samedi, mars 30, 2024

Un Conte Métaphysique



Le « néocortex » est-il une tumeur maligne ?


Par Dharma


Brusquement, début janvier 2020, il fut annoncé à tous un « faux événement » habilement planifié depuis des décennies par cette tumeur maligne (hypothèse forte) qui depuis au moins 2500 ans ne cesse de se développer monstrueusement sans qu’aucun traitement temporel ne puisse la soigner. Les religions ont essayé mais sans succès l’ont aggravé. Rares sont ceux qui peuvent le comprendre pour s’en libérer, « peuvent ne pas croire », « peuvent ne croire en rien », peuvent vérifier par eux-mêmes, par Intuition métaphysique qui est le seul remède à cette anomalie. C’est pourquoi, ils sont aussi rares ceux qui comprennent profondément l’origine du mensonge, ses corruptions systémiques, ses propagandes institutionnelles, l’instinct de troupeau et ses serviteurs apeurés, courbés, obéissants, soumis, parfois obséquieux devant leurs dominants pervers-narcissiques. Pour en connaître les causes profondes, cheminer sur une Voie authentique de Libération est le plus souvent nécessaire. Il est cependant et parfois utile d’être informé du déterminisme des cerveaux archaïques, reptilien, limbiques, mammifère, pour comprendre que, par « mutation forte génétique », cette tumeur monstrueuse nommée « néocortex » demeure à l’œuvre à chaque instant. Le « libre-arbitre », invention de Satan, est une plaisanterie, une erreur épistémologique. La Libération Inconditionnée est « par-delà, au-delà » du « temporel », l’ego étant la chose la plus ridicule qui soit. Ne vous attardez ni chez Descartes ni chez Aristote. Leur date de péremption est largement dépassée et d’ailleurs elle est inscrite sur l’étiquette pour ceux qui savent lire. Ils firent ce qu’ils purent. Le principe de non-contradiction, cependant, demeure. La « métaphysique » est quasiment introuvable en Occident. Quant à L’I.A., elle n’est pas intelligente, des « 0 et des 1 », « artificielle » elle est une « contrefaçon », nous l’avons déjà dit, qui fabrique des possibilités illimitées par probabilités exprimées mais dont l’entropie risque bientôt de dépasser celle de l’énergie nucléaire vers une auto destruction collective, comme le font les Lemmings…

Question : Comment cela ?! Le néocortex serait une tumeur maligne ?! Il n’y aurait pas de « libre-arbitre » ?! Seriez-vous devenu fou ?!

Réponse : Calmez-vous. Toute croyance résulte d’un aveuglement, d’une nescience, qui fait souvent lien avec la lâcheté qui lui convient ; un manque de culture et l’affaire est perdue, du moins et sans aucun doute est-ce la destinée du commun des mortels. Mais, une incapacité présente n’est pas irréversible si le courage de réfléchir vient sortir de l’ornière le pauvre hère.

On dira donc à la planète entière qu’il y avait un truc dangereux… c’était faux, totalement fabriqué à des fins obscures non avouées, vous pensez bien… On imposera sur le visage un truc qui ne sert à rien, très dangereux pour la santé. On vous enfermera chez vous, une autre supercherie tueuse, un mensonge éhonté. On vous le mettra profond dans le nez ce truc inutile, c’est prouvé. On vous dira « prenez seulement ce comprimé » et taisez-vous. On vous introduira dans le corps des trucs in[connus] totalement faux. On vous dira de revenir, deux, trois, quatre fois pour vous les introduire à nouveau … Certains reviendront et en sont morts ou malades … les autres attendent leur tour… qui ne va pas tarder … Ainsi, vous êtes tombé gravement malade, ou malade. C’est vrai. Depuis rien ne va plus… « Faites vos jeux, les jeux sont faits ». Vous continuez à consulter des monstres clonés de Mr Knock et leurs clones vendeurs de « perlimpinpins », qui sont tous, dans cette histoire, la seule pandémie ravageuse …

Peu après, une guerre fabriquée a commencé. L’inversion accusatoire à son apogée, la dissonance cognitive et la dystopie sont à leur gloire. Puis, une autre guerre préfabriquée a commencé. Des attentats sous faux-drapeaux sont arrivés, d’autres arrivent, d’autres vont arriver. La paresse à réfléchir n’a d’égale que le vouloir-ignorer. Mais la bonne nouvelle est que les fomenteurs de ces aberrations sont déjà tous morts, le plus drôle étant qu’ils ne le savent pas ! Ils courent, ils courent les furets, les furets d’avidité, de haine, de stupidité.

