dimanche, septembre 30, 2018

Convié par les francs-maçons, Bernard-Henri Lévy s'exprimera sur l'idée du Mal


Archive de l'INA montrant la fascination du sulfureux Lévy pour Satan (...le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre..., Apocalyse 12:9)



Le 18 octobre prochain, aura lieu la conférence de Bernard-Henri LEVY, « L’Idée du Mal », dans le temple maçonnique de la Grande Loge Nationale Française, 12 rue Christine de Pisan à Paris.

"Pour BHL, le XXe siècle est le siècle du Mal : fascisme, communisme et aussi, islamisme radical sont les visages successifs que ce Mal a pris et continue de prendre, en ce début du XXIe siècle."

BHL n'est-il pas lui-même un promoteur de guerre et déstabilisateur de régime au profit du Nouvel Ordre Mondial ?



Un don diabolique de BHL, le pouvoir de persuasion 



Pour le journaliste Benoît Rayski, Bernard Henri Lévy est "un pseudo philosophe autoproclamé. Une honte de l'esprit. Ses livres sont un "tissu d'âneries". Ses films des "navets". Et surtout il est "millionnaire". Ce qui colle assez bien avec son "communautarisme". De surcroît il est puissant, influent. Tous les plateaux de télévision lui sont ouverts alors qu'ils sont interdits à de véritables intellectuels, comme Soral, Nabe, Dieudonné.

Chacune de ses expéditions, toujours fortement médiatisée, est, bien sûr, synonyme de désastres présents et à venir. C'est que cet homme a la bougeotte. Dès que quelque chose s'anime, remue ou se soulève sur la planète, il y court avec des discours enflammés. Et ça depuis des dizaines d'années. Le Bangladesh, le Pakistan, la Tchécoslovaquie, la Bosnie et puis, plus récemment la Libye et l'Ukraine... Et 
 comble de l'horreur – il envoûte les uns après les autres tous nos pauvres présidents de la République, ensorcelés par un philtre d'amour dont il a, seul, le secret.

Ils ont tous succombé à son charme maléfique, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et peut-être même Hollande. C'est lui, BHL, qui est responsable de la mort du colonel Kadhafi et de "dizaine de milliers de Libyens innocents". Mais le dernier en date de ses forfaits a été commis à Kiev où il a été acclamé par les manifestants, victorieux aujourd'hui. Aveugle qu'il est il n'a pas su voir, ou pas voulu voir, que les révoltés de la Place Maidan étaient infiltrés par des ultra-nationalistes, fascistes et antisémites. Et c'est ainsi que bientôt – n'en doutons pas – le drapeau à croix gammée flottera sur le palais présidentiel de Kiev..." Lire la suite ICI.


Benoît Rayski a écrit Le gauchisme, maladie sénile du communisme .


Le gauchisme, maladie sénile du communisme

Présentation de l'éditeur :

Lénine avait défini le gauchisme comme la maladie infantile du communisme. 80 millions de morts et près de 100 ans plus tard, le communisme n'est plus guère vaillant. Le gauchisme, lui, se porte à merveille, en tout cas en France. Dans ce pamphlet, Benoît Rayski dresse un portrait décapant de cette spécialité française que le monde... ne nous envie pas : le "gauchiste".

Le gauchiste est ce produit 100% made in France, non exportable et non délocalisable, dont la caractéristique première est d'aimer les peuples. Tous les peuples. Dans la mesure, bien sûr, où ceux-ci ont le bon goût de se conformer à ses caprices, ses passions et ses détestations : le capitalisme, le FMI, la BCE, "notre ennemie la finance", les riches, l'occupation israélienne, la religion "opium du peuple", etc.

De son grand prêtre Hessel à son prophète Mélenchon ou ses icônes Mermet et Marcelle en passant par les incohérences de ses raisonnements ou son étrange pouvoir de séduction médiatique, plongée dans les étonnants méandres de la galaxie de cette vache sacrée de la société française.

vendredi, septembre 28, 2018

La vie après la mort et la science post-matérialiste





La science matérialiste ne serait-elle pas un peu dépassée aujourd’hui ? 

"Un comité de scientifiques, participants au Sommet international sur la science post-matérialiste, la spiritualité et la société, a élaboré un Manifeste arguant pour une ouverture des esprits scientifiques, au delà du matérialisme et vers une meilleure compréhension de l’esprit comme un aspect majeur de la fabrique de l’univers."

L'auteur du "Manifeste pour une science post-matérialiste", le Docteur Mario Beauregard, a écrit le livre "Un saut quantique de la conscience - Pour se libérer enfin de l'idéologie matérialiste" :


"Selon l'approche matérialiste de notre monde qui imprègne notre mode de pensée depuis déjà plusieurs siècles, notre esprit et tout ce que nous expérimentons de manière subjective ne relèveraient que d'activités physiques et chimiques de notre cerveau. Ainsi, nos pensées, notre personnalité et même notre conscience n'auraient d'existence que dans l'étroit périmètre de notre boîte crânienne, notre conscience ne survivrait pas à notre mort physique, et nos émotions n'auraient aucune influence, ni sur la chimie de notre cerveau, ni sur notre santé. 

Le Dr Mario Beauregard, neuroscientifique canadien de renommée internationale, démontre dans cet ouvrage que cette doctrine matérialiste est erronée, et qu'il est maintenant temps de nous en libérer pour profiter pleinement des pouvoirs de notre conscience. 

En s'appuyant sur les dernières recherches scientifiques concernant les expériences de mort imminente, la médiumnité, la communication avec les défunts, la réincarnation ou encore les états élargis de conscience, il nous révèle les capacités insoupçonnées qui sommeillent en nous. En effet, nos pensées, nos croyances et nos émotions, en influençant directement nos gènes et notre cerveau, exercent un véritable pouvoir sur notre bien-être et notre santé. Il est tout aussi stupéfiant de constater que dans la réalité quantique, notre esprit peut agir au-delà des limites de notre corps, sans contrainte d'espace ni de temps." 

Le livre du Dr Beauregard, Un saut quantique de la conscience, propose un nouveau modèle de la réalité, le paradigme post-matérialiste qui devrait nous amener à la prochaine grande révolution scientifique.


La vie après la mort

Au Tibet, sous le règne du dictateur religieux Lobsang Gyatso (le cinquième dalaï-lama), les Jonangpa furent persécutés et leurs monastères annexés par les Guélougpa (la congrégation du dalaï-lama).

Les Jonangpa entretenaient des liens avec le roi de Tsang qui résistait à la prise de contrôle du Tibet par le 5ème dalaï-lama. Ils furent donc accusés d'hérésie, leur philosophie présentant des affinités avec les conceptions du Sâmkhya et du Védanta.

Après le décès, selon la doctrine lamaïste, l'individualité humaine ne reste que 49 jours dans le bardo (monde intermédiaire). En revanche René Guénon, auteur de « L'homme et son devenir selon le Védanta », évoque une évolution posthume d'une durée illimitée.



L'évolution posthume 

René Guénon


On peut cependant, il est vrai, avoir à envisager en un certain sens, et dans certains cas tout au moins, un prolongement, et même un prolongement indéfini, de l’individualité humaine, que l’on devra forcément rapporter aux modalités subtiles, c’est-à-dire extra-corporelles, de cette individualité ; mais ce prolongement n’est plus du tout la même chose que l’état subtil tel qu’il existait pendant la vie terrestre. Il faut bien se rendre compte, en effet, que, sous cette même dénomination d’« état subtil », on se trouve obligé de comprendre des modalités fort diverses et extrêmement complexes, même si l’on se borne à la considération du seul domaine des possibilités proprement humaines ; c’est pourquoi nous avons pris soin, dès le début, de prévenir qu’elle devait toujours être entendue par rapport à l’état corporel pris comme point de départ et comme terme de comparaison, de sorte qu’elle n’acquiert un sens précis que par opposition à cet état corporel ou grossier, lequel, de son côté, nous apparaît comme suffisamment défini par lui-même parce qu’il est celui où nous nous trouvons présentement. On aura pu remarquer aussi que, parmi les cinq enveloppes du « Soi », il en est trois qui sont regardées comme constitutives de la forme subtile (alors qu’une seule correspond à chacun des deux autres états conditionnés d’Âtmâ : pour l’un, parce qu’il n’est en réalité qu’une modalité spéciale et déterminée de l’individu ; pour l’autre, parce qu’il est un état essentiellement unifié et « non-distingué ») ; et cela est encore une preuve manifeste de la complexité de l’état dans lequel le « Soi » a cette forme pour véhicule, complexité dont il faut toujours se souvenir si l’on veut comprendre ce qui peut en être dit suivant qu’on l’envisagera sous des points de vue divers.

