vendredi, novembre 22, 2019

Nemrod et la Tour de Babel

(Durée 24:36)

Réflexions autour de l'épisode biblique de la tour de Babel et du personnage de Nemrod qui en dit long sur les sociétés humaines arrivées en fin de cycle.


"La révolte "nemrodienne" de la caste guerrière contre l’autorité spirituelle, dit René Guénon, est inspirée par Set, qui fut en Egypte, entre autres, le "dieu à la tête d’âne", et qui, sous la forme de l’âne rouge était représenté comme une des entités les plus redoutables parmi toutes celles que devait rencontrer le mort au cours de son voyage d’outre-tombe, ou, ce qui ésotériquement revient au même, l’initié au cours de ses épreuves ; ne serait-ce pas là, plus encore que l’hippopotame, la "bête écarlate" de l’Apocalypse ? [...] En tout cas, un des aspects les plus ténébreux des mystères "typhoniens" était le culte du dieu à la tête d’âne, auquel on sait que les premiers chrétiens furent parfois accusés faussement de se rattacher [...] nous avons quelques raisons de penser que, sous une forme ou sous une autre, il s’est continué jusqu’à nos jours, et certains affirment même qu’il doit durer jusqu’à la fin du cycle actuel."

"Emmanuel Macron, ôh tête de con" (tête d'âne), chante la population en colère qui rejette Macron, son Europe nemrodienne et sa caste de banksters.



Pierre-Yves Lenoble

Cet opuscule vise à montrer qu’il existe une loi immuable qui détermine la destinée des civilisations humaines. Celles-ci, comme du reste toute chose manifestée en ce monde, passent nécessairement par ces stades successifs de développement : naissance – croissance – apogée – déclin – mort. Dès lors, le trop fameux « sens de l’Histoire » de même que les idées modernes de « Progrès » ou d’ « Évolution », ne constituent que de vulgaires fables. La progression indéfinie au sein d’un univers fini est effectivement une pure hérésie, rien n’étant éternel ici-bas. 

Ainsi, à travers cet essai, l’auteur, s’appuyant sur des sources traditionnelles diverses et variées, se propose d’affirmer les caractères cycliques et catastrophistes de l’histoire universelle. Cette morphologie historique, bien connue des Anciens, stipule que le destin des civilisations est à tout jamais fixé par des lois naturelles, pour ne pas dire par la Volonté divine, et, surtout, qu’il dépend prioritairement de la soumission intégrale de l’ensemble du groupe humain aux vérités universelles contenues dans une tradition révélée. 

En d’autres termes, et pour entrer dans le vif du sujet, nous verrons à travers cette étude que si les civilisations naissent et se développent en compagnie de leurs mythes et de leurs dieux tutélaires, celles-ci, en retour, s’effondrent et disparaissent en reniant leur sacralité fédératrice et en commettant l’erreur prométhéenne du matérialisme moderniste. La marche des temps historiques ne se déploie donc pas en ligne droite évolutive, mais bien comme une suite de vagues ou de courbes de Gauss successives, ce qui faisait dire tout simplement au grand historien grec Polybe que « Tous les organismes, tous les États et toutes les activités passent par un cycle naturel, d’abord la croissance, puis la maturité et enfin la décomposition »…

jeudi, novembre 21, 2019

Les musulmans d'Europe

(Durée 6:15)
Les "Musul-germains", musulmans des Balkans, étaient considérés comme un "peuple européen de race supérieure" par le Reichsführer-SS Heinrich Himmler et le régime nazi.

Gilles Ardinat :


"Le régime nazi n’a jamais condamné l’islam. Les musulmans présents sur les territoires conquis par l’Allemagne n’ont pas été persécutés (Kosovars, Tatars de Crimée, Caucasiens…). 

Au contraire, Hitler et ses lieutenants avaient une certaine bienveillance envers cette religion. L’Allemagne a noué, dès les années 1930, des liens secrets avec des activistes arabes du Proche-Orient (opposés à la présence britannique). 

Le Grand Mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini, militant anticolonialiste et antisioniste, fut un fidèle allié de l’Allemagne. Accueilli à Berlin et reçu par Hitler en personne en 1941, il était le parrain d’un institut islamique monté par les nazis. Cet institut assurait une propagande à destination des musulmans d’Europe et du monde arabe. 

Le Grand Mufti et les dignitaires nazis se reconnaissaient de nombreux points de convergence : détestation du monde anglo-saxon et du communisme, vision du rôle de la femme dans la société et, surtout, haine des juifs. M. Al-Husseini affirmait : “L’Allemagne combat un ennemi qui est aussi le nôtre. Ayant parfaitement saisi la nature du juif, elle a décidé d’éliminer définitivement le péril juif pour mettre un terme au mal qu’il afflige au monde entier.”

Musul-germains 

Cette entente conduisit à la création d’une unité de SS musulmans en 1943 : la division Handschar (nom du sabre recourbé typique des pays orientaux). Le Grand Mufti assura la formation idéologique de ces 20.000 SS, principalement d’origine bosniaque. Alors que les aumôniers catholiques et protestants étaient exclus de la SS, Hitler insista pour que des imams accompagnent la division Handschar. Les menus sans porc ni alcool furent instaurés et les entraînements respectaient les cinq prières quotidiennes. Himmler, chef des SS, veilla personnellement à faire respecter cette religion : “Je n’ai rien à reprocher à l’islam […] c’est une religion utile et sympathique pour un soldat.” Les idéologues nazis, considérant ces populations comme supérieures du point de vue racial, inventèrent même le concept de « musul-germains » (supposant une parenté avec les mythiques aryens)." 
Lire la suite :

Gilles Ardinat est professeur agrégé d’histoire-géographie. 




Léon Degrelle :

"kosmopolitisch aus Temperament" 


"Le Grand Mufti avait parfaitement compris ce que signifiait le racisme. 

Le terme (racisme) est devenu, surtout dans l’ivresse d’après-guerre, une injure ; il est assimilé à la haine de l’étranger ou xénophobie : mépris et volonté d’asservir et d’exproprier des peuples voisins et étrangers, propre à l’Ancien Testament et au concept messianique juif qui est son ressort permanent, passé et actuel. [...]

Les Allemands sont, au contraire, selon le mot de leur philosophe Emmanuel Kant, « cosmopolites par tempérament », « kosmopolitisch aus Temperament », (Réflexions de Kant publiées par Benno Erdmann, tome I) et s’adaptent aisément partout, avec un sens de l’hospitalité et une générosité qui n’a d’égal que leur sérieux ; alors que ce racisme désignait aussi en Allemagne, et il ne faut pas l’y confondre, une théorie de la diversité des races, et les lois de leur mélange, bien antérieure à Adolf Hitler et indépendante de lui. C’est ainsi que la « théorie des races » dénombrait plusieurs variétés mêmes sur le sol allemand, de la mer du nord et de la Baltique aux Alpes, nordiques, westiques, dinariques, ostiques, ostbaltiques, faliques, sudétiques etc. et que celles-ci se groupaient en ensemble plus vaste embrassant les nations et dépassant leur étroitesse. C’est ainsi que la nation bourgeoise hollandaise, formée politiquement autour de sa bourgeoisie capitaliste et de l’activité courtière juive, immigrée d’Espagne et du Portugal, était décrite composée d’ethnies triples franques, saxonnes et frisonnes liée au grand ensemble allemand impérial, etc. Jamais on n’a eu parlé par exemple scientifiquement dans le racisme allemand de "race allemande" ou même "blanche" comme dans le Ku Klux Klan néo-esclavagiste. On a caricaturé cette conception allemande pour des raisons de propagande, comme aujourd’hui l’on caricature le sacrifice des Palestiniens en le traitant de fanatisme ou d’attitude suicidaire. 

 Une théorie des races

Il s’agit, touchant le racisme, comme théorie des races, avant tout d’une connaissance et d’une hygiène des races humaines, de l’examen de leur diversité au sein même des constructions artificielles des Etats, car les races dépassent les frontières politiques et appellent à une fédération élargie, et du respect des cadres naturels de vie. La race était donc un facteur d’unité générique et un point commun à toute l’humanité, une sorte de lieu naturel d’où les hommes tiraient le meilleur d’eux-mêmes dans une compétition que le Coran dit bien une volonté divine."


