Le Mossad et ses collabos français
Jacob Cohen : Les sayanim – informateurs en hébreu – sont des juifs de la diaspora qui, par « patriotisme », acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l’aide nécessaire dans le domaine de leur compétence. (Ils sont quelques milliers en France mais personne ne les connaît. Leur existence est niée. Leur force vient justement de leur infiltration secrète dans tous les secteurs de la société. Ils agissent en citoyens français, mais en réalité ils travaillent pour une puissance étrangère.) [...]
La puissance médiatique du lobby pro-israélien
JC : Je suis d’assez près l’actualité proche-orientale, et je consulte les médias des 2 bords. Et je suis sidéré, presque fasciné, par la puissance médiatique du lobby pro-israélien. Et comment il arrive à faire rentrer dans les esprits, jusqu’à devenir des banalités admises, des concepts comme « la seule démocratie de la région », ou tellement aberrants, comme « assurer la sécurité d’Israël ».
Le fait de savoir que des sayanim sont en grande partie le moteur de cette propagande permet une lecture plus lucide et plus pertinente de l’actualité. [...]
Un million de sayanim
JC : En France ils seraient près de 3000. Ostrovski, ex-agent du Mossad, estime leur nombre à 3000 rien qu’à Londres. On peut imaginer leur importance aux Etats-Unis. Mais le « réservoir » est infini. Si on associe le B'nai Brith (franc-maçonnerie juive internationale), la WIZO (organisation internationale des femmes sionistes), les organisations judéo-sionistes nationales, comme l’UPJF, l’UEJF, le CRIF… en France, ainsi que les sympathisants, on arrive facilement au chiffre de un million de juifs prêts à travailler pour le Mossad.
(Le B’nai B’rith, la franc-maçonnerie juive mondiale, forte de 500 000 membres, représente un réservoir inépuisable dans lequel le Mossad puise ses futurs « sayanim ». Mais on peut devenir « sayan » sans être lié au B’nai Brith.)...
Pour en savoir plus sur les sayanim :
Jacob Cohen