L'évolution posthume de l'être humain selon le védanta

Nous devons maintenant aborder la question de ce qu’on appelle ordinairement l’« évolution posthume » de l’être humain, c’est-à-dire des conséquences qu’entraîne, pour cet être, la mort ou, pour mieux préciser comment nous entendons ce mot, la dissolution de ce composé dont nous avons parlé et qui constitue son individualité actuelle. Il faut remarquer, d’ailleurs, que, lorsque cette dissolution a eu lieu, il n’y a plus d’être humain à proprement parler, puisque c’est essentiellement le composé qui est l’homme individuel ; le seul cas ou l’on puisse continuer à l’appeler humain en un certain sens est celui où, après la mort corporelle, l’être demeure dans quelqu’un de ces prolongements de l’individualité auxquels nous avons fait allusion, parce que, dans ce cas, bien que cette individualité ne soit plus complète sous le rapport de la manifestation (puisque l’état corporel lui manque désormais, les possibilités qui y correspondent pour elle ayant terminé le cycle entier de leur développement), certains de ses éléments psychiques ou subtils subsistent d’une certaine façon sans se dissocier. Dans tout autre cas, l’être ne peut plus être dit humain, puisque, de l’état auquel s’applique ce nom, il est passé à un autre état, individuel ou non ; ainsi, l’être qui était humain a cessé de l’être pour devenir autre chose, de même que, par la naissance, il était devenu humain en passant d’un autre état à celui qui est présentement le nôtre. Du reste, si l’on entend la naissance et la mort au sens le plus général, c’est-à-dire comme changement d’état, on se rend compte immédiatement que ce sont là des modifications qui se correspondent analogiquement, étant le commencement et la fin d’un cycle d’existence individuelle ; et même, quand on sort du point de vue spécial d’un état déterminé pour envisager l’enchaînement des divers états entre eux, on voit que, en réalité, ce sont des phénomènes rigoureusement équivalents, la mort à un état étant en même temps la naissance dans un autre. En d’autres termes, c’est la même modification qui est mort ou naissance suivant l’état ou le cycle d’existence par rapport auquel on la considère, puisque c’est proprement le point commun aux deux états, ou le passage de l’un à l’autre ; et ce qui est vrai ici pour des états différents l’est aussi, à un autre degré, pour des modalités diverses d’un même état, si l’on regarde ces modalités comme constituant, quant au développement de leurs possibilités respectives, autant de cycles secondaires qui s’intègrent dans l’ensemble d’un cycle plus étendu. Enfin, il est nécessaire d’ajouter expressément que la « spécification », au sens où nous avons pris ce mot plus haut, c’est-à-dire le rattachement à une espèce définie, telle que l’espèce humaine, qui impose à un être certaines conditions générales constituant la nature spécifique, ne vaut que dans un état déterminé et ne peut s’étendre au delà ; il ne peut en être autrement, dès lors que l’espèce n’est nullement un principe transcendant par rapport à cet état individuel, mais relève exclusivement du domaine de celui-ci, étant elle-même soumise aux conditions limitatives qui le définissent ; et c’est pourquoi l’être qui est passé à un autre état n’est plus humain, n’appartenant plus aucunement à l’espèce humaine.

Nous devons encore faire des réserves sur l’expression d’« évolution posthume », qui pourrait donner lieu trop facilement à diverses équivoques ; et, tout d’abord, la mort étant conçue comme la dissolution du composé humain, il est bien évident que le mot « évolution » ne peut être pris ici dans le sens d’un développement individuel, puisqu’il s’agit, au contraire, d’une résorption de l’individualité dans l’état non-manifesté ; ce serait donc plutôt une « involution » au point de vue spécial de l’individu. Étymologiquement, en effet, ces termes d’« évolution » et d’« involution » ne signifient rien de plus ni d’autre que « développement » et « enveloppement » ; mais nous savons bien que, dans le langage moderne, le mot « évolution » a reçu couramment une toute autre acception, qui en a fait à peu près un synonyme de « progrès ». Nous avons eu déjà l’occasion de nous expliquer suffisamment sur ces idées très récentes de « progrès » ou d’« évolution », qui, en s’amplifiant au delà de toute mesure raisonnable, en sont arrivées à fausser complètement la mentalité occidentale actuelle ; nous n’y reviendrons pas ici. Nous rappellerons seulement qu’on ne peut valablement parler de « progrès » que d’une façon toute relative, en ayant toujours soin de préciser sous quel rapport on l’entend et entre quelles limites on l’envisage ; réduit à ces proportions, il n’a plus rien de commun avec ce « progrès » absolu dont on a commencé à parler vers la fin du XVIIIe siècle, et que nos contemporains se plaisent à décorer du nom d’« évolution », soi-disant plus « scientifique ». La pensée orientale, comme la pensée ancienne de l’Occident, ne saurait admettre cette notion de « progrès », sinon dans le sens relatif que nous venons d’indiquer, c’est-à-dire comme une idée tout à fait secondaire, d’une portée extrêmement restreinte et sans aucune valeur métaphysique, puisqu’elle est de celles qui ne peuvent s’appliquer qu’à des possibilités d’ordre particulier et ne sont pas transposables au delà de certaines limites. Le point de vue « évolutif » n’est pas susceptible d’universalisation, et il n’est pas possible de concevoir l’être véritable comme quelque chose qui « évolue » entre deux points définis, ou qui « progresse », même indéfiniment, dans un sens déterminé ; de telles conceptions sont entièrement dépourvues de toute signification, et elles prouveraient une complète ignorance des données les plus élémentaires de la métaphysique. On pourrait tout au plus, d’une certaine façon, parler d’« évolution » pour l’être dans le sens de passage à un état supérieur ; mais encore faudrait-il faire alors une restriction qui conserve à ce terme toute sa relativité, car, en ce qui concerne l’être envisagé en soi et dans sa totalité, il ne peut jamais être question ni d’« évolution » ni d’« involution », en quelque sens qu’on veuille l’entendre, puisque son identité essentielle n’est aucunement altérée par les modifications particulières et contingentes, quelles qu’elles soient, qui affectent seulement tel ou tel de ses états conditionnés.

Une autre réserve doit encore être faite au sujet de l’emploi du mot « posthume » : ce n’est que du point de vue spécial de l’individualité humaine, et en tant que celle-ci est conditionnée par le temps, que l’on peut parler de ce qui se produit « après la mort », aussi bien d’ailleurs que de ce qui a eu lieu « avant la naissance », du moins si l’on entend garder à ces mots « avant » et « après » la signification chronologique qu’ils ont d’ordinaire. En eux-mêmes, les états dont il s’agit, s’il sont en dehors du domaine de l’individualité humaine, ne sont aucunement temporels et ne peuvent par conséquent être situés chronologiquement ; et cela est vrai même pour ceux qui peuvent avoir parmi leurs conditions un certain mode de durée, c’est-à-dire de succession, dès lors que ce n’est plus la succession temporelle. Quant à l’état non-manifesté, il va de soi qu’il est affranchi de toute succession, de sorte que les idées d’antériorité et de postériorité même entendues avec la plus grande extension dont elles soient susceptibles, ne peuvent aucunement s’y appliquer ; et l’on peut remarquer à cet égard que, même pendant la vie, l’être n’a plus la notion du temps lorsque sa conscience est sortie du domaine individuel, comme il arrive dans le sommeil profond ou dans l’évanouissement extatique : tant qu’il est dans de tels états, qui sont véritablement non-manifestés, le temps n’existe plus pour lui. Il resterait à considérer le cas où l’état « posthume » est un simple prolongement de l’individualité humaine : à la vérité, ce prolongement peut se situer dans la « perpétuité », c’est-à-dire dans l’indéfinité temporelle, ou, en d’autres termes, dans un mode de succession qui est encore du temps (puisqu’il ne s’agit pas d’un état soumis à d’autres conditions que le nôtre), mais un temps qui n’a plus de commune mesure avec celui dans lequel s’accomplit l’existence corporelle. D’ailleurs, un tel état n’est pas ce qui nous intéresse particulièrement au point de vue métaphysique, puisqu’il nous faut au contraire envisager essentiellement, à ce point de vue, la possibilité de sortir des conditions individuelles, et non celle d’y demeurer indéfiniment ; si nous devons cependant en parler, c’est surtout pour tenir compte de tous les cas possibles, et aussi parce que, comme on le verra par la suite, ce prolongement de l’existence humaine réserve à l’être une possibilité d’atteindre la « Délivrance » sans passer par d’autres états individuels. Quoi qu’il en soit, et en laissant de côté ce dernier cas, nous pouvons dire ceci : si l’on parle d’états non-humains comme situés « avant la naissance » et « après la mort », c’est d’abord parce qu’ils apparaissent ainsi par rapport à l’individualité ; mais il faut d’ailleurs avoir bien soin de remarquer que ce n’est pas l’individualité qui passe dans ces états ou qui les parcourt successivement, puisque ce sont des états qui sont en dehors de son domaine et qui ne la concernent pas en tant qu’individualité. D’autre part, il y a un sens dans lequel on peut appliquer les idées d’antériorité et de postériorité, en dehors de tout point de vue de succession temporelle ou autre : nous voulons parler de cet ordre, à la fois logique et ontologique, dans lequel les divers états s’enchaînent et se déterminent les uns les autres ; si un état est ainsi la conséquence d’un autre, on pourra dire qu’il lui est postérieur, en employant dans une telle façon de parler le même symbolisme temporel qui sert à exprimer toute la théorie des cycles, et bien que, métaphysiquement, il y ait une parfaite simultanéité entre tous les états, un point de vue de succession effective ne s’appliquant qu’à l’intérieur d’un état déterminé."



