mardi, mai 07, 2019

Macron, Cohn-Bendit et le soutien des pédocriminels


Le journaliste de rue Isadora Duncan, alias Marc Rylewski, rappelle à Daniel Cohn-Bendit son penchant pour la pédophilie et lui demande : "Est-ce que Macron veut que vous lui apportiez le réseau pédocriminel ?"

Dans un extrait de 1982 de l'émission Apostrophes, animée par Bernard Pivot, Cohn-Bendit asticote "avec gourmandise l'écrivain et journaliste Paul Guth, décédé en 1997. Il avoue avoir pris avant l'émission un "petit gâteau au hasch" et se sentir "décontracté".

Puis il évoque les jardins d'enfants alternatifs, qu'il décrivait dans son livre de 1975, Le Grand bazar. Il explique s'occuper à l'époque de "huit petits gosses de 16 mois à deux ans". "Je vais leur torcher le cul, ils vont me chatouiller et je vais les chatouiller..." - "A condition qu'il n'y ait pas trop de papouilles", proteste gentiment Paul Guth - "Oh, c'est ridicule", sourit l'ancien leader étudiant. 

"Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique"


Avant d'en remettre une bonne louche de provoc' : "La sexualité d'un gosse, c'est absolument fantastique, faut être honnête. J'ai travaillé auparavant avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique, c'est un jeu érotico-maniaque..." - "Vous me troublez", répond Guth. "Oh, non pas tant que ça car vous vous y attendiez..." rigole son interlocuteur." 

Source : https://www.lexpress.fr/actualite/politique/daniel-cohn-bendit-le-hasch-et-les-enfants_766524.html

Dans son livre Le Grand Bazar, publié en 1975 chez Belfond, Daniel Cohn-Bendit évoque son activité d'éducateur dans un jardin d'enfants "alternatif" à Francfort :

"Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ? Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même". "J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ".

dimanche, mai 05, 2019

Ce que j'ai découvert dans l'ombre des loges

Les francs-maçons sont légion à l'Assemblée nationale et au Sénat, et ils veulent la peau du peuple !


"L’ésotérisme, l’hermétisme, l’occultisme, qui fondent les rituels maçonniques, sont des pratiques proprement sataniques." (Serge Abad-Gallardo)

"Serge Abad-Gallardo, ancien vénérable maître d'une loge du Droit humain, obédience à laquelle il appartient pendant 24 ans, qui publie J’ai frappé à la porte du Temple après une reviviscence de sa foi catholique qu'il affirme avoir obtenu après avoir « entendu le Christ dans une chapelle » en 2005 et « constaté la présence du diable et son œuvre maléfique dans une vie » en 2012. Dans cet ouvrage anti-maçonnique, il dénonce les liens et l'influence de la franc-maçonnerie sur les parlementaires et soutient que les loges maçonniques « conspirent » contre toute façon de penser qui ne serait pas la leur." 

Serge Abad-Gallardo "affirme également que les secrets maçonniques sont « une arnaque commerciale » et divise les « frères » en trois catégories : les personnes à la recherche de réponses spirituelles, les affairistes à la recherche d'un réseau relationnel et les antichrétiens, héritiers de la Révolution française.

En 2016 dans un ouvrage préfacé par Maurice Caillet dénommé Je servais Lucifer sans le savoir, il renouvelle ses allégations et dénonciations autour de la franc-maçonnerie, dont la pensée serait proche selon l'auteur, du « génie luciférien »." (Souce : Wikipédia, Antimaçonnisme par pays)

Début 2019, il signe son sixième ouvrage, Secret maçonnique ou vérité catholique : Ce que j'ai découvert dans l'ombre des logesPour comprendre ce que la franc-maçonnerie recouvre exactement, Serge Abad-Gallardo expose à partir de documents authentiques les pratiques ésotériques, alchimiques et magiques mais aussi politiques dont il a été témoin.

Serge Abad-Gallardo a aussi écrit Fin de vie - Les manœuvres maçonniques pour le "droit à mourir". L'auteur s'alarme de la volonté des lobbies et des médias de promouvoir le suicide assisté et l'euthanasie active sous couvert d'humanité.


La véritable doctrine de l'Etat français est le maçonnisme.

Pour Eliphas Levi, franc-maçon du 33°, la franc-maçonnerie est une "grande association kabbalistique".

Voici ce que dit un rabbin franc-maçon du 32°, dans le magazine « New Age », qui est l’organe officiel de la franc-maçonnerie du Rite Ecossais aux USA :

« Les systèmes de la kabbale et de la maçonnerie ésotérique sont identiques, et pour cette raison les maçons appellent leur temple le "Temple de Salomon". Toutes les cérémonies maçonniques ont une base kabbalistique. » ("The occultism of the Bible and the Kabbalah", Rabbi H. Geffen, 32 degree, F.P.S., The New Age, February 1950.)
Rabbin Ariel Bar Tzadok :

« La Kabbale est quelque chose de sacrée. Je suis honoré que la Maçonnerie ait choisi le symbolisme kabbalistique pour représenter certains des ses plus hauts idéaux pour le meilleur gouvernement politique jamais conçu par l’homme. » ("The Role of Kabbalah in the founding of the United States of America, A look at Masonic Influence in Colonial America and what it borrowed from the Kabbalah, Rabbi Ariel Bar Tzadok, p.14.) (Le rôle de la Kabbale dans la fondation des Etats-Unis d’Amérique, Un regard sur l’influence maçonnique dans l’Amérique Coloniale et ce qu’elle a emprunté de la Kabbale, Rabbin Ariel Bar Tzadok, p. 14.)

mercredi, mai 01, 2019

Une guerre spirituelle est conduite par la franc-maçonnerie luciférienne



"La Franc-maçonnerie est double, elle possède deux natures en une seule. Les francs-maçons le disent eux-mêmes, tout ce qu'ils accomplissent en loge possède un double sens. Les rituels ont une signification autre que celle qu'ils auraient dans le monde profane (le monde des non-initiés). Le "Vénérable Maître" frappe un coup de maillet en début de tenue de loge et déclare : "Nous ne sommes plus dans le monde profane", sous-entendu nous sommes maintenant dans un monde sacré. Le "Vénérable Maître" pense ainsi sanctifier l'espace et le temps. En loge, le sens profond des actes et des paroles est caché, tout est différent, tout est fractionné et les mots n'ont plus le même sens, même les âges, les heures et les dates diffèrent. Les individus fraîchement initiés ne peuvent percevoir et comprendre la nature profonde du culte auquel ils ont déjà pourtant prêté serment et allégeance…

Concernant ce secret maçonnique (véritable mille feuille) contenu dans un double langage symbolique que le jeune "frère" initié ne peut comprendre, le célèbre maçon Albert Pike écrit dans "Morals and Dogma" :

"Comme toutes les Religions, tous les Mystères, l'Hermétisme et l'Alchimie, la Franc-Maçonnerie ne révèle ses secrets à personne, sinon aux Adeptes, aux Sages et aux Elus. Elle a recours à de fausses explications pour interpréter ses symboles, pour induire en erreur ceux qui méritent d'être induits en erreur, pour leur cacher la Vérité, qu'elle appelle la lumière, et ainsi les en écarter. La Franc-Maçonnerie cache jalousement ses secrets, et induit intentionnellement en erreur ses interprètes prétentieux."

