vendredi, août 30, 2019

La super-classe mondiale contre les peuples



Qu’est-ce que la Super Classe Mondiale qui nous dirige ?

par Francesca de Villasmundo


Michel Geoffroy, contributeur régulier du blog Polémia, a récemment publié La Super-classe contre les peuples. Cet ouvrage, préfacé par Jean-Yves Le Gallou, s’attache à démasquer ceux qui détiennent le pouvoir dans le monde moderne. Avec ce dévoilement magistral de la super-classe mondiale, Michel Geoffroy permet de poser les bases d’une reconquête essentielle : celle de notre liberté.

Polémia propose une analyse en 10 points de cette super-classe mondiale qui fait tout pour nous diriger :

“1/ La Super Classe Mondiale (SCM) n’est pas un fantasme : elle existe bien et elle a pris le pouvoir en Occident et notamment en Europe Occidentale.

Elle est propriétaire des médias, elle finance le microcosme culturel, les ONG et les groupes de pression et elle impose partout une politique qui va à l’encontre de la volonté du corps électoral. En France elle a réussi à faire élire son candidat lors de la présidentielle de 2017 : Emmanuel Macron

2/ La SCM correspond à la domination sans limite de l’économie et de la finance sur la société et sur la souveraineté politique, qui s’est produite à la fin du XXème siècle.

La SCM regroupe les super riches qui veulent s’enrichir toujours plus, grâce notamment à la dérégulation économique et financière. Grâce aussi à la modification des lois fiscales à leur profit. Grâce enfin au « socialisme des riches » qui consiste à mettre à la charge de la collectivité les charges induites par la mise en œuvre des politiques libre-échangistes, pendant que ses bénéfices reviennent à la seule oligarchie

La SCM incarne la domination sans partage de la loi de l’argent, donc la réduction des hommes à l’état de simple ressource au service des plus riches.

Pour cette raison on ne pourra remettre à sa place la SCM, si on ne régule pas l’économie et la finance mondiales

3/ La SCM incarne aussi le retour d’une vieille eschatologie : la prétention hérétique de bâtir le paradis sur terre et d’unifier le genre humain, sans attendre la venue ou le retour du Messie, prétention qui a été reprise par le messianisme protestant et sa croyance en la destinée manifeste des anglo-saxons. Cette eschatologie fonde le projet cosmopolite ou mondialiste de la SCM, qui se prétend élue pour ce faire.

Ce projet est bien un complot contre la liberté, la souveraineté et l’humanité de l’homme. Car le gouvernement mondial n’ouvrirait pas la voie à une « démocratie planétaire » mais au contraire à la dictature mondiale de l’oligarchie.En accusant les autres de complotisme la SCM pratique en réalité l’inversion accusatoire.

4/ La SCM est une classe sociale : c’est une oligarchie transnationale qui partage plus de traits communs qu’avec sa population d’origine. C’est une classe qui se croit suffisamment éclairée pour prétendre faire le bien des gens malgré eux.

Elle correspond au parti de Davos : de ceux qui se rencontrent tous les ans lors du World Economic Forum de Davos, qui partagent la même vue du mondelibérale/libertaire et cosmopolite et qui l’imposent aux gouvernements.

5/ La SCM a pris le pouvoir en Occident grâce à la conjonction de trois changements historiques majeurs au cours du XXème siècle : l’avènement de la surpuissance anglo-saxonne, la fin du socialisme et du communisme et enfin la mondialisation de l’économie. La fin du socialisme et du communisme a notamment provoqué le grand soulagement des super-riches qui n’ont plus à craindre en Occident une révolution qui menacerait leurs privilèges et leurs intérêts : avec l’immigration, les délocalisations et bientôt l’intelligence artificielle, ils pensent même avoir trouvé le moyen de remplacer les peuples puis de se passer d’eux. Et la mondialisation a donné aux grandes entreprises transnationales plus de pouvoirs que de nombreux Etats, de plus en plus paupérisés.

Les milliardaires anglo-saxons ont toujours eu la prétention de gouverner le monde. Mais à la fin du XXème siècle, ils ont fini par croire qu’ils en avaient désormais la possibilité.

6/ La SCM fonctionne par la mise en synergie de 4 cercles ou engrenages : le cercle de la richesse financière et économique transnationale, le cercle des médias et de la culture, le cercle des organisations non gouvernementales et de la société civile, enfin le cercle des élites publiques. Le cercle de la richesse financière et économique transnationale est celui où la puissance est la plus concentrée et la plus opaque : il dirige, influence et achète tous les autres cercles.

Le premier cercle ne comprend que quelques milliers d’individus, mais les autres cercles sont plus nombreux, en particulier parce qu’ils regroupent des idiots utiles.

La SCM repose pour cette raison sur un pouvoir impersonnel, désincarné et collégial donc insaisissable (par opposition à la tradition de l’incarnation du pouvoir en Europe)

7/ La SCM est une oligarchie et non pas une élite : elle préfère toujours l’influence des autres à l’engagement personnel direct.

