dimanche, juin 09, 2024

Une solution pour le futur

(1:50)
Les Brigandes - Entrez dans le clan (bande-annonce)


Inspiré par la démarche clanique des Brigandes (une solution pour le futur), Thierry Dumas, président de l'association Hérault Activité, a décidé de produire leur long métrage.


Ce film tourné sur une période de 6 mois, permet de découvrir :

- Un "mode de vie en retrait d’un monde envahi par la technologie et dévoré par l’individualisme ;

- Une grande famille qui résiste à l’oppression en puisant ses forces dans la spiritualité, le partage et l’entraide.


"Depuis février 2015, le groupe musical « Les Brigandes » s'est fait connaître sur Internet et dans les médias. Par des vidéos, et surtout par leurs chansons contestataires et provocatrices, les Brigandes ont acquis une notoriété internationale, en marge du système culturel de l'ordre établi.

Inquiets de l'impact grandissant de ces chansonnettes subversives, de nombreux ennemis se sont levés pour décrédibiliser le groupe musical. Si les accusations de racisme et d'antisémitisme sont tombées à l'eau, l'attaque la plus pernicieuse fut l'accusation de « mouvement sectaire » avec un « gourou » en prime. [...]

Organe de combat médiatique

(...) c'est uniquement grâce à notre mode de vie communautaire que nous avons pu déployer l'énergie nécessaire pour constituer un organe de combat médiatique tel que les Brigandes. Nous balayons les calomnies et les sobriquets de « secte » et de « gourou » avec la plus arrogante indifférence. Nous sommes, malheureusement pour nos ennemis, trop sérieux pour nous inquiéter de ce que les abrutis des médias tenus par l'élite financière pensent et disent de nous. Nous savons que la vraie secte hostile au peuple français a son siège rue Cadet à Paris, et que ses adeptes dociles s'expriment quotidiennement dans tous les ministères. Si nous semblons nous amuser à faire du rock'n'roll, c'est simplement que nous étions là au bon moment, avec les bonnes personnes, pour faire résonner en France un message de contestation générale.

Contre l'oligarchie mondialiste

(...) nous désirons réunir ceux qui ont le même adversaire que nous : l'ennemi du genre humain et de son Esprit. Aujourd'hui, cet ennemi se manifeste dans l'oligarchie mondialiste qui décide de l'avenir des masses. Cette caste se compose des grandes dynasties princières et financières internationales, ainsi que de certains groupes occultes comme la Compagnie de Jésus qui n'ont qu'un but : conserver et accroître leur pouvoir. Dans cette optique, toute cette clique semble relativement unie. Par l'argent, ils forment des groupes de pressions financières au moyen des-quels ils contrôlent les réseaux politiques, les médias, le show business et bien d'autres filiales plus obscures mais toutes aussi rentables. Pour asseoir leur pouvoir, ils ont détruit les cultures. abruti les peuples, acheté les nations, anéanti les monarchies réfractaires, saccagé la nature... et ils sont bien loin d'en avoir fini.

Depuis plusieurs décennies, une abondante documentation existe sur les tenants réels du pouvoir. Il est à peine caché que cette oligarchie est à l’œuvre, et que le mondialisme est son rêve de domination absolue. [...]

Destruction de l'Homme pensant et sa mutation
en robot consommateur

Celui qui croit encore dans la vérité officielle et refuse d'enquêter sérieusement pour savoir qui nous gouverne vraiment, et dans quelle direction, celui-là mérite ses chefs mafieux. Ainsi nous considérons que toute personne qui prône le mondialisme économique et politique, voire religieux, est criminelle, car elle livre le peuple à la volonté de domination de cette oligarchie malfaisante. Le prix de ce pouvoir mondial est la destruction de l'Homme pensant et sa mutation en robot consommateur. Telle est la prise de conscience à l'origine de notre révolte.

Nous pressentons que même cette caste oligarchique n'est qu'un pantin entre les mains d'une sombre puissance hostile à la clarté qui peut rayonner de l'es-prit humain. Cette puissance utilise les tares de ses plus zélés serviteurs pour leur faire accomplir ses viles besognes. La promotion organisée de la laideur, de l'inconscience et de l'idiotie particulièrement dans la jeunesse est un exemple du souffle toxique de notre ennemi. Il y a bien longtemps que la guerre a commencé... [...]

La réalité actuelle

Depuis la grande révolution de 1789, le monde est dirigé par l'ordre marchand. La plus haute valeur est la liberté individuelle, garantie par le pouvoir d'achat. L'ordre marchand n'a pas d'autre horizon que la jouissance sensorielle ici et maintenant. Le bonheur est vu comme l'assouvissement rapide des désirs les plus variés. Il n'y a pas de quête de vérité, de beauté ni de bien. Il y a la quête du profit pour jouir sans entraves, instantanément.

Les castes aristocratiques et sacerdotales qui incarnaient des valeurs d'honneur et de piété ont dégénéré jusqu'à disparaître. Nous sommes nés dans un monde sans gardiens pour orienter nos esprits.

Dans la quête du profit, le progrès matériel s'est développé comme étant le moyen d'arriver au bout de cette quête. La surabondance des objets et de la nourriture et le développement de la médecine ont permis à une certaine partie de l'humanité de connaître une sécurité matérielle presque parfaite. Le mondialisme veut étendre ce « bien-être » à toute la planète, au risque de détruire le dernier mètre carré de forêt sauvage jugée dangereuse.

Le système informatique et particulièrement Internet, est le liant parfait pour unir tous les peuples. Contraintes par l'ordre marchand d'utiliser les technologies de communication, les nations se fondent dans le marché mondial et sa culture d'abrutis égocentriques.

Les dettes nationales signifient pour ceux qui ne l'avaient pas encore compris que chaque pays a déjà été acheté par les banques, et que celles-ci imposent donc leur politique mondialiste sans rencontrer de résistances à la hauteur de leur pouvoir financier. L'Ordre mondial n'est pas un rêve, ni un cauchemar, c'est notre réalité.

La marche vers le Grand Soir des matérialistes avance mais la mort reste un adversaire de taille pour les défenseurs du paradis terrestre.

Le transhumanisme est la voie que les élites mondialistes nous proposent de suivre comme développement de l'humanité. la robotisation des humains est en cours, et selon les prévisions du directeur de l'ingénierie de Google, qui se sont généralement avérées jusqu'ici, l'être humain porteur d'un esprit n'en a plus pour longtemps."

Extraits du « Manifeste des clans du futur ».

Pour en savoir plus sur le film :
https://h-act.fr/fr/brigandes/



jeudi, juin 06, 2024

Erotisme sacré



Dalida lectrice du livre de Julius Evola, "Métaphysique du sexe", 
réédité à Kontre Kulture.
 
PDF gratuit ICI.


L’Erotique



Par Jean-Louis Bernard



L’Erotique grecque gravitait autour d’Eros et de Dionysos, celui-ci dieu des mystères, cultes secrets. Avec la fin des religions à mystères et la semi-laïcisation de la religion romaine, l’Erotique se pervertit en « orgie latine ». Mais, primitivement, le terme « orgie » signifia chez les grecs « érotisme sacré ».

La doctrine

La doctrine visait à la sublimation de l’élan érotique. Le principe de ce yoga (c’en est un) se retrouve chez les Egyptiens, Mésopotamiens, Hindous, Chinois, Japonais et Mexicains. Sans doute les grecs de la haute époque le reçurent de l’Egypte, plus tard de l’Inde. il se peut d’ailleurs que Dionysos soit le même que le Krishna hindou, dieu de l’amour, car les Romains qualifiaient Dionysos de « Bacchus indien ». L’Erotique demeura une voie spirituelle aussi longtemps que subsistèrent des temples de l’érotisme sacralisé, en particulier le temple égyptien de Ptah et de ses parèdres, Sekmet et Bastet (Memphis), où vivaient des courtisanes sous contrôle clérical – les fameuses prêtresses de Bastet. C’est avec la fin du culte de Cybèle que disparut tout support sacerdotal et l’érotisme (comme aussi l’occultisme) passa en marge.

En Grèce et à Rome, les principaux arcanes de l’Erotique avaient été, avec Dionysos, Artémis et Cybèle. L’histoire enregistre cependant des résurgences réussies, quoique brèves : la secte des « Fedeli d’amore » dans l’Italie de la Renaissance, et l’Erotique des troubadours. De nos jours, la doctrine s’est rétablie par l’influence croissante du tantrisme hindou. Mais il ne s’agit encore que d’empirisme.

La doctrine s’inspirait d’une démarche insolite : l’homme tombait amoureux de la déesse – l’Eternel Féminin – l’Aphrodite surgissant nue et blonde de la mer, mais amoureux charnellement ! La chronique grecque rapporte à ce sujet d’ahurissantes anecdotes, relatives à des hommes épris d’une statue de déesse, en un temple. Mais il faut observer que certains temples étaient habités par une forme spectrale, de nature divine, et la chronique fait état aussi de fréquentes apparitions de telles formes semi-matérialisées, celle en particulier d’Aphrodite. Tout son dynamisme érotique tendu, l’amoureux en venait au désir de jouir de la déesse, à travers la femme d’abord (prêtresse de la déesse ou son médium occasionnel), puis à travers son propre organisme, par la possession et par l’ivresse dionysiaque. Pour la femme, le programme était le même, Eros, image de l’Immuable Masculin, devenant l’objectif visé. En cas de succès, l’homme ou la femme éprouvait une volupté érotique dans l’organisme entier (l’ivresse dionysiaque). Il va de soi que l’extase toute sensorielle des deux saintes Thérèse, celle d’Avila et celle de Lisieux, amoureuses idéalement de Jésus, s’inscrit dans le même contexte. Mais le processus n’est pas sans danger : risque de mythomanie, de folie mystique et une forme de narcissisme pouvant mener à l’inversion sexuelle. La grande poétesse Sappho de Lesbos dont les chansons se fredonnèrent sur tous les rivages méditerranéens, fut le résultat probable d’une Erotique manquée – au point de donner son nom à l’homosexualité féminine et de mourir, croit-on, par suicide. Elle était pourtant une mystique. Mais son adoration pour Artémis tourna au narcissisme.

