samedi, avril 27, 2024

Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'évolution de la science que nous connaissons bien, comme les théories de Newton et d'Einstein. Le rabbin présente la science de la Kabbale comme la base de la compréhension des parties cachées de la réalité que les scientifiques sont en train de découvrir.



Dans une vidéo, Michael Laitman affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour conquérir la Terre :

"Nous nous rendons dans les pays en tant qu'équipe d'infiltration. Nous prenons la même forme que les gens qui s'y trouvent. Nous sommes comme des agents d'infiltration. Nous sommes des extraterrestres qui commencent à se préparer à conquérir la Terre..."

Le youtubeur Parco Lee a mis en ligne la vidéo et la commente en ces termes :

"Le Dr Rav Michael Laitman est un rabbin qui admet que les Juifs sont des extraterrestres inter-dimensionnels envoyés en mission pour conquérir la planète Terre et asservir l'humanité.

Le rabbin dit que le collectif des Juifs prendra TOUTE FORME EXTERNE, comme des agents infiltrés, dans n’importe quel pays, parmi n’importe quel peuple, apparaissant exactement comme l’une des populations indigènes, leur ressemblant, agissant comme eux, etc.

Le rabbin ne plaisante évidemment pas, car aucun Juif ne plaisanterait lors du Memorial Day, où Israël rend hommage à ses 23 000 morts (soldats et « victimes du terrorisme ») depuis 1860.

Les Juifs ont toujours aspiré à retourner dans leur patrie, je pense qu'il est temps pour eux de retourner sur leur propre planète." (Commentaire traduit par Google)

source : https://youtu.be/zAmiIZmeFdE?feature=shared



Note :

Les propos du rabbin Michael Laitman donnent-ils raison au professeur Roger Dommergue qui dénonçait les troubles psychiques provoqués par la circoncision du 8ème jour ? 

"(...) lorsque vous effectuez l'opération (l'ablation du prépuce), vous libérez certaines hormones contenues dans l'organe génital interne, qui est LA glande humaine. La glande qui gère fondamentalement tout délibérément. Volontairement, pas automatiquement. Les automatismes semblent provenir de l'hypophyse. C'est donc l'organe du libre arbitre. Il deviendra par conséquent sous-développé à partir de ce jour. Il sera sous-développé et en même temps, il libérera d'autres organes, qui fonctionneront sans les freins. Car le rôle de la glande génitale interne, c'est justement d'orchestrer un équilibre dans tout le système hormonal. Il ne pourra pas le faire. Ainsi l'hypophyse et la thyroïde, voire les glandes surrénales dans une moindre mesure, vont se détraquer. Ils seront donc incontrôlables, 7, 8 ou 10 fois plus actifs que chez la plupart des humains. Et que va-t-il se passer ? La glande génitale interne, qui est sous-développée chez les malades mentaux, sera sous-développée chez les (circoncis) Juifs. Ce qui signifie qu'ils n'auront que la capacité interstitielle suffisante pour orienter leurs spéculations qui seront dictées par leur hypophyse et leur thyroïde. D'où une sorte de véritable maladie : ils ne peuvent pas s'arrêter." Roger Dommergue.

La circoncision est quelque chose qui dépasse l'entendement humain.

jeudi, avril 25, 2024

Le Saint-Empire Euro-Germanique


"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie." 
Cristian Terhes, député européen.


La fin d’une civilisation ou le crépuscule du Kali Yuga s'accompagne de profonds dysfonctionnements du pouvoir temporel et de l’autorité spirituelle. Chacun peut constater que les passions et l’avidité des puissants et des prélats se répandent et contaminent les populations qui n’ont plus de repaires moraux.

Partout, la recherche du lucre est devenue une obsession. D’ailleurs, la cupidité est considérée comme un signe de la fin des temps.  Suivant al-Barzanjî, "cela surviendra quand les hommes qui, par souci d’honnêteté, accepteront de rester pauvres, se verront quasiment contraints, y compris par leurs propres familles, de s’enrichir par des moyens malhonnêtes, d’où la nécessité de la fuite."

Selon un autre hadîth : "Viendra un temps où l’homme de religion ne pourra la préserver qu’en fuyant de montagne en montagne ou d’une cachette à l’autre, tel le renard qui fuit pour préserver ses petits."

La fuite semble inévitable devant la fin de la démocratie et l’avènement d’un pouvoir malfaisant « qui serait, précise René Guénon dès 1945, comme la contrepartie, mais aussi par là même la contrefaçon, d’une conception traditionnelle telle que celle du « Saint-Empire »…

Le complot contre l’euro ayant donné le leadership aux allemands qui imposent désormais aux pays européens une nouvelle culture de stabilité (Stabilitätkultur) prétextant sauver l’euro. Par « nouvelle », il faut entendre « allemande » comme l’avait affirmé la chancelière Angela Merkel devant le Bundestag : « Notre culture de stabilité a plus que fait ses preuves. […] Les règles ne doivent pas s’orienter sur les plus faibles, mais sur les plus forts. »

Ce leadership allemand et son idéologie de la puissance avait fait dire à Jean Quatremer, envoyé spécial à Berlin du journal Libération : « Merkel rêve du saint empire euro germanique »

Un empire fondé sur un nouveau féodalisme au sommet duquel siégera le monarque universel, le Chakravartî (littéralement « celui qui fait tourner la roue » du Dharma). Or, toujours selon René Guénon, ce Chakravartî sera « un Chakravartî à rebours » qui imposera sa « contre-tradition », c’est-à-dire une impitoyable tyrannie accompagnée d’un spiritualisme frelaté.

« Ce règne de la « contre-tradition » est en effet, très exactement, ce qui est désigné comme le « règne de l’Antéchrist » : celui-ci, quelque idée qu’on s’en fasse d’ailleurs, est en tout cas ce qui concentrera et synthétisera en soi, pour cette œuvre finale, toutes les puissances de la « contre-initiation », qu’on le conçoive comme un individu ou comme une collectivité ; ce peut même, en un certain sens, être à la fois l’un et l’autre, car il devra y avoir une collectivité qui sera comme l’« extériorisation » de l’organisation « contre-initiatique » elle-même apparaissant enfin au jour, et aussi un personnage qui, placé à la tête de cette collectivité, sera l’expression la plus complète et comme l’« incarnation » même de ce qu’elle représentera, ne serait-ce qu’à titre de « support de toutes les influences maléfiques que, après les avoir concentrées en lui-même, il devra projeter sur le monde. Ce sera évidemment un « imposteur » (c’est le sens du mot dajjâl par lequel on le désigne habituellement en arabe), puisque son règne ne sera pas autre chose que la « grande parodie » par excellence, l’imitation caricaturale et « satanique » de tout ce qui est vraiment traditionnel et spirituel ; mais pourtant il sera fait de telle sorte, si l’on peut dire, qu’il lui serait véritablement impossible de ne pas jouer ce rôle. Ce ne sera certes plus le « règne de la quantité », qui n’était en somme que l’aboutissement de l’« anti-tradition » ; ce sera au contraire, sous le prétexte d’une fausse « restauration spirituelle », une sorte de réintroduction de la qualité en toutes choses, mais d’une qualité prise au rebours de sa valeur légitime et normale ; après l’« égalitarisme » de nos jours, il y aura de nouveau une hiérarchie affirmée visiblement, mais une hiérarchie inversée, c’est-à-dire proprement une « contre-hiérarchie », dont le sommet sera occupé par l’être qui, en réalité, touchera de plus près que tout autre au fond même des « abîmes infernaux ».


