Alain
Soral n'hésite pas à boxer le polémiste raciste Daniel Conversano qui envisage de recourir à la violence armée
contre les immigrés.
Soral dit à qui veut l'entendre qu'il est « judéophobe,
antisioniste, mais pas antisémite ». Et, contrairement aux racistes comme Conversano, il a lu le livre de Julius Evola « Le Mythe du Sang » :
Racisme
et antisémitisme
Extrait du "Mythe du Sang"
Extrait du "Mythe du Sang"
"Nous
avons été confrontés souvent à des idées antisémites. Ces
idées, dans les formes contemporaines du racisme, ont pris un
caractère toujours plus précis, donnant même lieu à un équivoque
: selon certains, le racisme et l'antisémitisme ne feraient qu'un,
et il suffirait donc de n'être ni juif ni de couleur pour appartenir
à la race « aryenne ». Bien que des formes peu réfléchies de
racisme aient entretenu pareille confusion, il faut soutenir que
l'antisémitisme, et en particulier l'antijudaïsme, sont des aspects
subordonnés à la théorie de la race : ils tirent d'elle leurs
principes, mais ne s'identifient certainement pas à elle.
Nous
nous proposons ici d'éclaircir les points de vue principaux de la
question hébraïque et de la polémique qui lui est relative. Nous
nous rapporterons aux opinions de certains antisémites étrangers
mais nous ferons valoir les points de vue de l'antijudaïsme italien,
surtout du courant de Giovanni Preziosi et de sa revue La Vita
italiana, puisque de tels points de vue offrent souvent un caractère
complet.
Les
Juifs ne constituent pas une race
Faisons
d'abord allusion à la question juive d'un point de vue ethnique et à
proprement parler racial. Selon le racisme, les Juifs ne constituent
pas une race au sens propre, mais un peuple de métis (Fritsch,
Günther). Les Sémites auxquels les Juifs appartiennent sont
considérés déjà par Gobineau comme des métis dérivés d'un
croisement entre la race blanche et la race noire. On tend à y voir
un mélange entre la race désertique (ou orientaloïde) et la race
levantine (ou arménoïde) : dans le cas précis des Juifs, ce
mélange serait compliqué d'autres composants raciaux, variables
selon les lignées, de race soit ancienne, soit encore existante
(race méditerranéenne et race alpine). Du reste, déjà la Bible
parlait des sept peuples qui auraient contribué à la formation du
sang et de la « semence » juive, en mettant de coté les influences
chamitiques (égyptiennes) et philistines... A l'époque de la
Diaspora (dispersion) et du dernier prophétisme, d'autres éléments
résiduels de la décadence ethnique et spirituelle méditerranéenne
se coagulèrent au judaïsme.
Le
Juif a été fabriqué par ses livres et ses rites
Si
Israël n'est pas une race mais un mélange de races, on se demandera
à quoi il doit son indiscutable unité, comment il a tiré d'un
pareil mélange un type clairement reconnaissable, lequel a eu la
force de résister à travers les siècles aux conditions les plus
défavorables, et chez qui la solidarité et la fidélité au sang
sont tellement vives, que le peuple juif se présente comme l'un des
peuples les plus racistes de l'histoire.
La
raison d'une telle unité ne doit pas être cherchée dans la race au
sens strict, mais dans la force formatrice exercée par une idée et
une tradition. C'est un Juif, James Darmesteter, qui a écrit « Le
Juif a été formé, pour ne pas dire fabriqué, par ses livres et
ses rites. Comme Adam est issu de Jéhovah, il est issu des mains de
ses rabbins ».
C'est
la Loi, la Torah, qui a créé le type juif et l'unité juive : cette
loi pour les Juifs se substitue à la patrie, à la terre, à la
nation, au sang lui-même ; cette loi a survécu à un mélange
racial originel, chaotique et détritique, lui a imposé une forme, a
élaboré les instincts
et les attitudes d'un type spécial, qui à travers les siècles,
allait devenir héréditaire.