Attardons nous sur l'aspect double de la secte maçonnique, et comme nous le verrons plus loin un aspect schizophrénique à la Dr. Jekyll et Mr. Hyde…

Le célèbre franc-maçon Albert Mackey a affirmé que la Franc-maçonnerie moderne est le résultat d'une fusion entre une forme de maçonnerie corrompue et "noire" pratiquant les rituels initiatiques traumatiques issus des pratiques antiques païennes ; et une forme "pure" qui impliquait la croyance en un Dieu unique et dans l'immortalité de l'âme. Il affirme que cela confère à cette institution secrète un côté à la fois lumineux et à la fois obscur. Il définit ce côté obscur, cette forme de maçonnerie "parasitée", comme une sorte de maçonnerie noire aux pratiques initiatiques terrifiantes et traumatisantes, qui utilise la représentation symbolique de la descente mythique dans l'Hadès, la tombe ou l'enfer, pour ensuite revenir à la lumière du jour : la renaissance initiatique (l'expérience de mort imminente avec une sortie astrale étant l'ultime rituel initiatique : la résurrection).

Il existe dans la Franc-maçonnerie deux faces dont l'une ignore l'existence de l'autre, ce qui peut-être traduit par "Les gentils ne connaissent pas les méchants, mais les méchants connaissent les gentils." Un schéma que l'on peut retrouver dans un système interne de trouble dissociatif de l'identité lorsque la personnalité alter "méchante" (Mr. Hyde) a parfaitement connaissance de l'existence de la personnalité alter "gentille" (Dr. Jekyll) tandis que celle-ci est totalement amnésique concernant les faits et gestes de la première… La personnalité alter "gentille" étant la façade publique, visible et bienveillante, le sommet éclairé d'un iceberg contenant tout un monde intérieur occulte, invisible… Un schéma qui est donc transposable à la Franc-maçonnerie et à son organisation hiérarchique et sélective très particulière, où paradoxalement, le sommet - de la pyramide - "éclairé" ou "illuminé" est l'aspect le plus occulte et invisible, dont l'accès est restreint à une minorité.


L'auteur franc-maçon Manly P. Hall a clairement décrit ces deux aspects bien distincts de l'organisation maçonnique : "La Franc-Maçonnerie est une fraternité cachée dans une autre fraternité : une organisation visible cachant une fraternité invisible des élus... Il est nécessaire d'établir l'existence de ces deux ordres séparés et pourtant interdépendants, l'un visible, et l'autre invisible. L'organisation visible est une splendide camaraderie composée "d'hommes libres et égaux," qui se consacrent à des projets éthiques, éducationnels, fraternels, patriotiques et humanitaires. L'organisation invisible est une fraternité secrète, des plus augustes, majestueuse de dignité et de grandeur, dont les membres sont consacrés au service d'un mystérieux "arcanum arcandrum", c'est-à- dire d'un mystère caché."

Comprenez que les "Mystères cachés" ne peuvent être révélés d'emblée aux jeunes initiés, qui fuiraient alors la secte et ses doctrines en courant (le culte phallique, par exemple, n'est pas recevable d'emblée pour le quidam venant de se faire introniser en loge)… Ces Mystères sont infusés petit à petit dans l'âme du prétendant à l'illumination, une infusion maçonnique faisant au fur et à mesure le tri dans les âmes aptes à accéder (et assumer) à la réalité luciférienne de leurs loges.

Notons également la grande schizophrénie spirituelle de la Franc-maçonnerie. Une situation extrêmement paradoxale où elle prône d'un côté la laïcité voir même l'athéisme et le matérialisme dans le monde profane, et d'un autre côté pratique elle-même dans ses coulisses l'occultisme le plus avancé… La Franc-maçonnerie déclare publiquement que "toute religion est aliénante", mais fonctionne elle-même avec des rites, des rituels, des cérémonies, une croyance commune notamment dans le GADLU (Grand Architecte de l'Univers), elle a ses "adeptes"... N'est-elle pas une religion ? C'est la religion de la république selon les propres termes du franc-maçon Oswald Wirth...

Extrait de l'article en partie rédigé à partir du livre d'Alexandre Lebreton MK - Abus Rituels et Contrôle Mental

Lire la suite et télécharger gratuitement le PDF "Franc-Maçonnerie et Schizophrénie - Dr Jekyll & Mr Hyde : Comprendre les arcanes du pouvoir" :



dimanche, avril 28, 2019

Jésus-Christ ou les robots



Véronique Lévy (sœur de BHL) a écrit "un traité de révolution mystique, un ouvrage d'adoration et de combat".



"Carnet de l'âme et chronique de l'actualité, voici le journal de bord, puissant et impétueux, prophétique surtout, qu'a tenu Véronique Lévy de l'été 2016 à l'automne 2018. La ferveur de la prière y illumine les drames et les conflits ravageant le monde. La convocation de l'Évangile et des saints y dévoile les affres du nihilisme contemporain. Le visage du Christ y recouvre l'abîme d'une humanité livrée aux maîtres de la robotique, aux sorciers de la génétique et aux idolâtres de la nouvelle Babel.

Mais ce décryptage sans tabou et sans concession, où l'aphorisme alterne avec le commentaire, est aussi une épreuve incarnée de la compassion. Paradoxe de la foi vivante, c'est en toute liberté que Véronique Lévy entre en dialogue avec les Femen, les rappeurs ou les djihadistes, en interrogeant la signification ultime de leurs provocations ou de leurs dérives.

Sommes-nous condamnés au narcissisme d'une autodéification qui tuera l'amour ? Le Dieu qui s'est fait chair n'a-t-il pas visité les enfers ? L'éclipse que nous traversons est-elle définitive ? Révélant les signes cachés de la transcendance, réveillant l'espérance d'une authentique délivrance, Véronique Lévy s'inscrit ici dans la tradition de la littérature catholique portée par un Bloy, un Claudel, un Bernanos, un Mauriac." 


BHL est foudroyé par la nouvelle de la conversion de sa sœur





La sœur de Bernard-Henri Lévy abandonne le judaïsme et dévoile le vrai visage de son frère

Véronique Lévy, sœur du philosophe va-t-en-guerre, révèle la face cachée de son frère Bernard-Henri dans une interview au magazine people Paris Match, paru en avril 2015.

L’entretien, bien qu’il soit axé sur la vie spirituelle de Véronique Lévy, n’en dévoile pas moins des facettes jusque-là inconnues du porte-voix de l’Internationale sioniste en France. «Mes frères (Bernard-Henri et Philippe, ndlr) parlaient trop souvent de la Shoah et cela m’agaçait», affirme Véronique Lévy qui s’est convertie au christianisme.