La base naturelle

Le principe de l’Erotique trouve sa justification dans une loi naturelle et uniforme qui préside à la croissance psychique de l’homme comme de la femme. Si, en effet, l’adorateur d’Aphrodite peut espérer jouir de la déesse par l’intérieur de lui-même, c’est en vertu de la loi d’analogie. Tout homme porte en lui, imprimé dans son inconscient immédiat, le germe du sexe opposé, mais sur plan évidemment surréel (l’anima) ; et cela est vrai pour la femme (l’animus). Diviniser ce germe de sexe complémentaire, après éclosion et croissance, n’est-ce pas l’identifier à la déesse (ou au dieu) ?

La croissance psychique de tout être est étroitement liée à la sexualité et s’opère par cycles. Le second suit l’enfance et met en place l’entité sexuelle. Ce stade coïncide avec la puberté. Le cycle suivant, plus délicat, doit développer justement le germe sexuel surréel et complémentaire. Ce n’est pas chose aisée, et les cas de croissance monstrueuse, déviée, hypertrophiée ou, inversement, de castration, abondent aujourd’hui – par l’influence d’une sociologie freudienne que des psychologues sans ampleur ont faussée. Mais les cas normaux abondent aussi ! La femme d’affaires qui gère une entreprise s’appuie sur sa virilité intérieure qui est ce pôle épanoui. L’artiste aux mains de femme, à la sensualité féline, à l’humeur capricieuse puise sa force et son inspiration (sa liberté aussi) dans sa féminité intérieure qui s’est identifiée à une muse. Un choc – grande joie ou grande douleur – suffit à donner vie à cet autre pôle sexuel qui grossira en soi comme un fœtus. Il ne demande qu’à naître et croître, car telle est la loi de nature. S’il se met à enfler sans contrôle, sans résistance et contrepoids extérieurs (ceux-ci liés à la mère ou au père), il va défigurer la personne (l’adolescent ou l’adolescente), surtout moralement, écrasant sa personnalité sexuelle, son moi. La société moderne présente trop d’exemples de ces monstres psychiques dont l’infirmité, si elle n’est apparente, existe néanmoins. La femme survirilisée donne la virago, bourreau des mâles et providence des avocats. L’homme surféminisé donne la bonne à tout faire, providence de l’épouse paresseuse : un tel homme lave, repasse, fait la cuisine (souvent mieux qu’une femme), lange le bébé… Dans le cas extrême, on aboutit à l’écrasement total de la sexualité : à l’homosexualité. L’introverti est littéralement possédé par son pôle féminin hypertrophié comme par un démon, au point de devenir une caricature de femme ; et il en va de même pour la lesbienne. A noter que de tels « monstres » se marient volontiers entre eux et sont superficiellement heureux. Mais leur vie conjugale tiendra davantage du vaudeville que du roman d’amour, et les deux conjoints envieront au fond d’eux-mêmes les couples normaux.

De notre temps, avec la prospérité, est apparu un phénomène sociologique qui fausse, dans une certaine mesure, le « jeu » de l’Erotique : c’est le féminisme. L’histoire montre que prospérité et féminisme ont toujours été solidaires. Il en résulte un matriarcat déguisé qui virilise la femme et dévirilise l’homme. A cela s’ajoute l’influence de l’argent et de la pseudo-philosophie de l’« unisex », celle-ci étant à la fois la rançon du féminisme et une fatalité astrologique (déséquilibrante). En annulant la contrainte extérieure, notamment la lutte pour la vie, l’ambiance d’argent développe anarchiquement l’entité anima-animus qui se mue alors en une sorte de mère abstraite et chaotique ou de père équivalent. Les jeunes grandis ainsi identifient volontiers ce monstre intérieur à une idéologie totalitaire, par exemple au marxisme, au fascisme… ; car l’anima-animus surdéveloppé se fait entité collective, farouchement anti-individuelle. Autre rançon du féminisme : la pilule. Prise sans discernement, c’est-à-dire constamment, elle identifie la jeune fille en fausse Artémis – stérile comme une abeille ouvrière – dressant aussitôt contre elle les arcanes de la nature (ses lois secrètes). Or la stérilité est un signe de fin d’espèce. Loin de devenir des hommes par leurs mœurs, les « jeunes filles à pilules » tombent au niveau d’une sous-prostitution (elle ne comporte même plus la transaction d’argent). L’alternance entre périodes avec et sans pilules s’impose donc. A remarquer que les liaisons dites freudiennes (« mariages à l’essai » ou « expériences » sans risques) retirent immédiatement à la jeune fille son magnétisme féminin. L’arcane essentiel de la nature – l’Eternel Féminin – se venge ainsi.

La solution est dans la dialectique du couple que soude l’amour (la déesse est amour), mais dans un dialogue qui sous-entend le réflexe d’autodéfense, l’un ne voulant pas que l’autre croisse intérieurement à ses dépens ou sans lui. En sanskrit, « dialogue, dialectique » = « tantra » d’où tantrisme, = le yoga sexuel ou l’érotisme mystique. Mais, souvent, la femme ressent en insaisissable rivale cette femme surréelle (l’anima) qui prend consistance en son conjoint, et la jalouse. Quant à l’homme, il craint que sa compagne finisse par se suffire à elle-même et lui échappe. Les unions de gens qui évoluent au vrai sens (intérieurement) sont toujours chaleureuses et orageuses. Les couples sans histoire (une chaumière et deux cœurs) stagnent et vieillissent. Ne relèvent pas non plus de l’Erotique les couples sans amour (donc sans déesse), ni les couples homosexuels (la déesse n’a nulle ambivalence), ni les couples multiples qui relèvent, eux, du sabbat, l’érotisme de troupeau. L’érotique rapproche l’être de son double ; le sabbat satanique ou luciférien l’identifie à son ombre. Quelle que soit la forme du sabbat, il y aura déperdition d’énergie – magnétique, vitale ou tellurique – au profit du meneur de jeu, généralement un marout.

L’enfer conjugal

La dialectique du couple mène souvent l’un des partenaires vers une forme empirique de tantrisme qu’aucune école n’a cherché à codifier, encore qu’elle soit très efficace ! C’est le cas de l’homme ou de la femme dont le conjoint est un être démoniaque. Cernée jour et nuit par une ambiance inhospitalière, la victime se replie sur elle-même, afin de découvrir en son âme inconsciente les énergies qui nourriront son instinct de survie. Coulant peu à peu vers le conscient, ces complexes énergies construiront l’anima ou l’animus. Le dramaturge italien Pirandello osa garder à son foyer une épouse, folle agressive, la supportant et méditant l’arcane de sa folie. Par réaction, grandit en lui une anima qui devint la muse de son théâtre. Vivre avec un être névrosé ou négativement possédé, c’est développer à la longue des pouvoirs paranormaux d’autodéfense, pouvoirs de démonologie, et sécréter l’antidote aux poisons subtils de la névrose. Pour cette raison, des tantrika(s) de l’Inde recherchent la jeune fille portant en elle une tare psychique, germe d’un démon… Puis ils l’épouseront. Ils la reconnaissent à de menus signes extérieurs.

Amour et mort

Les Egyptiens, soucieux d’aller au bout des choses, recherchaient, eux, le pire des démons humanisés, c’est-à-dire le marout – l’être à l’âme morte… L’Egypte regorgeait de momies, de tombeaux pillés et, par conséquent, d’ombres non décomposées (les ombres mortes) errant parmi les vivants en s’immisçant dans les rêves des dormeurs, en particulier dans leurs rêves érotiques. Certaines ombres, plus tenaces que les autres, obsédaient des femmes enceintes dans le but de s’incarner à la place de l’âme de l’enfant. Il en résulterait des êtres infra-humains, sans essence spirituelle : des marout(s). Epouser un tel marout, c’était entrer vivant au tombeau en épousant la mort. N’ayant pour arcane qu’un résidu d’âme, stagnant comme de la vase, le marout contaminait les ambiances auxquelles il s’intégrait. Il y avait donc le risque de se décomposer « sur pied », par l’effet d’une lèpre psychique. Un faux mystique l’aurait accepté par esprit morbide. Le vrai, jouant dangereusement avec la loi des contraires – l’un devant engendrer l’autre – prenait en quelque sorte appui sur le marout pour exacerber par réaction son instinct de vie. Il subirait le marout sexuellement. Celui-ci lui boirait sa vitalité par l’érotisme, en cours de déduit et, plus encore, en cours de sommeil, par une subtile vampirisation. Mais, avec l’aide des dieux et par révolte de son instinct de vie et de survie, se produirait un renversement de sa force sexuelle qui, se détournant du vampire, remonterait vers l’intérieur de lui-même, ouvrant un à un ses chakram. Un conte égyptien (« Le prince Satni-Khamoïs et les momies ») relate l’aventure d’un tantrika avec un marout. Satni rêve de pouvoirs magiques. Il veut retrouver, enfoui dans un tombeau, le « Livre de Thôt » contenant les mot magiques (runes), testament du dieu de la magie. Mais ses fouilles archéologiques ont troublé l’humeur de la déesse de mort Mers’gher (= Celle qui aime le silence) : elle dirige vers lui un marout sous le masque d’une prêtresse-courtisane de Bastet. Il est fasciné. C’est que l’âme pourrie des marout(s) rayonne négativement ; il en émane un relent de drogue qui soûle le côté morbide de l’âme humaine ! La structure d’un marout est anale (au sens de la psychanalyse), elle ne s’oriente que vers la décomposition, sous toutes les formes possibles. Le marout ruinera d’abord Satni financièrement, puis dépouillera ses enfants de leur part d’héritage. Quand enfin la courtisane consentira à se donner, non sans avoir exigé encore que Satni laisse égorger ses enfants, se produira l’intervention des dieux. Ils sauveront les enfants in extremis et feront éclater le vampire pendant le déduit (anal).

Les mystères

Les mystères grecs et latins (ceux-ci étrusques) réalisait la maïthuna collectivement, semble-t-il, selon des recettes perdues. Sans doute que l’ambiance du temple ou de la grotte initiatique favorisait le processus de reflux de la force d’Eros. Il ne semble pas que l’acte sexuel, simple ou multiple, ait joué de rôle dans l’affaire. A Pompéi, un villa suburbaine de style grec, miraculeusement épargnée par le Vésuve, retrace encore, sur fresques, les phases du rituel préparatoire.

