lundi, août 26, 2019

Des francs-maçons s'opposent au CRIF, l'analyse de Stéphane Blet


Assistons-nous à l'implosion de la franc-maçonnerie ?


"Stéphane Blet est un pianiste et compositeur français, né à Paris en 1969, auteur de trois cents œuvres éditées et d'une trentaine de CD. Il est également un spécialiste du symbolisme, des mouvements ésotériques et de la franc-maçonnerie, donc il fut l'un des "Maîtres". Après des années d'engagement, c'est avec soulagement qu'il en a démissionné il y a quelques années, après en avoir saisi les véritables objectifs. 

Stéphane Blet raconte dans son livre, Franc-Maçonnerie l´effroyable vérité, ce qu'il a vu, ce qu'il a compris du sens profond de la maçonnerie. Qu'est-ce qu'une obédience, une loge, un atelier ? À quoi correspondent les trente-trois degrés - pourquoi ce nombre ? - et quelles sont leurs significations symboliques ?"



Le patron du CRIF, Francis Kalifat, après le discours du président français envers le sionisme et l'antisémitisme, tient fermement le poignet d'Emmanuel Macron en brandissant son bras tel un trophée. 



The Times of Israël :

Dans un article publié samedi dernier, L’Express a révélé qu’une fraction de francs-maçons du Grand Orient de France s’était attaquée au Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

Première obédience de la franc-maçonnerie française, le Grand Orient de France (GODF) compte 53 000 membres. Leur congrès, le « convent », sera organisé les 29, 30 et 31 août 2019 à Rouen. Alors que les membres voteront pour désigner leur nouveau grand maître et pour la validation du rapport d’activité, ils décideront aussi s’ils adoptent ou non cette résolution concernant le CRIF, proposée et rédigée par une poignée de membres.

Celle-ci viserait à interdire au grand maître de participer au dîner annuel de l’organisation, ainsi qu’aux autres évènements du CRIF. Afin de justifier cette proposition de résolution, les francs-maçons ont accusé le CRIF de soutenir la « politique de l’extrême droite religieuse » en Israël, qui « conduit à des fractures et à une montée de l’antisémitisme ».


https://fr.timesofisrael.com/des-francs-macons-du-grand-orient-de-france-sattaquent-au-crif/

dimanche, août 25, 2019

Des francs-maçons des premiers degrés exigent l'interdiction du lien Grand Orient-CRIF



"Selon L’express, qui a consacré un article sur la question, des francs-maçons du Grand-Orient de France (GODF), la plus ancienne loge française et la plus importante d’Europe continentale – à laquelle appartiennent par exemple Jean-Luc Mélenchon, Jérôme Cahuzac ou encore Manuel Valls -, prendrait quelques distances avec le CRIF en raison de son soutien indéfectible envers la politique d’extrême-droite du premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.

D’après l’Express, pour la première fois, une résolution adoptée par le Grand-Orient de France vise en effet à « interdire à ses dirigeants, principalement le ‘grand maître’ de participer aux événements organisés par le CRIF, avant tout le dîner annuel » auquel prennent part nombre de personnalités politiques françaises."



Lire la suite dans Lanceur d'alerte.info :


jeudi, août 22, 2019

Le saint patron des enfants torturés et sacrifiés




Simon de Trente

par Frederik To Gaste


Le jeudi de la semaine pascale de l’an 1475, dans la ville de Trente, se déroula un drame épouvantable : un meurtre rituel dont la victime fut le petit Simon Gerber âgé de 2 ans et demi ; meurtre à propos duquel nous sommes renseignés jusque dans les moindres détails grâce aux documents du procès obtenus dans leur intégralité.

Da
ns la ville habitaient alors trois familles de "cabalistes" dont les chefs, Angelo, Tobias et Samuel se retrouvèrent à plusieurs reprises manifestant leur contrariété à l’idée de manquer de sang chrétien indispensable à la préparation des galettes azymes de Pâque.

Ce fait et la description ultérieure du crime seront donnés en toute clarté lors des séances d’audition des témoins.

Les trois "cabalistes" pressèrent un marchand "cabaliste" de passage, du nom de Lazzaro, de leur fournir un enfant chrétien. Après quelque hésitation, il se déclara d’accord pour le prix de 100 ducats et parvint à attirer, le petit Simon Gerber de 2 ans et demi, enfant particulièrement beau, dans le maison de Samuel. La nuit tombée, le crime fut accompli, auquel participèrent les 7 "cabalistes" suivants : Samuel et son fils Israël, Moïse (le vieux), son fils Mohar et son petit-fils Bonaventura, le serviteur Vitale, le cuisinier Bonaventura et le médecin Tobias. Angelo, qui avait vraiment été l’instigateur du rapt de l’enfant, n’était pas présent.

Il est intéressant de noter que la version du meurtre qui va suivre fut rapportée unanimement par les accusés, alors même qu’ils étaient gardés sous le régime d’isolement cellulaire et qu’aucun mauvais traitement corporel ne leur fut appliqué.

Nous commencerons par l’exposé du valet Vitale, particulièrement détaillé : le jour de la Pâque juive, jeudi, au crépuscule (il ne se souvenait plus exactement de l’heure), il (Vitale) était allé dans la maison de Samuel, puis dans la chambre qui faisait face à la synagogue.

Là se trouvaient aussi : Moïse, le vieux ; son fils Mohar ainsi que le fils de celui-ci, Bonaventura ; Samuel et son fils Israël ; Bonaventura, le cuisinier et Tobias, le médecin. Samuel entoura le cou de l’enfant, que le vieux Moïse, assis sur un banc, tenait sur ses genoux, d’un foulard. Moïse et Samuel tirèrent fortement sur le foulard afin d’étouffer tout cri que pût émettre l’enfant. Alors Moïse, muni d’une pince arracha un morceau de chair de la joue droite de la petite victime. Samuel et Tobias firent de même. Le sang qui s’écoulait de la joue était recueilli dans une écuelle ; Tobias et Mohar se relayaient pour récolter le sang.

Tous, y compris Vitale, avaient en main des aiguilles pour percer l’enfant, tout en articulant des paroles en hébreux qu’il ne comprit pas. Puis, avec la même pince, ils prélevèrent de la chair à l’extérieur de la cuisse droite du petit. Il ne se souvenait pas qui des deux avait été le premier à continuer ainsi l’infâme besogne, ni qui tenait ensuite l’écuelle dans laquelle s’écoulait le sang. Puis Moïse et Samuel, assis sur un banc, saisirent l’enfant et le placèrent debout entre eux, tout en le soutenant : Moïse, à la droite de l’enfant, saisit le pied de celui-ci et étendit en même temps son petit bras droit ; Samuel fit de même à gauche. Le témoin croit se souvenir que même Tobias maintenait les pieds de l’enfant ; ainsi le petit revêtait la position du crucifié. C’est alors que les autres juifs qui l’entouraient lui portèrent des estocades avec des aiguilles qu’ils avaient en main. Vitale, comme déjà dit, y participa aussi. Sous ce martyre, l’enfant expira.