Elle rappelle les propos que son père lui tenait lorsqu’elle était petite : «Tu fais partie d’une des familles juives les plus anciennes», lui disait-il, fier de sa descendante hébraïque. Une fierté que Bernard-Henri Lévy a également héritée de son arrière-grand-père, qui fut rabbin, contrairement à son père «très laïque», raconte Véronique Lévy. Bernard-Henri Lévy a donc grandi avec le traumatisme de l’holocauste, puisque, affirme sa sœur, il en faisait un sujet de débat quotidien avec son frère et le reste des membres de sa famille.

Derrière la fausse ouverture d’esprit de Bernard-Henri Lévy se cache un intégrisme savamment voilé derrière une fausse ouverture d’esprit qui, si elle n’était pas ainsi exhibée dans le cénacle et sur les plateaux de télévision qu’il affectionne, le dépourvoirait de sa qualité de philosophe. Sa sœur raconte comment il a réagi quand il apprit qu’elle avait décidé d’abandonner le judaïsme et de changer de religion. Incapable de l’en empêcher par la force, il se contenta de lui faire accroire que son geste relevait d’une lubie et qu’elle allait très vite revenir à sa religion d’origine. Blasphème !

Pour Bernard-Henri Lévy, qui appelle les musulmans à «suivre l’exemple d’Israël», il est inconcevable que sa propre sœur le démente et que son âme ait trouvé son repos à l’église. «Quand j’ai annoncé à Bernard-Henri (Lévy) que j’allais devenir catholique, il a cru que j’étais folle», narre sa sœur, qui ajoute que son frère avait pris cela pour une «toquade» qui lui «passera», affirmant, plein de certitude, qu’elle allait « revenir au judaïsme». C’est que Bernard-Henri Lévy est convaincu que lui et sa sœur font partie du peuple élu et que c’est plutôt aux adeptes des autres religions d’embrasser la leur. «Adolescente, je l’aimais, mais je m’opposais à lui», raconte encore la sœur de Bernard-Henri Lévy, de vingt ans sa cadette. «J’aurais préféré qu’il montre davantage sa fragilité, car je sais qu’il est hypersensible. Je le préfère dans l’intimité qu’à travers son personnage public», assure Véronique Lévy qui révèle par ailleurs, le côté «intégriste» du «libérateur» de la Libye : «Bernard-Henri Lévy m’a surprise aux côtés de mon frère Philippe à l’hôpital en train de lire l’Evangile. Il m’a dit : «Mais tu deviens folle ! (…) Prie, mais en silence !»

Comment le zélateur du sionisme et l’avocat d’Israël pourrait-il, sinon, poursuivre son prosélytisme si sa propre sœur était aperçue priant Jésus au chevet de son frère mourant ? Addition de fanatisme et de machiavélisme dans l’esprit du théoricien de la stratégie de destruction des pays du Maghreb et du Moyen-Orient par leurs propres peuples, sans que l’Occident, allié d’Israël, ait à débourser le moindre centime ou à sacrifier ne serait-ce qu’un soldat.

Karim Bouali


jeudi, avril 25, 2019

L'incendie de Notre-Dame, un châtiment talmudique ?




Selon le rabbin Shlomo Aviner, le feu à Notre-Dame (le 15 Avril 2019) est une punition, 777 ans après l'autodafé de l'an 1242 qui se déroula dans la cour de la cathédrale de Notre-Dame où 12 000 manuscrits du Talmud furent brûlés.

« Le premier important autodafé de textes du Talmud s’est déroulé à Paris, sur la place de la cathédrale Notre-Dame », a expliqué le rabbin Shlomo Aviner. « Il a résulté de la disputation de Paris, au cours duquel des sages juifs avaient été contraints de débattre avec des sages chrétiens, et ces Talmud en flammes en avaient été la conséquence. Des volumes du Talmud avaient été transportés dans 20 charrettes et brûlés : 1 200 volumes du Talmud. Et cet incendie est donc la démonstration qu’il y a une justice et qu’il y a un juge », a-t-il précisé.

Dans The Times of Israël, Aviner a dit : "Le christianisme est notre ennemi numéro un à travers l’histoire. On a tenté de nous convertir que ce soit par la parole ou par la force, nous avons été les victimes de l’Inquisition menée contre nous, on a brûlé des Talmud, il y a eu des expulsions, des pogroms. L’antisémitisme occidental est né de la haine des ‘assassins de Dieu’. Tout cela a aussi eu un rôle dans la Shoah".




Une vengeance de 777 ans et la soumission de tous les goyim (non-juifs) aux 7 lois noachiques. 

"(...) sept lois noachiques constituent des impératifs moraux pour l’ensemble de l’humanité", d'après le N° 777 de Regards, édité par le Centre Communautaire laïc Juif :

mardi, avril 23, 2019

Les juifs n'ont jamais été chassés de Palestine il y a 2000 ans

"Les Palestiniens sont les descendants des anciens Hébreux..."


La mort du Khazar rouge, condensé de Shlomo Sand



"En écrivant un polar, l'historien Shlomo Sand, professeur à l'université de Tel Aviv, fait œuvre de vulgarisation. En passant à la fiction (sans notes en bas de page !), Sand résume ses recherches et analyses qu'il avait brillamment développées dans Comment le peuple juif fut inventé. Le polar a toujours été prisé par les auteurs gauchistes. Sand réussit admirablement en mêlant Histoire et intrigue criminelle. Ainsi, si vous désirez apprendre où en sont les découvertes époustouflantes sur l'histoire des Juifs le roman La mort du Khazar rouge en est une approche palpitante. Il s'appuie d'une part sur les écrits d'Ernest Renan, Marc Bloch, Arthur Koestler et le travail d'historien de Sand lui-même pour étayer sa thèse selon laquelle la diaspora juive serait le fruit de conversions successives, et que les Juifs n'ont jamais été chassés de Palestine il y a 2000 ans. Les Ashkénazes seraient en partie descendants de Khazars convertis. Le livre révèle également quantité de faits avérés souvent ignorés du grand public, que ce soit les lois israéliennes, l'assassinat de personnalités sur le territoire français, etc. Le thriller met en scène à la fois les agissements du Shabak, le service de sécurité intérieure israélien, et les mœurs des universitaires qui ne sont pas différents quel que soit le pays ! La fiction, donc nourrie par un travail à la fois historique et sociologique, a le mérite de nous tenir en haleine tout au long des 384 pages de ce polar fondamentalement politique."

Shlomo Sand


Qui a tué l'éminent professeur d'histoire Yitzhak Litvak, de l'université de Tel Aviv ? C'est la question à laquelle tente de répondre le commissaire Émile Morkus, un des rares hauts gradés arabes de la police israélienne. Mais quelle piste suivre ? Célibataire sans enfant, Litvak semblait vivre seul, surtout préoccupé de l'avancée de ses travaux. Celle d'une mauvaise rencontre ? D'un étudiant voulant se venger d'un échec quelconque ? Ou celle d'un règlement de comptes entre ces universitaires qui, comme dans toutes les facultés du monde, se détestent cordialement ?

