jeudi, novembre 30, 2023

Un gourou et 40 personnes ont été arrêtés en France


Gregorian Bivolaru avait déjà été arrêté en 2004 en Roumanie, accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec une mineure.

La police française a démantelé un réseau international de yoga controversé et placé 41 personnes en garde à vue, dont son chef spirituel.

Un total de 41 personnes ont été interpellées mardi par la police en France, soupçonnées d’être liées à une secte internationale accusée de nombreuses dérives sous couvert de pratique du yoga, a-t-on appris de source proche du dossier, confirmant une information de Libération.

Parmi les interpellés figure Gregorian Bivolaru, le gourou roumain et fondateur de ce mouvement international de yoga controversé, a précisé cette source. Le chef spirituel de la fédération de yoga tantrique Atman est accusé d’endoctriner les adeptes féminines de son organisation afin de les exploiter sexuellement, selon des informations de Libération.

Gregorian Bivolaru a été arrêté lors d’un vaste coup de filet durant lequel 175 policiers sont intervenus en simultané dans plusieurs régions de France. Selon les témoignages de victimes, le Roumain de 71 ans aurait fait venir ses fidèles dans une maison de la région parisienne pour des «initiations sexuelles» de yoga tantrique.

Déjà condamné pour viol sur mineur en Roumanie et recherché par Interpol pour «traites de femmes», Gregorian Bivolaru fait l’objet d’une information judiciaire depuis juillet 2023 pour «traite de personnes», «séquestration en bande organisée», «viol» et «abus de faiblesse en bande organisée par des membres d’une secte», détaille le média français.




dimanche, novembre 26, 2023

La série britannique Torchwood et les prédateurs d'enfants


Résumé Torchwood Saison 3, épisode 5: "Les enfants de la terre". 
Le colonel Oduya apprend que les enfants représentent en fait une drogue pour des non-humains. Les autorités font regrouper les enfants du pays dans les écoles pour lancer une campagne de vaccination...


La dernière saison de Torchwood, « Les enfants de la Terre », écrite par Stephen Russell Davies, officier de l’Ordre de l’Empire Britannique, diffusée en 2009, est-elle une pure fiction ?


De terribles prédateurs, les 456, vivant probablement dans une autre dimension, ont besoin de la vitalité des enfants de la Terre. Ils envoient un répugnant et redoutable émissaire pour traiter directement avec les gouvernements terriens.

Les puissants qui nous gouvernent sont dépeints avec réalisme. Ils sont calculateurs, cyniques, dénués de compassion. Ils collaborent immédiatement avec les 456. Des millions d’enfants issus des milieux les plus modestes seront déportés dans le monde des prédateurs à condition que la progéniture des puissants et des nantis soit épargnée.

Le pouvoir politique répand un mensonge pour amadouer les populations. On fait croire qu’une terrible pandémie menace le monde. Les enfants doivent être rapidement vaccinés.

L’armée entre en action, prétextant la vaccination, les enfants des classes populaires sont raflés dans les écoles et chez eux…


Sohrawardî & la philosophie illuminative



Sohrawardî, né en 1155, au nord-ouest de l’Iran, dans l’ancien pays des Mèdes, est appelé le cheikh al-Ishrâq ou Sâhid al-Ishrâq (Maître de la philosophie illuminative).


Sohrawardî considère que la philosophie est indispensable au mystique, de même qu’un philosophe ne peut pas se passer de la mystique ; ces deux voies se complètent et ont besoin l’une de l’autre. Tout d’abord, par une trilogie d’ouvrages nommés « Kitâb at-Talwîhât al-lawhîyah wa-l’arshîya », « Kitâb al-Muqâwamât » et Kitâb al-Mashâri’ wa-l-Mutârahât », il prépare les disciples à une formation philosophique. Celle-ci se fonde sur l’héritage des néoplatoniciens, ou plutôt sur une mise au point personnelle de Sohrawardî qu’il appelle la philosophie des « Anciens Péripatéticiens ». C’est un entraînement dialectique destiné à celui qui veut suivre de près le contenu de ses philosophèmes exposés dans son « Hikmat al-Ishrâq », « la philosophie de l’Orient » qui est « une philosophie illuminative ».


Le philosophe gnostique à la rencontre de l’Ange


Qui est l’Ange personnel ?

« Le thème du soi impliqué comme « réalité objective » dans la connaissance de soi, dans l’acte du sujet se connaissant soi-même, a trouvé sa résolution finale (au sens musical du mot) dans la rencontre de l’Ange au Sinaï mystique. Plus exactement dit, le soi nous apparaît dès lors, en tant que notre moi essentiel et authentique, comme moi à la seconde personne, alter ego, si réel que le moi terrestre qui en est le reflet, l’image exilée, entre en dialogue avec lui. Qu’il soit l’archétype éternel du gnostique, qu’il lui révèle son origine, ce qu’il était avant d’être manifesté, projeté et exilé en ce monde-ci, que pour le retrouver, se conjoindre de nouveau à lui, il faille au gnostique cette quête de la connaissance de soi dont le récit de Sohrawardî vient de nous figurer les étapes jusqu’au passage par la Source de la Vie, c’est ce qu’attestent les déclarations de l’Ange au gnostique qui est son « enfant », de même que l’Ange est lui-même l’« enfant » de l’Ange qui le précède. Les termes les plus caractéristiques qui le désignent dans la gnose islamique en général, sont les équivalents des termes usités pour l’Ange dans la gnose tout court : l’homme essentiel, réel (al-insâm al-haqîqî = ho ontôs anthrôpos), l’homme parfait (al-insân al-kâmil = anthrôpos teleios), Nature Parfaite, moi-lumière, homme de lumière (shakhs nûrânî) etc. » (Henry Corbin)


Initiation à la chevalerie spirituelle


Dans ces récits d'initiation qui font suite au texte de Sohravardî traduit et présenté antérieurement par Henry Corbin sous le titre « L'Archange empourpré », ce qui nous est proposé est comme une aventure religieuse du Moi profond. Dans la doctrine sohravardienne de l'Ishrâq, l'« Ange » est en effet le double céleste de la psyché terrestre. Etre de lumière qui le fond dans sa réalité d'âme, l'« Ange » est le principe transcendant de son individualité. Le Destin de l'homme est unique et voué à l'Unique. Mais un Unique qui n'est tel que pour chacun. Le sens dernier de ce livre est que notre solitude au sein du monde n'est pas un destin sans issue mais une essentielle « dualitude ». Cette autre part de nous-même qu'est notre « Ange » peut nous soutenir dès ici-bas si nous savons entendre son appel transformant, au cœur de notre vie la plus singulière.



Illustration : "Ange", par William Blake

jeudi, novembre 23, 2023

Quand on abolira la circoncision, le monde sanglant cessera de marcher sur la tête



"La suppression radicale de la circoncision au 8ème jour réglerait la question juive (Comme je l’ai expliqué dans mes ouvrages secrets). Mais, hélas, le Judéo-Cartésianisme est lancé et rien ne peut désormais arrêter sa course vers le néant. Le Rothschildo-Marxisme va nous exterminer. Après les ruines… On verra !
Après l’âge de fer, du béton, des ténèbres, ce sera l’âge d’or mais nous ne serons plus là pour le voir."

"Il n’existe plus désormais que deux partis : le mondialisme, judéopathie totalitaire, exterminatrice de l’homme et de la planète, et le nationalisme des Goyim qui ne sont pas encore totalement nécrosés par l’influence capitalisto-marxiste juive." 


Il faut abolir la circoncision, alors le monde sanglant cessera de marcher sur la tête

Par Roger Dommergue 



Un écrivain, Dominique Aubier, qui écrivit, pour les Juifs exclusivement, un livre sur la circoncision, a dit « Qui aurait pu penser qu’un rite pût aller si loin et risquer de tout détruire à la frontière des nations ? » .

Il est maintenant temps de soulager les Juifs de leur immense fardeau qui est en fait le plus grand marché de dupes de toute l’humanité.

Il est important de savoir que le système hormonal commande l’être et le système nerveux qui ne joue qu’un rôle très effacé dans des activités complexes.

Dans ma thèse de doctorat : « Le dandysme, hyperthyroïdien physiologique » j’ai montré que Chopin, Musset, Lamartine, etc., sont des thyroïdiens. Cela définit leur physique et leur mentalité. Leur hypersensibilité, leur réaction extrême au système nerveux, vient du fait que ce sont des thyroïdiens.

Au huitième jour après la naissance, la première puberté, qui va durer 21 jours, empêchera l’harmonisation de tout le système glandulaire. La génitale interne hypotrophiée affaiblira le sens moral et l’esprit de synthèse. Ils auront tout juste assez de génitale interne pour diriger hypophyse et thyroïde qui seront développées de façon considérable : aussi des spéculations extraordinaires se développeront mais l’être n’aura aucun scrupule. Le circoncis au 8e jour pourra tricher et mentir uniquement selon son intérêt matériel. Voilà qui explique clairement l’antisémitisme de tous les temps et de tous les lieux.

Leurs énormes possibilités analytiques, leur mémoire, feront d’eux de remarquables spécialistes dans les aspects les plus divers : finance, médecins spécialistes, avocats beaucoup plus compétents que la plupart des goyim. Les prix Nobel de science vont foisonner (peut-être pas au profit de l’humanité, mais cela est un autre problème ; "le mensonge du progrès c’est Israël", a dit Simone Weil).

Leur thyroïde puissante leur donnera des automatismes remarquables comme le pianiste Horowitz, ou le violoniste Yéhudi Menuhin. 
Malheureusement ces extraordinaires qualités ne vont pas guérir la finance, l’usure et le progrès. Par exemple l’énorme escroquerie de la Federal Reserve montre un énorme potentiel spéculatif et un manque complet de sens moral. Une plaisanterie connue dit :  « A côté des financiers, Al Capone est un gentleman ».

Ainsi Rothschild et Marx ne sont pas antagonistes, le premier dirige tous les gouvernements par l’argent, le second règne sur les masses par la révolution.

Pour rendre la liberté aux Juifs il faut donc abolir la circoncision : alors le monde sanglant cessera de marcher sur la tête.

Nous sommes tous manipulés : le problème est donc de sauver les Juifs en réparant un désordre hormonal. [...]

Supprimons à jamais la circoncision au moment de la première puberté et le cauchemar planétaire s’évanouira.

