jeudi, juin 27, 2019

De la question juive


Abbé Olivier Rioult


Pour aider le juif à retrouver un sommeil paisible et pour protéger celui des autres, il fallait remonter aux origines du mal-être juif, analyser ses manifestations et en faire la synthèse. Le résultat est sidérant et une fois de plus la réalité dépasse la fiction.

Appuyée sur des faits indéniables, fondée par des citations autorisées donnant la parole aux juifs comme aux non-juifs et justifiée par des milliers de références, cette étude donne une synthèse de la Question juive aussi complète et précise que possible. Tous les points importants ont été traités, sans haine, sans faiblesse et sans tabou : de la crucifixion du Christ à la Synagogue de Satan, du Talmud aux droits de l’homme, des marranes aux Khazars, du trafic d’esclaves à l’usure banquière, du ghetto au sionisme, du communisme au noachisme, de la névrose suicidaire à l’hystérie médiatique, de l’espérance messianique au projet mondialiste, du culte de Mammon à l’adoration d’Israël, de la haine des non-juifs au génocide des nations… Deux mille ans d’histoire chaotique qui ont abouti “au siècle juif” qui, selon la formule d’un propagandiste, a vu les juifs devenir « les chouchous de l’Histoire ».

Mais, malgré ce triomphe apparent, quantité de juifs restent torturés. Ils sentent au fond d’eux-mêmes « une immense solitude », ils souffrent d’« angoisses » et sont obsédés par « des questionnements absurdes liés à la culpabilité… » Pour nombre d’entre eux, « être juif constitue un problème qui n’a pas de réponse… » Et pourtant cette réponse nous avait déjà été donnée dès le 1er siècle par l’apôtre Jean dans son Apocalypse.

La solution était là, sous nos yeux, mais on l’avait oubliée ou négligée. Ce livre n’est donc qu’une redécouverte qui éclairera par ailleurs toute la justesse de l’assertion johannique au niveau historique, théologique, philosophique, politique, moral, économique, ethnique, psychologique et eschatologique. Cette étude aura aussi le mérite de nous faire comprendre pourquoi, pour le bien et la paix de tous, des juifs comme des non-juifs, l’évêque de Linz, Mgr Gfoellner, affirmait : « combattre et briser la pernicieuse influence du judaïsme est pour tout chrétien sincère non seulement un droit légitime, mais un impérieux devoir de conscience. »


Commentaire de Ludovic Joubert :

J'ai lu plusieurs livres sur ce sujet, dont les livres de certains dissidents israéliens, comme Israel Shahak ou Gilad Atzmon. Ainsi que les livres très documentés et très denses d'Hervé Ryssen. Autant de lectures très recommandables.

Attention : si on s'intéresse à ce sujet : Israël, le judaïsme, l'histoire, la religion, et qu'on est sensible à l'exigence de vérité, il faut s'attendre à un total renversement de paradigme.

Le livre de l'Abbé Olivier Rioult est très dense, très précis, structuré, extrêmement bien écrit et donc, jamais indigeste. En introduction, plusieurs témoignages de juifs qui ont répondu à la question : qu'est-ce que c'est que d'être juif. Apparemment, c'est compliqué. Parfois, c'est déplaisant (un certain Laurent Sagalovitsch qui déclare : "qu'est-ce que ça doit être emmerdant d'être un goy !" – on le remercie de sa sollicitude)

En préambule, l'auteur précise bien que quand il écrit "les juifs", il désigne l'idéologie juive.

Le livre commence par la question de Jésus puis passe en revue de manière passionnante des notions aussi intimidantes que le talmud, l'hérésie, les marranes, l'inquisition… mais aussi la révolution bolchévique, la première et la deuxième guerre mondiale, la confiscation du droit des Etats à créer leur propre monnaie (cause de la fameuse dette des pays occidentaux), qui a commencé par les Etats-Unis et s'est poursuivie par la loi Pompidou de 1973 (Pompidou qui avait été directeur de la banque Rothschild…) et crée des contribuables, c'est-à-dire les victimes d'un racket légal mais inique, et permanent. Mais j'insiste : la lecture de ce livre reste très fluide. Et absolument passionnante quoique potentiellement bouleversante en fonction du niveau d'éducation du lecteur sur le sujet.

Difficile de commencer à évoquer ce livre sans en citer de longs passages, ce que j'éviterai.


Pour donner une idée du bouleversement qu'il peut représenter, je prendrai un chemin détourné. Il y a quelques années, j'ai lu Koba la terreur de Martin Amis, dans lequel après avoir raconté par le menu plusieurs expériences du goulag sous Staline d'une lecture assez éprouvante, Martin Amis se sentait obligé de préciser que aussi horribles et nombreuses aient été ces morts, on n'atteignait pas l'horreur des camps nazis. Pourquoi ? Parce que l'extermination des juifs était inscrite dans leur projet initial.

Cette explication m'a fait tiquer. Principalement parce qu'elle réduisait de nouveau cinquante les millions de morts de la deuxième guerre mondiale aux morts juifs (alors que par exemple dans le nord de la France, les bombardements alliés ont causé quelque 60 000 morts français) ; et aussi parce qu'elle réduisait de nouveau les victimes des camps de concentration aux victimes juives.

Or en lisant le livre d'Olivier Rioult ainsi que d'autres – par exemple, Deux siècles ensemble de Soljénitsyne (dont on trouve un résumé dans le livre d'Hervé Ryssen Les espérances planétariennes), on se donne des raisons de croire que non seulement l'extermination des juifs n'était pas forcément inscrite dès le début dans le programme nazi (Voir : accord de transfert 1933, qui établit une collaboration et des négociations entre Hitler et le mouvement sioniste, qui a duré jusqu'en 1939 ; résultat selon le livre très référencé d'Olivier Rioult : l'émigration de 60 000 juifs allemands riches vers la Palestine durant cette période), mais en plus que l'extermination des Russes réfractaires à la révolution était, elle, inscrite dans le programme communiste (principe de l'ingénierie sociale : on ne fait pas d'omelette sans casser d'œufs et la révolution n'a pas attendu Staline) ; or il s'avère que les révolutionnaires comptaient une proportion écrasante… de juifs. Hervé Ryssen a été condamné à un an de prison ferme pour avoir fait le même constat. La journaliste Elisabeth Levy dit la même chose dans son livre Les Rien-pensants. Pour une raison ou une autre, elle n'a pas attiré l'attention de la "justice".


Conférence de l'abbé Olivier Rioult : 
La question juive :
(La conférence a été CENSURÉE par YouTube.)

