mardi, avril 23, 2019

Les juifs n'ont jamais été chassés de Palestine il y a 2000 ans

"Les Palestiniens sont les descendants des anciens Hébreux..."


La mort du Khazar rouge, condensé de Shlomo Sand



"En écrivant un polar, l'historien Shlomo Sand, professeur à l'université de Tel Aviv, fait œuvre de vulgarisation. En passant à la fiction (sans notes en bas de page !), Sand résume ses recherches et analyses qu'il avait brillamment développées dans Comment le peuple juif fut inventé. Le polar a toujours été prisé par les auteurs gauchistes. Sand réussit admirablement en mêlant Histoire et intrigue criminelle. Ainsi, si vous désirez apprendre où en sont les découvertes époustouflantes sur l'histoire des Juifs le roman La mort du Khazar rouge en est une approche palpitante. Il s'appuie d'une part sur les écrits d'Ernest Renan, Marc Bloch, Arthur Koestler et le travail d'historien de Sand lui-même pour étayer sa thèse selon laquelle la diaspora juive serait le fruit de conversions successives, et que les Juifs n'ont jamais été chassés de Palestine il y a 2000 ans. Les Ashkénazes seraient en partie descendants de Khazars convertis. Le livre révèle également quantité de faits avérés souvent ignorés du grand public, que ce soit les lois israéliennes, l'assassinat de personnalités sur le territoire français, etc. Le thriller met en scène à la fois les agissements du Shabak, le service de sécurité intérieure israélien, et les mœurs des universitaires qui ne sont pas différents quel que soit le pays ! La fiction, donc nourrie par un travail à la fois historique et sociologique, a le mérite de nous tenir en haleine tout au long des 384 pages de ce polar fondamentalement politique."

Shlomo Sand


Qui a tué l'éminent professeur d'histoire Yitzhak Litvak, de l'université de Tel Aviv ? C'est la question à laquelle tente de répondre le commissaire Émile Morkus, un des rares hauts gradés arabes de la police israélienne. Mais quelle piste suivre ? Célibataire sans enfant, Litvak semblait vivre seul, surtout préoccupé de l'avancée de ses travaux. Celle d'une mauvaise rencontre ? D'un étudiant voulant se venger d'un échec quelconque ? Ou celle d'un règlement de comptes entre ces universitaires qui, comme dans toutes les facultés du monde, se détestent cordialement ?

L'affaire prend une autre tournure quand le frère jumeau de Litvak est à son tour assassiné, et que certains services israéliens travaillent ostensiblement à étouffer l'affaire.

Shlomo Sand, lui-même professeur (émérite) d'histoire à l'université de Tel Aviv, nous régale dans ce premier roman policier à mettre en scène les débats qui déchirent la culture politique israélienne, la paranoïa et l'incapacité des services de sécurité et, surtout, la force aveugle d'un récit biblique sur les origines de l'État hébreu auquel il est dangereux de toucher.

Shlomo Sand est déjà l'auteur de nombreux travaux historiques, parmi lesquels Comment le peuple juif fut inventé (Fayard, 2008), qui a suscité des nombreuses controverses, où il questionne durement la construction mémorielle de l'État d'Israël.


lundi, avril 22, 2019

Répression


Répression, l'Etat contre les contestations politiques



La journaliste Aude Lancelin interview Vanessa Codaccioni, maître de conférence à l’université Paris 8, et chercheuse sur la question des justices d’exception, des crimes politiques et terroristes. Elle lui pose la question concernant la stratégie du pouvoir qui vise à invisibilité le caractère politique de la répression menée contre ses opposants et revient également sur l'actualité de ces dernières semaines et la criminalisation du mouvement des gilets jaunes.


Livre :

Répression 

Vanessa Codaccioni

Il ne se passe pas un seul jour sans que des militants ne soient confrontés à la répression. Violences policières, arrestations, gardes-à-vue et procès rythment aujourd'hui la vie politique et judiciaire. Aucune forme d'indignation politique n'y échappe : des gilets jaunes aux zadistes en passant par les écologistes, les militants solidaires, les féministes, les lycéens ou celles et ceux qui participent à des manifestations de rue, toutes et tous peuvent être confrontés à la police ou à la justice. Pour les acteurs de la répression, ce sont des " casseurs ", des " délinquants " ou des " terroristes " qui sont visés. Il s'agit d'un déni stratégique dont l'objectif est d'invisibiliser le caractère politique de cette violence d'Etat et de nier que ce sont pour leurs idées ou leurs actions que des militantes ou militants sont arrêtés, inculpés ou jugés. En analysant les mécanismes contemporains de la répression, Vanessa Codaccioni dénonce la criminalisation de la contestation politique. Etudiant finement ses principaux dispositifs, elle éclaire l'une de ses logiques majeures : la dépolitisation de l'activisme par son assimilation au terrorisme ou à la criminalité de droit commun.


Sionisme et contrôle totalitaire européen


H. Raivelot




A grande échelle, le contrôle totalitaire européen ne se cache plus. Après avoir dépossédé les nations de tout pouvoir, il a été mis en place le 16 février 2012, le parlement juif européen dans les locaux de Strasbourg ! Sans une ligne dans la presse nationale ou aux JT... La mainmise totalitaire sur un processus aussi fondamental que la création d’argent papier, au sein d’une nation, est, depuis 1973 en France, entre les mains d’instituts privés strictement communautaires où le concept de démocratie est une plaisanterie : l’Europe est enchaînée depuis plus longtemps qu’on ne le croit, et les Etats-Unis encore depuis plus longtemps. Les divertissements, la culture actuelle, la production littéraire sont dorénavant systématiquement empreintes d’un plan plus large d’hégémonie de la communauté régnante. Même si quelques personnes commencent à identifier cette idéologie au sommet, personne ou presque ne veut croire qu’il s’agit là de la partie émergée de l’iceberg sioniste, que cette domination ne pourrait se faire sans une base solide d’exécutants anonymes, et surtout, à votre contact. (...)



La Constitution européenne prévoit explicitement la possibilité de vous mettre à mort sommairement :



Conjointement, le parlement Juif européen (120 membres de 47 (!) pays) s’est déjà installé dans les locaux du déjà ultra sioniste parlement de Strasbourg. Conjointement, des annexes purement orwelliens, passés sous silence, se trouvent à l’intérieur même de la Constitution européenne dit « traité de Lisbonne ». JE RAPPELLE QUE NOUS VIVONS SOUS LE RÉGIME DE CETTE CONSTITUTION EUROPÉENNE QUE NOS DÉPUTÉS ONT RATIFIÉ POUR NOUS MALGRÉ NOTRE REJET PAR REFERENDUM !

Ces annexes de la constitution permettent tout simplement de ne pas appliquer la charte des droits fondamentaux (la partie II de la constitution) dans des cas dont la définition est délibérément floue et extensible. En particulier, dans les annexes à la charte des droits fondamentaux article IV-A-12 (tout à la fin de la constitution, là où personne n’ira trop chercher…), il est écrit noir sur blanc, dans « notre » constitution : « La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article 47 dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale. b) pour effectuer une arrestation régulière c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.

Autrement dit il est désormais « légal » d’exécuter la population européenne, conformément à la loi bien sûr, au cours d’une émeute ou d’une insurrection. » Qu’on se le dise…




mercredi, avril 17, 2019

La destruction de Notre-Dame de Paris serait un attentat

Le fou de Bélial


L'incendie de Notre-Dame de Paris est l'œuvre de la contre-initiation qui contrôle le pouvoir, selon des médium et des spiritualistes.

"L'objectif de l'attentat est de créer une émotion populaire pour détourner l'attention des Gilets jaunes... Il (Macron) veut tout raser, tout détruire, toucher à la spiritualité et au sacré", affirme une initiée. 

"(...) on évoque déjà la reconstruction, écrit Bill Pinpin.