Si la circoncision n’est pas abolie, les jeunes Juifs ne connaîtront que l’avenir des cimetières.

La farce juridique, sorte de confiture informe qui implique que la liberté d’expression soit interdite aux révisionnistes, est une preuve ubuesque de la dictature juive. Les parlementeurs sont complices ils sont bien payés par le bulletin de vote et nos impôts.

Peu importe si un enfant sur quatre meurt toutes les quatre secondes… étranglé par la spéculation.

Si la circoncision au 8e jour n’existe plus, la génitale interne retrouvera la plénitude de ses fonctions et la thyroïde et l’hypophyse resteront très efficientes, par hérédité, ce qui justifiera l’émergence de vraies élites.


Livres de Roger Dommergue Polacco de Menasce :

La fin des impostures

Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d'avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique. De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombés dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l'exemple type du juif de religion catholique. Tout d'abord les sémites ne sont pas d'origine européenne, ils sont ethniquement proches de l'arabe, pas du gaulois. Ensuite le juif appartient d'abord au peuple d'Israël, c'est sa communauté nationale. Enfin le judaïsme entérine religieusement le plus vieux racisme que la terre ait jamais porté. Seul le peuple élu appartient à l'essence même de dieu, les autres hommes sont assimilés à des animaux. Pas de prosélytisme chez les rabbins, convertir des animaux au judaïsme est inutile. Preuve de sa félonie, le juif se dit Français d'origine roumaine (François Copé, Pierre Moscovici), Français d'origine hongroise (Nicolas Sarkozy), Français d'origine luxembourgeoise (Stéphane Bern), Français d'origine espagnole (David Pujadas)... Quand il ne se dit pas Français, le juif se dit Européen, Corse, Breton ... Citoyen du monde. Mais jamais, oh combien jamais il ne se dit juif.





PDF gratuit ICI

Un souci de vérité synthétique motive ce long exposé. Je vous le livre sans aucun espoir de réponse intelligente et exhaustive. En effet hormis Simone Weil, Bernard Lazare, Bergson et quelques autres congénères, je n'ai jamais rencontré de Juif intellectuellement honnête. Je ne vois que leurs mensonges et leur mauvaise foi exsuder de partout. J'aimerais ne pas être parmi les Juifs, une rarissime exception susceptible de probité et de synthèse. Poser la question du silence de Heidegger est déjà inconscient en soi et je vais m'en expliquer de la façon la plus claire possible. L'histoire contemporaine nous montre clairement que la méconnaissance de l'ordre hiérarchique fondé sur la suprématie de l'autorité spirituelle sur le temporel, entraîne nécessairement, déséquilibre, anarchie sociale, confusion des valeurs, domination de l'inférieur sur le supérieur, dégénérescence biologique, intellectuelle, morale, esthétique, oubli des principes transcendants puis négation de la véritable connaissance provenant de l'esprit pénétrant notions d'identité et synthèse, et non de l'esprit dit à tort scientifique...





À l'heure où le mal s'est emparé subtilement de la dialectique et de la logique, de tous les instruments de la pensée au profit de toutes les inversions, l'impossibilité d'exprimer la vérité naît de ce qu'elle ne se manifeste plus dans le cœur de l'homme que par des émotions, des élans, des sursauts fulgurants, mais impuissants : il ne reste qu'une seule valeur digne d'être exprimée : la souffrance de l'âme et du cœur. Aussi avez-vous restitué cette souffrance mais de la seule manière que vous pouviez, c'est-à-dire pure, débarrassée de toutes les compensations que sont haine, vengeance, ironie, moquerie. Toute trace de coquetterie, tout souci d'esthétique comme la moindre recherche même légitime des effets, dénaturent la réflexion métaphysique, née d'une épreuve exceptionnelle de la vie. La souffrance n'est vraie et exemplaire que si elle subit les injures et les quolibets comme l'enfant désarmé reçoit les coups, avec un regard étonné. La dernière ressource de celui qui a compris le monde moderne c'est de s'exposer aux gifles. Ce ne fut pas là le résultat d'une délibération, vous vous êtes reproduit vous-même et il se trouve que dans cette image, il n'y rien à retrancher, rien à ajouter : elle est en quelque sorte le miroir où se réfléchit l'aventure misérable du monde moderne : votre diagnostic est compatissant mais implacable.


PDF gratuit Dossiers secrets du XXIe siècle :

dimanche, novembre 19, 2023

Crimes rituels d'enfants


Juifs célébrant le fait de tuer des enfants

- La présence du ministre israélien de la sécurité Itamar Ben-Gvir à un mariage où des colons poignardaient une photo d'un bébé palestinien brûlé vif par un colon en 2015 sur des chants religieux juifs célébrant le fait de tuer des enfants palestiniens.
- Cette vidéo remonte à 2015. Bien avant le 7 Octobre 2023. Et devinez quoi ? Le procureur a prétendu avoir perdu la vidéo quand le procès de ces extrémistes a commencé. Ils n’ont jamais été condamnés.
- Le bébé de 18 mois s’appelait Ali Dawabshe. Ses parents aussi ont été brûlés vifs. Ils sont morts des suites de leurs blessures.

Pâques de Sang


Ariel Toaff, auteur du livre "Pâques de Sang", estime que certains enfants chrétiens auraient pu avoir été tués par "une minorité de Juifs fondamentalistes d'origine ashkénaze". 


Télécharger gratuitement le livre d'Ariel Toaff "Pâques de Sang" :



L'auteur, Ariel Toaff, est le fils du Grand Rabbin de Rome et professeur de la Renaissance juive et d'histoire médiévale à l'Université Bar-Ilan en Israël, près de Tel Aviv. 

M. Toaff est particulièrement qualifié pour écrire ce livre, car il connaît parfaitement la littérature qui en découle en anglais, français, allemand et italien, ainsi que les sources documentaires originales en latin, italien médiéval, hébreu et yiddish. Ce n'est pas quelque chose sur quoi il a travaillé en secret. Au contraire, il y a travaillé ouvertement avec ses étudiants de l’université et ses collègues en Israël pendant plusieurs années ; un de ses étudiants allait même publier un article sur le sujet. 

L'auteur est extrêmement attentif à ce qu'il dit et ses conclusions doivent être prises au sérieux. 

Ce livre se lit comme une intrigue policière. S’il avait été publié en Israël, en hébreu, personne ne s'en serait soucié. On trouve un grand nombre de textes littéraires en hébreu que les juifs ne veulent pas que les Gentils connaissent. Mais l'annonce par le Dr Toaff de la publication de son livre en Italie, en italien, a soulevé une tempête de colère dans le monde entier. Sous une pression insupportable, le livre a dû être retiré de la publication. 



Les Pâques sanglantes du Dr Ariel Toaff


par Israël Shamir


Le sang, la trahison, la torture et la reddition sont si intimement mêlés, dans l’histoire du Dr Ariel Toaff, un juif italien, qu’on pourrait croire qu’elle a été campée par son éminent compatriote Umberto Eco. Ce Dr Toaff est tombé par hasard sur une découverte
effrayante : horrifié, il n’en poursuivit pas moins courageusement son chemin, impavide, jusqu’au jour où il subit la pression – insupportable – de sa communauté. Il a fini par se rétracter. Brisé.

Le Dr Toaff est le fils du grand rabbin de Rome. Il est professeur à l’Université juive de Bar Ilan, non loin de Tel Aviv. Il s’est fait un nom par ses études pénétrantes sur la juiverie médiévale. Sa somme en trois volumes : Amour, Travail et Mort (sous-titrée La vie juive dans l’Ombrie médiévale) est une encyclopédie de son champ de recherches (lequel pourrait paraître, à première vue, extrêmement spécialisé). C’est en poursuivant ses recherches dans ce domaine qu’il découvrit que les communautés juives ashkénazes vivant dans le Nord de l’Italie pratiquaient une forme particulièrement horrible de sacrifices humains : en effet, leurs sages et leurs adeptes kidnappaient et crucifiaient des bébés chrétiens, dont ils utilisaient le sang au cours de rituels magiques invoquant l’Esprit de Vengeance contre les Goyim honnis.

Il s’est, en particulier, intéressé au cas de saint Simon de Trente. Ce bébé âgé de deux ans, originaire de la ville italienne de Trente, fut kidnappé chez lui par une poignée de juifs ashkénazes, à la veille de la Pâque de l’an 1475. La nuit suivante, les kidnappeurs assassinèrent l’enfant, le saignèrent, lui transpercèrent le corps avec des aiguilles, et le crucifièrent, la tête en bas, aux invocations : « Puissent tous les chrétiens périr, qu’ils se trouvent sur terre ou en mer ! ». C’est ainsi qu’ils célébrèrent leur Pâque – un rituel archaïque consistant à faire couler le sang et à tuer des bébés, au sens le plus littéral du terme tuer, sans nul recours à la trans-substanciation du sang en vin.

Les criminels furent arrêtés ; ils avouèrent et furent jugés coupables par l’Evêque de Trente. Immédiatement, les juifs élevèrent une protestation au Pape, lequel envoya à Trente l’Evêque de Vintimille, à des fins d’investigation. Celui-ci aurait reçu un pot-de-vin confortable de la part des juifs, en conséquence de quoi il conclut que l’enfant avait été assassiné par une bombe plantée là par le Hamas, afin de ruiner la réputation d’Israël, aucun projectile d’artillerie de Tsahal n’ayant été retrouvé sur la plage de Trente. « Simon avait été tué par des chrétiens, dans l’évidente intention d’apporter la ruine aux juifs », indique l’Encyclopédie juive d’avant-guerre, extrêmement prémonitoire : en effet, ce même argument fut utilisé, mot pour mot, par les juifs, en 2006, afin de tenter de justifier le massacre massif d’enfants, à Kafr Qana.