C’est pourquoi on peut assimiler son action et son projet à un complot, car elle refuse de le soumettre au verdict démocratique : elle veut au contraire l’imposer subrepticement en le rendant inéluctable. Pour cette raison elle s’est rendue maîtresse du pouvoir médiatique en Occident, qui sert à ahurir la population, à diffuser l’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite et à diaboliser tous ceux qui s’opposent au projet de la SCM.

8/ La SCM fait avancer son projet et son agenda selon une dialectique du chaos et du contrôle. Elle sème le chaos partout comme moyen de détruire la résistance psychologique et l’homogénéité des peuples : c’est principalement le rôle dévolu au chaos migratoire en Europe. Mais aussi au chaos économique, conséquence de la dérégulation systématique, qui place les populations en insécurité économique et sociale croissantes. Ou au chaos moral qui sert à déstructurer les personnalités. Enfin la SCM ne répugne pas à la guerre comme moyen chaotique.

Le chaos sert ensuite de prétexte à l’instauration du contrôle : la SCM substitue à la souveraineté nationale, le contrôle de la population, qui correspond à l’instauration de la post-démocratie en Occident. La post-démocratie illustre le caractère totalitaire du gouvernement mondial que la SCM voudrait instaurer à son profit : un système où les peuples se voient retirer le pouvoir de changer de politique, où les juges supplantent les législateurs et dont l’Union Européenne constitue le laboratoire

9/ L’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite a été le principal vecteur de l’instauration du chaos au service de la SCM en Occident. Parce qu’elle a contribué à détruire toutes les régulations qui faisaient obstacle à l’instauration du règne de l’argent. Et parce qu’elle a contribué à diffuser un individualisme radical qui détruit tout ordre social et qui ouvre la voie à la marchandisation du monde et finalement de l’homme lui-même.

Mais la SCM pratique le double standard permanent : dans son comportement interne elle fait tout le contraire de la doxa libérale/libertaire qu’elle préconise pour le reste de la population : elle est hiérarchique, patriarcale et elle aspire au monopole, au pouvoir opaque et au contrôle, non pas à la liberté, à la transparence et à la concurrence

10/ La SCM a réussi à mettre l’Europe en servitude et à s’enrichir démesurément. Par contre elle va échouer au XXIème siècle à contrôler le monde. La SCM n’est donc pas omnipotente : en fait le monde est en passe d’échapper aux mondialistes, en particulier parce que le cœur nucléaire de la SCM -les pays anglo-saxons- est entré en déclin, et parce que le monde devient multipolaire.

L’idéologie de la SCM peine à s’imposer partout et en Europe même, elle soulève une opposition croissante.

L’oligarchie en a bien conscience et il ne faut donc pas exclure que la SCM ait recours à la guerre mondiale pour tenter de garder son leadership coûte que coûte.

C’est aussi pourquoi les Européens doivent se libérer de la tutelle de la SCM, qui ne peut que conduire à leur destruction, et pour cela, s’ériger en pôle de puissance autonome.

Source :


Michel Geoffroy

En Occident on ne vit plus en démocratie mais en post-démocratie : les gouvernements ne gouvernent plus mais obéissent aux marchés et aux banques, les puissances d'argent dirigent les médias et les peuples perdent leur souveraineté et leurs libertés. Pourquoi ? Parce que depuis la chute de l'URSS le pouvoir économique et financier s'affranchit du cadre national et veut gouverner à la place des Etats. Parce que la fin du communisme nous a libérés de la Guerre froide, et lui a succédé la prétention obstinée du messianisme anglo-saxon à imposer partout sa conception du monde, y compris par la force. Ce double mouvement s'incarne dans une nouvelle classe qui règne partout en Occident à la place des gouvernements : la superclasse mondiale. Une classe dont l'épicentre se trouve aux Etats-Unis mais qui se ramifie dans tous les pays occidentaux et notamment en Europe. Une classe qui défend les intérêts des super riches et des grandes firmes mondialisées, sous couvert de son idéologie : le libéralisme libertaire et cosmopolite. Une classe qui veut aussi imposer son projet : la mise en place d'un utopique gouvernement mondial, c'est-à-dire la mise en servitude de toute l'humanité et la marchandisation du monde. Une classe qui manipule les autres pour parvenir à ses fins, sans s'exposer elle-même directement. 

Avec "La Superclasse mondiale contre les peuples", Michel Geoffroy dresse un portrait détaillé, argumenté et sans concession de la superclasse mondiale autour de cinq questions : que recouvre l'expression superclasse mondiale ? Que veut-elle ? Comment agit-elle ? Va-t-elle échouer dans son projet de domination ? Quelle alternative lui opposer ? Un ouvrage de référence pour comprendre les enjeux de notre temps.

lundi, août 26, 2019

Des francs-maçons s'opposent au CRIF, l'analyse de Stéphane Blet


Assistons-nous à l'implosion de la franc-maçonnerie ?