Et c'est là qu'il faut se méfier : quand on sait qui dirige vraiment la France, la république maçonnique, il faut être prudent sur comment va être menée la reconstruction et surtout ce qu'ils vont mettre à la place.

Vont-ils ériger une nouvelle toiture aux symboles maçonniques et universalistes ou bien vont-ils respecter les symboles chrétiens d'origine ?

Quand on sait que Arnault et Pinault ont annoncé faire un don de 300 millions d'euros juste au lendemain de l'incendie pour la rénovation, il y a de quoi se poser des questions et rester prudent.

C'est un point à surveiller de très près car ils seraient bien capable d'effacer ces 900 ans de vraie France en plein cœur de Paris pour mettre un symbole maçonnique, mondialiste à la place."



L'architecte de Notre-Dame ne croit pas à la thèse de l'accident.



mardi, avril 16, 2019

Notre-Dame de Paris, la destruction d'une cathédrale philosophale



La cathédrale est le refuge hospitalier de toutes infortunes. Les malades qui venaient, à Notre-Dame de Paris, implorer Dieu pour le soulagement de leurs souffrances, y demeuraient jusqu’à leur guérison complète. On leur affectait une chapelle, située vers la seconde porte, et qui était éclairée de six lampes. Ils y passaient les nuits. Les médecins y donnaient leurs consultations, à l’entrée même de la basilique, autour du bénitier.

C’est encore là que la Faculté de médecine, quittant, au XIIIe siècle l’Université pour vivre indépendante, vint donner ses assises et se fixa jusqu’en 1454, époque de sa dernière réunion, provoquée par Jacques Desparts.

C’est l’asile inviolable des gens poursuivis et le sépulcre des défunts illustres. C’est la cité dans la cité, le noyau intellectuel et moral de l’agglomération, le cœur de l’activité publique, l’apothéose de la pensée, du savoir et de l’art.

Par l’abondante floraison de son ornementation, par la variété des sujets et des scènes qui la parent, la cathédrale apparaît comme une encyclopédie très complète et très variée, tantôt naïve, tantôt noble, toujours vivante, de toutes les connaissances médiévales. Ces sphinx de pierre sont ainsi des éducateurs, des initiateurs au premier chef.

Ce peuple de chimères hérissées, de grotesques, de marmousets, de mascarons, de gargouilles menaçantes, — dragons, stryges et tarasques, — est le gardien séculaire du patrimoine ancestral. L’art et la science, jadis concentrés dans les grands monastères, s’échappent de l’officine, accourent à l’édifice, s’accrochent aux clochers, aux arcs-boutants, se suspendent aux voussures, peuplent les niches, transforment les vitres en gemmes précieuses, l’airain en vibrations sonores et s’épanouissent sur les portails dans une joyeuse envolée de liberté et d’expression. Rien de plus laïque que l’exotérisme de cet enseignement ! rien de plus humain que cette profusion d’images originales, vivantes, libres, mouvementées, pittoresques, parfois désordonnées, toujours intéressantes ; rien de plus émouvant que ces multiples témoignages de l’existence quotidienne, du goût, de l’idéal, des instincts de nos pères ; rien de plus captivant, surtout, que le symbolisme des vieux alchimistes, habilement traduit par les modestes statuaires médiévaux. A cet égard, Notre- Dame de Paris, église philosophale, est sans contredit l’un des plus parfaits spécimens, et, comme l’a dit Victor Hugo, « l’abrégé le plus satisfaisant de la science hermétique, dont l’église de Saint-Jacques-la Boucherie était un hiéroglyphe si complet ».


Les alchimistes du XIVe siècle s’y rencontrent, hebdomadairement, au jour de Saturne, soit au grand porche, soit au portail Saint-Marcel, ou encore à la petite Porte-Rouge, toute décorée de salamandres. Denys Zachaire nous apprend que l’usage s’y maintenait encore en l’an 1539, « les dimanches et jours de festes », et Noël du Fail dit que « le grand rendez-vous de tels académiques estoit à Nostre-Dame de Paris ».

Là, dans l’éblouissement des ogives peintes et dorées, des cordons de voussures, des tympans aux figures multicolores, chacun exposait le résultat de ses travaux, développait l’ordre de ses recherches. On y émettait des probabilités ; on y discutait les possibilités ; on y étudiait sur place l’allégorie du beau livre, et ce n’était pas la partie la moins animée de ces réunions que l’exégèse abstruse des mystérieux symboles.

samedi, avril 13, 2019

L'anti-tradition ripoublicaine et ses symboles



Quelques réflexions sur la pseudo-religion révolutionnaire et les grands symboles de la république maçonnique par Pierre-Yves Lenoble.

Joseph de Maistre :

"Il y a dans la révolution française un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu’on a vu, et peut-être de tout ce qu’on verra.

Qu’on se rappelle les grandes séances ! le discours de Robespierre contre le sacerdoce, l’apostasie solennelle des prêtres, la profanation des objets du culte, l’inauguration de la déesse Raison, et cette foule de scènes inouïes où les provinces tâchaient de surpasser Paris : tout cela sort du cercle ordinaire des crimes, et semble appartenir à un autre monde.

Et maintenant même que la révolution a beaucoup rétrogradé, les grands excès ont disparu, mais les principes subsistent. Les "législateur"s (pour me servir de leur terme) n’ont-ils pas prononcé ce mot isolé dans l’histoire : "La nation ne salarie aucun culte ?" Quelques hommes de l’époque où nous vivons m’ont paru, dans certains moments, s’élever jusqu’à la haine pour la Divinité ; mais cet affreux tour de force n’est pas nécessaire pour rendre inutiles les plus grands efforts constituants : l’oubli seul du grand Être (je ne dis pas le mépris) est un anathème irrévocable sur les ouvrages humains qui en sont flétris. Toutes les institutions imaginables reposent sur une idée religieuse, ou ne font que passer. Elles sont fortes et durables à mesure qu’elles sont "divinisées", s’il est permis de s’exprimer ainsi. Non seulement la raison humaine, ou ce qu’on appelle la "philosophie", sans savoir ce qu’on dit, ne peut suppléer à ces bases qu’on appelle superstitieuses, toujours sans savoir ce qu’on dit ; mais la philosophie est, au contraire, une puissance essentiellement désorganisatrice.

En un mot, l’homme ne peut représenter le Créateur qu’en se mettant en rapport avec lui. Insensés que nous sommes ! si nous voulons qu’un miroir réfléchisse l’image du soleil, le tournons-nous vers la terre ?

Ces réflexions s’adressent à tout le monde, au croyant comme au sceptique ; c’est un fait que j’avance et non une thèse. Qu’on rie de ces idées ou qu’on les vénère, n’importe : elles ne forment pas moins (vraies ou fausses) la base unique de toutes les institutions durables."


Bibliographie : 


- A. Cabanès et L. Nass, La névrose révolutionnaire, Albin Michel, 1924.

- C. Levalois, Symbolisme de la décapitation du roi, Trédaniel, 1992.

- M. Talmeyr, La Franc-maçonnerie et la révolution française, Perrin et Cie, 1904.

- A. Cochin, Les sociétés de pensée, Copernic, 1978.

- Mgr H. Delassus, La conjuration antichrétienne, Scivias, 1999.

- Revue Atlantis, No 356, Hiver 1989, La Révolution française au regard de la Tradition.


mercredi, avril 10, 2019

Des livres et des films par Hervé Ryssen



Des livres et des films par Hervé Ryssen, Gaulois réfractaire et bête noire du CRIF 


LIVRES :
Christophe Guilluy

«There is no society» : la société, ça n'existe pas. C'est en octobre 1987 que Margaret Thatcher prononce ces mots. Depuis, son message a été entendu par l'ensemble des classes dominantes occidentales. Il a pour conséquence la grande sécession du monde d'en haut qui, en abandonnant le bien commun, plonge les pays occidentaux dans le chaos de la société relative. La rupture du lien, y compris conflictuel, entre le haut et le bas, nous fait basculer dans l'a-société. Désormais, no more society. 