René Guénon, « Le règne de la quantité et les signes des temps »



dimanche, avril 21, 2024

Un choc des cultures au cœur de l'Amérique



En 1987, le professeur de journalisme Stephen Bloom, un libéral typique, a voulu explorer ses racines juives en rejoignant la communauté Habad-Loubavitch de Postville en Iowa. Il découvre des aspects méconnus du judaïsme et les causes de l’antisémitisme qui seront exposés dans son livre, « Postville : A Clash of Cultures in Heartland America », publié en 2000.

"Au départ, écrit Stephen Bloom, j'étais allé à Postville pour apprendre des Hassidim (Juifs orthodoxes), pour partager avec eux un sentiment d'identité et d'appartenance. Au lieu de cela, ce que les Hassidim de Postville m'ont finalement offert était un aperçu du côté obscur de ma propre foi, un regard sur les extrémistes juifs dont le comportement a non seulement fait grimacer les habitants de Postville, mais m'a fait grimacer aussi."

"Je ne voulais pas participer à la vision des hassidim qui appelait les juifs à s'unir contre les goyim et contre l'assimilation. Le monde, même dans l'Iowa, était trop riche pour baser mes goûts et mes aversions uniquement sur la religion. Le mot hassid signifie littéralement « le pieux », mais les hassidim de Postville étaient tout sauf pieux. Vous ne pouvez pas devenir un ami occasionnel avec eux, ils exigent une soumission totale à leur schéma du bien et du mal, Juif contre Chrétien, autrement vous êtes leur l'ennemi." (p.291)

"En d’autres termes, commente Henry Makow, si vous êtes juif mais que vous n’acceptez pas leur haine insensée, alors vous ne valez pas mieux que les goyim. Malheureusement, leur attitude est typique de la communauté juive organisée dans son ensemble.

Stephen Bloom fut placé sous la tutelle d'un certain Lazar, un modèle, un "mensch" autant qu'un "tsadik" (homme sage)."

Bloom écrit (p. 196-198) : "Les commentaires de Lazar ont souligné le mépris des hassidim pour les non-juifs, qui ne se limitait pas aux gentils de Postville mais à tous les chrétiens... Les hassidim comme Lazar ont un désintérêt total pour tout ce qui n'est pas juif... Les hassidim menaient une guerre sainte culturelle... Leur monde était juif contre non-juif... Si vous n'étiez pas d'accord, vous étiez en faute, vous ouvriez la voie à la destruction ultime du monde. Les Juifs, le peuple élu du monde. Il n’y avait pas de place pour le compromis… pas de place pour autre chose que la soumission totale et complète."

Cette inimitié s’étend aux affaires, qui constituent une forme d’agression contre les gentils. "Je ne me sens pas juif à moins de négocier", dit Lazar à Bloom. "Un Juif doit sentir qu'il a obtenu quelque chose au prix le plus bas, sinon il se sent pourri." Après avoir conclu un accord avec un Gentil, Lazar s'est vanté de ne pas avoir respecté les termes ou d'avoir pris son temps pour payer.

Bloom a comparé cela à la chasse : "Les hassidim non seulement (négociaient) avec empressement, mais aimaient se vanter du terrain, de l'équipement, de la première observation et de la mise à mort ultime." (p. 211)

Bloom raconte un incident particulièrement honteux rapporté par le propriétaire du magasin. Un hassid a prétendu avoir payé à l'avance une marchandise, l'a saisie et s'est enfui du magasin.

Bien que boudé par les rabbins, un certain révérend Miller organisa un service œcuménique avec deux autres ecclésiastiques des deux autres églises de Postville. Aucun Juif n'était présent. "Le révérend Miller s'était senti grugé", écrit Bloom (p.146).

"De toute évidence, écrit Henry Makow, la tolérance, l’œcuménisme, l’antiracisme, la diversité, etc. visent à affaiblir et à diluer les goyim et non les talmudistes.

Il n’est pas nécessaire, d’être un génie pour reconnaître que le comportement talmudique est la véritable cause de l’antisémitisme.

Mais les implications sont bien plus graves. Meyer Amschel Rothschild était talmudiste. Cette haine satanique de l’humanité, et du christianisme en particulier, est à l’origine des vaccins contre le Covid. Il y a une ligne directe entre la Crucifixion du Christ, qui représentait le Dieu de l’Amour, le 11 septembre et le Nouvel Ordre Mondial en termes de dégradation de l’humanité à travers de fausses pandémies, guerres et dépressions. Si cette logique est correcte, le destin de l'humanité est d'être crucifié comme le Christ ou d'être massacré ou réduit en esclavage.

Comme Stephen Bloom et moi-même, 90 % des Juifs américains sont laïcs et ignorent le Talmud. Nous trouvons ses opinions odieuses. Mais ces attitudes ne constituent plus l’agenda caché du communisme, du sionisme et du judaïsme organisé. Une élite païenne composée de francs-maçons (l’Ordre des Illuminati) a été installée par les banquiers juifs pour faire avancer ce programme. Joe Biden et la plupart des « dirigeants » occidentaux en font partie.

Le Nouvel Ordre Mondial met en péril l’humanité et les Juifs assimilés. À mesure que les conditions se détériorent, l’antisémitisme pourrait devenir endémique. Les juifs doivent reconnaître que le judaïsme n’est pas une religion mais une conspiration contre l’humanité. Il s’agit également d’une conspiration contre les Juifs, dont la sécurité est menacée par son agenda secret. Le sionisme, le communisme, le socialisme, le libéralisme, le néo-conservatisme et le féminisme sont tous des moyens trompeurs pour établir les banquiers centraux maçonniques/talmudiques/cabalistes dans une tyrannie de "gouvernement mondial" à peine voilée.

La société a subi un lavage de cerveau pour rejeter les "Protocoles des Sages de Sion" qui expliquent la méthodologie en détail. Ce document n’est pas antisémite ; c'est satanique. [...]

Les Juifs assimilés doivent se dissocier de la communauté juive organisée et se réinventer en tant que peuple... Ils ont été trompés et exploités par leurs soi-disant dirigeants. 

Comme Stephen Bloom, de nombreux Juifs assimilés ont un sens aigu de la vérité, de la justice et de la générosité de Dieu, et doivent se joindre à leurs voisins chrétiens pour remettre l'Amérique sur les rails."

Selon une partie du post de H. Makow (traduit par Google).




En 1987, un groupe de Loubavitch, l’une des sectes juives les plus orthodoxes et les plus zélées, a ouvert un abattoir casher juste à l’extérieur de la petite ville de Postville, dans l’Iowa (1 465 habitants). Lorsque l’entreprise devint un succès mondial, Postville se trouva à la fois relancée et divisée. L'accueil initial réservé aux Juifs par la ville s'est transformé en confusion, en consternation et même en dégoût. En 1997, la ville avait organisé un vote sur ce que tout le monde considérait comme un référendum : si ces Juifs devaient ou non rester.