L'affaire prend une autre tournure quand le frère jumeau de Litvak est à son tour assassiné, et que certains services israéliens travaillent ostensiblement à étouffer l'affaire.

Shlomo Sand, lui-même professeur (émérite) d'histoire à l'université de Tel Aviv, nous régale dans ce premier roman policier à mettre en scène les débats qui déchirent la culture politique israélienne, la paranoïa et l'incapacité des services de sécurité et, surtout, la force aveugle d'un récit biblique sur les origines de l'État hébreu auquel il est dangereux de toucher.

Shlomo Sand est déjà l'auteur de nombreux travaux historiques, parmi lesquels Comment le peuple juif fut inventé (Fayard, 2008), qui a suscité des nombreuses controverses, où il questionne durement la construction mémorielle de l'État d'Israël.


lundi, avril 22, 2019

Répression


Répression, l'Etat contre les contestations politiques



La journaliste Aude Lancelin interview Vanessa Codaccioni, maître de conférence à l’université Paris 8, et chercheuse sur la question des justices d’exception, des crimes politiques et terroristes. Elle lui pose la question concernant la stratégie du pouvoir qui vise à invisibilité le caractère politique de la répression menée contre ses opposants et revient également sur l'actualité de ces dernières semaines et la criminalisation du mouvement des gilets jaunes.


Livre :

Répression 

Vanessa Codaccioni

Il ne se passe pas un seul jour sans que des militants ne soient confrontés à la répression. Violences policières, arrestations, gardes-à-vue et procès rythment aujourd'hui la vie politique et judiciaire. Aucune forme d'indignation politique n'y échappe : des gilets jaunes aux zadistes en passant par les écologistes, les militants solidaires, les féministes, les lycéens ou celles et ceux qui participent à des manifestations de rue, toutes et tous peuvent être confrontés à la police ou à la justice. Pour les acteurs de la répression, ce sont des " casseurs ", des " délinquants " ou des " terroristes " qui sont visés. Il s'agit d'un déni stratégique dont l'objectif est d'invisibiliser le caractère politique de cette violence d'Etat et de nier que ce sont pour leurs idées ou leurs actions que des militantes ou militants sont arrêtés, inculpés ou jugés. En analysant les mécanismes contemporains de la répression, Vanessa Codaccioni dénonce la criminalisation de la contestation politique. Etudiant finement ses principaux dispositifs, elle éclaire l'une de ses logiques majeures : la dépolitisation de l'activisme par son assimilation au terrorisme ou à la criminalité de droit commun.


Sionisme et contrôle totalitaire européen


H. Raivelot




A grande échelle, le contrôle totalitaire européen ne se cache plus. Après avoir dépossédé les nations de tout pouvoir, il a été mis en place le 16 février 2012, le parlement juif européen dans les locaux de Strasbourg ! Sans une ligne dans la presse nationale ou aux JT... La mainmise totalitaire sur un processus aussi fondamental que la création d’argent papier, au sein d’une nation, est, depuis 1973 en France, entre les mains d’instituts privés strictement communautaires où le concept de démocratie est une plaisanterie : l’Europe est enchaînée depuis plus longtemps qu’on ne le croit, et les Etats-Unis encore depuis plus longtemps. Les divertissements, la culture actuelle, la production littéraire sont dorénavant systématiquement empreintes d’un plan plus large d’hégémonie de la communauté régnante. Même si quelques personnes commencent à identifier cette idéologie au sommet, personne ou presque ne veut croire qu’il s’agit là de la partie émergée de l’iceberg sioniste, que cette domination ne pourrait se faire sans une base solide d’exécutants anonymes, et surtout, à votre contact. (...)



La Constitution européenne prévoit explicitement la possibilité de vous mettre à mort sommairement :



Conjointement, le parlement Juif européen (120 membres de 47 (!) pays) s’est déjà installé dans les locaux du déjà ultra sioniste parlement de Strasbourg. Conjointement, des annexes purement orwelliens, passés sous silence, se trouvent à l’intérieur même de la Constitution européenne dit « traité de Lisbonne ». JE RAPPELLE QUE NOUS VIVONS SOUS LE RÉGIME DE CETTE CONSTITUTION EUROPÉENNE QUE NOS DÉPUTÉS ONT RATIFIÉ POUR NOUS MALGRÉ NOTRE REJET PAR REFERENDUM !

Ces annexes de la constitution permettent tout simplement de ne pas appliquer la charte des droits fondamentaux (la partie II de la constitution) dans des cas dont la définition est délibérément floue et extensible. En particulier, dans les annexes à la charte des droits fondamentaux article IV-A-12 (tout à la fin de la constitution, là où personne n’ira trop chercher…), il est écrit noir sur blanc, dans « notre » constitution : « La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article 47 dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale. b) pour effectuer une arrestation régulière c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.

Autrement dit il est désormais « légal » d’exécuter la population européenne, conformément à la loi bien sûr, au cours d’une émeute ou d’une insurrection. » Qu’on se le dise…




mercredi, avril 17, 2019

La destruction de Notre-Dame de Paris serait un attentat

Le fou de Bélial


L'incendie de Notre-Dame de Paris est l'œuvre de la contre-initiation qui contrôle le pouvoir, selon des médium et des spiritualistes.

"L'objectif de l'attentat est de créer une émotion populaire pour détourner l'attention des Gilets jaunes... Il (Macron) veut tout raser, tout détruire, toucher à la spiritualité et au sacré", affirme une initiée. 

"(...) on évoque déjà la reconstruction, écrit Bill Pinpin.

Et c'est là qu'il faut se méfier : quand on sait qui dirige vraiment la France, la république maçonnique, il faut être prudent sur comment va être menée la reconstruction et surtout ce qu'ils vont mettre à la place.

Vont-ils ériger une nouvelle toiture aux symboles maçonniques et universalistes ou bien vont-ils respecter les symboles chrétiens d'origine ?

Quand on sait que Arnault et Pinault ont annoncé faire un don de 300 millions d'euros juste au lendemain de l'incendie pour la rénovation, il y a de quoi se poser des questions et rester prudent.

C'est un point à surveiller de très près car ils seraient bien capable d'effacer ces 900 ans de vraie France en plein cœur de Paris pour mettre un symbole maçonnique, mondialiste à la place."



L'architecte de Notre-Dame ne croit pas à la thèse de l'accident.



mardi, avril 16, 2019

Notre-Dame de Paris, la destruction d'une cathédrale philosophale



La cathédrale est le refuge hospitalier de toutes infortunes. Les malades qui venaient, à Notre-Dame de Paris, implorer Dieu pour le soulagement de leurs souffrances, y demeuraient jusqu’à leur guérison complète. On leur affectait une chapelle, située vers la seconde porte, et qui était éclairée de six lampes. Ils y passaient les nuits. Les médecins y donnaient leurs consultations, à l’entrée même de la basilique, autour du bénitier.