La crise de la représentation politique, l'atomisation des mouvements sociaux, la citadellisation des bourgeoisies, le marronnage des classes populaires et la communautarisation sont autant de signes de l'épuisement d'un modèle qui ne fait plus société. 

La vague populiste qui traverse le monde occidental n'est que la partie visible d'un soft power des classes populaires qui contraindra le monde d'en haut à rejoindre le mouvement réel de la société ou bien à disparaître.

Dario Fernandez-Morera

Universitaires, journalistes et hommes politiques, tous nous présentent "al-Andalus", l’Espagne sous domination musulmane, comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie. C e conte de fées est un mythe. Dans "Le mensonge d’al-Andalus", un ouvrage décapant, l’historien Darío Fernández-Morera révèle la réalité de l’"Espagne arabo-musulmane", à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques. Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l’Espagne par le califat islamique. Les armées de l’islam, composées de Berbères incultes, détruisirent un Royaume Visigoth qui avait conservé l’héritage de la culture classique après la chute de l’Empire romain d’occident, et dont le niveau de civilisation était largement supérieur.

Loin d’être un espace de tolérance, l’"Espagne musulmane" fut le lieu d’une régression culturelle dans tous les domaines de la vie. Chrétiens et juifs y furent marginalisés et opprimés par des autocrates religieux. Considérés comme subalternes dans une société hiérarchisée, ils furent réduits au rang de dhimmis, et eurent le choix que les gangsters donnent à leurs victimes : payer pour être protégés, ou disparaître.

Tandis que politiciens et idéologues continuent de célébrer l’"Espagne musulmane" pour son « multiculturalisme » et sa « diversité », Darío Fernández-Morera montre que cette construction politiquement utile est une falsification de l’histoire.

Mike Horn

Mike Horn, au travers de ses expéditions, malgré les péripéties, la solitude et les conditions extrêmes, a toujours poursuivi le même objectif : se sentir exister, libre, avec et pour les autres. Ses défis, il les vit comme des chemins de sagesse. Depuis plus de trente ans, il délivre des messages humanistes dans lesquels il montre toute la force de ses valeurs et de son mental. Selon lui, c’est en cultivant l’essentiel, en créant les conditions de sa propre liberté, mais aussi en s’extasiant sur ce que la nature nous révèle au quotidien, qu’on devient meilleur. 

Illustré de photographies inédites, cet ouvrage nous invite, aux côtés de Mike Horn, à repenser notre rapport à la nature, mais aussi à écouter davantage ce besoin de liberté qui est en chacun de nous et qui offre un espace infini à la vie.


Sonia et Alexandre Poussin

Sonia et Alexandre Poussin ont entrepris de remonter l'Afrique à pied, du cap de Bonne-Espérance au lac de Tibériade. Trois ans de marche le long de la vallée du Rift en Afrique de l'Est, pour refaire symboliquement le voyage du premier homme.

Dans ce volume qui retrace les sept mille kilomètres initiaux de leur périple, du Cap au Kilimandjaro, ils nous font partager un continent intime. Ils ont affronté le soleil implacable de la brousse, les attaques d'animaux sauvages, traversé des pays en crise. Seuls, sans sponsor ni logistique, partageant le dénuement de leurs hôtes, ils nous parlent à chaque page de la générosité et de l'enthousiasme des hommes qui peuplent cette terre. Jour après jour, Sonia et Alexandre sont devenus un peu plus africains.



Hervé Ryssen

Le peuple juif est porteur d'un projet pour l'humanité ; un projet grandiose qu'il poursuit depuis des siècles envers et contre tout : l'instauration sur terre d une paix universelle. La notion de paix est, en effet, au cœur du judaïsme, et ce n'est pas un hasard si ce mot (shalom, en hébreu), se retrouve fréquemment dans tous les discours des juifs du monde entier. Dans ce monde parfait qu'ils construisent, tous les conflits auront disparu de la surface de la terre, et en premier lieu, les conflits entre les nations. C'est la raison pour laquelle les juifs militent inlassablement pour la suppression des frontières et la dissolution des identités nationales. Les nations étant censées être génératrices de guerres et de désordres, il faut donc les affaiblir et, à terme, les supprimer en faveur d'un gouvernement mondial, seul à même de faire régner sur terre le bonheur et la prospérité. Qu'ils soient de gauche ou de droite, marxistes ou libéraux, croyants ou athées, sionistes ou parfaitement intégrés , les juifs sont ainsi les plus fervents partisans de la société multiculturelle, du métissage planétaire et de l'Empire global. Quand toutes les identités auront disparu, il ne restera plus alors que le peuple juif, qui sera reconnu par tous comme le peuple élu de Dieu.


jeudi, avril 04, 2019

"L’anarchisme" : une soif de liberté absolue


"L’anarchisme" : une soif de liberté absolue

par Magdaline Boutros


Rares sont les doctrines qui ont été aussi mal comprises dans l’opinion publique que l’anarchisme, énonce d’entrée de jeu George Woodcock dans son ouvrage L’anarchisme : Une histoire des idées et mouvements libertaires.

Synonyme de chaos pour certains, de destruction ou encore de nihilisme pour d’autres, l’anarchisme ne ressemble en rien à cette image de désordre social si fortement ancrée dans notre imaginaire collectif, nous explique l’historien canadien. L’anarchisme doit plutôt être vu comme cette « situation positive où la domination n’est plus nécessaire au maintien de l’ordre ».

Sorte d’idéal, qui place l’individu au centre de sa réflexion, l’anarchisme cherche à « apporter des transformations fondamentales à la structure de la société et, en particulier […], [à] remplacer l’État autoritaire par une forme de coopération non gouvernementale entre des individus libres », expose l’auteur dans cet essai qui vient tout juste d’être traduit en français par le Québécois Nicolas Calvé chez Lux éditeur.

Une coopération vue comme un retour à « une conception morale et naturelle de la société », dans laquellecelle-ci n’est pas abolie, mais plutôt rebâtie « grâce aux liens libres et naturels de la solidarité ».

Ainsi, pendant que « la démocratie repose sur la souveraineté du peuple, l’anarchisme défend la souveraineté de la personne », résume l’auteur.

Publié en 1962, puis réédité en 1985, sans jamais avoir été traduit en français jusqu’à ce jour, l’ouvrage de Woodcock retrace l’histoire de l’anarchisme classique des XIXe et XXe siècles, portée par ses personnages marquants et déclinée au gré de ses victoires et de ses échecs.

Au fil des 517 pages du livre, William Godwin, Pierre-Joseph Proudhon, Michel Bakounine, Pierre Kropotkine et Léon Tolstoï font germer cette idée de bâtir des sociétés sans État, nous raconte Woodcock. Bien qu’ils ne se soient pas tous définis comme des anarchistes, ces penseurs, mus par un rejet de l’autorité et partageant un désir de changement social profond, ont tous contribué à fonder les socles de la théorie libertaire.

Alors que Godwin imaginait une plus grande décentralisation administrative, Proudhon rêvait d’une banque du peuple, Bakounine prônait un soulèvement destructif, Kropotkine aspirait à créer des coopératives de consommateurs et de producteurs et Tolstoï détaillait dans ses romans un idéal de solidarité universelle.

« Ce que j’ai aimé en traduisant cet ouvrage, c’est que c’est vraiment un livre d’histoire et non un livre théorique », souligne Nicolas Calvé en entrevue. Un livre grâce auquel on peut « voir des personnages en chair et en os dans leurs interactions », poursuit-il.

Tous ces personnages poursuivent cette même quête de liberté, qui prend des contours protéiformes. Car en plus d’être une philosophie politique, l’anarchisme est un mouvement social qui s’est décliné au fil du temps en une succession de courants nés de la pensée de figures emblématiques, explique Francis Dupuis-Déri, professeur au Département de science politique de l’UQAM et également auteur de livres sur l’anarchisme. Des courants qui se rejoignent au confluent d’une même idée, mais dont l’un des principaux points d’achoppement est toujours demeuré l’utilisation ou non de la violence.

