mardi, décembre 31, 2019

Des enfants sont utilisés pour faire passer un agenda politique


(Durée 18:10)

Soutenir Tatiana Ventôse

Le mouvement transgenre, 
glorification de Lucifer androgyne ?


Le transgendérisme fait-il partie d'un agenda luciférien visant à corrompre et à débaucher la jeunesse ?

Les occultistes, les kabbalistes et bien entendu les satanistes au pouvoir considèrent Lucifer comme une entité "transgenre", c’est-à-dire ayant à la fois des caractéristiques masculines et des caractéristiques féminines. 

"Baphomet, l'androgyne «Chèvre de Mendes», alias Lucifer, décrit comme un homme avec une poitrine de femme et une tête de chèvre par l'occultiste Eliphas Levi en 1854, représentant le "baptême de la connaissance" occulte menant à la fusion finale de toutes choses en un seul : Satan."

samedi, décembre 28, 2019

La pédocriminalité du Gotha

Comme Gabriel Matzneff, le tout-Paris défendait le sexe entre adultes et enfants

(Durée 7:01)

"Gabriel Matzneff, écrit Annabel Benhaiem, est au centre d’un ouragan médiatique qui n’aurait pu se produire à l’époque où il figurait parmi les écrivains les plus en vue.

La parution le 2 janvier 2020 du livre Le Consentement écrit par l’une de ses victimes présumées, Vanessa Springora, plus de trente après les faits reprochés, a remis sur le devant de la scène le passé pédophile de Gabriel Matzneff.


Aujourd’hui, ses écrits dans lesquels il narre ses conquêtes de mineurs, filles ou garçons, d’ici ou d’ailleurs, ne passent plus. Parce qu’ils ont toujours été accompagnés d’aveux : oui, ce qu’il écrivait sur ses détournements de mineurs rejoignait souvent la vérité. Mais dans les années 1970, peu importe. Matzneff est au faîte de sa gloire, il est encensé par les critiques littéraires et se crée un rôle à contre-emploi: celui d’un aristocrate en faveur de la révolution... sexuelle et pour tous. 


Militant aux côtés des intellectuels qui comptent

Il milite pour que la pédophilie soit décriminalisée. En 1977, il rédige un texte que le Tout-Paris cosigne, mais il n’est écrit nulle part dans la tribune qu’il en est l’auteur. Parmi les 69 signataires, on trouve Louis Aragon, le sémiologue Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, le cinéaste Patrice Chéreau, le philosophe Gilles Deleuze, André Glucksmann, l’écrivaine Catherine Millet.

Quelques personnalités refusent de le signer à l’instar de Marguerite Duras et de Michel Foucault.

Le Monde accepte de le publier le 26 janvier, la veille de l’ouverture d’un procès mettant en cause trois hommes accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des filles et des garçons de 13 et 14 ans.

Ce n’est qu’en 2013 que Gabriel Matzneff dévoilera être l’auteur de cette lettre ouverte sur son blog, agacé de voir les signataires encore en vie s’excuser de l’avoir signée ou bien oublier qu’ils l’ont signée.

“Apeurés, craignant pour leur carrière, écrit-il, trop de signataires de la pétition renient aujourd’hui leur signature, se cachent derrière une mémoire prétendue défaillante. C’est dommage, mais pour ma part, je demeure fidèle à mes engagements. Je suis heureux d’avoir, avec mon article du Monde, puis avec la pétition, contribué à la libération des prisonniers. Je revendique tout ce que j’ai écrit. Je persiste et je signe.”



Dans la droite ligne de Mai-68

Si son réseau s’est largement étiolé au fil des ans, on peut voir que dans les années 1970, il était extrêmement dense.

En effet, quatre mois plus tard, en mai 1977, une nouvelle tribune est publiée dans Le Monde encore, signée par 80 intellectuels et personnalités françaises comme la pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto. Cette fois-ci, Michel Foucault est signataire. On retrouve à peu près les mêmes noms que dans la première tribune. Et bien sûr, Gabriel Matzneff. Ce texte-ci demande à ce que les lois régissant les relations sexuelles entre adultes et mineurs soient abrogées au même titre que celles qui réprimaient l’adultère, l’IVG, et les “pratiques anticonceptionnelles”.

On voit bien ici la logique de ces demandes qui s’inscrit dans une libération sexuelle totale, faisant des enfants des êtres qui devraient bénéficier des mêmes droits que les adultes, comme celui de faire l’amour. À l’époque, l’idée de leur non-consentement évident est écartée. Dans les années 1970, le droit définissait strictement la pédophilie, et les mœurs post-68 voulaient qu’interdire le sexe avec les enfants soit une énième interdiction à abattre.

Deux ans plus tard, Libération publie une lettre de soutien à un homme accusé de pédophilie pour avoir vécu avec des jeunes filles de 6 à 12 ans chez lui. 63 personnes ont signé ce texte, dans lequel on peut lire cet extrait au sujet des petites filles concernées : “[leur]air épanoui montre aux yeux de tous, y compris de leurs parents, le bonheur qu’elles trouvent avec lui”.

Mais le vent tourne pour Matzneff qui, au tout début des années 1990, commence à faire tache. Sa confrontation télévisée avec la Canadienne Denise Bombardier dont la vidéo tourne sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours a lieu précisément en 1990. Elle marque le début de la fin pour Matzneff.

Son prix Renaudot tout comme sa décoration d’officier des arts et des lettres remise en 1995 ne changeront rien à son destin, il vend de moins en moins, il est définitivement rangé dans le rayon des impunis."


Source :


A propos de Mai 1968

Le Monde publiait en mai 88 Le mouvement de Mai 68 “révolution juive” ? en affirmant que la proportion de Juifs y était importante. Cohn-Bendit dans Le Grand Bazar (Éd. Belfond) écrit « les juifs représenteraient une majorité non négligeable, sinon la grande majorité des militants ». Pour l’historien israélien Yair Auron, les leaders de Mai 68 sont en grand nombre juifs (Les Juifs d’Extrême Gauche en Mai 68, Albin Michel). Lire la suite ICI


René Guénon : "(...) dès lors que les juifs se sécularisent, ils deviennent à leur insu le pivot de la subversion antitraditionnelle". C’est pourquoi une certaine « Internationale des Ténèbres » aime à les utiliser et promouvoir pour leurs capacités cérébrales.


L'Eglise romaine est-elle crypto-judaïque dès l'origine ?

(Durée 3:40)

La soumission du pape au rabbinat. Le catholicisme s'intègre au noachisme, la religion talmudique mondiale pour les goyim.


Commentaire de la vidéo par "Save Our Souls" :

"Et ce "bon p'tit pape" qui déclare en public à ses ouailles... de ne surtout pas prier Jésus-Christ, dans le secret de leur cœur ! Qu'ils préfèrent venir à l'église (infestée par la Franc-maçonnerie, hélas), afin d'être en accord, je suppose, avec la Sainte Doctrine ! Quel salaud ! Quel traître ! Sous Vatican II, il n'y a eu que des traîtres, à l'exception d'Albino Luciani, bien sûr (pape Jean-Paul Ier), descendu, assassiné par l'Opus Dei, la Franc-Maçonnerie appartenant à la Grand Juiverie, en 1978, après seulement 33 jours de règne !"


L'Eglise romaine est-elle crypto-judaïque dès l'origine ?



Pour se fondre dans la religion planétaire qui consacre le Nouvel Ordre Mondial, l'Église de Rome, autrefois si arrogante, doit effacer les traces de son identité originelle. Et l'un des traits gênants à gommer d'urgence, et qu'on s'efforce de faire disparaître depuis la Révolution Française, c'est la sévérité de Jésus à l'encontre du Judaïsme et de ses chefs qu'il nomme « synagogue de Satan » et « race de vipères ». Ces paroles n'engagent que Jésus, dirait-on de nos jours par prudence. La radicalité de la doctrine de Jésus dérange à l'heure de l'œcuménisme du Nouvel Âge.

