enterrant du “carburant” alors que ce n’est pas du tout nécessaire ! C’est une arnaque pour que les gens gagnent de l’argent et que le consommateur le mange comme toujours !

Une autre pépite est que l’État profond a donné tous nos secrets nucléaires directement à la Russie et les a expédiés par avion ! Il dit que la disparition de Three Mile Island était une escroquerie totale. Ils ont fait un livre à ce sujet avant l’événement et l’île n’a pas fondu du tout ! Il dit que toute l’usine aurait pu fonctionner à nouveau en 6 semaines sans problème ! Il s’agissait d’un événement planifié pour laver le cerveau des gens au sujet des radiations nucléaires afin d’empêcher le vol de leur précieux combustible, car il y a tellement d’uranium sans surveillance dans les centrales.


Vidéo en anglais

La vidéo en Français du N.O.M.


Traduction : Le Nouvel Ordre Mondial



A-t-on utilisé Galen Windsor pour essayer de dissiper les dangers de l'énergie nucléaire ?


dimanche, juillet 01, 2018

Une certaine idée de la France et de la fonction présidentielle


 Africanisation du pays et ambiguïté du genre


Pour Philippe de Villiers, "Macron a perdu sa sacralité"… après la fête de la musique à l’Elysée

Par Louis Hausalter



Il nous avait habitués à afficher sa proximité avec Emmanuel Macron. Mais Philippe de Villiers ne s'est pas remis de la fête de la musique électro à l'Elysée...

Emmanuel Macron ? « S’il avait une soirée à perdre, il préférerait la passer avec moi plutôt qu'avec Christophe Castaner », fanfaronnait Philippe de Villiers sur BFMTV en avril. Mais il se trouve que le chef de l’Etat aime aussi passer ses soirées avec des DJ électro, comme il l’a montré en leur ouvrant les portes de l’Elysée pour la fête de la musique, le 21 juin… Et cela, ce n’est pas du tout du goût de Villiers, qui n’a pas digéré la photo d’Emmanuel et Brigitte Macron entourés du DJ Kiddy Smile et de ses danseurs, ainsi que leur démonstration enflammée de voguing - mouvement issu de la communauté LGBT noire et latino aux Etats-Unis - sur le perron du palais présidentiel. « C’est une insulte au cœur de la France ! », a rageusement tweeté Philippe de Villiers.

Il est vrai qu’on est assez loin du Puy du Fou, de ses courses de chars et de ses duels chevaleresques, auxquels Macron avait assisté au côté de Villiers en 2016, lorsqu’il était encore ministre de l’Economie… Alors l’ex-candidat à la présidentielle, qui a loué à plusieurs reprises le chef de l’Etat pour avoir restauré « la symbolique régalienne », « ne comprend pas ». « Je suis un peu perdu. Qu’est-ce qui correspond à ce qu’il pense ? », s’interroge Villiers. La fin tragique d’une idylle ?



Un extrait du livre de Philippe de Villiers, "Le moment est venu de dire ce que j'ai vu", sur Poutine : ICI

samedi, juin 30, 2018

La panthéonisation de Simone Veil

serait-elle une cérémonie rendue à Baal ?




« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »

Simone Veil




Simone Veil, décède le vendredi 30 juin 2017. Elle entrera au Panthéon le 1er juillet 2018 pour avoir obtenu, dit-on, le "droit à l'avortement". Or Simone Veil n'a jamais défendu de droit à l'avortement. 

Les politiciens ont-ils modifié l'esprit de la loi Veil afin d'offrir un gigantesque holocauste aux forces des ténèbres ? Forces qui sont, n'en doutons pas, au cœur des loges occultes où l'on coopte les valets de la république.

Le nombre d'IVG dépasse les 200 000 par an

Simone Veil était opposée à la banalisation de l’avortement dont elle considérait qu'il "restera toujours un drame" et précisa au sujet de sa loi que "si elle n'interdit plus, elle ne crée aucun droit à l'avortement".