La vidéo de la conférence de l'abbé Olivier Rioult est sur BitChute :





mercredi, juin 26, 2019

7 mesures contre le mondialisme messianique


Les conseils de Stéphane Blet pour libérer le peuple français du mondialisme messianique et de la tyrannie talmudo-maçonnique :

1) Rétablissement du crime de haute trahison ;

2) Abrogation de la loi Pompidou-Rothschild et annulation de la dette ;

3) Dissolution des lobbies sionistes, comme le CRIF, la LICRA, l'organisation racialiste le B'nai B'rith, etc. Et, dissolution immédiate de la franc-maçonnerie, dont les initiés des hauts grades entravent la Justice et contrôlent la police ;


4) Réforme du système judiciaire et éviction des juges francs-maçons ;

5) Dissolution du Conseil constitutionnel où siègent des agents du mondialisme ;

6) Création de tribunaux populaires pour juger ceux qui trahissent le peuple français ;

7) Développer la vente directe entre les producteurs et les consommateurs afin de neutraliser les parasites du commerce des aliments.

Stéphane Blet est l'auteur du livre Franc-Maçonnerie, l'effroyable vérité.



mardi, juin 18, 2019

Le paradis parodique


Petit aperçu sur l'aspect parodique de notre société actuelle qui s'apparente à une immense singerie du paradis biblique et une inversion de l'âge d'or des Anciens. 



La contrefaçon de l’âge d’or

par Pierre-Yves Lenoble 


« Ne vous ai-je pas annoncé au sujet de l’antéchrist un fait qu’aucun prophète n’avait signalé à son peuple ? Il est borgne et il apportera avec lui une image représentant le Paradis et une autre représentant l’Enfer. Et celle qu’il vous dira être le Paradis sera l’Enfer. Je vous signale ce danger comme Noé l’avait signalé à son peuple » (Hadith extrait de Bokhâri, LX, III, 3).



On ne le répétera jamais assez : notre époque contemporaine a non seulement atteint un niveau de dégénérescence historique extrême, elle se caractérise également par une sinistre et totale inversion de la vision traditionnelle du monde. En nous référant aux mythologies et aux récits sacrés des anciennes traditions humaines, nous verrons dans cet article que notre société actuelle constitue purement et simplement une parodie du Paradis biblique ou de l’Âge d’or originel.



D’ailleurs, en prenant pour analogie la destinée de toute vie humaine, ne peut-on pas dire que la sénilité du vieillard ressemble fortement à la fragilité du nouveau-né ? L’un va bientôt mourir et sent qu’il se rapproche de la mort dans un futur au-delà, l’autre vient de naître ici-bas et sent qu’il a quitté un état antérieur plus subtil…



Or, à nos yeux, le retournement mental le plus décisif opéré par la modernité (depuis les utopies de la pseudo-Renaissance) concerne avant-tout le sens de l’histoire : les Anciens ont partout et toujours affirmé que la perfection anthropologique se situait au début des temps, jamais à la fin. A l’exception du monde moderne, tous les enseignements traditionnels ont placé les temps de béatitude et de félicité au commencement, jamais dans un futur incertain, et, par conséquent, ont tous fait état d’une « Chute de l’homme » (ou bien d’un « retrait des dieux », ce qui revient à exprimer la même idée).



Nous ne pouvons ici que citer ces sublimes mots de l’historien et ethnologue Jean Servier, extraits de son indispensable ouvrage : L’Homme et l’Invisible (R. Laffont, 1964, p. 27) : « Les traditions de toutes les civilisations ont choisi la solution de la chute. Elles en tirent toutes les conséquences. La science occidentale défend, elle, l’hominisation du singe, peut-être parce qu’il est plus facile d’être un singe « parvenu » qu’un ange déchu ».



En effet, le supérieur ne peut pas être le résultat de l’inférieur, le + n’émane jamais du –, et si Toto a dix euros en poche, il peut acheter neuf euros de bonbons mais pas onze. A ce titre, le prophète Mohammad (saw) rappelait cette vérité universelle lorsqu’il déclarait : « Il ne viendra pas d’époque qui ne soit pire que la précédente ». On ne peut être plus clair : toute forme de progressisme historique constitue une irrémédiable hérésie intellectuelle et se présente comme une inversion du court normal du temps, corrosif et constricteur. L’eau vive n’est-elle pas plus pure à sa source qu’à son estuaire ?



Aujourd’hui, à l’heure du New World Order (expression qui n’est pas due à un livre d’H.G.Wells comme le répète sans cesse P. Hillard, mais qui est tout simplement le titre de Genèse II, 9 racontant le pacte entre Dieu et Noé après le Déluge, ce qui constitue là-encore une sinistre parodie moderne), à l’heure de la sacro-sainte « Croissance » et des fumeux « lendemains qui chantent », le monde entier, sans dessus-dessous, vit en fait dans une vaste illusion plastifiée et se situe historiquement dans les bas-fonds de l’ « Âge sombre » (soit les « jours de lamentations » de la Bible, l’ « âge de fer » d’Hésiode, les « tribulations apocalyptiques » de Jean, le kali-yuga des hindous, l’ « âge du loup » des vieux scandinaves… etc.).



Ainsi donc, nous vivons actuellement dans un monde à rebrousse-poil qui se caractérise comme une singerie terminale — constituant à la fois une horizontalisation, une matérialisation et une profanation — de l’ « Âge d’or », dans ce que René Guénon dénommait explicitement « la grande parodie » ou « le carnaval perpétuel », et que le génial Aldous Huxley avait prévu il y a presque cent ans dans son énigmatique Meilleur des mondes (où il prédisait notamment l’esclavage volontaire, l’interdiction de l’amour, l’hypersexualisation de la société, la généralisation de l’évasion dans les drogues et le spectacle, la fin de la procréation naturelle, la mort de la famille, l’eugénisme industriel, l’abrutissement des masses, l’éducation sexuelle dès la petite enfance, ou encore la banalisation de l’euthanasie en transformant les morgues en fêtes foraines avec clowns et barbe-à-papas).



Dès lors, nous donnerons en vrac quelques illustrations factuelles qui nous font dire que la fin des temps est proche et que « l’Heure » annoncée par toutes les eschatologies est arrivée.



- Les projets politiques mondialistes et les divers courants néo-spiritualistes du New-Age ne représentent qu’une mauvaise imitation de la « Tradition primordiale », en remplaçant l’unité spirituelle du genre humain par une uniformisation dégradante des corps et des âmes. On peut dire ainsi que la Jérusalem terrestre, future capitale du monde selon Jacquot, n’est qu’un pastiche grossier de la Jérusalem messianique et céleste des prophètes bibliques devant acter le retour sur terre du Paradis.



- L’aviation, la conquête spatiale et la construction de gratte-ciels constituent des caricatures grossières du lien Terre/Ciel et de la facilité de communication avec Dieu qu’avaient les premiers hommes. Un célèbre hadith ne prévoit-il pas qu’à la fin du monde des tours s’élèveront dans le désert, à l’image de la tour de Babel (songeons à la gigantesque Big-Benconstruite en plein centre du sanctuaire de La Mecque ; voir à ce sujet cette vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xxcs1j) ?