"Stéphane Blet est un pianiste et compositeur français, né à Paris en 1969, auteur de trois cents œuvres éditées et d'une trentaine de CD. Il est également un spécialiste du symbolisme, des mouvements ésotériques et de la franc-maçonnerie, donc il fut l'un des "Maîtres". Après des années d'engagement, c'est avec soulagement qu'il en a démissionné il y a quelques années, après en avoir saisi les véritables objectifs. 

Stéphane Blet raconte dans son livre, Franc-Maçonnerie l´effroyable vérité, ce qu'il a vu, ce qu'il a compris du sens profond de la maçonnerie. Qu'est-ce qu'une obédience, une loge, un atelier ? À quoi correspondent les trente-trois degrés - pourquoi ce nombre ? - et quelles sont leurs significations symboliques ?"



Le patron du CRIF, Francis Kalifat, après le discours du président français envers le sionisme et l'antisémitisme, tient fermement le poignet d'Emmanuel Macron en brandissant son bras tel un trophée. 



The Times of Israël :

Dans un article publié samedi dernier, L’Express a révélé qu’une fraction de francs-maçons du Grand Orient de France s’était attaquée au Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

Première obédience de la franc-maçonnerie française, le Grand Orient de France (GODF) compte 53 000 membres. Leur congrès, le « convent », sera organisé les 29, 30 et 31 août 2019 à Rouen. Alors que les membres voteront pour désigner leur nouveau grand maître et pour la validation du rapport d’activité, ils décideront aussi s’ils adoptent ou non cette résolution concernant le CRIF, proposée et rédigée par une poignée de membres.

Celle-ci viserait à interdire au grand maître de participer au dîner annuel de l’organisation, ainsi qu’aux autres évènements du CRIF. Afin de justifier cette proposition de résolution, les francs-maçons ont accusé le CRIF de soutenir la « politique de l’extrême droite religieuse » en Israël, qui « conduit à des fractures et à une montée de l’antisémitisme ».


https://fr.timesofisrael.com/des-francs-macons-du-grand-orient-de-france-sattaquent-au-crif/

dimanche, août 25, 2019

Des francs-maçons des premiers degrés exigent l'interdiction du lien Grand Orient-CRIF



"Selon L’express, qui a consacré un article sur la question, des francs-maçons du Grand-Orient de France (GODF), la plus ancienne loge française et la plus importante d’Europe continentale – à laquelle appartiennent par exemple Jean-Luc Mélenchon, Jérôme Cahuzac ou encore Manuel Valls -, prendrait quelques distances avec le CRIF en raison de son soutien indéfectible envers la politique d’extrême-droite du premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.

D’après l’Express, pour la première fois, une résolution adoptée par le Grand-Orient de France vise en effet à « interdire à ses dirigeants, principalement le ‘grand maître’ de participer aux événements organisés par le CRIF, avant tout le dîner annuel » auquel prennent part nombre de personnalités politiques françaises."



Lire la suite dans Lanceur d'alerte.info :


jeudi, août 22, 2019

Le saint patron des enfants torturés et sacrifiés




Simon de Trente

par Frederik To Gaste


Le jeudi de la semaine pascale de l’an 1475, dans la ville de Trente, se déroula un drame épouvantable : un meurtre rituel dont la victime fut le petit Simon Gerber âgé de 2 ans et demi ; meurtre à propos duquel nous sommes renseignés jusque dans les moindres détails grâce aux documents du procès obtenus dans leur intégralité.

Da
ns la ville habitaient alors trois familles de "cabalistes" dont les chefs, Angelo, Tobias et Samuel se retrouvèrent à plusieurs reprises manifestant leur contrariété à l’idée de manquer de sang chrétien indispensable à la préparation des galettes azymes de Pâque.

Ce fait et la description ultérieure du crime seront donnés en toute clarté lors des séances d’audition des témoins.

Les trois "cabalistes" pressèrent un marchand "cabaliste" de passage, du nom de Lazzaro, de leur fournir un enfant chrétien. Après quelque hésitation, il se déclara d’accord pour le prix de 100 ducats et parvint à attirer, le petit Simon Gerber de 2 ans et demi, enfant particulièrement beau, dans le maison de Samuel. La nuit tombée, le crime fut accompli, auquel participèrent les 7 "cabalistes" suivants : Samuel et son fils Israël, Moïse (le vieux), son fils Mohar et son petit-fils Bonaventura, le serviteur Vitale, le cuisinier Bonaventura et le médecin Tobias. Angelo, qui avait vraiment été l’instigateur du rapt de l’enfant, n’était pas présent.

Il est intéressant de noter que la version du meurtre qui va suivre fut rapportée unanimement par les accusés, alors même qu’ils étaient gardés sous le régime d’isolement cellulaire et qu’aucun mauvais traitement corporel ne leur fut appliqué.

Nous commencerons par l’exposé du valet Vitale, particulièrement détaillé : le jour de la Pâque juive, jeudi, au crépuscule (il ne se souvenait plus exactement de l’heure), il (Vitale) était allé dans la maison de Samuel, puis dans la chambre qui faisait face à la synagogue.