Le droit d’accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a été renforcé, en 2014, par la suppression de la condition de détresse, prévue initialement dans la loi du 17 janvier 1975. Le délai de réflexion de sept jours entre les deux premières consultations a également été supprimé... 

 La loi Veil fut définitivement enterrée sous François Hollande


"Le 26 novembre 2014, écrit Pascal Borie, l'Assemblée Nationale votait une "résolution réaffirmant le droit fondamental à l'interruption volontaire de grossesse en France et en Europe". Adopté à l'unanimité moins sept voix, ce texte symbolique prétendait célébrer solennellement les 40 ans de l'adoption de la loi Veil de 1974. Le Monde titrait "Le droit à l'avortement a 40 ans", Libération "La bataille de Simone Veil pour le droit à l'avortement" et Madame Figaro "Le droit à l'avortement menacé en Europe"...

Problème : la malheureuse Simone Veil n'étant plus en âge de le faire, personne ou presque n'a fait remarquer qu'il s'agissait au contraire d'enterrer définitivement sa loi, et que tous ces titres relevaient d'un révisionnisme éhonté. A l'occasion de son propre discours devant l'Assemblée le 26 novembre 1974, celle qui était à l'époque ministre de la Santé avait exposé on ne peut plus clairement l'esprit de sa loi : "Si elle n'interdit plus, elle ne crée aucun droit à l'avortement."

Le Monde, Libération ou Madame Figaro ont donc tout faux: Aucun droit à l'avortement n'a jamais été proclamé en France. Pas plus qu'en Europe, puisque la Commission de Strasbourg réaffirmait à l'inverse le 10 décembre dernier (2014) que l'IVG ne saurait être un "droit". En 1974 déjà, Simone Veil affirmait la nécessité de ne pas confondre l'avortement, "que la société tolère mais qu'elle ne saurait ni prendre en charge ni encourager", avec la contraception.

Son discours était limpide: "L'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue." Et sa loi ne devait s'appliquer que pour une durée limitée à cinq ans, le temps de trouver de meilleures solutions. Concernant la génération politique de ses successeurs, la ministre de la Santé déclarait: "Sachons lui faire confiance pour conserver à la vie sa valeur suprême." Elle ne doutait pas qu'ils agiraient de façon responsable.

En attendant, la loi Veil "interdit l'incitation à l'avortement par quelque moyen que ce soit car cette incitation reste inadmissible". Et ce, pour une raison évidente: "C'est toujours un drame et cela restera toujours un drame. C'est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s'il admet la possibilité d'une interruption de grossesse, c'est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme." Ainsi parlait madame Veil il y a 40 ans.

"Qui est pour l'avortement ? Personne. Il faudrait être fou pour être favorable à l'avortement", écrivait quant à lui Pier Paolo Pasolini dans ses Lettres luthériennes. "Eh bien moi, ajoutait-il, je me suis prononcé contre l'avortement et pour sa légalisation". Exactement comme Simone Veil, lorsqu'elle confiait: "Personne ne peut éprouver une satisfaction profonde à défendre un tel texte." Car enfin: "Personne n'a jamais contesté, et le ministre de la Santé moins que quiconque, que l'avortement soit un échec quand il n'est pas un drame."

Alors qu'elle jugeait inconcevable d'en tirer une quelconque fierté, c'est lui faire la pire injure aujourd'hui que de falsifier ainsi le sens de la loi qui porte son nom, pour la travestir en un "droit fondamental" aberrant: celui de recourir encore et encore à ce qu'elle a toujours considéré comme une tragédie, et de prolonger indéfiniment ce qu'elle espérait n'être qu'une solution d'exception, faute de mieux. Non seulement madame Veil n'a pas mérité ça, mais elle aurait mérité qu'un peu plus de sept voix défendent son réel combat."




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La cérémonie du 1er Juillet, évoquant l'holocauste des anges (l'avortement est faiseur d'anges, disait-on), est précédée d'un hommage au Mémorial de la Shoah (l'holocauste des juifs), dont l'exploitation a permis à la Cabale d'affirmer sa domination mondiale.

jeudi, juin 28, 2018

La rencontre du golem rothschildien et de l'antipape

Manu & Chico 
(Chico : diminutif de Francisco - Franciscus papa)

François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit de l’hommiste

par Ivan Rioufol


S’il est une personnalité dont il ne faut pas suivre les conseils concernant l’immigration, c’est le pape François. C’est pourtant ce que risque de faire Emmanuel Macron. 