C’est encore là que la Faculté de médecine, quittant, au XIIIe siècle l’Université pour vivre indépendante, vint donner ses assises et se fixa jusqu’en 1454, époque de sa dernière réunion, provoquée par Jacques Desparts.

C’est l’asile inviolable des gens poursuivis et le sépulcre des défunts illustres. C’est la cité dans la cité, le noyau intellectuel et moral de l’agglomération, le cœur de l’activité publique, l’apothéose de la pensée, du savoir et de l’art.

Par l’abondante floraison de son ornementation, par la variété des sujets et des scènes qui la parent, la cathédrale apparaît comme une encyclopédie très complète et très variée, tantôt naïve, tantôt noble, toujours vivante, de toutes les connaissances médiévales. Ces sphinx de pierre sont ainsi des éducateurs, des initiateurs au premier chef.

Ce peuple de chimères hérissées, de grotesques, de marmousets, de mascarons, de gargouilles menaçantes, — dragons, stryges et tarasques, — est le gardien séculaire du patrimoine ancestral. L’art et la science, jadis concentrés dans les grands monastères, s’échappent de l’officine, accourent à l’édifice, s’accrochent aux clochers, aux arcs-boutants, se suspendent aux voussures, peuplent les niches, transforment les vitres en gemmes précieuses, l’airain en vibrations sonores et s’épanouissent sur les portails dans une joyeuse envolée de liberté et d’expression. Rien de plus laïque que l’exotérisme de cet enseignement ! rien de plus humain que cette profusion d’images originales, vivantes, libres, mouvementées, pittoresques, parfois désordonnées, toujours intéressantes ; rien de plus émouvant que ces multiples témoignages de l’existence quotidienne, du goût, de l’idéal, des instincts de nos pères ; rien de plus captivant, surtout, que le symbolisme des vieux alchimistes, habilement traduit par les modestes statuaires médiévaux. A cet égard, Notre- Dame de Paris, église philosophale, est sans contredit l’un des plus parfaits spécimens, et, comme l’a dit Victor Hugo, « l’abrégé le plus satisfaisant de la science hermétique, dont l’église de Saint-Jacques-la Boucherie était un hiéroglyphe si complet ».


Les alchimistes du XIVe siècle s’y rencontrent, hebdomadairement, au jour de Saturne, soit au grand porche, soit au portail Saint-Marcel, ou encore à la petite Porte-Rouge, toute décorée de salamandres. Denys Zachaire nous apprend que l’usage s’y maintenait encore en l’an 1539, « les dimanches et jours de festes », et Noël du Fail dit que « le grand rendez-vous de tels académiques estoit à Nostre-Dame de Paris ».

Là, dans l’éblouissement des ogives peintes et dorées, des cordons de voussures, des tympans aux figures multicolores, chacun exposait le résultat de ses travaux, développait l’ordre de ses recherches. On y émettait des probabilités ; on y discutait les possibilités ; on y étudiait sur place l’allégorie du beau livre, et ce n’était pas la partie la moins animée de ces réunions que l’exégèse abstruse des mystérieux symboles.

samedi, avril 13, 2019

L'anti-tradition ripoublicaine et ses symboles



Quelques réflexions sur la pseudo-religion révolutionnaire et les grands symboles de la république maçonnique par Pierre-Yves Lenoble.

Joseph de Maistre :

"Il y a dans la révolution française un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu’on a vu, et peut-être de tout ce qu’on verra.

Qu’on se rappelle les grandes séances ! le discours de Robespierre contre le sacerdoce, l’apostasie solennelle des prêtres, la profanation des objets du culte, l’inauguration de la déesse Raison, et cette foule de scènes inouïes où les provinces tâchaient de surpasser Paris : tout cela sort du cercle ordinaire des crimes, et semble appartenir à un autre monde.

Et maintenant même que la révolution a beaucoup rétrogradé, les grands excès ont disparu, mais les principes subsistent. Les "législateur"s (pour me servir de leur terme) n’ont-ils pas prononcé ce mot isolé dans l’histoire : "La nation ne salarie aucun culte ?" Quelques hommes de l’époque où nous vivons m’ont paru, dans certains moments, s’élever jusqu’à la haine pour la Divinité ; mais cet affreux tour de force n’est pas nécessaire pour rendre inutiles les plus grands efforts constituants : l’oubli seul du grand Être (je ne dis pas le mépris) est un anathème irrévocable sur les ouvrages humains qui en sont flétris. Toutes les institutions imaginables reposent sur une idée religieuse, ou ne font que passer. Elles sont fortes et durables à mesure qu’elles sont "divinisées", s’il est permis de s’exprimer ainsi. Non seulement la raison humaine, ou ce qu’on appelle la "philosophie", sans savoir ce qu’on dit, ne peut suppléer à ces bases qu’on appelle superstitieuses, toujours sans savoir ce qu’on dit ; mais la philosophie est, au contraire, une puissance essentiellement désorganisatrice.

En un mot, l’homme ne peut représenter le Créateur qu’en se mettant en rapport avec lui. Insensés que nous sommes ! si nous voulons qu’un miroir réfléchisse l’image du soleil, le tournons-nous vers la terre ?

Ces réflexions s’adressent à tout le monde, au croyant comme au sceptique ; c’est un fait que j’avance et non une thèse. Qu’on rie de ces idées ou qu’on les vénère, n’importe : elles ne forment pas moins (vraies ou fausses) la base unique de toutes les institutions durables."


Bibliographie : 


- A. Cabanès et L. Nass, La névrose révolutionnaire, Albin Michel, 1924.

- C. Levalois, Symbolisme de la décapitation du roi, Trédaniel, 1992.

- M. Talmeyr, La Franc-maçonnerie et la révolution française, Perrin et Cie, 1904.

- A. Cochin, Les sociétés de pensée, Copernic, 1978.

- Mgr H. Delassus, La conjuration antichrétienne, Scivias, 1999.

- Revue Atlantis, No 356, Hiver 1989, La Révolution française au regard de la Tradition.


mercredi, avril 10, 2019

Des livres et des films par Hervé Ryssen



Des livres et des films par Hervé Ryssen, Gaulois réfractaire et bête noire du CRIF 


LIVRES :
Christophe Guilluy

«There is no society» : la société, ça n'existe pas. C'est en octobre 1987 que Margaret Thatcher prononce ces mots. Depuis, son message a été entendu par l'ensemble des classes dominantes occidentales. Il a pour conséquence la grande sécession du monde d'en haut qui, en abandonnant le bien commun, plonge les pays occidentaux dans le chaos de la société relative. La rupture du lien, y compris conflictuel, entre le haut et le bas, nous fait basculer dans l'a-société. Désormais, no more society. 

La crise de la représentation politique, l'atomisation des mouvements sociaux, la citadellisation des bourgeoisies, le marronnage des classes populaires et la communautarisation sont autant de signes de l'épuisement d'un modèle qui ne fait plus société. 

La vague populiste qui traverse le monde occidental n'est que la partie visible d'un soft power des classes populaires qui contraindra le monde d'en haut à rejoindre le mouvement réel de la société ou bien à disparaître.