Au quinzième siècle, les juifs étaient, certes, influents. Mais ils n’étaient pas (encore) tout-puissants. Ils ne pouvaient pas se jouer du monde entier comme ils le firent, en 2002, après leurs massacres à Jénine, donnant à absolument tout le monde l’ordre de dégager, au motif qu’il n’y aurait rien eu à voir. A l’époque, ils ne bénéficiaient pas du veto pavlovien des Etats-Unis au Conseil de Sécurité de l’ONU. Ils n’étaient pas en mesure de bombarder Rome, et il allait s’écouler encore quatre siècles avant que ne fût inventé le mot « antisémitisme ». On leur accorda un marché d’ami, bien pire encore qu’un traitement de faveur : le Pape Sixte IV réunit une commission de six cardinaux, présidée par le meilleur juriste de l’époque, et il lui confia le re-jugement de cette affaire. Et (même) cette Cour Suprême trouva les assassins coupables. Les minutes du procès ont survécu aux siècles, et on peut les consulter, de nos jours, au Vatican.

[Pour plus de détail sur la version catholique de ces événements, voir http://www.stsimonoftrent.com

Pour plus de détail sur la version juive des mêmes événements, voir http://www.jewishencyclopedia.com/view.jsp?artid=803&letter=S ]


En 1965, l’Eglise catholique romaine entama une sorte de perestroika [1]. Ce furent les tristes vieux jours de Vatican II, durant lesquels les modernisateurs éradiquèrent les fondements de la tradition, dans l’espoir de mettre la foi au goût du jour et de la faire coller au nouveau narratif judéo-compatible de la modernité. Dit plus simplement : les évêques voulaient être aimés par la presse libérale.

Les juifs, toujours en alerte, profitèrent de cette opportunité pour pousser les évêques à décanoniser saint Simon de Trente. Les évêques furent bien trop heureux d’une telle aubaine : déjà, au cours d’un rituel bizarre, les dirigeants de l’Eglise catholique avaient trouvé les juifs innocents de la Crucifixion du Christ, tout en reconnaissant la faute de l’Eglise dans la persécution des juifs : en comparaison avec une volte-face aussi magistrale, la crucifixion d’un bambin italien n’était que de la petite bière, vous l’imaginez aisément… En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les évêques décidèrent donc que les aveux des assassins n’étaient pas recevables, car ils auraient été obtenus sous la torture et, ainsi, les accusés furent innocentés, le jeune martyr étant, quant à lui, tout simplement passé par pertes et profits. Il fut mis un terme à son culte, qui fut prestement interdit, et les reliques de l’enfant martyrisé furent retirées de l’église où elles reposaient et jetées en un lieu secret, afin d’éviter toute reprise intempestive d’éventuels pèlerinages.

[ http://www.trentinocultura.net/orizzonti/notizie/Anno-2006/rogger.doc_cvt.asp ]

Mais revenons au Dr. Ariel Toaff. En étudiant les archives du procès, celui-ci a fait une découverte stupéfiante : bien loin d’avoir été dictées par des investigateurs zélés recourant à la torture, les confessions des assassins du petit Simon contenaient des éléments totalement inconnus des hommes d’Eglise ou des gendarmes italiens. Les assassins appartenaient à la petite communauté ashkénaze attardée : ils pratiquaient des rites qui leur étaient propres, très différents de ceux des juifs italiens autochtones ; ces rites ont été fidèlement décrits dans leurs dépositions, or, ils étaient totalement inconnus de la brigade criminelle de l’époque. « Ces formules liturgiques, en hébreu, à la tonalité violemment anti-chrétienne, ne sauraient être les projections de juges, qui n’auraient en aucun cas pu connaître ces prières n’appartenant en aucun cas au rituel des (juifs) italiens, mais à la tradition ashkénaze », écrit Toaff. Un aveu n’a de valeur que s’il contient un minimum de véridicité et de détails vérifiables concernant le crime, dont la police n’aurait pas eu préalablement connaissance : cette loi d’airain de l’investigation criminelle avait été scrupuleusement respectée, dans l’enquête sur le crime rituel de Trente.

Cette découverte est de taille à secouer l’Eglise, à lui procurer un choc salutaire et à lui redonner forme. Le noble rabbin lettré Ariel Toaff, docteur de l’université, a remis saint Simon à l’ordre du jour – oui, lui, saint-Simon, ce bébé victime à un double titre : victime de la vengeance, au quinzième siècle, et victime de la perestroïka (vaticanesque) du vingtième. Voilà qui appelait repentance de la part des docteurs du Vatican, qui ont oublié l’enfant assassiné, tout à leur drague d’importants juifs américains. Mais ceux-là ne reconnaissent toujours pas leur funeste erreur. Monsignor Iginio Rogger, un historien de l’Eglise, qui a induit en erreur les investigateurs sur l’affaire de saint Simon, dans les années 1960, a déclaré que les aveux n’étaient absolument pas fiables, car « les juges avaient eu recours à d’horribles tortures ». C’était là, à tout le moins, formuler une observation antisioniste – et, « donc », antisémite – car si on devait rejeter du revers de la main tous les aveux obtenus sous la torture, tous les prisonniers palestiniens qui croupissent dans les atroces geôles juives devraient être libérés illico. C’était aussi, là, une remarque anti-américaine, car les Etats-Unis reconnaissent la valeur de la torture, qu’ils pratiquent allègrement, notamment (mais pas seulement) à Guantanamo. C’était là, de surcroît, formuler une objection négationniste, étant donné qu’elle invalide en essence le procès de Nuremberg.

« Je ne voudrais pas être à la place de Toaff, et avoir à répondre de ses assertions devant des historiens ayant sérieusement étudié cette affaire », a déclaré Rogger à USA Today. Mais la place de Toaff est préférable – et de très loin – à celle de Rogger, qui devra répondre de son manque d’égards envers le saint, au Paradis.

De plus, le crime perpétré à Trente n’était nullement une exception : Toaff a découvert de nombreux autres cas de ces sacrifices sanglants, dans lesquels il est fait état d’enfants mutilés, dont le sang versé fut utilisé dans la confection de matzots (pain azyme), leurs occurrences s’étendant sur plus de cinq siècles d’histoire européenne.

[ cliquer ici outpouring of blood and its baking in Matzo ]

Le sang, ce breuvage magique, était un remède populaire, à cette époque lointaine, comme d’ailleurs en tous les temps : Hérode tenta de rester jeune en se baignant dans le sang de bébés assassinés ; les alchimistes utilisèrent du sang, dans leurs expériences tentant de transmuter le plomb en or ; les sages juifs s’adonnaient à la magie, et ils avaient recours au sang comme tout un chacun. Ces denrées précieuses qu’étaient le sang humain, la poudre de sang humain et les matzots complémentées au sang humain faisaient l’objet d’un commerce extrêmement lucratif.

Des commerçants juifs en faisaient commerce, accompagnées d’attestations rabbiniques en autorisant la vente ; le produit le plus prisé et le plus cher était le sang d’un goy katan, c’est-à-dire d’un enfant non-juif. Beaucoup moins recherché (et, donc, bien meilleur marché) était le sang provenant d’une circoncision. Ces sacrifices sanglants étaient des « actions et des réactions instinctives, viscérales, virulentes, au cours desquelles des enfants ne comprenant rien à ce qui leur arrivait devenaient des victimes innocentes de l’amour de Dieu et de la vengeance », a écrit Toaff dans la préface de son ouvrage. « Leur sang baignait les autels de Dieu, lequel, croyait-on, avait besoin d’être guidé, et parfois même d’être poussé impatiemment, selon les cas, soit à protéger, soit à punir ».

Cette remarque quelque peu hermétique est plus facile à comprendre, si on lit l’ouvrage du professeur Israël Yuval Deux Nations dans Ton Giron [Two Ntions in your Womb]Yuval y explique que les libations de sang étaient nécessaires (aux yeux des magiciens juifs) si l’on voulait amener la Vengeance Divine sur les Goyim. Il cite également un cas irréfutable (c’est-à-dire non démenti par les juifs eux-mêmes) d’un sacrifice sanglant pratiqué par un juif. [lire, à ce sujet, mon article « Diffamations Sanglantes », sur mon site : http://www.israelshamir.net ].

Toaff surpasse Yuval, en mettant l’accent sur le recours habituel des juifs au sang humain, au Moyen-Age, à des fins de magie et en faisant place à l’élément antichrétien : la crucifixion des victimes et les vociférations contre le Christ et la Vierge Marie. A ce sujet, son ouvrage est confirmé par le livre (certes, plus timide) d’Elliott Horowitz : Des Rites sans foi ni loi : Pourim et le Legs de la Violence juive [Reckless Rites : Purim and the Legacy of Jewish Violence, Princeton University Press, 2006] [ http://www.iupress.indiana.edu/journals/jss/jss4-2.html ]. Horowitz y informe ses lecteurs au sujet de rituels fort étranges : flagellations de la Vierge, destructions de crucifix, passages à tabac et assassinats de chrétiens.

Désormais, c’est du passé. Aujourd’hui, nous pouvons nous retourner vers le passé et dire : oui, certains sages et certains mystiques juifs ont pratiqué des sacrifices humains. Ils ont assassiné des enfants, ils en ont mutilé le petit corps et ils ont utilisé leur sang afin de faire se déverser l’Ire Divine contre leurs voisins non-juifs. Ils ont moqué les rites chrétiens en utilisant le sang de chrétiens, en lieu et place du sang du Christ.

L’Eglise, et les peuples, dans l’ensemble de l’Europe, avaient donc raison. Les Européens (ainsi que les Arabes, et les Russes) n’étaient nullement des bigots cinglés ; ils comprenaient fort bien ce qu’ils voyaient de leurs propres yeux. Ils punirent les coupables, et ils laissèrent les innocents vivre en paix.

Nous, les humains, nous sommes capables d’examiner cette page horrible de l’Histoire sans perdre pour autant notre dignité, et nous sommes capables, tant qu’à faire, de verser une larme ou deux pour les pauvres enfants détruits par ces monstres avides de colère divine. Les juifs devraient être plus modestes, et cesser d’entretenir leurs blessures historiques comme autant de tours dans leur sac : leurs ancêtres furent florissants, en dépit de ces terribles exactions perpétrées par certains de leurs coreligionnaires, tandis qu’au contraire, dans l’Etat juif, les péchés d’une poignée de Palestiniens retombent sur tous les Palestiniens. Nous devrions aussi rejeter d’un haussement d’épaules les geignements des amis d’Israël quand ceux-ci refusent que nous voyions les massacres de Jénine ou de Qana, car – oui, très exactement – il s’agit là de « diffamation sanglante », comme ils disent : autant dire qu’il ne s’agit (hélas !) absolument pas de diffamation.

