lundi, février 22, 2021

Isabel Medina Peralta, pour la division Bleue et le fascisme

Contre la finance apatride et le plan talmudo-maçonnique de domination mondiale. 

(1:40)
"Silencio en la nieve" 
Trailer español

"La légion Azul espagnole sur le front de l'Est pendant la seconde guerre mondiale. Et une enquête difficile qui fait référence à l'Espagne franquiste, au rôle de la Phalange et des francs-maçons."


Brianajane écrit : 

Isabel Medina Peralta, la conférencière de 18 ans à la chemise phalangiste, est devenue une tendance sur les réseaux sociaux grâce à son discours antisémite en hommage aux morts de la Division Bleue. Elle se sent "fasciste ou national-socialiste" et croit en "une patrie et une justice pour le peuple". Elle n’a pas une référence politique, mais dit "assez".

Et elle cite Ramiro Ledesma Ramos, "l’unique fondateur du fascisme en Espagne, ou du national-socialisme, car en fait c’est ainsi qu’elle se définissait au début". Elle nomme également Juan Aparicio, co-fondateur des JONS ; "Bien sûr", à Benito Mussolini, Adolf Hitler, Giovanni Gentile "et d’autres théoriciens de mon idéologie", comme le philosophe nazi chilien Miguel Serrano. A propos de José Antonio Primo de Rivera, elle dit avoir "une telle admiration" que "chaque année je vais dans la Vallée des Caídos le 20 novembre pour lui rendre hommage".

Elle ne s’identifie pas à Vox, "en fait, je déteste Vox plus que Podemos", dit-elle.

Lire la suite :

ISABEL MEDINA PERALTA : "J’AI DONNÉ MA VIE AU FASCISME."
Churchill avait exprimé son admiration vis-à-vis de Mussolini en janvier 1926, dans un discours adressé à des hauts fonctionnaires du Trésor.

(...) Churchill avait une position ambiguë vis-à-vis de Mussolini et, même après la guerre, il continua, sinon à soutenir, tout du moins à fermer les yeux sur Franco et son régime. Pareille attitude trouvait une explication dans un anti-communisme dont il ne devait jamais se départir même si, pour des raisons d’opportunisme stratégique, il choisit de le mettre entre parenthèses entre juin 1941 et mai 1945, ou peut-être même un peu avant cela. (Source)


Conception spiritualiste 
(du fascisme)
 
Aussi bien ne comprendrait-on pas le fascisme dans beaucoup de ses manifestations pratiques, soit comme organisation du parti, soit comme système d'éducation, soit comme discipline, si on ne le considérait en fonction de sa conception générale de la vie. Cette conception est spiritualiste. Pour le fascisme, le monde n'est pas ce monde matériel qui apparaît à la surface, où l'homme est un individu isolé de tous les autres, existant en soi et gouverné par une loi naturelle qui, instinctivement, le pousse à vivre une vie de plaisir égoïste et momentané.

Dans ce qu'on appelle l'homme, le fascisme considère la nation et la patrie, les individus et les générations se mouvant unis dans une même tradition et dans une même mission, par une loi morale qui supprime l'instinct de la vie maintenu dans le cercle étroit du plaisir, pour instaurer dans le devoir une vie supérieure, libérée des limites du temps et de l'espace : une vie où l'individu, par l'abnégation de lui-même, par le sacrifice de ses intérêts particuliers, par la mort même, réalise cette existence toute spirituelle qui fait sa valeur d'homme.

Extrait du livre de Benito Mussolini, La doctrine du fascisme.

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Vidéo : Initiation scabreuse d'une fillette
L'Espagne commence à se réveiller 



"Ils veulent votre âme"

  Henry Makow : "Ils veulent nos âmes. Les mondialistes veulent nous faire subir à tous ce que les Israéliens font aux Palestiniens. Et...