Au 18ème siècle, le marquis de Sade inversa les éléments des mystères érotiques grecs en moderne sorcellerie et en sabbat des lucifériens, faisant déboucher cette contrefaçon sur le crime et l’absurde. Au sein d’une noblesse biologiquement épuisée, le sadisme (doctrine de Sade) joua comme un cancer. Le sadisme déboucha aussi sur la guillotine ! Celle-ci extirpa le cancer, mais de manière chirurgicale…




mardi, juin 04, 2024

2030, la fin du cycle actuel ?




"Les grands traits du kali-yuga : au cours de cet âge, se dégraderont peu à peu les principes de la spiritualité (dharma), la véracité (satyam), la pureté (saucam), la clémence (ksama), la miséricorde (daya), la durée de la vie (ayur), la force physique (balam) et la mémoire (smrti)."



RÉFLEXIONS AUTOUR DE LA FIN DU CYCLE


Par Charles Ridoux


Cette date de 2030 ou 2031 a été avancée, ici et là, comme devant marquer, selon diverses traditions, la fin du cycle actuel. A cette date Gaston Georgel consacre un chapitre de son dernier ouvrage, "Le Cycle Judéo-Chrétien", et Jean Phaure en traite également dans son "Cycle de l’Humanité Adamique". Dans l’avant-propos de son "Cycle Judéo-Chrétien", Gaston Georgel définit en ces termes son objectif :

"Le but du présent ouvrage est de montrer, ou mieux de prouver, que le cycle christique, c’est-à-dire la durée totale de la vie de l’Église depuis la Pentecôte jusqu’à la Parousie, soit 2000 ans, s’insère très exactement dans le déroulement de l’histoire de la présente humanité dont il constitue en quelque sorte, d’une façon non pas approximative, mais extrêmement précise, le sceau ou le couronnement, réalisant ainsi les promesses du cycle juif antérieur."

S’appuyant sur les Évangiles, qui mettent en rapport la Crucifixion de Jésus le Vendredi Saint, puis la destruction de Jérusalem quarante ans plus tard, et enfin la destruction de Rome et le Jugement dernier à la fin des temps, Gaston Georgel affecte au cycle christique une durée de 2000 ans (à partir de la Crucifixion). Il évoque l’hypothèse du cardinal Nicolas de Cues, qui, à partir du nombre jubilaire 50 (dans lequel saint Augustin voyait la « perfection de la récompense ») proposait une durée de 2500 ans (50 x 50). Ce nombre est associé à la Pentecôte (cinquante jours après Pâques – alors que l’Ascension se situe quarante jours après Pâques, nombre de l’épreuve) ainsi qu’au jubilé juif au terme duquel les dettes étaient remises et les prisonniers rendus à la liberté, ce qui symbolisait le retour de l’Age d’Or. Gaston Georgel assimile ainsi le cycle christique tout entier à un grand jubilé de cinquante fois quarante ans. Notons qu’au début du cycle, 40 ans après la Crucifixion a lieu la destruction de Jérusalem (en l’an 70). A la fin du cycle, 40 ans avant 2030 nous avons la Chute du Mur de Berlin - et la clôture des 72 ans du Jour de Yahvé.

Puis Gaston Georgel évoque la célèbre prophétie des Papes, dite aussi Prophétie de saint Malachie, à laquelle Raoul Auclair a consacré un de ses livres (paru en 1969). On sait que ce texte, attribué à saint Malachie, contemporain et disciple de saint Bernard, énumère, à partir de Célestin II (1143-1144), une liste de cent onze devises papales successives. Le précédent pape, Jean-Paul II était associé à la devise "De labore solis", et le pape actuel, Benoît XVI à la devise "De gloria olivae". Après devrait régner Pierre le Romain, qui sera le dernier pontife de l’histoire. Une série de médaillons présente la suite des pontifes romains au haut d’une frise qui fait le tour du vaste quadrilatère de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs à Rome ; il était très impressionnant de voir, tout à la fin du pontificat de Jean-Paul II, les deux dernières places encore vides… Raoul Auclair a mis en évidence que la 73e devise ("Axis in medietate signi") indique le milieu chronologique de la prophétie ; cette devise est associé à Sixte Quint, dont le milieu du règne tombe en 1587. Entre le départ de la prophétie (1143) et 1587, il s’est écoulé 444 ans ( 4 x 111 ans) ; on peut en conclure que la fin doit se situer 444 ans après 1587, soit en 2031.

Une autre source, citée par Gaston Georgel, provient du fond de l’Asie et a été transmise par un livre étonnant de Ferdinand Ossendowski intitulé "Bêtes, Hommes et Dieux". Le passage de l’auteur en France avait donné lieu, en 1924 à un table ronde organisée par le journaliste Frédéric Lefèvre, réunissant René Grousset, un historien spécialiste de l’Asie, le philosophe néo-thomiste Jacques Maritain et René Guénon, qui avait déjà publié son "Introduction aux doctrines hindoues" et dont venait de sortir un ouvrage intitulé "Orient et Occident". L’ouvrage d’Ossendowski relate une « Prophétie du Roi du Monde », datée de 1891 – l’année de la dernière conjonction NE-PL – selon laquelle :

" …Dans la cinquantième année [après 1891], trois grands royaumes seulement apparaîtront, qui vivront heureux pendant soixante et onze ans. Ensuite il y aura dix-huit ans de guerres et de destructions. Alors les peuples d’Agartha sortiront de leurs cavernes souterraines et apparaîtront sur la surface de la terre."

Une simple addition des chiffres conduit une fois encore à la date fatale de 2030 (1891 + 50 + 71 + 18). On pourrait sans doute associer les « trois royaumes » qui apparaissent en 1941 aux trois puissances qui vont dominer le monde à partir de la Seconde Guerre mondiale (États-Unis, Russie, Chine). Les 18 ans de guerres et de destructions devraient commencer, selon cette prophétie, en 2012, au moment du carré UR-PL. Certes, il y a autour du personnage d’Ossendowski beaucoup d’ombres et d’ambiguïtés, mais il se peut qu’il ait été néanmoins un vecteur de transmission de données traditionnelles à un moment où le « sceau de la prophétie » était appelé à être ouvert.

Enfin, Gaston Georgel évoque une étude de René Guénon consacrée à la tradition atlantéenne, où ce dernier apporte des précisions relatives à la date de l’effondrement de l’Atlantide :

"Quant au cataclysme qui y mit fin, certaines données concordantes semblent indiquer qu’il eut lieu sept mille deux cents ans avant l’année 720 du Kali-Yuga, année qui est elle-même le point de départ d’une ère connue, mais dont ceux qui l’emploient encore actuellement ne semblent plus savoir l’origine ni la signification."

Gaston Georgel explique que « l’ère connue » dont parle René Guénon serait l’ère juive, dont le début est situé à la date de 3761 av. J.-C.

"Si ceci était exact, le Kali-Yuga aurait commencé en 720 + 3761 = 4481, et devrait en conséquence se terminer en 6480 – 4481 + 1 = 2000 (ap. J.-C.). On peut affirmer que l’an 2000 est une date trop rapprochée, compte tenu de certains « signes des temps », il convient donc de rechercher à quoi pourrait correspondre du point de vue de la tradition juive cet an 2000."

Ayant commencé par un cycle de 720 ans, le Kali-Yuga – dont la durée de 6480 ans comporte neuf cycles de 720 ans – devrait également s’achever sur cycle semblable, ce qui met en valeur la date de 1310 (2030-720), juste au moment de la destruction des Templiers. Précisons enfin que Gaston Georgel présente comme « théorique » la date de 2030, estimant que la date réelle, concrète, serait plutôt 2028, correspondant à 2000 ans après le début de la vie publique de Jésus et à 111 ans après la date cruciale de 1917. [...]

Il se trouve que, lors du stage de Laval de 1994, nous avions interprété l’année 1989 comme marquant le passage du « relais » entre les deux entités qui sont désignées dans l’Apocalypse de saint Jean comme la « Bête de la Mer » et la « Bête de la Terre ». Voici ce que nous soumettions alors à la réflexion des participants à ce stage :

Méditant sur le temps qui paraît devoir être imparti à la Bête de la Terre, déjà en train de prendre le relais de la Bête de la Mer, nous avons remarqué qu'entre 1989 - fin du temps de la Bête de la Mer qui a régné 72 ans depuis 1917 - et la date avancée de 2031, il s'écoule une durée de 42 ans, nombre cyclique fondamental, en particulier dans l'Apocalypse. Nous avons donc risqué l'hypothèse que nous vous livrons aujourd'hui, avec crainte et tremblement : la période qui s'étend devant nous jusqu'à la fin du cycle, aux alentours de 2031, peut être considérée comme un « Supplément de tribulation » de 42 ans venant s'ajouter au « Jour de Yahveh » de 72 ans, cette dernière phase étant dévolue au règne de la « Bête de la Terre » venant prendre le relais de la « Bête de la Mer ».

Il nous était alors aussi venu à l’esprit de prendre en considération la période globale de 114 ans entre 1917 et 2031. Le centre tombe sur 1974, année de la crise pétrolière faisant suite à la guerre du Kippour en 1973. Malgré l’implication d’Israël dans cette scansion, il ne nous apparaissait pas, à première vue, que cette date soit parmi les plus marquantes du siècle. En revanche, une coupure de la période en trois phases de 38 ans chacune amenait à évoquer le cycle des Nœuds lunaires, et nous pouvons observer que ces phases sont rythmées par la conjonction de l’axe des Nœuds lunaires à l’axe du Centre galactique (de 25°30 à 26°30 du Sagittaire). Ce qui donne comme jalons les années 1955 et 1993. Notre conclusion portait enfin sur les thèmes harmoniques de 1996 et de 2026 et sur la période de 30 ans + 3 ans ½ qui conduit à 2031 :

Si l'année 2010 semble devoir être une échéance importante et chargée dans le cheminement vers la fin du cycle, deux dates ressortent, en revanche, par leurs splendides harmoniques : 1997 et 2026. A première vue, ces harmoniques devraient présager plutôt d'heureux événements. Mais si nous gardons à l'esprit qu'en fin de cycle toutes choses obéissent à une logique de l'inversion, il n'est peut-être pas excessif, compte tenu des nombres cycliques éveillés par ces deux dates - 30 ans de 1996 à 2026, trois ans et demi de 2026 à 2031... - d'y lire la possibilité d'une manifestation « à rebours ». C'est là, et encore une fois à titre de pure hypothèse, une réponse voilée à certaines questions relatives au thème de l'Antéchrist.