Espérons que l’acte extrêmement courageux du Professeur Toaff représentera un tournant dans la vie de l’Eglise. La déviation causée par la perestroïka de Vatican II est allée trop loin. Souvenez-vous que la perestroïka russe s’est terminée par l’effondrement total de l’ensemble de la structure soviétique. Si les antipapistes redoutaient un anti-christ sur le Saint-Siège de saintPierre, demeure le danger, très réel, d’un Gorbatchev mitré.

Dans la ville italienne d’Orvieto, sur la côte adriatique, les juifs ont exigé l’interdiction d’une exposition de grande valeur artistique et la cessation de la procession commémorant le miracle de Trani.

[ http://www.haaretz.com/hasen/spages/815206.html ]

C’est en effet à Trani que, voici un millénaire, une hostie consacrée fut dérobée, à l’église, par une juive. Après quoi, cette voleuse décida de frire le corps du Christ dans l’huile bouillante. Mais, miraculeusement, l’hostie se transforma en chair humaine et se mit à saigner abondamment, tant et si bien que le sang sacré se répandit dans toute la maison de cette femme juive. De fait, de tels cas de profanation d’hostiles sont bien attestés dans l’ensemble de l’Europe ; ils ont été bien décrits par Yuval, Horowitz et Toaff ; ils se sont effectivement produits, et seul un infâme culot juif [chutzpah] poussa l’Association Romaine des Amis d’Israël à adresser une missive au Pape afin d’exiger de lui que fût mis un terme à un culte observé depuis un millénaire. Et cette association a eu gain de cause. L’Eglise s’est soumise, les panneaux de l’exposition furent démantelés, la procession fut annulée et de plates excuses furent adressées aux juifs, à la grande satisfaction des ambassadeurs d’Israël Gideon Meir (auprès du gouvernement italien) et Oden Ben Hur (auprès du Vatican), qui avaient édicté cette capitulation.

« Etrange monde, que le nôtre » – écrivit Domenico Savino dans l’excellent web-magazine Effedieffe.

[ http://www.effedieffe.com/interventizeta.php?id=1766&parametro=religione ]


« L’offense est attribuée à la Foi chrétienne, et le pardon est exigé, non pas des victimes, mais des coupables. » Savino se demande rhétoriquement s’il était vraiment impossible d’ignorer tout simplement l’exigence des Amis d’Israël, et il cite longuement les propos du Cardinal Walter Kasper, lequel représenta le Vatican lors de cette capitulation. Kasper y a fait son « full Monty » [Allusion à un film anglais des années 1980, où des chômeurs, dans l’espoir de trouver du boulot, procèdent à un strip-teese intégral] : il nia que l’Eglise est le Véritable et Unique Israël Elu, il affirma la position d’égalité des juifs, en tant que « frères aînés », il dénia la nécessité du Christ et il sollicita le pardon des juifs, le tout, en promettant un « nouveau printemps, pour l’Eglise et pour le monde ».

« Un printemps, pour l’Eglise ? ! ? », se récrie Savino. « Ah, mais nous avons déjà entendu ça ! Le Pape, à l’issue de Vatican II, avait dit : « Nous attendions le printemps, et c’est l’orage qui est venu ». Ce printemps, nous en avons plus qu’assez, et après cette réconciliation, à Orvieto, je ne veux plus entendre ne serait-ce que le mot « printemps », car dès que je l’entends prononcer, je vois le rictus de satisfaction des « frères aînés » Gideon Meir et Oden Ben Hur ! »

La perestroïka n’a pas affecté la seule Italie, ni la seule Eglise catholique. En Allemagne, un nouveau sacrilège est en préparation : une « Bible politiquement correcte », dans laquelle le récit de la Passion du Christ sera modifié, afin de ne pas causer d’inconfort aux juifs. Ce titre est trompeur : ils ne peuvent pas, en effet, intituler leur produit de merde « Nouvelle traduction allemande de la Bible, exempte de sexisme et d’antisémitisme », de la même manière qu’on ne saurait qualifier ses propres eaux usées de « vin exempt de substances dangereuses pour la santé ». « Changer une seule lettre de la Bible, cela équivaut à détruire le monde », affirme le Talmud, qui cite l’exemple d’un rouleau de la Torah dans lequel un seul mot avait été modifié, « meod » (très), devenant « mavet » (mort). Une telle Torah célébrant la mort pourrait à n’en pas douter entraîner la fin du monde.

Ces saintes écritures « antisemitism-free » mettront à n’en pas douter l’accent sur la souffrance juive, l’Eglise jouant le rôle du sale type, dans la pièce. Elles exalteront Judas et répudieront le Christ. De la même manière, en expurger les « préjugés sexistes » aura pour effet la suppression de l’Annonciation, cette grande dichotomie entre la monocausalité stérile des juifs et la fusion chrétienne du Ciel et de la Terre. De fait, le modèle chrétien a eu tellement plus de succès que même les juifs l’ont adopté dans leur Cabbale, et qu’ils ont apparemment décidé de laisser aux Allemands leur vieille monocausalité, dont ils n’avaient plus rien à faire.

En Angleterre, un hebdomadaire libéral paraissant de longue date, The Observer, a changé de plumage, devenant un nid de néocons soutenant la guerre et l’alliance Blair-Bush. Avec une parfaite logique, ce périodique a aussi renoncé au Christ, lui préférant les juifs, comme il appert dans cette critique d’un ouvrage récemment paru en Grande-Bretagne :

[ http://www.observer.guardian.co.uk/review/story/0,,200583,00.html ]

Adams Mars-Jones y préfère Oscar Schindler au Général Adam von Trott, exécuté en raison de la part qu’il prit au Complot des Généraux [contre Hitler, ndt], en 1944 ! : « C’est ce qui fit de la Liste de Schindler un film si étonnant : ce film répondait à l’éthique juive en montrant le cheminement extérieur du héros, plutôt qu’un cheminement intérieur. Le type était foireux. Et alors ? Ce sont ses oignons ; l’important, c’est qu’il ait sauvé des juifs ! Ses mitzvahs [B.A., ndt] lui ont valu une place parmi les Justes Gentils, et en l’absence d’une vie dans l’au-delà (car ça, ce n’est pas vraiment un péché mignon de la foi juive), c’est tout ce qu’on peut en dire. Ayons plus de ce ton-là, et moins de ce culte du martyre. La vénération pour le sacrifice, pour une victoire purement symbolique, peut faire dérailler l’entreprise la mieux intentionnée, et risque d’insulter les morts, lesquels n’avaient pas le choix. »

Le critique de l’Observer a clairement explicité son choix pour Judas ou Caïphe (« bien que foireux, il a voulu sauver des juifs ») et contre Jésus Christ, qui incarnait le Sacrifice. Son appel à « moins de culte du martyre, moins de vénération pour le sacrifice, pour une victoire purement symbolique » ferait du Golgotha le dernier mot de la question, avec nulle Résurrection en vue. Qui a besoin des vertus chrétiennes ? Les péchés et les vices de l’homme sont ses oignons, n’est-ce pas, dès lors qu’il a sauvé des juifs », et le mieux qu’un goy puisse espérer, c’est une « place parmi les Justes Gentils ». De ce point de vue, saint Simon et d’autre enfants ne sont pas morts en vain : ils ont contribué à l’appel des juifs à la Vengeance Divine, et c’est là le maximum de ce qu’ils étaient en mesure d’espérer. De la même manière, les soldats britanniques ne sauraient espérer meilleur sort que celui de mourir pour Israël dans les rues de Bassora ou de Téhéran, ou ailleurs…

Ainsi, à Rome, à Berlin ou à Londres, les juifs ont gagné une manche ou deux, dans leur compétition avec l’Eglise catholique. En s’acharnant avec entêtement, en ne regrettant jamais rien, en ne s’excusant jamais de rien, en œuvrant sans relâche contre le christianisme, ils ont réussi à remplacer, dans les esprits simples, les images de la Via Dolorosa, du Golgotha et de la Résurrection, par leurs grossières déformations de l’histoire humaine prenant la forme d’une interminable souffrance de juifs innocents, de diffamations sanglantes, d’holocaustes et de rédemption sioniste en Terre sainte. Ainsi, les gens ont rejeté – on peut les comprendre (mais non les excuser, ndt) – l’idée de la culpabilité juive dans la mise à mort du Christ : en lieu et place, les juifs ont réussi à installer dans leur intellect une idée encore bien plus absurde : celle de la culpabilité de l’Eglise dans la mort de juifs !

Les conséquences ne sont pas purement théologiques. La Grande-Bretagne, l’Italie et l’Allemagne acquiescent à l’étranglement de la Palestine pourtant chrétienne, au blocus de Gaza, au vol de terres appartenant à l’Eglise à Bethléem et à Jérusalem. Ces pays soutiennent le Drang Nach Osten américain. Pire : ils ont perdu leur liens avec Dieu, leur empathie envers leurs frères humains se tarit ; on dirait qu’un esprit de vengeance aveugle – que, seul, un sang innocent serait en mesure de conjurer – s’est emparé d’eux.

La publication de l’ouvrage du Dr Toaff pourrait bien marquer un point de retournement (atteint in extremis) dans l’histoire occidentale – un retournement à trois cent soixante degrés, faisant repasser l’Occident, de son pardon à Judas, à l’adoration du Christ. Certes : sa relation de sacrifices rituels d’enfants ne fait que produire une petite fêlure dans l’immense édifice d’un exceptionnalisme juif profondément ancré dans le béton de la mentalité européenne.

Mais les immenses édifices ont le don de s’effondrer d’un seul bloc. Cela, un certain 11 septembre nous l’a appris.

Apparemment, les juifs se sont sentis visés… Alors, aussitôt, ils ont attaqué Toaff, tels un essaim de moucherons en furie [Voir mon article ‘Carter et l’essaim de moucherons’ (Titre original : Carter and Swarm) sur mon site, au lien suivant : http://www.israelshamir.net ]. 


Un historien juif de renom, rabbin et lui-même fils de rabbin, a relaté des événements vieux de cinq siècles. Et alors ? Y a-t-il là de quoi s’émouvoir ? Au Moyen-Age, le recours au sang humain, la nécromancie et la magie noire n’étaient pas le fait exclusif des juifs ; les sorcières et les mages goyim ne donnaient certes pas leur part aux chiens ! Alors : rejoignez tout simplement le club humain, avec ses verrues et ses défauts ! Mais c’est là chose bien trop humiliante, pour d’arrogants Sélectionnés (par God Himself !).