Télécharger gratuitement L'homme et son devenir selon le Védanta :



samedi, septembre 22, 2018

Un danger européen, les sociétés secrètes musulmanes.


En 1890, Napoléon Ney (1849-1900), petit-fils du maréchal Ney, dénonce le danger islamiste dans un texte intitulé "Un danger Européen, les sociétés secrètes musulmanes". 

Extraits :

L'islam est [...] un monde fermé, rétif à l'idée du progrès, que sa religion a condamné sans appel. Or ici la religion est tout. Sa base est le fatalisme, où le musulman puise sa force par lequel il est redoutable. [...] Le vrai musulman (homme résigné à la volonté de Dieu) puise dans son dédain et dans son mépris pour les non-croyants une force invincible, alors même qu'il ne leur a pas voué une haine sanglante. Le Djihad (la guerre sainte) est prescrite par le Coran. Le Prophète a dit La guerre durera jusqu'au jour du jugement. Il peut y avoir des trêves, jamais de paix. [...]

(...) les chefs religieux de l'Islam ont, non sans succès, resserré les liens spirituels qui unissent tous les disciples du Prophète. Ces efforts, timides d'abord, se sont peu à peu organisés et développés dans tous les pays musulmans.

Aujourd'hui ils ont réussi à déterminer un mouvement secret qui s'étendant des îles de la Sonde à l'Atlantique constitue un véritable danger pour tous les peuples européens ayants des intérêts en Afrique et en Asie.


Ce mouvement a comme force et comme moyens d'action de nombreuses associations religieuses qui ont pris un énorme développement sur tous les points du monde musulman et exercent une immense influence sur les masses aveugles et fanatiques. 

Les Confréries constituent de véritables sociétés secrètes avec leurs formalités d'initiation, leurs degrés d'affiliation, leurs signes, leurs mots de passe et leurs moyens de reconnaissance. Leur réseau s'étend jusqu'aux points les plus éloignés de l'Islam. C'est le foyer toujours latent où couvent les insurrections, où s'avive sans trêve la haine ardente de l'infidèle qu'il soit chrétien, juif, païen ou idolâtre. [...]


L'invasion


Si nous ne nous étions limités à dessein le champ du présent travail, nous montrerions aux lecteurs de l'Initiation (revue de l'Ordre Martiniste fondé par Papus, alias Gérard Encausse) quelles éventualités redoutables menacent l'Europe chrétienne au courant du vingtième siècle. Il est à craindre qu'elle ne se trouve prise entre la marche en avant vers le nord des musulmans d'Afrique et la marche en avant vers l'ouest des musulmans d'Asie. Nous ne parlons pas de la réserve innombrable des peuples de race jaune qui, comme une invasion de sauterelles, viendra achever et clore l'œuvre destructive et dévastatrice si bien commencée par les Mahométans dans une Europe qui a oublié la solidarité qui devrait unir les nations menacées. [...]

Il nous a paru toutefois intéressant de soulever, pour les lecteurs de l'Initiation. un coin du voile qui cache à nos regards profanes l'Orient musulman, mystérieux creuset où s'élabore peut-être pour le vingtième siècle une force expansive, dont le monde occidental sentira tout à coup la redoutable puissance de destruction. L'heure n'est pas venue encore, mais les temps sont proches. Déjà nous sommes menacés.

Depuis trente ans, dans le renouveau de la foi islamique fermentent sous l'apparence des formules et des doctrines religieuses des échanges d'idées, des tendances, des groupements, une concentration musulmane qui à un instant donné seront devenues formidables. Notre curiosité, notre intérêt, l'esprit de solidarité européen, notre sécurité même nous font un devoir d'étudier autant qu'il nous sera possible ce monde fermé et obscur. Nous devons y pénétrer très profondément afin de le mieux connaître et de déjouer le moment venu ses trames et combattre en état de légitime défense.

Napoléon Ney, 
précurseur de l'analyse du danger islamiste

Petit fils du maréchal Ney, par son père Joseph Napoléon Ney, lui même prince de la Moskowa, pair de France, général, président du Jockey club, député de la Moselle et même écrivain, Jules Napoléon Ney fut lui aussi un personnage haut en couleurs. Comme son père et son grand-père, il va d'abord servir dans l'armée, mais n'y dépassera pas le grade de capitaine. Il n'eut d'ailleurs pas droit, à la mort de son père, à ses titres, car il n'était que fils naturel.

Né à Paris le 6 juillet 1849, Jules Napoléon Ney n'a que 21 ans quand, en octobre 1870, il se distingue au combat de Buzenval.
En 1873, il est dans l'armée d'Afrique.
En 1874 et en 1877, il sert dans le sud Algérien.
En 1877, il publie Histoire de la carte d'Etat Major
En 1878, il accède au grade de capitaine.
En 1880, il remplit des missions en Orient.
En 1881 il s'inscrit à la Société de Géographie, en se présentant comme capitaine d'infanterie. Il est alors domicilié 73, avenue des Champs-Elysées à Paris.
En 1882, il est en Espagne et au Portugal, puis à Tunis en 1882. Cette même année, il devient le premier président du Racing Club, qui vient d'être fondé par les élèves du lycée Condorcet, et qui deviendra le Racing club de France.
En 1883, il démissionne de l'armée, et entame une carrière d'explorateur mondain. Il collabore à des revues comme la Revue des traditions populaires, ou l'Initiation, fondée par Gérard Encausse, dit Papus.
En 1885, il écrit la genèse du canal de Suez.
En 1886, il fait partie de la délégation française pour l'inauguration de la statue de la Liberté, et décrit l'exposition universelle d'Anvers.
En 1888, profitant de l'inauguration du chemin de fer Transcaspien, il s'offrit un périple de 43 jours, à travers Odessa, Sébastopol, Batoumi, Tiflis, Samarkande (où il côtoya le colonel Niox), Kiev... et en tira un livre "En Asie centrale à la vapeur". Fini le temps des explorateurs avec casque colonial, sac à dos, machette et carabine. Vive le progrès technique, et bonjour le temps de l'exploration en chemin de fer !
Il s'inscrit en 1889 à la société astronomique de France, sous le numéro 204, en affichant la profession d'explorateur. Il est alors domicilié 7, rue Bastiat.
En 1890, il écrit : Un danger Européen. Les sociétés secrètes musulmanes. [...]
Il meurt en 1900, au même âge que Napoléon.


Napoléon Ney
Date de l'édition originale : 1890


"Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.

Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.

Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique."




Le texte de Napoléon Ney, une inversion accusatoire ?

L'immigration massive aurait été planifiée par les décideurs de la haute franc-maçonnerie. Napoléon Ney correspondait avec l'Ordre Martiniste, était-il martiniste ou/et franc-maçon, comme son grand-père le maréchal Ney, initié en 1801 à la loge Saint Jean de Jérusalem de Nancy ?


Un PDF gratuit :

Martinisme et franc-maçonnerie, de Gérard Encausse (Papus).




vendredi, septembre 21, 2018

Invitée en France, Ahed Tamimi témoigne



Ahed Tamimi, l'icône de la résistance palestinienne, et sa famille étaient à la fête de l’Humanité où ils ont témoigné de la violence de l’occupation israélienne et de l'engagement de la jeunesse de Palestine.

