dimanche, décembre 22, 2019

La France doit se débarrasser de 50 000 parasites

En marche pour écrire l'histoire


"La réforme des retraites, c’est du cyanure dans le contrat social. Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle envisageable ? Non ! Rien n'est perdu dans notre beau pays."

L'ironie du début de l'édito de Denis Robert fait ensuite place à un réquisitoire aux accents gaulliens contre un régime devenu quasiment dictatorial en France.

Ce titre, "En marche pour écrire l'histoire", signifie que le peuple français est entré dans la Résistance, la vraie, celle qui restera dans l'Histoire de notre pays et qui peut s'écrire avec encore plus de sang.

Denis Robert :

"(...) et j'ai pensé à de Gaulle et à son Appel du 18 Juin. J'ai remplacé les Allemands par les Macroniens. [...] L'heure est grave les amis. [...] l'inféodation de notre nation aux forces de l'argent. 

Le pays résiste, les Français par millions, malgré les bavures policières, les coups de matraque, les tirs de flashball en pleine poire, malgré les suicides et les morts violentes dont Macron et Castaner sont in fine responsables. Anas, Zineb, Steve... Les Français par millions dis-je, malgré les frigos vides, les jours de grèves pas payés, les menaces télévisuelles, sont dans la rue. [...]

Ils ont payé leur police, leur offrant un régime de retraite et des primes particulières pour neutraliser, "nasser", asphyxier les foules...

Les ennemis du peuple français ne sont pas aussi nombreux que les occupants nazis contre lesquels le général de Gaulle lança son célèbre appel du 18 juin 1940 et exhorta les Français à poursuivre le combat, marquant ainsi la naissance de la France libre.

Denis Robert, lui aussi, à sa façon, exhorte les français à se libérer des parasites, des "doryphores", surnom donné aux occupants hitlériens.

Denis Robert :

"Vous êtes combien ? Une trentaine au gouvernement. Un petit millier entre l'Assemblée, le Sénat et vos troupes d'enmarcheurs. Une centaine d'ultra-riches en France. Une dizaine de millier de gens très riches qui continuent à soutenir la politique fiscale surtout. Et puis quelques patrons, en particulier les patrons des médias. Une bonne centaine de journalistes. Si je fais le calcul, vous êtes combien à servir ce régime ? Et à vous servir au passage. 20 000, 30 000, allez 50 000..."

Que représentent 50 000 "doryphores" face à l'embrasement révolutionnaire de tout un peuple ?

Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...