Dario Fernandez-Morera

Universitaires, journalistes et hommes politiques, tous nous présentent "al-Andalus", l’Espagne sous domination musulmane, comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie. C e conte de fées est un mythe. Dans "Le mensonge d’al-Andalus", un ouvrage décapant, l’historien Darío Fernández-Morera révèle la réalité de l’"Espagne arabo-musulmane", à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques. Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l’Espagne par le califat islamique. Les armées de l’islam, composées de Berbères incultes, détruisirent un Royaume Visigoth qui avait conservé l’héritage de la culture classique après la chute de l’Empire romain d’occident, et dont le niveau de civilisation était largement supérieur.

Loin d’être un espace de tolérance, l’"Espagne musulmane" fut le lieu d’une régression culturelle dans tous les domaines de la vie. Chrétiens et juifs y furent marginalisés et opprimés par des autocrates religieux. Considérés comme subalternes dans une société hiérarchisée, ils furent réduits au rang de dhimmis, et eurent le choix que les gangsters donnent à leurs victimes : payer pour être protégés, ou disparaître.

Tandis que politiciens et idéologues continuent de célébrer l’"Espagne musulmane" pour son « multiculturalisme » et sa « diversité », Darío Fernández-Morera montre que cette construction politiquement utile est une falsification de l’histoire.

Mike Horn

Mike Horn, au travers de ses expéditions, malgré les péripéties, la solitude et les conditions extrêmes, a toujours poursuivi le même objectif : se sentir exister, libre, avec et pour les autres. Ses défis, il les vit comme des chemins de sagesse. Depuis plus de trente ans, il délivre des messages humanistes dans lesquels il montre toute la force de ses valeurs et de son mental. Selon lui, c’est en cultivant l’essentiel, en créant les conditions de sa propre liberté, mais aussi en s’extasiant sur ce que la nature nous révèle au quotidien, qu’on devient meilleur. 

Illustré de photographies inédites, cet ouvrage nous invite, aux côtés de Mike Horn, à repenser notre rapport à la nature, mais aussi à écouter davantage ce besoin de liberté qui est en chacun de nous et qui offre un espace infini à la vie.


Sonia et Alexandre Poussin

Sonia et Alexandre Poussin ont entrepris de remonter l'Afrique à pied, du cap de Bonne-Espérance au lac de Tibériade. Trois ans de marche le long de la vallée du Rift en Afrique de l'Est, pour refaire symboliquement le voyage du premier homme.

Dans ce volume qui retrace les sept mille kilomètres initiaux de leur périple, du Cap au Kilimandjaro, ils nous font partager un continent intime. Ils ont affronté le soleil implacable de la brousse, les attaques d'animaux sauvages, traversé des pays en crise. Seuls, sans sponsor ni logistique, partageant le dénuement de leurs hôtes, ils nous parlent à chaque page de la générosité et de l'enthousiasme des hommes qui peuplent cette terre. Jour après jour, Sonia et Alexandre sont devenus un peu plus africains.



Hervé Ryssen

Le peuple juif est porteur d'un projet pour l'humanité ; un projet grandiose qu'il poursuit depuis des siècles envers et contre tout : l'instauration sur terre d une paix universelle. La notion de paix est, en effet, au cœur du judaïsme, et ce n'est pas un hasard si ce mot (shalom, en hébreu), se retrouve fréquemment dans tous les discours des juifs du monde entier. Dans ce monde parfait qu'ils construisent, tous les conflits auront disparu de la surface de la terre, et en premier lieu, les conflits entre les nations. C'est la raison pour laquelle les juifs militent inlassablement pour la suppression des frontières et la dissolution des identités nationales. Les nations étant censées être génératrices de guerres et de désordres, il faut donc les affaiblir et, à terme, les supprimer en faveur d'un gouvernement mondial, seul à même de faire régner sur terre le bonheur et la prospérité. Qu'ils soient de gauche ou de droite, marxistes ou libéraux, croyants ou athées, sionistes ou parfaitement intégrés , les juifs sont ainsi les plus fervents partisans de la société multiculturelle, du métissage planétaire et de l'Empire global. Quand toutes les identités auront disparu, il ne restera plus alors que le peuple juif, qui sera reconnu par tous comme le peuple élu de Dieu.


jeudi, avril 04, 2019

"L’anarchisme" : une soif de liberté absolue


"L’anarchisme" : une soif de liberté absolue

par Magdaline Boutros


Rares sont les doctrines qui ont été aussi mal comprises dans l’opinion publique que l’anarchisme, énonce d’entrée de jeu George Woodcock dans son ouvrage L’anarchisme : Une histoire des idées et mouvements libertaires.

Synonyme de chaos pour certains, de destruction ou encore de nihilisme pour d’autres, l’anarchisme ne ressemble en rien à cette image de désordre social si fortement ancrée dans notre imaginaire collectif, nous explique l’historien canadien. L’anarchisme doit plutôt être vu comme cette « situation positive où la domination n’est plus nécessaire au maintien de l’ordre ».

Sorte d’idéal, qui place l’individu au centre de sa réflexion, l’anarchisme cherche à « apporter des transformations fondamentales à la structure de la société et, en particulier […], [à] remplacer l’État autoritaire par une forme de coopération non gouvernementale entre des individus libres », expose l’auteur dans cet essai qui vient tout juste d’être traduit en français par le Québécois Nicolas Calvé chez Lux éditeur.

Une coopération vue comme un retour à « une conception morale et naturelle de la société », dans laquellecelle-ci n’est pas abolie, mais plutôt rebâtie « grâce aux liens libres et naturels de la solidarité ».

Ainsi, pendant que « la démocratie repose sur la souveraineté du peuple, l’anarchisme défend la souveraineté de la personne », résume l’auteur.

Publié en 1962, puis réédité en 1985, sans jamais avoir été traduit en français jusqu’à ce jour, l’ouvrage de Woodcock retrace l’histoire de l’anarchisme classique des XIXe et XXe siècles, portée par ses personnages marquants et déclinée au gré de ses victoires et de ses échecs.

Au fil des 517 pages du livre, William Godwin, Pierre-Joseph Proudhon, Michel Bakounine, Pierre Kropotkine et Léon Tolstoï font germer cette idée de bâtir des sociétés sans État, nous raconte Woodcock. Bien qu’ils ne se soient pas tous définis comme des anarchistes, ces penseurs, mus par un rejet de l’autorité et partageant un désir de changement social profond, ont tous contribué à fonder les socles de la théorie libertaire.

Alors que Godwin imaginait une plus grande décentralisation administrative, Proudhon rêvait d’une banque du peuple, Bakounine prônait un soulèvement destructif, Kropotkine aspirait à créer des coopératives de consommateurs et de producteurs et Tolstoï détaillait dans ses romans un idéal de solidarité universelle.

« Ce que j’ai aimé en traduisant cet ouvrage, c’est que c’est vraiment un livre d’histoire et non un livre théorique », souligne Nicolas Calvé en entrevue. Un livre grâce auquel on peut « voir des personnages en chair et en os dans leurs interactions », poursuit-il.