Suite à l'invitation de l’Association France Palestine Solidarité, ils se sont rendus dans trois villes de France :



A Nantes, le 18 septembre 2018

A Grenoble (Échirolles), le 20 Septembre 2018

A Nancy (Tomblaine), le 21 septembre 2018




Mon refus d’être juif

(J’ai même souvent honte d’Israël, notamment lorsque je vois la cruelle colonisation militaire dont sont victimes des faibles, sans défense, qui ne font pas partie du « peuple élu ».)


par Shlomo Sand


Au cours de la première moitié du XXe siècle, mon père a abandonné l’école talmudique, n’a plus remis les pieds à la synagogue et a depuis lors exprimé son aversion pour les rabbins. 

En ce début de XXIe siècle, je me sens à mon tour dans l’obligation morale de rompre définitivement avec ce judéocentrisme tribal. Je suis pleinement conscient de n’avoir jamais véritablement été un juif laïc, sachant qu’un tel sujet imaginaire est dépourvu d’assise et d’horizon culturels et que son existence se fonde sur une vision creuse et ethnocentrique du monde. Je me suis trompé à l’époque, lorsque je croyais que la culture yiddish dans laquelle j’ai grandi était l’incarnation de la culture juive. En compagnie de Bernard Lazare, Mordechaï Anielewicz, Marcel Rayman et Marek Edelman, je me suis longtemps identifié comme partie prenante d’une minorité opprimée et rejetée. Je me suis obstiné à être juif avec Léon Blum, Julian Tuwim et bien d’autres qui avaient accepté d’endosser cette identité à cause des persécutions et des bourreaux, du crime et des assassinés.

Supportant mal que les lois israéliennes m’imposent l’appartenance à une ethnie fictive, supportant encore plus mal d’apparaître auprès du reste du monde comme membre d’un club d’élus, je souhaite démissionner et cesser de me considérer comme juif.

Bien que l’État d’Israël ne soit pas disposé à transformer la mention de ma nationalité de « juif » en « Israélien », j’ose espérer qu’aussi bien des gentils philosémites que des sionistes engagés et des antisionistes exaltés, souvent nourris de conceptions essentialistes, respecteront ma volonté et cesseront de me cataloguer comme juif. En vérité, ce qu’ils pensent m’importe peu, et pas davantage ce que pense le reliquat d’idiots antisémites. À la lumière des histoires tragiques du XXe siècle, je suis déterminé à ne plus faire bande à part dans un club de prestige réservé auquel d’autres hommes n’ont ni possibilité ni vocation de se joindre.

Par mon refus d’être juif, je représente une espèce en voie de disparition. En insistant sur le fait que seul mon passé historique était juif, que mon présent quotidien est israélien, pour le meilleur et pour le pire, et qu’enfin mon futur et celui de mes enfants, tel qu’en tout cas je le souhaite, doit être guidé par des principes universels, ouverts et généreux, je sais que je vais à l’encontre des modes dominantes orientées vers l’ethnocentrisme.

En tant qu’historien des temps modernes, j’émets l’hypothèse que la distance culturelle entre mon arrière-petit-fils et moi sera égale, voire supérieure, à celle qui me sépare de mon arrière-grand-père. Tant mieux ! Je vis, malheureusement, parmi trop de gens qui croient que leurs descendants leur ressembleront en tout point parce que pour eux les peuples sont éternels, et a fortiori un peuple-race comme leur peuple juif.

J’ai conscience de vivre dans l’une des sociétés les plus racistes du monde occidental. Le racisme est bien sûr omniprésent, mais en Israël on le trouve dans l’esprit des lois, on l’enseigne dans les écoles, il est diffusé dans les médias. Surtout, c’est là le plus terrible, les racistes ne savent pas qu’ils le sont et de ce fait ne se sentent nullement obligés de s’excuser. En conséquence Israël est devenu une référence particulièrement prisée par une majorité de mouvements d’extrême droite dans le monde dont jadis l’antisémitisme était bien connu.

Vivre dans une telle société m’est devenu insupportable mais, je l’avoue, il ne m’est pas moins difficile d’habiter ailleurs. Je fais partie du produit culturel, linguistique et même mental de l’entreprise sioniste, et je ne peux m’en défaire. Par ma vie quotidienne et ma culture de base, je suis un Israélien. Je n’en éprouve pas de fierté, pas plus qu’à être un homme aux yeux bruns et de taille moyenne. J’ai même souvent honte d’Israël, notamment lorsque je vois la cruelle colonisation militaire dont sont victimes des faibles, sans défense, qui ne font pas partie du « peuple élu ».


par Shlomo Sand


Quand le peuple juif fut-il créé ? Est-ce il y a quatre mille ans, ou bien sous la plume d'historiens juifs du XIXe siècle qui ont reconstitué rétrospectivement un peuple imaginé afin de façonner une nation future ?

Dans le sillage de la " contre-histoire " née en Israël dans les années 1990, Shlomo Sand nous entraîne dans une plongée à travers l'histoire " de longue durée " des juifs.

Les habitants de la Judée furent-ils exilés après la destruction du Second Temple, en l'an 70 de l'ère chrétienne, ou bien s'agit-il d'un mythe chrétien qui aurait infiltré la tradition juive ?

L'auteur montre comment, à partir du XIXe siècle, le temps biblique a commencé à être considéré par les premiers sionistes comme le temps historique, celui de la naissance d'une nation. Ce détour par le passé conduit l'historien à un questionnement beaucoup plus contemporain : à l'heure où certains biologistes israéliens cherchent encore à démontrer que les juifs forment un peuple doté d'un ADN spécifique, que cache aujourd'hui le concept d'" État juif ", et pourquoi cette entité n'a-t-elle pas réussi jusqu'à maintenant à se constituer en une république appartenant à l'ensemble de ses citoyens, quelle que soit leur religion ?

En dénonçant cette dérogation profonde au principe sur lequel se fonde toute démocratie moderne, Shlomo Sand délaisse le débat historiographique pour proposer une critique de la politique identitaire de son pays.



mercredi, septembre 19, 2018

L’hiver d’un monde


La contrefaçon du spirituel à la fin des temps.



L’hiver d’un monde


par Pierre-Yves Lenoble



En langage guénonien, on peut avancer que la Gauche est comparable à l’ « Anti-Tradition », alors que la Droite équivaut à la « Pseudo-Tradition ».

Qu’est-ce exactement qu’avoir une « bonne mort » ? : c’est parvenir à dématérialiser sa partie matérielle et à matérialiser sa partie immatérielle.

À bien des égards, il n’est pas impossible que l’humanité est en train de vivre une période post-apocalyptique : en effet, toutes les eschatologies traditionnelles affirment qu’à la fin des temps les hommes seront gourmands et pleins d’envies, en revanche aucune n’a prédit la surconsommation et l’obésité ; elles déclarent que la luxure et la dépravation des mœurs se répandront en masse mais aucune ne parle d’industrie du porno, de millions et de millions d’IVG ou de drag-queens éduquant les enfants ; elles évoquent les dissensions familiales et la division sociale, aucune n’avait prévu le féminisme, le transgenre ou la GPA/PMA ; toutes annoncent des calamités naturelles en tout genre, aucune n’a prédit la géo-ingénierie et les chemtrails ; toutes nous disent qu’il y aura des guerres destructrices partout sur terre, aucune ne fait mention d’attentats sous faux drapeaux ou de soft-power…

Corruption généralisée à tous les échelons de l’appareil étatique, hommes politiques soumis à des intérêts étrangers, conflits inter-ethniques, décadence culturelle et intellectuelle, flicage des populations, paupérisme et formation de bidonvilles, développement d’églises évangélistes et du wahhabisme, réseaux pédocriminels, attrait croissant pour le foot et la télé-poubelle, influence grandissante des ONG, bref, à la vue de tous ces signes des temps, il apparaît clair que la France va bientôt devenir un pays du Tiers-monde.

Les petits soldats de la sacro-sainte « liberté d’expression » autoriseraient-ils Voltaire à écrire cela en 2018 ? : « Vous prétendez que vos mères n’ont pas couché avec des boucs, ni vos pères avec des chèvres. Mais dites-moi, messieurs, pourquoi vous êtes le seul peuple de la terre à qui les lois aient jamais fait une pareille défense (Lévitique 17, 7 et 20, 15) ? Un législateur se serait-il jamais avisé de promulguer cette loi bizarre, si le délit n’avait pas été commun ? » (Dictionnaire Philosophique, Édition du journal Le Siècle, 1867, p. 497).