« C’est absolument incroyable qu’il y ait quelqu’un – un historien israélien, de surcroît ! – pour accorder une once de légitimité à l’accusation diffamatoire sanglante qui a été la source de souffrances indicibles et d’agressions innombrables contre les juifs, à travers l’Histoire », a déclaré Abe Foxman, directeur national (pour les Etats-Unis) de l’Anti-Defamation League, laquelle a qualifié le livre de « dénué de fondement », l’accusant « d’apporter de l’eau au moulin des antisémites, partout dans le monde ».

Plus rabbin qu’historien, Foxman sait a priori, selon sa foi et son intime conviction, qu’il s’agirait là de « billevesées ». Mais n’a-t-il pas dit la même chose, à propos du Massacre de Jénine ?

Dans un communiqué de presse, l’Université (israélienne) Bar-Ilan « exprime sa grande colère et son extrême mécontentement au sujet de Toaff, en raison du manque de tact dont il a fait montre en publiant son ouvrage sur les accusations de meurtres rituels (juifs) en Italie. Son choix d’une maison d’édition privée italienne, le titre particulièrement provocateur de l’ouvrage et les interprétations données par les médias de son contenu ont offensé les sensibilités de juifs du monde entier, et porté atteinte au délicat tissu des relations entre juifs et chrétiens. L’Université Bar-Ilan condamne avec la dernière énergie et rejette totalement ce que semble suggérer l’ouvrage de Toaff, ainsi que les reportages diffusés par les médias portant sur son contenu, comme si les accusations sanglantes ayant conduit à l’assassinat de millions de juifs innocents avaient un quelconque fondement. »

Qu’en termes incendiaires ces choses-là sont dites ! Toaff a été immédiatement en butte à une énorme pression communautaire: il allait se retrouver – à soixante-cinq ans – sur la paille, à la rue, probablement sans retraite, sans amis et sans étudiants, ostracisé et excommunié. Sans doute sa vie elle-même était-elle menacée : l’on sait que les juifs ont l’habitude d’employer des tueurs professionnels extrêmement discrets pour éliminer de telles nuisances. Jadis, on les appelait ‘rodef’. Aujourd’hui, ce sont les ‘kidon’. Mais seul le nom a changé : ils sont toujours aussi efficaces, et ils ont été interceptés bien plus rarement que d’autres maniaques en manque de sang. La réputation de Toaf allait être totalement ruinée : une certaine Sue Blackwell

[ http://www.sue.be/pal ] se dit prête à « consulter ses amis juifs » et le traite de nazi, un Phare de Flicage [Searchlight] sponsorisé par l’ADL allait révéler, envahir ou inventer de toutes pièces sa vie privée ; bien des petits juifs, sur le ouèbe, n’allaient pas manquer de le traîner dans la boue, sur leurs blogs et sur leur corvette porte-étendard, j’ai nommé l’ « encyclopédie en ligne » Wikipedia…

Au début de l’attaque, il a tenté de résister

[ http://www.haaretz.com/hasen/spages/826066.html] : « Je ne renoncerai jamais à ma dévotion envers la vérité et les libertés académiques, dût le monde entier me crucifier ! »

Toaff a déclaré, voici de cela quelques jours, au quotidien israélien Haaretz qu’il existe une base factuelle à certaines des accusations de recours à des crimes rituels, portées contre des juifs, au Moyen-Age.

Mais Toaff n’était pas fait de pierre. A l’instar de Winston Smith, le personnage principal du roman 1984 d’Orwell, il a craqué, dans sa cellule mentale surveillée par l’inquisition juive. Il a donc publié ses plus plates excuses, arrêté de diffuser son livre, promis de le soumettre à l’Imprimatur juive et même « de faire don de tous les fonds résultants de la vente de son livre à l’Anti-Defamation League » de notre excellent Abe Foxman.

Ses derniers mots furent aussi touchants que ceux prononcés par Galilée abjurant son hérésie : « Je ne permettrait jamais qu’un quelconque contempteur des juifs m’instrumentalise, ou se serve de mes recherches en guise d’instrument pour attiser les flammes, une fois encore, de la haine qui a conduit à l’assassinat de millions de juifs. Je présente mes sincères excuses à tous ceux qui auraient été offensés par les articles et les faits déformés qui ont été attribués à mon livre, ainsi qu’à moi-même. »

Ainsi Ariel Toaff a-t-il cédé à la pression de la communauté. Non qu’importe le moins du monde ce qu’il peut bien dire, aujourd’hui. Nous ne savons pas, en effet, quelles tortures mentales ont bien pu lui être infligées par la Gestapo juive de l’ADL, ni de quelle manière il a été contraint à se rétracter.

Ce qu’il nous a apporté est amplement suffisant.

Vous allez me dire : mais que nous a-t-il apporté, au juste ? D’une certaine manière, sa contribution s’assimile à celle de Benny Morris et d’autres Nouveaux historiens israéliens : ceux-ci se sont contentés de répéter les données dont nous avions connaissance, de sources palestiniennes, notamment grâce à Abu Lughud et à Edward Saïd. Mais les sources palestiniennes n’étaient pas jugées fiables : seules, les sources juives sont considérées dignes de foi, dans notre univers judéo-centré. C’est donc la raison pour laquelle Morris et consorts ont aidé des millions de personnes à se libérer du narratif sioniste imposé. Cela n’aurait pas été nécessaire, eussions-nous été capables de croire un goy confronté à un juif, un arabe parlant de l’Expulsion de 1948, ou encore un Italien parlant de saint Simon, voire, peut-être, un Allemand évoquant les déportations de la seconde guerre mondiale. Et voici que Toaff vient de libérer moult âmes captives en répétant ce que nous savions déjà, à partir de moult sources italiennes, anglaises, allemandes ou russes.

Si la « diffamation sanglante » s’avère non pas une diffamation, mais bel et bien un crime caractérisé, alors, peut-être d’autres assertions juives vont-elles, à leur tour, s’effondrer ? Les Russes n’étaient peut-être pas responsables des pogroms, allez savoir ? Peut-être cet Ahmadinejad n’est-il pas le nouvel Hitler fanatique et ivre de destructions dont on nous bassine ? Et si les musulmans n’étaient pas ces haïsseurs de juifs malfaisants dont on nous rebat les oreilles ? Bigre !

Par ailleurs, Ariel Toaff nous a offert une meurtrière de tir nous permettant d’observer les processus en action au sein de la juiverie, et de comprendre de quelle manière cette incroyable discipline d’Essaim est perpétuée, de quelle manière les dissidents sont châtiés, de quelle manière l’uniformité mentale est obtenue.

La juiverie, de ce point de vue, est effectivement exceptionnelle : un savant chrétien (ou musulman) qui découvrirait une tache dans la longue histoire de l’Eglise ne chercherait certainement pas à la dissimuler, car il sait qu’il ne sera pas ramené à résipiscence par la terreur ; qu’il ne sera pas ostracisé, même s’il fait sienne les opinions les plus viles ; et que, quand bien même serait-il excommunié, ce scientifique ou cet écrivain trouverait un soutien amplement suffisant, comme celui dont ont bénéficié un Salman Rushdee, un Voltaire ou encore un Tolstoï.

Ni l’Eglise ni la Umma ne requièrent une telle discipline aveugle, et ni le Pape ni aucun Imam ne détient, sur ses coreligionnaires, le pouvoir dont dispose Monsieur Abe Foxman. Or, Foxman se tape totalement de la vérité : il opte toujours pour ce qui (à ses yeux, tout au moins) est « bon pour les juifs ». Et peu importe la foule des témoins : même un reportage live sur un sacrifice humain rituel juif ne saurait le contraindre à admettre une vérité déplaisante : il trouvera toujours une bonne raison. Nous l’avons vu, dans le cas du bombardement de Qana [au Liban], quand les avions israéliens ont détruit un bâtiment, tuant près de cinquante enfants, soit assurément bien plus que ce que les sages de l’Ombrie n’en ont jamais tués.

Par conséquent, n’espérez pas que le bouquin de Toaff convaincra les juifs – rien n’est en mesure de le faire.

Ne soyez pas envieux de cette union des cœurs et des esprits juifs ; le revers de la médaille de cette unité, c’est le fait qu’Aucun Juif N’Est Libre. Ce sont ses parents, qui forcent quelqu’un à être juif ; un juif n’a aucune liberté d’esprit, à aucun stade de son existence. La seule chose qu’il ait à faire, c’est : obéir aux ordres. Cher lecteur juif, si cela pouvait te permettre de comprendre que tu es un esclave, ce que tu as lu jusqu’ici n’aura pas été vain. Tant que tu resteras incapable de répondre, à la question rhétorique « n’es-tu pas un juif ? » par un simple « non », tu resteras un prisonnier sur parole, un captif au bout de sa corde.

Tôt ou tard, ils vont tirer sur la corde. Tôt au tard, tu devras mentir, rechercher des paroles ambigües, afin de nier que ce que tu sais est exact et authentique. La liberté est à ta porte ; alors, tends la main et saisis-la ! Comme le Royaume des Cieux, la liberté est à toi : il te suffit de la demander. La Liberté, c’est le Christ, car c’est avec son cœur qu’un homme choisit le Christ, non avec son prépuce. Tu es libre, dès lors que tu accueilles le Christ et que tu es capable de répondre, comme le dit l’Evangile [Matthieu 5:37] : « Que ton « Oui » signifie bien : « Oui, je suis un chrétien ! », et que ton « Non » signifie bien : « Non, je ne suis pas un juif ! » ! »

Grâce au Ciel, c’est possible !

Toaff était sur le point de s’en sortir ; quel dommage, qu’il ait perdu courage !

Son triste sort me rappelle celui d’Uriel (presque un homonyme !) Acosta. Noble précurseur de Spinoza, cet Acosta (né vers 1585 à Oporto, Portugal – mort en avril 1640 à Amsterdam) s’étant attaqué au judaïsme rabbinique, fut excommunié. « Âme sensible, Acosta ne supporta pas l’isolement résultant de sa mise à l’écart, et il se parjura, comme l’indique l’Encyclopedia Britannica. Excommunié une seconde fois après avoir été accusé de dissuader les chrétiens de se convertir au judaïsme, il prononça publiquement son autocritique après avoir souffert de longues années d’ostracisme. Cette humiliation détruisit ce qui lui restait d’estime de soi, et il se suicida d’une décharge de chevrotines. » L’erreur – fatale – commise par Acosta, c’est d’avoir été loin, mais pas assez.