On ne saurait évoquer la fin d’un cycle sans d’abord préciser de quel cycle cette fin marque le terme. Des deux auteurs que nous avons pris pour guides dans cette exploration, Raoul Auclair et Gaston Georgel, il apparaît que le premier se limite au cycle de 7 000 ans (« Notre Génération ») et qu’il situe le moment crucial prochain comme devant être celui qui fait passer le monde du Sixième au Septième Jour de ce cycle. La perspective de Gaston Georgel, qui s’appuie sur l’enseignement de René Guénon en matière de cyclologie traditionnelle, est infiniment plus vaste, puisque la fin dont il est ici question est celle d’un Manvantara de 64 800 ans. Gaston Georgel le précise à la fin de son Cycle Judéo-Chrétien :

"Cette dernière période, le Cycle moderne, n’appartient pas seulement à l’histoire du judéo-christianisme, mais également à celle de notre actuel Manvantara (durée de 64 800 ans), dont il constitue précisément et très exactement la dernière phase, puisque l’Age sombre (6480 ans) se divise naturellement en trois « années cosmiques » de 2160 ans chacune, la dernière, ou cycle de César (60 av. J.-C. – 2030 ap. J.-C. environ) se subdivisant à son tour en trois phases de 720 ans dont la troisième (1310-2030) s’identifie avec le Cycle moderne."

Mais, aussi bien Raoul Auclair que René Guénon lui-même insistent à plusieurs reprises sur le fait que la fin d’un cycle, aussi vaste fût-il, ne signifie pas la Fin du monde : elle n’apparaît comme telle que pour ceux qui ne voient rien au-delà du cycle actuel en cours d’achèvement. René Guénon précise cependant le caractère particulier de la fin du Manvantara :

"[La fin] que nous envisageons ici a incontestablement une portée plus considérable que beaucoup d’autres, puisqu’elle est la fin d’un Manvantara tout entier, c’est-à-dire de l’existence temporelle de ce qu’on peut appeler proprement une humanité, ce qui, encore une fois, ne veut nullement dire qu’elle soit la fin du monde terrestre lui-même, puisque, par le « redressement » qui s’opère au moment ultime, cette fin même deviendra immédiatement le commencement d’un autre Manvantara."

René Guénon ne manque pas, toutefois, de souligner avec force que le prochain Manvantara est séparé de notre époque par une « barrière » infranchissable, et que cela n’a rien à voir avec les élucubrations des idéologues du New Age qui attendent l’Ère du Verseau comme un simple prolongement de l’époque actuelle. "Le Règne de la quantité et les signes des temps" s’achève d’ailleurs sur des considérations relatives au double aspect « bénéfique » et « maléfique » sous lequel se présente la marche du monde en tant que manifestation cyclique. La manifestation prise en elle-même apparaîtra comme une descente et une dégradation progressive (du simple fait de l’éloignement du Principe qui en est à l’origine) ; mais replacée dans l’ensemble de l’existence universelle, elle produit des résultats positifs qui sont intégrés eux-mêmes dans le cadre d’un autre cycle de manifestation.

Source : http://www.ridoux.fr/p/0-rct-as.html

samedi, juin 01, 2024

Les prophètes de l'Apocalypse





Joe Biden autorise l’Ukraine à frapper la Russie avec des armes américaines.

Macron veut que la France dirige une coalition en Ukraine et pourrait annoncer l’envoi de soldats début juin 2024.


Le mois de juin (2024 ?), début de la grande tribulation selon Marie-Julie Jahenny :

« Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel.
Les mois du Sacré-Coeur (juin) et de Mon Sang (juillet),
ce sera le signal des châtiments, guerre civile.

Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau, il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution. C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris. »


Les prophètes de l'Apocalypse


Alex Roudène


Lucain, tout comme son oncle Sénèque (1er siècle après J.-C.), a joué, lui aussi, les prophètes « apocalyptiques » : « Le feu détruira le monde » (la Pharsale) ; et : « Les étoiles se heurteront contre les étoiles, et la matière s’embrassera de tous côtés » (Sénèque).

Prophétie de saint Malachie. Cet évêque irlandais vivait au début du 7ème siècle, mais sa prétendue prophétie ne fut mise en circulation qu’en 1595 ! Extrayons-en le texte qui concerne le dernier pape, Pierre le Romain :

« Au cours de la dernière persécution de la sainte Eglise romaine, siégera Pierre le Romain, qui paîtra ses brebis au milieu de nombreuses tribulations ; celles-ci terminées, la ville aux sept collines sera détruite et le Juge, qui fait trembler, jugera le peuple. »
C’est donc la fin du monde pour les environs de l’an 2000.

Sainte Hildegarde, abbesse bénédictine en Allemagne, au 12ème siècle, publie en 1138 ses visions d’avenir :

« Tout ce qui vit sur terre tend à périr, le monde sent ses forces faiblir » ; et ailleurs : « Le monde est entré dans le septième âge : c’est celui qui précède le dernier jour. »

Joachim de Flore, célèbre moine cistercien du 12ème siècle, passait en son temps, pour un très grand prophète. Il divise l’histoire de l’humanité non pas en sept jours, mais en trois périodes correspondant aux trois personnes de la Trinité. Il annonce la venue de l’Antéchrist vers « la fin de l’histoire du monde ». Mais quand aura lieu cette « fin » ? Si c’est à l’issue de la troisième période, ce serait à la fin de l’ère du Verseau, soit vers l’an 4000.

Mother Shipton, une prophétesse anglaise, qui vivait dans la première moitié du 16ème siècle, a prédit – si la complainte qui résume ses vaticinations est authentique – beaucoup d’événements qui sont arrivés :

« Et le monde finira enfin, en 1992 ; telle est la conclusion de ladite complainte.

Nostradamus ne devrait pas nous effrayer, car il a écrit à son fils cette phrase très rassurante pour ceux qui redoutent la fin du mode pour le début du 21ème siècle :

« … de perpétuelles vaticinations pour d’ici (1555) à l’année 3797 » (ce qui nous laisse un répit de presque 18 siècles).

Faut-il rappeler sa prédiction, si souvent répétée, sur le « Grand Roy d’effrayeur » qui viendra du ciel « l’an mil neuf cent nonante neuf, sept mois », c’est-à-dire en juillet 1999 (L’attaque aérienne tant redoutée se produira deux ans plus tard – le 11septembre 2001 – , mais l’inénarrable Jean-Charles de Fontbrune, le spécialiste de Nostradamus, considère qu’en juillet 1999 la guerre contre l’Occident a été déclarée par Ben Laden, couronné « Grand Roy d’effrayeur » par l’exégète nostradamien.)  

Holzhauser, prêtre allemand (1613-1658), divise l’histoire du monde en sept âges (comme sainte Hildegarde). Il annonce que son temps appartient au cinquième âge. Le notre semble y appartenir encore. Le sixième pourrait être l’ère du Verseau ; et le septième, la prochaine ère, c’est-à-dire celle, sombre et calamiteuse du Capricorne, qui doit se situer en gros entre 4000 et 6000. Mais selon Holzhauser, le sixième âge serait très bref ; il ne durerait sans doute pas les 2160 ans habituels des ères platoniciennes.
Le cinquième âge se terminera par l’apparition du saint Pontife et du Grand Monarque (thème cher aux prophètes dès le Moyen Age). Puis il y aura un sixième âge, très bref, qui mènera jusqu’à l’apparition de l’Antéchrist à la fin des temps. Il est très difficile de dater ces prédictions.

Jeanne Le Royer, religieuse française et voyante célèbre (1732-1798), a prédit, naturellement, l’Antéchrist et la fin du monde. Le Jugement dernier serait pour les alentours de l’an 2000 : « Je jugeai qu’il ne restait plus qu’environ deux heures au soleil. » (Ces heures représentent pense-t-on, des siècles : 1795 + 200 = 1995.) Elle prophétisait après la Révolution.

Anne-Marie Taïgi, célèbre voyante italienne, a fait à peu près les mêmes prédictions que Jeanne Le Royer.
« Deux cents ans ne seront pas suffisants pour que tout cela arrive » (elle « voyait » aux environs de 1800).

Johanna Southcott, fille d’un gentleman campagnard du Devonshire, fit, en 1792, des prophéties, dont voici l’une :
« Quand apparaîtra la guerre orientale, sachez que la fin est fatale. »
Mais quelle sera cette guerre « orientale » ? Serait-ce le conflit entre Israël et le monde arabe ?

La Salette (19 septembre 1846). C’est une prophétie mariale, c’est-à-dire dictée par la Sainte Vierge à deux enfants.
Annonce de l’Antéchrist et de ses « armées assistées par les légions de l’Enfer ».

Le « Roi du monde », personnage plus ou moins mythique et soi-disant tout-puissant (qui vivrait dans le royaume souterrain de l’Agartha), aurait fait une prédiction en 1890 (rapportée par Fernand Ossendowsky, dans son livre célèbre « Bêtes, hommes et dieux », publié en 1924) devant les lamas d’un monastère de Mongolie ; en voici quelques lignes :

« Il y aura une guerre terrible entre tous les peuples […]. Des peuples entiers mourront […]. Alors viendront les ennemis de Dieu et de l’Esprit divin, qui se trouve dans l’homme […]. Il y aura des brouillards et des tempêtes […], la terre tremblera […]. La faim, la maladie et la mort […]. De dix mille hommes, un seul survivra […]. Toute la terre se videra », etc.

Bien qu’il y ait des chiffres : 100 ans + 71 + 18, il est impossible de dater la prédiction, parce que manque la date du début de ces calamités.

Edgar Cayce, « un Américain tranquille » (1877-1945), qui fit d’extraordinaires guérisons et de sensationnelles prédictions dans un style simple, ce qui les rend assez convaincantes. On y trouve annoncés des catastrophes et des cataclysmes, mais non ce qu’on appelle une « fin du monde ».

Dans ses « visions » concernant le 22ème siècle, Edgar Cayce a signalé des événements importants et …peu agréables, devant se passer entre notre temps et 2100 : submersion de Paris, de Londres, de New York par raz de marée gigantesques, à la suite de tremblements de terre, entre autres « joyeusetés » ! Mais l’humanité n’en poursuivra pas moins sa marche cahotante.