Il
a été dit, à travers les siècles, comment les antisémites ont
relevé l'erreur de ceux qui croient qu'après l'Ancien Testament et
à l'arrivée du christianisme, l'influence de la loi juive ait été,
pour ainsi dire, neutralisée et presque arrêtée. C'est l'opposé
qui est vrai. L'ancienne loi, la Torah, déjà complétée par la
Misnah (répétition, la loi répétée), c'est-à-dire
par une tradition diverse, d'abord orale puis, vers le 3ème siècle,
fixée par écrit, a trouvé son développement dans la littérature
rabbinique recueillie dans le Gemara, qui signifie l'accomplissement
et qu'on appelle communément le Talmud, et aussi dans les
développements propres à la Kabbale et les formulations du
Schulchan Arukh. Tout ceci doit être compris comme un tout, et comme
une continuité parfaite à travers
les siècles, avant et après le christianisme, jusqu'à nos jours.
En outre, les formulations postchrétiennes, talmudiques, de la loi
juive, sont celles qui ont le plus renforcé et caractérisé la
façon d'être et l'instinct juif, surtout dans leurs rapports avec
les non-Juifs.
Action
anti-traditionelle
Le
front aryen et raciste considère le judaïsme comme une force
destructrice pour toute race ou culture. Examinons les éléments qui
justifient cette idée et, plus précisément, les voies par
lesquelles se manifestent les caractères effectivement destructeurs
du judaïsme. Le point de vue prédominant dans l'antisémitisme est
que, de même que la force germinative d'une graine ne se développe
que quand elle se casse et agit alors sur la matière environnante,
ainsi le judaïsme n'aurait commencé à avoir une influence délétère
qu'avec la crise de l'ancienne tradition nationale juive, avec
l'écroulement politique et la dispersion de par le monde du peuple
élu.
Comme
premier élément, on doit considérer les influences que devraient
exercer les éléments ethniques chaotiques et impurs déjà tirés
de la loi, au moment où ils se délient et passent à l'état libre.
Guénon
a relevé justement que les rapports entre le Juif et sa tradition
diffèrent de ceux observés dans les autres races. Pour le non-Juif
qui se détache de sa tradition comme loi religieuse, il existe
encore d'autres formes de soutiens : la terre, le sang et la patrie.
Mais dans le Judaïsme, la loi tient lieu de tout cela à la fois. Au
point que si les Juifs s'en délient, elle devient automatiquement un
facteur de dissolution. C'est ainsi que, eux-mêmes sans race, les
Juifs deviennent alors l'anti-race ; eux-mêmes sans nation, ils
deviennent l'anti-nation. Mommsen écrivait : « Déjà dans le monde
antique, le judaïsme fut un ferment de cosmopolitisme et de
décomposition nationale ». Substance insaisissable, fuyante et sans
patrie à l'intérieur de toute patrie, Wolf
voit dans l'élément hébraïque le principe même de l'anti-race,
de l'anti-tradition, de l'anticulture : non pas l'antithèse d'une
culture particulière, mais l'antithèse de toute culture racialement
et nationalement déterminée. Dans le composé juif, la part
désertique ou orientaloïde renforce cette influence : par leur
esprit nomade, apatride, les Juifs auraient injecté dans différents
peuples – en commençant par les Romains – le virus de
l'anti-nationalisme, de l'universalisme, de l'internationalisme
culturel. Ils exercent une action incessante de corrosion contre tout
ce qui est différencié, qualitatif, lié au sang et à la tradition
: ceci aboutit, en politique, à l'idéologie maçonnique,
judaïsante, avec pour corollaire les mythes humanitaires sociaux et
internationalistes.
La
dégradation de toute valeur supérieure
Second
élément, les influences destructrices du judaïsme tiennent aussi à
la part qu'occupe en Israël la race de l'homme levantin et la
psychologie décrite par Günther et surtout par Clauss, qui en fait
« l'homme de la rédemption ». Cet homme est caractérisé par le
dualisme du corps et de l'esprit. Le corps n'est plus que
l'expression instrumentalisée
de l'esprit, mais entendu comme « chair », comme une matière
coupable dont il faut se racheter. Cet élan confus vers la «
rédemption » peut échouer : alors l'homme, retombant, se noie dans
la matière, il en jouit et se saoule, comme pour oublier sa nature,
et ensuite il tend à contaminer tout ce vers quoi il tendait, toutes
ces valeurs supérieures qu'il n'a pu rejoindre. Il jouit de toutes
les crises où il voit se refléter sa propre crise intérieure. Il
prend plaisir partout où s'exprime l'omnipotence de cette
matérialité crasse et oblique dans laquelle il est retombé. Il
s'en sert comme d'un alibi, comme d'une justification. C'est ainsi
que l'élément hébraïque, comme nous le verrons d'un peu plus
près, s'est toujours manifesté à travers une action, consciente ou
inconsciente, de contamination et de dégradation de toute valeur
supérieure.