Le racisme hitlérien

« Pour Hitler, pour nous tous, être raciste ne consistait pas à se dresser contre les autres races mais à donner à la race européenne toutes les possibilités de se fortifier, de s’épanouir, de s’embellir. Former dans un ensemble solidaire une jeunesse solide, harmonieuse, loyale, vibrante du désir de servir et de se surpasser, faire de la mère et de la famille, forte, saine, rayonnante, les joyaux de la société était un objectif juste, utile et louable. »


« Donner à l’Europe raciale son maximum d’épanouissement physique et moral n’impliquait pas le mépris des autres races. Que celles-ci se développent à leur tour dans leur personnalité rayonnante ! Qu’elles en fassent chez elles, au sein de leur propre communauté, autant que nous dans notre espace européen. »

La société marchande

« Jamais Hitler n’eût admis les mélanges raciaux que supportent si mal à présent les pays démocratiques de l’après-guerre, ayant charrié – amené vers eux comme dans un chariot , par mercantilisme, (de l’italien "mercante", le marchand, tendance à tout rapporter au commerce, au profit, à l’avantage économique.) des millions d’immigrants dépaysés, coupés de leur religion et de leur culture, objets d’aversion dès que leur exploitation industrielle devient sans intérêt économique.

C’est chez eux, dans leur milieu naturel, au sein de leur race, sur le sol millénaire de leurs peuples qu’ils avaient à s’épanouir, à retrouver ou à exalter leurs caractéristiques civilisatrices. Notre racisme tendait à les encourager avec force dans ce sens-là. Avec joie nous les eussions aidés. »

L'apport de l'islam

« C’est ce qui explique l’intérêt tout spécial que Hitler portait aux peuples de l’Islam, livrés trop souvent à la domination et au mépris des négriers étrangers qui avaient imposé à ces pays hautement civilisés leur langue et leurs mœurs. Sans les apports de ces peuples anciens, l’Europe eût sans doute pataugé dans les balbutiements d’un Haut Moyen Age qui ne se souvenait même plus de l’Athènes de Socrate et de la Rome d’Auguste. C’est l’Islam qui nous avait apporté, à Cordoue, Aristote voilà plus de dix siècles. »



Quelques livres de Léon Degrelle 
(1906-1994, journaliste, écrivain et directeur de presse engagé dans la mouvance catholique belge. Il fonda le mouvement REX et combattit dans la 28ᵉ division SS "Wallonie".) :



Léon Degrelle : persiste et signe ...

Commentaire d'un lecteur du blog : "Ce rappel historique pourra-t-il mettre en garde les nationalistes chrétiens contre l'islamophobie ? Une islamophobie qui est orchestrée par les médias sionistes afin de provoquer la guerre civile. La république maçonnique est plus proche du satanisme que l'islam qui dénonce depuis toujours le borgne menteur, le Dajjal (l'Antéchrist)."

lundi, novembre 18, 2019

J'accuse (de) Polanski

Paris, mercredi 13 novembre, des groupuscules féministes ont empêché la diffusion du film "J'accuse". Une nouvelle fois, Roman Polanski est accusé d'agression sexuelle. 

Le réalisateur juif s'est toujours victimisé en se comparant à Dreyfus. Or d'un point de vue historique, la question de l'innocence de Dreyfus n'est pas résolue.

(Durée 20:57)
Faut-il boycotter "J'accuse", le film de Polanski ?


Alfred Dreyfus reste suspect

D'un point de vue historique la question de l'innocence de Dreyfus n'est pas résolue

"En ce qui concerne Dreyfus lui-même, écrit Monique Delcroix, l'affaire d'origine, Dreyfus et le bordereau de 1894, on peut tenir pour acquis que Dreyfus a été condamné à la légère et que, en l'état du dossier tel que nous le connaissons, il serait aujourd'hui vraisemblablement acquitté au bénéfice du doute.

Faut-il y voir nécessairement une machination de l'état-major ou des services secrets ? Nous ne Je pensons pas. Répétons qu'en 1894, période où l'humiliation de la défaite de 1870 est présente dans tous les cœurs, où la France rêve de revanche sur l'Allemagne, le crime de trahison est le pire qui soit. Il révulse comme le crime de pédophilie révulse aujourd'hui et cet aspect passionnel explique une justice rapide, même s'il ne l'excuse pas. N'oublions pas non plus que Dreyfus a été condamné par un tribunal militaire, justice d'exception, justice d'Etat, dont le caractère sommaire a fait bien d'autres victimes que le célèbre capitaine.

Mais, si d'un point de vue judiciaire, l'absence de preuve de culpabilité de Dreyfus peut conduire à l'acquittement, d'un point de vue historique la question de son innocence n'est pas résolue pour autant.

La réalité d'une trahison provenant du sein même de l'état-major peut difficilement être contestée (mémento de Schwattzkoppen notamment).

Alfred Dreyfus reste suspect. Incontestablement, son écriture ressemble à celle du bordereau. Incontestablement, il cherchait à connaître des secrets militaires à la limite de son service. Incontestablement, il a été en relation avec une espionne autrichienne. Tout cela est peut-être fortuit, mais peut-être pas.

Pour être sûr de l'innocence de Dreyfus, il faudrait être sûr de la culpabilité d'Esterhazy. Et là, rien ne va plus."



Monique Delcroix

Certes, l'affaire Dreyfus a fait couler énormément d'encre depuis un siècle. Mais la quasi-totalité des ouvrages sont soumis à ce que Monique Delcroix nomme la « vulgate », c'est-à-dire une manière obligée de raconter l'histoire. Non seulement l'innocence d'Alfred Dreyfus est érigée en dogme, mais de plus un historien « correct » se doit de tenir pour établi que c'est Esterhazy qui a écrit le fameux bordereau ; que le colonel Picquart a découvert fortuitement la culpabilité d'Esterhazy ; que l'état-major a guidé et protégé Esterhazy jusqu'à son procès ; que les dreyfusards n'ont eu aucune relation avec Picquart, ni indirecte avant juillet 1897 ni directe avant janvier 1898, et strictement aucun contact avec Esterhazy. Or, rien de tout cela n'est acquis. Cette trame correspond à une simple hypothèse, à une explication de l'affaire Dreyfus qui s'avère être très contestable.

Une étude extrêmement serrée prouve que l'historiographie officielle a accumulé les silences, multiplié les dissimulations et gommé les incohérences.

Des affirmations répétées durant un siècle ne deviennent pas pour autant des vérités et dès que l'on s'affranchit du prêt-à-penser, dès que l'on sort du cadre rassurant de l'histoire toute faite, les questions affluent... C'est ainsi qu'en filigrane apparaît une autre possibilité que l'on s'est efforcé de dénigrer et de soustraire à l'étude : Esterhazy pourrait bien avoir été stipendié par les défenseurs de Dreyfus pour endosser la paternité du bordereau. Pour la première fois, cette hypothèse, qui oblige à reconsidérer le rôle de Picquart et des chefs dreyfusards, est traitée avec le sérieux qu'elle mérite.

Le présent ouvrage ne saurait pourtant être qualifié d' "antidreyfusard", car il porte également un jugement sévère sur certaines légendes véhiculées par les tenants de la culpabilité de Dreyfus.


Lire l'article de Monique Delcroix sur le livre d'Adrien Abauzit L’Affaire Dreyfus, Entre farce et grosses ficelles, un ouvrage résolument antidreyfusard :

dimanche, novembre 17, 2019

L'imposture bergoglienne

FRANÇOIS est-il un antipape ?

Le pape François, un homme de parole.

Il y a un peu plus d'un an, en septembre 2018, sortait le film "Le pape François, un homme de parole", accusé par certains d'être un film de commande, voire de propagande.   

Le film réalisé par Wim Wenders a pour objectif de rassurer les chrétiens qui constatent que "l’élection du pape François, le 13 mars 2013, est un pas de plus dans l’insertion de l’Église dans les instances mondialistes. Sitôt élu, il a reçu l’hommage des partisans du nouvel ordre mondial et du noachisme. Il est vrai que son action en Argentine a laissé de très bons souvenirs aux partisans d’un monde sans frontières. Ainsi, on peut relever l’engagement du cardinal Bergoglio en faveur de la fête juive Hanoucca. Nous pouvons citer aussi la joie de la franc-maçonnerie juive argentine, les B’nai B’rith, qui a salué l’élection de cet homme sur la chaire de saint Pierre", écrit Pierre Hillard dans Chroniques du mondialisme.

Miles Christi :

"(...) le "magistère" de François est reçu favorablement par les gauchistes, les juifs, les féministes, les laïcistes et les homosexualistes : tous les ennemis de l’Eglise et de la civilisation chrétienne se complaisent dans son message écologique, œcuménique et mondialiste. Mais il semblerait que ce "détail" n’est pas de nature à troubler l’immense majorité des catholiques. Le fait que les LGBT considèrent François "Homme de l’année" et que nos "frères aînés" (les talmudistes) qui exècrent le Christ lui tressent des couronnes semblerait être quelque chose de tout à fait naturel. Aussi naturel qu’un pape qui ne croit pas dans un dieu catholique et qui se dit prêt à baptiser des martiens. [...]