L’interrogatoire aboutit à toute la clarté souhaitable, incluant les mobiles du meurtre : ainsi donc l’enfant fut tué en vue de récupérer son sang pour le mêler à la pâte dont on fait les galettes azymes qui sont consommées à Pâque. Ce sang, provenant d’un enfant chrétien serait nécessaire à chaque célébration pascale. Car il règne, dans les cercles de "cabalistes" initiés, la conviction selon laquelle le sang d’un enfant chrétien tué est de grande utilité pour le salut de leurs âmes ; mais que ce sang ne serait pas aussi efficace si on ne tuait pas la victime de la même manière que les juifs ont tué Jésus Christ ; que l’enfant peut vraiment être tué quel que soit le jour, son sang récolté, mais que le sacrifice est plus agréable à Dieu si l’expiation a lieu peu avant Pâque.

Les "cabalistes" ne seraient pas des "cabalistes" s’ils ne liaient pas leur désir de meurtre à un florissant trafic. Le procès du meurtre de Trente démontra clairement qu’il ne s’agissait nullement d’un cas isolé ; du reste les épouses de Tobias et de Mohar, auditionnées comme témoins, reconnurent encore bien d’autres meurtres auparavant. L’accusé Samuel rapporta, entre autres, que les sanguinaires marchands "cabalistes" étaient pourvus d’autorisations rabbiniques supérieures, afin que les « clients » soient sûrs de ne recevoir que du sang recueilli de manière irréprochable ; sang qui, selon les accusés, n’était pas utilisé que dans la cuisson de galettes pascales, mais aussi mélangé au vin de circonstance.

Il va de soi que, même pendant la durée du procès, s’installa une intense agitation juive afin d’obtenir la libération des accusés, occurrence coutumière que nous observons lors de tous les procès de meurtres rituels. Malgré toutes les démarches auxquelles participèrent ici exceptionnellement le pape et l’Eglise catholique, quatre des accusés furent condamnés à mort et exécutés. Le vieux Moïse, en tant que chef de la communauté, préféra se donner la mort en prison.

Pourtant l’agitation des "cabalistes" ne tarit pas, agitation qui, pour le moins, visait à disculper ultérieurement les "cabalistes" du fléau des meurtres rituels. Ils se réfugièrent avant toute chose derrière une protection papale, mais celui-ci avait été entre-temps dûment renseigné sur l’affaire ; ainsi confirma-t-il, dans une bulle extraordinaire, que la sentence des juges de Trente était équitable et inattaquable. C’est ainsi que le pape Grégoire XIII permit, cent ans plus tard, au petit Simon d’être accueilli au sein des martyrs de l’Église romaine et canonisé. 

Notes :

- Le culte de Simon de Trente, saint patron des enfants victimes d'enlèvement ou de tortures, fut aboli par Paul VI, le pape pédocriminel : LIRE Les révélations d'un ancien agent des services de renseignement du Vatican. 

- Frederik To Gaste utilise un autre mot à la place du mot "cabaliste".

mercredi, août 21, 2019

La pédocriminalité dans une communauté "dominatrice et sûre d’elle-même"

Les peintures de Biljana Djurdjevic prisées par Podesta, l'ancien directeur de campagne d'Hillary Clinton soupçonné d'appartenir à un réseau pédocriminel.


Le Général Dominique Delawarde (ancien chef "Situation-Renseignement-Guerre électronique" à l’État major interarmées de planification opérationnelle) écrit à propos de l'affaire Epstein : 


(...) les "grands malades du sexe de classe mondiale" qui se sont fait "prendre par la patrouille" : Epstein, Weinstein, Strauss Kahn... appartiennent tous, par coïncidence ?, à la communauté des gens très riches, voire milliardaires, communauté souvent insolente, dominatrice et sûre d’elle-même et de son impunité, qui évolue très au dessus du commun des mortels. Ces individus comptent, rarement à tort, sur leur argent et sur leurs relations pour s’en sortir.

Ce n’est probablement pas le dernier épisode
 du genre auquel l’opinion mondiale assiste aujourd’hui. Et peut être ne s’agit-il là que de la partie émergée de l’iceberg..."



Les révélations de Rabbi Moldavo 

« …Ils boiront le sang de leurs ennemis dont il s’enivreront, comme du vin… ».
Zacharie (Bible, chap. IX, vers. 15)

Un des témoins cardinaux, très au courant des débauches sanguinaires et des meurtres rituels d'enfants chrétiens, est "un rabbin passé à l’église orthodoxe en 1795 qui reçut lors de son baptême le nom chrétien de Théophilus, mais qui est connu sous le nom de Rabbi Moldavo". Celui-ci écrivit en 1803 un livre truffé d’accusations édifiantes, qui porte le titre « Du déclin de la religion hébraïque ».

Selon le rabbin Moldavo, une haine diabolique envers les Chrétiens se perpétue dans la communauté talmudique. "Ils croient fermement, écrit Moldavo, que cette haine est un don de Dieu et que c’est faire œuvre pieuse que de tuer les Chrétiens et de boire leur sang. Toutes ces malédictions antichrétiennes sont enseignées dès l’enfance."

Une des raisons, "qui explique l’usage du sang par (cette communauté), selon Moldavo, évidemment parfaitement au courant, réside dans leur superstition. Ils s’adonnent à la magie, à la Cabale, à la sorcellerie et à toutes sortes de pratiques superstitieuses ; pratiques diaboliques au cours desquelles ils se servent de sang chrétien."

D'après F. To Gaste, des rapports précis sur les meurtres rituels émanent de toutes les parties du monde ; aucun pays n’a été épargné par ces meurtres  : en Allemagne comme en France, en Italie comme en Angleterre ou en Palestine, des talmudo-satanistes ("Yah serait une entité démoniaque") ont mené leur artisanat criminel ; "combien, écrit To Gaste, de filles et de garçons tombèrent victimes de leurs crimes ! Combien cruel fut le procédé des tueries : un sang soutiré lentement, dans d’épouvantables tortures, au travers d’innombrables et douloureuses plaies trocardées. Souvent les pauvres enfants, maintenus en vie afin de donner autant de sang que possible, souffraient des journées entières avant d’expirer, martyrisés sans pitié par les criminels (...) qui se repaissaient de leurs tourments." 



samedi, août 17, 2019

L'hommage d'Alain Soral aux intellectuels juifs



Alain Soral réédite le livre d'Abraham Léon, "La Conception matérialiste de la question juive". 