Chaque découverte scientifique chasse l’autre dans l’oubli et chacune est un coup de grâce à la pensée matérialiste et progressiste : il n’y a qu’une seule vérité, immuable car de nature toute spirituelle, il n’y en a pas trente-six.

Aucune civilisation n’a survécu à la perte de sa sacralité révélée. Notre société mondialisée n’est qu’une parodie de civilisation, un amas humain acculturé se cherchant en vain des sacralités artificielles.

L’homme inférieur préfère avoir tort avec la masse qu’avoir raison avec la minorité. L’homme supérieur préfère la liberté de penser et la quête de vérité à toute représentation sociale… et même à sa propre mort.

Les formes externes que revêtent les êtres sont transitoires, seules les formes internes qui les soutiennent sont éternelles.

Le destin des civilisations ressemble par analogie au déroulement annuel des quatre saisons : 

1) Printemps : la civilisation bourgeonne à partir d’une sacralité collective révélée et autour d’une autorité spirituelle légitime, porteuse d’une vision du monde unicitaire, qui organise pas à pas l’ensemble du corps social ; 

2) Été : le groupe, notamment et surtout les élites temporelles, est totalement soumis aux représentants du Sacré, toute la société est ordonnée, hiérarchisée et atteint un apex civilisationnel (cela se concrétise par de grandioses productions intellectuelles, architecturales et artistiques en tant que fruits culturels) ; 

3) Automne : les élites profanes (noblesse et bourgeoisie) se révoltent contre l’autorité sacrale de leur cléricature, s’auto-divinisent illégitimement, remettent en cause les anciens piliers traditionnels et changent toute la tournure d’esprit générale (arrivée de nouveaux cultes, les pensées et les croyances se rationalisent, fractures diverses au sein de la société) : la décadence s’enclenche inexorablement ; 

4) Hiver : c’est l’ère terminale des foules et des masses indistinctes (mélangées spirituellement, culturellement et ethniquement) voyant la profanation, la solidification et la mort lente de tous les aspects de la société, c’est le « règne de la quantité », la « fin de l’histoire »…

Source :

mardi, septembre 18, 2018

Réouverture du National Solar Observatory, mais on ne nous dit pas tout !


Le National Solar Observatory (NSO) au Nouveau-Mexique est rouvert à compter de ce lundi 17 septembre. 

L'Association des universités pour la recherche en astronomie (AURA) a expliqué dans un communiqué que l'observatoire avait été fermé depuis le 6 septembre en raison d'une enquête visant à mettre fin à des activités criminelles dans la région.

"L'AURA a collaboré dans une enquête criminelle au Sacramento Peak. Durant cette période, nous avons eu peur qu'un suspect puisse représenter une menace pour les employés et les civils. C'est pour cette raison que l'AURA a évacué provisoirement les employés", apprend-on du message diffusé par l'AURA. (fr.sputniknews.com)

Le National Solar Observatory (NSO) avait été évacué le jeudi 6 septembre par des agents du FBI sans que les causes de cette décision soient communiquées. Le mutisme des autorités engendra de nombreuses spéculations de la part des internautes : vaisseaux spatiaux se dirigeant vers la terre, flash solaire apocalyptique, planète X...

La planète X

Au milieu du XXe siècle, un lama tibétain révèle l'existence de la planète X.

Au Tibet, "en 1959, écrit Peter Kolosimo, une mission russe erre de monastère en monastère (le récit de cette aventure sera fait par un Scandinave durant un congrès d’astronautique tenu à Moscou), cherchant dans le pays le plus secret du monde une voie qui la conduirait aux étoiles.

Le voyage est plein de difficultés : deux hommes de l’expédition sont blessés en tombant dans une crevasse ; trois autres, exténués, sont obligés de se faire hospitaliser dans un village. Pourtant, la ténacité reçoit sa récompense : dans une lamaserie située non loin du sanctuaire de Galjan, les explorateurs arrivent à obtenir d’être reçus par un vieux sage, astronome étonnamment au courant des problèmes de l’astronautique.

Ce lama ayant admis pouvoir – suivant certaines circonstances – entrer en contact avec les habitants d’une autre planète, les Russes lui demandent de leur permettre d’assister à ce genre d’expérience. Après s’être fait beaucoup prier, le vieillard finit par consentir à condition que seuls deux étrangers participent à la séance.

Après quelques jours de repos, les hommes choisis sont appelés à suivre une série d’exercices de concentration accompagnés de gymnastique yoga et d’un régime alimentaire particulier.

Puis, enfin, le grand jour arrive dans la pauvre cellule du lama. Le moine tient les étrangers par la main. Ils se concentrent comme on le leur a enseigné. Un instrument de musique scande à intervalles réguliers des sons assourdis jusqu’au moment où ils s’arrêtent brusquement. Le silence règne.

Une image provenant des profondeurs de l’espace prend consistance ; d’abord floue, elle devient de plus en plus claire. Un être extrêmement étrange regarde fixement le trio. Son corps a des apparences humaine, mais son visage est indescriptible, et ses membres sont ceux des arthropodes. Il se tient debout et immobile tandis qu’autour de lui tourne une miniature du Système solaire. Autour d’une grosse boule brillante se meuvent Mercure, Vénus, la Terre, Mars…

Les Russes regardent ces sphères, les identifient et les comptent… ils en compte dix… plus loin que Pluton, un autre globe tourne autour du Soleil.

D’où viennent ces images ? Le moine, têtu, ne veut répondre à aucune question. Il ne se montre un peu plus loquace que sur un point : au delà de Pluton, il existe effectivement une autre planète (ou un satellite de Neptune sorti de son orbite) qu’on découvrira dans peu de temps.

L’expérience a été intéressante mais, dans le fond, infructueuse. Voici ce qu’en dit un des hommes qui prirent part à la séance à côté du lama : « Ni moi ni mon camarade ne saurons jamais si cet être est apparu réellement devant nous ou si nous l’avons imaginé. Nous ne saurons jamais s’il a été projeté à travers le cosmos ou s’il dépendait de la volonté du Tibétain. Nous pouvons le décrire vaguement…, ce qui est vrai, c’est qu’il n’avait rien de réel ni de terrestre et il nous paraît impossible que l’imagination seule ait pu concevoir un personnage aussi étrange. »



Peter Kolosimo, Terre énigmatique.



dimanche, septembre 16, 2018

Tatiana agressée par des racailles d'origine arabe

Paris outragé, Paris  bidonvilisé, Paris insécurisé, mais Paris islamisé !


L’islamisation des banlieues françaises est totale ou presque


par Eric Zemmour


L’assimilation, l’intégration, la mise en conformité au sein de ces quartiers exigent désormais d’être un musulman comme les autres. L’islam est l’horizon identitaire indépassable de ces populations. Un islam bricolé, un islam mythifié, un islam simplifié par internet peut-être, mais un islam qui aspire à devenir leur identifiant politique. 

En 2007, déjà, certains ont évoqué des « émeutes de ramadan », mais les militants islamistes n’y avaient pris aucune part. La vie de ces derniers dans les banlieues françaises est rythmée par les relations ambivalentes qu’ils entretiennent avec les caïds de la drogue, à la fois complices – les trafiquants n’hésitent jamais à alimenter la cause tandis que certains dignitaires religieux pardonnent les exactions commises à l’encontre des « infidèles » – et tendues lorsque la morale islamique contredit les nécessités du business. Les caïds sont les patrons de nombreuses cités, ils déterminent la loi et l’appliquent aux contrevenants (y compris par condamnation à mort), et se substituent aux services publics et à l’action sociale, tandis que l’islam sculpte le paysage, mental et moral, mais aussi vestimentaire, sexuel, commercial. 

Trappes a bénéficié du plan Borloo de rénovation urbaine pour un montant de 350 millions d’euros. Les barres HLM ont été abattues ; des immeubles pimpants de trois étages et des rues arborées les ont remplacés. Le chômage y est important (17 % de la population), mais moins que dans la commune voisine de Chanteloup-les-Vignes (25 %). En 2011, Trappes a reçu le premier prix des villes fleuries. Mais la population est restée la même. Il y a quelques années encore, une troupe de théâtre local, dirigée avec un enthousiasme inaltérable par Alain Degois, dit « Papy », pouvait révéler un Jamel Debbouze, un Omar Sy, ou une Sophia Aram. Peu à peu, la mosquée fédère et rassemble la jeunesse de la ville. Trappes est aussi la preuve que la loi républicaine peine à s’appliquer dans des territoires où l’énorme majorité de la population n’accepte pas qu’elle soit en contradiction avec une loi religieuse qui la surplombe.