Là se trouvaient aussi : Moïse, le vieux ; son fils Mohar ainsi que le fils de celui-ci, Bonaventura ; Samuel et son fils Israël ; Bonaventura, le cuisinier et Tobias, le médecin. Samuel entoura le cou de l’enfant, que le vieux Moïse, assis sur un banc, tenait sur ses genoux, d’un foulard. Moïse et Samuel tirèrent fortement sur le foulard afin d’étouffer tout cri que pût émettre l’enfant. Alors Moïse, muni d’une pince arracha un morceau de chair de la joue droite de la petite victime. Samuel et Tobias firent de même. Le sang qui s’écoulait de la joue était recueilli dans une écuelle ; Tobias et Mohar se relayaient pour récolter le sang.

Tous, y compris Vitale, avaient en main des aiguilles pour percer l’enfant, tout en articulant des paroles en hébreux qu’il ne comprit pas. Puis, avec la même pince, ils prélevèrent de la chair à l’extérieur de la cuisse droite du petit. Il ne se souvenait pas qui des deux avait été le premier à continuer ainsi l’infâme besogne, ni qui tenait ensuite l’écuelle dans laquelle s’écoulait le sang. Puis Moïse et Samuel, assis sur un banc, saisirent l’enfant et le placèrent debout entre eux, tout en le soutenant : Moïse, à la droite de l’enfant, saisit le pied de celui-ci et étendit en même temps son petit bras droit ; Samuel fit de même à gauche. Le témoin croit se souvenir que même Tobias maintenait les pieds de l’enfant ; ainsi le petit revêtait la position du crucifié. C’est alors que les autres juifs qui l’entouraient lui portèrent des estocades avec des aiguilles qu’ils avaient en main. Vitale, comme déjà dit, y participa aussi. Sous ce martyre, l’enfant expira.

L’interrogatoire aboutit à toute la clarté souhaitable, incluant les mobiles du meurtre : ainsi donc l’enfant fut tué en vue de récupérer son sang pour le mêler à la pâte dont on fait les galettes azymes qui sont consommées à Pâque. Ce sang, provenant d’un enfant chrétien serait nécessaire à chaque célébration pascale. Car il règne, dans les cercles de "cabalistes" initiés, la conviction selon laquelle le sang d’un enfant chrétien tué est de grande utilité pour le salut de leurs âmes ; mais que ce sang ne serait pas aussi efficace si on ne tuait pas la victime de la même manière que les juifs ont tué Jésus Christ ; que l’enfant peut vraiment être tué quel que soit le jour, son sang récolté, mais que le sacrifice est plus agréable à Dieu si l’expiation a lieu peu avant Pâque.

Les "cabalistes" ne seraient pas des "cabalistes" s’ils ne liaient pas leur désir de meurtre à un florissant trafic. Le procès du meurtre de Trente démontra clairement qu’il ne s’agissait nullement d’un cas isolé ; du reste les épouses de Tobias et de Mohar, auditionnées comme témoins, reconnurent encore bien d’autres meurtres auparavant. L’accusé Samuel rapporta, entre autres, que les sanguinaires marchands "cabalistes" étaient pourvus d’autorisations rabbiniques supérieures, afin que les « clients » soient sûrs de ne recevoir que du sang recueilli de manière irréprochable ; sang qui, selon les accusés, n’était pas utilisé que dans la cuisson de galettes pascales, mais aussi mélangé au vin de circonstance.

Il va de soi que, même pendant la durée du procès, s’installa une intense agitation juive afin d’obtenir la libération des accusés, occurrence coutumière que nous observons lors de tous les procès de meurtres rituels. Malgré toutes les démarches auxquelles participèrent ici exceptionnellement le pape et l’Eglise catholique, quatre des accusés furent condamnés à mort et exécutés. Le vieux Moïse, en tant que chef de la communauté, préféra se donner la mort en prison.

Pourtant l’agitation des "cabalistes" ne tarit pas, agitation qui, pour le moins, visait à disculper ultérieurement les "cabalistes" du fléau des meurtres rituels. Ils se réfugièrent avant toute chose derrière une protection papale, mais celui-ci avait été entre-temps dûment renseigné sur l’affaire ; ainsi confirma-t-il, dans une bulle extraordinaire, que la sentence des juges de Trente était équitable et inattaquable. C’est ainsi que le pape Grégoire XIII permit, cent ans plus tard, au petit Simon d’être accueilli au sein des martyrs de l’Église romaine et canonisé. 

Notes :

- Le culte de Simon de Trente, saint patron des enfants victimes d'enlèvement ou de tortures, fut aboli par Paul VI, le pape pédocriminel : LIRE Les révélations d'un ancien agent des services de renseignement du Vatican. 

- Frederik To Gaste utilise un autre mot à la place du mot "cabaliste".

mercredi, août 21, 2019

La pédocriminalité dans une communauté "dominatrice et sûre d’elle-même"

Les peintures de Biljana Djurdjevic prisées par Podesta, l'ancien directeur de campagne d'Hillary Clinton soupçonné d'appartenir à un réseau pédocriminel.