Tu
dévoreras tous les peuples que Yahvé ton Dieu te livrera
On
doit considérer, comme troisième point, l'efficience particulière
qu'ont eue les causes fondamentales de cette loi sur la formation des
instincts et des comportements de base, aboutissant à la forme
séculaire, matérialiste et mécanique d'agir de ces instincts chez
les Juifs persécutés de la Diaspora. Comme on le sait, le thème
central de l'ancienne
loi est qu'Israël est le « peuple élu », destiné
à dominer tous les hommes, toutes les terres et les richesses du
monde, de telle sorte que tous les royaumes devront lui obéir. Ce
sont les thèmes du mosaïsme : « Yahvé te mettra à la tête, et
non à la queue; tu seras toujours en haut et tu ne seras jamais en
bas » (Deutéronome, 28, 13). « Tu dévoreras tous les peuples que
Yahvé ton Dieu te livrera; ton œil sera sans pitié pour eux, et tu
ne servira point leurs dieux » (Deutéronome, 7, 16). Ce sont aussi
des thèmes de la littérature prophétique : « Et le règne, la
domination et la grandeur des royaumes qui sont sous tous les cieux
seront donnés au peuple des saints du Très Haut : son règne est un
règne éternel, et toutes les puissances le serviront et lui
obéiront » (Daniel, 7, 27). « Les fils de l'étranger rebâtiront
tes murailles, et leurs rois seront tes serviteurs » (Isaïe, 60,
10). « Mais vous, on vous appellera prêtres de Yahvé ; on vous
nommera 'ministres de notre Dieu'; vous mangerez les richesses des
nations, et vous vous parerez de leur magnificence » (Isaïe, 61,
6).
Qu'on
pense aux sentiments que devait fatalement inspirer à Israël cette
certitude de la domination universelle au moment où il cessa
d'exister comme puissance politique. Qu'on pense à ce peuple qui
continua, après le triomphe du christianisme, à se sentir « élu
», et fut identifié au dernier des peuples, à une lignée maudite
et déicide digne de toutes les persécutions, condamnée à la
servitude, par une juste punition. Le potentiel généré par cette
idée de la loi devait fatalement se traduire par une haine profonde
et sans limite pour tous les non-juifs et se concrétiser par une
pratique pour ainsi dire, serpentine. C'est ce que montre le
développement ultérieur, talmudique, de l'ancienne loi.
Voici
quelques passages talmudiques, rappelés à juste titre par les
Preziosi et De Vries de Heekelingen :
«
Que signifie Har Sinaï ? Il s'agit du mont à partir duquel a
irradié Sina, c'est-à-dire la haine contre les peuples du monde ».
«
Vous, Juifs, vous êtes appelés hommes, alors que les nations du
monde ne méritent pas le nom d'hommes, mais de bestiaux ». « La
semence d'un goy (non-Juif) est comme la semence d'un animal. »
«
Le meilleur parmi les goyim, tu dois le tuer ».
«
Fais-le mourir en lui serrant les mâchoires pour qu'il ne crie pas
».
« Qu'est-ce
qu'une prostituée ? Toute femme qui n'est pas juive. » Et ainsi de
suite.
Les
expressions contenues dans une prière, que tout Juif orthodoxe
devait réciter journellement, dans le Shemoné Esré, sont : « Que
les apostats perdent tout espoir, que les Nazaréens et les chrétiens
périssent sous les coups, qu'ils soient rayés du livre de la vie et
ne soient pas comptés parmi les justes ».