- L’anglicisation générale et la multiplication des moyens techniques de communication nous renvoient au langage unique, à la « langue des oiseaux » et au « don des langues » propres à l’humanité originelle qui, dit-on, pouvait facilement dialoguer avec tous les règnes du vivant. De même, le cinéma, la télévision, internet et l’énorme pouvoir des médias ont littéralement supplanté le pouvoir sanctifiant du Verbe divin ; n’oublions pas que dans son Apocalypse (XIII, 15), saint Jean parle d’images animées par la Bête…



- La généralisation de l’homosexualité et du transgenre, virilisant les femmes et efféminant les hommes, nous rappellent étrangement la doctrine platonicienne de l’ « Androgyne primordial », conçu comme une sphère lumineuse parfaite, de la même manière que la promotion de la pornographie nous ramène à la nudité sans honte de nos proto-parents dans le jardin d’Eden.



- Le productivisme, les supermarchés et la consommation à outrance nous font penser aux fructueuses récoltes sans effort pendant l’ « éternel printemps » de l’âge d’or ainsi que le raconte, entre autres, Ovide, dans ses Métamorphoses (un mythe amérindien affirme par exemple qu’au début des temps, les fruits étaient si gros qu’il fallait une brouette pour les transporter).



- La chirurgie esthétique et les pilules-miracle anti-vieillissement se présentent comme une nouvelle forme artificielle de la « Fontaine de Jouvence » ou de la « Source de Vie » située au centre du Paradis, permettant à l’humanité primordiale d’être immortelle ou de jouir de l’éternelle jeunesse (on notera d’ailleurs que l’âge des prophètes bibliques, qui vivaient des centaines d’années au début du cycle, ne fait que décroître au fur et à mesure du récit).



- L’intelligence artificielle, le transhumanisme, et surtout le robot, en tant qu’aboutissement de l’ « homme nouveau » prôné par tous les révolutionnaires, qui incarne la figure idéale de l’homme singé, hors-sol, extérieurement augmenté et déspiritualisé (et qui bénéficie aujourd’hui de droits juridiques ; un horrible robot nommé sataniquement sophia a été la semaine dernière déclaré citoyen d’honneur de l’Arabie Saoudite, décidément à la pointe de la subversion moderne) sont des parodies matérialistes de la perfection ontologique, des hautes capacités intellectuelles et des divers pouvoirs spirituels de l’ « Homme transcendant » dans le séjour paradisiaque ; il est à cet égard intéressant d’observer que le grand historien des religions Mircea Eliade parlait déjà de « transhumanisme », seulement, ce mot était pour lui un synonyme de « sacré » et caractérisait uniquement le phénomène religieux…

Bref, à l’heure actuelle, comme le disait froidement Guy Debord dans sa Société du spectacle : « Tout ce qui était directement vécu s’est éloigné dans une représentation », soit un sordide monde à l’envers où le beau est devenu le laid, où le mensonge tient lieu de vérité, où toute qualité humaine se transforme en défaut, où les petits hommes verts ont remplacé les anges, où le fou est perçu comme un sage, et où le borgne a été sacré roi des aveugles…

Posté le 29 octobre 2017 par Pierre-Yves Lenoble


Livres de Pierre-Yves Lenoble : Métaphysique du Moyen Age : Essai métahistorique sur la destinée de l'Occident ; La dame céleste : La tradition secrète des "fidèles d'amour" islamo-chrétienne ; 
Vie et mort des civilisationsRéflexions sur le dualisme ; La métaphysique végétale ; Diablerie de foule ; Le symbolisme du «centre», Considérations métaphysiques et aspects historiques ; Le chemin vertical.
 



Jean Servier

Jean Servier remet en question les dogmes évolutionniste et matérialiste qui fondent - bien mal - la civilisation occidentale et ne visent qu'à calmer l'angoisse de l'homme blanc et à justifier son racisme. Si l'on repousse les idées toutes faites et jamais vérifiées de certains savants, les hommes apparaissent égaux en pensée d'un bout à l'autre de l'espace et du temps, et de fait, plus soucieux des choses invisibles que des biens de ce monde. Ils croient tous à la survie d'un principe invisible, l'âme, après la mort charnelle. Partout réside la même volonté de considérer l'invisible. comme la seule vraie patrie humaine, la seule dimension à l'échelle de l'homme. Face à ces certitudes, notre Occident. en cette fin de siècle, est en proie à une grande peur, qui reflète notre peur de la mort, car l'aventure humaine nous est désormais étrangère. Apprenons à écouter la voix des sages en haillons qui peuvent encore nous dévoiler leur immense richesse spirituelle. Apprenons à lire dans les humbles traces laissées parles pieds nus de nos frères le mot dé passe de toutes les initiations : ce mot est Univers, sa réponse Homme. C'est la Parole que nous avons perdue...

mercredi, juin 12, 2019

Trois jours avec les Brigandes et les Brigands



Décidément la Salvetat-sur-Agout est un lieu où souffle l’Esprit.

Nous avons tous, sûrement en tout cas ceux qui me lisent, été étonnés, surpris, enthousiasmés par les chansons des Brigandes. Certaines font apparaître graduellement une dimension spirituelle, qui nous ouvrent un véritable chemin initiatique.

C’est pourquoi lorsque j’ai reçu une invitation pour participer à un premier séminaire sur le thème « L’origine de l’homme et sa destination selon la tradition indo-européenne : quelle alternative de vie pour l’avenir ? D’où venons-nous ? Où sommes-nous ? Où allons-nous ?», j’ai aussitôt accepté. La participation était limitée à une douzaine de personnes. Ce séjour d’étude est organisé par la Communauté de la Rose et de l’Épée. C’est ainsi que se nomme le Clan des Brigandes.

Ce nom riche de symboles exprime bien la prise de conscience que nous devons avoir. Il apparaît que le combat des Brigandes passe à une dimension métapolitique.

Nous avons été accueillis dans un lieu d’exception. Le calme, l’atmosphère, la verdure, l’odeur de l’air, des plantes, des pins des chênes et des érables nous font changer de monde. D’abord l’absence de réseau téléphonique a reposé nos corps des influences électromagnétiques qui nous entourent habituellement. L’organisation de ce séjour est parfaite, harmonie et ponctualité.

Vendredi 31 mai. Après un apéritif sur la terrasse, nous avons dîné, Chrystelle nous plaça selon un plan de table, excellente idée, car ce plan changeant à chaque repas nous permit de nous entretenir et de faire connaissance plus particulièrement les uns et les autres. Le dîner fut délicieux, végétarien bien sûr, mais original et savoureux. Remercions nommément Sara pour ses talents de cuisinière.

Samedi 1er juin : D’où venons-nous ? Origine métaphysique de l’homme. Qui sommes‐nous selon les mythes et la philosophie antique ?

En préambule Roxane joua de sa harpe, égrenant des notes mélodieuses harmonieuses qui nous apaisèrent, nous préparant à écouter. Ce moment de sérénité n’est pas fréquent lors des conférences publiques, le brouhaha de l’installation des participants, les conversations ne favorisent pas la quiétude, l’ouverture et la réceptivité de l’esprit. Ce moment fut répété entre chaque conférence. Antoine, Xavier et Irène sont intervenus l’un après l’autre sur nos origines et ont parfaitement posé les prolégomènes de nos travaux.