Dans la sphère spirituelle, ce qui intéresse vraiment François n’est pas l’acceptation de Jésus Christ comme Messie et Sauveur mais la déification de la conscience humaine, érigée en norme morale suprême de la vie, au détriment de l’Evangile et des commandements divins. [...]

La mission de l’église bergoglienne n’est pas celle de rendre à Dieu le culte qui lui est dû ni de guider les âmes vers le Ciel, mais bien celle de promouvoir le culte de l’homme libre, autonome et affranchi de toute norme surnaturelle et transcendante. [...]

Si l’homme est capable de faire le bien en se passant de la révélation et de la grâce, si, au bout du compte, tout le monde se sauve, y compris ceux qui rejettent Dieu et son Eglise, alors la  seule chose importante sera celle de satisfaire les besoins temporels des hommes, la question de la vérité religieuse ayant perdue toute signification. [...]

Bâtir la cité terrestre, naturaliste, égalitariste et utopiste, au détriment de la cité céleste et du salut éternel, auquel on accède seulement par la rédemption opérée par Notre Seigneur Jésus Christ, voilà le seul objectif poursuivi par François. [...]


La clarté de ses intentions saute aux yeux, tout comme sa détermination inébranlable à parachever l’oeuvre dévastatrice initiée par les néo-saints conciliaires Roncalli et Montini, les artisans du diabolique aggiornamento de l’Eglise et de la « nouvelle Pentecôte » de Vatican II."

Miles Christi est l'auteur de "Trois ans avec François, l'imposture bergoglienne". 
Miles Christi

Lorsque le 13 mars 2013 François s'adressa pour la première fois à la foule, dépourvu des ornements liturgiques pontificaux, il donna quelques signes avant-coureurs de ce qui allait se produire par la suite. Il y eut d'abord son étonnant buona sera !, salutation profane, inouïe dans la bouche d'un Souverain Pontife, et qui laissait transparaître sa volonté de désacralisation du ministère pétrinien. Cette impression fut confirmée lorsqu'il se prosterna devant la foule, lui demandant de prier pour sa personne avant de la bénir, endossant ainsi implicitement le principe révolutionnaire de la souveraineté populaire. 

Trois jours plus tard, il renouvela sa profession de foi humaniste en donnant une « bénédiction silencieuse » aux représentants des medias présents dans la Salle Paul VI du Vatican, prétextant qu'ils n'étaient pas tous catholiques ou croyants, et qu'il se devait de « respecter la conscience de chacun ». 

Le décor était déjà largement planté. La suite des événements n'a fait que confirmer la portée symbolique de ces gestes précurseurs, posés en guise de manifeste idéologique et de programme d'action. Ce modeste recueil d'articles ne prétend pas à l'exhaustivité, étant donné le caractère intarissable de son « magistère médiatique », qu'il utilise pour semer systématiquement la confusion partout où il va, fort du prestige que lui confère son investiture pontificale. Car il est vrai que l'occupant de la Maison Sainte-Marthe porte « deux cornes semblables à celles d'un agneau » (Ap. 13, 11). Mais son langage, force est de le constater, n'est autre que celui du dragon...

De son côté, Freddy Malot, fondateur d'une "Eglise Rouge", signe le brûlot "Un ANTIPAPE de plus : FRANÇOIS dernier"

"En 1835, le régime Civilisé occidental se transforme sans barguigner en son contraire : en Barbarie conquérante. [...]

Depuis 1835, ce sont deux Empires Protestants (WASP !) qui menèrent successivement la danse Barbare, précisément parce que nés d’une rupture franche avec le christianisme Latin-Papal, contrairement aux empires Catholiques (français et ibériques), qui ont bien pu apporter leur pierre aux Temps Modernes (Gallicans, Oratoriens, Jansénistes), mais toujours en traînant le boulet de Trente (1545-1547 ; 1551-1563 ; 1566 : Catéchisme) et des Chouans (1793). Seule la dialectique lève l’apparent paradoxe du phénomène. Les deux empires de Réformés dégénérés : d’abord celui de Victoria (1841), “Her Britannic Majesty” (H.B.M.) ; ensuite celui de Wilson (1917), des USA à la “Manifest Destiny” (O’Sullivan – 1845)."
Télécharger gratuitement "Un ANTIPAPE de plus : FRANÇOIS dernier"



vendredi, novembre 15, 2019

L'impérialisme américano-sioniste

"Je pense que la meilleure illustration de l'emprise d’Israël sur la politique étrangère américaine se trouve dans les déclarations faites par le président George W. Bush quelques jours après le 11 septembre 2001, ciblant sept nations. Ce chiffre de sept nations a été plusieurs fois repris depuis, par exemple par le général Wesley Clark, fils du rabbin Benjamin Jacob Kanne, qui donnait la liste suivante : « l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et pour finir l’Iran. » Or, tous les juifs savent ce que veulent dire les « sept nations » : ce sont les ennemis d’Israël voués à la destruction selon le Deutéronome (7 :1-2) et le Livre de Josué (24 :11). 

La destruction des « sept nations » ennemies d’Israël est un projet qui n’émane pas des vrais patriotes américains, mais des néoconservateurs, dont certains, je le rappelle, sont fils ou petit-fils de rabbins. Faut-il le rappeler, les néoconservateurs ne sont pas plus conservateurs que les « nouveaux chrétiens » du Moyen Âge n’étaient chrétiens : ils ont détourné le mouvement conservateur républicain, qui était traditionnellement isolationniste, pour le transformer en machine de guerre contre les ennemis d’Israël." Laurent Guyénot.


Kadhafi : victime de la domination américaine

La Libye Le chef de l’État libyen et ancien président de l’Union africaine, Mouammar Kadhafi, brutalement assassiné en 2011, était considéré comme l’un des espoirs politiques de l’Afrique. Sous son gouvernement, la Libye est devenue un exemple brillant en Afrique. 

La Libye sous Kadhafi 


⇒ Il n’y avait pas d’intérêts sur les crédits. 

⇒ L'électricité était gratuite.

⇒ L’enseignement était gratuit.

⇒ Les soins médicaux étaient gratuits.

⇒ Tous les jeunes mariés recevaient de l’Etat libyen une somme équivalente à environ 45 000 € pour s’acheter leur propre appartement et fonder leur famille. 


⇒ Une partie de la vente du pétrole libyen était versée directement sur les comptes des citoyens libyens. 

⇒ Kadhafi était sur le point de terminer le plus grand projet mondial de pipeline d’eau potable à travers le Sahara, pour assurer un meilleur approvisionnement en eau de la population et de l’agriculture.

 L’objectif de Kadhafi était de conduire les pays africains vers un nouvel avenir autonome. Toutefois, lorsqu’en 2009, il a proposé aux États africains d’introduire une nouvelle devise indépendante du dollar américain, le dinar, basé sur son équivalent en or, il est devenu, selon l’expert financier Ernst Wolff, une menace majeure pour la suprématie américaine. En effet celle-ci est basée sur le dollar, et non sur son équivalent en or. Une nouvelle monnaie influente, basée sur l’or, serait donc devenue un concurrent sérieux et donc une menace pour la suprématie américaine. C’est pour cette raison que selon Ernst Wolff le rêve d’un système monétaire indépendant et d’un nouvel avenir autonome pour l’Afrique a été perdu dans le bombardement de la coalition de guerre dirigée par les États-Unis.  

Les conséquences n’ont pas seulement été la destruction d’un pays florissant, mais aussi d’énormes flux de réfugiés qui, depuis lors, affluent en Europe via la Libye. 

Voir aussi le film documentaire « La guerre par instrumentalisation » (www.kla.tv/7896)


La croisade de Roger pour la paix mondiale et le prépuce


Rav Touitou : "C’est une excellente nouvelle que l’islam envahisse l’Europe !"
(La circoncision au huitième jour rend-elle méchant ?)

Les quotas d'immigration de Macron sont une escroquerie. L'Union européenne ne stoppera jamais l'invasion migratoire car le mélange des peuples est la pierre angulaire du mondialisme messianique. Et comme l'a martelé Sarkozy en son temps, le métissage "ce n'est pas un choix, c'est une obligation". 

Sarkozy au pouvoir n'était que le valet des sorciers du mondialisme. Roger Dommergue disait d'eux, "par l’argent ils sont maîtres des gouvernements, par la révolution maîtres des masses".