Toujours d’une grande pertinence aujourd’hui, l’ouvrage de Woodcock était à l’époque l’un des premiers livres d’introduction à l’anarchisme, dit M. Dupuis-Déri. « C’est un livre important pour cela, mais aussi parce qu’il a été écrit par un grand intellectuel, un vrai écrivain. C’est un livre très clair et très bien écrit », souligne-t-il.

Une société idyllique ?

Rêvée par tant de militants libertaires, cette société composée d’individus totalement libres n’a jamais été implantée durablement à grande échelle. Mais plusieurs succès ont jalonné sa route, définissant les contours de modes d’organisation volontaires.

En France, le mouvement anarcho-syndicaliste a bénéficié d’un réel soutien de masse, rapporte l’auteur, et Mai 68 a permis aux anarchistes de humer de près le parfum d’une réelle révolution. Plus au sud, l’anarchisme a trouvé son terreau le plus fertile dans l’Espagne préfranquiste avec la création de collectifs paysans et la prise en main d’usines et de services publics à Barcelone. Mais puisqu’il s’agit « d’un idéal, il ne pourra sans doute jamais se réaliser » à grande échelle, note Woodcock.


LIRE LA SUITE :





Une histoire des idées et mouvements libertaires
George Woodcock

Écrit dans les années 1960 puis revu et augmenté en 1989, ce livre monumental offre le récit de l'une des plus grandes aventures des XIXe et XXe siècles, celle de l'anarchie. Woodcock y raconte le mouvement, ses victoires, ses défaites, mais il y expose surtout les idées des principales figures qui ont façonné la pensée libertaire, de William Godwin à Emma Goldman. Au-delà de l'engagement intellectuel, politique et moral de ces personnages historiques plus grands que nature, L'anarchisme brosse un portrait vivant de leur combat et des profonds idéaux de liberté qui n'ont jamais cessé de l'animer.

Considéré aujourd'hui comme un classique de l'histoire de l'anarchisme et pourtant traduit ici pour la première fois en français, L'anarchisme expose les perspectives d'une aspiration partagée aujourd'hui par un nombre toujours grandissant de personnes éprises de justice et d'autonomie.


dimanche, mars 03, 2019

Ordo Ab Chao ou le chaos orchestré par Macron



L'ancien journaliste VERDI ne décolère pas et déclare :

"Macron c'est le Nouvel Ordre Mondial, et si on laisse passer le Nouvel Ordre Mondial, c'en est fini de la planète, c'en est fini de l'humanité...

Macron a franchi un pas supplémentaire dans la tyrannie. Il a donné l’ordre de matraquer, tabasser les députés de l’opposition. La victime, samedi 2 mars, à Bordeaux, a été Loïc Prud’homme, député de la France Insoumise, violemment pris à partie par la milice du pouvoir macronien, alors qu’il rentrait tranquillement de la 16ème édition de la mobilisation des gilets jaunes. 

Ce qui s’est passé à Bordeaux est d’une extrême gravité et prouve, s’il en était encore besoin, à quel point celui qui usurpe la fonction de président de la République française est un être psychologiquement dérangé, qui met en grand danger notre pays. Il n’hésite pas à s’attaquer à l’un des symboles de la république qu’est l’écharpe tricolore. Il y a urgence à dépasser les clivages politiciens, en lançant, immédiatement, la procédure de destitution contre Macron, telle que le suggère Asselineau. Le monde et ses instances internationales attendent ce signal fort contre Macron pour agir." 

(Le professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien, analyse le profil d'Emmanuel Macron : https://youtu.be/v4wS8FIw47Q )

Ordo Ab Chao ou le chaos global


Extrait d'une vidéo réalisée par MetaTV avec Pierre Hillard dans la série Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine https://www.youtube.com/watch?v=7O2aX...


Lecture :



Pierre Hillard présente les travaux de Carroll Quigley  


"Ce grand livre de Carroll Quigley (1910-1977), professeur à l'université de Georgetown est paru en anglais après sa mort en 1981. 

Nous pouvons affirmer que cette parution en langue française de l'Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine, est véritablement une œuvre de salubrité publique. En effet, grâce aux travaux de cet universitaire américain, il est désormais possible de mieux connaître les arcanes de ce monde oligarchique opaque dont l'action a été déterminante pour le monde anglo-saxon et, par ricochet, pour la planète entière. 

L'auteur développe et explique à partir d'abondantes pièces d'archives que les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXè siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l'Empire britannique associé aux Etats-Unis d'asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l'œuvre d'une poignée d'hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. 

Fort d'un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe » ou « famille technocratique » avant l'heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits."

vendredi, mars 01, 2019

Un "programme" contre-initiatique : les Protocoles des Sages de Sion


Les Protocoles des Sages de Sion 1/4

Des juifs et des francs-maçons exécutent-ils, consciemment ou inconsciemment, un plan qui na été ni conçu, ni voulu par eux ?


Les Protocoles des Sages de Sion
L'avènement du Regnum supra-national


René Guénon



La traduction italienne des fameux Protocoles des Sages de Sion, publiée en 1921, par le D. Giovanni Preziosi, directeur de la Vita ltaliana, vient d'être rééditée avec une introduction de M. Julius Evola, qui essaie de mettre un peu d'ordre dans les interminables discussions auxquelles ce texte a donné et donne encore lieu, en distinguant deux questions différentes et qui ne sont pas nécessairement solidaires, celle de l'«authenticité» et celle de la «véridicité», dont la seconde serait, selon lui, la plus importante en réalité. (PDF gratuit des Protocoles des Sages de Sion, traduction Lambelin ICI)

Une organisation vraiment secrète ne laisse jamais derrière elle de documents écrits

L'authenticité n'est guère soutenable, pour de multiples raisons que nous n'examinerons pas ici ; à cet égard, nous appellerons seulement l'attention sur un point qu'on paraît ne pas prendre suffisamment en considération, et qui pourtant est peut-être le plus décisif : c'est qu'une organisation vraiment et sérieusement secrète, quelle qu'en soit d'ailleurs la nature, ne laisse jamais derrière elle de documents écrits. D'autre part, on a indiqué les «sources» auxquelles de nombreux passages des Protocoles ont été empruntés à peu près textuellement : le Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu, de Maurice Joly, pamphlet dirigé contre Napoléon III et publié à Bruxelles, en 1865, et le discours attribué à un rabbin de Prague dans le roman Biarritz, publié en 1868, par l'écrivain allemand Hermann Goedsche sous le pseudonyme de sir john Retcliffe. Il y a encore une autre «source» qui, à notre connaissance, na jamais été signalée : c'est un roman intitulé : Le Baron Jéhova, par Sidney Vigneaux, publié à Paris en 1886, et dédié, ce qui est assez curieux, "au très gentilhomme A. de Gobineau, auteur de l'Essai sur l'inégalité des races humaines, entré au Walhalla le 13 octobre 1882". Il est à noter aussi que, d'après une indication donnée dans les Mémoires d'une aliénée, de Mlle Hersilie Rouy, publiés par E. Le Normant des Varannes (Paris, 1886, pp. 308-309), Sidney Vigneaux était, ainsi que ce dernier, un ami du Dr Henri Favre, dont nous avons parlé plus haut ; il s'agit là d'une étrange histoire où apparaît également le nom de Jules Favre, qu'on retrouve d'ailleurs mêlé à tant de choses du même genre qu'il est difficile de n'y voir qu'une simple coïncidence... Il se trouve, dans "Le Baron Jéhova" (pp. 59 à 87) un soi-disant "Testament d'Ybarzabal" qui présente des similitudes tout à fait frappantes avec les Protocole, mais avec cette particularité remarquable que les juifs y apparaissent seulement comme l'instrument d'exécution d'un plan qui na été ni conçu, ni voulu par eux. On a noté encore des traits de ressemblance avec l'introduction du Joseph Balsamo, d'Alexandre Dumas, bien qu'ici il ne soit aucunement question des Juifs, mais d'une assemblée maçonnique imaginaire ; nous ajouterons que cette assemblée n'est pas sans rapport avec le «Parlement» pseudo-rosicrucien décrit, à peu près exactement à la même date, par l'écrivain américain George Lippard dans Paul Ardenheim, the monk of the Wissahikon, dont cette partie a été reproduite par le Dr. Swinburne Clymer dans The Rosicrucian Fraternity in America.