A
l'époque moderne, la justification religieuse de ces sentiments est
moins claire, bien que l'efficience en ait survécu en termes
d'instinct, d'aptitude innée. Et on peut en dire autant aujourd'hui,
de la conviction originelle selon laquelle entre Israël et les
autres peuples il n'existe rien de commun. D'où l'absurdité de
vouloir adopter les mêmes critères de conduite avec les Juifs et
les Gentils, ces derniers étant des êtres inférieurs qui n'ont
droit qu'à être exploités comme du bétail. Les préceptes
talmudiques sont clairs : ils établissent deux morales, l'une qui
s'applique au prochain, c'est-à-dire aux Juifs, et l'autre qui sert
dans les rapports avec les goyim, les non-Juifs ; Et toute action
délictueuse ou indigne selon la première morale cesse de l'être
pour la seconde. C'est ainsi que le Talmud et le Schulchan Arukh
autorisent à voler le non-Juif ; du prêt usuraire ils font non
seulement un droit, mais presque un devoir ; ils prescrivent de ne
pas témoigner ou de faire un faux témoignage lors d'un procès
opposant un Juif et un non-Juif; ils considèrent que « le
patrimoine et les biens des non-Juifs doivent être considérés sans
propriétaire et que le premier arrivé a des droits sur eux » ; ils précisent
seulement que si plusieurs Juifs procèdent à une tromperie, ils
sont seulement tenus d'en partager équitablement le fruit ; ils
exhortent à prêter de l'argent, mais refusent d'en emprunter ; ils
ne respectent pas la parole donnée, et ainsi de suite. La polémique
antisémite a recueilli toute une série de maximes de ce genre, avec
l'indication de leur origine et de leur caractère orthodoxe.
D'ailleurs, si on lit aussi dans le Talmud « qu'un goy qui étudie
le Talmud et un Juif qui l'aide, doivent être mis à mort » ; s'il
est précisé que « communiquer quoi que ce soit de notre loi à un
goy, équivaut à un massacre de tous les Juifs, puisque si les goyim
savaient ce que nous enseignons à leur égard, ils nous auraient
sans aucun doute exterminés »; si on lit de telles phrases, on a la
confirmation précise de la pleine conscience que les Juifs avaient
de la double morale contenue dans leurs textes orthodoxes.
Mais
ici, on objecte d'habitude qu'il s'agit de textes anciens,
pratiquement tombés en désuétude. C'est une erreur. Comme nous
l'avons dit, pendant des siècles ces idées, ces préceptes ont agi
de façon formelle dans l'intimité de la conscience juive : ils ont
laissé leur trace indélébile.
De
la volonté de domination, de la haine et enfin de la double morale
talmudique, on aura perdu la justification première, religieuse et
messianique : mais on aura pas perdu l'ensemble des instincts, des
comportements qui, sur un plan sécularisé et pratique, se
manifestent simplement comme une manière d'être, comme une qualité
héréditaire de la race, ayant pour ainsi dire son existence
autonome. Voilà pourquoi l'élément religieux ne prend aucune part
au problème juif, que pourtant le racisme moderne a voulu lui
imposer. Dühring a eu raison d'écrire : « La question juive
existerait même si tous les Juifs avaient abandonné leur religion
pour rejoindre nos Eglises dominantes ». Telle est bien la vision de
l'antisémitisme moderne, concordante avec celle de la plupart des
Juifs et discordante, en revanche, avec celle de l'ancien
antisémitisme d'origine catholique. « Un Japonais ou un Noir
converti ou baptisé
reste japonais ou noir. Ainsi un juif baptisé reste juif [...]
Convertis de bonne foi ou non, les Juifs baptisés restent juifs, à
se sentir juifs et à être considérés comme juifs par leur anciens
coreligionnaires » (De Vries de Heekelingen).