Race de vipères ! Synagogue de Satan ! Ces mots sont durs à entendre de la part d'un envoyé divin qui doit tout de même savoir de quoi il parle. Il y avait un lourd contentieux avec Israël. Mais les papes ont décidé que le conflit entre Jésus et la Synagogue n'était plus leur affaire. Ils avaient déjà enduré trop de soucis en essayant de tenir le Judaïsme à distance, jusqu'au moment où la Révolution pulvérisa les digues. Le Vatican doit désormais adopter lui aussi la libre pensée jusqu'à remettre en question le fondement de son dogme - la nouvelle alliance qui était censée annuler l'ancienne. Mais non seulement le nouvel Israël du Christ n'a pas survécu, mais c'est l'ancien qui est réapparu, faisant preuve d'une vivacité surprenante. Alors, le nom du Christ finira par être effacé par une interdiction tacite pour faire place au sauveur qui sera mis à la tête de l'Ordre Mondial. En dépit des efforts effectués depuis Vatican II pour rayer de l'Évangile les mots qui fâchent, il semble qu'une puissance supérieure veille les maintenir encore, malgré les sollicitations pressantes des Juifs et des Chrétiens décadents qui voudraient effacer du canon des Écritures les formules politiquement incorrectes. Sans doute, cette toilette théologique aura-t-elle lieu prochainement, car on ne voit pas comment la religion mondiale synthétique pourra voir le jour si les partenaires qui y collaborent ne se mettent pas d'accord sur une doctrine commune parfaitement lisse.

Un Chrétien moderne, qui ignore généralement tout du Christianisme métaphysique, est perplexe lorsqu'on lui montre, preuves évangéliques à l'appui, que la révélation chrétienne n'a jamais été une morale humanitariste à l'eau de rose, mais qu'elle entre en confrontation directe avec la doctrine judaïque matérialisante qui nie la réalité d'un Royaume éternel hors de l'espace-temps. C'est parce que la négation de la vie divine transcendante au profit d'un royaume terrestre risquait de devenir la croyance du monde entier - ce qui devait advenir de toute façon - que l'agent divin appelé Christ est venu ici-bas pour répandre l'antidote. Pour preuve que Jésus avait identifié le problème, voici ce passage de l'Evangile de Jean :

« Jésus dit aux Juifs : si Dieu était votre père, vous m'aimeriez (...) Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge. » Évangile selon jean, chapitre 8.

Un Chrétien pourrait s'exclamer : « Qu'avez-vous fait, Seigneur ? Vous dites aux Juifs que leur nation a le diable pour père ! Et que leur père est le père du mensonge ! Bigre, Seigneur Jésus, est-ce que vous n'êtes pas allé trop loin ? On voit bien qu'à votre époque il n'y avait pas de lois pour réglementer le religieusement correct, quoiqu'on vous ait quand même fait taire. Mais il était plus facile de s'exprimer il y a deux mille ans, tandis qu'aujourd'hui, pour nous les Chrétiens, comment lire les saintes Écritures si on n'a plus le droit d'y lire ce qui est écrit ? Seigneur, il faut vraiment changer votre doctrine sur tous les points tendancieux car notre culture moderne ne tolère plus ce genre de critique ». Si des crétins de Chrétiens sont capables d'accepter une censure des Évangiles, jusqu'à se déshonorer et trahir leur rédempteur, il est improbable que les Juifs reprochent jamais à leur divinité totémique de les avoir élus pour la domination du monde, et qu'ils coupent un jour les passages de la Bible montrant Israël à l'oeuvre. Alors, faudra-il que l’Évangile devienne un livre aussi secret que le Talmud avec toutes les considérations scabreuses, racistes et génocidaires que ce code de la loi juive comporte ? [...]

Si Juifs et Chrétiens, « spirituellement sémites », ont désormais un Dieu commun - « le Maître des temps et de l'Histoire ! » - il faudra qu'ils s'accordent sur son identité réelle. Est-ce que le « Père du mensonge depuis l'origine » serait le Dieu des Chrétiens ? S'il en est ainsi, c'est que le Christ est passé à la trappe avec sa Nouvelle Alliance, car son message qui annulait l'ancienne dispensation d'Israël n'a plus aucun sens spirituel, métaphysique et historique. Sa mission n'a servi qu'à ramener les christianisés à la maison-mère, la Grande Synagogue, après un inutile détour de deux mille ans. Beaucoup de bruit pour rien.

Jésus, le pourfendeur d'un Judaïsme rétrograde, qu'il dénonce comme l'obstacle à l'émancipation de l'humanité hors du monde matériel, se serait-il trompé de cible ? Il se serait donc incarné pour rien. Par la bouche des papes qui accomplissent sur la scène de l'histoire le reniement de l'apôtre Pierre, on nous ordonne d'oublier une révélation christique qui fait tâche dans l'harmonie œcuménique que le Christ, sans doute pas assez éclairé, ne pouvait concevoir. Seuls des papes, infaillibles devant l'Esprit-Saint, peuvent comprendre l'idéal d'un royaume terrestre conforme à l'espérance judaïque - un royaume humaniste et matériel que Jésus refusa avec obstination, par une sorte de préjugé anti judaïque rétrograde. Heureusement que les Jésuites ont élargi ultérieurement sa doctrine étriquée pour la conformer aux lumières de la science et du progrès !


Pierre, triple renégat

« Arrière de moi Satan car tes paroles sont celles des hommes ! » Cette exclamation de Jésus s'adresse à l'apôtre Pierre. Pourquoi le fondateur de la catholicité est-il traité de « Satan » par son maître ? Le titre de Satan paraît peu enviable pour le fondateur de l'Église chrétienne, à moins que cette Eglise qu'on dit romaine, n'ait été crypto-judaïque dès l'origine, ce que Jésus semble vouloir faire comprendre à son disciple. Pourquoi Jésus confie-t-il la garde de ses brebis à un pasteur qu'il appelle Satan au motif qu'il pense de manière profane ? Il faut comprendre ici que l'humanisme de Pierre est pour Jésus du satanisme pur, car il sait que l'apôtre détournera son message transcendant pour édifier une organisation temporelle qui tombera inévitablement sous le contrôle du « prince de ce monde » . Comme nous le savons, celui-ci est « le père du mensonge depuis l'origine ».

Nous pouvons en déduire que Pierre, par l'intermédiaire des papes, ne fait qu'accomplir la prophétie qui fait de lui le renégat du Christ, faute de comprendre son but, ou parce qu'il défend une autre politique. Cette politique serait trop longue à développer ici. Souvenons-nous que dans l'Évangile, seul Jean, le « disciple bien-aimé qui repose sur le cœur de Jésus », comprend ce que Jésus raconte. Pierre n'y comprend rien.

À plusieurs endroits, Pierre interroge Jean lorsqu'il veut savoir ce qui se passe, car lui, le croyant primaire et terre-à-terre, il n'entend rien aux mystères ésotériques de son maître. Et, par sa théologie intellectuelle trop humaine, l'Église témoigna de son ignorance et d'une volonté de réduire au silence les disciples de Jean - hérétiques, gnostiques et manichéens - sous prétexte qu'ils recherchent une Connaissance que Pierre ne possède pas, et dont il nie la réalité pour ne pas perdre la face devant ses fidèles. Mais son masque est tombé.

Pierre renie le Christ dès la fondation de l'Église, et grâce à cette puissante institution politique, il répand sur la terre l'inversion du Christianisme dont le but est de reconduire les âmes dans l'univers divin. A l'opposé, Pierre les rive au monde et persécute les dissidents. Lorsque le pape se soumet à la loi du Judaïsme qui s'enracine dans un grave malentendu - la négation du Royaume éternel, destination ultime des âmes - il renie le Christ qui s' est incarné pour désenvoûter les âmes de leur attachement à la matière. Pierre, le triple renégat, n'a pas connu le Christ qu'il a renié dès le départ. Depuis dix huit siècles, il a fait de l'idole Jésus-Christ une parodie grandiloquente. Mais aujourd'hui, vieux et ridicule, du haut de son trône effondré, il apostasie sa religion équivoque, si jamais ce bonimenteur - trop usé pour faire usage de la violence dont il abusa - eut part un instant à la foi chrétienne.