Extrait :


Le sionisme


Le sionisme est né à la lueur des incendies provoqués par les pogroms russes de 1882 et dans le tumulte de l'affaire Dreyfus, deux événements qui reflétèrent l'acuité que commence à prendre le problème juif à la fin du XIX° siècle.

La capitalisation rapide de l'économie russe après la réforme de 1863 rend intenable la situation des masses juives des petites villes. En Occident, les classes moyennes, broyées par la concentration capitaliste, commencent à se tourner contre l'élément juif dont la concurrence aggrave leur situation. En Russie se fonde l'Association des « Amants de Sion ». Léo Pinsker écrit « l'Auto-émancipation », livre dans lequel il préconise le retour en Palestine, unique solution possible de la question juive. À Paris, le baron Rothschild, qui, comme tous les magnats juifs, considère avec très peu de faveur l'arrivée massive dans les pays occidentaux des immigrants juifs, commence à s'intéresser à l’oeuvre de la colonisation juive en Palestine. Aider « leurs frères infortunés » à retourner dans le pays des « ancêtres », c'est-à-dire à aller le plus loin possible, n'a rien pour déplaire à la bourgeoisie de l'Occident, craignant avec raison la montée de l'antisémitisme. Un peu après la parution du livre de Léo Pinsker, un journaliste juif de Budapest, Théodore Herzl, assiste à Paris aux manifestations antisémites provoquées par l'affaire Dreyfus. Il écrira « l'état juif » qui demeure jusqu'à aujourd’hui l'Évangile du mouvement sioniste. Dès le début, le sionisme apparaît comme une réaction de la petite bourgeoisie juive (qui forme d'ailleurs encore le noyau du judaïsme), durement frappée par la vague montante de l'antisémitisme, ballottée d'un pays à l'autre, et qui essaie d'atteindre la Terre promise où elle pourra se soustraire aux tempêtes déferlant sur le monde moderne.

Le sionisme est donc un mouvement très jeune ; c'est le plus jeune des mouvements nationaux européens. Cela ne l'empêche pas de prétendre, bien plus que tous les autres nationalismes, qu'il tire sa substance d'un passé extrêmement lointain. Tandis que le sionisme est en fait le produit de la dernière phase du capitalisme, du capitalisme commençant à pourrir, il prétend tirer son origine d'un passé plus que bimillénaire. Alors que le sionisme est essentiellement une réaction contre la situation créée au judaïsme par la combinaison de la destruction du féodalisme et de la décadence du capitalisme, il affirme qu'il constitue une réaction contre l'état de choses existant depuis la chute de Jérusalem en l'an 70 de l'ère chrétienne. Sa naissance récente est naturellement la meilleure réplique à ces prétentions. En effet, comment croire que le remède, à un mal existant depuis deux mille ans, ait seulement pu être trouvé à la fin du XIX° siècle ? Mais comme tous les nationalismes, et bien plus intensément encore, le sionisme considère le passé historique à la lumière du présent. C'est ainsi d'ailleurs qu'il déforme l'image du présent. Tout comme on présente aux enfants français la France comme existant depuis la Gaule de Vercingétorix ; tout comme on présente aux enfants de Provence les victoires que les rois de l'Ile-de-France ont remportées contre leurs ancêtres, comme leurs propres succès, ainsi le sionisme essaie de créer le mythe d'un judaïsme éternel, éternellement en butte aux mêmes persécutions.

Le sionisme voit dans la chute de Jérusalem la cause de la dispersion et par conséquent l'origine de tous les malheurs juifs dans le passé, le présent et le futur.

« La source de tous les malheurs du peuple juif est la perte de sa patrie historique et sa dispersion dans tous les pays », déclare la délégation marxiste du Poaley-Zion au Comité hollando-scandinave. Après la dispersion violente des Juifs par les Romains, la lamentable histoire continue. Chassés de leur patrie, les Juifs n'ont pas voulu (ô beautés du libre arbitre !) s'assimiler. Pénétrés de leur « cohésion nationale », « d'un sentiment éthique supérieur » et « d'une croyance indestructible dans un Dieu unique », ils ont résisté à toutes les tentatives d'assimilation. Leur seul espoir, pendant ces jours sombres qui ont duré deux mille ans, fut la vision d'un retour dans leur antique patrie.

Le sionisme ne s'est jamais sérieusement posé cette question pourquoi, pendant ces deux mille ans, les Juifs n'ont-ils jamais tenté réellement de retourner dans cette patrie ? Pourquoi a-t-il fallu attendre la fin du XIX° siècle pour que Herzl parvienne à les convaincre de cette nécessité ? Pourquoi tous les prédécesseurs de Herzl, comme le fameux Sebetai Zevi, s'étaient-ils vus traiter de faux messie ? 

Pourquoi les adhérents de Sabetai Zevi furent-ils férocement persécutés par le judaïsme orthodoxe ?

Naturellement, pour répondre à ces questions intéressantes, on se réfugie derrière la religion.

« Aussi longtemps que les masses croyaient qu'elles devaient demeurer dans la Diaspora jusqu'à la venue du Messie, il fallait souffrir en silence », dit Zitlovski dont le sionisme est d'ailleurs assez conditionnel. Mais cependant cette explication ne nous explique rien. Il s'agit précisément de savoir pourquoi les masses juives croyaient qu'il fallait attendre le Messie pour pouvoir « retourner dans leur patrie » ? La religion étant un reflet idéologique des intérêts sociaux, elle doit forcément leur correspondre. Aujourd'hui, la religion ne constitue nullement un obstacle au sionisme.

En réalité, aussi longtemps que le judaïsme était incorporé dans le système féodal, le « rêve de Sion » n'était précisément rien d'autre qu'un rêve et ne correspondait à aucun intérêt réel du judaïsme. Le cabaretier ou le « fermier » juif de Pologne du XVI° siècle pensait aussi peu à « retourner » en Palestine qu'aujourd'hui le millionnaire juif d'Amérique. Le messianisme religieux juif ne se distinguait en rien des messianismes propres aux autres religions. Les pèlerins juifs qui se rendaient en Palestine y trouvaient des pèlerins catholiques, orthodoxes, musulmans. Ce n'était d'ailleurs pas tant le « retour en Palestine » qui constituait le fond de ce messianisme que la croyance dans la reconstruction du temple de Jérusalem.

Toutes ces conceptions idéalistes du sionisme sont naturellement inséparables du dogme de l'antisémitisme éternel.