L'invasion migratoire et la destruction des nations s'accompagnent de l'inversion des valeurs. Inversion exprimée par Howard Zinn (1922 - 2010), historien, politologue américain et membre de la communauté des circoncis du 8ème jour, qui disait avec une jubilation qui rappelle les satanistes frankistes :

"Nous entrons enfin en l’ère de Sodome et Gomorrhe. En ce jour tout le monde rit aux éclats hystériques, extases sublime et anales. Le monde est tel comme l’Anus Mundi. Lucifer glousse avec toute la Hiérarchie Infernale. Car l’homme se fait avoir gravement, tel un petit bébé par Aïlel Ben Sharar, Asmodée, Samaël, Lilith, Astaroth, Marduk, Tiamat, Behemot, Léviathan, Belzébuth, Ashéra, Pazuzu, Toth, et les autres, dansant la farandole du neuvième cercle."



Qui était Roger Dommergue


4 juin 2012, un an avant son décès, Roger Dommergue écrit : "Il est important que je me situe avant le développement de cet exposé unique au monde. J’ai 88 ans et il est nécessaire que chacun puisse comprendre et constater la vérité, la sincérité absolue de mes dires et la vérité cristallisée des faits que je vais exposer après des années de réflexion et de contrôle.

Du côté de ma mère je suis né d’une très riche famille juive égyptienne qui a dû sa fortune à la banque et au coton.

On peut encore trouver à Alexandrie le palais de Ménasce, le lycée de Ménasce, l’hôpital de Ménasce, la rue de Ménasce avec la statue de mon grand-oncle le Baron Jacques de Ménasce.

En 1944 je me suis engagé volontaire contre l’Allemagne. A cette époque je ne savais rien de la Géopolitique, ce qui n’est actuellement pas le cas.

L’idée de cacher quoi que ce soit au groupe responsable auquel j’appartiens, qu’il s’agisse d’exactions ou de crimes, ne me viendrait pas à l’idée. Mais si ma conclusion, elle, semble désagréable, elle conduit à la vraie liberté, Nous parlerons de la circoncision au huitième jour qui est le plus énorme marché de dupes que l’humanité ait eu à subir.


L'antijuivisme

Ce qui est communément appelé antisémitisme (le mot antijuivisme, bien qu’insuffisant, est plus réaliste) s’est déroulé tout au long de l’histoire de l’humanité. Ils ont été chassés de tous les pays de l’Antiquité, comme de tous les pays de l’ère chrétienne. Il n’y a là aucune exception. Cette éviction dramatique a été le drame de quatre mille ans. Actuellement les paramètres de l’antisémitisme ont pris une ampleur gigantesque dont les Juifs sont parfaitement inconscients, comme ils sont inconscients que les peuples de pays différents, d’époques différentes, de langues différentes, ne peuvent en aucun cas s’être donné le mot pour les persécuter.


Le pacte du diable, couper le prépuce du bébé 8 jours après sa naissance 


 « Quant à la circoncision au huitième jour, 
ne t’en préoccupe pas, cela dépasse l’entendement. »
Le Talmud

Les Juifs n’ont pas de race : les races n’existent pas, hormis ce qu’il est convenu d’appeler race blanche, rouge, jaune et noire ; il n’existe que les ethnies qui sont le résultat de l’adaptation hormonale à un environnement géographique pendant au moins un millénaire : Pas de Chopin en Afrique et pas de spécialistes du tam-tam en Pologne. D’ailleurs, les Juifs sont très différents les uns des autres, ils n’ont aucune Unité ethnique. Ils ont parfois des traits bien particuliers, des pouvoirs spéculatifs brillants, mais ils manquent totalement de sens moral, et d’esprit de synthèse. Leur manque de scrupules et leur cruauté sont connus depuis toujours. Cela est exclusivement dû à la circoncision à la première puberté, au huitième jour de la naissance.

La première puberté dure 21 jours et va marquer celui qui est victime de cette opération hormonale pendant toute la durée de la première puberté.

Ainsi tous ces êtres ont été fatalement marqués à toutes les époques, dans tous les pays, Il est donc impensable que les humains se soient donné le mot pour les persécuter : comme le dit Bernard Lazare, « l’antisémitisme vient du Juif lui-même et pas de l’antisémite ».

Les véritables causes sont donc l’usure, qui est souvent tragique, et le « vampirisme », l’attraction vers soi-même de tout ce qui peut être pris.


Judéocratie mondiale, tous les moyens sont bons

Aujourd’hui la soi-disant démocratie, c'est-à-dire la dictature juive, dont les membres sont grassement payés par le bulletin de vote et nos impôts, a mené à une réalité tragique : par l’argent ils sont maîtres des gouvernements, par la révolution maîtres des masses.

L’énorme scandale qui se fait jour actuellement, montre qu’ils ont manipulé la Federal Reserve vers des limites qui dépassent de loin l’imagination humaine.

Six financiers juifs étaient à la tête de cette organisation dont le grand prêtre était Warburg. La Federal Reserve est strictement privée !!!


Les financiers des guerres

Au cours de ces informations sur la finance nous avons eu la confirmation que les deux guerres mondiales ont été financées par eux (il est plus que probable que la troisième sera aussi financée par eux et déclarée par le truchement du catalyseur de l’Iran, qui ne possède aucune arme atomique alors qu’Israël possède l’armement le plus sophistiqué du monde).


Les financiers du bolchevisme

Ils ont aussi financé le bolchevisme, dont le système politique fut entièrement juif, qui a liquidé trente à quarante millions de personnes. Soljenitsyne donne les noms de toutes les têtes qui ont financé et gouverné le pays y compris les bourreaux carcéraux et concentrationnaires, avec Kaganovitch en tête. Il est à noter que Staline n’a pas manqué de fusiller quelques Juifs de son élite qui ne se conformaient pas à ses visées politiques.


La traite des esclaves

A ce panorama il ne faut pas oublier de mentionner que l’esclavage du Nord au Sud a été l’apanage des Juifs et que l’immense flotte commerciale qui transportait dans l’Atlantique des nègres d’Afrique vers l’Amérique était entièrement juive. Des milliers de ces malheureux esclaves sont morts pendant ces voyages sur l’Atlantique. [...]


Le suicide de ceux qui savent

Les fonctionnaires de la police et de la justice se suicident bien souvent, précisément parce qu’ils mériteraient de vivre : ils en ont assez de voir que la Justice est l’injustice, ils en ont assez de cette délinquance boursouflée…

« Liberté, égalité, fraternité » sont juste bons pour tous les Lévy, elles n’ont aucune valeur pour les enfants parmi lesquels un d’eux meurt de faim toutes les quatre secondes ! Ce ne sont pas les Juifs de la Haute Finance et de la spéculation débridée qui changeront quoi que ce soit à ce navrant état de choses.

Supprimons à jamais la circoncision au moment de la première puberté et le cauchemar planétaire s’évanouira."

Prof. Roger Dommergue Polacco de Menasce
Extraits de "La fin du judéo cartésianisme".


PDF gratuit  "La fin du judéo cartésianisme" de Roger Dommergue Polacco de Ménasce, ICI

Roger Dommergue Polacco de Menasce, professeur français juif, philosophe, essayiste :

jeudi, novembre 14, 2019

Alexandra David-Néel, l’invention d’un mythe



Alexandra David-Néel, ni bouddhiste, ni spirituelle
(mais franc-maçonne*)


"C'est lorsque l'Europe a cessé de se concevoir comme chrétienne que le bouddhisme a commencé à devenir populaire chez nous, mais sous une forme sécularisée, où l'on insistait sur sa dimension rationnelle. Chez certains anticléricaux ou francs-maçons, notamment, on a voulu y voir une philosophie déconnectée des rites de la chrétienté. On l'ignore parfois, mais quelqu'un comme Clemenceau (franc-maçon) a été séduit par le bouddhisme. Jules Ferry (franc-maçon) aussi. Il a même préconisé son enseignement à l'école. Dans les années 1890, le musée Guimet organisait des cérémonies bouddhistes à Paris. Alexandra David-Néel (franc-maçonne) y a d'ailleurs assisté." Marion Dapsance.

Marion Dapsance et Frédéric Lenoir (un petit "philosophe" qui a profité de la bouddhamania pour vendre beaucoup de livres). Ils ont tous les deux fait leurs doctorats sur le bouddhisme à l'École pratique des hautes études, à Paris. 