 Toute l'orientation du monde moderne répond à un "plan" établi et imposé par la contre-initiation et de ses agents conscients ou inconscients

Il n'est pas douteux que tous ces écrits, ou leur forme plus ou moins « romancée», tirent en somme leur inspiration générale d'un même «courant» d'idées, que d'ailleurs leur auteurs approuvent ou désapprouvent ces idées, et qu'en outre, suivant leurs tendances ou leurs préventions particulières, ils en attribuent à tort et à travers l'origine aux juifs, aux Maçons ou à d'autres encore ; l'essentiel dans tout cela, en définitive, et ce qui, peut-on dire, en constitue l'élément de «véridicité», c'est l'affirmation que toute l'orientation du monde moderne répond à un «plan» établi et imposé par quelque organisation mystérieuse ; on sait ce que nous pensons nous-même à cet égard, et nous nous sommes déjà assez souvent expliqué sur le rôle de la "contre-initiation" et de ses agents conscients ou inconscients pour n'avoir pas besoin d'y insister davantage. A vrai dire, il n'était aucunement nécessaire d'être «prophète» pour apercevoir de ces choses à l'époque où les Protocoles furent rédigé, probablement en 1901, ni même à celle où remontent la plupart de autres ouvrages que nous venons de mentionner, c'est-à-dire vers le milieu du XIXème siècle ; alors déjà, bien qu'elles fusent moins apparentes qu'aujourd'hui, une observation quelque peu perspicace y suffisait ; mais ici nous devons faire une remarque qui n'est pas à l'honneur de l'intelligence de nos contemporains ; si quelqu'un se contente d'exposer «honnêtement» ce qu'il constate et ce qui s'en déduit logiquement, personne n'y croit ou même n'y prête attention ; si, au contraire, il présente les mêmes choses comme émanant d'une organisation fantaisiste, cela prend aussitôt figure de «document» et, à ce titre, met tout le monde en mouvement ; étrange effet des superstitions inculquées aux modernes par la trop fameuse «méthode historique» et qui font bien partie, elles aussi, des suggestions indispensables à l'accomplissement du «plan» en question ! 

Établissement du Regnum supra-national

Il est encore à remarquer que, d'après l'«affabulation» des Protocoles eux-mêmes, l'organisation qui invente et propage les idées modernes, pour en arriver à ses fins de domination mondiale, est parfaitement consciente de la fausseté de ces idées ; il est bien évident qu'en effet, il doit en être réellement ainsi, car elle ne sait que trop bien à quoi s'en tenir là-dessus; mais alors il semble qu'une telle entreprise de mensonge ne puisse pas être, en elle-même, le véritable et unique but qu'elle se propose, et ceci nous amène à considérer un autre point qui, indiqué par M. Evola dans son introduction, a été repris et développé, dans le numéro de novembre de la Vita Italiana, dans un article signé «Arthos» et intitulé transformazioni del «Regnum». En effet, il n'y a pas seulement, dans les Protocoles, l'exposé d'une «tactique» destinée à la destruction du monde traditionnel, ce qui en est l'aspect purement négatif et correspondant à la phase actuelle des événements ; il y a aussi l'idée du caractère simplement transitoire de cette phase, et celle de l'établissement ultérieur d'un Regnum supra-national, idée qui peut être regardée comme une déformation de celle du «Saint Empire» et des autres conceptions traditionnelles analogues qui, comme le rappelle l'auteur de l'article, ont été exposées par nous dans Le Roi du Monde. Pour expliquer ce fait, "Arthos" fait appel aux déviations, allant même jusqu'à une véritable "subversion", que peuvent subir certains éléments, authentiquement traditionnels à l'origine, qui se survivent en quelque sorte à eux-mêmes, lorsque l'«esprit» s'en est retiré ; et il cite, à l'appui de cette thèse, ce que nous avons dit récemment ici au sujet des «résidus psychiques» ; les considérations qu'on trouvera d'autre part, sur les phases successives de la déviation moderne et sur la constitution possible, comme dernier terme de celle-ci, d'une véritable «contre-tradition», dont le Regnum dénaturé serait précisément l'expression dans l'ordre social, pourront peut-être contribuer encore à élucider plus complètement ce côté de la question qui, même tout à fait en dehors du cas spécial des Protocoles, n'est certes pas dépourvu d'un certain intérêt.

René Guénon - Etudes Traditionnelles, janvier 1938, compte rendu de : I Protocolli dei Savi Anziani di Sion, paru dans La Vita Italiana, Roma.


René Guénon écrit : "... il ne faut pas oublier que le « satanisme inconscient » de certains, plus nombreux que jamais à notre époque de désordre étendu à tous les domaines, n’est véritablement, au fond, qu’un instrument au service du « satanisme conscient » des représentants de la contre-initiation.

jeudi, février 28, 2019

Les dieux nordiques sont de retour

Les dieux nordiques sont de retour : 
La religion païenne est de nouveau officiellement reconnue en Islande

Pagan wedding in Iceland


Le système européen de l’aviation a été fortement impacté par l’éruption d’un volcan dans le nord de l’Islande. On aurait pu penser que l’impact de la catastrophe naturelle aurait été au premier plan de l’état d’urgence du pays, mais c’est le nom du volcan qui a fait la une des journaux pendant cette période. Eyafjallajökull est le nom affectueusement donné au volcan.

Le nom compliqué est représentatif de la grande fascination que l’Islande exerce sur le monde.

C’est un pays avec une histoire linguistique profonde qui remonte à l’ancien norrois, qui est la langue maternelle des Vikings. Il s’agit d’un ancien dialecte islandais sur lequel sont fondées certaines des histoires épiques les plus significatives du pays.

Dans le monde islandais postmoderne, les éléments archaïques de la langue ont été préservés, si bien qu’elle est également considérée dans la religion et les traditions. Le vieux Norrois est principalement symbolique de l’héritage des ancêtres vikings. 

Une nouvelle aube religieuse :

Le christianisme est la religion pratiquée dans toute l’Irlande depuis l’an 1000. Les dieux anciens comme Thor, Baldr, Odin, Frigg et Týr n’étaient plus vénérés pendant cette période. L’Islande était plutôt occupée par les traditions paganistiques jusqu’à ce que la religion nordique prenne le pouvoir vers 1972. La religion a gagné en popularité au point que le Norrois a été institutionnalisé.

Ásatrú (Ásatrúarfélagið) est le nom de l’organisation qui fait allusion à Æsir, la divinité première de la religion nordique.

L’augmentation du nombre de membres perçus comme suivant l’Organisation païenne islandaise a été admirable et au cours des deux dernières décennies, le nombre de membres a augmenté à environ 4100 participants actifs. Bien que ce chiffre semble insignifiant, il représente en fait 1,18 % de la population, soit 356 000 personnes. Ces statistiques montrent à quel point la croissance de l’organisation a été rapide. En 2002, la religion nordique ne comptait que 570 membres. La Fellowship Ásatrú était composée de Wiccans qui étaient connus pour leur initiation à la sorcellerie païenne au cours du XXe siècle.

Dans le monde d’aujourd’hui, de nombreux islandais païens se battent pour leur droit à la liberté religieuse dans la mesure où ils aspirent à acquérir leur propre temple de culte. L’argument est que le temple sera construit pour rendre hommage aux dieux nordiques de l’époque viking. Ce sera aussi un lieu où se tiendront d’importantes cérémonies religieuses comme les mariages et les veillées.