"La présence ostensible du salafisme – favorisée par l’accoutrement spécifique des adeptes – est un symptôme nouveau et fulgurant. Elle exprime une rupture en valeurs avec la société française, une volonté de la subvertir moralement et juridiquement qu’il serait illusoire de dissimuler et qui pose des questions essentielles."

La dernière étape – encore lointaine ? – sera-t-elle la fédération politique de ces mouvements spontanés et disparates ? Un an après l’alarme de Trappes, l’islam était assez enraciné et puissant pour envoyer des centaines de jeunes « français » se battre en Syrie au nom du djihad. Comme la pointe émergée d’un iceberg banlieusard grandi dans la haine du roman national français, en voie de lente sécession.

Eric Zemmour, Le suicide français.



Dans son dernier livre, Destin français, Eric Zemmour fait l'inventaire de ce qui a conduit le pays au déclin : l'immigration, l'antiracisme, la gauche, la mondialisation, l'effacement de la nation…



vendredi, septembre 14, 2018

Le Dalaï-lama est favorable au retour des réfugiés chez eux

Le vent est-il en train de tourner ? Face à la montée des populismes, un objectif de l'empire, le remplacement des peuples par des millions de réfugiés déracinés socialement et culturellement, va-t-il échouer ? (Voir : La Kabbale et la fin des Etats-nations)



Migrants : pour le Dalaï-lama, "l’Europe appartient aux Européens"


Le Dalaï-Lama a déclaré mercredi (12 Septembre 2018) à Malmø en Suède que « l’Europe appartient aux Européens » et qu’à terme il était souhaitable que les réfugiés retournent chez eux « pour reconstruire leur propre pays ».

S’exprimant à une conférence dans la troisième plus importante ville suédoise, qui abrite une importante population d’immigrés, le Dalaï-Lama, prix Nobel de la paix 1989, a souligné que l’Europe était « moralement responsable » lorsqu’il s’agit d’aider « un réfugié dont la vie est réellement en danger ».



"Recevez-les, aidez-les, éduquez-les…"

"Recevez-les, aidez-les, éduquez-les… Mais à terme, ils doivent développer leur propre pays", a déclaré le chef spirituel du bouddhisme tibétain qui a fui en 1959 le Tibet pour s’exiler en Inde, à la suite de la répression par les autorités communistes chinoises d’un soulèvement tibétain.

"Je pense que l’Europe appartient aux Européens", a ajouté le Dalaï-Lama, 83 ans, estimant que ces derniers devraient faire comprendre aux réfugiés qu’à terme "ils devraient reconstruire leur propre pays".

Le Dalaï-Lama est considéré par ses nombreux partisans comme un maître à penser comparable au Mahatma Gandhi ou à Martin Luther King.


Source : LeParisien

mercredi, septembre 12, 2018

MK-Monarch et contre-initiation

Apprenez à voir #1


MK-Monarch et contre-initiation


Alexandre Lebreton


(...) traumatismes, dissociation, sorties astrales, expériences paranormales et pouvoirs psychiques vont main dans la main, l’un déclenchant les autres, bien ce ne soit pas systématique. Ce lien entre traumatismes / dissociation et connexion avec d’autres dimensions est un point clé dans la programmation mentale de type MK-Monarch. 


Programmation occulte

Lors des abus rituels, il s’agit de ‘‘déverrouiller’’ l’enfant pour l’initier et ainsi le sacraliser aux yeux du culte luciférien. L’aspect spirituel et métaphysique de la programmation est tout aussi important, et même certainement plus important que l’aspect purement scientifique (neurologique et psychiatrique). En effet, la connexion reliant les membres de ce culte/réseau mondial au monde des esprits est indispensable pour mener à bien le projet de domination ici-bas. 

Connexion avec les forces de l'inframonde

D’une manière systématique, la descendance chargée de mener à son terme l’Ordre mondial doit donc être d’un côté spirituellement connectée aux milices lucifériennes tout en étant psychologiquement et physiquement rattachée au réseau terrestre (familles et réseaux de pouvoirs, sociétés secrètes). Un réseau terrestre bien incarné dans le monde matériel et accomplissant donc un plan établit depuis d’autres sphères : la rébellion luciférienne continuant son accomplissement sur terre… Sans ce protocole de fractionnement systématique des enfants dans ces lignées de sang et plus globalement dans tous ces cultes lucifériens, la connexion aux autres dimensions et la ‘‘racine de la violence’’ ne pourrait pas se transmettre d’une génération à l’autre et le culte de l’horreur ne pourrait certainement pas subsister durant les siècles. La dissociation profonde provoquée par les traumatismes, que l’on peut qualifier comme un violent ‘‘déverrouillage spirituel’’ (un véritable viol spirituel), pratiqué de manière systématique sur l’équipe au sol produit donc des médiums recevant l’illumination et la connexion au porteur de lumière : Lucifer. Ces individus totalement fractionnés et multiples possèdent donc certaines personnalités alter connectées et liées au royaume spirituel de Satan. C’est ce que décrit le pasteur Tom Hawkins lorsqu’il écrit que des personnalités dissociées peuvent être entraînées lors des traumatismes à entrer dans des états de transe qui vont les connecter au ‘‘deuxième ciel’’, au ‘‘royaume de l’air’’ dont Satan est le prince. Ces fragments de personnalités sont liés et retenus captifs dans ce royaume et ils sont utilisés pour appliquer ici-bas le plan mondial de Satan.


Les contre-initiés, maîtres d'œuvre du nouvel ordre mondial

Satan aurait donc un plan établi pour régner sur terre et il utiliserait certains humains (lui vouant un culte) comme catalyseurs pour mettre en place son projet terrestre, des humains passés par la contre-initiation, une inversion de la sanctification aboutissant à des pouvoirs et des connexions d’ordre surnaturel… Il est intéressant de noter ici que la franc-maçonnerie se réfère également à de mystérieuses entités d’une autre dimension qui inspirent (pour ne pas dire qu’elles dictent) ses propres actions pour la mise en place de l’Ordre mondial. 

Les entités selon l'occultiste pédophile Leadbeater

Le franc-maçon Charles Webster Leadbeater (prêtre anglican et théosophe, lui-même accusé de pédomanie) a clairement écrit que la franc-maçonnerie établissait certaines connexions avec des
‘‘êtres resplendissants’’ de l’au-delà : ‘‘Lorsqu’un de ces esprits lumineux s’attache à nous par une cérémonie maçonnique, nous ne devons pas penser à lui en terme de dirigeant ou d’attendant, mais simplement comme un frère. Notre égocentrisme est tellement enraciné que lorsque nous entendons parler d’une telle association merveilleuse, notre première pensée, même inconsciemment, est de se demander ce que nous pourrions obtenir de cette relation. Que pourrions-nous apprendre de cet être resplendissant ? Va-t-il nous guider, nous conseiller, nous protéger ? Ou bien au contraire, est-il un serviteur que nous pouvons utiliser pour notre propre volonté ?


Les Supérieurs Inconnus des loges

Le franc-maçon Oswald Wirth évoque également cela d’une manière explicite lorsqu’il écrit que les Maîtres - car ainsi les désignent les Initiés - s’enveloppent dans un mystère impénétrable ; ils restent invisibles derrière l’épais rideau qui nous sépare de l’au-delà… Ils ne travaillent plus que sur la planche à tracer, c’est à dire intellectuellement, en concevant ce qui doit se construire. Ce sont les intelligences constructives du Monde, puissances effectives pour les Initiés qui entrent en rapport avec les Supérieurs Inconnus de la tradition.

Voici donc un franc-maçon qui déclare clairement que des Maîtres venant de l’au-delà, dictent aux Supérieurs Inconnus des arrières loges maçonniques, comment construire le monde, car ce sont selon ses termes les intelligences constructives du Monde…

La croyance que l’humain peut entrer en contact et être utilisé et manipulé par des entités dites ‘‘supérieures’’ dans un but spécifique n’est pas quelque chose de nouveau. En effet, l’humain peut servir d’outil pour des forces qui relèvent d’une autre dimension. [...]


Enfants soumis aux rites contre-initiatiques

Le processus des abus rituels traumatiques visant à ‘‘initier’’, ‘‘sacraliser’’ et ‘‘baptiser’’ des enfants n’est ni plus ni moins qu’une inversion de la sanctification, une contre-initiation ou contre-révélation, visant à établir un règne luciférien d’ordre surnaturel. Lucifer étant considéré par ces groupes comme le dieu civilisateur, apportant la connaissance et la lumière aux humains… [...]