Voici un conte métaphysique :

« Il était une fois » des enfants qui jouaient dans un grand parc à jouets entouré de barrières. Beaucoup de jouets étaient à leur disposition, des poupées, des nounours, des animaux en peluches, des crayons de couleur, du papier, des ballons à gonfler, enfin de multiples jeux, des lego, etc., … Des boites remplies de bonbons à leur disposition agrémentaient leurs jeux. Ils riaient, s’amusaient. Il arriva un moment où tous les bonbons furent mangés. Alors, ces enfants commencèrent à pleurer. L’un d’eux voulut prendre le nounours de l’autre pendant que l’autre arrachait la poupée de l’autre. Et ce fut la bataille, le crépage des chignons, les griffures, les morsures, les coups de pieds. Si vous leur redonniez des bonbons, tout allait mieux … et puis l’affaire recommençait …

Les années passèrent. Ces mêmes enfants, sortis de leur parc à jouets, devenus grands infantiles parfois instruits, se retrouvèrent dans d’autres parcs à jouets. Certains d’entre eux sont devenus des menteurs professionnels agrégés en ceci ou en cela, au cours de carrières fulgurantes. Parmi eux, des nounours aiment des nounours, des poupées aiment des poupées, des nounours aiment des poupées, des poupées aiment des nounours, des nounours et des poupées s’aiment entre eux, parfois tous et/ou toutes enchevêtrés comme des escargots dévoyés. A chacun son mauvais goût. De leurs nudités combinées, ils s’aiment les uns dans les autres, avec ou sans passion, caressant dans le sens des poils leurs comptes bancaires décuplés à coup de billets piratés, détournés vers des paradis systémiques, souvent inconnus, parfois connus …

Comme il arrive toujours, la vie se charge de conduire sans trop tarder au cimetière ceux qui espèrent lui échapper, l’injustice cosmique épuisée. Il en sera bientôt ainsi pour cette éminence grise ou noire très connue, du genre la fouine sans vertus, qui sert encore une suite d’infantiles dominants et leurs pouvoirs impermanents. Cette éminence écrira
 ceci en 1981 :

« Ce peuple sera éliminé en vitesse ! Sans besoin de recourir aux armes, mais par le contrôle de la pensée nous lui ferons croire qu’il est coupable et il fera le reste. Nous commencerons par les vieux, car l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte trop cher à la société. Ensuite, les faibles et les inutiles qui n’apportent rien à la société, car il y en aura de plus en plus, et surtout les plus stupides. Une euthanasie ciblera ces groupes car l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. On ne pourra pas directement exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. La population trop nombreuse et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux. Sur le plan sociétal, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement. On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien ! Nous trouverons quelque chose ou nous le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique ou pas, un virus qui touche les vieux ou les gros, peu importe, les faibles succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement et ce traitement sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule. Ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir » …

Aux éditions Seghers, ce livre est ce jour très difficile à trouver, entre 500 et 1700 euros.


Note :

Dharma fait allusion au livre de Michel Salomon "L'Avenir de la vie".

Commentaire d'un lecteur de "L'avenir de la vie" :

"Dans ce recueil d'entretiens, Jacques Attali développe un certain nombre d'opinions et d'analyses personnelles qui peuvent effectivement donner matière à débat.

Il est inexact d'affirmer que Jacques Attali ait pu appeler dans ce livre au "génocide des vieux".

En revanche, force est de reconnaître que Jacques Attali s'est attaché à y présenter la perspective de l'euthanasie et/ou de l'assistance au suicide des personnes âgées comme une réalité incontournable et indiscutable, quels que puissent être les choix de société effectués par ailleurs.

Au coeur de l'analyse de Jacques Attali, on retrouve l'idée que, dans un futur proche, les considérations financières devraient fort logiquement prendre l'ascendant sur le principe du respect intangible de la vie humaine.

Raisonnant "en terme de coûts pour la collectivité", Jacques Attali est convaincu que, "du point de vue la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement".

Jacques Attali pense de ce fait que l'euthanasie, "qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future", permettant ainsi de supprimer la vie "lorsqu’elle sera [devenue] trop insupportable ou économiquement trop coûteuse".

Vous trouverez ci-dessous de longs extraits de la conversation entre Jacques Attali et Michel Salomon dont il est question ici. Je vous invite à prêter attention aux séquences dans lesquelles Jacques Attali utilise les formules "je crois", ou encore "je pense" :

Extraits (p.268-274) :

« Mais dès qu’on dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société.

D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en terme de coûts pour la collectivité.

Alors apparait un nouveau critère d’espérance de vie : celui de la valeur d’un système de santé, fonction non pas de l’allongement de l’espérance de vie mais du nombre d’années sans maladie et particulièrement sans hospitalisation.

En effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.

C’est parfaitement clair si l’on se rappelle que les deux tiers des dépenses de santé sont concentrées sur les derniers mots de vie.

De même, cynisme mis à part, les dépenses de santé n’atteindraient pas le tiers du niveau actuel (175 milliards de francs en 1979) si les individus mouraient tous brutalement dans des accidents de voiture.

Ainsi force est de reconnaître que la logique ne réside plus dans l’augmentation de l’espérance de vie mis dans celle de la durée de vie sans maladie. (...)

L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.

Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.

Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante.

Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. "

Vous trouverez des extraits du livre pris en photo :



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