Bouddha « un anti-Christ »

Dans Qu’ont-ils fait du bouddhisme ? Marion Dapsance remettait en cause la manière dont le bouddhisme est généralement présenté en Occident, c’est-à-dire comme une sorte de sagesse universelle, pouvant apporter bien-être et paix à l’humanité. Elle s’en prenait notamment à l’idéologie visant à faire du Bouddha « un anti-Christ », qu’elle fait remonter au début du XIXe siècle, au moment où l’Occident cessa d’être chrétien, avec des personnalités tel Eugène Burnouf (1801-1852), anticlérical, libre-penseur et fondateur de la Société asiatique.

L’anti spiritualité d’Alexandra David-Néel 

Prolongeant sa critique des importateurs du bouddhisme en Europe, cette anthropologue de l’École pratique des hautes études (EPHE) s’attaque (dans son dernier livre Alexandra David-Néel, l’invention d’un mythe) à « l’anti spiritualité d’Alexandra David-Néel ». Car la célèbre exploratrice, décédée en 1969 à presque 101 ans, a contribué par ses nombreux articles et livres – notamment Voyage d’une Parisienne à Lhassa en 1927 et Le Bouddhisme : ses doctrines et ses méthodes en 1939 – à diffuser un bouddhisme réinventé, conçu comme l’antithèse du catholicisme.

Enfant unique d’un couple de commerçants, la jeune Louise David, née à Saint-Mandé (Val-de-Marne) en 1868, cherchait un sens à sa vie qu’elle ne trouva pas dans le catholicisme, la religion de sa mère, même si elle songea un temps au carmel « par idéal romantique », selon Marion Dapsance.


Après s’être convertie à 20 ans au protestantisme, elle rencontra par les ouvrages de Helena Blavatsky la « théosophie moderne », fondée sur un syncrétisme à base d’hindouisme et de bouddhisme. « Louise David est restée théosophe toute sa vie, ce qui lui a permis, souligne Marion Dapsance, de bénéficier d’un réseau international de personnes partageant les mêmes centres d’intérêt et prêtes à l’assister dans ses voyages. »

Trahison de la pensée bouddhique 

C’est dans ces milieux orientalistes, marqués à la fois par l’ésotérisme et le matérialisme, que Louise David a découvert le bouddhisme à partir de 1890. Et c’est donc à travers ce prisme qu’elle l’analysa. Ce qui fait dire à l’auteure que « Louise David, occultiste athée, a joué un rôle important dans la trahison de la pensée bouddhique qui revendique précisément l’indépendance totale de l’esprit par rapport à la matière – rendant seule possible la transmigration ».

Autre spécificité de Louise David, selon Marion Dapsance : son objectif, à 30 ans, n’était ni l’épanouissement personnel ni le service d’autrui, « mais simplement la survie face à une société conçue comme aliénante ». En ce sens, elle adhéra à un club anarchiste bruxellois et s’engagea dans la rédaction d’écrits politiques et féministes – à une époque où une femme qui ne souhaitait pas se marier n’avait guère d’autre choix que de devenir une « demi-mondaine », tout en poursuivant une carrière de chanteuse sous le pseudonyme d’Alexandra Myrial.

Le panthéisme hindou, "un athéisme mystificateur et cynique"

Après avoir épousé à 36 ans Philippe Néel de Saint-Sauveur, elle continua sa vie d’errance entre capitales européennes, Asie et Afrique du Nord – elle fut un temps directrice artistique du casino de Tunis. Son mari ayant mis sa fortune à sa disposition, même s’ils ne vécurent jamais ensemble après leur mariage, celle qui est désormais connue comme Alexandra David-Néel part pour l’Inde, en 1911, avec l’intention d’écrire sur « Le Vêdanta vivant ». Elle y rencontre quelques brahmanes mais, à aucun moment, ne recherche un guru ou un guide spirituel : à ses yeux, écrit Marion Dapsance, « le panthéisme hindou est un athéisme mystificateur et cynique ».

Avec ce même manque d’estime pour ce qu’elle appelait le « lamaïsme », l’exploratrice rencontre à Kalimpong, près de Darjeeling, le 13e dalaï-lama dont elle parle comme du « pape jaune » ou du « grand manitou ». Et « lorsqu’elle constate la religiosité des peuples de Ceylan, d’Indochine et du Tibet, elle conclut, dénonce Marion Dapsance, que ces gens ne sont pas des bouddhistes authentiques
».


*) Dès 1888, Alexandra David-Néel fréquente la franc-maçonnerie et atteindra le 30ème degré dans le rite écossais ancien et accepté.



de Marion Dapsance

Alexandra David-Neel (1868-1969) est présentée comme une figure spirituelle majeure du XXe siècle. Ses longs voyages en Inde et en Asie, sa connaissance du bouddhisme et des coutumes tibétaines, son intérêt pour les philosophies orientales laissent penser que cette femme de lettres s'est engagée dans une quête mystique et a fini par adopter les croyances de l'Extrême-Orient. 


Une lecture attentive de ses écrits montre qu'Alexandra David-Néel était au contraire une matérialiste convaincue, hostile à toute forme de religion

Ce livre, fondé sur des textes connus, oubliés et inédits, retrace l'itinéraire de cette femme hors du commun. Il montre la manière dont la jeune artiste lyrique Louise David, catholique convertie au protestantisme, à l'ésotérisme fin-de-siècle, puis au nihilisme et à l'anarchisme, s'est inventé un programme de vie hétéroclite qu'elle nomma « modernisme bouddhiste » et qui lui inspira un personnage devenu mythique : Alexandra David-Néel, journaliste-orientaliste, « lampe de sagesse », « femme aux semelles de vent »


mardi, novembre 12, 2019

Pédocriminalité, l'enquête que les médias ne feront jamais

(Durée 18:01)

ARENBERG, BRUNEL, ZAMPOLLI, CLAUDE HADDAD, PEDOHELP, et éducation sexuelle...

0:25 - Fabrizio Cerina / Paolo Zampolli 
03:17 - John Casablancas, Jean Luc Brunel, Claude Haddad 
04:34 - Giuseppe Cipriani, Harvey Weinstein 
05:49 - Prince Pierre d'Arenberg, ICMEC, FAPE, Chirac 
08:25 - pedo help, association une vie, rutgers, ippf

Une enquête de RevoFsociety

 (* Le "Black Book", le carnet d'adresses de Jeffrey Epstein contient des dizaines de noms de personnalités françaises : Jean-Luc Brunel, Jacques de Crussol d’Uzès (héritier du domaine d'Uzès ), Hermine de Clermont-Tonerre (actrice et figure du gotha), Jean-Yves Le Fur (hommes d'affaires), Albert Benamou (gérant d'une galerie d’art parisienne), les princes Louis Albert de Broglie et Pierre d'Arenberg, Azzedine Alaïa (designer de mode), Marie Joseph Experton (avocate), Alberto Pinto (photographe et designer d'intérieur), Betty Lagardère (épouse de l'homme d'affaire Jean-Luc Lagardère), Edouard de Rothschild (homme d'affaires et héritier de la famille Rothschild), Jacques Grange (décorateur et architecte d'intérieur), Philippe Junot (banquier, premier mari de Caroline de Monaco)... Lire : Rothschild, Lagardère, Clermont-Tonerre : qui sont les contacts français du “Livre noir” de Jeffrey Epstein ?

Voir la vidéo de Radio Québec : 
"Epstein, les médias complices" 


lundi, novembre 11, 2019

L'immolation par le feu d'un étudiant, Macron, les sionistes parasites et criminels... Verdi explose

Un étudiant s'immole par le feu : "J'accuse Macron de m'avoir tué"

(Durée 27:10)

Le 8 novembre, un étudiant stéphanois de 22 ans, en détresse sociale, désespéré par la société imposée par Macron, s'est immolé à Lyon. Dans une lettre, il accuse Macron et le rend directement responsable de son suicide. Son corps est brûlé à 90% :

« Aujourd'hui, je vais commettre l'irréparable, si je vise donc le bâtiment du CROUS à Lyon, ce n'est pas par hasard, je vise un lieu politique, le ministère de l'enseignement supérieur et la recherche et par extension, le gouvernement.

Cette année, faisant une troisième l2, je n'avais pas de bourses, et même quand j'en avais, 450€/mois, est-ce suffisant pour vivre ?

J'ai eu la chance d'avoir des personnes formidables autour de moi, ma famille et mon syndicat, mais doit-on continuer à survivre comme nous le faisons aujourd'hui ?

Et après ces études, combien de temps devrons-nous travailler, cotiser, pour une retraite décente ? Pourrons-nous cotiser avec un chômage de masse ?

Je reprends donc une revendication de ma fédération de syndicats aujourd'hui, avec les salaires étudiant et d'une manière plus générale, le salaire à vie, pour qu'on ne perde pas notre vie à la gagner.