Chaque conférence était suivie d’un long moment de questions et commentaires auquel nous avons participé pour la plupart. Je ne vais pas m’étendre et commenter les sujets abordés, je laisse à ceux qui voudront participer aux prochains séminaires le bonheur de la découverte.

Disons seulement que pour cette première série de conférences, Antoine, Xavier et Irène nous ont éclairés sur l’opposition qui règne autour de nous entre les matérialistes et les spiritualistes et que cela recouvre le choix mondialiste opposé aux convictions identitaires.

Où sommes-nous ? La civilisation matérialiste qui nous conditionne. Les enjeux de notre époque.
Les dangers de la technologie et d’une science sans conscience.
Les traditions, des Indes à l’Irlande, de la Bible aux Eddas nous enseignent que nous sommes à la fin des temps ou d’un temps, l’Âge noir ou l’Âge de Fer, l’Apocalypse ou le Ragnarök. Au-delà d’une subversion mondialiste organisée par les grands systèmes financiers, les tenants du politiquement correct et les adeptes de l’uniformisation des peuples, il y a de fait un totalitarisme technologique, même pas politique mais omniprésent.

D’internet à la carte à puce, de la carte à puce à la puce implantée, des vaccins utiles aux multi-vaccins, le monde technologique et financier organise la sujétion de l’individu le préparant au transhumanisme. Le Grand Remplacement n’est pas seulement racial, il est aussi le Grand Remplacisme des êtres humains naturels dans leurs diversités par un individu humanoïde véritable robot androïde rêvé par les auteurs de science-fiction. Rêve ou cauchemar ?

Il est à noter également que l’uniformisation des humains de la planète est aujourd’hui acquise. Ainsi lors du congrès de Sotchi réunissant les jeunes alter-mondialistes des pays du BRICS (Brésil, Russie, Chine, South Africa…), on constatait, que quelle qu’en fûtl’origine, les participants portaient les mêmes jeans, t-shirts, chaussures et utilisaient les mêmes smartphones et tablettes. Le Grand Remplacisme est aussi moral. La culture dominante, les « éducations nationales » modifient les valeurs.
Le Héros (chevalier, guerrier, homme de droiture, de courage, agissant avec force, faisant passer l’honneur avant l’intérêt ou le confort) est distancié, oublié, voire moqué. Il est remplacé par la victime, le faible, le handicapé, le malin.

Avec le recul je ne peux m’empêcher de penser à ce passage de Zarathoustra de Nietzsche : « Point de berger et un seul troupeau » ! Chacun veut la même chose, tous sont égaux : qui a d’autres sentiments va de son plein gré dans la maison des fous. « Nous avons inventé le bonheur » – disent les derniers hommes, et ils clignent de l’œil.

Après le dîner, un concert de musique médiévale par Roxane à la harpe, Sara au piano et Maxime à la guitare et tambourin. Nous avons écouté une douzaine de pièces de troubadours qui correspondaient si bien à notre attente d’harmonie.

Après une nuit reposée vint le dimanche. Le sujet des dernières conférences fut : Où allons-nous ? L’avenir de l’ordre mondial et la tyrannie technocratique. Comment organiser une alternative de vie pour le futur ? Accomplir le but de la vie humaine.
Comment nous permettre de survivre avec nos valeurs et nos traditions ? Est-il possible de lutter contre ce monde totalitaire tout puissant par sa technologie omniprésente ?
Renouer avec le culte des Héros, restaurer dans nos familles, nos proches, les vertus de droiture, de courage, de virilité. Refuser « l’uni-formisme », constater que si le rôle des hommes est de combattre et de produire celui des femmes est de protéger, d’instruire et d’élever (dans tous les sens du verbe).

Face à cet univers sans amour il nous faut lui tourner le dos, s’en écarter, choisir d’autres chemins. Le retour au Clan est le moyen de refuser l’individualisme forcené. De choisir un autre mode de vie et de se préparer à survivre.

Cela passe par un retour à la religiosité, à la renaissance de nos mythes ancestraux, à l’exemplarité de notre comportement devant les générations futures. Cultivons l’espérance.

J’ai passé deux journées et demi, avec un sentiment de grande liberté, d’harmonie. Tous les sujets ont été abordés, y compris ceux qui sont évoqués par les adversaires de Brigandes sur le Net. Il est si facile de salir ce que l’on craint. Joël Labruyère n’accepte pas la soumission aux pouvoirs d’État. Il montre le totalitarisme léger, discret mais sans pitié, qui cherche à étouffer la liberté de conscience, l’indépendance des pensées, les livres maudits. Alors lui comme ceux qui l’entourent doivent être salis et présentés comme malsains.

Contactez la Communauté de la Rose et de l’Épée et n’hésitez pas à participer à un prochain séjour d’étude. Vous en reviendrez enrichi. Je peux vous annoncer un weekend d’étude sur le même thème du vendredi 5 au dimanche 7 juillet sur le thème : L’origine de l’homme et sa destination selon la tradition indo-européenne.

Lieu-dit « Le Gazel » – 34330 La Salvetat-sur-Ragout
Téléphone : 04 67 97 33 82
Messagerie : communaute.rose.epee@gmail.com

Christian R.

Source : le site de ré-information NiceProvence Info :


jeudi, juin 06, 2019

Révélations pour comprendre ce monde



"Après l'Atlas du mondialisme, Pierre Hillard revient pour présenter son tome 2 intitulé "Archives du mondialisme" aux Editions Nouvelle Terre. Une somme impressionnante de documents rares pour expliquer les rivalités entre factions oligarchiques, toutes animées par un idéal commun : l'émergence d'une gouvernance et d'une monnaie mondiale, le tout en lien avec une spiritualité bien définie..."


Dans ce livre, "Pierre Hillard a voulu cibler un autre angle d'attaque permettant d'intégrer, sur le temps long, la trame pro­fonde - politique, économique, monétaire, géopolitique et spiri­tuelle - expliquant les rivalités entre factions oligarchiques. Ces dernières sont en dépit de cela animées par un idéal commun : l'émergence d'une gouvernance mondiale et l'instau­ration d'une monnaie planétaire dématérialisée, le tout en lien avec une spiritualité bien définie. Les volontés d'instaurer une sorte de Directoire mondial passent par une harmonisation des intérêts matériels plané­taires de diverses factions oligarchiques, l'ensemble reposant sur une spiritualité globale selon les canons propres à l'idéal du mondialisme. Pour illustrer son propos, l'auteur a réuni plusieurs dizaines de pièces d'archives remarquables en français, mais aussi en allemand, anglais, italien et hébreu. Tous les documents en langue étrangère y sont intégralement traduits en français afin que le lecteur puisse avoir une compréhension précise des événements passés - depuis le monde antique et hébraïque jusqu'au XXIe siècle. Ces pièces d'archives se complètent entre elles et s'avèrent exceptionnelles de par leurs révélations. Renforcée par un commentaire explicatif de plus de 220 pages, cette compilation permettra au lecteur de comprendre, à partir d'un socle d'infor­mations dûment référencées, le monde dans lequel il vit, mais aussi de mieux appréhender celui qui nous attend."

dimanche, juin 02, 2019

Des fraudes électorales ont-elles été planifiées par la loge politico-occulte au pouvoir ?