*******

[1] Etrangement, ce procès ecclésial a coïncidé, pratiquement, avec la première Perestroïka [le dézingage de Staline] entreprise par Krushchev lors du vingt-deuxième Congrès du Parti communiste de l’URSS, en 1961, au cours duquel ledit Parti se repentit des péchés et des crimes commis par ses grands dirigeants d’autrefois. Une génération plus tard, c’est-à-dire trente ans après, le Parti lui-même s’effondra et ses adhérents furent décimés par la deuxième Perestroïka. La pénitence, c’est bon, pour l’âme. A cette importante différence près : l’âme, quant à elle, est immortelle…

samedi, novembre 18, 2023

"Lorsque viendra le Messie, chaque juif aura 2800 esclaves" (Talmud)



Le Rabbin Rav Ron Chaya annonce que le Messie est sur terre. Des milliers d'innocents (plus de 5000 enfants de Gaza) sont-ils sacrifiés pour inaugurer le règne du Machiah (Yenouka, le prétendu Messie des Juifs) ? Joël LaBruyère : "Le Messie du Nouvel Ordre Mondial ressemble comme deux gouttes d'eau à l'Antéchrist ou au faux-prophète de l'Apocalypse."



Le Talmud


par Dana Goldstein 



L’Ancien Testament est déjà révélateur en soi avec son dieu cruel assoiffé de sang, même s’il dissimule le vrai visage du judaïsme, détestable, révélé dans le Talmud.

Le Talmud est un texte qui réunit un ensemble de traités portant sur tous les domaines de la vie et les abordant de manière juridique.

L’aspect juridique est l’aspect fondamental intentionnel du Talmud et plus largement du judaïsme.

Toutes les discussions, argumentations et conclusions procèdent du même dessein : la mise en place de lois. Pour unir les Juifs d’une part et d’autre part, pour les imposer aux Gentils.

Dès le départ, les Juifs ont eu comme projet de se prévaloir de ses lois et d’en imprégner la société non juive. Or comme nous le dit la Jewish Virtual Library : «le judaïsme a influencé de nombreux aspects de la civilisation occidentale.» Et le judaïsme, c’est le Talmud. [...]


(...) le thème central du Talmud est la haine viscérale pour les Goys, les non-juifs . Tandis que le Juif est un être humain, le non Juif, lui, est une bête, un esclave considéré comme la propriété de son maître juif. Il est important de garder à l’esprit que les enseignements du Talmud furent transmis oralement dès l’origine du judaïsme. Ensuite, ils furent retranscrits. En conséquence, ces commandements sont bien antérieurs aux persécutions que subirent les Juifs.

Le Talmud n’est donc pas une réaction des Juifs envers les Gentils mais l’essence même du judaïsme.

Quelques citations :


«Les Juifs sont des êtres humains mais les nations du monde ne sont pas des êtres humains mais des bêtes.» (Saba Mecia 114,6)

«Dieu créa le non-Juif avec une forme humaine afin que le Juif ne se fasse pas servir par une bête.» (Midrasch Talpioth, p225-L)

«Si un non-Juif tue un non-Juif ou un Juif, il est coupable; mais si un Juif tue un non-Juif, il est innocent.» (Tosefta Qboda 8,5)

«Il est permis de tuer un délateur des Juifs , partout. Il est permis de le tuer même avant qu’il dénonce.» (Schulchan Qruch, Choszen Hamiszpat)

«Un Juif a le droit de violer, de tricher, d’escroquer et de se parjurer mais il doit prendre garde à ne pas se faire prendre, afin que le peuple d’Israël n’en souffre pas.» (Schulchan Qruch, Jore Dia)

«Un Juif peut voler un non-Juif, comme l’escroquer par une facture afin qu’il ne s’en rende pas compte.» (Schulchan AracH, Choszen Hamiszpat 348)

Après avoir lu ces quelques échantillons de la pensée talmudique, on comprend aisément pourquoi il fut si souvent brûlé, et ses fidèles expulsés d’un pays après l’autre pendant des siècles. Ceci eut pour conséquence que de nouvelles versions expurgées virent le jour. Un texte décent dont les juifs pourraient désormais promouvoir la grandeur. Les seuls originaux non expurgés sont écrits en hébreu et bien gardés.

Mais nul besoin d’étudier les textes pour en être imprégné.

Ces lois sont inculquées à l’enfant juif, religieux ou non, pratiquant ou non afin qu’elles deviennent sa seconde nature.

L’enfant juif tète la haine et le mépris du goy comme le lait qui le nourrit, dès le berceau. Lorsqu’il est en âge de comprendre, ses parents lui enseignent que le goy a toujours opprimé et massacré son peuple, le peuple élu. Qu’il est donc une victime, un martyr qui doit se défendre pour survivre. Ce qui explique que malgré les vicissitudes du Talmud, sa tradition, ses coutumes et surtout son état d’esprit aient perduré depuis des milliers d’années.

Elizabeth Dilling dans son livre "The Jewish Religion : Its Influence Today", Chapter 2, The Talmud Reviled, page 1, nous dit la chose suivante :

«La première traduction du Talmud Babylonien en anglais date de 1903 par Rodkinson (de son vrai nom M. Levi Frumkin) et fut éditée par Rabbi Isaac M.Wise «Père» du soi-disant «Judaïsme Réformé». Rodkinson supprima la plupart des obscénités qui figurent dans le Talmud non expurgé et n’utilisa pas de folios permettant d’identifier les pages comme dans le texte original, mais néanmoins, même cette traduction abrégée est très révélatrice. Voici ce qui est dit en introduction :

«Les persécuteurs du Talmud, depuis le 1er siècle avant Jésus-Christ, ont varié par leur caractère, objets et actions. Cependant, tous s’accordent sur leur désir, à savoir, détruire son existence. L’étude minutieuse de ses nombreuses vicissitudes justifie sans aucun doute l’affirmation que le Talmud est une des merveilles du monde. Il n’y eut pas un siècle, durant les vingt de son existence, où il ne rencontra de grands et puissants ennemis rivaux entre eux qui ne s’épuisèrent à tenter de le détruire ; malgré cela, il survécut dans son entièreté et non seulement ses ennemis échouèrent à en détruire la moindre ligne mais ils ne furent même pas capables d’en affaiblir concrètement son influence à quelque moment que ce soit. Il domine toujours l’esprit de tout un peuple qui vénère son contenu comme étant vérité divine et très nombreux sont ceux qui sacrifièrent leur vie et leurs possessions pour le sauver de la destruction.»
(Traduit du texte original par mes soins, texte original sur come-and-hear.com
http://www.come-and-hear.com/dilling/index.html)

«The Talmud : Heart’s Blood of the Jewish Faith» était le titre d’un article paru en Novembre 1959, extrait du best-seller de l’auteur juif Herman Wouk qui écrivait régulièrement dans le New York Herald Tribune :

«Le Talmud est à ce jour le sang qui coule au cœur de la foi juive. Quelques soient les lois, les coutumes ou les fêtes que nous observons - que nous soyons Orthodoxes, Conservateurs, Réformés ou de simples sentimentaux spasmodiques - nous suivons le Talmud. Il est notre loi commune à tous.»

(Elizabeth Dilling dans son livre "The Jewish Religion : Its Influence Today", Chapter 1, The Pharisees, The Talmud and Modern Judaism, page 14.)

La transmission des parents aux enfants est un des piliers du judaïsme. Lois, traditions, coutumes sont léguées de génération en génération par les aînés à leurs descendants, enrichies de leurs expériences et surtout de leurs souffrances.

Transmettre la mémoire juive est une base ; elle induit le respect des aînés, de leurs vécus, de leurs souffrances et l’obligation de les honorer. Ce fondement qui prend une dimension très particulière dans la religion juive contribue à préserver la mission qui ne s’est donc jamais perdue ni affaiblie dans les méandres du temps et de l’histoire, bien au contraire.


La crainte de dieu comme celle de ses parents est enseignée à chaque petit juif, et renforce encore cette pérennité. Il est vraiment déconseillé de désobéir à Dieu comme à ses parents. L’enfant juif doit les vénérer en toute circonstance, quelque soit ce qu’il vit !

Mais le judaïsme est aussi une pratique religieuse faite de prières, de rites, du respect d’un calendrier de fêtes directement corrélé à leur histoire afin qu’ils se souviennent toujours du vécu de leurs ancêtres. Ainsi vous pouvez constater comment tout a été pensé jusque dans le moindre détail et verrouillé à l’intérieur de la communauté. Et ce n’est que la partie visible et la plus connue.


LA MAGIE HÉBRAÏQUE


Il y en a une autre «invisible» qui relève de procédés magiques en rapport avec la Kabbale. C’est elle qui est à l’origine de la puissance juive comme elle est, inversement, à l’origine des malheurs des Gentils. Les Juifs ne sont pas arrivés à la situation de pouvoir actuel par hasard.

Il leur a fallu se «procurer» la Connaissance, la vraie, dont la magie qui n’est rien d’autre que l’alchimie, l’utilisation et la manipulation des cinq éléments primordiaux de la Création, est une composante majeure.

Cette Connaissance à l’origine appartenait aux Gentils. C’était leur Père, leur Créateur qui la leur avait transmise. Elle leur fut volée et utilisée contre eux. Dès que les Juifs se l’approprièrent, ils eurent en main les moyens magiques de maudire les Gentils et de bénir les leurs.

Aujourd’hui cette connaissance occulte est sous la responsabilité des rabbins, des hassidim, et de tous les juifs religieux et orthodoxes qui la pratiquent pour protéger le peuple juif et continuer de détruire les goyim. C’est leur travail quotidien et ils reçoivent un salaire de la communauté pour cela. Par exemple, chaque jour, les religieux prononcent des bénédictions pour les Juifs et des malédictions contre les non Juifs. Ce sont des rituels de prières quotidiennes récitées par des milliers d’individus, vous imaginez la puissance que cela peut avoir et l’impact sur les pauvres victimes qui entre temps ont été asservies spirituellement.