« Aussi longtemps que les Juifs habiteront la Diaspora, ils seront haïs par les autochtones. »

Ce point de vue essentiel au sionisme, son ossature, peut-on dire, est naturellement nuancé par ses divers courants. Le sionisme transpose l'antisémitisme moderne à toute l'histoire, il s'épargne la peine d'étudier les diverses formes de l'antisémitisme, son évolution. Cependant, nous avons vu qu'à diverses époques historiques, le judaïsme faisait partie des classes possédantes et était traité comme elles. En somme, les sources du sionisme devraient être cherchées dans l'impossibilité de s'assimiler, à cause de l'antisémitisme « éternel » et de la volonté de sauvegarder les « trésors du judaïsme ».

En réalité, l'idéologie sioniste, comme toute idéologie, n'est que le reflet défiguré des intérêts d'une classe. C'est l'idéologie de la petite bourgeoisie juive, étouffant entre le féodalisme en ruine et le capitalisme en décadence. La réfutation des fantaisies idéologistes du sionisme ne réfute naturellement pas les besoins réels qui l'ont fait naître. C'est l'antisémitisme moderne, et non pas le mythique antisémitisme « éternel » qui est le meilleur agitateur en faveur du sionisme. De même, la question essentielle qui se pose est de savoir dans quelle mesure le sionisme est capable de résoudre, non pas « l'éternel problème juif, mais la question juive à l'époque de la décadence capitaliste ».

Les théoriciens sionistes aiment à comparer le sionisme à tous les autres mouvements nationaux. Mais, en réalité, les fondements des mouvements nationaux et du sionisme sont tout à fait différents. Le mouvement national de la bourgeoisie européenne est la conséquence du développement capitaliste; il reflète la volonté de la bourgeoisie de créer les bases nationales de la production, d'abolir les survivances féodales. Le mouvement national de la bourgeoisie européenne est étroitement lié à la phase ascendante du capitalisme. Mais au XIX° siècle, à l'époque de l'efflorescence des nationalismes, loin d'être sioniste, la bourgeoisie juive était profondément assimilatrice. Le processus économique, d'où sont issues les nations modernes, posait les bases de l'intégration de la bourgeoisie juive dans la nation bourgeoise.

C'est seulement quand le procès de la formation des nations touche à sa fin, quand les forces productives se trouvent depuis longtemps à l'étroit dans les frontières nationales, que commence à se manifester le procès de l'expulsion des Juifs de la société capitaliste, que commence à se développer l'antisémitisme moderne. L'élimination du judaïsme accompagne la décadence du capitalisme. Loin d'être un produit de développement des forces productives, le sionisme est précisément la conséquence de l'arrêt total de ce développement, le résultat de la pétrification du capitalisme. Tandis que le mouvement national est le produit de la période ascendante du capitalisme, le sionisme est le produit de l'ère impérialiste. La tragédie juive du XX° siècle est une conséquence directe de la décadence du capitalisme.

C'est là que gît l'obstacle principal à la réalisation du sionisme. La décadence capitaliste, base de la croissance du sionisme, est aussi cause de l'impossibilité de sa réalisation. La bourgeoisie juive est obligée de créer de toutes pièces un état national, de s'assurer les cadres objectifs du développement de ses forces productives, précisément à l'époque où les conditions d'un tel développement ont depuis longtemps disparu. Les conditions de la décadence du capitalisme qui ont posé d'une façon si aiguë la question juive, rendent aussi impossible sa solution par la voie sioniste. Et il n'y a rien d'étonnant à cela. On ne peut supprimer un mal sans en détruire les causes. Or, le sionisme veut résoudre la question juive sans détruire le capitalisme qui est la source principale des souffrances des Juifs.

Disponible sur Kontre Kulture 

PDF gratuit ICI.

mercredi, août 14, 2019

Le mondialisme messianique a-t-il pour père Satan ?


Sources et genèse messianiques du sionisme 
De l'Europe médiévale au Choc des civilisations
de Youssef Hindi

Qui veut comprendre la situation du monde actuel, doit remonter aux sources originelles des courants d'idées sous-jacents aux grands mouvements historiques. Idées qui seront le moteur de l'action pour ces minorités proactives qui font et défont l histoire. 

Dans cet ouvrage, Youssef Hindi nous révèle les origines mystiques, jusqu'ici méconnues, du sionisme et de la doctrine stratégique du Choc des civilisations. Idéologies qui conduisent en priorité les peuples d'Orient et d'Occident, et in fine l'Humanité dans son ensemble, sur des voies essentiellement périlleuses. 

En remontant au XIIIe siècle, nous découvrons comment est né le projet du « rapatriement » du peuple juif en Terre sainte malgré l'interdiction énoncée par la Torah et le Talmud. Nous voyons ici de quelle manière ce rêve messianique a pris corps pour s'accomplir à partir de la fin du XIXe siècle dans une idéologie athéiste, le sionisme politique.


Le paradoxe théologique du judaïsme 
Comment Yahvé usurpa la place de Dieu
de Youssef Hindi

Loin de remettre en cause le monothéisme, voici un récit historique inédit du dévoiement de l'idée monothéiste par un groupe d Hébreux qui a cru bon d'adopter puis d'imposer au peuple d'Israël une divinité qui lui était alors inconnue, Yahvé. Celui-ci s'est substitué, à la suite d'un lent processus, à El, le Dieu d'Abraham, des Patriarches et des prophètes. Contrairement à une idée répandue, les Hébreux n'ont pas inventé le monothéisme, mais une partie d'entre eux l'a dévoyé. C'est ce que démontre Youssef Hindi, après avoir remonté la trace de la croyance en un Dieu Unique dans l'Antiquité la plus reculée. L'enquête nous mène aux tous débuts de l'Histoire, aux deux extrémités du Croissant fertile, de Sumer à l'Égypte, en passant par Canaan. Il nous fait découvrir les preuves écrites de la croyance en Dieu, Unique et Universel, antérieures à la Torah de plus d'un millénaire. Malheureusement le monothéisme, présent dans la Torah originelle, fut perverti par la confusion opérée entre un dieu tribal, Yahvé, et le Dieu Universel, El. Cette usurpation a donné naissance au judaïsme et à son paradoxe théologique : l'universalisation d'un dieu tribal, avec des conséquences historiquement dévastatrices.

dimanche, août 04, 2019

Les dessous de l’affaire Epstein


Le réseau pédophile de Jeffrey Epstein, milliardaire juif américain et membre du MOSSAD, exploitait des dizaines de jeunes filles mineures.

"Aujourd’hui, dit Maxime Serri, les gens ignorent ce qu’il se passe politiquement aux États-Unis par exemple, et c’est pourtant passionnant ! Une multitude de gens bien intentionnés mais toujours reniés attendaient ce qui est en train de se passer, mais beaucoup ne sont pas suffisamment renseignés ou éveillés pour réellement voir ce qui se passe. 