L’objectif est de construire le temple principal à Reykjavik capitale de l’Islande.


Puis de gérer le projet de construction de temples subsidiaires dans et autour de diverses villes du pays.


L’appartenance des gens à la religion indigène n’est pas très claire. D’un côté, certains croient que c’est une pratique religieuse qui accueille l’esprit de libération individuelle et personnelle. D’un autre côté, l’islandais traditionnel suggère qu’il est basé sur l’ethos de la substance morale de la nation. Les valeurs de l’Islande incluent :

le courage,
la vérité,
l’honneur,
la fidélité,
la discipline,
l’hospitalité,
l’assiduité,
l’autonomie,
la persévérance.


Ces valeurs sont inhérentes aux normes sociétales islandaises et les habitants de l’île sont censés mener leur vie conformément à leur attrait. La religion est quelque chose de personnel et basée sur la moralité fondamentale des individus qui la suivent. Il sera intéressant de voir jusqu’où cette ancienne religion s’étendra et comment l’édification des temples religieux proposés à travers le pays, révolutionnera la modernité de sa pratique à l’avenir.



SOURCE :

mercredi, février 27, 2019

Les secrets d'Ahasverus

La parabole du Juif errant

Les secrets d'Ahasverus, le Juif errant

"En ce qui concerne mon peuple, il s'agit de la survie de la divinité archaïque qui est enracinée dans la chair du collectif d'êtres dont j'ai la charge. Ce Dieu, appelé mythologiquement le « Dieu d' Israël » à partir de l'ancienne divinité sémitique qui régnait sur cette tribu, est incarné dans l'ethnie qui a été génétiquement modifiée pour maintenir la présence de cette divinité. Je sais que cela paraîtra incroyable, mais je vous assure que c'est ainsi que survit la divinité tutélaire d'une race. Elle résiste ou bien elle disparaît dans la dissolution des âges.

Dans les temps reculés de l'empire Atlante, la race sémitique primordiale eut son heure de gloire lorsque l'Esprit s'incarna dans sa chair pour produire le prototype humain le plus évolué de cette époque. Ce groupe sélectionné entra alors dans la libération spirituelle. Cependant, il y eut des réfractaires qui préféraient la jouissance matérielle à la vie de l'âme. L'âme des Sémites de l'origine avait retrouvé sa nature angélique et son pouvoir de voyager vers les univers supérieurs. Mais un groupe de ces Sémites « élus » refusa de quitter le plan matériel où ils avaient accumulé des trésors tangibles et des forces magiques. La Bible témoigne du contact prodigieux entre les élus de cette époque et les vaisseaux des forces spirituelles supérieures. Par la piété superstitieuse que nous leur avons inculquée, les Juifs croient que cette histoire concerne le cycle actuel de leur destin alors qu'il s'agit d 'un mythe atlante préhistorique. Voudriez-vous que je les déçoive et que je perde toutes mes ouailles d'un seul coup ?

Cette poignée de Sémites atlantes, réunis par leurs grands mages après le grand déluge, formèrent les deux tribus d'Israël et de Juda. Cet égrégore judaïque, entretenu par des rites magiques et la science de l'eugénisme - particulièrement la circoncision à huit jours - a survécu depuis des milliers d'années avec la nostalgie d'une gloire perdue dont le souvenir ne laisse pas en repos. Une avidité d'exister et de s'affirmer en résulte par compensation, comme si tout risquait de leur échapper.

Nous avons implanté dans ces âmes la crainte de notre autorité et un dégoût viscéral de se fondre aux autres peuples, ce qui est le cours normal de l'évolution des races qui apparaissent, meurent et en font naître de nouvelles. Mais moi, j'affirme la doctrine raciste qui préserve la vie de notre divinité.

Les Juifs descendants des anciens Sémites ont développé un sentiment de culpabilité en souvenir d'une gloire qui fut perdue à cause de leur refus de l'alliance avec les dieux, offerte en ces temps lointains. Ils en sont marqués d'une nostalgie douloureuse inextinguible qui s'exprime dans leur mémoire collective par l'attente du messie qui viendrait leur restituer cette gloire perdue.

Ils attendent le jour où cette gloire se révèlera enfin à eux et les placera comme des bergers à la tête de l'humanité afin de l'éduquer dans le sens du Lévitique et du Deutéronome. Bien entendu, comme cette aspiration est inversée dans un sens matériel depuis le drame de l'Atlantide (confondue avec l'Égypte, dans le mythe biblique), ils attendent un messie physique qui régnera sur une terre matérielle.

Un groupe exclusif

Or, les prophètes et les sauveurs qui se sont succédés, et qui étaient de notre race, sinon on ne les aurait pas écoutés, ont tous été rejetés car ils nous incitaient à briser l'attachement raciste à notre groupe exclusif. Cet attachement est justifié aux yeux du monde par l'idéologie du peuple élu à laquelle adhèrent également les Juifs athées qui philosophent sur l'humanisme et les droits de l'homme. Lorsqu'un de nos médiatiques trotskistes fait la morale aux goyim, c'est toujours un grand moment de spectacle.

Nous donnons des leçons d'antiracisme au monde entier, alors que nous prônons le racisme intégral, n'est-ce pas merveilleux ?

Et comment nos philosophes démocrates pourraient-ils faire autrement puisqu'on leur a inculqué depuis des millénaires qu'ils sont les gardiens de l'humanité ?

La Bible est remplie de livres prophétiques interprétés à rebours. Dans cette situation, et puisque l'entité collective de notre peuple veut survivre et refuse de se diluer dans l'humanité inférieure, je fus élu pour le guider, avec pour objectif notre survie collective en dépit de toute autre considération, car telle est la loi de l' existence. J'ajoute que ce but en cache un supérieur, qui est la survie de notre esprit de groupe, notre dieu, pour lequel notre peuple doit faire quelques... heu... sacrifices.

Dans les temps modernes, les âmes qui s'incarnent dans notre groupe, sont moins attachées à la mémoire collective, et il devient difficile de les retenir lorsqu'elles s'émancipent. Je constate que nos plus dangereux adversaires sont actuellement des individus sortis de nos rangs. Ces traîtres écrivent des choses abominables sur nos pasteurs, nos penseurs, nos chefs politiques et financiers. Ils vont même jusqu'à prétendre que j'ai soudoyé les nazis à travers ma perfide Albion et les loges du British Israël."

CLÉ :

Pour que règne une sécurité absolue sur le plan terrestre, il faut supprimer la liberté. Voilà ce à quoi aspire l'humanité et pourquoi elle a forgé l'idée d'un dieu unique en même temps
qu'elle descendait toujours plus profondément dans la matière. Oui, l'idéal du dieu unique est, depuis l'origine, un idéal matérialiste car la véritable conscience spirituelle ne peut admettre qu'il n'y ait une pluralité de dieux, dans un univers multidimensionnel. Avec tous leurs dieux, les Anciens étaient plus proches de la vérité universelle.

Mais Ahriman a un autre projet qui est d'enfermer l'humanité dans une immortalité physique. Le prototype de ce programme est Ahasverus, le serviteur d'Ahriman ici-bas, qui obtint l'immortalité physique il y a deux millénaires, lorsque s'ouvrit la possibilité de réaliser l'immortalité spirituelle. Ahasverus reproduit à l'envers le mythe de la renaissance éternelle. Etant le maître occulte derrière le judaïsme officiel, Ahasverus a manipulé cette religion de manière à ce que, progressivement, elle devienne la pépinière des esprits purement ahrimaniens qui ont façonné la civilisation moderne. Alors, vous l'aurez compris, le dieu unique qui se fait appeler Yawhé, est simplement le médium du grand Ahriman. L'un des Elohim, appelé Jéhovah, œuvra durant la période atlantéenne pour différencier les races. Jéhovah fut l'archange des races, avant que son nom ne soit récupéré par un esprit de race, particulièrement exclusif, qui a donné naissance à la nation juive. Celle-ci fut hautement manipulée pour servir le plan d'Ahriman. En retour, l'esprit de race qu'on nomme Israël a manipulé les mythes chaldéens qui ont servi à produire la Bible. Ce livre exalte l'histoire d'un peuple élu par le dieu unique Ahriman, alias Yawhé.