Des
révolutions à la domination mondiale
Dans
un texte talmudique, on lit : « Partout où les Juifs
s'établissent, ils doivent devenir les patrons ; et tant qu'ils
n'auront pas le pouvoir absolu, ils se considéreront comme des
exilés, des prisonniers... tant qu'ils ne dominent pas entièrement,
ils ne doivent pas cesser de crier : Quel tourment ! Quelle indignité
! » Il s'agit, là encore, d'un thème de la Loi, dérivé de
l'ancienne Promesse qui, une fois oubliée la justification
religieuse, devait laisser comme trace un instinct révolutionnaire
agissant par lui-même comme ferment d'agitation et de subversion
continuelle. C'est ainsi que les Juifs furent largement représentés
dans tous les mouvements subversifs révolutionnaires modernes, sans
exception, et particulièrement dans le communisme
et
le socialisme dont les principaux représentants sont juifs, Karl
Marx, Lassalle, Rosa Luxemburg, Kautsky, Trotsky... Quant à la
structure de l' Etat à détruire, elle importe peu : « Dans une
monarchie, les Juifs sont républicains; dans une république conservatrice,
ils seront socialistes ; dans une république socialiste, ils seront
communistes. Tout ceci revient au même pourvu qu'ils détruisent
l'Etat existant. Ils s'opposeront à la société en place tant
qu'elle conservera un reste de base non-juive ».
A
nouveau, c'est un instinct qui subsiste comme un héritage, ayant
pour origine lointaine et inconsciente l'idée que tout système qui
ne remplit pas encore la promesse de domination dévolue au peuple
élu est un système injuste, illégitime et usurpé.
Ultralibéralisme
et finance internationale
Dans
le judaïsme moderne, l'envers de la médaille révolutionnaire est
le capitalisme et la finance internationale. On doit se souvenir que
le « règne » de la Promesse juive ne fut pas conçu en termes
mystiques et surnaturels, mais comme celui qui aura recueilli toutes
les richesses de la terre. « Ton Dieu te veut riche » et « tu
prêteras de l'argent à de nombreux peuples mais tu n'emprunteras à
personne » sont déjà des maximes bibliques ; si l'on y ajoute
l'inclination des peuples sémitiques (en particulier ceux du désert)
à considérer la richesse comme essentiellement vagabonde, on rendra
compte peu à peu, avec le matérialisme et la sécularisation,
d'inclinations épousant les formes typiquement juives de
capitalisme, pour en arriver à l'omnipotence d'une économie sans
esprit et d'une finance sans patrie : dans ces formes actuelles,
s'exprime l'ancienne volonté de puissance juive, soit directement,
soit en vue de la destruction et de l'avilissement des valeurs que
cette omnipotence porte en elle. Des traits pareillement juifs –
selon Halfeld – seraient la déification de l'argent, la
transformation du temple en banque, la glorification puritaine du
succès et du gain, l'impresario un peu prédicateur, l'homme
d'affaires et l'usurier n'ayant que le mot Dieu à la bouche,
l'idéologie humanitaire et pacifiste au service du matérialisme...
On rappellera volontiers l'affirmation de Sombart selon qui
l'Amérique est un pays juif jusque dans ses moindres recoins et
l'américanisme, un « esprit juif distillé » ; ou celle de
Günther, selon qui les représentants de cet esprit sont
majoritairement juifs ; ou bien celle de Wolf, pour qui le lien
étroit entre Anglo-saxons et Francs-maçons sous l'influence des
Juifs expliquerait l'histoire occidentale de ce temps. Du reste, Karl
Marx lui-même n'écrivait-il pas : « Quel est le principe terrestre
du judaïsme ? Le sens pratique, l'utilité propre. Quel est son dieu
terrestre ? L'Argent. Le Juif s'est émancipé hébraïquement en
s'appropriant le pouvoir de l'argent, mais aussi en réussissant à
faire de l'argent une puissance mondiale. Ainsi, l'esprit utilitaire
juif est devenu l'esprit utilitaire des peuples chrétiens. Les Juifs
se sont émancipés en judaïsant les chrétiens. Le Dieu des Juifs
s'est sécularisé et est devenu le dieu de la terre.
Le taux de change est le vrai dieu des Juifs ».