A l’issue de sa rencontre avec le Saint Père, mardi (26 juin 2018) au Vatican, le chef de l’Etat a confié que la conversation avait notamment porté sur "les populismes". Selon La Croix de ce mercredi, les deux hommes partagent la conviction qu’il faut aujourd’hui "entendre les angoisses dans la société, mais ne pas céder à la manipulation de ces peurs". Or la position que défend le pape, d’une ouverture de l’Europe à l’Autre, n’est qu’en apparente conformité avec le message du Christ ("J’étais étranger et vous m’avez accueilli", Matthieu). 

Le 16 avril 2016, sur l’île grecque de Lesbos, François a invité les Européens à l’accueil sans limite des étrangers, comme le rappelle Jean-Philippe Vincent dans une note pour la Fondation pour l’innovation politique (Ethique de l’immigration, juin 2018, Fondapol) : "L’Europe est la patrie des droits humains, et quiconque pose le pied en terre européenne devrait pouvoir en faire l’expérience (…)", avait-il notamment déclaré. 

Le christianisme n’a jamais eu pour prétention d’être une doctrine politique destinée à changer le monde

Cependant, cette vision millénariste, qui voudrait faire la cité de Dieu sur terre en oubliant les nations, est contestable et dangereuse. Le christianisme n’a jamais eu pour prétention d’être une doctrine politique destinée à changer le monde. "Mon royaume n’est pas de ce monde", dit Jésus.Comme l’écrit Jean-Louis Harouel dans un livre déjà cité (Revenir à la nation, Editions Jean-Cyrille Godefroy, 2014) : "La manière chrétienne de changer le monde consiste à se changer soi-même", tandis que la démarche millénariste vise "à changer les autres". C’est ainsi que François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit de l’hommiste, insensible aux angoisses identitaires des Européens qui se tournent vers les populistes honnis.

Immigration le pire est à venir 

Légitimes sont les peurs de ceux qui s’affolent de l’angélisme du Vatican et de l’entêtement de Macron à ne pas percevoir la crise migratoire. Le président préfère parler de "crise politique", au prétexte que les flux de clandestins ont effectivement baissé depuis 2015. Mais cet argument factuel ne tient pas, si gouverner c'est prévoir. Or la pression migratoire actuelle n’est rien en comparaison de ce qui s’annonce. 

Selon un rapport de l’ONU de 2016, 60 millions de jeunes arabes se retrouveront, dès 2020, devant un marché du travail saturé.

Quant à l’Afrique, qui compte 1,2 milliard d’habitants (Europe : 510 millions), elle sera forte de 2,5 milliards d’habitants en 2050, tandis que l’Europe en aura perdu 60 millions. Si rien n’est fait dès à présent pour protéger l’Europe de l’immigration, il n’est pas besoin d’être prophète pour annoncer de profonds déséquilibres culturels et religieux à venir. 

Ce mercredi matin, le navire humanitaire Lifeline attendait encore d’être autorisé à accoster sur l’île de Malte, l’Allemagne n’ayant toujours pas donné son aval à la solution commune retenue hier pour répartir les "migrants". Jeudi et vendredi, le Conseil européen, qui a toujours vanté les mérites de l’immigration, va devoir se confronter à ses erreurs et à leurs conséquences politiques. Elles mettent en péril l’avenir d’Angela Merkel. Si les européistes persistent dans leur ouverture impensée, en se contentant de la bénédiction papale, les peuples ne tendront pas l’autre joue.

SOURCE

Ivan Roufiol est l'auteur de Macron, la grande mascarade, La guerre civile qui vient, La nouvelle révolution française...