D’autant plus que ces malédictions quotidiennes nourrissent la magie noire de base dont les meurtres rituels font partie et sont perpétrés régulièrement.

Tandis que notre société voit d’un très mauvais œil, la sorcellerie, la magie et tout ce qui est lié à l’invisible et à l’occulte, les Juifs les utilisent à plein régime puisque là est la Connaissance primordiale, le pouvoir de création. Leur pouvoir réside uniquement là.

Tant que les Gentils sont maintenus dans l’ignorance et/ou prennent toutes ces histoires pour de pures «foutaises», ils seront asservis spirituellement aux Juifs.

Le combat ne se passe pas là où les Juifs le placent. Le combat intellectuel est important certes, puisqu’il permet déjà de prendre conscience, mais il doit ensuite se déplacer sur un autre terrain, l’occulte.

De nombreux non Juifs sont désormais au fait de ces pratiques et les dénoncent comme Elizabeth Dilling qui nous dit toujours dans son livre au Chapitre 3, "The Talmud and the Bible Believers", page 38, paragraphe «The 18 Benedictions» :

«Le juif orthodoxe «religieux» récite les «Dix-huit Bénédictions», «Shemoneh Esreh», trois fois par jour, les jours de semaine, 4 fois les jours sacrés et Shabbats, dont la 7ème et 12ème maudissent les Chrétiens et les non juifs. Par conséquent le «bon juif orthodoxe» nous donne à nous, Chrétiens, 6 malédictions, les jours ordinaires, 8 les jours «spéciaux». Notez toutes les variétés de double langage qui furent utilisées à travers les siècles pour cacher la vérité sur le Shemoneh Esreh aux non-juifs qui n’auraient pas été aimables avec ceux qui récitent cette «Fraternelle» litanie religieuse 6 à 8 fois par jour ! Notez «Pour parer à des mauvaises interprétations, le texte fut modifié...» et une modification après l’autre pour tromper les non juifs.»

LE JUDAÏSME : UN SYSTÈME JURIDIQUE


Le Sanhédrin

Le Sanhédrin, qui autrefois représentait l’autorité centrale du judaïsme, le tribunal juif, jugeait toute situation d’ordre civile, juridique, économique à l’intérieur de la communauté mais aussi en relation avec les non juifs a été rétabli officiellement en 2007 à l’initiative de rabbins sionistes. Voilà un élément très révélateur du plan qui se met en place actuellement.
http://www.thesanhedrin.org/en/index.php?title=The_Re-established_Jewish_Sanhedrin

Néanmoins, il faut savoir que le fonctionnement du sanhédrin ne s’est jamais interrompu.
http://www.come-and-hear.com/editor/cp-mcgill/index.html

Comme il faut savoir que la loi juive est à la base du système légal des Etats-Unis.

Il est donc intéressant de noter qu’en 1999, la Cour Suprême des Etats-Unis (qui est le sommet du pouvoir judiciaire aux USA et le tribunal en dernier ressort ) accepta de prendre en compte un "amicus brief" basé entièrement sur la loi talmudique.
http://www.come-and-hear.com/editor/cp-jj-01-07-2000/index.html



Qu’est- qu’un amicus brief ?


C’est un document qui est présenté dans un tribunal par quelqu’un qui n’est pas directement lié au cas jugé. L’exemple le plus classique d’amicus brief est un document enregistré par un groupe de pression (un lobby). L’information additionnelle qu’on trouve dans un tel document peut être utile au juge évaluant l’affaire et elle devient partie intégrante et officielle de l’affaire.

Ce nouveau Sanhédrin prône, entre autres, le rétablissement du Korban Pessah qui correspond au rite sacrificiel de l’agneau pascal dont le sang était placé sur les linteaux des portes des maisons des Hébreux, en signe de reconnaissance afin de recevoir la protection divine, et dont la chair était consommée après avoir été grillée par le feu. (Ce type de rituel dissimule en fait le vrai rituel, bien plus cruel et inhumain qui consiste à sacrifier un enfant goy en bas âge, dont le sang est le plus pur possible et pour lequel les organes sont récupérés et la chair consommée.)

Ainsi ils démontraient leur volonté de se détacher totalement de l’idolâtrie égyptienne !

En fait, la religion juive est basée sur la Loi. Des lois pour les Juifs qui générèrent celles des Gentils pour les Gentils puisque dès le début de leur histoire, les Juifs n’eurent qu’une obsession; codifier, réglementer, légiférer sur ce que devaient être les relations entre Juifs et Gentils.

Leur Loi leur fut donnée par leur dieu. Or pour se conformer à la Loi de leur dieu, il y eut nécessité de l’imposer aux hommes, à tous les hommes, donc à tous les non Juifs .

Cet aspect juridique eut le double avantage, d’une part  d’édicter les règles légales, juridiques qui se mettraient progressivement en place dans toutes les nations non juives et d’autre part de travailler, de préparer, de collecter au fur et à mesure une argumentation de fond qui serait mise à jour et utilisée selon les besoins et les époques. Puisque l’histoire et le statut de cette religion ne sont que pure imposture, il fallait comme je l’ai déjà évoqué, être prêt à se défendre sans pour autant en avoir l’air.

Ainsi une argumentation juridique serrée, compliquée et tordue se mit en place afin que les Juifs aient toujours un moyen légal, historique ou religieux, de retomber sur leurs pattes. «Tel passage de tel texte dit ceci ou cela». Ensuite, au fur et à mesure que les Juifs gagnèrent les postes de pouvoir partout dans le monde, la civilisation occidentale fut influencée par le judaïsme, comme le confirme la Jewish Virtual Library, en commençant par les Etats-Unis. Aujourd’hui cette Loi juive, le Talmud, est en passe de devenir la Loi de la planète : le processus de "Talmudization" de la planète est en cours. Et tout sera qui sera hors la Loi sera puni. Punition allant jusqu’à la mort puisque nous connaissons la teneur du Talmud concernant les Gentils. Même si la Bible n’est pas le Talmud, nous avons déjà un avant-goût de ce qui attend les réfractaires. «Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront...» Genèse 12:3

Des lois donc qui ne sont mises en place qu’à l’intention des seuls non Juifs , même si pour cela, il est nécessaire de démontrer le contraire grâce à quelques juifs accusés, jugés, et quelquefois sacrifiés pour le bien de tous.

Pour le dieu des Juifs , si compassionné envers son peuple, ce n’est pas un problème de sacrifier certains de ces fidèles pour faire avancer le processus sans éveiller les soupçons, ou a tout le moins, que ceux qui oseraient soient battus en brèche.

Et c’est ce qu’il se passe depuis le départ. Tout d’abord il faut savoir que le vie «humaine» n’a aucune valeur pour le dieu des Juifs et c’est la même chose pour son peuple dont il utilise la vie selon ses besoins. Aussi, c’est une bonne chose qu’il en meure quelque uns pour prouver au monde goy combien les Juifs sont de pauvres victimes. Ce qui renforce le rôle de victime professionnel des juifs et permet d’asseoir des mesures politiques pour protéger ces pauvres Juifs !

Il peut être intéressant de relire l’Ancien Testament avec un autre regard en le superposant à notre époque pour comprendre l’état d’esprit, la mentalité et les buts du dieu des juifs !


DIVISER POUR MIEUX RÉGNER


Paradoxalement à son système communiste, le judaïsme offre vis-à-vis de l’extérieur une image démocratique, d’ouverture, de liberté de penser, de liberté de choix alors qu’il n’en est rien. Oui bien sûr, un Juif peut préférer être laïc ou orthodoxe, de droite plutôt que de gauche ou vice versa, ou encore être sioniste ou ne pas l’être mais cela ne change rien au fond. Il est né juif et reste juif. Solidaire et loyal envers sa religion.

Surtout lorsque viendra le moment de récolter les fruits que sont richesses et pouvoir après tant de souffrances !

Sa vie ne lui appartient pas. Il est au service d’une communauté et, comme je l’ai déjà dit, selon ce qu’il fait pour elle et donc pour servir ses intérêts, il est plus ou moins récompensé avec argent et pouvoir. Au delà de leur discours et bien que paraissant être dans des clans opposés, tous avancent dans la même direction : la mission ultime donnée par leur dieu, s’approprier définitivement la Terre et détruire la grande majorité des non juifs. Les survivants seront esclaves.

«Lorsque viendra le Messie, chaque juif aura 2800 esclaves.»
(Simeon Haddarsen, fol.56D)

Toute cette palette d’idées, de choix politiques ou idéologiques n’existent que pour donner le change et être en cohérence avec la tactique qui consistait à donner l’illusion d’une société démocratique avant de progressivement la modifier en régime totalitaire. La démocratie avait de multiples avantages comme celui de faire croire à la souveraineté des peuples mais aussi et surtout de créer toute une gamme d’idées, de concepts dans tous les domaines de la vie afin de créer l’illusion et la confusion.

Si tout avait été uniformisé, à l’image du communisme, il n’aurait jamais pu se créer les innombrables clans, groupes, organisations, partis qui ont si bien participé à semer la confusion. Les gens auraient vu clair plus facilement.

Cette stratégie machiavélique a été mise en place pour leurrer les non juifs sur les plans intellectuel, idéologique, religieux, politique, entre autres et sur le plan concret, pour tisser une toile de manière à investir chaque strate de la société dans tous les domaines et partout. Partout où il y a des non Juifs , il y a des Juifs pour s’infiltrer, manipuler et finalement tirer les ficelles. J’en profite pour dire que le nombre des Juifs n’est pas de 14 ou 15 millions comme annoncé officiellement. Il faut le situer au minimum à une centaine de millions, sans compter bien sûr tous les larbins goys déjà à leur solde.

Leurs apparentes divergences ne sont que diversions pour semer la confusion, nourrir les divisions existantes du monde extérieur afin de détourner les non juifs de la vérité vraie, leur donner l’illusion d’une liberté d’opinion, de la possibilité de choix à l’intérieur du judaïsme.

Pendant que les non juifs sont occupés à se diviser, à se disputer, à se combattre sur la moindre composante de solidarité entre les non juifs grâce aux juifs ), ils ne cherchent pas à étudier et à comprendre les véritables causes de leurs misères qui ne peuvent se révéler que par un travail assidu, approfondi et global, bien au delà des apparences.