Kali Yuga, Joël Labruyère.



« Dans la Tradition universelle, le déroulement du monde se divise en quatre âges marquant chacun un nouvel effondrement moral et un éloignement du divin. Les Hindous nomment le dernier de ces âges le Kali Yuga, l'Âge Noir. Ils considèrent que nous y sommes entrés il y a 5000 ans et que nous ne sommes pas prêts d'en sortir. Pendant l'Âge Noir, seul subsiste un quart de vérité contre trois-quarts de mensonge. Plus l'Âge Noir avance et plus ce quart de vérité se trouve englouti, non pas disparu, mais mélangé et difficilement identifiable. Malgré tout, les Anciens considéraient que l'Âge Noir était un cycle propice pour ceux qui recherchent la grande Libération. Insatisfaits des gratifications illusoires de la matière, nous pouvons être propulsés vers le haut par la pression insoutenable du mensonge grandissant. Endurer ce mal nous force à rechercher le Bien absolu. Si nous n'avons pas le goût de flâner dans le jardin des délices de la civilisation matérialiste pour éprouver son bonheur virtuel, il faut s'en extraire avec force au risque de s'y perdre. Il faut s'arracher à l'entropie ambiante par un mouvement énergétique, une révolution de la conscience et de l'être. Au cours de l'Âge Noir, il existe donc une porte vers l'Âge d'Or intérieur. Mais cette porte est cachée. Il faut combattre pour la trouver. »

lundi, février 25, 2019

Pouvoir occulte et sionisme

Jacob Rothschild interviewé sur la création d’Israël.
Le 26 Septembre 1917, Louis Marshall, représentant légal de Kuhn-Loeb & Co écrivit à son ami Max Senior — autre Sioniste important — ce qui suit : « Le Major Lionel de Rothschild, de la Société des Juifs britanniques m’informe que son organisation est en plein accord avec le Comité Juif américain... La Déclaration Balfour, avec le consentement des Puissances, est un acte de la plus haute diplomatie. Le Sionisme n’est qu’une étape d’un plan à longue échéance : c’est un piédestal sur lequel on peut installer une arme puissante. Toutes les protestations que les opposants pourraient faire seront vaines et les soumettraient individuellement à des sanctions détestables et concrètes, mais très impressionnantes. Je préfère ne pas penser aux conséquences qui pourraient en résulter. » (Des pions sur l'échiquier)


Dans son livre Des pions sur l'échiquier, William Guy Carr, écrit  :

Le « Pouvoir Occulte » derrière le M.R.M. (Mouvement Révolutionnaire Mondial) contrôle également le Sionisme Politique ; cependant, la grande majorité des Juifs qui œuvre en faveur du Sionisme est totalement ignorante du fait qu'on l’utilise comme des « Pions sur un Jeu d’Echec International ».

(...) le Sionisme n’est qu’une étape d’un plan à longue échéance. [...]
 C’est un Plan au moyen duquel les Financiers Internationaux espèrent remporter le contrôle absolu des richesses, des ressources naturelles et du potentiel humain du monde entier. [...]

(...) les hommes qui constituent le Pouvoir Occulte derrière les affaires internationales et nationales sont les Illuminati. Ces lucifériens ont utilisé le Sionisme et l’Antisémitisme, le Communisme et le Fascisme, le Socialisme et le Capitalisme égoïste pour faire progresser leurs plans secrets et amener un Gouvernement Mondial qu’ils ont l’intention de contrôler comme ils ont contrôlé la Russie par la personne de Lénine, après Octobre 1917. Une dictature à l’échelle du Monde est le seul type de gouvernement par lequel ils pourront, grâce à l’emprise d’une police mondiale, imposer de force leurs édits aux peuples et assurer « la paix ». [...]

C’est le Luciférianisme qui dirigera et non pas les Juifs ! [...] 

Le mot Illuminati a pour signification « porteur de lumière » !


Le Commodore William Guy Carr ou la redécouverte des Illuminés de Bavière



par Ex Libris


Le Commodore William Guy Carr (1895-1959) est un personnage hors du commun. Né en Grande-Bretagne et décédé au Canada, cet officier de Marine fut sous-marinier pendant la Première Guerre mondiale et publia des ouvrages de référence pour tous ceux qui s’intéressent à la guerre navale durant ce conflit.

En 1919, il décida de s’installer au Canada pour étudier le développement de la Conspiration mondialiste en Amérique du Nord. La Socialisation Fabienne venait de remporter une double victoire par la création du Royal Institute of International Affairs (RIIA) en Grande-Bretagne, et du Council on Foreign Relations (CFR) aux Etats-Unis, deux organes mondialistes créés à l’initiative d’Edward Mandel House.

William Guy Carr intégra la Police Royale Montée Canadienne, puis les Services de Renseignements.

Dès 1931, il fit des tournées de conférences destinées à faire connaître l’existence d’une Conspiration mondiale. Et à partir de 1950, il mit en exergue le rôle des Illuminati, d’essence luciférienne. En 1955, il publia un livre devenu célèbre et fréquemment réédité intitulé Des Pions sur l’Echiquier dans lequel il décrit le “Plan des Trois Guerres Mondiales”.

Le présent livre rend hommage à ce contre-révolutionnaire et à l’importance de ses travaux destinés à dévoiler les machinations occultes ayant pour objectif de provoquer les diverses révolutions et guerres depuis 1773.

Une excellente documentation.





de Félix CAUSAS et Ernest LARISSE


Edité au début de l'année 2019, ce livre est "un ouvrage de combat écrit en défense de William Guy CARR, auteur important, abominablement sali par les plumitifs aux ordres de la Contre-Eglise. 

Ce livre regroupe les articles de Félix Causas, parus dans la revue « Sous La Bannière » (qui a cessé de paraître fin 2017) et ceux d'Ernest Larisse parus dans la revue « La Voix Des Francs », depuis le début des années 2000. Il comporte un certain nombre d'annexes complémentaires qui permettront de mieux cerner et l'auteur et ses œuvres. Nous espérons que le présent écrit incitera nos lecteurs à se procurer les livres de William CARR et à les étudier la plume à la main. Nous sommes certains qu'ils en retireront le plus grand profit."

dimanche, février 24, 2019

Soumission de Macron au sionisme, des cathos montent au créneau



L'auteur de la vidéo, Jeremy David (JC2R), est passé du protestantisme au catholicisme. Il a écrit La Bible du Nouvel Ordre Mondial"Prenez ce livre comme un carnet de notes, qui vous donnera un bon nombre d'informations sur le Nouvel Ordre Mondial. Alors ici vous trouverez toutes mes recherches sur les vidéos "théoriques" sur le N.O.M. [...] classées en quatre grandes parties : Conspirations et Sectes ; La Dictature Mondiale ; Perversions et abominations ; Survivre au Nouvel Ordre Mondial".

De son côté, Alain Escada, président de CIVITAS, parti politique "national-catholique", écrit un article intitulé :

DE LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL A L’INTERDICTION AUX GILETS JAUNES DE MANIFESTER ?


A l’issue du très médiatisé trente-quatrième dîner du CRIF (conseil représentatif des institutions juives de France), nous sommes en droit de nous interroger : qui donc gouverne aujourd’hui la France ?

Premier constat : une conception de la laïcité à géométrie variable

Emmanuel Macron, président de la république très attaché à la laïcité et aux lois antichrétiennes de 1905 ayant séparé l’Eglise de l’Etat, s’est affiché à ce dîner d’une façon qui témoigne par contre de l’union du CRIF et de l’Etat.