Le but de la Compagnie de Jésus

En modernisant le catholicisme, la Compagnie s’en servira pour abattre ce qu’il reste des sociétés traditionnelles à travers le monde : que ce soit par la force, accompagnée d’armées européennes comme ce fut parfois le cas en Amérique ou, plus subversivement, par les idées, la propagande et l’enseignement comme ce fut plutôt le cas en Asie.

La Société de Jésus va s’imposer comme une nouvelle église, et bien qu’elle commença en Europe par prendre le masque du catholicisme afin de le récupérer, elle fera de même dans le monde avec le confucianisme, le bouddhisme, les idolâtries des Indiens d’Amérique du Sud, le brahmanisme, le chamanisme – bref, avec toutes les croyances traditionnelles qui n’avaient pas encore été éteintes par le monothéisme. Rapidement, les jésuites poseront les bases d’une « nouvelle religion mondiale », en promouvant une théologie qui vise à mettre en relief les points de ressemblance entre les différentes cultures et croyances.

Le catholicisme ne devint plus qu’un instrument parmi d’autres pour la Compagnie de Jésus qui, fondamentalement, méprisait cette religion.

« La Compagnie surpasse l’Église, tant parce qu’elle est le monument qui a révélé à la Terre les merveilles du Christ, que par les prérogatives singulières qu’elle octroie et décerne à ses fils. (…) Saint Ignace dépasse et surpasse tous les fondateurs d’ordres religieux. C’est lui qui s’est le plus rapproché du Christ. Il a vu intuitivement la Divine Essence. En fondant la Compagnie, il fonda pour la seconde fois l’Église. »

Les jésuites ne modèrent pas leur arrogance. Ignace disait déjà en son temps : « De cette chambre, je gouverne le monde entier ». Et, en quelques décennies, la Compagnie de Jésus devint le pouvoir international le plus important qui soit. [...]

Un matérialisme spirituel

La Compagnie de Jésus va, en fait, amener une nouvelle conception étrangère au catholicisme : Dieu est celui de la raison, et le progrès technique et intellectuel est son oeuvre. Les missionnaires doivent d’ailleurs convaincre les peuples non pas par la foi, mais par la raison.

Au sein de la Compagnie va donc proliférer ce qu’on appelle « le matérialisme spirituel » qui sacralise ce qu’il y a de plus matériel et de plus humain. La religion se résume à la vie terrestre et à une philosophie intellectualiste, sans aucune transcendance. Le salut de l’âme proposé par les jésuites est en fait sa perdition dans la contingence de l’incarnation. Plus aucune référence sacrée et authentique ne va persister dans leurs enseignements.

« L’énoncé le plus exact est que toutes les choses inanimées et irrationnelles peuvent être légitimement vénérées », affirme le père jésuite Gabriel Vasquez, énonçant là ce qui sera à compter parmi les fondements de l’athéisme, du nihilisme ou encore de la pseudo-spiritualité du Nouvel Âge.

Les jésuites ont introduit dans le catholicisme l’idolâtrie de la matière, véhiculée entre autre par la sacralisation du progrès scientifique.

Et lorsqu’ils affirmeront combattre l’idolâtrie, ils combattront en fait, comme en Asie, des systèmes religieux et philosophiques plurimillénaires qu’ils ne peuvent absolument pas comprendre, tout d’abord parce que ceux-ci sont adaptés aux Orientaux, et ensuite parce qu’ils sont à l’opposé des conceptions matérialistes de la Société de Jésus.

Extraits du dossier "La Compagnie de Jésus. Pour la plus grande gloire... de qui ?"



Un PDF gratuit de Freddy Malot "Un ANTI-PAPE de plus, François Dernier", "(...) un faux “François” flattant Jean XXIII, Vatican II et la clique épiscopale française, un faux “Dominique” nous pend au nez, jouant du Pie IX (Vatican I), et à la clique jésuitique des “Ultramontains” du Syllabus (menés par Mgr Manning – semence de Newman – High church de Westminster)."

mardi, juin 26, 2018

Les sayanim, ils mentent, ils trahissent...