Fidèles à la prophétie

Admettons que les papes, aux prises avec des puissances occultes qui les dominent, soient contraints de se soumettre pour que s'accomplisse la prophétie de Jésus à l'égard de Pierre :
« En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas ». Jean, 21:18.

Et nous voici, en ce début du troisième millénaire - le troisième reniement ? - comme des spectateurs désabusés assistant à cette fin lamentable, nous qui avons été bercés dans notre jeunesse par les rêves du catéchisme. Nous assistons en direct à l'accomplissement de la prophétie du reniement de Pierre. Cela devrait éveiller un émerveillement devant la divine stratégie du Christ. Ainsi, tout était prévu, depuis le reniement de l'apôtre jusqu'au démasquage des papes renégats, fin honteuse que la Bible présente comme la crucifixion de Pierre... à l'envers ! Les papes sont visiblement occupés à liquider leur entreprise, un peu contre leur volonté. En tout cas, Benoît XVI, lorsqu'il s'appelait Ratzinger, avait prévenu : « Nous redeviendrons une petite Église comme Les autres ». Les catholiques ne peuvent ignorer que leur pape a clairement annoncé la liquidation de leur religion, mais que la vente continue pendant les travaux œcuméniques. Ainsi s'accomplit la prophétie concernant l'agonie d'une religion qui espère survivre en se fondant dans une religion mondiale, car il n'y a pas d'autre choix. Pour accomplir la parole, il fallait que les papes apostasient publiquement afin que tous ceux qui ont des yeux pour voir, puissent assister à cette scène mémorable au cours de laquelle le chef suprême de la chrétienté qui parlait à la place de Dieu et qui tenait « les clés du paradis et de l'enfer », va être conduit « là où il ne veut pas aller ». Certains diront que le pape accomplit là une nouvelle crucifixion devant les mêmes juges que Jésus. On peut voir les choses ainsi mais c'est d'abord de la politique.

Joël Labruyère, "Kali Yuga".





« Dans la Tradition universelle, le déroulement du monde se divise en quatre âges marquant chacun un nouvel effondrement moral et un éloignement du divin. Les Hindous nomment le dernier de ces âges le Kali Yuga, l'Âge Noir. Ils considèrent que nous y sommes entrés il y a 5000 ans et que nous ne sommes pas prêts d'en sortir. Pendant l'Âge Noir, seul subsiste un quart de vérité contre trois-quarts de mensonge. Plus l'Âge Noir avance et plus ce quart de vérité se trouve englouti, non pas disparu, mais mélangé et difficilement identifiable. 

Malgré tout, les Anciens considéraient que l'Âge Noir était un cycle propice pour ceux qui recherchent la grande Libération. Insatisfaits des gratifications illusoires de la matière, nous pouvons être propulsés vers le haut par la pression insoutenable du mensonge grandissant. Endurer ce mal nous force à rechercher le Bien absolu. Si nous n'avons pas le goût de flâner dans le jardin des délices de la civilisation matérialiste pour éprouver son bonheur virtuel, il faut s'en extraire avec force au risque de s'y perdre. Il faut s'arracher à l'entropie ambiante par un mouvement énergétique, une révolution de la conscience et de l'être. Au cœur de l'Âge Noir, il existe donc une porte vers l'Âge d'Or intérieur. Mais cette porte est cachée. Il faut combattre pour la trouver. »
Pour une éventuelle réédition du livre contacter :

BARKA PRODUCTIONS 
BOÎTE POSTALE 7
34330 LA SALVETAT SUR AGOÛT


vendredi, décembre 27, 2019

Du catholicisme au soufisme, un jeune raconte son parcours

(Durée 10:06)


René Guénon, Hésychasme, Orthodoxie... mes étapes vers l'Islam & la Karkariya




Pourquoi ce vêtement ?

Ce vêtement est le symbole de la renonciation et de la remise de tout son être entre les mains du Sheykh ‘ârif bi-Llâh accompli (kâmil) dans tout ce qui concerne le mourid, et ce afin qu’il lui fasse voir et découvrir les défauts de sa nafs ainsi que ses différents degrés, en recherchant la purification et l’élévation de la nafs ammâra (qui enjoint au péché) vers la nafs lawwâma (qui regrette profondément), puis vers la nafs mutma’inna (appaisée), puis vers la nafs râdiya (satisfaite), puis vers la nafs mardiya (objet de la satisfaction), puis vers la nafs râji’at ilâ rabbihâ (retournant vers son Seigneur)..."

Source :
https://karkariya.fr/category/des-nouvelles-de-la-tariqa/




Derviches & soufis
par Jean Louis Bernard



L’institution plonge ses racines dans les sectes helléniques de Pythagore et de Platon. Il s’y mêla des influences hindoues, voire chinoises (la doctrine de l’« invariable milieu »). En fait, l’ordre proprement dit remonte à Orchan, le second sultan turc. Gérard de Nerval qui fréquenta les derviches, les classait en groupes très distincts :


Les « munasihi »


Les « munasihi » croient à la transmigration ou métempsychose : l’homme qui involue (en dégénérant spirituellement) renaît en animal ; et l’animal peut renaître en homme. De là, ces fondations pieuses en faveur des animaux, par exemple pour les chiens errants d’Istanbul ; de là encore, disent les derviches, l’interdiction par l’Islam de la chair de porc, cet animal étant biologiquement le plus proche de l’humain…


Les « eschraki »


Les « eschraki » (comparer à l’allemand « erschreckt » = effrayé, illuminé), plus mystiques que théosophes, recherchent la contemplation divine par les nombres (comme les anciens pythagoriciens), par les formes et les couleurs. Toutefois, contrairement aux pythagoriciens, ils rejettent toute spéculation sur les nombres ; ils se bornent à immobiliser leur mental sur des nombres donnés, jusqu’à illumination !


Les « haïreti »


Les « haïreti » (comparer au mot « hérétique ») sont des sceptiques ou faux sceptiques ; ils n’adhèrent à aucun article de foi, mais sans en rien rejeter… Ils estiment sagement que toute vérité contient son pôle d’erreur et inversement ; ceux-là se réfèrent à l’invariable milieu des Chinois. Ils pratiquent (toujours comme les sages chinois) le « non-agir », afin d’être agissants par leur inconscient.


Le derviche se voue à la pauvreté, ce qui, paradoxalement, lui donne le droit de recevoir. Certains usent et abusent (avec détachement) de la nourriture, des boissons alcoolisées, de la pâte de hachisch, de l’érotisme – l’élan mystique maintenant leur être profond dans l’indifférence. Mais ceux-ci marchent « sur le fil du rasoir » ! D’autres pratiquent l’ascétisme, avec le même détachement.


Les derviches furent toujours aimés de la foule musulmane qui apprécie leur gaieté, leur enthousiasme mystique, leur charité et cette simplicité d’initiés qui les places au-dessus de tous, sans piédestal. Dans leurs couvents, ils nourrissent les chiens et les oiseaux, sans les retenir, et instruisent les enfants. L’étranger les connaît uniquement par les exhibitions des derviches tourneurs : vêtus de blanc (sauf le supérieur, en bleu céleste), ils tournent sur eux-mêmes jusqu’à l’exaltation magnétique ; alors, fondus dans leur double, donc en transe, ils accèdent à une certaine extase et à une certaine médiumnité prophétique. Les derviches hurleurs dansent autour d’un mât en psalmodiant une litanie dont le refrain est « Allah hay ! » (Dieu vivant). Puis, ils entrent en transe aussi.

Gurdjieff, célèbre en Occident entre les deux guerres, avait reçu une initiation chez les derviches.