Tous ces personnages poursuivent cette même quête de liberté, qui prend des contours protéiformes. Car en plus d’être une philosophie politique, l’anarchisme est un mouvement social qui s’est décliné au fil du temps en une succession de courants nés de la pensée de figures emblématiques, explique Francis Dupuis-Déri, professeur au Département de science politique de l’UQAM et également auteur de livres sur l’anarchisme. Des courants qui se rejoignent au confluent d’une même idée, mais dont l’un des principaux points d’achoppement est toujours demeuré l’utilisation ou non de la violence.

Toujours d’une grande pertinence aujourd’hui, l’ouvrage de Woodcock était à l’époque l’un des premiers livres d’introduction à l’anarchisme, dit M. Dupuis-Déri. « C’est un livre important pour cela, mais aussi parce qu’il a été écrit par un grand intellectuel, un vrai écrivain. C’est un livre très clair et très bien écrit », souligne-t-il.

Une société idyllique ?

Rêvée par tant de militants libertaires, cette société composée d’individus totalement libres n’a jamais été implantée durablement à grande échelle. Mais plusieurs succès ont jalonné sa route, définissant les contours de modes d’organisation volontaires.

En France, le mouvement anarcho-syndicaliste a bénéficié d’un réel soutien de masse, rapporte l’auteur, et Mai 68 a permis aux anarchistes de humer de près le parfum d’une réelle révolution. Plus au sud, l’anarchisme a trouvé son terreau le plus fertile dans l’Espagne préfranquiste avec la création de collectifs paysans et la prise en main d’usines et de services publics à Barcelone. Mais puisqu’il s’agit « d’un idéal, il ne pourra sans doute jamais se réaliser » à grande échelle, note Woodcock.


LIRE LA SUITE :





Une histoire des idées et mouvements libertaires
George Woodcock

Écrit dans les années 1960 puis revu et augmenté en 1989, ce livre monumental offre le récit de l'une des plus grandes aventures des XIXe et XXe siècles, celle de l'anarchie. Woodcock y raconte le mouvement, ses victoires, ses défaites, mais il y expose surtout les idées des principales figures qui ont façonné la pensée libertaire, de William Godwin à Emma Goldman. Au-delà de l'engagement intellectuel, politique et moral de ces personnages historiques plus grands que nature, L'anarchisme brosse un portrait vivant de leur combat et des profonds idéaux de liberté qui n'ont jamais cessé de l'animer.

Considéré aujourd'hui comme un classique de l'histoire de l'anarchisme et pourtant traduit ici pour la première fois en français, L'anarchisme expose les perspectives d'une aspiration partagée aujourd'hui par un nombre toujours grandissant de personnes éprises de justice et d'autonomie.


dimanche, mars 03, 2019

Ordo Ab Chao ou le chaos orchestré par Macron



L'ancien journaliste VERDI ne décolère pas et déclare :

"Macron c'est le Nouvel Ordre Mondial, et si on laisse passer le Nouvel Ordre Mondial, c'en est fini de la planète, c'en est fini de l'humanité...

Macron a franchi un pas supplémentaire dans la tyrannie. Il a donné l’ordre de matraquer, tabasser les députés de l’opposition. La victime, samedi 2 mars, à Bordeaux, a été Loïc Prud’homme, député de la France Insoumise, violemment pris à partie par la milice du pouvoir macronien, alors qu’il rentrait tranquillement de la 16ème édition de la mobilisation des gilets jaunes. 

Ce qui s’est passé à Bordeaux est d’une extrême gravité et prouve, s’il en était encore besoin, à quel point celui qui usurpe la fonction de président de la République française est un être psychologiquement dérangé, qui met en grand danger notre pays. Il n’hésite pas à s’attaquer à l’un des symboles de la république qu’est l’écharpe tricolore. Il y a urgence à dépasser les clivages politiciens, en lançant, immédiatement, la procédure de destitution contre Macron, telle que le suggère Asselineau. Le monde et ses instances internationales attendent ce signal fort contre Macron pour agir." 

(Le professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien, analyse le profil d'Emmanuel Macron : https://youtu.be/v4wS8FIw47Q )

Ordo Ab Chao ou le chaos global


Extrait d'une vidéo réalisée par MetaTV avec Pierre Hillard dans la série Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine https://www.youtube.com/watch?v=7O2aX...


Lecture :



Pierre Hillard présente les travaux de Carroll Quigley  


"Ce grand livre de Carroll Quigley (1910-1977), professeur à l'université de Georgetown est paru en anglais après sa mort en 1981. 

Nous pouvons affirmer que cette parution en langue française de l'Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine, est véritablement une œuvre de salubrité publique. En effet, grâce aux travaux de cet universitaire américain, il est désormais possible de mieux connaître les arcanes de ce monde oligarchique opaque dont l'action a été déterminante pour le monde anglo-saxon et, par ricochet, pour la planète entière. 

L'auteur développe et explique à partir d'abondantes pièces d'archives que les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXè siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l'Empire britannique associé aux Etats-Unis d'asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l'œuvre d'une poignée d'hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. 

Fort d'un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe » ou « famille technocratique » avant l'heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits."

vendredi, mars 01, 2019

Un "programme" contre-initiatique : les Protocoles des Sages de Sion


Les Protocoles des Sages de Sion 1/4

Des juifs et des francs-maçons exécutent-ils, consciemment ou inconsciemment, un plan qui na été ni conçu, ni voulu par eux ?


Les Protocoles des Sages de Sion
L'avènement du Regnum supra-national


René Guénon



La traduction italienne des fameux Protocoles des Sages de Sion, publiée en 1921, par le D. Giovanni Preziosi, directeur de la Vita ltaliana, vient d'être rééditée avec une introduction de M. Julius Evola, qui essaie de mettre un peu d'ordre dans les interminables discussions auxquelles ce texte a donné et donne encore lieu, en distinguant deux questions différentes et qui ne sont pas nécessairement solidaires, celle de l'«authenticité» et celle de la «véridicité», dont la seconde serait, selon lui, la plus importante en réalité. (PDF gratuit des Protocoles des Sages de Sion, traduction Lambelin ICI)

Une organisation vraiment secrète ne laisse jamais derrière elle de documents écrits