L’astrologue Hadès, dans son livre « Que sera demain ? » (publié en 1966), a prédit, pour l’avènement de l’ère du Verseau (qui est commencée, mais personne ne donne la même année pour ce début), des transformations importantes dans la vie de l’humanité :

Fins du capitalisme et du christianisme. (A la religion du fils succédera celle du Saint-Esprit, si l’on admet la division de Joachim de Flore en trois périodes, selon les trois personnes de la Trinité.) Et le communisme s’évanouira en même temps que le capitalisme.

Marie-Louise Sondaz, une astrologue, est, quant à elle, l’une des rares optimistes (dans son livre : « Les Astres de la vie sentimentale », publié en 1968) :

Notre époque « violemment transformatrice » doit se clore en 1984 (qui est, pour cette astrologue, le temps de l’ouverture d’un nouveau cycle cosmique), date où « le monde retrouvera ses règles de vie, cependant que des caractères d’une envergure peu commune se prépareront à lui créer des excellences au cours des décennies suivantes ».

Après Einstein, le savant soviétique Sakharov a crié sa peur pour l’avenir des hommes. Sakharov a prédit la « catastrophe » mondiale pour 1985.

Voici, à nouveau, un astrologue, Mantéia, qui, en 1966, annonçait :
La fin de la terre, pour le mois de mai de l’an 2000.

Et toujours les prophéties mariales, comme celles de l’Américaine Veronica, « favorisée », depuis 1970, de visions célestes, à Beyside (New York) :

« La grande catastrophe, la grande destruction qui sera envoyée sur l’humanité […]. Le temps diminue. Des années ou des mois […]. La fin approche ».

Sinon plus rassurant, du moins ne nous annonçant la fin du monde que pour beaucoup plus tard, entre 2500 et 3000, Michel de Roysin, disciple du mystérieux Ulrich de Mayence (qui vivait au 15ème siècle), est donc moins précis que son Maître qui, lui, prophétisait les temps d’Apocalypse aux alentours de l’an 2475, rejoignant à peu près la date ultime inscrite dans la Grande Pyramide (si l’on fait foi à Georges Barbarin) et qui est : l’an 2444.

Ajoutons, d’ailleurs, que cet an 2444 « ne saurait être assimilé à la fin du monde » : ce n’est que la fin de l’âge adamique.


Alex Roudène (pseudonyme d'André Leroux) "est un écrivain prolifique. Il est auteur, seul ou en collaboration avec Danielle Hemmert, de plus de vingt livres sur le paranormal, le spiritisme, l'occultisme, les fantômes".


jeudi, mai 30, 2024

Hollywood: islamophobia and buddhamania





L’islamophobie et la bouddhamanie ont en commun Hollywood. On ne peut nier que le cinéma hollywoodien est un outil de propagande de l'empire américano-sioniste.

Les Etasuniens ont fait preuve de beaucoup de bienveillance à l’égard du lamaïsme. Du cinéma aux milieux universitaires en passant par les librairies, le bouddhisme magique du Tibet a rencontré partout le succès. Même le lieu de villégiature officiel du président des Etats-Unis, le Naval Support Facility Thurmont, plus connu sous le nom de Camp David, fut renommé Shangri-La par le président Roosevelt. Shangri-La est le nom tibétain de Shambhala.

Shambhala est au centre de l’ésotérisme politique des lamas. Après avoir exterminé les ennemis de la "Bonne Loi", les armées de Shambhala instaureront un nouvel ordre mondial.

"Le Kalachakra tantra", le texte sacré des lamaïstes, prophétise le triomphe de la dictature mondiale au terme d’une terrible guerre qui anéantira les Mleccha. Dans le "Tantra de Kalachakra", la traductrice, Sofia Stril-Rever, écrit une note à propos de "Mleccha", mot sanskrit qui désigne les barbares :

J. Newman, "The Outer Wheel of Time : Vajrayana Buddhist Cosmology in the Kalachakratantra", et après lui un certain nombre d’universitaires américains, ont assimilé les Mleccha à des Tajiks, des Musulmans d’Asie centrale. Cette identification ne va peut-être pas de soi. "La Lumière immaculée" situe en effet Makha, capitale des Mleccha, en Inde au sud du fleuve Sita, sans forcer donc l’assimilation, phonétiquement engageante, de Makha avec La Mecque. (Le texte, "La Lumière immaculée", est un commentaire du Tantra de Kalachakra.)

Par contre, d'après Victor et Victoria Trimondi, les Mleccha sont indéniablement "les habitants de La Mecque" les ennemis du Dharma (la Bonne Loi). Ils écrivent :

"Le Tantra du Kalachakra jure une guerre totale entre le monde islamique et le monde non-islamique lors de laquelle les disciples de Mohamed seront présentés comme les ennemis principaux des bouddhistes. Dans le texte original, la Mecque est décrite comme la résidence de "l’idole puissant et impitoyable des barbares", "l’incarnation du démon" (Shri Kalachakra I. 154). Ainsi d’après l’adversaire principal du prochain roi du Shambhala, Rudra Chakrin "tourneur courroucé de la roue", nous apprenons qu’ils sont également nommés mleccha ce qui signifie "barbares" mais également "habitants de la Mecque". Un autre commentaire du Kalachakra appelle Rudra Chakrin le "meurtrier des Mlecchas".

Glorifié par l’usine à fantasmagories d’Hollywood, le lamaïsme, tout en assujettissant les spiritualistes les plus brillants qui pouvaient s’opposer au nouvel ordre mondial, met en place une hiérarchie d’initiés tantriques, des magiciens sans cœur et avides de pouvoir reliés à Shambhala.

La guerre mondiale contre les Mleccha est une réalité mortifère de l'Afghanistan à l'Iraq en passant par la Palestine... Elle n’indigne pas l’opinion occidentale car depuis des décennies les films d’Hollywood répandent un racisme anti-arabe abject.

Un documentaire canadien, "Hollywood et les Arabes", réalisé par Sut Jhally et produit par Media Education Foundation en 2006, est basé sur le livre "Reel Bad Arabs de Jack Shaheen". Le documentaire dénonce le racisme hollywoodien et passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de l’histoire du cinéma et que personne n’avait jamais osé contesté depuis l’époque du muet jusqu’aux grandes productions hollywoodiennes d’aujourd’hui.

L'écrivain et professeur d'université Jack G. Shasheen s'est lancé dans la traque au racisme anti-arabe dans le cinéma Hollywoodien. Après avoir visionné plus de 1000 films, il en conclut la complicité d'Hollywood dans la diabolisation du monde musulman.

"Reel Bad Arabs - How Hollywood Vilifies a People". Dans ce livre révolutionnaire, Jack G. Shasheen décortique l'histoire calomnieuse datant des premiers jours du cinéma jusqu'aux superproductions hollywoodiennes contemporaines qui mettent en vedette des Arabes « maléfiques » brandissant des mitrailleuses et des bombes. Autorité cinématographique primée, l'auteur démontre minutieusement que « Arabe » est resté le raccourci éhonté d'Hollywood pour « méchant ».

Dans cette étude approfondie de plus d'un millier de films, classés par ordre alphabétique dans des chapitres tels que « Méchants », « Cheikhs », « Camées » et « Cliffhangers », Shaheen documente la tendance à dépeindre les Arabes musulmans comme l'ennemi public n°1 – brutal et sans cœur. En bref, les arabes ne sont que des barbares acharnés à terroriser les Occidentaux civilisés.

Shaheen examine comment et pourquoi un tel stéréotype s’est développé et s’est propagé dans l’industrie cinématographique et ce qui peut être fait pour changer la diffamation des Arabes par Hollywood.

Télécharger gratuitement : "Reel Bad Arabs - How Hollywood Vilifies a People" de Jack G. Shasheen :

https://www.pdfdrive.com/reel-bad-arabs-how-hollywood-vilifies-a-people-e200342038.html

dimanche, mai 26, 2024

Le complot contre la civilisation




L'essayiste Stanislas Berton, auteur de "L'Homme et la Cité", recommande la lecture de ce grand classique de l'étude du mondialisme qu'est "La Révolution Mondiale - Le complot contre la civilisation" de Nesta Webster, dont la première édition remonte à 1921. 

"Le livre, écrit Stanislas Berton, commence par montrer que derrière les sociétés secrètes, dont la franc-maçonnerie, se cache la doctrine de l'illuminisme qui vise à établir un gouvernement mondial, liquider la religion, détruire la famille ainsi qu'abolir la propriété privée, c'est-à-dire le projet mondialiste. Pour illustrer son propos, Webster propose plusieurs chapitres exceptionnels et très bien documentés sur la Révolution française, première grande révolution illuministe/mondialiste de l'histoire.

Mais surtout, ce livre révèle comment le plan illuministe s'est poursuivi au XIXe avec le socialisme, le communisme et l'anarchisme. Il s'agit sur ce point du meilleur livre que j'ai pu lire à ce sujet et je recommande sa lecture à tous les marxistes ou gens de "gauche" afin qu'ils comprennent comment le peuple a été instrumentalisé et trahi dès le départ par les agents du mondialisme, à commencer par Marx et Engels.

Webster en profite également pour montrer que le "Jésus socialiste/révolutionnaire" est une pure création de l'illuminisme, qui a rencontré un grand succès en France et continue d'ailleurs de trouver des adeptes aujourd'hui. Elle confirme également les travaux de Sutton sur le financement de la révolution bolchévique par Wall Street et ajoute certains détails sur le sabotage de l'armée de Koltchak (russes anti-bolchéviques) par les agents mondialistes britanniques et américains, dont certains infiltrés.

Pour finir, un mot sur la version française publiée par les éditions Saint Rémi. Celle-ci propose une excellente traduction française (je le dis en étant moi-même traducteur de l'anglais vers le français) et un grand nombre de notes de bas de page rédigées par le traducteur. Autant certaines sont passionnantes et pertinentes, autant d'autres le sont moins et ont parfois la main un peu lourde concernant le "complot juif", jusqu'à parasiter la lecture d'un texte globalement équilibré sur ce point.

Ces quelques défauts desservent un livre remarquable qui gagnerait à être réédité avec une présentation plus moderne et des notes du traducteur un peu moins nombreuses et remaniées, de façon à permettre à un plus large public de découvrir ce livre essentiel."