Le 26 mai à 7 h du matin, le Parisien publiait les résultats des Européennes… 

"Le matin des élections, dès 7h11, le journaliste Olivier Corsan a publié des résultats sur le journal le parisien avant l’ouverture même des bureaux de vote. Il a donné le tiercé dans le bon ordre pour les 4 premiers gagnants : RN, LREM, EELV, LR et a deviné les noms des partis qui n’obtiendraient pas 5% de suffrages. Les dés étaient donc joués avant l’élection..." Lire la suite

De nombreuses "anomalies" ont été constatées dans toute la France 


"Des bulletins absents des bureaux de vote, des électeurs qui n'ont pas pu voter car radiés sans raison des listes électorales, ou encore des tampons fantaisistes sur les cartes d’électeurs : plusieurs milliers de personnes n'ont pas pu voter normalement ou pas pu voter du tout dimanche", écrit Géraldine Houdayer de France Bleu.


La France en marche
Européennes 2019 et la victoire joyeuse de l'ordo-libéralisme

jeudi, mai 30, 2019

La plus perverse conspiration jamais réalisée


"Cet ouvrage essentiel est paru pour la première fois à Rome en 1962 et avait été distribué à tous les Pères conciliaires dans l’espoir que cette somme d’informations les prémunirait contre les tentatives de reniement annoncées de la Tradition et des vingt siècles de l’histoire de l’Eglise. Il n’en fut hélas rien.

Ce monument d’érudition historique fut en réalité, sous le pseudonyme de Maurice Pinay, l’œuvre collective de clercs sans aucun doute suscitée par des membres de la Curie restés fidèles.

Au moment où se tramait à travers le Concile Vatican II la plus perverse conspiration jamais réalisée contre la Sainte Eglise, ce livre présentait une étude minutieuse des nombreuses conspirations antérieures. En outre, cet ouvrage examine sur base des sources les plus sérieuses ce que l’on pourrait appeler la quintessence de la Maçonnerie, en étudiant la nature du pouvoir occulte qui la dirige.

Aujourd’hui encore, ce livre est une lecture obligée pour quiconque veut s’intéresser aux conjurations menées contre l’Eglise par la Synagogue de Satan et la franc-maçonnerie et aux méthodes utilisées. Le communisme, le nazisme et le sionisme y sont également analysés. Enfin, l’ouvrage traite de façon très documentée de l’infiltration de l’Eglise pour la subvertir de l’intérieur."


dimanche, mai 26, 2019

Sacrifices d'enfants, les pédo-satanistes sont protégés


"Dans le documentaire de France 3 ‘‘Viols d’enfants : la fin du silence ?’’, une fillette a déclaré qu’elle avait assisté à des sacrifices de ‘‘petits enfants qui étaient un peu arabes ou des choses comme ça’’. Dans son témoignage sur TF1 en 2001, la survivante Véronique Liaigre a affirmé : 


‘‘Les enfants qui sont sacrifiés ne sont pas déclarés, ou sont des enfants étrangers. Notamment quand j’étais sur Agen, c’était des petits africains, ils étaient noirs. Sur Jallais j’en ai vu aussi, sur Nanterre aussi, mais c’était des petits blancs, des français, mais c’était des enfants nés de viols. Des enfants nés de viols ? Oui, qui n’avaient pas été déclarés. Ce sont des accouchements qui sont fait chez les parents dans des conditions abominables. Donc, dans la mesure où ils n’étaient pas déclarés, ils étaient sacrifiés ? Voilà…’’ [...]

Le reportage ‘‘Viols d’enfants, la fin du silence ?’’ montrait le témoignage de deux enfants (10 et 13 ans) disant avoir été amenés par leur père dans des cérémonies avec des hommes et des femmes en toges.

Ces enfants ont décrit, face cachée, devant les caméras de France 3 : des séances d’hypnose, de la drogue, des tortures, des viols et des meurtres rituels d’enfants. La petite Marie décrit les sous-sols d’un grand hôtel particulier, des sortes de catacombes sous un bâtiment
chic dans Paris ou sa région, là où se déroulaient les abominations. 

Lors du débat suite au reportage, Martine Bouillon, ex substitut du procureur de Bobigny, a déclaré avoir eu connaissance de charniers d’enfants en région parisienne et qu’une instruction était en cours !
Georges Glatz, présent aussi sur le plateau, confirmera lui aussi l’existence des charniers d’enfants, en rajoutant une couche sur la réalité des snuff-movies.

Martine Bouillon sera mutée dans les 24 heures suite à cette déclaration fracassante. Elle a également affirmé lors de cette émission : ‘‘On vient de se rendre compte que la pédophilie existait… On ne peut pas encore comprendre qu’il existe encore pire que la pédophilie dirais-je ‘‘simple’’…’’. Bizarrement, ce documentaire n’est pas disponible dans les archives de France 3, mais il a été à l’époque enregistré sur VHS, puis numérisé. Il est aujourd’hui très largement diffusé sur internet. Il s’agit d’un documentaire de référence concernant les témoignages d’abus rituels." 
(Extraits du livre  d'Alexandre Lebreton MK - Abus Rituels et Contrôle Mental.)

Viols d'enfants - La fin du silence (vidéo de qualité inédite) :
https://www.youtube.com/watch?v=6gdGS... 


"Docteur Justice" - Technikart N°58 : 

POUR ALLER PLUS LOIN : 


jeudi, mai 23, 2019

Pourquoi cette haine contre les Brigandes ?




Commission d’enquête sur l’extrême droite : une Brigande dénonce un "tribunal bolchevique"


On se demande encore pourquoi le pouvoir a peur des Brigandes, cette communauté de filles chapeautées par un producteur (le vilain gourou) qui vivent de leur musique dans leur coin sans emmerder personne. Les médias dominants de gauche ont pris ces chanteuses en grippe, qui n’ont jamais fait de mal à personne malgré un chapelet d’accusations délirantes. [...]

Alors, on repose la question : pourquoi cette haine des agents du Système contre les Brigandes ?


La réponse réside peut-être dans le totalitarisme culturel de la gauche qui sent que tout est en train de basculer sur l’Internet. Les autorités ont beau avoir obtenu la fermeture du compte YouTube des chanteuses, la censure a eu un effet pervers : désormais, tout le monde connaît les Brigandes. Cependant, il est difficile d’en faire des monstres, surtout quand on voit les anges (des brunes, en majorité) que c’est.

Lire la suite de l'article ICI.

mercredi, mai 15, 2019

Bénin, libération d'un couple d'homosexuels au nom de la communauté du Dragon



Macron et la communauté du Dragon 

L’Elysée a précisé que c’est Emmanuel Macron qui a ordonné personnellement l’opération de libération des otages Patrick Picque et Laurent Lassimouillas. Opération qui s'est soldée par la mort de deux soldats d’élite :  "On se demande bien pourquoi, a fustigé le journaliste Olivier Mazerolle. Ces deux hommes sont moralement coupables de la mort de nos deux militaires et les militaires n’en pensent pas moins.” Ces deux touristes n’avaient pas à être accueillis en héros, bien au contraire !"