(Fares Gillon écrit : "Dans sa correspondance, René Guénon juge très défavorablement Gurdjieff, lui reprochant notamment de ne se rattacher à aucune filiation traditionnelle, et émet des doutes sur sa pratique, « une sorte de méthode d’entraînement psychique assez fantaisiste, qui semble même n’être pas sans danger »." Source : https://philitt.fr/2014/11/14/le-jihad-de-rene-daumal/)


Lecture :


Voyage en Orient de Gérard de Nerval

jeudi, décembre 26, 2019

Vissarion, le Messie qui vient de la forêt

(Durée 32:00)

Sergey Anatolyevitch Torop est né le 14 janvier 1961 à Krasnodar. Cet "ancien policier russe affirme être la réincarnation de Jésus-Christ et se fait appeler "Vissarion", "celui qui vient de la forêt". Et c’est justement dans la taïga sibérienne qu’il a rallié quelque quatre mille disciples. Cette communauté vit en autosuffisance et en autarcie, ses membres sont végétariens et n'ont le droit de consommer ni tabac, ni alcool."

Vissarion n'est pas le seul à se déclarer être le nouveau Messie. Les plus connus sont : en Zambie, le Jésus de Kitwe ; au Brésil, Inri Cristo ; aux Philippines, Apollo Quiboloy ; au Japon, Jesus Matayoshi ; au Royaume-Uni, David Shayler ; en Afrique du Sud, le Messie du KwaZulu Natal...


mardi, décembre 24, 2019

"D'ici 2025": le faux prophète qui vient


Alice Bailey était en contact télépathique avec le Maître tibétain Djwhal Khul sous l'inspiration duquel elle rédigeait la plupart de ses ouvrages.

Depuis le début du 20e siècle, des loges d'occultistes ont établi le programme qui conduit au Nouvel Ordre Mondial et à la nouvelle religion qui sera imposée à l'humanité. 



Dans ses écrits, Alice Bailey traite de la nature du prochain gouvernement mondial, de la religion universelle et du système planétaire d'éducation (d'endoctrinement).

Alice Bailey est la fondatrice de la Lucis Trust. Organisation "accréditée auprès du Bureau d’information publique de l’Organisation des Nations Unies, elle a le statut consultatif auprès du conseil économique et social de l’O.N.U. et maintient des relations informelles avec un grand nombre d’organisations non gouvernementales, nationales et internationales. A cette effet, elle participe régulièrement à diverses activités de l’O.N.U."(Source).

La Lucis Trust, à son origine, s'appelait la LUCIFER TRUST.

"Rien, écrit Alice Bailey, ne saurait empêcher la nouvelle religion mondiale de se manifester bientôt. Il en a toujours été ainsi à travers les âges et cela continuera toujours. Il n'existe point de finalité dans la présentation de la vérité ; elle se développe et s'amplifie, pour répondre à la croissante exigence de lumière des hommes. La nouvelle religion mondiale sera instaurée et développée par les personnes d'inclination spirituelle de toutes les Eglises, dont l'esprit est ouvert aux inspirations nouvelles de l'Amour et de la Pensée de Dieu, par les personnes d'esprit large et bienveillant, dont l'existence personnelle est pure et consacrée.


La nouvelle religion rencontrera les obstacles dressés par les traditionalistes, les gens étroits, les théologiens, par tous ceux qui sont attachés aux anciennes méthodes et interprétations, aux vieilles doctrines, aux idées professées par les hommes, par ceux qui tiennent aux formes, aux rites, aux cérémonies, à la pompe, à l'autorité, aiment à édifier des temples en pierre, en face du désespoir extrême de l'homme d'aujourd'hui, devant sa faim et sa misère. [...]


LA NOUVELLE RELIGION MONDIALE

par Alice Bailey

Comment cette nouvelle présentation de la religion, avec ses nouveaux rites et ses cérémonies nouvelles, prendra-t-elle forme ? Une nouvelle présentation est si profondément désirée et attendue avec tant d'espoir par les gens pour qui une attitude religieuse est d'une importance fondamentale. Quels sont les signes de sa venue ? Quelles sont les démarches préliminaires à entreprendre ? Quelles sont les indications des tendances qui se développent et inciteraient à persuader de son éventuelle apparition ?

Nombreuses sont les questions de cet ordre qui se posent. Une bonne partie des réponses qu'on pourrait fournir serait considérée par les sceptiques et les orthodoxes comme purement spéculatif. L'attitude présente des Eglises semble être de nier toute possibilité d'une religion universelle, en ce moment, sinon jamais. Les divergences de doctrine et des voies d'approche vers Dieu semblent
exclure toute uniformité. Nécessairement, la structure extérieure de la Nouvelle Religion mondiale sera longue à se manifester. Il n'y a guère de chance que ce soit au cours de la génération présente. Toutefois, les signes de sa venue se distinguent déjà à l'horizon et l'aube des idées justes les indique.

Les plans sont déjà tirés. L'attitude intérieure de l'humanité et quelques événements extérieurs montrent une vraie récognition intérieure de la nécessité de revoir la religion orthodoxe et de revivifier son influence spirituelle. Telles sont toujours les étapes préliminaires à la création. La réalisation subjective précède toujours la manifestation objective et tel est le cas aujourd'hui.

L'humanité reconnaît le besoin d'une voie d'approche plus vivante vers Dieu, et plus intelligemment présentée. Les hommes sont las des différences et des disputes de doctrine et de dogme. L'étude comparée des religions a démontré que les vérités fondamentales de chaque foi sont identiques. Du fait de cette universalité, elles évoquent l'acceptation et la réponse des hommes de partout. Le seul facteur qui, en réalité, milite contre l'unité spirituelle de tous les hommes est l'organisation existante du clergé et son attitude militante à l'égard des religions ou des croyances autres que la sienne.

Malgré tout cela, la structure de la Nouvelle Religion mondiale s'édifie au moyen de groupes déviationnistes au sein des Eglises, de nombreux groupes mondiaux qui présentent le concept du Dieu immanent, même s'ils y sont poussés par des motifs égoïstes et placent un accent malheureux sur les pouvoirs de la divinité intérieure pour garantir une santé parfaite, beaucoup d'argent, le succès certain dans les affaires et une popularité sans accroc ! Cet accent est mis par des zélateurs sans intelligence et des disciples matérialistes dans les divers groupes de Scientistes chrétiens, dans Unité, et dans les cultes de la Pensée nouvelle. Malgré cette déformation, ces groupes ont accompli un bien véritable. Le concept de l'immanence de Dieu et celui de la divinité intérieure de chaque être humain se sont fait partout connaître du public. C'est une activité significative et divinement occulte, mais sa puissance spirituelle a été momentanément neutralisée par la présentation égoïste et individualiste de ces gens.

La Nouvelle Religion mondiale a aussi été amenée à s'exprimer par l'activité des groupes ésotéristes dans le monde entier, à cause de l'accent particulier qu'ils placent sur le fait de la Hiérarchie spirituelle, sur le rôle actif du Christ et sur les techniques de méditation permettant d'atteindre la prise de conscience de l'âme, ou conscience christique. La prière a été déployée jusqu'à la méditation. Le désir a été sublimé en aspiration mentale. Il est supplanté par le sens de l'unité et par la récognition du Dieu immanent. Ceci conduit finalement à l'unification avec le Dieu transcendant.

C'est le moment où la Science de l'Invocation et de l'Evocation peut dépasser les techniques plus anciennes. L'ensemble de l'humanité va pénétrer le domaine de la compréhension mentale. Le caractère avide des prières de la moyenne des hommes, inspirées par un désir quelconque, a longtemps gêné les gens intelligents. La vague méditation, enseignée et pratiquée en Orient et en Occident (avec sa note nettement égoïste de libération personnelle et de satisfaction égoïste) cause également de l'aversion. Le sentiment éprouvé est plus grand et plus généreux que le désir de la libération individuelle. Nombre de groupes sont aux prises avec ces changements et, en soi, cela donne beaucoup d'espoir.