Passons à 32 heures de travail par semaine, pour ne plus avoir d'incertitudes vis-à-vis du chômage, qui conduit des centaines de personnes comme moi chaque année à ma situation, et qui meurent dans le silence le plus complet.

Luttons contre la montée du fascisme, qui ne fait que nos diviser et créer et du libéralisme qui crée des inégalités.

J'accuse Macron, Hollande, Sarkozy et l'UE de m'avoir tué, en créant des incertitudes que l'avenir de tous-tes, j'accuse aussi le Pen et les éditorialistes d'avoir créé des peurs plus que secondaires… »

Le 9 novembre était le 49ème anniversaire de la mort du Général de Gaulle. Un événement la plupart du temps passé sous silence dans les merdias. Pourtant, plus que jamais, il est la référence, en particulier pour combattre l’erreur de casting qu’est Macron. 

Un nouvel ordre mondial aux mains des sionistes, qui sont le parasite du judaïsme

Les oiseaux de mauvais augures qui prédisent tout et n’importe quoi ne font qu’agiter les spectres de la peur, sans fondement, notamment en parlant sans cesse d’effondrement financier. Ce faisant, ils servent les desseins du Nouvel Ordre Mondial. Un nouvel ordre mondial aux mains des sionistes, qui sont le parasite du judaïsme. [...]

11 Novembre 1918, la Première Guerre mondiale prend fin...  "Guerre voulue par les sionistes qui visaient la création d'un Etat religieux en Palestine." [...]

"Les sionistes sont derrière tous les coups bas de la planète. Ce sont eux qui sont derrière la création de groupes terroristes ; qui troublent les esprits y compris de musulmans qui se laissent abuser. [...]

En ce jour de commémoration de la fin de la Première Guerre mondiale, Verdi est catégorique : "c'est à cause des sionistes qu'il y a eu des millions de morts supplémentaires (durant la Première Guerre mondiale). Des millions de vies auraient pu être épargnées si les sionistes n'étaient pas intervenus en 1917. En 1917, le Kaiser, empereur d'Allemagne, demande à négocier. Les Rothschild interviennent et incitent à la capitulation totale des Allemands en échange de la création d'un Etat juif en Palestine." Pour affaiblir l'Allemagne, les Britanniques, complices des sionistes, feront durer la guerre au prix de millions de vies. 

Le sionisme mondialiste est criminel. Son Nouvel Ordre Mondial est une entreprise satanique.

Verdi dénonce souvent le Nouvel Ordre Mondial. A partir de 17:55, il en fait un résumé particulièrement clair et désigne aussi les principales institutions qui participent à ce plan démoniaque.

Lecture :

Les illusions perdues
Angelo Diano

De plus en plus d’êtres humains sont en grande souffrance matérielle et morale. La manipulation des esprits par les puissants médias, que sont la télé et internet, via les réseaux sociaux, annihile les velléités de révolte contre les injustices. Elle endort les consciences, déboussole les femmes, désoriente les gens. L’ultra-libéralisme fait des ravages à travers le monde, pour le profit d’une poignée d’exploiteurs. 

Au cours des dix dernières années, la France s’est cherchée un président à la hauteur des enjeux. Sarkozy a été chassé en 2012, après un quinquennat calamiteux. Hollande, un faux homme de gauche, l’a remplacé, en poursuivant la même politique destructrice du tissu social. Comble de l’ironie, en voulant dégager les politiciens profiteurs, qui ont encombré les trente dernières années, les Français ont porté Macron au pouvoir, un sémillant technocrate, qui a la caractéristique d’être d’abord le président des riches et le défenseur de la finance ! 

Comme ses deux derniers prédécesseurs, l’ex-banquier d’affaires Macron est avant tout un serviteur zélé du capitalisme débridé, maintenu coûte que coûte par les Etats-Unis, un pays dont le comportement hégémonique menace le monde. 

Ce livre est un recueil des articles de l’auteur, publiés sur Agoravox, sous le pseudonyme de Verdi.


Agents de la finance apatride coupables de haute trahison.
(...) ceux de la synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent...  (Apocalypse 3/7-9)

L'exhumation de Franco, une vengeance talmudo-maçonnique


La dépouille de Franco a été exhumée le 24 octobre 2019. Il était porté par 8 membres de sa famille, dont l'héritier du trône de France, Louis de Bourbon, qui est son arrière-petit-fils français. 

Le corps de Franco a été transféré au cimetière de Mingorrubio, dans le nord de Madrid. Son exhumation était voulue par Pedro Sanchez. 

Le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez est considéré comme un agent de la franc-maçonnerie pour l'Espagne. Son programme politique contient tout ce que le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.) exige : l'idéologie du genre, l'interdiction de la petite propriété privée (Rothschildo-Marxisme ou nouveau féodalisme mondial des ultra-riches dépossédant le peuple-serf), bien entendu la christianophobie, etc.

L'exhumation de la dépouille de Franco, le dictateur anti-maçonnerie, apparaît nettement comme une vengeance talmudo-maçonnique.



FRANCO CONTRE LA FRANC-MAÇONNERIE


Le seul chef d’Etat d’après-guerre à dénoncer dans un discours public la Maçonnerie !

Son père en était, écrit-il de la Franc-maçonnerie introduite comme partout par l’Angleterre, dans un de ses articles parus depuis le 14 décembre 1946 jusqu’au 3 mai 1951 dans le journal de la Phalange, « Arriba » (debout, par allusion au cri antiséparatiste et antibolcheviste « Arriba Espana ! ») sous le pseudonyme de Jakim Boor, au temps du blocus, (que taisent aujourd’hui les historiens de cour, n’évoquant que le refus du Plan Marschall pour l’Espagne), formé contre l’Espagne, et qui ont été réunis dans un livre, paru en 1952, à Madrid, intitulé Masoneria (Grafica Valera.), lisible sur la toile (cf : Massoneria).

Après avoir surmonté cet obstacle et en dépit de l’assassinat, le 20 décembre 1973, du successeur par lui désigné, l’amiral Carrero Blanco (né en 1903 à Santonia, en Cantabrie, au nord de l’Espagne) dans un terrifiant attentat madrilène dont seule la C.I.A. avait les moyens, l’Espagne, à la mort du prétendu dictateur, en fait, chef de la nation, tenait un rang important, dans les dix premières nations de puissance atomique et industrielle, enviable, dont l’expérience intéressera, en particulier, l’Iran ; et, grâce au syndicalisme phalangiste, avec une protection sociale permettant des loyers modérés et donc la possibilité pour des jeunes familles, à la différence d’aujourd’hui, de se former pour l’avenir de la race espagnole dont l’idéal demeura toujours, au cour des âges, aristocrate.

Il nommait son action pendant la « guerre civile » de 1936 à 1939, la guerre de libération, et la dictature, entendue comme tyrannie, s’entendait de la Maçonnerie et de son allié communiste.

Il faut retenir aussi, qu’en pleine terreur dont des Basques aveuglés, – y compris dans les séminaires plus « rouges » que chrétiens – étaient l’instrument, avec l’E.T.A., laquelle avait frappé même des policiers hors service, dont un garde-civil père de famille dans une pâtisserie où il achetait des gâteaux pour les siens, alors que des défilés « parisiens » se formaient, Mitterrand en tête, pour protester de leur antifascisme, – croisade de la City pour épuiser et conquérir les peuples par le terrorisme !-, le généralissime espagnol fut le seul chef d’Etat d’après guerre, à proclamer, comme il l’a fait au balcon de la place madrilène d’Orient, le 1er octobre 1975 que :

« tout obéit à une conspiration maçonnique gauchiste dans la classe politique en collusion avec la subversion communiste terroriste dans le social »


(« Todo obedece a una conspiración masónica izquierdista en la clase política en contubernio con la subversión comunista-terrorista en lo social »), devant une foule en liesse, tous âges confondus, saluant la conclusion du discours à la romaine en chantant « Cara al Sol con la camisa nueva… » (« Face au soleil avec la chemise neuve… », écrit en collaboration, par José Antonio et mis en musique par le compositeur basque Juan Tellera, 1895-1949). En réponse aux exécutions légales des terroristes avérés, les bâtiments des représentations espagnoles avaient été attaqués en Europe, l’Ambassade au Portugal prise d’assaut et complètement brûlée, après que ce pays ait versé, avec la « Révolution des œillets » (Revolução dos Cravos, 25 avril 1973), dans la démocratie maçonnique.


Le discours est tronqué, mais on entend bien dans la bouche d’un Franco affaibli par une insuffisance coronarienne qui devait l’emporter, le mois suivant, le 20 novembre, le mot de « contubernio » (collusion) qui désigne le lien, si remarquable aujourd’hui et particulièrement en Syrie, entre maçonnisme et terrorisme islamo-bolcheviste, à savoir d’un bolchevisme aux couleurs islamiques, et gouvernements maçonnisés, de Londres à Ankara !