D'un point de vue spirituel, Macron apparaît comme un contre-initié et un défenseur de la communauté du Dragon de Sodome.




Les dragons de l'astral


"Il existe sur la dimension invisible qui correspond à notre corps émotionnel - dont découlent nos tendances sexuelles - nombre de formations énergétiques qui sont de véritables « dragons » de l’astral. Il s’agit des zones inférieures de l’astral où les désirs et les passions concentrés au fil des millénaires, ont formé des systèmes énergétiques puissants qui ont peu a peu pris leur autonomie."

Les énergies démoniaques du viol, de la pédocriminalité...

"On peut dès lors considérer ces formations énergétiques comme des démons de la sexualité, quoique certains les prennent pour les divinités du plaisir. A chacun ses goûts et ses dégoûts. Il y en a pour toutes les tendances, et les plus effrayantes de ces formations astrales sont celles qui proviennent du viol, du crime, et de l’agression envers l’innocence sous toutes ses formes."

Les démons du bas astral 


"Le désir sexuel ordinaire, qu’on dit naturel, est représenté par de nombreuses entités vampiriques qui vivent en soutirant l’énergie sexuelle de l’humanité. Ce sont les démons du bas astral, auxquels la nourriture ne fait jamais défaut tant que la reproduction de l’espèce est assurée par la voie de l’accouplement sexuel.

Bien entendu, il y a la sexualité naturelle, mais il y a aussi celle qui déborde en obsessions malsaines, générant des déviances qui nourrissent des démons grotesques et parfois abominables vivant des vices qu’ils entretiennent."




Et la continence ?

"Nul être normalement constitué n’échappe à l’emprise de ces influences astrales, et la continence alimente aussi des formations astrales comme celles du refoulement qui sont loin d’être aussi pures que le voudraient les ascètes et les abstinents.

L’hypertrophie de la fonction sexuelle dans l’humanité est une anomalie entretenue par des égrégores du bas astral. Souvent, nous ne faisons qu’obéir aux suggestions érotiques de ces entités sur notre corps du désir qui est poussé à l’acte, parfois contre notre volonté."


Désir naturel et perversité

"En dehors de l’attirance entre des êtres qui s’aiment, c’est par la stimulation d’images mentales que cette pression s’exerce, souvent de manière anormale, hors de propos, et avec une insistance qui pousse à la satisfaction à tout prix.

Il y a le désir naturel, mais il y a aussi l’obsession qui génère la perversité, la recherche de situations étranges permettant de rompre la monotonie de l’acte normal."

Générer des fantasmes pour contrôler les gens

"Notre culture marchande a vu tout l’intérêt à retirer d’une stimulation érotique quasi permanente. L’érotisme et la pornographie visent à intensifier artificiellement le désir et la pulsion sexuelle, afin de maintenir le niveau de conscience à un seuil vibratoire contrôlable par les puissances économiques, politiques et occultes.

Cela profite aux entités du bas astral qui renforcent ce processus en générant dans notre culture toutes sortes d’idées scabreuses et de fantasmes débiles. Ces idées sont reprises par les publicitaires et les créateurs qui font les modes."


Modification occulte du corps émotionnel

"Tout tourne autour de la sexualité, et des démons féroces, endormis depuis des siècles, sont restimulés - comme la pédophilie et l’homosexualité. De pratique marginale et honteuse (seulement aux yeux du peuple), elle est devenue publique et honorable, et exige de devenir une norme.

Le corps astral de l’homosexuel a subi une modification qui lui fait désirer son semblable. Au plan ésotérique, son corps émotionnel est polarisé en sens contraire du mâle ordinaire. Son désir est inversé.

Certains naissent avec cette caractéristique, héritée d’une autre vie, et d’autres la développent par l’habitude homosexuelle contractée durant leur jeunesse. Il y a évidemment diverses catégories, allant de l’homosexualité exclusive à la pratique occasionnelle."



Le matérialisme

"L’inversion du corps astral présente certaines particularités dont la plus remarquable est une liaison intensifiée avec la dimension matérielle de l’existence. Dans cette situation, le corps astral est tourné vers la matière, et les aspirations matérielles sont intensifiées, ce qui explique pourquoi les homosexuels savent s’organiser sur le plan physique grâce à leur lien avec la réalité tangible.

Cette situation est symbolisée par le « péché de Sodome » - l’attachement aux valeurs matérielles et aux jouissances sensuelles, ce qui n’exclue pas la bonté, la générosité ou d’autres qualités humaines.

Les individus ne sont pas en cause. Nous parlons de pratique sans jugement moral."



La sodomie est un très ancien rite magique

"Sur le plan occulte, la pratique de la sodomie est un acte magique qui entraîne des effets cristallisants sur les corps subtils.

Depuis l’antiquité, certains occultistes ont manipulé les jeunes gens par cette pratique afin d’obtenir leur soumission.

La sodomie peut éveiller l’énergie de kundalini, et pratiquée selon certaines règles ésotériques, elle fait dévier l’énergie vitale dans une direction voulue. C’est de la magie noire absolue, l’inversion des forces de conscience dans un but matériel."



La naissance du Dragon

"Au fur et à mesure que des êtres ont pratiqué ce « rite sexuel », depuis les temps anciens, il s’est formé une concentration énergétique sur le plan astral. Ainsi est né le dragon de l’homosexualité. Pendant un cycle d’évolution, ce dragon demeure assoupi car trop peu d’êtres sont touchés par la pratique qui lui donne sa vitalité."



Les loges répandent le culte du Dragon


"Depuis un siècle, cette tendance a été revivifiée, à partir de loges d’occultistes (souvent anglo-saxons) regroupant une élite décadente, entichée de magie sexuelle. D’abord, réservée à des initiés, la pratique s’est vulgarisée, et a touché des couches de populations jusqu’ici moralement hostiles à l’homosexualité, jusqu’à devenir une mode officialisée par l’exemple de nos « gardiens de la culture ».

En peu de temps, grâce à une campagne de subversion révolutionnaire, le dragon a considérablement augmenté en puissance. Il s’est alors élancé avec voracité à l’attaque de la jeunesse, après qu’on ait levé toute objection morale et les préjugés. On en est arrivé aujourd’hui au point où cette pratique ne peut faire l’objet d’un débat contradictoire sous peine de poursuites pour discrimination.

Cette intolérance devrait nous alerter sur le but de la propagande homosexuelle. Pourquoi le dragon ne tolère t-il aucune contestation ? Parce qu’il veut devenir une norme, et finalement LA norme.

Les psys ne tarissent plus d’éloges sur la décomplexion procurée par les « plaisirs de Sodome ». Des journaux pour adolescents expliquent « comment s’y prendre ».