Le Général Dominique Delawarde (ancien chef "Situation-Renseignement-Guerre électronique" à l’État major interarmées de planification opérationnelle) écrit à propos de l'affaire Epstein : 


(...) les "grands malades du sexe de classe mondiale" qui se sont fait "prendre par la patrouille" : Epstein, Weinstein, Strauss Kahn... appartiennent tous, par coïncidence ?, à la communauté des gens très riches, voire milliardaires, communauté souvent insolente, dominatrice et sûre d’elle-même et de son impunité, qui évolue très au dessus du commun des mortels. Ces individus comptent, rarement à tort, sur leur argent et sur leurs relations pour s’en sortir.

Ce n’est probablement pas le dernier épisode
 du genre auquel l’opinion mondiale assiste aujourd’hui. Et peut être ne s’agit-il là que de la partie émergée de l’iceberg..."



Les révélations de Rabbi Moldavo 

« …Ils boiront le sang de leurs ennemis dont il s’enivreront, comme du vin… ».
Zacharie (Bible, chap. IX, vers. 15)

Un des témoins cardinaux, très au courant des débauches sanguinaires et des meurtres rituels d'enfants chrétiens, est "un rabbin passé à l’église orthodoxe en 1795 qui reçut lors de son baptême le nom chrétien de Théophilus, mais qui est connu sous le nom de Rabbi Moldavo". Celui-ci écrivit en 1803 un livre truffé d’accusations édifiantes, qui porte le titre « Du déclin de la religion hébraïque ».

Selon le rabbin Moldavo, une haine diabolique envers les Chrétiens se perpétue dans la communauté talmudique. "Ils croient fermement, écrit Moldavo, que cette haine est un don de Dieu et que c’est faire œuvre pieuse que de tuer les Chrétiens et de boire leur sang. Toutes ces malédictions antichrétiennes sont enseignées dès l’enfance."

Une des raisons, "qui explique l’usage du sang par (cette communauté), selon Moldavo, évidemment parfaitement au courant, réside dans leur superstition. Ils s’adonnent à la magie, à la Cabale, à la sorcellerie et à toutes sortes de pratiques superstitieuses ; pratiques diaboliques au cours desquelles ils se servent de sang chrétien."

D'après F. To Gaste, des rapports précis sur les meurtres rituels émanent de toutes les parties du monde ; aucun pays n’a été épargné par ces meurtres  : en Allemagne comme en France, en Italie comme en Angleterre ou en Palestine, des talmudo-satanistes ("Yah serait une entité démoniaque") ont mené leur artisanat criminel ; "combien, écrit To Gaste, de filles et de garçons tombèrent victimes de leurs crimes ! Combien cruel fut le procédé des tueries : un sang soutiré lentement, dans d’épouvantables tortures, au travers d’innombrables et douloureuses plaies trocardées. Souvent les pauvres enfants, maintenus en vie afin de donner autant de sang que possible, souffraient des journées entières avant d’expirer, martyrisés sans pitié par les criminels (...) qui se repaissaient de leurs tourments." 



samedi, août 17, 2019

L'hommage d'Alain Soral aux intellectuels juifs



Alain Soral réédite le livre d'Abraham Léon, "La Conception matérialiste de la question juive". 

Extrait :


Le sionisme


Le sionisme est né à la lueur des incendies provoqués par les pogroms russes de 1882 et dans le tumulte de l'affaire Dreyfus, deux événements qui reflétèrent l'acuité que commence à prendre le problème juif à la fin du XIX° siècle.

La capitalisation rapide de l'économie russe après la réforme de 1863 rend intenable la situation des masses juives des petites villes. En Occident, les classes moyennes, broyées par la concentration capitaliste, commencent à se tourner contre l'élément juif dont la concurrence aggrave leur situation. En Russie se fonde l'Association des « Amants de Sion ». Léo Pinsker écrit « l'Auto-émancipation », livre dans lequel il préconise le retour en Palestine, unique solution possible de la question juive. À Paris, le baron Rothschild, qui, comme tous les magnats juifs, considère avec très peu de faveur l'arrivée massive dans les pays occidentaux des immigrants juifs, commence à s'intéresser à l’oeuvre de la colonisation juive en Palestine. Aider « leurs frères infortunés » à retourner dans le pays des « ancêtres », c'est-à-dire à aller le plus loin possible, n'a rien pour déplaire à la bourgeoisie de l'Occident, craignant avec raison la montée de l'antisémitisme. Un peu après la parution du livre de Léo Pinsker, un journaliste juif de Budapest, Théodore Herzl, assiste à Paris aux manifestations antisémites provoquées par l'affaire Dreyfus. Il écrira « l'état juif » qui demeure jusqu'à aujourd’hui l'Évangile du mouvement sioniste. Dès le début, le sionisme apparaît comme une réaction de la petite bourgeoisie juive (qui forme d'ailleurs encore le noyau du judaïsme), durement frappée par la vague montante de l'antisémitisme, ballottée d'un pays à l'autre, et qui essaie d'atteindre la Terre promise où elle pourra se soustraire aux tempêtes déferlant sur le monde moderne.