Pareil en matière de science. Pour faire court, nous sommes bien plus que des êtres physiques. La réalité de notre psychisme se révèle petit à petit et c’est plus beau qu’on aurait jamais osé espérer. Nous avons des capacités extraordinaires, par exemple, dans la création de notre réalité. Que dire du spirituel, avec tous ces invariants dans les religions qui racontent en fait ce qui est en train de se passer devant nos propres yeux dans notre réalité ? [...]

Aujourd’hui, avec les médias, la politique, l’industrie du divertissement, on tente de vous asséner une certaine réalité grâce à des leviers labellisés comme conventionnels. La science conventionnelle, la médecine conventionnelle, l’Histoire conventionnelle, les médias conventionnels... tout ceci est d’une tristesse et d’une rigidité ! Et aucune place n’y est laissée à ce qui sort du carcan. Tout cela abonde dans le même sens et il n’y a pas le temps de se poser de questions. Je pense que c’est intentionnel. Pourtant, en science et en médecine comme en politique et en Histoire ou dans le domaine de l’information, c’est en se posant des questions sortant des sentiers battus, en partant de postulats incroyables notamment que l’on fait de nouvelles découvertes
.


Maxime Serri est l'auteur du livre "Un Nouveau Cycle (Vers un éveil de l’humanité)". 

Maxime Serri

Ou quand les débuts d'un des idéologues des « gilets jaunes » côtoient la fin d’une des plus grandes stars du rock.

Quels secrets cachent les décès consécutifs de Chris Cornell, leader du groupe Soundgarden et de Chester Bennington, chanteur de Linkin Park ?

Quelle est l’origine du glyphe retrouvé par un agriculteur américain sur sa parcelle ?

Quelle est la nature de l’artefact archéologique retrouvé par un marcheur roumain lors d’une randonnée en montagne ?

Quels risques prend une jeune chercheuse autrichienne en recevant les enseignements d’un professeur d’université suspendu pour avoir remis en cause la version officielle des événements du 11 septembre 2001 ?

Quels enseignements retirera un jeune français de sa rencontre avec un des futurs leaders des « gilets jaunes » ?

Quelle issue un tueur à gage pour la mafia new-yorkaise trouvera-t-il au terme de contrats de plus en plus étranges ?

Au risque de se perdre, certaines de ces trajectoires viendront à se croiser, formant une toile permettant au lecteur de mieux appréhender le monde dans lequel il vit. La lumière l’attend au bout du tunnel.

jeudi, août 01, 2019

A Nantes, la fresque en hommage à Steve Maia Caniço



"(...) vérité, énoncée en 1842 : « La vie de l’agent de police est pénible ; sa position au milieu de la société aussi humiliante et méprisée que le crime même. [...] La honte et l’infamie l’enserrent de toutes parts, la société le chasse de son sein, l’isole comme un paria, lui crache son mépris avec sa paie, sans remords, sans regrets, sans pitié [...] la carte de police qu’il porte dans sa poche est un brevet d’ignominie. » Le 21 novembre 2006, les pompiers en manifestation à Paris ont attaqué les CRS à coups de marteau et en ont blessé quinze. Cela pour rappeler qu’« avoir la vocation d’aider » ne pourra jamais être une excuse valable pour intégrer la police."

Extrait de L'insurrection qui vient, PDF gratuit.

mardi, juillet 30, 2019

Un illuminati parle





La fin des grands mensonges
Christian Tal Schaller


Attention ! Ce livre est très dangereux pour les "idées reçues" qui forment la trame de notre société. Sa lecture est formellement déconseillée aux personnes conformistes qui obéissent aux autorités politiques, religieuses, médicales et scientifiques en accordant toute leur confiance aux experts officiels. Si vous voulez continuer à dormir tranquille en pensant que "tout va bien, ceux qui nous gouvernent veillent sur nous", alors jetez ce livre au plus vite avant qu'il ne sème en vous des idées subversives, révolutionnaires, suscitant une envie irrésistible de vous extraire des moules sociaux préétablis pour oser penser par vous-même ! Si vous croyez que, de nos jours, il est urgent de se délivrer de la dictature des grands mensonges qui polluent nos vies et entraînent notre société vers sa destruction, si vous voulez vivre dans la joie et la conscience, alors lisez ce livre, il est pour vous ! C'est aussi un "manuel des bons sites sur internet", ceux qui vous donnent des informations capitales pour devenir responsables !


samedi, juillet 20, 2019

Aude Favre, de la chaîne Aude WTFake, missionnée pour défendre la franc-maçonnerie



Ils veulent dissimiler la doctrine qui se propage "par l’infiltration des religions mais également de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes travaillant dans les coulisses des gouvernements et œuvrant derrière des façades démocratiques".

La religion sans nom

"La ‘‘religion sans nom’’ est le culte à Lucifer, elle se divise en plusieurs branches, Kabbalistes, Martinistes, Rosicruciens, Théosophes, Lucifériens, Gnostiques et Néo-gnostiques, etc. (toutes ces écoles se chevauchant les unes les autres)… Ses véritables adeptes (c’est à dire ceux qui sont conscients des véritables enjeux qu’ils défendent et de la guerre menée ici-bas) descendent de familles lucifériennes transgénérationnelles ou bien sont initiés et corrompus dans les hautes loges de sociétés secrètes structurées de manière pyramidale. Tous travaillent à l’établissement du règne de leur Prince, l’ange déchu Lucifer, le dieu ‘‘civilisateur’’, tandis le Dieu de la Bible serait pour eux un Dieu ‘‘destructeur’’ qu’il faut renverser. Une de leur méthode est l’infiltration et la subversion des religions, des gouvernements et des organismes importants pour y infuser patiemment et méthodiquement leur doctrine luciférienne.

Ordo ab Chao

Cela s’accompagne d’une redoutable discrétion grâce au principe de la ‘‘Massa Duma’’, la loi du silence, garantie par les états dissociatifs dans lesquels beaucoup d’adeptes sont ‘‘englués’’. Le but est de détruire l’ordre social (la nation, la famille, la religion…) et d’inverser la moralité et les valeurs traditionnelles pour imposer un nouvel ordre par la destruction : Ordo ab Chao, l’ordre par le chaos. Dans nos sociétés modernes, nous pouvons aujourd’hui constater les résultats de cette doctrine destructrice qui consiste à obtenir la ‘‘rédemption par le péché’’ ou la ‘‘sainteté à travers le mal’’. Il s’agit d’une philosophie particulièrement malsaine visant à une inversion systématique des valeurs morales ou le mal devient le bien et le bien devient le mal. Dans son livre intitulé ‘‘Le Messie Militant’’, Arthur Mandel définit ainsi cette notion de ‘‘rédemption par le péché’’ : ‘‘Ce n’est rien d’autre que la vieille idée paulino-gnostique de la felix culpa, le péché saint de la route vers Dieu passant par le péché, le désir pervers de combattre le mal par le mal, de se débarrasser du péché en péchant.’’