L'authenticité n'est guère soutenable, pour de multiples raisons que nous n'examinerons pas ici ; à cet égard, nous appellerons seulement l'attention sur un point qu'on paraît ne pas prendre suffisamment en considération, et qui pourtant est peut-être le plus décisif : c'est qu'une organisation vraiment et sérieusement secrète, quelle qu'en soit d'ailleurs la nature, ne laisse jamais derrière elle de documents écrits. D'autre part, on a indiqué les «sources» auxquelles de nombreux passages des Protocoles ont été empruntés à peu près textuellement : le Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu, de Maurice Joly, pamphlet dirigé contre Napoléon III et publié à Bruxelles, en 1865, et le discours attribué à un rabbin de Prague dans le roman Biarritz, publié en 1868, par l'écrivain allemand Hermann Goedsche sous le pseudonyme de sir john Retcliffe. Il y a encore une autre «source» qui, à notre connaissance, na jamais été signalée : c'est un roman intitulé : Le Baron Jéhova, par Sidney Vigneaux, publié à Paris en 1886, et dédié, ce qui est assez curieux, "au très gentilhomme A. de Gobineau, auteur de l'Essai sur l'inégalité des races humaines, entré au Walhalla le 13 octobre 1882". Il est à noter aussi que, d'après une indication donnée dans les Mémoires d'une aliénée, de Mlle Hersilie Rouy, publiés par E. Le Normant des Varannes (Paris, 1886, pp. 308-309), Sidney Vigneaux était, ainsi que ce dernier, un ami du Dr Henri Favre, dont nous avons parlé plus haut ; il s'agit là d'une étrange histoire où apparaît également le nom de Jules Favre, qu'on retrouve d'ailleurs mêlé à tant de choses du même genre qu'il est difficile de n'y voir qu'une simple coïncidence... Il se trouve, dans "Le Baron Jéhova" (pp. 59 à 87) un soi-disant "Testament d'Ybarzabal" qui présente des similitudes tout à fait frappantes avec les Protocole, mais avec cette particularité remarquable que les juifs y apparaissent seulement comme l'instrument d'exécution d'un plan qui na été ni conçu, ni voulu par eux. On a noté encore des traits de ressemblance avec l'introduction du Joseph Balsamo, d'Alexandre Dumas, bien qu'ici il ne soit aucunement question des Juifs, mais d'une assemblée maçonnique imaginaire ; nous ajouterons que cette assemblée n'est pas sans rapport avec le «Parlement» pseudo-rosicrucien décrit, à peu près exactement à la même date, par l'écrivain américain George Lippard dans Paul Ardenheim, the monk of the Wissahikon, dont cette partie a été reproduite par le Dr. Swinburne Clymer dans The Rosicrucian Fraternity in America.

 Toute l'orientation du monde moderne répond à un "plan" établi et imposé par la contre-initiation et de ses agents conscients ou inconscients

Il n'est pas douteux que tous ces écrits, ou leur forme plus ou moins « romancée», tirent en somme leur inspiration générale d'un même «courant» d'idées, que d'ailleurs leur auteurs approuvent ou désapprouvent ces idées, et qu'en outre, suivant leurs tendances ou leurs préventions particulières, ils en attribuent à tort et à travers l'origine aux juifs, aux Maçons ou à d'autres encore ; l'essentiel dans tout cela, en définitive, et ce qui, peut-on dire, en constitue l'élément de «véridicité», c'est l'affirmation que toute l'orientation du monde moderne répond à un «plan» établi et imposé par quelque organisation mystérieuse ; on sait ce que nous pensons nous-même à cet égard, et nous nous sommes déjà assez souvent expliqué sur le rôle de la "contre-initiation" et de ses agents conscients ou inconscients pour n'avoir pas besoin d'y insister davantage. A vrai dire, il n'était aucunement nécessaire d'être «prophète» pour apercevoir de ces choses à l'époque où les Protocoles furent rédigé, probablement en 1901, ni même à celle où remontent la plupart de autres ouvrages que nous venons de mentionner, c'est-à-dire vers le milieu du XIXème siècle ; alors déjà, bien qu'elles fusent moins apparentes qu'aujourd'hui, une observation quelque peu perspicace y suffisait ; mais ici nous devons faire une remarque qui n'est pas à l'honneur de l'intelligence de nos contemporains ; si quelqu'un se contente d'exposer «honnêtement» ce qu'il constate et ce qui s'en déduit logiquement, personne n'y croit ou même n'y prête attention ; si, au contraire, il présente les mêmes choses comme émanant d'une organisation fantaisiste, cela prend aussitôt figure de «document» et, à ce titre, met tout le monde en mouvement ; étrange effet des superstitions inculquées aux modernes par la trop fameuse «méthode historique» et qui font bien partie, elles aussi, des suggestions indispensables à l'accomplissement du «plan» en question ! 

Établissement du Regnum supra-national

Il est encore à remarquer que, d'après l'«affabulation» des Protocoles eux-mêmes, l'organisation qui invente et propage les idées modernes, pour en arriver à ses fins de domination mondiale, est parfaitement consciente de la fausseté de ces idées ; il est bien évident qu'en effet, il doit en être réellement ainsi, car elle ne sait que trop bien à quoi s'en tenir là-dessus; mais alors il semble qu'une telle entreprise de mensonge ne puisse pas être, en elle-même, le véritable et unique but qu'elle se propose, et ceci nous amène à considérer un autre point qui, indiqué par M. Evola dans son introduction, a été repris et développé, dans le numéro de novembre de la Vita Italiana, dans un article signé «Arthos» et intitulé transformazioni del «Regnum». En effet, il n'y a pas seulement, dans les Protocoles, l'exposé d'une «tactique» destinée à la destruction du monde traditionnel, ce qui en est l'aspect purement négatif et correspondant à la phase actuelle des événements ; il y a aussi l'idée du caractère simplement transitoire de cette phase, et celle de l'établissement ultérieur d'un Regnum supra-national, idée qui peut être regardée comme une déformation de celle du «Saint Empire» et des autres conceptions traditionnelles analogues qui, comme le rappelle l'auteur de l'article, ont été exposées par nous dans Le Roi du Monde. Pour expliquer ce fait, "Arthos" fait appel aux déviations, allant même jusqu'à une véritable "subversion", que peuvent subir certains éléments, authentiquement traditionnels à l'origine, qui se survivent en quelque sorte à eux-mêmes, lorsque l'«esprit» s'en est retiré ; et il cite, à l'appui de cette thèse, ce que nous avons dit récemment ici au sujet des «résidus psychiques» ; les considérations qu'on trouvera d'autre part, sur les phases successives de la déviation moderne et sur la constitution possible, comme dernier terme de celle-ci, d'une véritable «contre-tradition», dont le Regnum dénaturé serait précisément l'expression dans l'ordre social, pourront peut-être contribuer encore à élucider plus complètement ce côté de la question qui, même tout à fait en dehors du cas spécial des Protocoles, n'est certes pas dépourvu d'un certain intérêt.

René Guénon - Etudes Traditionnelles, janvier 1938, compte rendu de : I Protocolli dei Savi Anziani di Sion, paru dans La Vita Italiana, Roma.


René Guénon écrit : "... il ne faut pas oublier que le « satanisme inconscient » de certains, plus nombreux que jamais à notre époque de désordre étendu à tous les domaines, n’est véritablement, au fond, qu’un instrument au service du « satanisme conscient » des représentants de la contre-initiation.

Chacun est un éveillé qui s’ignore

Le buffle représente notre nature propre, la nature de l’éveil,  la nature de Buddha, l’Ainsité (et la vacuité) Le Chemin de l’Eveil Le dres...