La santé du Chef de l’Etat soigné à son domicile où il continua son activité, surveillé à distance par ses médecins, fut, comme ils le reconnaissent, rapidement altérée par les soucis causés par le Roi du Maroc Hassan II, d’une dynastie hautement maçonnisée, mobilisant des civils pour envahir le Sahara espagnol, et, par la défense papale (celle de Paul VI qui avait des sympathies naturelles, familiales mêmes, pour l’entité sioniste qu’il visita, comme premier pape, et reconnut), des cinq ou six terroristes fusillés en septembre pour l’assassinat de policiers.

Un excellent témoignage en est fourni dans la video suivante :




Le séparatisme, œuvre maçonnique de désagrégation !

Qu’il soit dit, à l’intention des dupes du séparatisme favorisé par les Georges Soros « de tous les pays » mais qui n’ont qu’une volonté de maintenir leur tyrannie par un désordre contrôlé et perpétuel, que la tradition politique espagnole est celle d’une unité du divers des peuples qui la composent. Cela se voit dans les opinions droites ou principes d’action et directives du mouvement de la Phalange espagnole de Jose Antonio. Sa sœur Maria Pilar qui resta insensible jusqu’à sa mort aux sollicitations de la démocratie désorganisatrice qui n’accouche que du chaos, a, dans ses Mémoires d’une Vie (« Recuerdos de una Vida », 1983, Editions DYRSA, Madrid, 447pp.) établi, dans l’esprit du programme de la révolution nationale, la politique ou le fonds de la pensée active phalangiste sur ce thème : de citer son frère s’exprimant ainsi le 29 octobre 1933 au Théâtre de la Comédie madrilène, pour la fondation du Mouvement :

« Que tous les peuples d’Espagne (Que todos los pueblos de Espana…), pour divers qu’ils soient (por diversos que sean), se sentent harmonisés dans une irrévocable unité de destin (se sentian armonizados en una irrevocable unidad de destino). » (op.cit. p.59)

Contre ce sentiment se mobilisa la Maçonnerie, qui ici prêchait la sécession, et là écrasait comme en France néo-jacobine, radical-socialiste etc… les pays, qui sont autant de piliers ou d’arcs qu’en porte une cathédrale, sous le poids d’une organisation tyrannique, fiscale, théiste en paroles et en fait athée, avec son temple froid de la fraternité ou solidarité abstraite, sans charité, mais égoïste et rapace.



Discours de la Place d’Orient





Extraits du discours :

« Espagnols ! Merci pour votre adhésion et pour la sereine et virile manifestation publique que vous m’offrez en réparation aux agressions dont ont été l’objet plusieurs de nos différentes représentations diplomatiques et établissements espagnols en Europe, qui nous démontrent une fois de plus ce que nous pouvons espérer de certains pays corrompus, ce qui éclaire parfaitement leur constante politique contre nos intérêts. Mais ce n’est pas le plus important, mais bien ce qui se présente sans son apparence, la prise d’assaut et la destruction de notre Ambassade au Portugal survenus dans l’état d’anarchie et le chaos dans lequel se débat la nation frère, et rien ne nous tient plus à cœur que soient rétablis chez elle l’ordre et l’autorité [el orden y la autoridad]. Tout obéit à une conspiration maçonnique gauchiste dans la classe politique en cheville avec la subversion communiste terroriste dans le social, en sorte que tout ce qui pour nous est honneur, chez eux est dégradation. .Ces manifestations démontrent, par ailleurs, que le peuple espagnol n’est pas un peuple mort, dont on se moque. Celui-ci s’est réveillé et garde sa raison, et sa confiance en la valeur des forces gardiennes de l’ordre public, et en la garantie suprême des forces de terre, de mer et de l’air, en appuyant la volonté de la nation; permet au peuple espagnol de reposer tranquillement. A l’évidence, le peuple espagnol est redevenu aujourd’hui quelque chose dans le monde. Arriba Espana ! »

Après la seconde guerre mondiale, les « frères » en question, celui qui proposa le blocus onusien, Trygve Lie (33ème degré), et le Président des U.S.A. et atomiseur du Japon (de deux villes chrétiennes), Harry Truman (1884-1972, initié le 9 mai 1909, Grand Maître de La Loge du Missouri), frères espagnols et mexicains, entre autres furieux, crurent pouvoir ainsi étrangler l’Espagne par la faim et un blocus industriel, par exemple de pièces détachées, pour aider à l’instauration d’une démocratie selon leurs vœux.

Notre défunt ami catalan français Jean Roux, qui organisait chaque année un repas des « Anciens » et dont l’épouse échappa, jeune fille, aux massacres et tortures des Rouges immigrés d’Espagne exerçant leur œuvre sadique à la Citadelle de Perpignan, en 1944, en passant les Pyrénées, grâce à la Garde Civile qui sauva de nombreux proscrits français, s’était réfugiée chez son frère à Barcelone – nous rappelait l’action des nationaux du Roussillon pour rompre ce blocus. Jean Roux parla plus tard, avec foi, à la radio iranienne.



L’Angleterre initiatrice de la Maçonnerie en Espagne, et du blocus de 1946

L’Angleterre et la France à sa suite, avec un gouvernement démocrate-chrétien (Mouvement Républicain Populaire M.R.P.), en prirent l’initiative ; mais l’Angleterre, plus subtile et réaliste, rompit avant la France le blocus. Ce fut le contraire de leurs espoirs qui se produisit : toute la nation espagnole, avec ses peuples, comme un principe spirituel aimantant l’énergie des âmes, se souda autour de Franco, tels les Syriens autour de Bachar El Assad ! Et alors la dirigeante communiste, secrétaire générale puis présidente du Parti de 1942 à 1989, la basquaise rouge Dolores Ibarruri (1895-1989, par ailleurs, comme il faut savoir, de famille catholique et de père politiquement de la faction monarchiste dite carliste), réfugiée chez Staline et ses successeurs, fulmina, croyant entrer pour y régner en souveraine avec comme bijoux la faucille et le marteau, sans qu’elle eût pu néanmoins dépasser des spécialistes en la matière, comme la moldave Hannah Rabinsohn (1893-1960, mariée Pauker), en Roumanie, ou l’avocate ministresse de la justice, Hilde Lange (1902-1989) surnommée « la Guillotine Rouge », mariée Benjamin (parent de Walter Benjamin de l’Institut de Marxisme mieux connu sous le nom « d’École de Francfort »), en zone allemande centrale soviétisée. La soi-disant République espagnole exilée au Mexique où sévit longtemps un parti gouvernemental trostkyste, le Parti Révolutionnaire Institutionnel, crut arrivé le jour de la restauration du carnaval d’avant-guerre.

Mais le pays tint bon, et ce fut le général Perón (1895-1974) qui força le blocus (sa formule « Salvamos Espana ! ») de la faim. Le secrétaire de Léon Degrelle (1906-1994), feu Raimond Van Leeuw, nous conta dans son appartement madrilène où il devait nous présenter son ami patriote castillan Alberto Torressano (dont le père fut secrétaire du ministre et beau-frère de Franco et intime de José Antonio, le plus que centenaire Ramon Serrano Suner, 1901-2003), avoir vu dans de très nombreux pueblos ou villages en fête dansant, priant et chantant, la réception grandiose de la tenace et belle Eva surnommé affectueusement Evita Duarte, mariée Perón, morte jeune (1919-1952), seconde épouse du chef de l’Etat argentin, deux fois veuf, laquelle fit, en deux semaines, du 9 au 26 juin 1947 (sauf erreur), le tour du pays la remerciant de l’entrée des viandes, céréales et autres produits dans le pays mère. « Tout ce que Truman nous refuse, Peron nous l’accorde », lit-on dans la presse. L’Argentine, par le port de Cadix, avait permis à l’Espagne, berceau de son hispanité, de briser ce complot ignoble visant à son abaissement définitif.