Derrière une façade démocratique

Ce fléau semble trouver ses racines dans les anciennes pratiques Babyloniennes et les cultes à Mystères. Une doctrine ravivée par le Frankisme et le Sabbataïsme, une dégénérescence satanique du judaïsme et de la Kabbale, fondée par les faux messies Sabbataï Tsevi (XVIIème siècle) et Jacob Frank (XVIIIème siècle). Le Sabbatao-Frankisme peut être considéré comme un proche ancêtre des Illuminés de Bavière (secte des illuminati), du sionisme, du communisme, ainsi que du fascisme. Il n’y a pas à proprement parler de culte Frankiste ou Sabbataïste puisqu’il s’agit d’une doctrine et d’une philosophie se propageant par l’infiltration des religions mais également de la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes travaillant dans les coulisses des gouvernements et œuvrant derrière des façades démocratiques." (Alexandre Lebreton, MK - Abus Rituels et Contrôle Mental)

Lectures recommandées par Alexandre Lebreton :

Un Etat dans l'Etat, le contre-pouvoir maçonnique de Sophie Coignard ;

- ROSE MAFIA de Gérard Dalongeville ;

De Serge Abad-Gallardo :

1) Secret maçonnique ou vérité catholique : Ce que j'ai découvert dans l'ombre des loges ;

2) Je servais Lucifer sans le savoir ;

- Les origines occultistes de la franc-maçonnerie, de Jean-Claude Lozac'hmeur ;

- J'étais franc-maçon, de Maurice Caillet ;


- Le livre noir des francs-maçons, de Jean Robin...


jeudi, juin 27, 2019

De la question juive


Abbé Olivier Rioult


Pour aider le juif à retrouver un sommeil paisible et pour protéger celui des autres, il fallait remonter aux origines du mal-être juif, analyser ses manifestations et en faire la synthèse. Le résultat est sidérant et une fois de plus la réalité dépasse la fiction.

Appuyée sur des faits indéniables, fondée par des citations autorisées donnant la parole aux juifs comme aux non-juifs et justifiée par des milliers de références, cette étude donne une synthèse de la Question juive aussi complète et précise que possible. Tous les points importants ont été traités, sans haine, sans faiblesse et sans tabou : de la crucifixion du Christ à la Synagogue de Satan, du Talmud aux droits de l’homme, des marranes aux Khazars, du trafic d’esclaves à l’usure banquière, du ghetto au sionisme, du communisme au noachisme, de la névrose suicidaire à l’hystérie médiatique, de l’espérance messianique au projet mondialiste, du culte de Mammon à l’adoration d’Israël, de la haine des non-juifs au génocide des nations… Deux mille ans d’histoire chaotique qui ont abouti “au siècle juif” qui, selon la formule d’un propagandiste, a vu les juifs devenir « les chouchous de l’Histoire ».

Mais, malgré ce triomphe apparent, quantité de juifs restent torturés. Ils sentent au fond d’eux-mêmes « une immense solitude », ils souffrent d’« angoisses » et sont obsédés par « des questionnements absurdes liés à la culpabilité… » Pour nombre d’entre eux, « être juif constitue un problème qui n’a pas de réponse… » Et pourtant cette réponse nous avait déjà été donnée dès le 1er siècle par l’apôtre Jean dans son Apocalypse.

La solution était là, sous nos yeux, mais on l’avait oubliée ou négligée. Ce livre n’est donc qu’une redécouverte qui éclairera par ailleurs toute la justesse de l’assertion johannique au niveau historique, théologique, philosophique, politique, moral, économique, ethnique, psychologique et eschatologique. Cette étude aura aussi le mérite de nous faire comprendre pourquoi, pour le bien et la paix de tous, des juifs comme des non-juifs, l’évêque de Linz, Mgr Gfoellner, affirmait : « combattre et briser la pernicieuse influence du judaïsme est pour tout chrétien sincère non seulement un droit légitime, mais un impérieux devoir de conscience. »


Commentaire de Ludovic Joubert :

J'ai lu plusieurs livres sur ce sujet, dont les livres de certains dissidents israéliens, comme Israel Shahak ou Gilad Atzmon. Ainsi que les livres très documentés et très denses d'Hervé Ryssen. Autant de lectures très recommandables.

Attention : si on s'intéresse à ce sujet : Israël, le judaïsme, l'histoire, la religion, et qu'on est sensible à l'exigence de vérité, il faut s'attendre à un total renversement de paradigme.

Le livre de l'Abbé Olivier Rioult est très dense, très précis, structuré, extrêmement bien écrit et donc, jamais indigeste. En introduction, plusieurs témoignages de juifs qui ont répondu à la question : qu'est-ce que c'est que d'être juif. Apparemment, c'est compliqué. Parfois, c'est déplaisant (un certain Laurent Sagalovitsch qui déclare : "qu'est-ce que ça doit être emmerdant d'être un goy !" – on le remercie de sa sollicitude)

En préambule, l'auteur précise bien que quand il écrit "les juifs", il désigne l'idéologie juive.

Le livre commence par la question de Jésus puis passe en revue de manière passionnante des notions aussi intimidantes que le talmud, l'hérésie, les marranes, l'inquisition… mais aussi la révolution bolchévique, la première et la deuxième guerre mondiale, la confiscation du droit des Etats à créer leur propre monnaie (cause de la fameuse dette des pays occidentaux), qui a commencé par les Etats-Unis et s'est poursuivie par la loi Pompidou de 1973 (Pompidou qui avait été directeur de la banque Rothschild…) et crée des contribuables, c'est-à-dire les victimes d'un racket légal mais inique, et permanent. Mais j'insiste : la lecture de ce livre reste très fluide. Et absolument passionnante quoique potentiellement bouleversante en fonction du niveau d'éducation du lecteur sur le sujet.

Difficile de commencer à évoquer ce livre sans en citer de longs passages, ce que j'éviterai.


Pour donner une idée du bouleversement qu'il peut représenter, je prendrai un chemin détourné. Il y a quelques années, j'ai lu Koba la terreur de Martin Amis, dans lequel après avoir raconté par le menu plusieurs expériences du goulag sous Staline d'une lecture assez éprouvante, Martin Amis se sentait obligé de préciser que aussi horribles et nombreuses aient été ces morts, on n'atteignait pas l'horreur des camps nazis. Pourquoi ? Parce que l'extermination des juifs était inscrite dans leur projet initial.

Cette explication m'a fait tiquer. Principalement parce qu'elle réduisait de nouveau cinquante les millions de morts de la deuxième guerre mondiale aux morts juifs (alors que par exemple dans le nord de la France, les bombardements alliés ont causé quelque 60 000 morts français) ; et aussi parce qu'elle réduisait de nouveau les victimes des camps de concentration aux victimes juives.