Il y arborait d’ailleurs à la boutonnière un badge frappé de l’étoile de David, emblème religieux par nature.

Deuxième constat : l’indignation sélective

Emmanuel Macron, trémolos dans la voix, a déploré une hausse des actes antisémites. Le même est resté jusqu’ici silencieux à propos de la hausse des actes antichrétiens. Il faut pourtant rappeler que plus de 80 % des profanations commises en France concernent des lieux de culte ou des cimetières chrétiens.

Ajoutons que pour évaluer l’antisémitisme en France, la république laïque s’en remet au SPCJ, un organisme présidé par Eric de Rothschild et fondé par le CRIF.

Troisième constat : selon que vous occuperez des bâtiments pour y loger des Français ou des immigrés…

Au cours du dîner du CRIF, Emmanuel Macron a annoncé qu’il demandait au Ministre de l’Intérieur d’entamer une procédure de dissolution du Bastion Social sans préciser les motivations juridiques de cette dissolution. Le Bastion Social est une organisation qui promeut la préférence nationale et occupe des bâtiments à l’abandon pour y loger des Français. Cette pratique est fréquemment utilisée par des associations de gauche pour loger des immigrés illégaux dans des bâtiments inoccupés. Emmanuel Macron a-t-il également l’intention de demander la dissolution de ces associations de gauche ? Nous en doutons.

Quatrième constat : En Marche vers des lois de plus en plus liberticides

Outre la dissolution du Bastion Social, Emmanuel Macron a également promis au CRIF le bannissement des réseaux sociaux de tous ceux qui s’écartent de ce que la police de la pensée autorise encore, ainsi que la pénalisation de l’antisionisme, ce qui équivaut à interdire toute critique de la politique israélienne.

Dans la foulée, Emmanuel Macron satisfera-t-il également la demande du président du CRIF (entretien au Parisien, 18 février 2019) de “faire cesser” les manifestations des gilets jaunes ?

Conclusion

Pour mettre fin à ces dérives, CIVITAS propose :

- de restaurer le catholicisme comme religion d’Etat ;

- de séparer le CRIF et l’Etat.


Source :


Après avoir retrouvé la foi catholique, un ancien maître d'une loge révèle au grand jour les véritables pratiques des francs-maçons dans son livre :


Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire territorial, ancien franc-maçon revenu à la foi chrétienne en 2012, signe ici son sixième ouvrage destiné à révéler les dessous à la franc-maçonnerie.

Dès les premières pages, il souligne que tandis que la foi chrétienne repose sur des faits historiques et une approche anagogique, la démarche maçonnique et l’adhésion à sa doctrine ésotérique ne s’établissent que sur une simple mythologie, voire sur les affirmations péremptoires de quelques “illuminés”. Rappelant que, depuis 1826 et la lettre apostolique Quo graviora du pape Léon XIII, l’Eglise frappe de nullité le serment prêté par les initiés de garder le secret maçonnique, Serge Abad-Gallardo a donc choisi d’en parler.

Un chapitre intitulé Le pouvoir magique du rituel maçonnique révèle différents aspects de l’occultisme pratiqué en loge maçonnique. Il évoque notamment les rituels de la “chaîne d’union” devant permettre de communiquer avec les initiés défunts. Le caractère démoniaque de cet ésotérisme ne fait aucun doute. L’ouvrage cite par exemple des témoignages écrits de dignitaires maçons relatifs à l’usage du vaudou par des francs-maçons.

Ce livre met également en évidence différents signes de reconnaissance utilisés dans le cadre de trafic d’influence, de relations entre politiciens de connivence malgré leurs étiquettes différentes et d’arrangements entre ministres et élus initiés. Différents exemples concrets illustrent les propos de Serge Abad-Gallardo, dont l’affaire Benalla…

Source


KTO, la télévision catholique française, 
donne la parole à Marine le Pen


La présidente du Rassemblement National revient sur l'enjeu des élections européennes, les Gilets jaunes, les propos du Pape sur l'immigration, l'Europe chrétienne défendue par Viktor Orban, le retour des djihadistes et beaucoup d'autres thèmes (durée : 52:33).


vendredi, février 22, 2019

La mort planifiée par une richissime famille

Un reportage de Pierre Monégier, Brice Baubit et Emmanuel Lejeune diffusé dans Envoyé spécial le 21 février 2019. 

« Envoyé spécial » revient sur l’addiction aux opioïdes qui a causé la mort de près de 300 000 personnes en vingt ans aux Etats-Unis, dont 72 000 pour la seule année 2017.

L’OxyContin, le comprimé du diable

"En première ligne sur la liste noire : l’OxyContin, médicament antidouleur à base d’opium – deux fois plus puissant que la morphine – fabriqué par l’influent laboratoire Purdue. Lancé en 1996 à grand renfort de publicité, l’OxyContin a rapidement envahi les pharmacies des particuliers. A l’époque, des médecins payés par Purdue assuraient, face caméra, que les opioïdes étaient non seulement très efficaces, mais surtout sans danger. Le succès commercial est gigantesque", écrit Alain Constant dans Le Monde.

Une famille avide et criminelle, les Sackler

Les membres de la riche famille Sackler, à l'origine de Purdue Pharma, ont exigé l'augmentation des ventes de l'OxyContin et d'autres opioïdes, alors même que des personnes mourraient régulièrement à cause des comprimés diaboliques produits par leurs laboratoires.

Plus riche que les Rockefeller grâce à la mort programmée

La plus grande partie de la fortune de la famille Sackler provient de la vente de l’OxyContin. Fortune qui dépasse celle des Rockefeller.

Les créateurs de la Purdue Pharma

La famille Sackler descend d'un couple d'immigrants juifs, Isaac Sackler, né en Ukraine, et Sophie (née Greenberg) Sackler, née en Pologne.

En 1952, Mortimer et Raymond, deux fils d'Isaac et de Sophie Sackler, devinrent les coprésidents d'une petite entreprise pharmaceutique basée à Greenwich Village et financée par Arthur, un autre fils du couple Sackler. La Purdue Frederick Company est devenue Purdue Pharma, une entreprise basée à Stamford, dans le Connecticut. Avec Raymond, Arthur a créé des sociétés pharmaceutiques en Autriche, au Canada, à Chypre, en Allemagne, en Suisse et au Royaume-Uni. 


LIVRE en anglais :




The true story of a healthcare professional’s fall into OxyContin addiction…and what followed


Sometimes people pray. Those going through life's difficulties pray hard. Those who have lost everything and see no end to their suffering… pray desperately. When the answer comes, sometimes people don’t recognize it… or don’t want to recognize it. So, they pray even more. Oxycodone… OxyContin… Hydrocodone... Percocet... Norco... Lortab – these are prescription medications meant to relieve pain, but they can cause a different kind of pain that is unimaginable. Opioid addiction is the current scourge in our society, and it doesn’t discriminate. Addiction to prescription painkillers can conquer a privileged suburban housewife, a corporate CEO, a talented high school athlete, and even… a well-educated, dedicated healthcare professional. Doctors, nurses, and other people who work in healthcare seem to be immune to addiction, but they are not. The Opioid Redemption is a true story of how a successful healthcare professional became consumed with, and conquered by, an addiction to OxyContin. On a very dark night, when he had lost everything, and his life had spiraled out of control, he sent up a desperate prayer that lingered in the stratosphere for a while… and then it was finally answered. But this prayer was answered in a way that he hadn’t quite expected. The Opioid Redemption lets you into the life of a successful man that sees his steady downfall but is helpless. You feel his desperation, his confusion, his helplessness, his defeat, and then his sudden realization of a new beginning. You feel his turning point...  and how a quiet prayer, in his broken state, set the stage for his return. Sometimes people pray, and often the answer comes in a way that only God could design.

Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...