Télécharger gratuitement la version numérique du livre de Nesta Webster "La révolution mondiale".

"Nesta Webster (1876-1960), née Nesta Bevan, était la plus jeune fille de Robert Bevan, qui fut lui-même très ami du célèbre Cardinal Manning ; sa mère était fille de l'évêque anglican Shuttelworth de Chichester ; chose qui explique sans doute une vision historique protestantisante. 

Comme beaucoup de personnes de la haute bourgeoisie anglaise de son temps, à l'époque de l'Empire, lorsqu'elle fut devenue majeure, sa famille lui permit de voyager et de parcourir les possessions anglaises, l'Inde, la Birmanie, Singapour, et aussi le Japon. Rentrée en Angleterre avec son mari Arthur Webster, superintendant de la police, rencontré en Inde, elle se mit à écrire d'abord un roman historique sur le XVIIIème siècle français : "Le Chevalier de Boufflers" qui mérita une longue recension dans The Spectator.

L'histoire mondiale la fascinant, elle avait décelé les influences illuministes et juives sur la décadence de l'Occident (Secret Societies and subversives Movements). Tout aussitôt la presse des banquiers lui fit procès de fascisme, puis de nazisme selon la coutume totalitaire. Or, c'est chose faite : le Communisme judéo-maçonnique, sous la forme d'un bolchevisme déguisé, tient aujourd'hui en esclavage mental ou physique, ou les deux à la fois, la quasi-totalité de la population mondiale. Il a su gagner des adeptes parmi les idéalistes et les enragés stipendiés (écologistes ou autres) qui voient en lui un modèle de société qui mettra fin à la pauvreté et apporterait une distribution équitable des richesses sans nuire à la planète. Plus les preuves de la conjuration s'accumulent, plus elles sont authentifiées, ce qui est un comble, par d'orgueilleux aveux et des déclamations outrecuidantes des fils de l'Homicide, et plus les procès et les calomnies sont montés contre les témoins vivants ou morts qui dénoncent le mensonge, l'imposture, la perversité en marche et la tyrannie mondialiste. Nuremberg a servi de ballon d'essai ; et l'essai, comme on dit, a été transformé sous nos yeux."


samedi, mai 25, 2024

Vaccinations obligatoires, le devoir de désobéissance civile



Nouvelle panique et nouvelle injection de masse (?) 

22 mai 2024 :

Les États-Unis annoncent la commande imminente de "4,8 millions de doses de vaccins anti H5N1 chez l’homme", après la découverte d’un "deuxième cas de transmission du virus de la vache à l’homme cette semaine, dans le Michigan". "Ils vont se rapprocher de Pfizer et Moderna" pour "bénéficier de la technologie ARN messager". 

Source : https://www.cidrap.umn.edu/avian-influenza-bird-flu/hhs-advances-plan-produce-48-million-h5n1-vaccine-doses


Le devoir de désobéissance civile


D
e son temps, Georges Bernanos avait prévu ce qui nous arrivera si nous acceptons cet asservissement qu'on cherche à nous imposer et qui mènerait au "Nouvel Ordre Mondial", évoqué en 1991 par l'ancien Président américain, Georges Bush senior, et relancé avec les attentats du 11 septembre 2001 par son fils Georges W. Le Congrès des Etats-Unis n'a-t-il pas accordé les pleins pouvoirs au Gouvernement fédéral, en votant l'USA Patriot Act, le 26 octobre 2001  et en publiant la stratégie nationale de sécurité, le 11 septembre 2002, avec The Madel Emergency Health Powers Act, permettant d'exiger la vaccination pour tous les américains, tout refus étant considéré comme un délit ?

Face aux méthodes de destruction de plus en plus efficaces, qui finiront par rayer notre espèce de la planète, Georges Bernanos mettait déjà en avant, il y a un demi siècle, « la docilité, l'absence de responsabilité de l'homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public ».

L'obéissance aveugle n'est plus une vertu lorsque la confiance s'effondre. Elle devient alors la plus sournoise des tentations, contre laquelle nous devons évidemment lutter. Car, en l'absence du rétablissement de la confiance et de réelles prises de conscience de nos autorités, qui doivent impérativement se libérer de toute pression économico-politique, la docilité contagieuse de l'homme ira de pair avec le développement de nouvelles maladies émergentes, qui finiront par détruire la planète et ses habitants.

À moins que le trop célèbre « responsable mais pas coupable », qui définit l'irresponsabilité du politique, ne génère, avec l'instinct de survie, la désobéissance civile. Dans le cadre du scandale du sang contaminé, que nos politiciens actuels semblent avoir bien vite oublié, André Glücksmann stigmatisait cette même désobéissance civile, « forme de responsabilité qui appelle à davantage de responsabilité ». Dans la dernière affaire des paillotes corses, le Premier ministre de l'époque, Lionel Jospin, avait à son tour évoqué cette désobéissance en déclarant : « le préfet et les gendarmes auraient dû désobéir à des ordres illégaux », sans toutefois préciser l'origine de ces ordres !

Devant la puissance financière des multinationales agroalimentaires et pharmaceutiques, et la persistance de leur mainmise sur la politique de santé et sur la gestion des crises sanitaires, au niveau de l'OMS et des institutions sanitaires, sommes-nous condamnés à développer cette désobéissance civile ?

En suivant les conseils éclairés de la fable de Jean de la Fontaine, « le rat des villes et le rat des champs », que nos dirigeants semblent également méconnaître, nous pourrions retrouver, tel le rat des champs, le contact avec nos racines et la confiance perdue, restaurant ainsi la conscience et le bon sens institutionnels et individuels, tout en respectant la nature. Ces institutions doivent donc impérativement se libérer du joug des lobbies de l'industrie notamment, tandis que l'homme doit retrouver le contact avec ses racines.

Comme le souligne Edgar Morin : « toute notre philosophie s'écroule, mais un être nouveau peut être procréé. Le vrai problème, le seul non technique, c'est celui du modèle d'homme ou plutôt de post hominien qu'il faut édifier. Ce modèle devra être la réalisation concrète de l'humanisme au moment où celui-ci tombe en miettes.»

Cet « humanisme » doit bien évidemment intégrer et même contaminer nos institutions, manipulées par des experts inféodés à l'argent roi des multinationales, pour lesquelles le marché prime sur tous et sur tout, sauf les indices boursiers ...

Comme le disait fort justement Alexis Carrel, nous ne pourrons entreprendre la propre restauration de l'homme et celle de nos institutions, « sans avoir réformé notre mode de pensée », lequel doit retrouver toute sa liberté d'expression, aux antipodes de la pensée unique.

Docteur Marc Vercoutère.


"Le Dr Marc Vercoutère nous quittait à l’âge de 67 ans (21 décembre 2018). Victime lui-même de vaccins à l’âge de 18 ans, il a développé quelques années plus tard une sclérose en plaques, dont il était très éprouvé, suivi d’un diabète.

Radié de l’ordre des médecins durant plus de 25 ans, il a consacré sa vie à dénoncer et à combattre l’imposture vaccinale." (Source)



PDF gratuit, Henry David THOREAU 
LA DESOBEISSANCE CIVILE



jeudi, mai 23, 2024

Le saint patron des enfants torturés et sacrifiés

2023-2024





Le 24 mars 1475

Simon de Trente

(10 minutes)
En 1588, le pape Sixte-Quint proclame Simon martyr et saint patron des enfants enlevés, torturés et sacrifiés.


Extrait
du livre "La vérité sur les meurtres rituels juifs" de Frederik To Gaste :


Le jeudi de la semaine pascale de l’an 1475, dans la ville de Trente, se déroula un drame épouvantable : un meurtre rituel dont la victime fut le petit Simon Gerber âgé de 2 ans et demi ; meurtre à propos duquel nous sommes renseignés jusque dans les moindres détails grâce aux documents du procès obtenus dans leur intégralité.

Da
ns la ville habitaient alors trois familles de juifs dont les chefs, Angelo, Tobias et Samuel se retrouvèrent à plusieurs reprises manifestant leur contrariété à l’idée de manquer de sang chrétien indispensable à la préparation des galettes azymes de Pâque.

Ce fait et la description ultérieure du crime seront donnés en toute clarté lors des séances d’audition des témoins.

Les trois juifs pressèrent un marchand juif de passage, du nom de Lazzaro, de leur fournir un enfant chrétien. Après quelque hésitation, il se déclara d’accord pour le prix de 100 ducats et parvint à attirer, le petit Simon Gerber de 2 ans et demi, enfant particulièrement beau, dans le maison de Samuel. La nuit tombée, le crime fut accompli, auquel participèrent les 7 juifs suivants : Samuel et son fils Israël, Moïse (le vieux), son fils Mohar et son petit-fils Bonaventura, le serviteur Vitale, le cuisinier Bonaventura et le médecin Tobias. Angelo, qui avait vraiment été l’instigateur du rapt de l’enfant, n’était pas présent.

Il est intéressant de noter que la version du meurtre qui va suivre fut rapportée unanimement par les accusés, alors même qu’ils étaient gardés sous le régime d’isolement cellulaire et qu’aucun mauvais traitement corporel ne leur fut appliqué.

Nous commencerons par l’exposé du valet Vitale, particulièrement détaillé : le jour de la Pâque juive, jeudi, au crépuscule (il ne se souvenait plus exactement de l’heure), il (Vitale) était allé dans la maison de Samuel, puis dans la chambre qui faisait face à la synagogue.

Là se trouvaient aussi : Moïse, le vieux ; son fils Mohar ainsi que le fils de celui-ci, Bonaventura ; Samuel et son fils Israël ; Bonaventura, le cuisinier et Tobias, le médecin. Samuel entoura le cou de l’enfant, que le vieux Moïse, assis sur un banc, tenait sur ses genoux, d’un foulard. Moïse et Samuel tirèrent fortement sur le foulard afin d’étouffer tout cri que pût émettre l’enfant. Alors Moïse, muni d’une pince arracha un morceau de chair de la joue droite de la petite victime. Samuel et Tobias firent de même. Le sang qui s’écoulait de la joue était recueilli dans une écuelle ; Tobias et Mohar se relayaient pour récolter le sang.