Cette arrogance s’affiche sur les écrans et sur la place publique. On organise des débats autour du thème : « mieux vivre son homosexualité ». On la valorise, on la recommande, on l’impose presque en interdisant la critique au nom d’un étrange délit « d’homophobie » (Voyez ce terme). Interdiction d’expliquer que la sodomie est une pratique ayant pour but d’inverser la conscience vers le plan matériel afin d’en obtenir plus de gratification !

Est-ce là un jugement moral ? Non, mais comme ce dragon est parmi les plus virulents du monde astral, il craint qu’on démasque son but de subversion de la conscience et d’inversion des processus
naturels dans un sens strictement matérialiste. Il cache ses buts réels."


Le Dragon sera renvoyé dans les zones infernales



"La nature est ainsi faite que la vie naît de l’union des sexes opposés. L’homme et la femme symbolisent les deux principes créateurs dans l’univers. Rien ne pourra changer l’ordre naturel.

Le dragon astral de la sodomie peut dévorer ses victimes, il sera renvoyé un jour dans les zones infernales où il est né."


La Grèce antique 


"Demandons-nous ce qui est à l’origine de cette tendance sexuelle inversée ?

Pourquoi les grecs ont-ils été touchés par l’homosexualité ? C’est dans la civilisation grecque que la conscience a pris possession de la réalité tangible jusqu’à s’identifier au corps et à la matière.

Les grecs sont les premiers à avoir représenté le corps de manière réaliste, tel qu’il se présente sous sa forme apparente. Contrairement aux civilisations précédentes, ils ont cultivé l’aspect
physique de la réalité, et cela a entraîné l’idéalisation de la forme corporelle.

Avant les grecs, le corps était seulement symbolisé, comme en Egypte."



Matérialisme exacerbé

"Ce culte de la forme a entraîné un amour narcissique de l’homme pour son propre corps et pour celui de son semblable. Cet amour de soi a évolué en une philosophie qui divinise l’apparence formelle. Depuis les grecs, l’homosexualité est du matérialisme exacerbée."


Macron, prêtre du Dragon

"Refusant l’ordre naturel, l’homme s’est dit : pourquoi ne serai-je pas un dieu ici-bas, dans la nature terrestre ? Ce culte narcissique est la racine de l’homosexualité. Puisque l’union physique entre personnes de même sexe génère des énergies non intégrables dans l’évolution régulière, il s’est créé une formation astrale anormale.

Ce dragon exige désormais un statut, des sacrifices, des prêtres , bref, il veut être reconnu comme la religion de Sodome.

Aujourd’hui, rempli d’arrogance, il se sent d’attaque à dévorer la moitié du genre humain. Cela ne peut aboutir, mais en attendant, des puissances occultes tirent avantage de l’homosexualité dont les
adeptes sont les médiums d’idées décadentes nous faisant glisser dans un matérialisme étouffant et l’oubli de notre vraie nature ainsi que du but de la vie."



Sodome ou l’enfermement dans le matérialisme 

"En dehors du préjugé moral, il faut dire que cette pratique est dangereuse si on la considère sous l’angle de la conscience.

Le dragon astral veut nous enfermer dans l’impasse matérielle. C’est pourquoi nous devons l’identifier pour ce qu’il est. Les lois qui tentent de nous interdire de contester ou simplement de nous protéger de la pratique homosexuelle, préparent le règne de Sodome, l’enfermement dans un système matériel clos. La ville de Sodome est le point géographique terrestre le plus bas au dessous du niveau des mers !

Sodome symbolise le nadir de l’involution. Etymologiquement, en hébreu cabalistique, SoDoM signifie « enfermement dans le sang » - c’est une maladie de l’âme (l’âme étant liée au sang d’après la tradition biblique). L’état du sang étant le reflet de l’âme, Sodome inverse la conscience (l’esprit) qui est intimement liée à l’âme.

Le corps astral du sodomite est retourné, impropre à un développement régulier, ce qui a rendu la pratique homosexuelle prohibée dans les ordres initiatiques.

Or, certaines organisations occultes en ont fait un rituel magique pour formater des jeunes gens qui ont été placés à des postes importants dans l’administration. Cela explique pourquoi notre culture médiatique qui se veut si tolérante à ce sujet, préconise la reconnaissance de l’homosexualité et le mariage entre homosexuels. Ainsi, de fil en aiguille, on pourra justifier les adoptions d’enfants par des couples homosexuels et les bébés de laboratoires à leur usage."



L'avènement de l'ordre mondial technocratique

"Avec Sodome, la science matérialiste qui est une inversion de la Science spirituelle, est victorieuse. Elle pourra générer une race de mutants humanoïdes orientés exclusivement vers le plan terrestre. C’est le but politique de certaines loges, sinon la Gay Pride ne pourrait défiler dans les rues.

Sans une compréhension des processus ésotériques qui induisent l’homosexualité, on ne peut comprendre son impact dans notre culture, et pourquoi cette pratique est une arme révolutionnaire pour accélérer l’ordre mondial technocratique."



D'après l'article de Joël Labruyère "Le Dragon de Sodome".



Le Bénin attire les pédocriminels


« A Cotonou au Bénin, il existe plus de 1.036 sites de prostitutions qui exploitent parfois des enfants de 9 ans et plus ». Ce constat « alarmant » issu d’une récente étude a de quoi inquiéter les Organisations de la société civile (OSC) en charge de la défense des droits de l’enfant.

Réunis à Cotonou le 18 janvier 2019, le Comité de liaison des organisations sociales de défense des droits de l’enfant (CLOSE) et l’ensemble de ses partenaires ont tiré la sonnette d’alarme sur la situation de l’enfant au Bénin notamment la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants. « Au Bénin, les chiffres indiquent que 91% des enfants sont victimes de violence sous toutes ses formes. Ces chiffres très inquiétants doivent interroger nos dirigeants », a fait savoir Norbert Fanou Akpo, Coordonnateur du CLOSE et président de l’ONG ESAM (Enfants solidaires d’Afrique et du Monde).


Source :

samedi, mai 11, 2019

Interview à visage découvert d’Isadora Duncan, le Youtuber qui affole le show biz


Isadora Duncan devient une agence et recrute, écrire à tilostv@protonmail.com



Biographie de Marc Rylewski, "aussi connu sous le pseudonyme Isadora Duncan ou Isidore, est un photographe et vidéaste français né le 7 mai 1969. [...]

En 2002 il réalise le film "Killer Cop" aux États-Unis narrant l'histoire d'un policier psychotique dans une émission de téléréalité, et en 2012 le court-métrage "Children of the Revolution" pour un concours d'Arte. [...]


En 2006, il s'intéresse à l'affaire du Bugaled Breizh et ouvre un blogue consacré à l'affaire, dans lequel il se présente comme un détective privé. Il soupçonne l'affaire d'être un complot d'État. [...]