Les habitants de l’Iowa, calmes et retenus, étaient étonnés de voir ces Juifs hassidiques, impétueux et très affirmés, qui ignoraient les lois non écrites du comportement de l’Iowa à presque tous les égards.

Les Loubavitch, en revanche, ne pouvaient faire de compromis avec le monde de Postville ; leur religion et leur tradition l'interdisaient littéralement. Les habitants de l'Iowa avaient-ils des préjugés, ou les Loubavitch étaient-ils tout simplement insupportables ?

Le journaliste primé Stephen G. Bloom a eu une vue d'ensemble de cette bataille et a acquis une nouvelle perspective sur les questions qui hantent l'Amérique à l'échelle nationale. Qu’est-ce qui fait une communauté ? Comment accepter des traditions nouvelles et puissamment différentes ? L’argent est-il plus important que l’histoire ? Dans les histoires dramatiques et souvent poignantes des habitants de Postville – juifs et non-juifs, perplexes et déroutants, inflexibles et imparables – se cache une grande partie de l’Amérique d’aujourd'hui.


mercredi, avril 17, 2024

Le plan dirigé contre l’Esprit

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœur. Cette société deviendra complètement indifférente à la religion et à la politique dont elle aura même le dégoût. La passion de l’or sera son seul guide et elle fera tous ses efforts pour se procurer cet or qui, seul, peut lui assurer les plaisirs matériels dont elle a fait son véritable culte.

Les Protocoles : la soif de l’or

Le plan connu sous le nom de « Protocoles des Sages de Sion » est un sujet tabou. Le Prix Nobel de littérature Alexandre Soljénitsyne a rédigé en 1966 une pertinente étude des Protocoles. « Soljenitsyne, écrit Israël Shamir, a bravé le régime soviétique, il a osé écrire et publier son mammouth, l’Archipel du Goulag, implacable condamnation de la répression soviétique, et pourtant, même lui, il a calé : il n’a pas publié sa recherche sur les Protocoles. Il a demandé que cette étude ne soit publiée qu’après sa mort. C’est contre sa volonté qu’elle fut imprimée en un nombre très réduit d’exemplaires, en 2001 ».

Selon Alexandre Soljénitsyne : « Les Protocoles exposent le plan d’un (nouveau) système social. Son dessein se situe bien au-dessus des capacités d’une âme ordinaire, y compris celle de son auteur. Il s’agit d’un processus dynamique en deux étapes, de déstabilisation, d’augmentation des libertés et du libéralisme, qui trouve son apogée dans un cataclysme social, au premier stade ; la seconde étape voyant se mettre en place une nouvelle hiérarchisation de la société. Ce qui est décrit est plus complexe qu’une bombe nucléaire. Il pourrait s’agir d’un plan volé et gauchi, formé par un esprit de génie. Son style putride de brochure antisémite cauteleuse en obscurci(rai)t (intentionnellement) la grande force de pensée et la vision pénétrante ».

Soljénitsine est conscient des failles des Protocoles. « Leur style est celui d’un pamphlet dégueulasse, la puissante ligne de pensée est brisée, fragmentée, mêlée d’incantations nauséabondes et de grossières maladresses psychologiques. Le système qui y est décrit n’est pas nécessairement relatif aux Juifs ; il pourrait s’agir d’un système purement maçonnique, ou autre ; en même temps, son orientation fortement antisémite n’est nullement une composante fondamentale du projet [qui y est décrit] ».

De son côté, Joël Labruyère, spécialiste des traditions ésotériques et des sociétés secrètes, considère que les Protocoles émanent de l’élite luciférienne, « laquelle manipule les nations, les races et les religions – et le peuple d’Israël comme les autres – pour instaurer son ordre à travers le chaos. Le peuple juif est sans doute la première victime de cette manipulation… »

Le livre interdit

On a beaucoup fantasmé sur l’origine de cet écrit, attribué à une loge « d’initiés israélites » recevant les instructions de « supérieurs inconnus ». Il fut donc utilisé par les antisémites comme preuve manifeste d’un « complot judéo-maçonnique ». Or, les illuminati ne sont ni juifs ni aryens, mais peuvent être de tous les bords, exacerbant les conflits pour faire avancer leur stratégie selon l’adage « diviser pour régner ».

Quels que soient les auteurs de ces « protocoles », ils étaient dotés d’une ruse politique et psychologiques qui dépasse les capacités de l’intelligence normale.
Le problème n’est pas de savoir qui a rédigé ce programme d’hégémonie mondiale, mais comment il est possible que des hommes du 19ème siècle aient anticipé l’instauration de l’ordre mondial dans les moindres détails ?

Les détracteurs disent qu’il s’agit d’un « faux » - ce qui ne veut rien dire car tout écrit anonyme peut être un « faux ». La Bible est-elle un faux ? On voit l’absurdité de ce raisonnement. Les universitaires ne lisent pas les Protocoles car cela est jugé politiquement incorrect. On craint même de les ouvrir au cas où cela se saurait ! Il ne s’agit plus de prudence mais de terreur envers un écrit interdit par le système. Cela évite de savoir ce qu’il contient et de se poser la bonne question : comment expliquer que ce programme soit au détail près le même que le plan mis en application depuis la révolution française par les illuminati ?

A-t-on voulu faire endosser la responsabilité de ce manifeste à des juifs en spéculant sur les réactions d’antisémitisme qu’il ne manquerait pas de générer ? En mettant de côté les connotations racistes envers les goïms – les non-juifs selon le Talmud – qu’il recèle, force est de constater que ce texte nous éclaire tout spécialement sur les financiers du nouvel ordre mondial – dont l’éminente famille Rothschild qui exerce un chantage sur les juifs.

Révolutions, internationalisme, socialisme, disparition de l’initiative individuelle, contrôle des médias, argent-roi, culture mondiale, parodie de démocratie, puissance de la technocratie, déstabilisation des religions et des traditions, pensée unique, matérialisme, scientisme, et jusqu’au messianisme du new age… Toutes les idées du gouvernement de l’ombre sont présentes dans ces « Protocoles », et ces idées s’imposeront tout au long du 20ème siècle. Qui peut le nier ?

Sachant qu’en politique rien n’est improvisé, nous devons admettre que nous sommes en présence d’un document révélant une stratégie de conquête visant à établir une théocratie totalitaire sous le masque du messianisme d’Israël. Or, ici, ce n’est plus de religion dont il s’agit, ni de l’attente d’un royaume spirituel, mais de l’établissement d’une tyrannie au profit d’une caste « d’élus » - les fameux illuminati de « l’élite noire ».

La perfidie de ce document est troublante, d’abord à cause de sa forme provocatrice qui a généré une polémique faisant oublier le fond. Perfide par la ruse inouïe de ceux qui ont pensé ce programme politique, mais aussi à cause de l’inévitable réaction antisémite qu’il a déclenchée et par laquelle il est devenu un document tabou, une sorte de littérature honteuse qu’on se passe sous le manteau.