Tous, y compris Vitale, avaient en main des aiguilles pour percer l’enfant, tout en articulant des paroles en hébreux qu’il ne comprit pas. Puis, avec la même pince, ils prélevèrent de la chair à l’extérieur de la cuisse droite du petit. Il ne se souvenait pas qui des deux avait été le premier à continuer ainsi l’infâme besogne, ni qui tenait ensuite l’écuelle dans laquelle s’écoulait le sang. Puis Moïse et Samuel, assis sur un banc, saisirent l’enfant et le placèrent debout entre eux, tout en le soutenant : Moïse, à la droite de l’enfant, saisit le pied de celui-ci et étendit en même temps son petit bras droit ; Samuel fit de même à gauche. Le témoin croit se souvenir que même Tobias maintenait les pieds de l’enfant ; ainsi le petit revêtait la position du crucifié. C’est alors que les autres juifs qui l’entouraient lui portèrent des estocades avec des aiguilles qu’ils avaient en main. Vitale, comme déjà dit, y participa aussi. Sous ce martyre, l’enfant expira.

L’interrogatoire aboutit à toute la clarté souhaitable, incluant les mobiles du meurtre : ainsi donc l’enfant fut tué en vue de récupérer son sang pour le mêler à la pâte dont on fait les galettes azymes qui sont consommées à Pâque. Ce sang, provenant d’un enfant chrétien serait nécessaire à chaque célébration pascale. Car il règne, dans les cercles de juifs initiés, la conviction selon laquelle le sang d’un enfant chrétien tué est de grande utilité pour le salut de leurs âmes ; mais que ce sang ne serait pas aussi efficace si on ne tuait pas la victime de la même manière que les juifs ont tué Jésus Christ ; que l’enfant peut vraiment être tué quel que soit le jour, son sang récolté, mais que le sacrifice est plus agréable à Dieu si l’expiation a lieu peu avant Pâque.

Les juifs ne seraient pas des juifs s’ils ne liaient pas leur désir de meurtre à un florissant trafic. Le procès du meurtre de Trente démontra clairement qu’il ne s’agissait nullement d’un cas isolé ; du reste les épouses de Tobias et de Mohar, auditionnées comme témoins, reconnurent encore bien d’autres meurtres auparavant. L’accusé Samuel rapporta, entre autres, que les sanguinaires marchands juifs étaient pourvus d’autorisations rabbiniques supérieures, afin que les « clients » soient sûrs de ne recevoir que du sang recueilli de manière irréprochable ; sang qui, selon les accusés, n’était pas utilisé que dans la cuisson de galettes pascales, mais aussi mélangé au vin de circonstance.

Il va de soi que, même pendant la durée du procès, s’installa une intense agitation juive afin d’obtenir la libération des accusés, occurrence coutumière que nous observons lors de tous les procès de meurtres rituels. Malgré toutes les démarches auxquelles participèrent ici exceptionnellement le pape et l’Eglise catholique, quatre des accusés furent condamnés à mort et exécutés. Le vieux Moïse, en tant que chef de la communauté, préféra se donner la mort en prison.

Pourtant l’agitation des juifs ne tarit pas, agitation qui, pour le moins, visait à disculper ultérieurement les juifs du fléau des meurtres rituels. Ils se réfugièrent avant toute chose derrière une protection papale, mais celui-ci avait été entre-temps dûment renseigné sur l’affaire ; ainsi confirma-t-il, dans une bulle extraordinaire, que la sentence des juges de Trente était équitable et inattaquable. C’est ainsi que le pape Grégoire XIII permit, cent ans plus tard, au petit Simon d’être accueilli au sein des martyrs de l’Église romaine et canonisé. 

Notes :

- Le culte de Simon de Trente, saint patron des enfants victimes d'enlèvement ou de tortures, fut aboli par Paul VI. 


- PDF gratuit : "La vérité sur les meurtres rituels juifs" de Frederik To Gaste.



lundi, mai 20, 2024

La pédocriminalité et le meurtre sont utilisés pour contrôler les dirigeants




Le monde entier est contrôlé par une cabale apatride qui fait chanter les principaux dirigeants mondiaux avec des vidéos capturant leurs actes pédocriminels et le sacrifice d’enfants.

Cela a été décrit par les médias indépendants pendant des années, mais les médias officiels, Big Tech et les tribunaux l’ont dissimulé, car ils sont tous complices.

Le témoignage "oublié" du Père Georges Morand (prêtre exorciste) sur France Culture en 2011 dans l'émission "Sur les docks" à propos des réseaux pédo-sataniques élitistes :





Pédophilie, un magistrat contre la loi du silence

PDF gratuit ICI

  « Viol d’anges n’est pas un écrit de circonstance, écrit Martine Bouillon en 1997, même si les circonstances le rendent d’une dramatique actualité : je porte ce livre en moi depuis vingt ans.

Depuis vingt ans, je suis magistrat et je suis ulcérée de voir mes contemporains utiliser des enfants comme objets sexuels, dans l’indifférence générale. Je ne détaille pas ici les horreurs dont j’ai été témoin : voyeurs, passez votre chemin ! J’analyse plutôt ce que j’ai compris, en abordant sans complaisance les questions les plus concrètes : y a-t-il un portrait psychologique du pédophile ? Un profil type de l’enfant abusé ? Que sait-on vraiment des réseaux ? Que se passe-t-il dans le secret des familles meurtries et dans le cœur des mères complices ? Quels remèdes suggérer ? 

Je clame que la pédophilie est le crime le plus grand et le plus grave de l’humanité, car les enfants victimes de sévices sexuels sont détruits à vie. À crime exceptionnel, je suis partisane d’opposer une loi d’exception. »


Note :

27 mars 2000 : Dans une émission présentée par Elise Lucet, la substitut du procureur Martine Bouillon déclare avoir connaissance d'un charnier d'enfants en région parisienne. Martine Bouillon sera sanctionnée et réduite au silence par le haut magistrat Michel Joubrel. 

Quelques années plus tard, Michel Joubrel, haut magistrat en poste dans les Yvelines, sera condamné à 8 mois de prison avec sursis pour détention de matériel pédopornographique.


dimanche, mai 19, 2024

Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire




Anthropologue français, spécialisé en santé publique, Jean Dominique Michel enseigna dans de nombreuses universités.

Dans une courte vidéo sur Odyssee : "Les années Covid 19, crime contre l’humanité et déferlement totalitaire", Jean Dominique Michel nous parle de ses deux récents ouvrages :

- "Autopsie d’un désastre - Comment et pourquoi ils ont fait tout faux. A quand leur mea culpa ?" Préface du Professeur Didier Raoult.

- "La fabrication du désastre - Qui ? Comment ? Pourquoi ?" Préface du Professeur Christian Perronne.



Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire


Par Jean Dominique Michel


Nous sommes le 15 mai 2024. Il y a 6 mois paraissait « Autopsie d’un désastre », un livre dans lequel je faisais l’inventaire du bilan complet de la gestion absolument désastreuse de l’épidémie du Covid 19. Alors, ce n’est pas une surprise, ce n’est pas un scoop pour ceux qui ont fait l’effort de se renseigner.

Christian Perronne et d’autres l’ont annoncé très tôt : « Ils ont fait tout faux ».

Par contre, 4 ans après, nous devons poser le constat qu’ils ont continué à « faire tout faux » et INTENTIONNELLEMENT. Les moyens mis à disposition pour diffuser une propagande mensongère et fallacieuse quant à la réalité de l’épidémie elle-même et des réponses imposées, plus les attaques et la censure contre ceux qui parlent de rappeler quelques vérités oubliées au passage ne laisse plus de doute : c’est INTENTIONNEL.

Je suis très heureux de voir que le public et nos lecteurs ont vraiment apprécié ce premier effort disant que c’est un inventaire complet et, effectivement, j’ai essayé de résumer dans un seul ouvrage tout ce qu’il y a à savoir sur le contour réel de l’épidémie, l’inefficacité et même la destructivité des mesures qui nous ont été présentées comme essentielles et nécessaires, la mise en échec des traitements précoces, d’interdire aux médecins de soigner au profit d’une injection génique expérimentale, dangereuse et inefficace, en terminant par l’explication de « la corruption systémique qui règne désormais dans le domaine de la santé » et qui fait que de l’avis des personnes les mieux informées qu’aujourd’hui, nous ne pouvons tout simplement plus avoir confiance dans les agences de santé, dans le gouvernement, ni dans les sociétés médicales et même notre propre médecin, dès lors que lui-même est endoctriné d’une manière où il ne se rend pas compte dans le meilleur des cas où il accepte de se soumettre dans le pire, à des choses qui sont souvent nocive pour les patients.

Toutefois, une fois ce constat posé, il est une question qui est incontournable : « Si cela a été fait délibérément ? », et aujourd’hui il n’y a plus de doute raisonnable à avoir à ce sujet : « qu’est-ce qui peut expliquer cette situation ? ».

Et donc, dans "La fabrication du désastre - Qui ? Comment ? Pourquoi ?" qui parait aujourd’hui en librairie est désormais disponible en librairie ou en vente en ligne.

Je parle de ce questionnement en investiguant différente hypothèses :

L’hypothèse de la bêtise et de l’erreur qui malheureusement est un peu courte parce que on aimerait bien que nos gouvernants et nos médecins se soient trompés de bonne foi, mais 4 ans d’erreurs systématiques dans la même direction avec toute une machine de guerre et de censure, cela n’est pas de la maladresse ou de l’erreur. Il faut aller voir plus loin !

L’hypothèse suivante : c’est un « hold-up » sur les finances publiques. Il y a 150 milliards d’euros qui ont été dépensés à l’échelle planétaire pour une injection de nouveau inefficace et dangereuse. Donc, cela, évidemment que ces 150 milliards d’euros ont terminé dans certaines poches et des proches qui d’après, là encore, la littérature scientifique, aujourd’hui, ont infiltré l’ensemble des agences de santé et des ministères de nos pays ; donc, c’est une hypothèse qu’il faut au moins prendre en considération.

Mais il est encore une autre hypothèse puisqu’on l’entend dans la bouche de certaines personnes qui détiennent réellement le pouvoir aujourd’hui, qui serait que « l’épidémie a été instrumentalisée pour imposer des mesures de contraintes et au fond accoutumer les populations au fait de renoncer à des droits fondamentaux même de manière massive au motif d’urgence » et on sait aujourd’hui comment nos gouvernements et la presse ont « intentionnellement » fait paniquer la population pour lui faire croire qu’elle était en danger alors que si vous n’étiez pas en toute fin de vie et atteint de maladie grave comme un cancer au stade terminal, « vous ne risquiez rien » que n’importe quelle autre année.