L'intelligence
perverse
A
la puissance de l'or fait écho, dans l'action du judaïsme
contemporain, la puissance de l'intelligence au service de la
révolution. Nous faisons ici allusion au ferment de subversion qui
ne se limite plus au champ social, mais agit sur le plan spirituel et
culturel sous les formes les plus variées, trouvant sa source dans
l'inclination de « l'homme de la rédemption » incarné. Il est
incontestable que, dans le domaine de la culture, de la littérature,
des arts et même de la science, les contributions juives, directes
ou indirectes, convergent toujours vers un même effet : falsifier,
ridiculiser, montrer sous un jour injuste et illusoire tous les
idéaux des peuples aryens, en poussant au premier plan tout ce qui
se cache de sensuel, d'inférieur et d'animal dans la nature humaine.
Souiller tout ce qui est sacré, faire vaciller les certitudes sur
leur socle, inspirer un effroi spirituel de nature à encourager les
forces les plus viles, ainsi se manifeste l'action juive, action par
ailleurs essentiellement instinctive, naturelle, procédant
de l'essence, de la « race interne », comme il est propre au feu de
brûler et à l'acide de corroder.
Le
relativisme d'Einstein, qui a poussé le profane à croire que la
science allait confirmer l'impossibilité de tout point de référence,
alors que d'un autre coté il donnait la dernière main à un type
concret de découverte physique, y substituant un système purement
formel de données mathématiques et algébriques ; Bergson, avec sa
théorie qui exalte la vie dans son immédiateté, son
irréductibilité aux certitudes intellectuelles, son devenir
incoercible, son antithèse par rapport au monde classique de l'être
; Freud, Adler et d'autres psychanalystes juifs, qui ont découvert
l'univers trouble de l'inconscient et qui ont voulu démontrer son
omnipotence – faite d'instincts ataviques sauvages, de libido
primordiale et des fameux « complexes » - sur toute faculté ou
inclination du « moi » en veille ; l'école sociologique juive, qui
s'est mise à interpréter les religions et les mythologies non plus
sur la base d'un élément transcendant, mais seulement comme de
pures créations sociales et donc purement humaines ; le Juif
Lombroso qui, non content d'établir des relations aberrantes entre
le génie et l'anormal, considère le délinquant comme le descendant
résiduel et encore pur d'une « race », qui serait exactement la
race dont nous serions issus ; Max Nordau, résolu à démasquer «
les mensonges conventionnels de notre culture » comme un certain
nombre de romanciers juifs, à commencer par Wassermann, qui se sont
spécialisés dans la découverte des injustices et des inadaptations
des idées-bases de la société moderne; le matérialisme historique
de Karl Marx qui nous présente comme seule force créatrice de
l'histoire, le processus économique brut, donnant au reste la valeur
d'une pure superstructure (d'où ce jugement de Franck : « La
doctrine marxiste ne correspond pas à la réalité, mais à l'esprit
et au besoin du judaïsme, lequel ne considère que les problèmes de
matérialité et d'argent et se moque de tout idéal et de toute
forme spirituelle. C'est une forme niveleuse lancée contre toute
valeur de race et de sang »).
L'action
des soi-disant spécialistes de la question sexuelle, en grande
partie juifs, à commencer par le célèbre Magnus Hirschfeld,
résolus à faire de l'éros une vraie obsession et à attirer
l'attention, au moyen de publications pseudo-scientifiques et de
divagations, sur toutes les formes anormales et dégénérées de la
sexualité ; la « découverte » de la mentalité des « primitifs »
par Levy-Bruhl et Durkheim, à laquelle fait pendant l'action d'une
nombreuse troupe de Juifs dans le domaine de l'art moderne, où c'est
à nouveau l'informel, le primitivisme, le sensualisme qui ont le
dessus – et ainsi de suite, voilà les exemples précis et qu'on
pourrait multiplier, d'une action aux mille visages mais ayant un
seul effet : dégrader, subvertir, désagréger. C'est la «
Schadenfreude » : la jouissance de l'avilissement, du gâchis, de la
souillure, du sensualisme, ouvrant la porte à la part souterraine de
l'âme humaine, afin qu'elle se déchaîne et soit satisfaite. La
Schadenfreude est caractéristique de l'âme judaïco-levantine,
l'âme de « l'homme de la rédemption ».