On a prétendu que les agents du tsar avaient inventé ces « Protocoles des Frères Aînés de Sion » à des fins contre-révolutionnaires, mais les policiers sont rarement des génies politiques doublés de visionnaires. Aussi la fabrication artificielle des « protocoles » est injustifiable pour qui connaît un tant soit peu les arcanes de la politique occulte, car l’idéologie qu’ils véhiculent est trop étroitement liée aux loges mondialistes.

Ce programme des dirigeants de l’ordre mondial n’est pas le fruit de cerveaux malades, comme on a voulu le faire croire, car les idées politiques qu’il expose se sont réalisées dans les faits, et ceci bien après sa rédaction, ce qui ne peut pas être fortuit. Seuls les naïfs préfèrent croire que la politique planétaire suit les aléas de circonstances hasardeuses.

Un lecteur attentif, libre de préjugés, découvrira dans ces Protocoles la matrice de toutes les menaces contre la conscience – au plan politique, social, économique, scientifique et religieux. Tout y est annoncé explicitement. Ce plan réussira-t-il ? Question vaine, puisqu’il a déjà amplement abouti sur la plupart des points de son agenda, sauf en ce qui concerne l’apparition du « messie », ce souverain international, dont la tradition chrétienne a prédit la venue sous le nom de l’Antéchrist.

Nous pensons que cette mystification suprême ne saurait tarder, tant les cercles qui veulent réaliser ce dessein sont actifs depuis plusieurs décennies.

Indéniablement, les Protocoles émanent de l’élite luciférienne, laquelle manipule les nations, les races et les religions – et le peuple d’Israël comme les autres – pour instaurer son ordre à travers le chaos.

Le peuple juif est sans doute la première victime de cette manipulation – le « peuple élu » prend ici son sens dramatique.

Les juifs ont été soumis à une culture de la terreur par des chefs occultes qui sont responsables des cruelles persécutions cycliques. C’est pourquoi les juifs qui s’émancipent de ce conditionnement séculaire sont souvent les premiers à dénoncer l’oppression de la culture rabbinique et talmudique. Il en est des anciens prophètes condamnant avec véhémence les « péchés d’Israël » - comme des révisionnistes, dont les idées historiques subversives émanent souvent de chercheurs juifs écœurés par la récupération commerciale de la Shoah.

Il faut beaucoup de recul et d’intelligence pour comprendre la véritable mission d’Israël, et les manœuvres dont le peuple juif fut victime – depuis l’époque archaïque de l’Atlantide.

L’étymologie d’Israël peut s’interpréter comme « l’homme élevé jusqu’à Dieu », ou encore « la vision céleste ». Chaque âme noble peut donc s’identifier à cet idéal et prétendre à l’élection divine, qu’elle soit née en milieu juif, chrétien, papou, ou dans n’importe quel « peuple élu », sachant que chaque civilisation ancienne a prétendu détenir une légitimité divine.

Y aurait-il autre chose dans l’univers que des races élues, appelées à un destin spécial ? C’est pourquoi, nous ne condamnons pas les illuminati car ils sont dans l’illusion de se croire élus au-dessus de tous, et ils luttent misérablement pour survivre comme toutes les créatures qui rampent sous le soleil.

A l’endroit des Nazis ou des Sionistes, nous pourrions dire : même combat ! Musulmans, juifs, chrétiens ou hindous, chez tous, l’instinct de survie domine. Pour les fanatiques, Dieu n’est qu’un prétexte à l’affirmation partisane. Pourquoi prendre partie dans cette folie ? Celui qui cherche Dieu ou l’Absolu, ne veut détruire personne, excepté ses propres chaînes intérieures. Tout autre approche de la religion est de la démence.

Enfin, ces Protocoles n’auraient-ils pas pour effet de rendre les gens encore plus fatalistes devant la tyrannie mondialiste ? Pourquoi sont-ils en circulation lorsqu’on sait que les illuminati ne laissent rien traîner de compromettant et qu’il est interdit de les lire ?

Joël Labruyère, "Le livre interdit", Undercover n°5.


Ebook gratuit : « Les Protocoles des Sages de Sion ».

dimanche, avril 14, 2024

Ceux qui ne reconnaissent aucun suzerain




Les simples contrôles routiers sans aucun motif de suspicion sont-ils une atteinte à la vie privée et au droit de circuler librement, voire de vagabonder ?


Ceux qui ne reconnaissent aucun suzerain


Les vagabonds sont gens sans aveu. S'il y a eu toutes sortes de vagabonds et de vagabondages, si l'errance, solitaire ou en bande, a eu toutes sortes de fonctions sociales, s'il y a eu toutes sortes de répressions ou de récupérations de la fugue, il n'y a guère qu'une définition du vagabondage, à travers les temps et les lieux : 

Les vagabonds sont gens sans aveu. Au sens du droit féodal, celui qui n'avoue pas, celui qui ne rend pas l'hommage, c'est celui qui ne se reconnaît aucun suzerain, ou qu'aucun suzerain ne réclame, ne se fixe donc nulle part, ne demande aucune protection et ne peut prétendre à aucune. Son plaisir est de ne dépendre de personne, son risque de n'être défendu, réclamé par personne. Il prend de la vie sociale ce qu'il peut ou ce qui lui plaît, jusqu'à ce qu'il se range, ou qu'on le range.

C'est pour distendre le lien de l'aveu et ses rigueurs que des serfs se regroupent et vagabondent, après la croisade de 1146. Leurs rangs se grossissent de ceux que l'expédition a ruinés, de vagabonds isolés, de voleurs de tous acabits. Un grand déplacement de paysans-esclaves répond au grand mouvement vers Jérusalem, pour tenter de secouer le joug. Ils seront matés. A la fin du siècle, vers 1180, des bandes de « routiers » se constituent, qui se mettent au service d'un seigneur ou d'un autre, et souvent contre leur ancien employeur, pour organiser la conquête et le pillage d'une région. Un charpentier du nom de Durand lève contre eux une sorte d'armée populaire, la Confrérie de la Paix, et les extermine en 1183, à Dun-le-Roy. Mais ces vagabonds-justiciers se retournent bientôt contre les seigneurs et veulent châtier les féodaux : à son tour, la Confrérie de la Paix est décimée.

Plus tard, quand la conquête turque dévaste l'Empire byzantin, des bandes de Bohémiens, d'Égyptiens et de Tziganes sillonnent les routes de l'Europe avec plus ou moins de bonheur. A chaque famine, la misère lance à l'aventure des hordes de toute espèce, tels ces « coquillards », faux pèlerins de Saint-Jacques, organisés hiérarchiquement pour le pillage et le vol. Les universités attirent les groupes d'étudiants gyrovagues, qui pensent y trouver leurs titres à meilleur marché, et courent de Dole à Caen, de Nantes à Bordeaux, de Bourges à Valence. La misère aussi a ses facultés, où l'on apprend l'un des trente-six métiers de mendiants répertoriés par les historiens de la cour des miracles. Des professions plus « avouables », mais non moins vagabondes, charbonniers ou bûcherons, par exemple, entraînent des migrations perpétuelles, parfois violemment réprimées.