Son intérêt pour l'affaire du Bugaled Breizh le pousse à créer le procédé pour lequel il est aujourd'hui connu qui est d'interpeller des célébrités dans la rue pour leur poser des questions sur un sujet polémique..." 
Lire la suite :




Cœur de boxeur - Le vrai combat de Christophe Dettinger

"Dans son livre "Cœur de boxeur" le journaliste Antoine Peillon raconte l'histoire de Christophe Dettinger, le héros des gilets jaunes, à l'opposé des mensonges du pouvoir qui s'acharne contre lui."


Les actes et les paroles de révolte et de dignité du boxeur Christophe Dettinger sont, pour des centaines de milliers de citoyens, les symboles de leur résistance à la tyrannie de l’actuel État français.

Depuis le commencement du mouvement social et démocratique des Gilets jaunes, en novembre 2018, les violences policières ont dépassé, en nombre et en gravité, ce qu’elles ont été, en France, depuis Mai 68. Et alors que le président de la République, Emmanuel Macron, et le gouvernement d’Édouard Philippe ont basculé, mi-mars, dans une politique exclusivement répressive de toutes les protestations, les actes et les paroles de révolte et de dignité du boxeur Christophe Dettinger sont devenus, pour des centaines de milliers de citoyens, les symboles de leur résistance à la tyrannie de l’actuel État français.

Aussi, "Cœur de boxeur" établit le dossier le plus précis des exactions de ce régime d’inspiration monarchique, tout en offrant une « apologie » (au sens platonicien de « défense » et « justification ») du Gilet jaune Christophe Dettinger. Car sa force, son sens de l’honneur et sa dignité dans l’épreuve incarnent la « décence commune » célébrée en son temps par George Orwell, l’auteur de l’impérissable 1984.

Le samedi 5 janvier 2019, à Paris, à quelques pas de l’Assemblée nationale, durant l’acte VIII des Gilets jaunes, dans une ambiance très tendue, la répression de la manifestation ayant déjà commencé, Christophe Dettinger – pour défendre une dame violemment molestée par les forces de l’ordre – a boxé avec puissance et maîtrise des gendarmes mobiles casqués, bottés, harnachés comme les cuirassiers des escadrons napoléoniens.

Aujourd’hui, après plusieurs mois de détention injustifiable, le jeune homme, époux, père, ami et collègue exemplaire, ne s’est jamais dédit de sa révolte, si clairement exprimée, dès son arrestation : « Oui j’ai mal réagi, mais je me suis défendu et voilà, voilà, je voulais vous dire ça (…) : ‘‘Je suis un Gilet jaune. J’ai la colère du peuple qui est en moi. Moi, quand j’entends ‘‘les gueux’’, quand j’entends les ’’sans-dents’’, moi je me sens concerné. Peuple français, Gilets jaunes, je suis de tout cœur avec vous, il faut continuer pacifiquement, mais continuez le combat, s’il vous plait !’’ »

Alors, à sa façon, "Cœur de boxeur" continue le combat pour la dignité du peuple français.

Antoine Peillon

Cœur de boxeur 

Le vrai combat de Christophe Dettinger 

Antoine Peillon

"Cœur de boxeur" revient, dans le détail, sur « l'affaire Christophe Dettinger », du nom de ce « boxeur gitan » qui a brutalisé des gendarmes mobiles, à Paris, le 5 janvier 2019, lors de l'Acte VIII des Gilets jaunes. Affirmant qu'il a défendu une dame violemment frappée, au sol, par les forces de l'ordre, l'ex-cham­pion de France de boxe anglaise est devenu le symbole de la révolte contre les violences policières, de la résistance à la dérive monarchique d'Emmanuel Macron, mais aussi de la « décence commune », si chère à George Orwell, opposée à l'indécence extraordinaire des puissants. 

Disons-le clairement : ce livre ne promeut en aucun cas la violence, bien au contraire, et Christophe Dettinger a lui-même admis qu'il n aurait pas dû agir comme il l'a fait ins­tinctivement. Mais "Cœur de boxeur" entend montrer que, depuis le commencement du mouvement des Gilets jaunes, les violences policières ont spectaculairement dépassé ce qu'elles avaient été, en France, depuis Mai 68, et qu'elles attisent l'incendie politique. Cet essai humaniste prend donc la défense de toutes celles et tous ceux qui souffrent de n'être pas entendus, malgré leur mobilisation intrépide, par un chef de l'État qui, manifestement, les méprise.


Les droits d’auteur de "Cœur de boxeur" seront reversés à la Ligue des droits de l'homme (LDH).

Avant-propos, chapitres I et II en téléchargement libre.


Source :

mercredi, mai 08, 2019

Isadora Duncan a été embastillé

Le journaliste de rue Marc Rylewski, alias Isadora Duncan, a été interpellé le mardi 7 mai.



Le journaliste demande à Crespo-Mara : Qu'est-ce que vous pensez de Notre-Dame ? Vous allez enquêter ?

Il a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat du 15e arrondissement « dans le cadre d’une enquête ouverte du chef de harcèlement moral » sur la journaliste Audrey Crespo-Mara.



Notre-Dame de Paris, la franc-maçonnerie et d'autres questions posées à Bayrou, la "pom-pom girl de Macron"




mardi, mai 07, 2019

Macron, Cohn-Bendit et le soutien des pédocriminels


Le journaliste de rue Isadora Duncan, alias Marc Rylewski, rappelle à Daniel Cohn-Bendit son penchant pour la pédophilie et lui demande : "Est-ce que Macron veut que vous lui apportiez le réseau pédocriminel ?"

Dans un extrait de 1982 de l'émission Apostrophes, animée par Bernard Pivot, Cohn-Bendit asticote "avec gourmandise l'écrivain et journaliste Paul Guth, décédé en 1997. Il avoue avoir pris avant l'émission un "petit gâteau au hasch" et se sentir "décontracté".

Puis il évoque les jardins d'enfants alternatifs, qu'il décrivait dans son livre de 1975, Le Grand bazar. Il explique s'occuper à l'époque de "huit petits gosses de 16 mois à deux ans". "Je vais leur torcher le cul, ils vont me chatouiller et je vais les chatouiller..." - "A condition qu'il n'y ait pas trop de papouilles", proteste gentiment Paul Guth - "Oh, c'est ridicule", sourit l'ancien leader étudiant. 

"Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique"


Avant d'en remettre une bonne louche de provoc' : "La sexualité d'un gosse, c'est absolument fantastique, faut être honnête. J'ai travaillé auparavant avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique, c'est un jeu érotico-maniaque..." - "Vous me troublez", répond Guth. "Oh, non pas tant que ça car vous vous y attendiez..." rigole son interlocuteur." 

Source : https://www.lexpress.fr/actualite/politique/daniel-cohn-bendit-le-hasch-et-les-enfants_766524.html

Dans son livre Le Grand Bazar, publié en 1975 chez Belfond, Daniel Cohn-Bendit évoque son activité d'éducateur dans un jardin d'enfants "alternatif" à Francfort :

"Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ? Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même". "J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ".

Ceux qui ne reconnaissent aucun suzerain

Les simples contrôles routiers sans aucun motif de suspicion sont-ils une atteinte à la vie privée et au droit de circuler librement, voire ...