C’est dans le climat de lutte pour l’existence espagnole que le général Franco rédigea des études réunies dans ce livre érudit, brillant et énergique, empreint d’une haute spiritualité, dont nous détaillons quelques points :

A. L’introducteur anglais, en Espagne, de la maçonnerie, le duc de Wharton 
(art. du 5 février 1947) :

« L’implantation de la maçonnerie en Espagne coïncide avec sa décadence. Felipe Wharton, premier et dernier duc anglais de Wharton, vrai escroc et aventurier, la fonda en 1728. Tous les attraits et les vices étaient thésaurisés par ce personnage. Marié en secondes noces en Espagne avec Teresa O’Byrne, fille du colonel du régiment irlandais Hiverni, au service de l’Espagne, et dame d’honneur de la Reine espagnole. Il fut blessé devant Jibraltar (ainsi écrit dans l’original) en combattant ses compatriotes, nommé colonel adjoint du régiment irlandais, au moment où l’Angleterre le répudiait pour trahison. Il se convertit aussi au catholicisme, à l’article de la mort, fonda la première loge à Madrid sous obédience et en bonne relation avec la Grande Loge de Londres. A Madrid, il s’éleva par l’appui de la noblesse, accumulant prestige social et influence politique. Mais la personne du duc de Wharton, beau, généreux, éloquent, érudit intelligent, ambitieux, menteur, pillard, voleur et ivre, comme le qualifient les historiens de la nation anglaise, mérite bien, comme père de notre maçonnerie, un chapitre à part. »


B. Le contraire de la démocratie 

(5 Janvier 1947)


Cette appréciation de Franco est originale et arrache le masque démocratique à cette organisation criminelle qui assassine ses propres membres désobéissants, et de donner l’exemple de l’amiral Darlan. Il y revient en un autre endroit :

« La maçonnerie se montre ainsi le plus grand ennemi de la démocratie. La démocratie est publique, la maçonnerie est secrète ; la démocratie reconnaît des droits, la maçonnerie les écrase (los avasalla) ; la démocratie pose en principe le libre-arbitre des associations politiques, la maçonnerie les assujettit au serment et à la peine de l’irradiation ou, le cas échéant, de mort, sur l’ordre de ses supérieur (…) Le maçon est obligé d’obéir à l’encontre de sa propre convenance, des intérêts sacrés de sa patrie et des impératifs de sa propre foi. On profite de la démocratie pour trahir la démocratie. Aucun pays n’échappe habituellement au phénomène. »



C. L’entité sioniste


Jamais Franco ne reconnut l’entité sioniste, et celle-ci ne le fut que par le socialiste Felipe Gonzales : d’une part Franco suivait la politique de l’Eglise catholique romaine qui, conformément au dit droit romain, jusqu’à ce que Paul VI rompit avec cette sagesse (pour des raison bien personnelles), refusait alors tout Etat qui n’avait point de frontières déclarées. Ce qui est toujours le cas de cet « Etat » ; et d’autre part, le Caudillo avait ses propres raisons exposées dans son article du 9 juillet 1950 :

« Un autre point névralgique de cette infiltration soviétique que la maçonnerie nous offre est celle de l’Etat d’Israël où, sous prétexte de créer un Etat confessionnel juif, on a procédé à une concentration d’éléments athées du centre de l’Europe et des bas -fonds internationaux [y de los bajos fondos internationales], lesquels viennent en taxant de pharisiens et d’arriérés les ministres et représentants du culte mosaïque (ou mosaïste). Ce qui voulait être un Etat juif fondé sur les vieux moules du judaïsme international, se convertit en un foyer de concentration de gens sans foi et sans racine [foco de concentración de gentes sin fe y sin arraigo} ouverts aux consignes et aux influences étrangères. »



D. Le serment de passage au 16e degré du rite écossais : restituer Jérusalem aux Hébreux 

(art. 9 juillet 1950, Manœuvres maçonniques) :

« Une fois de plus la Russie profite de l’état de choses que la maçonnerie lui offre pour servir ses intérêts. La Russie connaît la grande influence du judaïsme dans la politique américaine…, la présence dans de nombreux gouvernements européens de membres importants des sectes maçonniques, le serment prêté par eux au passage des grades XV à XVI de « chevalier de l’Orient ou de l’épée et des princes de Jérusalem » respectivement : « de restituer au peuple hébreu tout ce qu’il a perdu par la force », et en attendant aidait et soutenait les attentas terroristes de Stern au Proche-Orient, travaillait dans les réunions internationales pour favoriser les idéaux sionistes qui mettraient des bombes dans le camp de ses ennemis, donc pour la Russie, avant la guerre et après la guerre, les nations qui ne s’y soumettent pas sont toujours ses ennemis.

Rien de plus soucieuses que les nations occidentales à maintenir la paix et l’ordre au Moyen-Orient : mais aucune non plus plus intéressée que la Russie à créer un centre de dissociation dans le front uni qu’offre le Proche-Orient aux ambitions de l’expansion soviétique. Le moment ne pouvait être plus favorable. La création d’Israël fut un accouchement soviétique [un parto sovietico]. Ainsi tout comme dans le cas de Lie [maçon norvégien et agent stalinien], l’on a également Ben Gourion avec la complexité de sa double nationalité, lequel déjà avec des noms différents a milité dans les rangs communistes.

Ne perdons pas de vu le mince Etat d’Israël, lequel, si petit que soit son contenu, est ambitieux dans ses aspirations, qui atteignent les limites de l’Euphrate, que pour si disparate que celui-ci nous paraisse, existe, laquelle alimente le feu qui peut un jour se convertir en incendie dévorant à travers lequel font irruption les tanks des barbares modernes ! »


E. L’assassinat de l’amiral Darlan à Alger, conflit entre maçonnerie anglaise et U.S. 

(art. 14 décembre 1946)


L’amiral François Darlan (7 août 1881-24 décembre 1942) était une personnalité politique et militaire de famille républicaine maçonnisée, comme l’establishment de la IIIe République. Franco examine les raisons de son assassinat par un jeune écervelé monarchiste Bonnier de la Chapelle manipulé par des forces obscures et lui-même immédiatement fusillé :

« L’assassinat de Darlan fut réalisé par la maçonnerie. Comme l’Intelligence Service, la maçonnerie jouait son rôle dans les guerres. Darlan maçon, contre les ordres de la maçonnerie , était passé pour être l’homme des Etats-Unis, et devait disparaître, comme tant d’autres personnages importants pendant le conflit .La présence de Darlan en Afrique et sa nomination comme chef suprême, privait De Gaulle considéré par les Anglais comme leur homme, de l’appui des uniques forces sur lesquelles la France comptait jusqu’à présent; la nord-africaine. Il fallait que disparaisse l’obstacle. »



F. La maçonnerie française et sa carte de l’Espagne amoindrie (ibidem) :

« De M. Jouhaux (1879-1951, syndicaliste parisien, Prix Nobel de la Paix, fondateur de Force Ouvrière), un des organisateurs principaux des Brigades Internationales dans notre guerre de Libération, nous ne pouvions pas espérer autre chose; l’esprit anti-espagnol et de mauvais voisinage de la maçonnerie française depuis de nombreuses années que nous en souffrons, a été un moyen dont se prévaut la nation française pour supprimer une frontière. Mais non contente de cela, elle aspirait à plus, et le chemin de son chauvinisme et de ses ambitions, est arrivé durant notre guerre de Libération à distribuer pour le sud de cette fameuse feuille avec une carte de notre région pyrénéenne attenante avec sa frontière, dans laquelle dans le fleuve Aragon s’unissent au nord de Huesca deux zones, la Catalogne à l’Est et à l’Ouest, le Pays Basque (Vasconia) ; l’Espagne interposée entre les deux, apparaît marquée au sud. Des lettres éloquentes se détachaient sur le dessin, en bleu : « Une Espagne forte est une mouche dans la nuque de la France »; et il était alors à aider les rouges. »



G. La puissance maçonnique bridée par les fascismes 

(art. Sous la dictature maçonnique, 19 août 1949) :


« A la grande crise dont souffrit la maçonnerie avec la montée de Mussolini et d’Hitler qui firent accéder au gouvernement de leurs nations de nouveaux politiciens, en leur quasi totalité étrangers à la maçonnerie (en su casi totalidad extranos a la masonería) succéda cette autre période de revanche maçonnique (periodo de revancha masonica) dans laquelle maçons et politiciens prennent le Pouvoir, et, profitant de la période d’exception immédiate d’après guerre, au croisement des tribunaux populaires et des actions illégales d’éliminatio , visent la disparition ou l’incarcération, sous prétexte de collaboration, des intellectuels et des patriotes qui étaient leurs adversaires: la persécution de Maurras, la prison prolongée du vénérable Maréchal vainqueur de Verdun [né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais) et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l’île d’Yeux] et le cruel refus de l’allègement de sa condamnation obéissent à la passion sectaire et à la décision des loges maçonniques. Parmi les milliers de personnes éliminées en France clandestinement et sans procès une grande proportion correspond aux adversaires de la maçonnerie ou d’éléments radiés par elle. »

Pierre Dortiguier




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