Dans l'ensemble de ces groupes, dans les Eglises ou en dehors d'elles, se trouve le noyau de la Nouvelle Religion mondiale. Il faut y ajouter les activités du mouvement spirite, non pour les phénomènes, dont beaucoup sont frauduleux ou imaginaires quoique d'autres réels et véritables, mais du point de vue de la certitude qu'il exprime sur l'immortalité de l'homme et des preuves qu'il a recueillies. Les Spirites n'ont pas encore réussi à prouver l'immortalité ; ils ont prouvé la survie, apportant ainsi une contribution précieuse à la structure de la Nouvelle Religion mondiale. Les facultés de communication télépathique qui se développent lentement et l'admission par la science de la perception supra-sensible jouent aussi leur rôle dans la démonstration du monde des vies et des valeurs non tangibles. Tous ces facteurs nécessitent et soutiennent l'exigence d'une nouvelle présentation de la religion, inclusive et non plus exclusive, comme aujourd'hui. La religion de l'avenir expliquera le progrès de l'humanité en révélant un Plan divin, historiquement prouvé. Une discipline et une formation appliquées scientifiquement mettront l'humanité à même d'agir en fonction de la divinité intérieure, ou homme spirituel. Pareille formation lui apprendra aussi le fait du Dieu immanent dans toutes les formes et lui permettra de participer au grand mouvement planétaire, qui s'esquisse lentement et met en rapport le Dieu immanent plus étroitement avec le Dieu transcendant, à travers la Hiérarchie spirituelle sur terre.

La note dominante de la Nouvelle Religion mondiale est la Voie d'Approche divine. "Rapprochez-vous de Lui et Il s'approchera de vous", telle est l'injonction qui émane en termes clairs et nouveaux de la Hiérarchie, aujourd'hui. Le thème principal de la Nouvelle Religion mondiale sera l'unification des grandes Voies d'Approche divines. La tache incombant aux Eglises est de préparer l'humanité, par des mouvements spirituels organisés, à la cinquième Voie d'Approche imminente. La méthode employée sera l'usage scientifique et intelligent de l'Invocation et de l'Evocation et la constatation de sa puissance énorme. L'objectif de la Voie d'Approche à venir, du travail préparatoire et de l'invocation, est la révélation, une révélation qui a toujours été accordée par cycles et qui est prête aujourd'hui à être acceptée par les hommes...





lundi, décembre 23, 2019

Qui occulte l'existence des géants ?

(Durée 2:26)
Bande annonce : Jack le chasseur de géants.

Le Père Carlos Vaca – prêtre catholique – garda pendant des décennies les restes de squelettes d’une taille immense.

La plupart des fragments d’os – d’êtres qui avaient une hauteur d’environ 7 mètres – ont été récupérés à partir d’un site appelé « Changaiminas » en Équateur. Curieusement, Changaiminas traduit signifie « Cimetière des dieux ».

Il y a d’innombrables histoires de découvertes incroyables qui ont été faites autour de la planète. Curieusement, l’Équateur abrite de nombreuses découvertes étranges.

L’une des découvertes récentes les plus populaires est la soi-disant ville perdue des Géants qui a été trouvée par un groupe d’explorateurs dans la jungle équatorienne. En plus de la ville mystérieuse, les gens ont trouvé dans le passé des squelettes immenses dans différentes parties de l’Équateur.


Dans le sud, près de la frontière avec le Pérou, les gens ont trouvé toutes sortes de choses étranges. Selon les rapports, les experts ont récupéré les os et les squelettes qui sont semblables aux humains mais beaucoup plus grands dans la taille.

Beaucoup de ces squelettes et ossements étaient cachés au public dans des collections privées partout dans le monde.

Lire la suite de l'article :
https://le-bar-de-gooz.forumactif.org/t2732-lhistoire-cachee-revelee-squelettes-geants-de-7-metres-de-haut-exposes



Qui occulte les découvertes qui prouvent l'existence des géants ?

D'après l'écrivain Laurent Glauzy, des groupes para-maçonniques, comme le mouvement naturaliste des Brights, influencent les modes de pensée scientifiques grâce au pouvoir de l'argent.

"De qui ou de quel groupe la science, tenue aujourd'hui par le pouvoir de la finance, serait-elle devenue l'otage ? Répondre à cette question est fondamental pour comprendre les objectifs des scientifiques et d'une élite politique.

Adam Weishaupt, auteur en 1770 du Nouveau Testament de Satan, écrivait dans Morales et Dogme que l'ordre supra-maçonnique des Illuminati « adore Lucifer et désire instaurer son pouvoir absolu sur la Terre ». Quant au mage Aleister Crowley, fondateur du néo-satanisme, il clamait : « Notre moyen est la science, notre but est la religion. »

Ainsi, comme l'expose l'écrivain allemand Frank Hills, la science est devenue l'instrument d'un dessein visant à imposer dans un premier temps l'athéisme au cœur des sociétés, avant de tourner l'humanité vers l'Antéchrist." (Laurent Glauzy)


de Laurent Glauzy


(...) sur les cinq continents, de nombreux récits mentionnent l'existence des géants. Autour du bassin méditerranéen, en Amérique, au Tibet, en Océanie, chez les Esquimaux et dans la civilisation précolombienne, les géants semblent avoir figé les empreintes d'un monde oublié. Ces trésors littéraires, comme les poèmes épiques, ont également pour auteurs les premiers Normands. Ils racontent que les géants étaient au début des hommes bons, alors que d'autres écrits font état d'êtres belliqueux et agressifs pratiquant le cannibalisme, constituant une menace pour eux-mêmes comme pour les autres hommes.

La mythologie scandinave retrace l'existence des géants d'Utgard, ennemis des géants d'Asgard. Ils vivaient dans la grande forteresse de Jötunheim, sur le territoire que le dieu Odin laissa aux géants, au moment de la Création. Ils sont séparés de Midgard, le monde des humains, par de hautes montagnes et d'épaisses forêts. Lors d'un voyage au pays des géants, Thor, le dieu du Tonnerre, s'endormit dans la caverne du géant Skrymir. Ensemble, Skrymir et Thor furent ensuite accueillis par Utgardloki, le maître du château d'Utgard.

Les légendes nordiques parlent des jötnar, dont le nom signifie « géants » en vieil islandais. Ces créatures humanoïdes personnifient les forces de la nature. Parents et ennemis des dieux, ils vivaient aussi à Jötunheim.

Les indiens d'Amérique du Nord et du Canada relatent des faits semblables.

La mythologie grecque traite de géants rencontrant des hommes de taille normale : le géant Cronos, cannibale, dévore ses propres enfants. Les Cyclopes homériques, gigantesques, se nourrissent aussi de chair humaine. Ils étaient capables de construire des murs gigantesques. Ils sont venus se mettre au service de Persée, roi de Tirynthe, et seraient d'ailleurs les bâtisseurs des cités de Mycènes et de Tirynthe. Ces villes primitives sont édifiées avec des murailles constituées de polygones irréguliers, à cinq joints taillés et ajustés avec une précision quasi-surnaturelle. Ces sites mégalithiques ont été construits plus de 1700 ans avant Jésus-Christ. Les murailles de Mycènes et de Tirynthe, les plus anciens monuments de la civilisation grecque, ressemblent à s'y méprendre aux cités incas par leur précision dans l'assemblage des pierres et leur robustesse.

Les Cyclopes, peuple de pasteurs anthropophages, se caractérisent par une physionomie repoussante, leur œil unique et leur férocité. Dès l'Antiquité, les Grecs situaient le pays des Cyclopes en Sicile, au pied de l'Etna, comme le fait Thucydide : « Les plus anciens sont les Cyclopes qui, selon la tradition, habitaient dans une partie de la Sicile. » Cet historien et homme politique athénien du Ve siècle av. J.-C. reprenait les connaissances transmises par les navigateurs grecs depuis les premières expéditions coloniales, qui remontent au VIIIe siècle av. J.-C. C'est pourquoi plusieurs poètes appelaient la côte de Sicile, Cyclopia saxa, les « rochers des Cyclopes».