Le sionisme est donc un mouvement très jeune ; c'est le plus jeune des mouvements nationaux européens. Cela ne l'empêche pas de prétendre, bien plus que tous les autres nationalismes, qu'il tire sa substance d'un passé extrêmement lointain. Tandis que le sionisme est en fait le produit de la dernière phase du capitalisme, du capitalisme commençant à pourrir, il prétend tirer son origine d'un passé plus que bimillénaire. Alors que le sionisme est essentiellement une réaction contre la situation créée au judaïsme par la combinaison de la destruction du féodalisme et de la décadence du capitalisme, il affirme qu'il constitue une réaction contre l'état de choses existant depuis la chute de Jérusalem en l'an 70 de l'ère chrétienne. Sa naissance récente est naturellement la meilleure réplique à ces prétentions. En effet, comment croire que le remède, à un mal existant depuis deux mille ans, ait seulement pu être trouvé à la fin du XIX° siècle ? Mais comme tous les nationalismes, et bien plus intensément encore, le sionisme considère le passé historique à la lumière du présent. C'est ainsi d'ailleurs qu'il déforme l'image du présent. Tout comme on présente aux enfants français la France comme existant depuis la Gaule de Vercingétorix ; tout comme on présente aux enfants de Provence les victoires que les rois de l'Ile-de-France ont remportées contre leurs ancêtres, comme leurs propres succès, ainsi le sionisme essaie de créer le mythe d'un judaïsme éternel, éternellement en butte aux mêmes persécutions.

Le sionisme voit dans la chute de Jérusalem la cause de la dispersion et par conséquent l'origine de tous les malheurs juifs dans le passé, le présent et le futur.

« La source de tous les malheurs du peuple juif est la perte de sa patrie historique et sa dispersion dans tous les pays », déclare la délégation marxiste du Poaley-Zion au Comité hollando-scandinave. Après la dispersion violente des Juifs par les Romains, la lamentable histoire continue. Chassés de leur patrie, les Juifs n'ont pas voulu (ô beautés du libre arbitre !) s'assimiler. Pénétrés de leur « cohésion nationale », « d'un sentiment éthique supérieur » et « d'une croyance indestructible dans un Dieu unique », ils ont résisté à toutes les tentatives d'assimilation. Leur seul espoir, pendant ces jours sombres qui ont duré deux mille ans, fut la vision d'un retour dans leur antique patrie.

Le sionisme ne s'est jamais sérieusement posé cette question pourquoi, pendant ces deux mille ans, les Juifs n'ont-ils jamais tenté réellement de retourner dans cette patrie ? Pourquoi a-t-il fallu attendre la fin du XIX° siècle pour que Herzl parvienne à les convaincre de cette nécessité ? Pourquoi tous les prédécesseurs de Herzl, comme le fameux Sebetai Zevi, s'étaient-ils vus traiter de faux messie ? 

Pourquoi les adhérents de Sabetai Zevi furent-ils férocement persécutés par le judaïsme orthodoxe ?

Naturellement, pour répondre à ces questions intéressantes, on se réfugie derrière la religion.

« Aussi longtemps que les masses croyaient qu'elles devaient demeurer dans la Diaspora jusqu'à la venue du Messie, il fallait souffrir en silence », dit Zitlovski dont le sionisme est d'ailleurs assez conditionnel. Mais cependant cette explication ne nous explique rien. Il s'agit précisément de savoir pourquoi les masses juives croyaient qu'il fallait attendre le Messie pour pouvoir « retourner dans leur patrie » ? La religion étant un reflet idéologique des intérêts sociaux, elle doit forcément leur correspondre. Aujourd'hui, la religion ne constitue nullement un obstacle au sionisme.

En réalité, aussi longtemps que le judaïsme était incorporé dans le système féodal, le « rêve de Sion » n'était précisément rien d'autre qu'un rêve et ne correspondait à aucun intérêt réel du judaïsme. Le cabaretier ou le « fermier » juif de Pologne du XVI° siècle pensait aussi peu à « retourner » en Palestine qu'aujourd'hui le millionnaire juif d'Amérique. Le messianisme religieux juif ne se distinguait en rien des messianismes propres aux autres religions. Les pèlerins juifs qui se rendaient en Palestine y trouvaient des pèlerins catholiques, orthodoxes, musulmans. Ce n'était d'ailleurs pas tant le « retour en Palestine » qui constituait le fond de ce messianisme que la croyance dans la reconstruction du temple de Jérusalem.

Toutes ces conceptions idéalistes du sionisme sont naturellement inséparables du dogme de l'antisémitisme éternel.

« Aussi longtemps que les Juifs habiteront la Diaspora, ils seront haïs par les autochtones. »

Ce point de vue essentiel au sionisme, son ossature, peut-on dire, est naturellement nuancé par ses divers courants. Le sionisme transpose l'antisémitisme moderne à toute l'histoire, il s'épargne la peine d'étudier les diverses formes de l'antisémitisme, son évolution. Cependant, nous avons vu qu'à diverses époques historiques, le judaïsme faisait partie des classes possédantes et était traité comme elles. En somme, les sources du sionisme devraient être cherchées dans l'impossibilité de s'assimiler, à cause de l'antisémitisme « éternel » et de la volonté de sauvegarder les « trésors du judaïsme ».