En France, des journalistes, des responsables d'ONG, des francs-maçons, des politiciens... sont des sayanim, autrement dit, des traîtres au service d'une puissance politico-financière et de son mondialisme messianique. (Israël n'est que la partie visible de l'iceberg occulte.)

Le Mossad et ses collabos français 

Jacob Cohen
: Les sayanim – informateurs en hébreu – sont des juifs de la diaspora qui, par « patriotisme », acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l’aide nécessaire dans le domaine de leur compétence. (Ils sont quelques milliers en France mais personne ne les connaît. Leur existence est niée. Leur force vient justement de leur infiltration secrète dans tous les secteurs de la société. Ils agissent en citoyens français, mais en réalité ils travaillent pour une puissance étrangère.) [...]

La puissance médiatique du lobby pro-israélien

JC
: Je suis d’assez près l’actualité proche-orientale, et je consulte les médias des 2 bords. Et je suis sidéré, presque fasciné, par la puissance médiatique du lobby pro-israélien. Et comment il arrive à faire rentrer dans les esprits, jusqu’à devenir des banalités admises, des concepts comme « la seule démocratie de la région », ou tellement aberrants, comme « assurer la sécurité d’Israël ».

Le fait de savoir que des sayanim sont en grande partie le moteur de cette propagande permet une lecture plus lucide et plus pertinente de l’actualité. [...]


Un million de sayanim  

JC
: En France ils seraient près de 3000. Ostrovski, ex-agent du Mossad, estime leur nombre à 3000 rien qu’à Londres. On peut imaginer leur importance aux Etats-Unis. Mais le « réservoir » est infini. Si on associe le B'nai Brith (franc-maçonnerie juive internationale), la WIZO (organisation internationale des femmes sionistes), les organisations judéo-sionistes nationales, comme l’UPJF, l’UEJF, le CRIF… en France, ainsi que les sympathisants, on arrive facilement au chiffre de un million de juifs prêts à travailler pour le Mossad.

(Le B’nai B’rith, la franc-maçonnerie juive mondiale, forte de 500 000 membres, représente un réservoir inépuisable dans lequel le Mossad puise ses futurs « sayanim ». Mais on peut devenir « sayan » sans être lié au B’nai Brith.)...

Pour en savoir plus sur les sayanim :



"Le printemps des sayanim", le cinquième roman de Jacob Cohen, a révélé de façon prémonitoire l'influence prépondérante, et en particulier ses moyens d'action et de pénétration, d'une certaine communauté juive organisée et liée à Israël, pour renforcer l'alliance avec ce pays, et délégitimer toute forme de critique à l'encontre des politiques sionistes, en les faisant passer pour de l'antisémitisme.

lundi, juin 25, 2018

Action des Forces Opérationnelles & guerre civile en France



Dix membres d'un groupe armé baptisé «Action des Forces Opérationnelles » (AFO) sont actuellement en garde à vue. Ils sont suspectés de vouloir commettre des attentats contre des musulmans, "des imams radicalisés, des femmes voilées, des détenus islamistes sortis de prison...".

Ces attentats auraient provoqué un affrontement entre le monde « caucasien » helléno-chrétien et l’Islam présenté comme obscurantiste, terroriste et sanguinaire. Autrement dit, leur but était de générer le chaos de la guerre civile en France.


Il existe une "mystique du chaos" dans de redoutables mouvements messianiques qui œuvrent à la destruction de l'Europe helléno-chrétienne.


Laurent Obertone




Le jour où tout s'embrasa

La guerre civile était inévitable. 
Vivez l'Apocalypse des trois derniers jours de la France.


Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément.

La cité s'embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose.

Forces de l'ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos.

Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d'approvisionnements, d'ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel.

Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s'apprêtent à faire face au carnage.

Les événements décrits dans "Guerilla" reposent sur le travail d'écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d'immersion au contact d'agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l'auteur du chef-d'oeuvre "Utøya" (l'affaire Breivik) et de l'enquête phénomène "La France Orange Mécanique" livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile.

La France Big Brother, enquête sur un sujet tabou : le conditionnement d'une population.

Un choc des cultures au cœur de l'Amérique

En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Hab...