Homère présente la généalogie des Phéaciens, peuple mythique appartenant à la race des géants. Leur roi Alcinoos est le fils de Nausithoos, lui-même fils de Poséidon et de Péribée. Péribée est la plus jeune fille du roi de ces géants guerriers, que combattirent les dieux olympiens. Nausithoos eut deux fils, dont l'un engendra Arétè ; le second fils était Alcinoos, le roi des Phéaciens. Ce dernier épousa sa propre nièce, Arétè, la fille de son frère. Aux yeux des Grecs, ce mariage incestueux situe le peuple des Phéaciens entre deux mondes : celui des géants, auquel ils appartiennent par leur ascendance et par leurs unions endogames, et celui des hommes vivant dans des cités, en organisation politique. Le roi Alcinoos affirme lui-même être proche des dieux : « Quand nous faisons pour les dieux nos fêtes d'hécatombes, ils viennent au festin s'asseoir à nos côtés, aux mêmes bancs que nous ; sur le chemin désert, s'ils croisent l'un des nôtres, ils ne se cachent point : nous sommes de leur sang, tout comme les Cyclopes ou les tribus sauvages des géants. » À l'instar de ces peuples anthropophages et guerriers, les Phéaciens habitent en marge du monde des humains. Ils ne sont donc plus tout à fait des dieux, ni de véritables hommes.

Les géants sont même mentionnés dans les Mahabharata, textes sacrés de la mythologie hindoue. En Inde, il s'agit des péripéties de Danawa et Daita, ou sur l'île de Ceylan, de Rakshasa.

Et, entre l'Euphrate et le Tigre, les anciens Chaldéens font le récit d'un géant appelé Izdubar, à qui sont attribuées de nombreuses conquêtes territoriales et des exploits de chasse.


dimanche, décembre 22, 2019

22 Décembre, la "Boy Love Day"



Le symbole des boylovers (boypredators) 



Les pédophiles du monde entier célèbrent leur penchant pour de jeunes garçons le 22 décembre, Journée internationale de l'amour des garçons (JIAG). Les anglophones utilisent l'acronyme IBLD pour International Boy Love Day. Les néerlandophones l'utilisent également. Dans les pays hispanophones, la Journée internationale de l'amour des garçons est connue sous le sigle DIAM (Día Internacional del Amor por los Muchachos).

L'International Boy Love Day est célébré deux fois par an. Ils avaient lieu aux solstices d’été et d’hiver. Mais depuis quelques années ils sont communément fêtés, en juin comme en décembre, le samedi qui tombe entre le 21 et le 27.

"L'attraction des boylovers pour les garçons n'est pas toujours exclusive. Un boylover peut également être attiré par les filles... […] Il y a les boylovers qui sont principalement attirés par les très jeunes enfants de 3 à 6 ans et ceux qui sont principalement attirés par les garçons qui sont dans la puberté ou dans l'adolescence. Chez les anglophones, Ils sont souvent décrits par les termes « little boy lover » et « teen boy lover » (pédéraste)", selon le site BoyWiki. 

BoyWiki est au confluent d'une mouvance pédophile militante appelée Free Spirits Coalition (FSC). La FSC est le cadre dans lequel opèrent plusieurs sites pédophiles en langue anglaise : BoyChat, BoyLinks, BoyWiki, LifeLine, BoyWrite... La FSC est associé a une autre ligue de sites Internet pédophiles non-anglais qui comprend : El Castillo Azul (discussion en espagnol), Jongens (discussion en néerlandais), Jungs (discussion en allemand), La Garçonnière (discussion en français)... Des membres des Free Spirits ont créé le collectif Montréal Ganymède qui permet aux pédophiles de se rencontrer en personne. 

Échanges pédocriminels sur le site La garçonnière
(Archive de 2012) 

« Arracher la peau de jeunes garçons blancs... Prendre cet enfant et le bouffer... » 

Jeuneblack 

J'ai une obsession maladive des petits garçons et des ados de race blanche. Enfin, ceux qui sont mignons. En même temps, c'est rare que je trouve des jeunes garçons blancs qui soient moches. Par contre quand ils deviennent des hommes, ils perdent beaucoup de leur beauté et deviennent souvent laids, à mon avis (ce n'est qu'un avis esthétique, je cherche pas des noises en disant ça).

Hier encore, je fixais et dévisageais ce gamin d'environ 8 bonbons accompagné par sa mère dans le métro, il m'a souri, je lui ai souris, il a élargi encore plus son sourire, j'ai fais de même, ensuite je lui ai carrément envoyé une bise a distance et il me l'a rendue. J'aurais voulu prendre cet enfant et le bouffer (métaphoriquement) et le faire mien. L'élever, le nourrir de ma bite qui le fera grandir, ensuite boire sa toute première semence lorsque sa puberté sonnera. 

Je fantasme parfois d'arracher la peau de jeunes garçons blancs pour les porter sur moi, comme on porte un joli costume ou un déguisement. 

Quand j'étais adolescent, je bossais en colos et des tas de petits garçons blancs ou ados m'obsédaient. Ils sont aujourd'hui eux-mêmes ados et le fait de les voir changer avec les années me fascinent beaucoup. 

Je ne fantasme pas autant sur des gamins noirs car je les voient comme mes frères, et j'aime pas l'inceste.

Bref, comment arrêter cette fixation sur des gamins blancs ? J'entretiens une relation amour-haine homo-érotique avec les ados blancs que je vois traîner leur copine, j'ai envie d'eux, je les veux, mais je les déteste en même temps pour s'intéresser autant aux filles, ces créatures immondes et sans intérêt qui a mon sens ne servent qu'à la reproduction et l'apprentissage du ménage.

J'ai du mal a concevoir un ado qui s'intéresse au domaine du couple hétérosexuel, pour moi c'est un truc d'adultes, la phase de se caser quoi, pour moi tous les ados devraient baiser des hommes jusqu'au moment ou ils fondent une famille. L'intérêt que semble porter les ados blancs aux filles m'apparaît complètement faux et forcé, j'ai du mal a croire qu'un gamin de 14 piges s'intéresse autant aux femelles.

J'aimerai avoir des conseils pour arrêter cette fixation sur garçons blancs, car franchement c'est une obsession qui me bouffe la vie... 

Hésiode

Mon premier amour était un garçon blanc de 10 ans, mon premier amant était un petit noir de 8 ans, même si lui disait qu'il était marron, le dernier gamin que j'ai choppé était un petit arabe de 11 ans et avant lui c'était un petit blond de 10 ans au sexe rose... C'est vrai que je ne comprends pas bien l'obsession pour telle ou telle caractéristique, le sens érotique et esthétique se nourrit et s'enrichit de la diversité.

Cela dit, tu ne devrais pas t'inquiéter de l'exclusivité de tes goûts, encore que ... il y a déjà beaucoup de diversité chez les petits blancs, blonds, bruns, dodus, longilignes, musclés, malingres ... Mais bon, si c'est vraiment ce qui t'inquiète, il n'y a qu'un moyen de passer le cap, c'est de passer à l'acte. Oui, peut-être qu'à force de fourrer des petits blancs tu vas passer à autre chose.
D'autant qu'il est notoire que les petits blancs fantasment sur les adultes noirs ; je me rappelle quand j'avais 9 ans, c'était mon fantasme, mon seul fantasme homosexuel d'ailleurs, et je ne crois pas être le seul dans ce cas. Bien sûr, tout n'est pas si simple, il faut pour cela que tu aies une grosse bite. Les fantasmes enfantins sont assez primaires... mais qu'à cela ne tienne, si jamais tu n'as que des proportions "moyennes", dis toi que pour un garçon de 7 ans, tout paraît plus grand ! 