Le phénomène de dissociation chez l’enfant, volontairement exploité par certains groupes, est une connaissance occulte, la pierre angulaire du secret et du pouvoir ; cela d’une manière internationale, que ce soit dans le domaine politique, militaire, religieux ou mafieux. Les initiés connaissent très bien l’importance que ces états modifiés de conscience peuvent avoir pour le contrôle mental d’un individu. La programmation MK ne consiste donc pas simplement à créer une esclave sexuelle, une super-starlette ou un assassin, c’est avant tout un outil essentiel de contrôle politique global.

Esclaves MK

Fritz Springmeier décrit sans détour l’étendu de ce fléau dans notre monde moderne, une déclaration qui semble à première vue alarmante mais qui au final se trouve être plutôt éclairante pour comprendre certains rouages (et certains blocages) de notre société moderne :

‘‘Le contrôle mental consiste à infiltrer et à contrôler la société de derrière la scène. Il faut intégrer cela si l’on veut contrôler une institution comme le lobby médical par exemple. Vous devez placer des gens sûrs à des postes clés parce qu’un maillon faible dans la chaîne finira toujours par lâcher. Vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir des maillons faibles. Si vous souhaitez contrôler un lobby très puissant tel que le système médical, alors vous devez contrôler un très large spectre d’éléments comme le système hospitalier, les facultés de médecine, l’Ordre des médecins, etc. Tout cela exige que des esclaves MK soient disposés à tous les niveaux du système, à tous les points stratégiques. Vous ne pouvez pas avoir de maillons faibles. Par exemple, une filière de médecins indépendants qui pratiqueraient une médecine parallèle; il vous faut alors contrôler le système judiciaire pour pouvoir faire condamner ces médecins ‘‘hors normes’’. Il faut mettre en place un vaste appareil occulte. Si l’on ne comprend pas les tenants et les aboutissants de la programmation mentale, on ne peut pas comprendre comment il est possible de disposer d’un tel type de contrôle global sur la société.’’

Pions humains et démocratie de façade

Comme déjà cité en avant-propos, le célèbre pirate informatique Kevin Mitnick a déclaré : ‘‘Le maillon faible dans tout système de sécurité réside dans le facteur humain.’’ Pour pouvoir sécuriser un système de domination à l’échelle mondiale, il est donc impératif de mettre en place un piratage de l’esprit des pions humains placés aux postes stratégiques derrière les façades démocratiques.

Véritable objectif de l'abus rituel sur les enfants

Nous pouvons rappeler ici les déclarations du Dr. Catherine Gould en 1994 dans le documentaire ‘‘In Satan’s Name’’ (Au Nom de Satan) : 

‘‘Il y a certainement des banquiers, des psychologues, des gens des médias, nous avons aussi entendu parler des services de protection de l’enfance mais également d’officiers de police… car ils ont intérêt à être présents dans tous ces milieux socioprofessionnels… Lorsque j’ai commencé ce travail, je pensais que les motivations derrière la pédophilie se limitaient au sexe et à l’argent, mais j’ai commencé à réaliser au court de mes dix années de recherches que les motivations sont bien plus sinistres encore… Les enfants sont abusés dans un but d’endoctrinement. L’abus rituel sur les enfants est un protocole pour formater des humains à un culte. Il s’agit de formater des enfants qui ont tellement été abusés, tellement été soumis au contrôle mental qu’ils deviennent très utiles à la secte, à tous les niveaux… Je pense que le but de tout cela est d’obtenir le maximum de contrôle, que ce soit dans ce pays ou bien dans un autre.’’

Le Dr. Lawrence Pazder parle également d’une infiltration systématique : ‘‘Ils ont une apparence normale et mènent une vie tout aussi normale au premier abord. Ils sont présents dans toutes les couches de la société qu’ils ont soigneusement infiltrée. Toute position de pouvoir ou d’influence sur la société doit être considérée pour eux comme une cible pour l’infiltration. Les bourreaux ont de l’argent disponible, beaucoup ont des situations impeccables : docteurs, ministres, professions de tous types.’’

 Rôle contre-initiatique des arrières loges de haut degré

Pour établir une telle infiltration des institutions et des divers organismes, la franc-maçonnerie - dont la plupart des membres ignorent l’activité des arrières loges de haut degré - joue un rôle essentiel qui n’est plus à démontrer aujourd’hui. Le réseau maçonnique pratique une subversion systématique des valeurs traditionnelles chrétiennes au profit des valeurs illuministes et humanistes remplaçant Dieu par l’Homme ; autrement dit il s’agit de la doctrine luciférienne, la contre-révélation, ou contre-initiation, appliquée par la haute maçonnerie; mais aussi par d’autres sociétés secrètes initiatiques de type pyramidal formant toute la Grande Babylone : ‘‘la religion sans nom’’. [...]

Aspect occulte de l'abus rituel sur les enfants

Les enfants soumis aux tortures et aux viols, totalement dissociés et ouverts à d’autres dimensions, sont exploités comme des ponts reliant deux mondes et comme un réservoir de puissance démoniaque. Ils servent de médiums, des intermédiaires que le sorcier-bourreau va utiliser avec la magie sexuelle pour exploiter au maximum cette brèche spirituelle que représente l’enfant en état de dissociation. Il s’agit d’un véritable braquage spirituel, un viol à la fois physique, énergétique et spirituel.

La programmation MK basée sur le fractionnement de l’âme symbolise parfaitement l’apogée de la quête de l’homme luciférien voulant devenir lui-même un dieu créateur. En pratiquant ces horreurs, il crée des poupées humaines, des sortes de coquilles vides, des golem qu’il va pouvoir remplir et programmer selon ses propres désirs. Il manipule le monde intérieur de l’esclave comme il le veut, tout comme un petit dieu manipulant un humain robotisé, cela en jouant dans cette autre dimension qu’est l’espace-temps de l’univers intérieur de sa victime. Un univers qu’il aménage comme bon lui semble. 

Le programmateur, l'enfant "Monarch" et les démons

La création d’un golem est le but ultime des occultistes lucifériens, kabbalistes et satanistes de tous poils. Lucifer n’est pas un véritable créateur, il n’est pas le créateur du Ciel ni de la terre, c’est pourquoi il prend plaisir à créer chez les victimes un monde intérieur avec un ciel, une terre et un enfer de sa propre création. Il va aménager ce monde à sa manière avec une armée d’entités démoniaques qui vont coopérer avec le programmeur pour contrôler la victime. Ainsi une sorte de trinité satanique se met en place : le Père (le programmeur), le Fils (l’enfant ‘‘Monarch’’) et le Saint Esprit (les démons). Une obscure trinité qui va former l’ultime offense à Dieu : le sabotage, le détournement et l’exploitation de sa créature bien aimée, l’être humain.

Le sabotage de la conscience de l’homme pour le détourner de Dieu s’applique aujourd’hui autant sur les esclaves MK d’une manière la plus dure qu’il soit, que sur l’humanité dans sa globalité d’une manière plus diffuse mais tout aussi abjecte.

Sans ces outils que sont le contrôle mental basé sur le trouble dissociatif de l’identité, la drogue, l’hypnose, la psychotronique, etc, ces organisations occultes échoueraient dans leur plan de domination car elles seraient dans l’impossibilité de garder le secret sur leurs actes ignobles appliqués à une si grande échelle. Les sorciers-contrôleurs ont bien compris que cette méthode de contrôle mental qui utilise les traumatismes et la dissociation s’applique également à l’échelle de la société et que c’est quelque chose d’indispensable pour pouvoir gouverner ‘‘aisément et tranquillement’’. C’est ce que nous explique William Sargant lorsqu’il a écrit que les méthodes d’initiations religieuses se rapprochent souvent tellement des techniques politiques modernes de lavage de cerveau et de contrôle de la pensée que l’une jette la lumière sur les mécanismes de l’autre.