Les Juifs , maîtres en manipulation de concepts et de l’esprit, ne prennent aucun risque, l’enjeu est trop élevé. Ainsi, ils font tout pour ne jamais laisser un dissident à leur cause se manifester de quelque manière que ce soit. Celui qui représente un réel danger doit être au minimum neutralisé. Je suis bien placée pour le savoir. Tout ce qui est montré au public n’est que pure comédie.

Par contre toute vérité qui met les Juifs en danger est bannie, interdite, éliminée des grands médias et leurs auteurs sont harcelés et traqués sous prétexte d’antisémitisme.

Il faut être très déterminé pour trouver les véritables informations en évitant, entre-temps de se faire détourner par dix mille fausses-vérités utilisées sur internet comme écrans par le Mossad et ses larbins dont le premier d’entre eux, la CIA. Mais vérité il y a. Et on peut la trouver si l’on cherche bien.


ORGANISER DÉSORDRE ET CONFUSION

Une chose m’a particulièrement marqué lorsque j’ai pris la décision irréversible de quitter la religion juive : c’est la différence abyssale de perception et de compréhension de la société et de son fonctionnement selon que vous êtes à l’intérieur ou à l’extérieur de la communauté.

Le constat est flagrant. Si l’on considère ce qui vient d’être dit plus haut, la première force de la communauté juive est d’organiser la solidarité entre ses membres vis-à-vis du monde extérieur des non-juifs , qui n’est autre que la loyauté envers leur race. Les Juifs forment un groupe compact même s’il est divisé et dispersé dans différents pays.

Le lien est présent et indélébile et pour preuve, n’importe quel Juif qui se rend dans un pays étranger peut prendre contact avec la communauté du lieu qu’il visite en allant trouver le rabbin ou en assistant à un office à la synagogue. Une fois son appartenance vérifiée, il se retrouve immédiatement introduit dans la dite communauté.

En effet, une autre des bases de la religion juive est de favoriser les relations entre ses fidèles, en particulier les relations professionnelles. Les Juifs font des affaires entre eux. Toutes les relations de travail, d’intérêts et d’argent sont encouragées et privilégiées ; aussi entre deux partenaires, le Juif choisira naturellement toujours un autre Juif. Par contre, lorsqu’il fait des affaires avec un goy, c’est pour prendre l’ascendant sur lui et s’en servir comme écran ou comme larbin.

Ces pauvres goys n’ont aucune idée de ce qui les attend, même ceux aux niveaux les plus élevés : les Juifs ont simplement utilisé leur vénalité pour servir leur macabre objectif.

Sinon à l’intérieur, il s’y passe la même chose que dans n’importe quelle société: rivalités, luttes de pouvoir, hiérarchies, différences sociales etc mais lorsque l’ennemi extérieur menace, les tensions s’effacent instantanément pour laisser place à une unité sans faille, la solidarité. Parce que tout juif sait qui est son ennemi.

On peut donc comparer le judaïsme à une secte qui serait coupée du monde extérieur par une enceinte massive.

Cette enceinte, la religion, est d’abord constituée par le statut exceptionnel du Juif vis-à-vis de dieu et par voie de conséquence vis-à-vis des non Juifs . Ensuite, l’éducation, les règles, les codes, les lois ont pour but de créer et de maintenir une distance entre lui et les autres.


Par conséquent, la pratique religieuse a une importance relative et procède plus des affinités de chacun. Tout Juif pratiquant ou non contribue à la pérennité et au renforcement du judaïsme en respectant son identité et son héritage familial.

L’enfant juif depuis son plus jeune âge sait qu’il fait partie du peuple élu et que ce statut lui confère charge et responsabilité. Aussi, il devient une victime des goys haineux, jaloux et cruels à son encontre contre lesquels il doit se battre et se défendre pour survivre. Voilà ce que les parents enseignent à leurs enfants : mépriser, haïr tout goy parce qu’il est l’ennemi.

Naturellement selon le niveau intellectuel de la famille, l’éducation est transmise plus ou moins subtilement mais elle est transmise de toute manière. Vous pouvez alors aisément imaginer l’impact psychologique que peuvent avoir de tels endoctrinements. Il peut y avoir des nuances mais aucune de différence sur le fond. C’est sur ces bases que fonctionnent tous les Juifs . Ensuite, il existe une hiérarchie entre les grandes familles, l’élite, qui a une mission d’importance spécifique et les plus modestes, le peuple qui mène une existence banale mais encore une fois toutes, infiltrées dans l’ensemble des couches du tissu social de leur pays d’accueil participent à leur mission et avancent ensemble dans la même direction, chacune remplissant son rôle à son niveau et participant au tissage de la toile.

Dana Goldstein, La véritable nature du judaïsme.

Télécharger gratuitement les tomes 1 et 2 du livre 




Qui est Dana Goldstein ?

"Je suis née au printemps de l’année 1956 dans une famille juive ashkénaze installée dans l’ouest de la France depuis les années 1920. Mes deux parents ainsi que toute ma lignée d’ancêtres paternels et maternels sont juifs.

Ma vie au sein de cette famille fut toujours difficile et ce depuis ma naissance mais avec le temps, les choses s’aggravèrent. J’étais différente. Je ne rentrais pas dans le moule.

J’avais toujours une opinion, une façon de voir les choses, de comprendre les évènements différentes d’eux.

Ma conception et compréhension de la vie étaient à l’opposé des leurs, si bien que mes idées anticonformistes, donc subversives, représentèrent vite un danger car elles menaçaient la Loi et la Tradition.

Malheureusement, je mis beaucoup de temps à prendre conscience de cela, beaucoup trop de temps à saisir ce qui se passait réellement et quelles étaient les forces en présence. Trop longtemps surtout à réaliser combien ces gens mettent absolument tous les moyens en oeuvre pour vous garder captif, pour que jamais vous ne les quittiez ni eux ni la communauté, pour que jamais vous n’ayez la possibilité de parler et donc de les trahir. Dans un premier temps, ils tentent de vous acheter par de l’argent, tactique systématique qui marche invariablement avec presque tout le monde. Si la personne prend conscience de ce qui se passe et n’accepte plus d’être «achetée» survient la seconde phase qui consiste à employer des moyens drastiques pour la neutraliser, éradiquer le danger qu’elle représente.

Le principe de base est que vous leur appartenez. Votre vie n’a pour seul et unique but que de servir la communauté. Si vous êtes et faites exactement ce que l’on attend de vous, vous avez une vie plutôt tranquille avec plus ou moins d’argent, de pouvoir et d’honneur. Si ce n’est pas le cas, les ennuis commencent.

Au fil des pages, vous découvrirez ma vie, les évènements et situations vécus, la violence, la subtilité, la perversité de ce qui a été fait contre moi. Jusqu’à il y a encore peu de temps, j’ai toujours pensé que le problème venait de moi. Tout avait été fait pour ça. Depuis mon plus jeune âge, je fus contrée, cataloguée comme étant «spéciale», rejetée pour mes idées, mise à l’index, maltraitée psychologiquement et émotionnellement. Ce fut l’attitude générale de toute la famille, au sens large, envers moi alors que vu de l’extérieur, rien ne se voyait jamais.J’étais toujours parfaitement habillée avec des robes de prix pour une petite fille. Je partais en vacances avec mes parents dans les hôtels les plus luxueux du monde. J’étais selon ma mère «gâtée-pourrie». Je ne perdis rien de ma joie de vivre, ni de ma vivacité jusqu’à l’âge d’environ 8/9 ans mais ensuite petit à petit, je commençais à m’éteindre, à devenir triste, à prendre du poids, à me renfermer sur moi-même.

A l’adolescence, je développais néanmoins une personnalité bien affirmée, rebelle et impulsive. Aussi le curieux mélange entre l’éducation que je reçus, les idées que l’on m’inculqua sur moi et sur la vie, et ma personnalité fut explosif et je pris des décisions à l’emporte-pièce, fis de mauvais choix, de grossières erreurs et manquais totalement de discernement pendant la plus grande partie de ma vie.

Le lecteur pourrait estimer que l’histoire qu’il va découvrir est pure folie mais c’est grâce à ces «folies», à ces égarements, à ces manques de discernement, à cette souffrance profondément ancrée qui provoqua en moi de violentes réactions, que je n’eus de cesse de chercher pourquoi je vivais de telles situations que j’estimais totalement injustes et irrationnelles.

A l’âge de trente ans, à la suite d’un divorce difficile, je pris la décision de réfléchir sérieusement à ce qui ne marchait pas dans ma vie. J’étais une jeune femme ouverte d’esprit, plutôt intelligente, travailleuse et courageuse, ayant du coeur, ce que je vivais ne collait pas du tout avec ma nature et me paraissait totalement injuste. Je sentais que la réponse se trouvait ailleurs, au delà des apparences.

Depuis petite, j’ai toujours été intéressée par ce qui ne se voit pas, tout du moins à l’œil nu, mais par contre que l’on sent très bien. On appelle cela l’intuition. Cette forte intuition que je possède depuis toujours, je mis trop longtemps à l’écouter, pour mon plus grand malheur.

Ma quête débuta à la synagogue où pendant un temps je me rendis régulièrement pour demander de l’aide à dieu, étant profondément croyante et subodorant quelques causes cachées à toutes mes mésaventures et à toute cette «malchance».

Aujourd’hui, plus de vingt ans après le début de mes recherches et une quête personnelle longue et éprouvante, j’ai découvert que mon problème dépasse de très loin mon cadre personnel et individuel, comme on avait bien voulu me le faire croire, pour incarner un problème global, mondial.


Ces découvertes se firent progressivement, par palier, aussi j’adaptais et modifiais ma vie au fur et à mesure de mes compréhensions, ce qui impliqua des changements brutaux de direction. Il ne pouvait en être autrement avec mon tempérament passionné, réactif et intègre.


Toutes les conclusions auxquelles je suis arrivée jusqu’à ce jour reposent sur mon vécu, mon expérience personnelle, mes recherches et mes compréhensions.

C’est grâce à ces choix et à ces vécus que j’ai acquis aujourd’hui une force irréductible et une volonté à toute épreuve.

C’est grâce aussi à mes découvertes aussi horribles fussent-elles que je suis en mesure de vous livrer mes réponses personnelles aux problèmes d’une extrême gravité que rencontre l’Humanité depuis quelques millénaires mais particulièrement dans la phase en cours."



Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...