Voilà, pas de quoi se pourrir la vie. Il n'y a pas d'âge pour "bosser en colo", occupe donc tes congés à cela, et cette fois-ci amuse toi bien… 

Jeuneblack : 

LOL, j'adore ton humour noir et décalé. Je crois qu'en tant que noir c'est beaucoup plus difficile de séduire un garçon blanc, a cause de la différence culturelle. Mais en même temps on évite plus facilement les soupçons car les pédos ''c'est connu, c'est que des blancs''.

J'aurai aimé avoir ta facilité a pécho des gamins, tu semble avoir eu pas mal d'expériences sexuelles. 

Bon 

Moi, je suis blanc et je suis fasciné par les gamins noirs à la chair si ferme et la bouche incroyable...

A mon avis, tu vas être déçu par les petits blancs : ils sont mous, ils ont la fesse plate, ne sentent pas très bon et bandent par erreur.

Mais bon, chacun ses goûts... Bref on pourrait faire des échanges culturels. Moi, j'ai des neveux impubères mignons de l'avis général, mais insipides à mon goût, je t'échange chacun d'entre eux contre un de tes petits frères.

Jeuneblack :
Tiens, tu m'apprends des choses sur les petits blancs ; finalement je vois bien que tous les goûts sont dans la nature. 

Tibère : 

"J'aurais voulu prendre cet enfant et le bouffer "

Arrête, tu vas réveiller les vieilles lunes racistes d'ici qui fantasment encore sur l'idée que les noirs sont cannibales et qu'ils ont tous une trompe d'éléphant entre les cuisses .

Je parle de ceux qui sont assez vieux pour avoir connu "le temps béni des colonies" que chante Sardou. Remarque, il n'y en a plus beaucoup, de ces vieux-là, tout se perd. 

Plus sérieusement, être attiré par différent de soi est une chose assez commune. Boris Vian (alias Vernon Sullivan) a même fait de ce thème une belle histoire très drôle et très morale ("Et on tuera tous les affreux").

Personnellement, je ne suis pas très attiré par les petits blancs. Trop laiteux. Je ne leur trouve pas assez d'attraits, sauf quand je suis en Afrique ou aux Antilles : ce qui est rare est "cher". 

En revanche, la douceur des jeunes blacks, j'adore. Qui ne s'est jamais frotté à une peau noire ne peut pas comprendre. 

Calaf : 

A ce que j'ai compris, tu vis et tu as grandi dans un pays de blancs. C'est pas étonnant que tu fantasmes sur les blancs alors. Quand tu dis que tu voudrais revêtir leur peau... je comprends ça. Moi je suis blanc dans un pays de blancs, mais le désir de se fondre dans un autre garçon, celui qui a l'air heureux, bien plus que moi, je l'ai ressenti. Tu te sentais exclu étant gamin ? A part ? Pas besoin d'avoir une différence visible pour ça. Et j'aime les garçons de toutes les couleurs...

Et quel est ton but exactement ? Arrêter de fantasmer sur les blancs ? Sur les garçons ? Arrêter de fantasmer tout court ? 

Jeuneblack : 

En fait, c'était pas vraiment un but précis, c'était surtout pour m'exprimer et avoir des avis sur ma fixation sur les gamins blancs et savoir si je suis pas trop zarb.

Et oui, enfant je me sentais exclu, j'enviais un peu les garçons blancs pas a juste cause de leur couleur mais surtout parce qu'ils avaient une meilleure existence que la mienne, j'ai grandi dans la cité, pas dans le luxe comme eux, je connais pas Neuilly-sa-mère et tout, enfin bref je trouvais qu'ils avaient une vie facile qui m'était inaccessible c'est tout.

Mais aujourd'hui, si je fantasme de porter la peau d'un jeune garçon blanc sur moi, c'est pas par envie d'identification, c'est purement sexuel. Je veux comme les posséder sur mon corps, sentir leur peau sur moi sur base régulière, ça m'excite a y penser, comme certains mecs qui se travestissent en femme pour avoir l'impression d'avoir le corps d'une femme sur eux 24h sur 24.

C'est pas tant l'envie d'être blanc car je suis au contraire ''noir et fier'', du genre Césaire, Frantz Fanon et tout, c'est juste un fantasme sexuel de garçon blanc très obsessif. Un goût marqué. 

Ours serein : 

Essaye les métis. Par exemple, moi, je fantasme plutôt sur les asiatiques, leurs yeux et leur bouche charnue me rendent fou ! mais je n'en souffre pas, j'en suis plutôt heureux.

Bon, je suis blanc, et j'ai pas le complexe d'infériorité (complètement infondé, entendons-nous bien) que tu as peut-être, donc je ne vois pas où se situe le problème, assume ta préférence.
Pour le reste je comprends le lyrisme de ton propos, mais aux oreilles d'un non averti, il pourrait te faire passer pour un ogre un peu trop excité.

Ton avis sur ces pauvres ados embrigadés par la société dans la soumission aux attraits fallacieux des femelles avant l'âge adéquat (18/20 ans) est aussi le mien. 

Source : 





La France doit se débarrasser de 50 000 parasites

En marche pour écrire l'histoire


"La réforme des retraites, c’est du cyanure dans le contrat social. Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle envisageable ? Non ! Rien n'est perdu dans notre beau pays."

L'ironie du début de l'édito de Denis Robert fait ensuite place à un réquisitoire aux accents gaulliens contre un régime devenu quasiment dictatorial en France.

Ce titre, "En marche pour écrire l'histoire", signifie que le peuple français est entré dans la Résistance, la vraie, celle qui restera dans l'Histoire de notre pays et qui peut s'écrire avec encore plus de sang.

Denis Robert :

"(...) et j'ai pensé à de Gaulle et à son Appel du 18 Juin. J'ai remplacé les Allemands par les Macroniens. [...] L'heure est grave les amis. [...] l'inféodation de notre nation aux forces de l'argent. 

Le pays résiste, les Français par millions, malgré les bavures policières, les coups de matraque, les tirs de flashball en pleine poire, malgré les suicides et les morts violentes dont Macron et Castaner sont in fine responsables. Anas, Zineb, Steve... Les Français par millions dis-je, malgré les frigos vides, les jours de grèves pas payés, les menaces télévisuelles, sont dans la rue. [...]

Ils ont payé leur police, leur offrant un régime de retraite et des primes particulières pour neutraliser, "nasser", asphyxier les foules...

Les ennemis du peuple français ne sont pas aussi nombreux que les occupants nazis contre lesquels le général de Gaulle lança son célèbre appel du 18 juin 1940 et exhorta les Français à poursuivre le combat, marquant ainsi la naissance de la France libre.

Denis Robert, lui aussi, à sa façon, exhorte les français à se libérer des parasites, des "doryphores", surnom donné aux occupants hitlériens.

Denis Robert :

"Vous êtes combien ? Une trentaine au gouvernement. Un petit millier entre l'Assemblée, le Sénat et vos troupes d'enmarcheurs. Une centaine d'ultra-riches en France. Une dizaine de millier de gens très riches qui continuent à soutenir la politique fiscale surtout. Et puis quelques patrons, en particulier les patrons des médias. Une bonne centaine de journalistes. Si je fais le calcul, vous êtes combien à servir ce régime ? Et à vous servir au passage. 20 000, 30 000, allez 50 000..."

Que représentent 50 000 "doryphores" face à l'embrasement révolutionnaire de tout un peuple ?

samedi, décembre 21, 2019

Pourquoi le premier pape jésuite détruit l'Eglise

(Durée 1:08)
Le pape accusé d'hérésie


Mgr Carlo Maria Viganò accuse le pape François de mentir, de démanteler le Siège de Pierre par ses hérésies et de souffrir d’« intolérance mariale »...

"Depuis plus de six ans maintenant, écrit Christian Lassale, nous sommes empoisonnés par un faux magistère, une sorte de synthèse extrême de toutes les idées fausses conciliaires et des erreurs post-conciliaires qui se sont propagées imparablement, sans que la plupart d’entre nous ne s’en aperçoivent. [...]