Or en lisant le livre d'Olivier Rioult ainsi que d'autres – par exemple, Deux siècles ensemble de Soljénitsyne (dont on trouve un résumé dans le livre d'Hervé Ryssen Les espérances planétariennes), on se donne des raisons de croire que non seulement l'extermination des juifs n'était pas forcément inscrite dès le début dans le programme nazi (Voir : accord de transfert 1933, qui établit une collaboration et des négociations entre Hitler et le mouvement sioniste, qui a duré jusqu'en 1939 ; résultat selon le livre très référencé d'Olivier Rioult : l'émigration de 60 000 juifs allemands riches vers la Palestine durant cette période), mais en plus que l'extermination des Russes réfractaires à la révolution était, elle, inscrite dans le programme communiste (principe de l'ingénierie sociale : on ne fait pas d'omelette sans casser d'œufs et la révolution n'a pas attendu Staline) ; or il s'avère que les révolutionnaires comptaient une proportion écrasante… de juifs. Hervé Ryssen a été condamné à un an de prison ferme pour avoir fait le même constat. La journaliste Elisabeth Levy dit la même chose dans son livre Les Rien-pensants. Pour une raison ou une autre, elle n'a pas attiré l'attention de la "justice".


Conférence de l'abbé Olivier Rioult : 
La question juive :
(La conférence a été CENSURÉE par YouTube.)

La vidéo de la conférence de l'abbé Olivier Rioult est sur BitChute :





mercredi, juin 26, 2019

7 mesures contre le mondialisme messianique


Les conseils de Stéphane Blet pour libérer le peuple français du mondialisme messianique et de la tyrannie talmudo-maçonnique :

1) Rétablissement du crime de haute trahison ;

2) Abrogation de la loi Pompidou-Rothschild et annulation de la dette ;

3) Dissolution des lobbies sionistes, comme le CRIF, la LICRA, l'organisation racialiste le B'nai B'rith, etc. Et, dissolution immédiate de la franc-maçonnerie, dont les initiés des hauts grades entravent la Justice et contrôlent la police ;


4) Réforme du système judiciaire et éviction des juges francs-maçons ;

5) Dissolution du Conseil constitutionnel où siègent des agents du mondialisme ;

6) Création de tribunaux populaires pour juger ceux qui trahissent le peuple français ;

7) Développer la vente directe entre les producteurs et les consommateurs afin de neutraliser les parasites du commerce des aliments.

Stéphane Blet est l'auteur du livre Franc-Maçonnerie, l'effroyable vérité.



mardi, juin 18, 2019

Le paradis parodique


Petit aperçu sur l'aspect parodique de notre société actuelle qui s'apparente à une immense singerie du paradis biblique et une inversion de l'âge d'or des Anciens. 



La contrefaçon de l’âge d’or

par Pierre-Yves Lenoble 


« Ne vous ai-je pas annoncé au sujet de l’antéchrist un fait qu’aucun prophète n’avait signalé à son peuple ? Il est borgne et il apportera avec lui une image représentant le Paradis et une autre représentant l’Enfer. Et celle qu’il vous dira être le Paradis sera l’Enfer. Je vous signale ce danger comme Noé l’avait signalé à son peuple » (Hadith extrait de Bokhâri, LX, III, 3).



On ne le répétera jamais assez : notre époque contemporaine a non seulement atteint un niveau de dégénérescence historique extrême, elle se caractérise également par une sinistre et totale inversion de la vision traditionnelle du monde. En nous référant aux mythologies et aux récits sacrés des anciennes traditions humaines, nous verrons dans cet article que notre société actuelle constitue purement et simplement une parodie du Paradis biblique ou de l’Âge d’or originel.



D’ailleurs, en prenant pour analogie la destinée de toute vie humaine, ne peut-on pas dire que la sénilité du vieillard ressemble fortement à la fragilité du nouveau-né ? L’un va bientôt mourir et sent qu’il se rapproche de la mort dans un futur au-delà, l’autre vient de naître ici-bas et sent qu’il a quitté un état antérieur plus subtil…



Or, à nos yeux, le retournement mental le plus décisif opéré par la modernité (depuis les utopies de la pseudo-Renaissance) concerne avant-tout le sens de l’histoire : les Anciens ont partout et toujours affirmé que la perfection anthropologique se situait au début des temps, jamais à la fin. A l’exception du monde moderne, tous les enseignements traditionnels ont placé les temps de béatitude et de félicité au commencement, jamais dans un futur incertain, et, par conséquent, ont tous fait état d’une « Chute de l’homme » (ou bien d’un « retrait des dieux », ce qui revient à exprimer la même idée).



Nous ne pouvons ici que citer ces sublimes mots de l’historien et ethnologue Jean Servier, extraits de son indispensable ouvrage : L’Homme et l’Invisible (R. Laffont, 1964, p. 27) : « Les traditions de toutes les civilisations ont choisi la solution de la chute. Elles en tirent toutes les conséquences. La science occidentale défend, elle, l’hominisation du singe, peut-être parce qu’il est plus facile d’être un singe « parvenu » qu’un ange déchu ».



En effet, le supérieur ne peut pas être le résultat de l’inférieur, le + n’émane jamais du –, et si Toto a dix euros en poche, il peut acheter neuf euros de bonbons mais pas onze. A ce titre, le prophète Mohammad (saw) rappelait cette vérité universelle lorsqu’il déclarait : « Il ne viendra pas d’époque qui ne soit pire que la précédente ». On ne peut être plus clair : toute forme de progressisme historique constitue une irrémédiable hérésie intellectuelle et se présente comme une inversion du court normal du temps, corrosif et constricteur. L’eau vive n’est-elle pas plus pure à sa source qu’à son estuaire ?



Aujourd’hui, à l’heure du New World Order (expression qui n’est pas due à un livre d’H.G.Wells comme le répète sans cesse P. Hillard, mais qui est tout simplement le titre de Genèse II, 9 racontant le pacte entre Dieu et Noé après le Déluge, ce qui constitue là-encore une sinistre parodie moderne), à l’heure de la sacro-sainte « Croissance » et des fumeux « lendemains qui chantent », le monde entier, sans dessus-dessous, vit en fait dans une vaste illusion plastifiée et se situe historiquement dans les bas-fonds de l’ « Âge sombre » (soit les « jours de lamentations » de la Bible, l’ « âge de fer » d’Hésiode, les « tribulations apocalyptiques » de Jean, le kali-yuga des hindous, l’ « âge du loup » des vieux scandinaves… etc.).