Au fur et à mesure de l'unification nationale, avec chaque guerre puis avec chaque entreprise coloniale, l'armée absorbe par n'importe quel moyen ceux qui sont sans feu ni lieu. En 1656, l'Hôpital général devient le premier lieu de détention-protection des vagabonds. On tente d'en diminuer le nombre en interdisant successivement la mendicité et l'aumône. Une ordonnance royale de 1700 frappe d'une amende de cinquante livres toute personne surprise à donner à un mendiant. Puis, une fois de plus, on applique à l'errance sans but un traitement homéopathique : l'errance finalisée. Après ou avec l'expédition militaire, l'expédition coloniale. Le 12 mai 1719, la Compagnie d'Occident est autorisée à « prendre les jeunes gens des deux sexes que l'on élève à la Pitié, à la Salpêtrière et aux Enfants Trouvés, et à les transporter dans l'Amérique française ». Déportation des valides, enfermement des inutiles.

En réalité, la politique lareynienne d'édification de la ville en un continuum administrable suppose une élimination permanente des indomiciliés, en même temps que, par la destruction de certains quartiers et le nouveau modelage de la ville, elle déracine une énorme quantité de citadins et en fait des sans feu ni lieu, des mendiants, des personnes déplacées. C'est dans la mesure où l'intervention étatique sur la ville est d'abord un désordre considérable que s'ouvre la période d'intervention permanente contre le vagabondage, que se rétrécit la définition de l'aveu, que l'identité sociale doit, pour être avouable, comporter de plus en plus d'éléments. La police, qui devient la science de l'urbain, fait l'objet d'un traité monumental en trois volumes, rédigé par l'adjoint de La Reynie, de La Mare, et publié avec un succès européen. [...]

L'Empire offre l'armée ou la prison. Un décret du 5 juillet 1808 « sur l'extirpation de la mendicité» punit les mendiants d'une peine de trois à six mois d'emprisonnement, à l'issue de laquelle ils seront conduits dans un dépôt de mendicité où on leur donnera du travail. Le code pénal de 1810 va plus loin, qui range la mendicité et le vagabondage dans son chapitre III « Crimes et délits contre la paix publique. » La résorption du vagabondage est confirmée comme une tâche et une traque continues ; le vagabondage est un délit, une infraction permanente, punissable en tout temps : « Les vagabonds, ou gens sans aveu, sont ceux qui n'ont ni domicile certain ni moyens de subsistance et qui n'exercent habituellement ni métier ni profession. » [...]

En 1810, il fallait, pour être condamné, n'avoir ni métier ni domicile ; à partir de 1908, dans les textes, mais bien avant dans la jurisprudence, il fallait que le métier et le logement soient avouables ; les projets de 1945, qui aboutiront aux textes de 1958 et 1970, font qu'on peut être vagabond en ayant un domicile certain et un métier avouable. C'est le vagabondage à domicile. Ce vagabond à domicile, le code civil lui donne un nom : « enfant en danger moral ». Le mouvement de l'intervention de l'appareil judiciaire est un mouvement constant d'extension tous azimuts : extension des faits que recouvre la notion de vagabondage, extension des modes de prise en charge et diversification (la prison, le quartier spécial, la colonie pénitentiaire, la liberté surveillée, puis, à partir de 1958, l'assistance éducative en milieu ouvert), extension du champ de la prise en charge (le mineur seul, puis le mineur et sa famille, puis le mineur, sa famille et son milieu), extension enfin de la durée de cette prise en charge : durée fixe, puis durée indéterminée jusqu'à la majorité.

Philippe Meyer


jeudi, avril 11, 2024

L’inutilité des rites


La plupart des développements indiens du Bouddhisme attachent une importance considérable à la magie. Les rites magiques et tantriques se sont également développés au Tibet. Ils sont inexistant dans le Chan pur. Les sectes japonaises du Zen ont néanmoins réintroduit de nombreux rituels.

Dans l’esprit des Eveillés, tout rituel, toute pratique magique ou tantrique nuisent à la délivrance humaine. Ils indiquent que le mental est prisonnier de fausses valeurs par l’établissement de distinctions et de préférences dans le domaine où elles sont précisément le plus interdites.

Le "satori" ou expérience du Réel se réalise d’instant en instant.

L’école Sud du Chan insiste sur son caractère soudain, inattendu, spontané.

Une préparation minutieuse élaborée par le mental crée une tension intérieure nuisant à la spontanéité de l’expérience. Une attente subtile et secrète de l’inconscient paralyse toute possibilité de surgissement.

Pour cette raison les maîtres du Zen (Chan) insistent sur le fait que l’obtention du Satori peut être réalisée en toute occasions. Le salut se trouve dans les choses ordinaires de la vie quotidienne. L’existence en général cesse d’ailleurs d’être partagée entre les choses "ordinaires" et d’autres qui seraient "extraordinaires".

L’expérience ultime peut être apportée par un événement prosaïque comme la chute d’une pierre que par la vue d’une jolie fleur ou la contemplation d’un soleil couchant. L’attitude d’approche intérieure d’un événement est beaucoup plus importante que les circonstance extérieures.

"Toute perception est une occasion de Satori", nous disent les maîtres du Zen (Chan). Mais cette occasion ne peut être saisie si l’esprit est conditionné par un rituel quel qu’il soit ou par une attente quelconque.

La position dépouillée du Zen vis-à-vis des dogmes, des rites et des Ecritures est exposée dans les "Quatre maximes" qui le définissent comme :

- Une transmission orale en dehors des Ecritures.

- Aucune dépendance à l’égard des mots et des lettres.

- Se diriger directement vers l’âme de l’homme.

- Contempler sa propre nature et réaliser l’état de Bouddha ".

Il est évident que tout rituel implique une préparation, une recherche, un entraînement, une attente engendrant une attitude de tension spirituelle.

La spontanéité et le caractère de jaillissement du "Satori" sont totalement incompatibles avec de telles attitudes intérieures au cours desquelles, loin de disparaître, les résistances du "moi" se renforcent sur le plan de l’inconscient.

Source : Robert LINSSEN, "Bouddhisme, Taoïsme et Zen".
(L’auteur précise : "Les enseignements auxquels nous nous référons se rapprochent d’avantage du Chan chinois que des formes actuelles du Zen japonais".)


Dans leur livre, "Qu’est-ce que le bouddhisme ?", Jorge Luis BORGES et Alicia JURADO rappellent que :

Le maître Te-Shan ne pria jamais, ne demanda jamais le pardon de ses fautes, ne vénéra jamais l’image du Bouddha, ne lut jamais les écritures et ne brûla jamais d’encens. De tels actes étaient, à son avis, d’inutiles formalités ; seule l’intéressait l’incessante et intense quête mystique.

Venus on ne sait d'où, écrits on ne sait quand, "Les propos du vieux Tcheng" affirment ceci :

L’esprit originel a toujours été présent sous vos yeux. Vous n’avez rien à acquérir pour le voir car rien ne vous a jamais manqué pour cela. Si vous en êtes incapables c’est à cause de votre incessante jacasserie avec vous-même et avec les autres. Vous passez votre temps à supposer, comparer, supputer, commenter, développer, expliquer, justifier et citer ce que vos petits esprits ont retenu et cru comprendre des Écritures et des paroles de vieux bavards tels que moi, de préférence celles de ceux à qui on a donné une fois morts, une telle autorité qu’elles ne sauraient plus désormais être mises en doute. Dans ces conditions comment pouvez-vous espérer voir l’esprit originel dans son instantanéité ?


mardi, avril 09, 2024

Le travail est-il une malédiction ?

Auto-construction : le B.E.L.L. (Biogenic Ecodesic Living Lighthouse) de Bordeaux Szekely, une habitation sans crédit .


"Les gens travaillent généralement trop dur pour être eux-mêmes. Le travail est une malédiction. L'homme a fait de cette malédiction une volupté. Se donner de toutes ses forces uniquement pour le travail, trouver de la joie dans un effort qui ne mène qu'à des réalisations sans intérêt, concevoir que l'on ne peut se réaliser que par un travail incessant, voilà ce qui est révoltant et inintelligible.

Le travail soutenu et incessant rend idiot, trivialise et dépersonnalise. Il déplace le centre de préoccupation et d'intérêt de la zone subjective à une zone objective des choses, sur un plan fade. L'homme ne s'intéresse pas alors à son destin personnel, à son éducation intérieure, à l'intensité de quelque phosphorescence interne et à l'accomplissement d'une présence iridiscente mais aux faits, aux choses.

Le vrai travail, qui serait une activité de transfiguration continue, est devenu une activité d'extériorisation, de sortie du centre de l'être. Il est caractéristique que, dans le monde moderne, le travail désigne une activité exclusivement extérieure. C'est pourquoi, à travers lui, l'homme ne se réalise pas, mais il réalise. Le fait que chacun doive faire carrière, entrer dans une forme de vie qui ne lui convient presque jamais, est l'expression de cette tendance à l'abêtissement par le travail. Travailler pour vivre, voilà une fatalité plus douloureuse chez l'homme que chez l'animal."

Emil Cioran


Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis des siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l'amour du travail, la passion moribonde du travail poussée jusqu'à l'épuisement des forces vitales de l'individu et de sa progéniture. Au lieu de réagir contre cette aberration mentale, les prêtres, les économistes, les moralistes, ont sacro-sanctifié le travail. Hommes aveugles et bornés, ils ont voulu être plus sages que leur Dieu ; hommes faibles et méprisables, ils ont voulu réhabiliter ce que leur Dieu avait maudit. Moi, qui ne professe d'être chrétien, économe et moral, j'en appelle de leur jugement à celui de leur Dieu ; des prédications de leur morale religieuse, économique, libre-penseuse, aux épouvantables conséquences du travail dans la société capitaliste.

Dans la société capitaliste, le travail est la cause de toute dégénérescence intellectuelle, de toute déformation organique.[...]

Si, déracinant de son cœur le vice qui la domine et avilit sa nature, la classe ouvrière se levait dans sa force terrible, non pour réclamer les Droits de l'homme, qui ne sont que les droits de l'exploitation capitaliste, non pour réclamer le Droit au travail, qui n'est que le droit à la misère, mais pour forger une loi d'airain, défendant à tout homme de travailler plus de trois heures par jour, la Terre. La vieille Terre, frémissant d'allégresse, sentirait bondir en elle un nouvel univers... Mais comment demander à un prolétariat corrompu par la morale capitaliste une résolution virile ?

Paul Lafargue


PDF gratuit : « Le Droit à la paresse » (1880)



vendredi, avril 05, 2024

L'anti-judaïsme mysticisant


"Retour du peuple juif à sa source initiale et à son centre initiatique"
Palestine 2023-2024
"Comment, écrit Paul Fenton, ce grand métaphysicien (René Guénon) tant attentif aux cycles cosmiques est-il demeuré insensible au retour du peuple juif à sa source initiale et à son centre initiatique (la Palestine) ?



L'anti-judaïsme mysticisant


Par Paul Fenton


Les Juifs constituent au gré de Guénon un peuple nomade. Or, le nomadisme dévié génère un côté maléfique et dissolvant, lequel prédomine inévitablement chez les Juifs déjudaïsés. Le discours guénonien est allé très loin dans ce sens, et nous sommes ici en présence de ce que l'on peut nommer un "anti-judaïsme mysticisant" qui a malheureusement été récupéré par des doctrines fort douteuses.

Hanté par les préjugés de l'éducation catholique de son temps, Guénon considère les Juifs comme les suppôts de la ténébreuse action anti-traditionnelle qui travaille à la dissolution et la destruction des institutions traditionnelles et à la déviation des courants mentaux « manipulés par certaines centrales d'énergie psychique relevant directement de la juridiction contre-initiatique ». Dans une note infra-paginale de son étude "Les méfaits de la psychanalyse", Guénon se demande :

"Pourquoi les principaux représentants des tendances nouvelles, comme Einstein en physique, Bergson en philosophie, Freud en psychologie et bien d'autres encore de moindre importance, sont-ils à peu près tous d'origine juive, sinon parce qu'il y a là quelque chose qui corresponde exactement au côté «maléfique» et dissolvant du nomadisme dévié lequel prédomine inévitablement chez les Juifs détachés de leur tradition (...)"

Il est à remarquer que dans sa diatribe contre l'"erreur psychanalytique", Guénon est bien plus tendre à l'égard de Jung qu'il ne le fut à l'égard de Freud qui incarne à ses yeux le "satanisme inconscient".

Dans le domaine de la philosophie contemporaine, Guénon se livre à plusieurs reprises à une critique du rationalisme moderne l'accusant d'avoir limité l'intelligence à la raison et d'avoir exclu l'intellect, instrument de la connaissance supra-rationnelle, démarche qui relève selon lui de l'action anti-traditionnelle. Il oppose l'intuition intellectuelle à l'intuition sensible de "certains philosophes contemporains" expression qui vise manifestement Henri Bergson. En effet, il réserve tout un chapitre de son "Règne de la quantité" à une dénonciation de l'intuitionnisme, qui, à son sens, accuse des affinités avec le "néo-spiritualisme" et découle de la solidification rationaliste, il se livre à une critique des "Deux sources de la morale et de la religion", où Bergson, dans son chapitre sur la « religion dynamique », avait traité du mysticisme oriental et des prophètes d'Israël. Guénon lui fait le reproche d'avoir perçu dans le "mysticisme" certains enseignements d'inspiration occultiste et théosophiste et censure ses préjugés vis-à-vis de la magie opératoire. Il en profite pour ajouter avec sarcasme : "II est bien regrettable que Bergson ait été en mauvais termes avec sa sœur Mme Mac-Gregor [...] qui aurait pu l'instruire quelque peu à cet égard". On sait que Mina Bergson (1865-1928) était une des protagonistes de la société occultiste anglaise du "Hermetic order of the Golden Dawn" (Ordre hermétique de l'Aube dorée) qui pratiquait, entre autres, la magie énochienne.

Guénon attribue un rôle subversif à plusieurs Juifs, qui incarnent à ses yeux les forces de la "contre-initiation" et qui sont curieusement presque tous, selon lui, des ex-rabbins ou des fils de rabbins. Comme "l'ex-rabbin Paul Rosen, alias Moïse Lid-Nazereth : il y a tout lieu de le considérer comme ayant été, dans l'affaire Taxil, un des agents les plus directs de la contre-initiation". Léo Taxil est le pseudonyme de Marie Joseph Antoine Gabriel Jorgand-Pagès (1854-1907) qui, tout en adoptant une interprétation "diabolisatrice" de la Maçonnerie, s'élevait contre le mythe de la "pieuvre judéo-maconnique". À la différence de ses contemporains ouvertement antijudaïques, il prit ses distances avec l'antisémitisme.

Il fut secondé par Samuel Paul Rosen (1840-1907), juif natif de Varsovie, qui vécut un temps à Constantinople où il devint franc-maçon. Après s'être rendu en France, il se convertit au catholicisme et écrivit en 1885 "Satan & Cie" qui eut "un prodigieux succès". Il y accusa la Maçonnerie de posséder une direction suprême à Berlin dont le but était de fomenter l'anarchie sociale et de détruire le catholicisme.

Au gré de Guénon, l'aventurier hongrois Ignaz (Isaac) Trebitsch-Lincoln (1875-1943) est aussi un agent de la contre-initiation. Né en Hongrie en 1875, issu d'une famille de rabbins, il passa au protestantisme en Allemagne. Ayant fait des études de théologie et résolu à convertir les Israélites au protestantisme, il devint missionnaire luthérien au Canada. Abandonnant l'Église, il se retrouve ponctuellement en Europe et en Asie, où il se convertit au bouddhisme et espionne en faveur des Japonais.

Dans sa correspondance, Guénon déplore la subversion des doctrines hindoues par l'influence intellectuelle exercée dans l'entourage de Sri Aurobindo par Mirra Alfassa (1878-1973), la Mère de l'Ashram de Pondichéry. Or, Alfassa, d'origine juive, avait été formée à l'occultisme pratique à Tlemcen par l'énigmatique Max Théon (1848 ?-1927). Ce dernier, de son vrai nom Louis Maximilien Bimstein, fut un Juif polonais et propagateur de la société occulte Hermetic Brotherhood of Luxor. Celle-ci, considérée comme suspecte par Guénon, joua un rôle essentiel dans le développement de l'occultisme en Europe.

L'accusation de contre-initiation que fait peser Guénon sur Albert Frank-Dusquesne (1896-1955) est fort intéressante en raison du profil emblématique de ce personnage. Fils d'un Juif converti au catholicisme en 1864, il descendait par sa lignée paternelle de l'apostat Jacob Frank (1726-1791), le mystique anti-talrnudique du XVIIIe siècle et, par sa grand-mère maternelle, d'Henri Heine. Doté d'un modeste savoir juif, il fut le disciple et l'ami du maître hébraïsant Paul Vulliaud. Après avoir appartenu à diverses chapelles occultistes, il rejoignit l'Église en 1940 mais continua à être tourmenté par la question juive. Dans un article paru dans Les Cahiers du symbolisme chrétien (juin-juillet 1948), Frank-Duquesne accuse Guénon d'avoir une attitude "aux antipodes de l'esprit chrétien". De son côté, Guénon riposte dans les Études Traditionnelles avec un compte rendu caustique de l'article du premier intitulé "Réflexions sur Satan en marge de la tradition judéo-chrétienne", au cours duquel il fait une mise au point à propos d'une interprétation jugée « tendancieuse » de la notion kabbalistique du sar ha- 'ôlâm "Prince du monde". Cette critique vaut à Guénon "une lettre de huit grande pages dactylographiées, qui n'est d'un bout à l'autre qu'un tissu d'injures d'une inconcevable grossièreté", Guénon rétorque longuement avec une réplique féroce dans les pages des Études Traditionnelles où il déclare, notamment :

"A part la grossièreté du langage qui lui est bien personnelle, les propos de ce soi-disant apôtre de la "charité chrétienne ", qu'il affecte de vanter à tout instant, rappellent à la fois les disputes hurlantes de la synagogue (il n'est pas fils de rabbin pour rien) et les querelles venimeuses des prêcheurs de « fraternité universelle » qu'on rencontre dans les milieux néo-spiritualistes."

C'est surtout dans ses comptes rendus, pour le moins complaisants, de certains livres d'un antisémitisme de la pire espèce qu'effleure chez Guénon une tendance anti-judaïque. C'est notamment le cas de ses recensions des ouvrages de l'essayiste polonais Emmanuel Malynski (m. 1938) et de son ami le journaliste catholique Léon de Poncins (1897- 1976). Ce dernier, pamphlétaire antisémite et antimaçonnique notoire, connut un certain succès dans les années 1930 en raison de ses théories conspirationnistes qui expliqueraient la plupart des grands bouleversements politiques et révolutionnaires par un complot judéo-maçonnique.

Ils signèrent conjointement le tristement célèbre "La Guerre occulte,- Juifs et francs-maçons à la conquête du monde" (1936) qui dès sa parution, fut traduit en italien par Julius Evola. Si dans le compte rendu qu'il en fait, Guénon cherche à nuancer le rôle exagéré attribué aux Juifs dans la domination du monde, il n'est pas en désaccord avec les auteurs sur l'analyse du fond :

"Les auteurs, qui dénoncent avec raison des erreurs communes comme celle qui consiste à croire que les révolutions sont des "mouvements spontanés", sont de ceux qui pensent que la déviation moderne, dont ils étudient plus spécialement les étapes au cours du XIXe siècle, doit nécessairement répondre à un "plan" bien arrêté, et conscient tout au moins chez ceux qui dirigent cette "guerre occulte" contre tout ce qui présente un caractère traditionnel, intellectuellement ou socialement. Seulement quand il s'agit de rechercher des "responsabilités", nous avons bien des réserves à faire ; la chose n'est d'ailleurs pas si simple ni si facile, il faut bien le reconnaître, puisque, par définition même, ce dont il s'agit ne se montre pas au dehors, et que les pseudo dirigeants apparents n'en sont que des instruments plus ou moins inconscients. En tout cas, il y a ici une tendance à exagérer considérablement le rôle attribué aux Juifs, jusqu'à supposer que ce sont eux seuls qui en définitive mènent le monde, et sans faire à leur sujet certaines distinctions nécessaires ; comment ne s'aperçoit-on pas, par exemple. que ceux qui prennent une part active à certains événements ne sont que des Juifs entièrement détachés de leur propre tradition, et qui, comme il arrive toujours en pareil cas, n'ont guère gardé que les défauts de leur race et les mauvais côtés de sa mentalité particulière ?"

La même position sous-tend sa recension de "La Mystérieuse Internationale juive" (1936) de Léon de Poncins, dans laquelle Guénon écrit : 

"Il y a assurément beaucoup de vrai dans ce qui y est exposé au sujet de deux «Internationales », l'une révolutionnaire et l'autre financière, qui sont sans doute beaucoup moins opposées réellement que ne pourrait le croire l'observateur superficiel [...] Il y aurait du reste, pensons-nous, une étude bien curieuse à faire sur les raisons pour lesquelles le Juif, quand il est infidèle à sa tradition, devient plus facilement qu'un autre l'instrument des "influences" qui président à la déviation moderne ; ce serait là, en quelque sorte, l'envers de la « mission des Juifs », et cela pourrait être mené assez loin."

Non seulement Guénon cautionne ce livre dans cette recension, mais, pis encore, il le cite plus d'une fois comme une référence lorsqu'il traite du péril de la conspiration révolutionnaire mondiale des Juifs.

Parmi les proches collaborateurs de Guénon figure Julius Evola (1898-1974), considéré par d'aucuns comme le co-fondateur du traditionalisme mais aussi un des théoriciens du racisme fasciste. Sur les questions que nous venons de soulever, ils sont sur la même longueur d'onde puisqu'Evola traduit en italien le livre de Malynski et de Poncins, "La Guerre occulte", dès sa parution. En outre, dans une étude consacrée aux rapports entre le judaïsme et la maçonnerie publiée sous le pseudonyme de Gherardo Maffei, Evola affirme que "l'échec des Juifs dans la réalisation des valeurs de la sacralité et de la spiritualité aboutit à une volonté de renversement de toutes les valeurs". Dans sa recension de l'article en question, Guénon approuve la théorie du prétendu rôle insidieux des Juifs dans la "contre-initiation" avancée par son collègue traditionaliste italien.

Au sujet du mouvement anti-traditionnel le métaphysicien français estime que :

"Dans l'Occident, nous comprenons aussi le judaïsme, qui n'a jamais exercé d'influence que de ce côté, et dont l'action n'a même peut-être pas été tout à fait étrangère à la formation de la mentalité moderne en général ; et, précisément, le rôle prépondérant joué dans le bolchévisme par les éléments israélites est pour les Orientaux, et surtout pour les Musulmans, un grave motif de se méfier et de se tenir à l'écart ; nous ne parlons pas de quelques agitateurs du type "jeune-turc", qui sont foncièrement antimusulmans, souvent aussi israélites d'origine, et qui n'ont pas la moindre autorité." [...]

(...) les Études Traditionnelles de janvier 1938 contient son compte rendu dithyrambique de la récente réédition italienne des Protocoles des Sages de Sion préfacée par Julius Evola qui affirme que :

"L'action subversive des Juifs se ressent dans les courants intellectuels, idéologiques et artistiques modernes". 

Guénon félicite le théoricien italien d'avoir essayé :  "de mettre un peu d'ordre dans les interminables discussions auxquelles ce "texte" a donné et donne encore lieu, en distinguant deux questions différentes et qui ne sont pas nécessaires et solidaires, celle de 1'"authenticité" et celle de la "Véridicité", dont la seconde serait selon lui (i.e. Evola), "la plus importante en réalité". Or, selon l'analyse d'Evola, "ce qui constitue l'élément de "Véridicité", c'est l'affirmation que toute l'orientation du monde moderne répond à un "plan" établi et imposé par quelque organisation mystérieuse, à quoi notre critique ajoute sur un ton approbateur : 

"À vrai dire, il n'était aucunement nécessaire d'être prophète pour s'apercevoir de ces choses à l'époque où les Protocoles furent rédigés, probablement en 1901 [...]. Alors déjà, bien qu'elles fussent moins apparentes qu'aujourd'hui, une observation quelque peu efficace y suffisait."

Enfin, l'appréhension à l'égard des Juifs frise parfois chez Guénon la paranoïa, comme en témoigne cette confidence faite à son ami brésilien F. G. Galvao

"À propos de portraits. il y a autre chose encore : je veux parler d'un véritable danger au cas où ils viendraient à tomber entre les mains de gens mal intentionnés ; ici même, il y a je ne sais combien de gens (des Européens et des Juifs) qui ont vainement cherché par tous les moyens à se procurer des photographies de moi : que voulaient-ils bien en faire ?" 

Il est regrettable que ces préjugés désuets qui devraient appartenir à une époque révolue continuent à nourrir la verve antisémite de nombreux blogs "guénolâtres" qui se réclament du Maître.

Source : Paul Fenton, "Guénon et le judaïsme" (PDF gratuit)



Réponse à Paul Fenton


En 2015, les éditions du Cerf ont publié, sous la direction de M. Philippe Faure, un recueil de dix-neuf études sous le titre "René Guénon, l’appel de la sagesse primordiale". Parmi ces textes, celui de M. Paul B. Fenton, intitulé « René Guénon et le judaïsme », a retenu notre attention. C’était la première fois que l’on abordait l’œuvre de Guénon dans ses rapports avec la tradition hébraïque. Dans son « Introduction », M. Faure s’appuie sur le travail de M. Fenton pour prétendre que Guénon aurait été victime des « préjugés de son temps », et qu’il aurait manifesté « un antijudaïsme » (p. 11). Cette lourde affirmation et cette très grave accusation portent en elles de si préjudiciables implications qu’il était nécessaire d’examiner le texte qui en est à l’origine.


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BONUS


PDF gratuit : "Synthèse de doctrine de la race"



lundi, avril 01, 2024

Le CERN, la compression du temps et des visiteurs venant d'autres dimensions




"Depuis 2020, j'ai l'impression d'avoir besoin de 36 heures par jour, 24 j'arrive pas, c'est trop court ! J'ai tendance à penser qu'il se passe quelque chose avec le temps... mais j'en sais rien. Peu de choses à ce sujet." (Shen-D sur X)


Dr Astrid Stuckelberger :

"En fait, le CERN s'occupe de recherche radio-nucléaire, mais c'est plus que cela, car il y a beaucoup de physiciens, et j'en ai connu certains. Ils font des expériences très étranges. Des êtres provenant de portails entrent et sortent. Ce sont des physiciens du CERN qui me l'ont dit."

"Ils ont témoigné qu'ils entraient et sortaient des portails ?"

"Oui. Ils ont apparemment au fond du CERN euh ce portail, cette porte où ils traitent avec toutes les dimensions subatomiques. Ils disent qu'il y a 17 dimensions différentes de la réalité. C'est ce que disent ces physiciens. D'autres disent qu'il y a plus de dimensions. Et maintenant, quand vous regardez ce qui se passe au CERN. Il y a une lutte de la part de certaines agences de renseignements militaires qui disent qu'il y a une lutte contre le Temps. Ils essaient de changer le temps."



Source : Didier sur X

Commentaire :

"Ce que dit Astrid est vrai. Ils ont découvert plusieurs dimensions. Dans chacune, il y a des entités. La plupart des êtres sont neutres voire bienveillants. Mais une partie est négative. Ils jouent avec le feu... " (Laure Gonlézamarres)


Note :

La chronique de Christian Combaz du 1/04/2024 fait allusion aux mystères du CERN :  Campagnol tvl, à partir de 28:00.


Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...