Et donc, voilà ce que j’explore dans ce livre avec un certain nombre de méthodes. 

La première méthode est de faire ce que l’on appelle un post-mortem. En février 2020 on sait, pertinemment, qu’il ne faut surtout pas imposer des confinements, des fermetures d’écoles, de commerces et de restaurants, le port du masque, des systèmes de traçages, des couvre-feux, des fermetures de frontières. Tout cela est parfaitement clair dans la littérature scientifique.

Même le plan OMS pandémie de 2019 le dit : « Il ne faut rien faire de tout cela qui n'a aucune utilité et qui est gravement destructeur ».

Qu’est-ce qui fait que cette bonne science et cette bonne pratique se sont retournées comme une crêpe en l’espace de quelques jours, mais qu’en plus des experts accrédités et des agences gouvernementales commencent à dire « oui, oui, c’est cela qu’il faut faire ! » … pour des mesures moyenâgeuses qu’on savait devoir éviter ?

C’est comme si demain on disait « on va soigner désormais toutes les maladies avec des saignées et des purges, des lavements pour parler français, parce que c’est ce qu’il faut faire et que tous les scientifiques, enfin ceux qui ont le droit de s’exprimer, unanimement disaient : « oui, oui, jetons aux orties tous les médicaments et les autres traitements, et il faut imposer des saignées et des purges ». Voilà le degré d’absurdité dans lequel nous avons été.

Et donc, j’ai retracé dans le livre « la fabrication du désastre » ce moment où cela bascule, ce moment où l’on remplace une science solide par des mesures complètement délirantes et bien sûr en me posant la question : « Qui ont été les personnes aux commandes ? ».

Et, je me permets de préciser une fois de plus que je documente tout très soigneusement et il y a de nouveau plus de 1000 références dans ce livre et pas pour le plaisir de l’accumulation mais parce que je tiens à ce que tout lecteur qui se pose des questions et qui dise « bon ! là il dit cela, mais comment savoir si c’est vrai ? » de lui donner la référence pour aller vérifier par lui-même.

Une fois ceci posé, il faut effectivement comprendre qu’un tel désastre aura été possible à un moment très particulier dans l’histoire de notre civilisation. On peut observer simplement en regardant autour de nous le dernier concours de l’Eurovision, par exemple, et l’on voit d’innombrables exemples que notre époque est profondément décadente, c’est-à-dire que tous les systèmes sociaux qui sont sensés garantir le vivre ensemble, l’équité, la justice, la démocratie, sont en plein effondrement. Donc, il y a un moment évidemment très particulier de l’évolution de nos sociétés dans lequel cela se produit.

Ensuite, j’analyse comment cela a été rendu possible en rappelant une phrase de Corinne Lalo, admirable journaliste et grand reporter, qui a dit très clairement : 

« Si les journalistes avaient fait leur métier honnêtement, rien de tout cela n’aurait été possible ».

Pourquoi ? Parce que le fait de pouvoir imposer des mesures aussi absurdes et dommageables à la population aura dépendu du fait que la population soit systématiquement et massivement désinformée pour en venir à croire par exemple que le port du masque protégeait, ce qui n’est évidemment pas vrai. Les masques n’ont jamais protégé des virus ni même des bactéries, même en salle d’opération chirurgicale, pour ceux qui connaissent un peu le sujet en détail.

Et donc, j’aborde cette question des « médias, arme de destructions massives ». Alors, heureusement, ils sont en plein effondrement économique et, heureusement, la population n’a plus confiance en eux et elle a bien raison.

Mais, voilà, je décortique la manière dont la presse a agi d’une manière profondément nocive, profondément scandaleuse sur le plan déontologique, mais également profondément illégale. Bien évidemment, je souhaite qu’il y ait rapidement des poursuites pour que les gens qui ont participé à terroriser la population et l’induire en erreur, en mettant sa santé en danger, rendent des comptes devant les tribunaux. Pour cela, encore faudrait-il que les tribunaux fonctionnent, que nous soyons encore dans un Etat de droit. Et malheureusement ce n'est pas exactement ce que l’on observe.

Une fois passé en revue le rôle désastreux de la presse, je m’intéresse aux procédés « d’ingénierie sociale » qui ont été mis en œuvre, c’est-à-dire qu’il y a un ensemble de manipulations psychologiques à grande échelle qui ont été mis en avant par des boîtes de communication et des cabinets de conseil spécialisés dans ce registre, d’une manière dont on a pu voir l’efficacité sur l’impact que cela a eu sur l’opinion publique mais aussi sur les opinions des gens autour de nous. Les gens ont sincèrement cru qu’il fallait absolument éviter de se faire soigner en attendant une injection douteuse. Et si les gens ont été convaincus, c’est parce qu’il y a tout un savoir-faire extrêmement puissant qui a été mis en œuvre que je détaille.

Ensuite, j’ouvre sur une dimension vertigineuse que la plupart des gens ignorent et que l’on appellera « le complexe industriel de la censure ». En fait, ce qui a permis la substitution de réponses absurdes à la bonne science et à la bonne pratique médicale, c’est « une militarisation de la santé publique ». Il y a depuis 20 ans un courant par lequel les départements de la défense et les agences de sécurité, notamment des USA, ont pris le pouvoir sur la santé publique mondiale et, en fait, il y a un phénomène parfaitement comparable dans le domaine de l’information. Il faut savoir que « tous les médias » en Occident aujourd’hui, je dis bien tous les médias, et j’en donne les preuves dans le livre, sont aujourd’hui massivement infiltrés par l’OTAN, par la CIA, et par les agences de sécurité de ce que l’on appelle « l’Etat profond » dans les différents pays. Et donc, leur but n’est évidemment pas d’informer la population mais de veiller à ce que la population croit des choses qui sont fausses pour, soit « vendre des guerres », et cela Julien Assange l’avait annoncé, soit contraindre ou pousser la population à se faire injecter dans le cadre d’une expérimentation médicale qui est interdite par le droit de la santé, croyant bien faire.

Et donc, il y a un complexe industriel qui a pris une censure féroce, on l’a vu, des contenus circulants sur internet, sur les réseaux sociaux, y compris de la bonne science, la meilleure science produite par les meilleurs experts.

Vous savez que les plateformes des réseaux sociaux prétendent ne pas avoir les moyens de lutter contre la pédo-criminalité et que cela serait trop compliqué de bloquer tous les comptes qui s’activent dans ce registre, mais en attendant ils n’ont eu aucune difficulté à bloquer tous les comptes qui cherchaient à faire vivre de la vraie science, et tout cela a été prévu depuis des années et des années.

Donc, j’ai envie de dire que, quand Emmanuel Macron est venu nous raconter « nous sommes en guerre », c’est une absurdité totale ; tout ce système industriel de la censure était prêt et actionné du jour au lendemain d’une manière dont on a vu l’efficacité et les dégâts que cela a commis.

Une fois tout ceci posé, « nous ne pouvons pas éviter le constat que nous sommes bel et bien dans un déferlement totalitaire », nous avons basculé dans un système totalitaire ici et maintenant. Donc, bien sûr, cela n’a pas la même forme qu’en Union Soviétique ou sous Hitler ou sous Mussolini, mais nous trouvons philosophiquement, politiquement, et au niveau de la société dans son ensemble, exactement les ressorts caractéristiques du « totalitarisme ».

Donc, je fais un tour d’horizon de cette question avant d’arriver à la question de fond : « Il y a un coup d’état totalitaire qui est en cours ». Quel constat pouvons-nous poser sur l’état d’avancement de ce projet ? Je ne donnerai pas le fin mot de l’histoire, simplement que je m’appuie évidemment sur des sources absolument magnifiques pour aider à mieux comprendre le moment réel dans lequel nous sommes et quels sont les enjeux. Donc, une fois que l’on a compris que toute cette crise, la gestion de cette crise, a été une catastrophe, un désastre minable, lamentable, toxique, perpétré par des gens qui ont menti systématiquement depuis 4 ans, ce deuxième livre, lui, va vous amener dans toutes les coulisses de cette affaire et notamment en montrant que « tout était prévu depuis 20 ans », tout était préparé depuis 20 ans, et que « NON, ce n’est pas une erreur ou une somme de maladresses, c’est un projet intentionnel et délibéré » ; et la fin du livre vous montre dans quelle direction cela va et quels intérêts cela sert.

Je terminerai en disant que j’ai eu le bonheur et le privilège de bénéficier d’une préface absolument somptueuse du Professeur Christian Perronne, et à elle-même elle vaudrait l’achat du livre ; franchement c’est un texte qui est remarquable et que je partagerai publiquement dans les jours qui viennent, puis d’une postface de Hélène Strohl et Michel Maffesoli. Michel Maffesoli est un des plus grands sociologues, anthropologue et philosophe de notre époque, et cela fait des décennies qu’il montre le changement du monde dans lequel nous sommes. Donc, c’est une contribution vraiment passionnante pour bien apprécier le mouvement d’ensemble dans lequel ces crises s’inscrivent. Hélène Strohl est une ancienne Inspectrice générale des affaires sociales, et elle a une connaissance très, très fine des dispositifs sur le terrain. Donc, je dis que le cœur de mon propos est vraiment encadré par une entrée et une fin absolument somptueuse. Donc, si ce sujet vous intéresse, n’hésitez pas bien sûr à acquérir le livre et puis de toute manière dans les jours qui viennent, je publierai un certain nombre de contenus en vidéos pour mieux éclairer ces différentes facettes que je viens de résumer rapidement ici. J’espère vraiment que ce livre qui est très dense et qui contient beaucoup d’informations qui sont peu connues à l’heure actuelle aidera à faire évoluer la compréhension générale des choses, mais aussi de montrer les responsabilités écrasantes, écrasantes, que portent ceux qui ont infligé ce désastre aux populations, c’est-à-dire nous.


UNE FABLE

HUMAIN « AU-DELA » DU MONSTRE HUMAIN Par Dharma Au fait …, pour gagner du temps …, « Il n’y a jamais eu de pandémie ! » … Seulement comme di...