Ordo ab Chao

‘‘Ordo ab Chao’’, l’ordre naît du chaos, est la devise de la franc-maçonnerie mais c’est aussi le cœur des secrets alchimiques. Cette formule peut-être à la fois utilisée pour réaliser la perfection du côté du bien comme du côté du mal. Pour la plupart des francs-maçons, c’est avant tout une notion de développement personnel, un travail consistant à vaincre le monstre intérieur semeur de chaos, les forces obscures du mental et de l’ego, qu’il faut combattre et transcender pour retrouver l’Ordre Divin. En alchimie, les deux opérations les plus importantes sont ‘‘Dissoudre’’ (chaos) et ‘‘Coaguler’’ (ordo). La Dissolution signifie la décomposition des éléments, vient ensuite la Coagulation qui consiste à solidifier l’élément dissous dans un nouvel état, un nouvel ordre. Nous constatons aujourd’hui que cette formule maçonnique Ordo ab Chao, cette oeuvre alchimique de décomposition et de recomposition est appliquée consciencieusement dans les programmes de contrôle mental, qu’ils soient à l’échelle individuelle ou collective. Actuellement, l’Ordo ab Chao n’est pas appliqué dans une dynamique d’élévation spirituelle, mais dans une dynamique de contrôle total (bien que cette situation serve paradoxalement à créer une élévation spirituelle d’un petit nombre).


Dissociation sociale, terrorisme, effacement culturel, moral...

Le contrôle mental des masses passe par le déclenchement d’une ‘‘dissociation’’ (chaos social) où l’individu ne s’identifie plus à lui-même, il devient la société en elle-même (ex : les mouvements ‘‘Je suis Charlie’’ ou ‘‘Je suis Paris’’ suite à des actes de terrorisme). Cette dissociation sociale est provoquée par toute une série de déstabilisations de la société créant les conditions idéales pour instaurer un nouvel ordre, une nouvelle structure sociétale. C’est la théorie ‘‘tabula rasa’’ de Kurt Lewin, de Eric Trist et de bien d’autres…

Le lavage de cerveau d’un individu passe par l’effacement, la dissolution de sa personnalité originelle pour installer ensuite un nouveau système interne, il en est de même pour le peuple : détruire ses racines, ses valeurs, ses traditions, ses croyances, sa famille, jusqu’à sa notion d’homme ou de femme (théorie du gender), tout ceci afin d’obtenir une masse totalement dissociée/déconnectée, sans repères, infantilisée et malléable à souhait. Le but étant de pouvoir aisément construire un Nouvel Ordre Mondial. La devise qui consiste à créer du chaos pour pouvoir établir un nouvel ordre est appliquée [...] sur les sujets MK-Monarch qui auront fatalement besoin du programmeur pour pouvoir à nouveau fonctionner suite au chaos psychique volontairement créé chez eux par les traumatismes.

Cette formule, telle une fractale, nous la retrouvons à grande échelle dans le chaos sociétal actuel : pour pouvoir à nouveau fonctionner suite au chaos qui se dessine inéluctablement, la société (dans un stress post-traumatique généralisé) aura besoin des sorciers contrôleurs (les programmeurs de grande échelle) pour se rétablir et à nouveau fonctionner dans un Nouvel Ordre Mondial, avec une religion mondiale luciférienne.

(...) les codes de cette sous-culture luciférienne imprègnent peu à peu les masses populaires profanes psychologiquement canalisées vers ce Nouvel Ordre Mondial. Un nouvel ordre dans lequel les peuples et les cultures traditionnelles (l’ancien monde) se seront totalement dissous… Il s’agit de ‘‘l’oeuvre Babylonienne’’, une programmation mentale à l’échelle mondiale avec le transhumanisme à la clé. Le transhumanisme prônant l’usage des sciences et des technologies afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains, allant même jusqu’à considérer la vieillesse comme une maladie. [...]


Plan luciférien pluriséculaire

Lors des abus rituels, les enfants reçoivent la transmission de ‘‘l’initiation’’, la ‘‘Violence Initiale’’ qui les prépare à devenir eux-mêmes des adultes œuvrant pour le ‘‘côté obscur’’. Le projet luciférien s’étalant sur plusieurs siècles, donc sur plusieurs générations, le conditionnement et plus encore la programmation mentale des enfants de l’élite forment un protocole indispensable. La programmation à la loyauté, à la fidélité et à la loi du silence est la fondation pour contrôler ces enfants, destinés à perpétuer le projet mondialiste luciférien. Il s’agit d’obtenir une société dont les institutions et les diverses strates de contrôle se retrouvent verrouillées et tenues avec une main de fer par des individus au service de leurs démons intérieurs… Ces enfants dissociés et fractionnés dès le plus jeune âge ont un cerveau ‘‘recâblé’’ leur donnant certaines facultés intellectuelles et créatives, mais aussi un corps énergétique totalement ouvert au monde des esprits, à la médiumnité consciente ou non. Dans le luciférisme, le processus dissociatif est perçu comme un état d’illumination spirituelle, permettant l’accès à d’autres dimensions.

Enfants contre-initiés

Ces enfants reçoivent le pouvoir, la puissance et la lumière, ils deviennent des canaux utilisés par des anges déchus pour incarner et établir la doctrine luciférienne sur cette terre. Ainsi donc s’est mis en place petit à petit un monde gouverné indirectement par des entités existant sur un autre plan. Des entités qui ont besoin d’êtres humains bien incarnés en chair et en os pour agir ici-bas dans la matière. De la même manière que l’Esprit Saint s’infuse dans certains humains en état de grâce pour leur inspirer la sagesse, l’intelligence, la force, la charité, la foi, l’espérance… Une force antichristique, contre-initiatique, peut également s’infuser dans l’humain, plus particulièrement chez ceux ayant les portes grandes ouvertes depuis la petite enfance lors de leur ‘‘initiation’’ par les traumatismes extrêmes. Certains fragments de leurs âmes sont totalement liés et asservis au royaume déchu, au ‘‘Prince de ce monde’’. Ce processus n’est ni plus ni moins qu’une inversion de la sanctification. Ces lignées de sang lucifériennes, pieds et poings liés aux démons depuis des générations représentent l’infra-humain, résultant de cette contre-initiation.

Les abus rituels traumatiques, les sacrifices, la magie, la démonologie, la dissociation-possession-"illumination", le contrôle des fragments d’âme, mais aussi les sites servant aux cérémonies, avec une énergie tellurique particulière, toutes ces connaissances occultes sont les outils qui vont permettre la connexion avec ces entités déchues qui offrent à cette hiérarchie humaine luciférienne le pouvoir d’établir une domination passagère ici-bas.


Lignées contre-initiatiques


‘‘Ces lignées, détentrices d’un sang particulier hérité d’un ancien ‘‘pacte’’ avec les anges déchus, récréent ou réveillent à dessein des sociétés secrètes, des écoles, des sectes, par l’intermédiaire de certaines individualités spécialement préparées, que l’on pourrait considérer comme un genre particulier de ‘‘possédés’’ et chargées de pouvoirs nécessaires, toujours d’ordre psychique, bien entendu, qui leur permettent de provoquer pour une certaine période plus ou moins longue mais toujours limitées, des phénomènes qui constituent l’élément ‘‘catalyseur’’ autour duquel se créeront ces groupements.’’ ‘‘Mémoire du sang : contre-initiation, culte des ancêtres.’’ Alexandre de Dànann.



Alexandre de Dànann, "Mémoire du sang : contre-initiation, et privilèges de certains lignages". 


Il s'agit d'une approche christique et biblique de la contre-initiation venue de temps immémoriaux. René Guénon précise dans une de ses notes : « Le chapitre VI de la Genèse pourrait peut-être fournir, sous une forme symbolique, quelques indications se rapportant à ces origines lointaines de la contre-initiation ».


Après avoir laissé entrevoir les origines bibliques de la “contre-initiation” dans l’union des humains avec les anges déchus, l’auteur de cet essai veut en considérer les conséquences, même lointaines : d’une part, la naissance de lignages “spéciaux” dont le sang en garda longtemps la mémoire à l’aide de cultes tels que celui des ancêtres ; d’autre part, la transmission, par les anges rebelles, de certaines connaissances concernant le sang, au sens le plus large du mot. Ces lignages, qui refusèrent toujours le sens de la Rédemption et la doctrine du Christ, seraient ainsi les moyens d’opérer de la “contre-initiation” tout au long de l’histoire. Cependant au cours des siècles, la “mémoire du sang” en s’affaiblissant et en se brouillant, ces lignages brisèrent leur cadre pour proposer leurs connaissances visant à “déifier lucifériquement l’homme” à d’autres initiables. Il s’agissait alors de les intégrer, par des méthodes telles que le pacte de sang, certaines “palingénésies” réalisées à partir des os et des cendres, l’emploi de la semence humaine, le “mariage” avec les esprits élémentaires, etc. (Alexandre Lebreton)

Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...