jeudi, mai 30, 2024

Hollywood: islamophobia and buddhamania





L’islamophobie et la bouddhamanie ont en commun Hollywood. On ne peut nier que le cinéma hollywoodien est un outil de propagande de l'empire américano-sioniste.

Les Etasuniens ont fait preuve de beaucoup de bienveillance à l’égard du lamaïsme. Du cinéma aux milieux universitaires en passant par les librairies, le bouddhisme magique du Tibet a rencontré partout le succès. Même le lieu de villégiature officiel du président des Etats-Unis, le Naval Support Facility Thurmont, plus connu sous le nom de Camp David, fut renommé Shangri-La par le président Roosevelt. Shangri-La est le nom tibétain de Shambhala.

Shambhala est au centre de l’ésotérisme politique des lamas. Après avoir exterminé les ennemis de la "Bonne Loi", les armées de Shambhala instaureront un nouvel ordre mondial.

"Le Kalachakra tantra", le texte sacré des lamaïstes, prophétise le triomphe de la dictature mondiale au terme d’une terrible guerre qui anéantira les Mleccha. Dans le "Tantra de Kalachakra", la traductrice, Sofia Stril-Rever, écrit une note à propos de "Mleccha", mot sanskrit qui désigne les barbares :

J. Newman, "The Outer Wheel of Time : Vajrayana Buddhist Cosmology in the Kalachakratantra", et après lui un certain nombre d’universitaires américains, ont assimilé les Mleccha à des Tajiks, des Musulmans d’Asie centrale. Cette identification ne va peut-être pas de soi. "La Lumière immaculée" situe en effet Makha, capitale des Mleccha, en Inde au sud du fleuve Sita, sans forcer donc l’assimilation, phonétiquement engageante, de Makha avec La Mecque. (Le texte, "La Lumière immaculée", est un commentaire du Tantra de Kalachakra.)

Par contre, d'après Victor et Victoria Trimondi, les Mleccha sont indéniablement "les habitants de La Mecque" les ennemis du Dharma (la Bonne Loi). Ils écrivent :

"Le Tantra du Kalachakra jure une guerre totale entre le monde islamique et le monde non-islamique lors de laquelle les disciples de Mohamed seront présentés comme les ennemis principaux des bouddhistes. Dans le texte original, la Mecque est décrite comme la résidence de "l’idole puissant et impitoyable des barbares", "l’incarnation du démon" (Shri Kalachakra I. 154). Ainsi d’après l’adversaire principal du prochain roi du Shambhala, Rudra Chakrin "tourneur courroucé de la roue", nous apprenons qu’ils sont également nommés mleccha ce qui signifie "barbares" mais également "habitants de la Mecque". Un autre commentaire du Kalachakra appelle Rudra Chakrin le "meurtrier des Mlecchas".

Glorifié par l’usine à fantasmagories d’Hollywood, le lamaïsme, tout en assujettissant les spiritualistes les plus brillants qui pouvaient s’opposer au nouvel ordre mondial, met en place une hiérarchie d’initiés tantriques, des magiciens sans cœur et avides de pouvoir reliés à Shambhala.

La guerre mondiale contre les Mleccha est une réalité mortifère de l'Afghanistan à l'Iraq en passant par la Palestine... Elle n’indigne pas l’opinion occidentale car depuis des décennies les films d’Hollywood répandent un racisme anti-arabe abject.

Un documentaire canadien, "Hollywood et les Arabes", réalisé par Sut Jhally et produit par Media Education Foundation en 2006, est basé sur le livre "Reel Bad Arabs de Jack Shaheen". Le documentaire dénonce le racisme hollywoodien et passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de l’histoire du cinéma et que personne n’avait jamais osé contesté depuis l’époque du muet jusqu’aux grandes productions hollywoodiennes d’aujourd’hui.

L'écrivain et professeur d'université Jack G. Shasheen s'est lancé dans la traque au racisme anti-arabe dans le cinéma Hollywoodien. Après avoir visionné plus de 1000 films, il en conclut la complicité d'Hollywood dans la diabolisation du monde musulman.

"Reel Bad Arabs - How Hollywood Vilifies a People". Dans ce livre révolutionnaire, Jack G. Shasheen décortique l'histoire calomnieuse datant des premiers jours du cinéma jusqu'aux superproductions hollywoodiennes contemporaines qui mettent en vedette des Arabes « maléfiques » brandissant des mitrailleuses et des bombes. Autorité cinématographique primée, l'auteur démontre minutieusement que « Arabe » est resté le raccourci éhonté d'Hollywood pour « méchant ».

Dans cette étude approfondie de plus d'un millier de films, classés par ordre alphabétique dans des chapitres tels que « Méchants », « Cheikhs », « Camées » et « Cliffhangers », Shaheen documente la tendance à dépeindre les Arabes musulmans comme l'ennemi public n°1 – brutal et sans cœur. En bref, les arabes ne sont que des barbares acharnés à terroriser les Occidentaux civilisés.

Shaheen examine comment et pourquoi un tel stéréotype s’est développé et s’est propagé dans l’industrie cinématographique et ce qui peut être fait pour changer la diffamation des Arabes par Hollywood.

Télécharger gratuitement : "Reel Bad Arabs - How Hollywood Vilifies a People" de Jack G. Shasheen :

https://www.pdfdrive.com/reel-bad-arabs-how-hollywood-vilifies-a-people-e200342038.html

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