(...) le Dépôt sacré de la Foi a été progressivement dilapidé, les Dogmes dénaturés, le Culte sécularisé et progressivement profané, la Morale saccagée, le Sacerdoce diffamé, le Sacrifice eucharistique protestantisé et transformé en Banquet convivial… [...]


Avec le pape Bergoglio – comme avec tous les modernistes – il est impossible de chercher la clarté, car la marque distinctive de l’hérésie moderniste est précisément la dissimulation. Maîtres de l’erreur et experts dans l’art de la tromperie, ils « s’efforcent de faire accepter universellement ce qui est ambigu, présentant le côté inoffensif, qui servira de passeport pour introduire le côté toxique, qui a été initialement gardé caché » (P. Matteo Liberatore S.I.). Ainsi, le mensonge répété avec obstination et obsession finit par devenir « vrai » et accepté par la majorité.

Typiquement moderniste, aussi, est la tactique de soutenir ce que l’on veut détruire, en utilisant des termes vagues et imprécis, en favorisant l’erreur sans jamais la formuler clairement. C’est exactement ce que fait le Pape Bergoglio, avec son amorphisme qui dissout les Mystères de la Foi, avec l’approximation doctrinale qui lui est propre, par laquelle il « métisse » et démolit les dogmes les plus saints, comme il l’a fait avec les dogmes mariaux de la Mère toujours Vierge de Dieu.

Le résultat de cet abus de pouvoir, nous l’avons sous les yeux : une Eglise catholique qui n’est plus catholique, un récipient vidé de son contenu authentique et rempli de marchandises de pacotille.

L’avènement de l’Antichrist est inévitable..."  Lire l'article de Christian Lassale


Le pape François, élu en mars 2013, est le premier pape jésuite.

"La Compagnie de Jésus, qui fut bannie près de 80 fois d’à peu près tous les pays, est donc à compter parmi les agents les plus actifs de la dissolution moderne, et ce depuis cinq siècles.

Fondements judaïques, influence originelle probablement islamique, forme religieuse catholique, politique œcuménisme, conceptions matérialistes, tendance à l’orientalisme tout en condamnant les véritables traditions de l’Orient (comme l’hindouisme) : il ne fallait pas s’attendre à ce que cet ordre pour le moins étrange soit le sauveur du Christianisme !

Mais, aujourd’hui, dénoncer la Compagnie de Jésus semble relever d’un « conspirationnisme paranoïaque » lorsque l’on connaît les théories invraisemblables qui peuvent circuler sur le Web à propos des jésuites. Et ne parlons même pas des révoltés qui s’insurgent naïvement devant le fait qu’on demande aux jésuites de faire vœu d’obéissance absolue, ne trouvant pas d’autres angles sous lesquels les dénoncer.

Mais il est évident que ces dénonciations futiles de la Compagnie de Jésus servent celle-ci plus qu’autre chose, étouffant les véritables raisons pour lesquelles elle mériterait d’être dénoncée.


Il faut comprendre que les jésuites placent Jésus avant le Christ, et qu’ainsi, progressivement, le Rédempteur va devenir un prophète qui sera absorbé parmi ceux de l’Ancien Testament. Ce fait échappe aux catholiques, globalement "enjésuités".

Le jésuitisme est le rêve d’un royaume terrestre et matériel en opposition absolue avec le plan de Salut du Christ dont le « Royaume n’est pas de ce monde ». Teilhard de Chardin appelait Dieu : « Mon Dieu de la matière ».

Les jésuites ont permis à œcuménisme d’évoluer vers une nouvelle religion mondiale de synthèse. Le jésuitisme ne reconnaît qu’un monde homogène où tout se vaut. Mais qui en aura le contrôle ? C’est là l’enjeu de leur combat.

Les loges maçonniques, composées de petits bourgeois se réunissant le week-end, ne valent pas mieux que des associations de boy-scouts à côté de cet ordre puissant, qui a un réel pouvoir occulte. Ordre qui, rappelons-le, est international, ultra-centralisé et exclusivement composé de soldats sur-formés et ayant fait le sacrifice intégral de leur vie.

Cela les a placés en pole position avec le judaïsme dans la gestion des affaires terrestres. Les deux, à plusieurs reprises, ont d’ailleurs collaboré à travers l’Histoire.

Aucune autre organisation ne fonctionne avec autant de discipline et d’efficacité sur cette Terre.

Même un agent des services secrets, en temps ordinaire et une fois son travail terminé, rentre chez lui comme tout le monde pour passer du bon temps avec sa femme et ses enfants.

Le jésuite, lui, est constamment au service de son armée, qui est aussi sa famille, son école et son église. Lorsqu’il parle de l’amour du Christ, il parle de l’amour de la Société de Jésus. Il ne connaît rien d’autre, et dans le cas contraire, il ne pourrait tenir au sein de la Compagnie.

Il n’est pas étonnant qu’un tel ordre ait réussi à surpasser toutes les épreuves et à s’imposer au monde entier !

Ayant perdu son utilité, on le croit inoffensif, alors qu’il domine l’Église et d’autres institutions religieuses et civiles, y compris au sein des armées.

Il est donc nécessaire de rappeler aux patriotes, et en particulier aux catholiques, la véritable nature de la Compagnie de Jésus qui parvient à garder auprès de ceux-ci l’image d’un ordre de prêtres sympathiques et plutôt conservateurs, alors que son idéal est strictement à l’opposé du leur. L’Église n’a été que leur cheval de Troie et le pape François est le couronnement d’un plan d’une duplicité inouïe. S’affubler du nom du Poverello Francisco est le comble du cynisme et de la démagogie, mais ce n’est que du pur jésuitisme.

Chez les antimondialistes d’Occident, peu importe leurs tendances idéologiques, on s’accorde généralement à dénoncer un ennemi extra-européen, comme l’Islam, le sionisme ou les États-Unis d’Amérique, et cela pour protéger la civilisation européenne et, particulièrement, le christianisme.

Mais l’ennemi le plus dangereux n’est-il pas celui qui est considéré comme fondamentalement européen, inoffensif ou, pire encore, comme faisant partie des alliés à protéger ?

Les nationalistes et les défenseurs des identités voudraient défendre la « tradition européenne et chrétienne » prise en un bloc, mais le ver est dans le fruit depuis déjà bien longtemps...

Avant de dénoncer l’immigration de masse ou l’américanisme, contre lesquels toute personne de bon sens est censée s’ériger, peut-être faudrait-il dénoncer ceux qui, se cachant en prenant le masque de la tradition chrétienne, la détruisent de l’intérieur ?

À méditer..."

Extrait du dossier "La Compagnie de Jésus"


vendredi, décembre 20, 2019

Le gourou du fist-yoga, Ganymède


Comme les ascètes de la fête shivaïte du Thaipusam, "His Holiness" a les joues transpercées.  


Ganymède est un néo-chaman qui éveille la kundalini avec le poing. Il enseigne une sorte de fist-yoga. "Beaucoup d'hommes, dit Ganymède, ont de profondes expériences spirituelles lorsqu'ils se livrent au fisting". 

L'enseignement de Ganymède traite des techniques concernant cette forme particulière d'activité érotique qu'il associe au tantrisme, afin, dit-il, de "parvenir à l'intégration esprit-corps".

Ganymède a co-fondé la tribu "Black Leather Wings". C'est une sorte d'église queer où confluent joyeusement la magie sexuelle, des rites chamaniques lubriques, les pratiques sado-masochistes, des rituels païens et bien entendu le tantrisme.

Homme de lettres, Ganymède a contribué à l'anthologie "LeatherFolk : Radical Sex, People, Politics, and Practice", édité par Mark Thompson, et au livre "The Divine Androgyne According to Purusha : Adventures in Cosmic Erotic Ecstasy and Androgyne Bodyconsciousness".


Révélations d'un lama dissident

Le lama tibétain Kelsang Gyatso (1931-2022) était un enseignant important parmi les guélougpa restés fidèles à des pratiques proscrites ...