En réalité, l'idéologie sioniste, comme toute idéologie, n'est que le reflet défiguré des intérêts d'une classe. C'est l'idéologie de la petite bourgeoisie juive, étouffant entre le féodalisme en ruine et le capitalisme en décadence. La réfutation des fantaisies idéologistes du sionisme ne réfute naturellement pas les besoins réels qui l'ont fait naître. C'est l'antisémitisme moderne, et non pas le mythique antisémitisme « éternel » qui est le meilleur agitateur en faveur du sionisme. De même, la question essentielle qui se pose est de savoir dans quelle mesure le sionisme est capable de résoudre, non pas « l'éternel problème juif, mais la question juive à l'époque de la décadence capitaliste ».

Les théoriciens sionistes aiment à comparer le sionisme à tous les autres mouvements nationaux. Mais, en réalité, les fondements des mouvements nationaux et du sionisme sont tout à fait différents. Le mouvement national de la bourgeoisie européenne est la conséquence du développement capitaliste; il reflète la volonté de la bourgeoisie de créer les bases nationales de la production, d'abolir les survivances féodales. Le mouvement national de la bourgeoisie européenne est étroitement lié à la phase ascendante du capitalisme. Mais au XIX° siècle, à l'époque de l'efflorescence des nationalismes, loin d'être sioniste, la bourgeoisie juive était profondément assimilatrice. Le processus économique, d'où sont issues les nations modernes, posait les bases de l'intégration de la bourgeoisie juive dans la nation bourgeoise.

C'est seulement quand le procès de la formation des nations touche à sa fin, quand les forces productives se trouvent depuis longtemps à l'étroit dans les frontières nationales, que commence à se manifester le procès de l'expulsion des Juifs de la société capitaliste, que commence à se développer l'antisémitisme moderne. L'élimination du judaïsme accompagne la décadence du capitalisme. Loin d'être un produit de développement des forces productives, le sionisme est précisément la conséquence de l'arrêt total de ce développement, le résultat de la pétrification du capitalisme. Tandis que le mouvement national est le produit de la période ascendante du capitalisme, le sionisme est le produit de l'ère impérialiste. La tragédie juive du XX° siècle est une conséquence directe de la décadence du capitalisme.

C'est là que gît l'obstacle principal à la réalisation du sionisme. La décadence capitaliste, base de la croissance du sionisme, est aussi cause de l'impossibilité de sa réalisation. La bourgeoisie juive est obligée de créer de toutes pièces un état national, de s'assurer les cadres objectifs du développement de ses forces productives, précisément à l'époque où les conditions d'un tel développement ont depuis longtemps disparu. Les conditions de la décadence du capitalisme qui ont posé d'une façon si aiguë la question juive, rendent aussi impossible sa solution par la voie sioniste. Et il n'y a rien d'étonnant à cela. On ne peut supprimer un mal sans en détruire les causes. Or, le sionisme veut résoudre la question juive sans détruire le capitalisme qui est la source principale des souffrances des Juifs.

Disponible sur Kontre Kulture 

PDF gratuit ICI.

mercredi, août 14, 2019

Le mondialisme messianique a-t-il pour père Satan ?


Sources et genèse messianiques du sionisme 
De l'Europe médiévale au Choc des civilisations
de Youssef Hindi

Qui veut comprendre la situation du monde actuel, doit remonter aux sources originelles des courants d'idées sous-jacents aux grands mouvements historiques. Idées qui seront le moteur de l'action pour ces minorités proactives qui font et défont l histoire. 

Dans cet ouvrage, Youssef Hindi nous révèle les origines mystiques, jusqu'ici méconnues, du sionisme et de la doctrine stratégique du Choc des civilisations. Idéologies qui conduisent en priorité les peuples d'Orient et d'Occident, et in fine l'Humanité dans son ensemble, sur des voies essentiellement périlleuses. 

En remontant au XIIIe siècle, nous découvrons comment est né le projet du « rapatriement » du peuple juif en Terre sainte malgré l'interdiction énoncée par la Torah et le Talmud. Nous voyons ici de quelle manière ce rêve messianique a pris corps pour s'accomplir à partir de la fin du XIXe siècle dans une idéologie athéiste, le sionisme politique.