Ainsi donc, nous vivons actuellement dans un monde à rebrousse-poil qui se caractérise comme une singerie terminale — constituant à la fois une horizontalisation, une matérialisation et une profanation — de l’ « Âge d’or », dans ce que René Guénon dénommait explicitement « la grande parodie » ou « le carnaval perpétuel », et que le génial Aldous Huxley avait prévu il y a presque cent ans dans son énigmatique Meilleur des mondes (où il prédisait notamment l’esclavage volontaire, l’interdiction de l’amour, l’hypersexualisation de la société, la généralisation de l’évasion dans les drogues et le spectacle, la fin de la procréation naturelle, la mort de la famille, l’eugénisme industriel, l’abrutissement des masses, l’éducation sexuelle dès la petite enfance, ou encore la banalisation de l’euthanasie en transformant les morgues en fêtes foraines avec clowns et barbe-à-papas).



Dès lors, nous donnerons en vrac quelques illustrations factuelles qui nous font dire que la fin des temps est proche et que « l’Heure » annoncée par toutes les eschatologies est arrivée.



- Les projets politiques mondialistes et les divers courants néo-spiritualistes du New-Age ne représentent qu’une mauvaise imitation de la « Tradition primordiale », en remplaçant l’unité spirituelle du genre humain par une uniformisation dégradante des corps et des âmes. On peut dire ainsi que la Jérusalem terrestre, future capitale du monde selon Jacquot, n’est qu’un pastiche grossier de la Jérusalem messianique et céleste des prophètes bibliques devant acter le retour sur terre du Paradis.



- L’aviation, la conquête spatiale et la construction de gratte-ciels constituent des caricatures grossières du lien Terre/Ciel et de la facilité de communication avec Dieu qu’avaient les premiers hommes. Un célèbre hadith ne prévoit-il pas qu’à la fin du monde des tours s’élèveront dans le désert, à l’image de la tour de Babel (songeons à la gigantesque Big-Benconstruite en plein centre du sanctuaire de La Mecque ; voir à ce sujet cette vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xxcs1j) ?



- L’anglicisation générale et la multiplication des moyens techniques de communication nous renvoient au langage unique, à la « langue des oiseaux » et au « don des langues » propres à l’humanité originelle qui, dit-on, pouvait facilement dialoguer avec tous les règnes du vivant. De même, le cinéma, la télévision, internet et l’énorme pouvoir des médias ont littéralement supplanté le pouvoir sanctifiant du Verbe divin ; n’oublions pas que dans son Apocalypse (XIII, 15), saint Jean parle d’images animées par la Bête…



- La généralisation de l’homosexualité et du transgenre, virilisant les femmes et efféminant les hommes, nous rappellent étrangement la doctrine platonicienne de l’ « Androgyne primordial », conçu comme une sphère lumineuse parfaite, de la même manière que la promotion de la pornographie nous ramène à la nudité sans honte de nos proto-parents dans le jardin d’Eden.



- Le productivisme, les supermarchés et la consommation à outrance nous font penser aux fructueuses récoltes sans effort pendant l’ « éternel printemps » de l’âge d’or ainsi que le raconte, entre autres, Ovide, dans ses Métamorphoses (un mythe amérindien affirme par exemple qu’au début des temps, les fruits étaient si gros qu’il fallait une brouette pour les transporter).



- La chirurgie esthétique et les pilules-miracle anti-vieillissement se présentent comme une nouvelle forme artificielle de la « Fontaine de Jouvence » ou de la « Source de Vie » située au centre du Paradis, permettant à l’humanité primordiale d’être immortelle ou de jouir de l’éternelle jeunesse (on notera d’ailleurs que l’âge des prophètes bibliques, qui vivaient des centaines d’années au début du cycle, ne fait que décroître au fur et à mesure du récit).



- L’intelligence artificielle, le transhumanisme, et surtout le robot, en tant qu’aboutissement de l’ « homme nouveau » prôné par tous les révolutionnaires, qui incarne la figure idéale de l’homme singé, hors-sol, extérieurement augmenté et déspiritualisé (et qui bénéficie aujourd’hui de droits juridiques ; un horrible robot nommé sataniquement sophia a été la semaine dernière déclaré citoyen d’honneur de l’Arabie Saoudite, décidément à la pointe de la subversion moderne) sont des parodies matérialistes de la perfection ontologique, des hautes capacités intellectuelles et des divers pouvoirs spirituels de l’ « Homme transcendant » dans le séjour paradisiaque ; il est à cet égard intéressant d’observer que le grand historien des religions Mircea Eliade parlait déjà de « transhumanisme », seulement, ce mot était pour lui un synonyme de « sacré » et caractérisait uniquement le phénomène religieux…

Bref, à l’heure actuelle, comme le disait froidement Guy Debord dans sa Société du spectacle : « Tout ce qui était directement vécu s’est éloigné dans une représentation », soit un sordide monde à l’envers où le beau est devenu le laid, où le mensonge tient lieu de vérité, où toute qualité humaine se transforme en défaut, où les petits hommes verts ont remplacé les anges, où le fou est perçu comme un sage, et où le borgne a été sacré roi des aveugles…

Posté le 29 octobre 2017 par Pierre-Yves Lenoble


Livres de Pierre-Yves Lenoble : Métaphysique du Moyen Age : Essai métahistorique sur la destinée de l'Occident ; La dame céleste : La tradition secrète des "fidèles d'amour" islamo-chrétienne ; 
Vie et mort des civilisationsRéflexions sur le dualisme ; La métaphysique végétale ; Diablerie de foule ; Le symbolisme du «centre», Considérations métaphysiques et aspects historiques ; Le chemin vertical.
 



Jean Servier

Jean Servier remet en question les dogmes évolutionniste et matérialiste qui fondent - bien mal - la civilisation occidentale et ne visent qu'à calmer l'angoisse de l'homme blanc et à justifier son racisme. Si l'on repousse les idées toutes faites et jamais vérifiées de certains savants, les hommes apparaissent égaux en pensée d'un bout à l'autre de l'espace et du temps, et de fait, plus soucieux des choses invisibles que des biens de ce monde. Ils croient tous à la survie d'un principe invisible, l'âme, après la mort charnelle. Partout réside la même volonté de considérer l'invisible. comme la seule vraie patrie humaine, la seule dimension à l'échelle de l'homme. Face à ces certitudes, notre Occident. en cette fin de siècle, est en proie à une grande peur, qui reflète notre peur de la mort, car l'aventure humaine nous est désormais étrangère. Apprenons à écouter la voix des sages en haillons qui peuvent encore nous dévoiler leur immense richesse spirituelle. Apprenons à lire dans les humbles traces laissées parles pieds nus de nos frères le mot dé passe de toutes les initiations : ce mot est Univers, sa réponse Homme. C'est la Parole que nous avons perdue...

Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœu...