La
mondialisation des économies, toutes interdépendantes les unes des
autres, la suppression imposée des frontières pour favoriser la
mobilité des capitaux et ainsi les trafics de la haute finance
internationale, entraînent des conséquences incalculables.
C'est
le cas des délocalisations, qui aggravent le chômage et détruisent
des pans entiers du savoir faire national.
Aujourd'hui
la finance mondiale ressemble à un bateau où, sous prétexte
d'alléger la structure et favoriser la libre circulation, on aurait
supprimé les cloisons étanches conçues pour éviter que le navire
soit envahi par l'eau d'une brèche et coule.
On
en a vu les conséquences avec les monumentales escroqueries de Enron
et World Cam., celle de Vivendi de la paire
Messier-Bronfmann, celles des manipulations de Georges Soros…
Celles
des "edgesfunds" et des "subprimes"
jusqu'au krach de l'automne 2008, comme nous verrons plus loin.
Ces
placements bancaires à très hauts risques, fragilisent les marchés
mondiaux et ruinent des centaines de milliers de petits épargnants,
sans que les banquiers aient à rendre gorge.
C'est
cette finance artificielle, sans cloisons de protection, qui fait
s'écrouler les bourses mondiales.
On
juge de la mentalité mondialiste de ces financiers, par la
déclaration d'un J-M.Messier, qui proclamait : "La
spécificité culturelle française est morte". Il avait
été responsable des 50% de pertes de Vivendi Universal, 13
milliards d'euros en 2001. Plus une dette de 34 milliards ! Cela ne
l'a pas empêché de bénéficier d'un très luxueux appartement à
New York payé par les Bronfman et d'obtenir 10 millions d'euros
d'indemnités et des garanties contre toutes poursuites que
pourraient lui intenter ceux qu'il a ruinés. Effectivement en
février 2010 le Tribunal fédéral de New-York l'a acquitté alors
que la firme était condamnée... !
Tel
est l'homme de paille, intouchable, des Bronfman qui ont mis à
profit la chute du titre pour les racheter à bon compte.
Rappelons
que la tribu Bronfrnann qui avait fait fortune avec la contrebande
d'alcool du temps de la prohibition dicte aujourd'hui sa loi par
l'intermédiaire du Congrès juif mondial dont l'héritier
Edgar, est le président et les Suisses l'ont appris à leur
dépend...
Les
conséquences de ce capitalisme apatride sont telles que Jean-Claude
Trichet, président de la Banque centrale européenne, dénonçait
le 11 septembre 2007 devant la Commission des Affaires économiques
et monétaires du Parlement européen :
"Le
degré de complexité de certains produits (financiers) conçus
dans le but de vendre des instruments de dette", "le
formidable accroissement de la sophistication des instruments
financiers" et "le rôle trouble des grandes agences
de notation" !
C'est
là dénoncer le rôle des grandes firmes Goldman-Sachs, Lehman
Brothers, entre autres, qui font monter et descendre les cours
selon les intérêts de la Haute finance cosmopolite... ! À force
de jouer, ce système financier s'est effondré à l'automne 2008,
victime de montages artificiels frauduleux, par recherche de profits
toujours plus grand. Et avec, toutes les économies mondialisées.
Révélateur
de la main mise financière juive sur l'économie, mondiale, George
W. Bush a imposé le "néo cons" Robert Zoellick de
la banque Goldmann Sachs , en remplacement son coreligionnaire
Paul Wolfowitz, destitué pour concussion, à la tête de la Banque
mondiale.
Ainsi
avec la nomination de Dominique Strauss-Kahn, au Fond monétaire
international - salaire un demi million de $ par an - avec
l'appui de Bush et Sarkozy, et de Ben Bemake à la tête de la
Federal Reserve, la finance mondiale est entre les mains du
clan cosmopolite.
La
nomination de la mondialiste Christine Lagarde en remplacement de
Strauss-Kahn, n'y changera rien. (Christine Lagarde présidait le
Comité de stratégie mondiale et partageait avec Zbiniew
Brzezinski, la présidence de la Commission Action USA-Union
européenne.) [...]
A
la fin de l'été 2008 allait éclater le formidable krach boursier
qui devait ravager les économies mondiales du fait de leurs
interconnexions, conséquence du mondialisme qui a supprimé les
frontières physiques et financières. […]
Des
économistes accusent Alan Greenspan ancien patron de la Federal
Reserve, d'avoir favorisé la crise par sa politique
de taux très bas, puis par ses appréciations pessimistes. Or la
Fed, organisme privé aux mains des grandes familles
banquières, qui émet la monnaie américaine, a pour mission de
superviser le système financier américain.
Ainsi
le krach boursier relève de sa responsabilité et il est étrange
que les grands financiers juifs qui la dirigent, ne l'aient pas
prévue. Ou alors, c'est qu'ils l'ont voulue !
La
sanction aurait dû en être la prise en garantie des fortunes
colossales de ses membres, acquises par l'effet de délits d'initiés,
puisque ce sont eux qui régulent les cours !
Par
un effet de dominos, la crise s'est aggravée, les placements pourris
contaminant l'ensemble des établissements bancaires mondiaux au
travers des prêts mutuels et ainsi, c'est toute la finance mondiale
qui s'est effondrée, infestée par la peste américaine.
En
cela, la crise actuelle apparaît beaucoup plus grave que celle de
1929, du fait de la mondialisation.
Il
faut relever le rôle délétère de deux facteurs aggravants :
-
Les agences de notation Baker & Mac Kenzie, Goldmann-Sachs,
Lehmann Brothers, J.P. Morgan, Morgan Stanley, Moody's, Standard &
Poor's, induisent les cours par leurs analyses biaisées, sans que
cela corresponde à une réalité financière tangible.
-
Les bilans "trop optimistes", voire faux, des
entreprises pour faire monter leur cotation et ainsi pouvoir servir
de copieux dividendes à leurs actionnaires, ce qui, à son tour, les
fait rechercher par les investisseurs, nouveau facteur de hausse
artificielle.
Cela
marche tant que le pot aux roses n'est pas découvert.
Depuis
que le 15 août 1971, Richard Nixon a supprimé l'"étalon
or", tout est virtuel, fonction de la valeur attribuée par
les agences de notations et par la "régulation" de
la Fed... Ainsi, ou bien elles se sont trompées dans leurs
calculs de risques ou bien certains ont misé sur la catastrophe pour
jouer à la baisse et imposer une gouvernance mondiale sous prétexte
de remettre de l'ordre.
Déjà,
en 2003, le sénateur du Texas, Ron Paul, ancien candidat à la
Présidence, avait accusé la Federal reserve de "préparer
la crise de l'immobilier devant entraîner une crise financière
mondiale majeure". À l'appui de cette accusation, le
"néoconservateur" Michael Leeden en 2003, prônait
"le chaos et l'anarchie pour imposer le Nouvel Ordre Mondial"
! Elle rejoignait celle de Paul Warburg devant le Sénat
américain le 17 février 1950 :
"Nous
aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non.
"La
seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par
consentement".
Aussi,
ce n'est pas par hasard, si profitant de cette crise, Nicolas Sarkozy
et son coreligionnaire Jacques Attali, agents du mondialisme
cosmopolite, prônent une "gouvernance mondiale''.
C'était
déjà ce que Sarkozy demandait à Bernard Kouchner dans sa lettre du
27 août 2007 :
"C'est
en définitive vers un ministère de la Mondialisation que nous vous
demandons de faire évoluer notre outil diplomatique" et
dans son discours à l'Assemblée générale de l'ONU en octobre
2007, Sarkozy confirmait le but :
"Au
nom de la France, j'appelle tous les États à se réunir pour fonder
un Nouvel ordre mondial du XXIème siècle" !
Le
25 septembre 2008, à Toulon, Nicolas Sarkozy allait réclamer à
nouveau une "direction mondiale", le chaos financier
étant le prétexte pour remettre de l'ordre, leur ordre. Il y a là,
comme avec les "crimes d'Etat" pour imposer les
guerres du mondialisme, une volonté de faire accepter aux peuples
une politique liberticide, la dictature mondiale.
L'utilisation
de l'arme économique n'a rien de nouveau. La famine organisée par
la rétention et la spéculation sur les biens de consommation avait
déjà permis aux conjurés de la l'Avant Révolution de faire
monter la colère populaire contre Louis XVI.
Aujourd'hui,
en ruinant les classes moyennes, les seules encore indépendantes
financièrement, elle vise à imposer une direction mondiale.
Certains
négateurs de l'action maçonnique et cosmopolite diront encore :
"Toujours
cette obsession du complot" ... !
Or
cette "direction mondiale" invoquée pour parer au
chaos financier, évoque la devise maçonnique "Ordo ab
chaos" et celle, Novus Ordo Seculorum entourant une
pyramide tronquée, symbole maçonnique, sur le billet de 1 $.
Ainsi,
en voulant imposer une "gouvernance mondiale" les
«néo-cons» américains et les Sarkozy, Attali, Mine,
Kouchner, poursuivent le vieux rêve messianique juif de la
République universelle.
Lorsque
Sarkozy le 25 septembre à Toulon osait promettre "la
garantie de l'État en cas de faillite bancaire" et "qu'il
n'acceptera pas que les dépôts en banque perdent un euro" à
qui fera-t-il croire cela, à part aux éternels naïfs ? N'ont-ils
pas déjà perdu 40% de leurs avoirs depuis le début de ce krach,
sans qu'il renfloue leurs comptes ? Avec quel argent pourrait-il le
faire alors que l'État n'en a plus et n'est pas près de rétablir
ses finances avec le train de vie fastueux et ostentatoire que lui
impose ce même Sarkozy ? Jusqu'à quand celui qui proclamait : "Je
ne vous mentirai pas, je ne vous trahirai pas, je ne vous tromperai
pas", fera-t-il illusion ?
Sa
proposition de transposer le plan Bush-Paulson de 700 milliards de
dollars pour le sauvetage des banques en Europe, a été rejeté par
l'Allemagne qui tire son épingle du jeu avec un chômage au plus bas
et l'augmentation de sa balance commerciale alors que la France de
Sarkozy plonge. Comme le disait récemment un journaliste sur
France-Inter, "L'agitation frénétique de Sarkozy est
dangereuse car elle laisse entendre qu'il sait des choses sur la
gravité de notre économie ce qui risque de déclencher la panique".
N'est pas ce qu'il veut à l'instar du "néo-cons"
Michael Leeden ?
Remarquons
que dans le même temps on tente d'expliquer la faillite financière
de l'Irlande par son "refus de voter pour l'Europe",
comme si les pays communautaires n'en avaient pas souffert !
Ce
que l'on se garde bien de dire c'est que l'Irlande a assaini son
système financier par ses fonds propres sans rien demander à
personne, au point que les investisseurs anglais se positionnent sur
les banques irlandaises. Voilà ce qui dérange les mondialistes.
D'où leurs mises en garde contre les pays qui voudraient régler
tous seuls l'impact de la crise sur leurs finances, qualifiées de
"nationalistes rétrogrades"...
Tout
dans cette affaire de krach financier sent la manipulation médiatique
et il faut y prendre garde.
Sans
la mondialisation des économies, le monde entier n'attraperait pas
la peste américaine et l'Irlande, en tant que nation indépendante
aurait, sans la trahison de son premier ministre, Brian Cowen,
démontré qu'elle pouvait se passer de la finance mondiale.
Avec
la réduction des droits civiques depuis les "crimes d'État",
de l"'opération Gladio" à ceux du 11
septembre, de Madrid, de Londres, etc .. ., et le fichage des
citoyens, le krach boursier apparaît aujourd'hui comme un nouveau
prétexte pour imposer la dictature mondiale.
Ceci
dit, les meilleurs plans peuvent s'enrayer. Une fois que les choses
sont lancées, on ne sait jamais où cela aboutit. C'est le cas des
révolutions. Ce ne sont pas les initiateurs qui en profitent en
général. Lors de la Révolution dite française, les girondins
furent éliminés par les montagnards, les Jacobins. Lors de la
révolution russe de 1917, les mencheviks le furent par les
bolcheviks, etc … C'est
l'éternelle duperie des libéraux qui ouvrent la
"boîte de Pandore".
Le
plan Bush de 700 milliards de $ pour éponger les dettes des
banques, puis celui d'Obama, ont provoqué l'opposition du Congrès,
car c'est l'État, donc le contribuable, qui devra payer.
Ainsi
ces plans de sauvetage, aboutissent à faire payer par les citoyens,
le renflouement des banques qui les ont ruinés !
Ancien
dirigeant de la Goldman-Sachs, le ministre des finances
américaines, Paulson, annonçait le 8 octobre 2008 de nouvelles
faillites de banques, entraînant l'effondrement des marchés.
Il
y a là, comme une volonté d'engendrer la panique des épargnants,
de provoquer le chaos boursier, comme le prônait le "neocons"
Michael Leeden, pour imposer un "nouvel ordre mondial".
Telle
est l'hypocrisie et le mépris du peuple d'un Bush, d'un Obama, comme
d'un Sarkozy aux ordres de la Haute finance et du messianisme
mondialiste cosmopolite.
Si
avec l'affaire du Caucase (agression
géorgienne contre l'Ossétie du Sud plus ou moins orchestrée
par la CIA) et le krach financier mondial, le mondialisme a cru
pourvoir utiliser ces deux crises pour progresser, c'est l'inverse
qui se produit en révélant aux populations les effets délétères
du mondialisme.
L'échec
de la campagne mondiale de vaccination contre la grippe HlNl, est un
signe évident de la méfiance des citoyens.
J'ai
souvent affirmé que le propre des faux principes est de porter en
eux les germes de leur autodestruction.
Ce
que nous vivons aujourd'hui pourrait bien y aboutir et nous devons y
aider, car les portes ouvertes par le mondialisme doivent être
refermées pour circonscrire cette peste.
Au
lieu de mondialiser toujours plus, il faut rétablir les frontières
physiques et monétaires nationales qui préservaient de la
contamination de ces catastrophes.
Nous
devons pousser au réflexe de défense nationaliste, sur le plan
politique comme sur le plan financier. C'est d'ailleurs la grande
crainte des mondialistes, dans certains commentaires, prétendant se
moquer de cette tentation de défense nationaliste qualifiée de
"ringarde". Or, si le nationalisme a émergé du
fait de la politique internationaliste de la Révolution dite
française et de la démission
de
la monarchie, c'était déjà parce que les prémices de cette
dictature mondialiste perçaient sous l'idéologie révolutionnaire.
Si
"ringards" il y a, ce sont bien les héritiers de ce
"système" de spéculation financière, instauré
depuis la fin du XVIIIème siècle par la finance cosmopolite et les
lobbies, comme moyen de domination mondiale. Pour la survie des
peuples et des nations, il doit être détruit.