Le paradoxe théologique du judaïsme 
Comment Yahvé usurpa la place de Dieu
de Youssef Hindi

Loin de remettre en cause le monothéisme, voici un récit historique inédit du dévoiement de l'idée monothéiste par un groupe d Hébreux qui a cru bon d'adopter puis d'imposer au peuple d'Israël une divinité qui lui était alors inconnue, Yahvé. Celui-ci s'est substitué, à la suite d'un lent processus, à El, le Dieu d'Abraham, des Patriarches et des prophètes. Contrairement à une idée répandue, les Hébreux n'ont pas inventé le monothéisme, mais une partie d'entre eux l'a dévoyé. C'est ce que démontre Youssef Hindi, après avoir remonté la trace de la croyance en un Dieu Unique dans l'Antiquité la plus reculée. L'enquête nous mène aux tous débuts de l'Histoire, aux deux extrémités du Croissant fertile, de Sumer à l'Égypte, en passant par Canaan. Il nous fait découvrir les preuves écrites de la croyance en Dieu, Unique et Universel, antérieures à la Torah de plus d'un millénaire. Malheureusement le monothéisme, présent dans la Torah originelle, fut perverti par la confusion opérée entre un dieu tribal, Yahvé, et le Dieu Universel, El. Cette usurpation a donné naissance au judaïsme et à son paradoxe théologique : l'universalisation d'un dieu tribal, avec des conséquences historiquement dévastatrices.

dimanche, août 04, 2019

Les dessous de l’affaire Epstein


Le réseau pédophile de Jeffrey Epstein, milliardaire juif américain et membre du MOSSAD, exploitait des dizaines de jeunes filles mineures.

"Aujourd’hui, dit Maxime Serri, les gens ignorent ce qu’il se passe politiquement aux États-Unis par exemple, et c’est pourtant passionnant ! Une multitude de gens bien intentionnés mais toujours reniés attendaient ce qui est en train de se passer, mais beaucoup ne sont pas suffisamment renseignés ou éveillés pour réellement voir ce qui se passe. 

Pareil en matière de science. Pour faire court, nous sommes bien plus que des êtres physiques. La réalité de notre psychisme se révèle petit à petit et c’est plus beau qu’on aurait jamais osé espérer. Nous avons des capacités extraordinaires, par exemple, dans la création de notre réalité. Que dire du spirituel, avec tous ces invariants dans les religions qui racontent en fait ce qui est en train de se passer devant nos propres yeux dans notre réalité ? [...]

Aujourd’hui, avec les médias, la politique, l’industrie du divertissement, on tente de vous asséner une certaine réalité grâce à des leviers labellisés comme conventionnels. La science conventionnelle, la médecine conventionnelle, l’Histoire conventionnelle, les médias conventionnels... tout ceci est d’une tristesse et d’une rigidité ! Et aucune place n’y est laissée à ce qui sort du carcan. Tout cela abonde dans le même sens et il n’y a pas le temps de se poser de questions. Je pense que c’est intentionnel. Pourtant, en science et en médecine comme en politique et en Histoire ou dans le domaine de l’information, c’est en se posant des questions sortant des sentiers battus, en partant de postulats incroyables notamment que l’on fait de nouvelles découvertes
.


Maxime Serri est l'auteur du livre "Un Nouveau Cycle (Vers un éveil de l’humanité)". 

Maxime Serri

Ou quand les débuts d'un des idéologues des « gilets jaunes » côtoient la fin d’une des plus grandes stars du rock.

Quels secrets cachent les décès consécutifs de Chris Cornell, leader du groupe Soundgarden et de Chester Bennington, chanteur de Linkin Park ?

Quelle est l’origine du glyphe retrouvé par un agriculteur américain sur sa parcelle ?

Quelle est la nature de l’artefact archéologique retrouvé par un marcheur roumain lors d’une randonnée en montagne ?

Quels risques prend une jeune chercheuse autrichienne en recevant les enseignements d’un professeur d’université suspendu pour avoir remis en cause la version officielle des événements du 11 septembre 2001 ?

Quels enseignements retirera un jeune français de sa rencontre avec un des futurs leaders des « gilets jaunes » ?

Quelle issue un tueur à gage pour la mafia new-yorkaise trouvera-t-il au terme de contrats de plus en plus étranges ?

Au risque de se perdre, certaines de ces trajectoires viendront à se croiser, formant une toile permettant au lecteur de mieux appréhender le monde dans lequel il vit. La lumière l’attend au bout du tunnel.

jeudi, août 01, 2019

A Nantes, la fresque en hommage à Steve Maia Caniço



"(...) vérité, énoncée en 1842 : « La vie de l’agent de police est pénible ; sa position au milieu de la société aussi humiliante et méprisée que le crime même. [...] La honte et l’infamie l’enserrent de toutes parts, la société le chasse de son sein, l’isole comme un paria, lui crache son mépris avec sa paie, sans remords, sans regrets, sans pitié [...] la carte de police qu’il porte dans sa poche est un brevet d’ignominie. » Le 21 novembre 2006, les pompiers en manifestation à Paris ont attaqué les CRS à coups de marteau et en ont blessé quinze. Cela pour rappeler qu’« avoir la vocation d’aider » ne pourra jamais être une excuse valable pour intégrer la police."

Extrait de L'insurrection qui vient, PDF gratuit.

La guerre contre l’Islam est-elle une phase de la guerre ultime : la Guerre contre le Christ ?

La doctrine de la « démocratie libérale et des droits de l’homme » est une crypto-religion, une forme extrême, hérétique de judaïsme christ...