Les
antisémites extrémistes tendent à considérer comme volontaire
cette convergence d'effets. Le point de vue dominant et plus sage
est, cependant, qu'il ne s'agit pas en la matière, d'une intention
précise ni d'un plan établi, mais justement d'un instinct, d'une
manière d'être naturelle et spontanée. La convergence se réalise
par syntonie, par affinité d'instinct et d'inspiration. A l'égard
de ces Juifs, on ne peut même pas parler d'une vraie responsabilité
: le Juif ne peut s'en empêcher, comme l'acide ne peut faire
autrement que de corroder. C'est sa façon d'être, déterminée par
les causes ataviques et raciales évoquées. Donc, il faudrait moins
le haïr que prendre les mesures pour en limiter et neutraliser
l'action – pour qu'il ne puisse pas nuire.
L'antisémitisme
voit en outre persister, sous des formes modernisées, l'ancienne
solidarité juive cimentée par la double morale, au point que la
communauté juive, nous dit Fritsch, a moins les caractéristiques
d'une communauté religieuse que ceux d'une conjuration sociale : et
les Etats aryens, ignorant cette double morale et ne se défendant
pas, concèdent inconsidérément aux Juifs des droits égaux comme
s'ils respectaient leur morale, se posent virtuellement en position
d'infériorité, remettant leur destin aux mains du peuple qu'ils
avaient accueilli, aux mains d'une race étrangère, internationale
et antinationale.
Conscients
de cela, il faut réagir par deux voies : l'une morale, l'autre
politique. Il ne faut lier aucun rapport entre les Aryens et une «
race privée du sentiment d'honneur et
de loyauté », et agissant par deux voies principales : la tromperie
et l'argent. Le concept social aryen serait : « L'homme sincère et
conscient place son orgueil dans une vie méritoire d'action loyale
et de production droite. Il préfère mourir plutôt que d'obtenir
des avantages par des actions déshonorantes. L'idée rigoureuse de
l'honneur et de la justice sans condition envers les autres hommes
constitue le fondement de toute vie héroïque et prend racine dans
un élément profond de l'âme : dans le sentiment de honte. Un
peuple qui renonce au sentiment d'honneur et de honte est indigne
d'une qualification humaine : c'est une soushumanité (Fritsch). Il
est donc absurde – conclut-il – de prétendre établir des lois
égales pour les Juifs et les Aryens.
Des
mesures prophylactiques s'imposent. Donner entière liberté aux
Juifs signifierait qu'ils se jouent de nous. Et c'est pour cela que
l'idéologie libérale, individualiste et démocratique
a eu, à juste titre, les Juifs comme défenseurs fervents ».
D'où
le passage à l'action politique et aux mesures que les Etats
[nationalistes], acceptant les thèses de l'antijudaïsme, ont
adoptées pour écarter les éléments juifs des postes de commande
de la vie politique, économique et intellectuelle, accaparés en
masse ces derniers temps. La polémique antisémite a permis de
mettre en lumière que dans le commerce, le trafic, dans les postes
de direction ou indépendants, l'élément juif était effectivement
prédominant, alors qu'il diminuait dans les postes subalternes,
parmi les ouvriers, les agriculteurs, où le pourcentage de Juifs
devenait presque négligeable comparé au nombre de non-Juifs. En
tout cela, l'antisémitisme a noté un phénomène de parasitisme non
exempt de liens avec l'instinct juif héréditaire les poussant à «
sucer le lait des gens, et à téter les mamelles des rois », à «
dévorer les peuples que Dieu lui aura livrés », selon les
anciennes expressions de la Loi. Les Juifs ne fabriquent pas, ne
produisent pas, mais spéculent et trafiquent sur ce que les autres
font et s'enrichissent à leurs frais et dominent. Les Juifs visent
directement les occupations intellectuelles et les postes de
direction, et ainsi haut placés, peuvent exercer
une activité souvent suspecte et corruptrice, laissant aux autres,
aux Aryens, les formes inférieures de travail.
De
là, donc, les mesures politiques tendant à bannir les Juifs des
charges publiques et à en limiter la représentation dans chacune
des professions. Le Manuel de la question juive, écrit par Fritsch,
conclut par ces mots révélateurs : « Les Juifs sont dangereux non
seulement économiquement, mais aussi spirituellement et moralement.
Par la loi rabbinique,
le Juif est lié à un Etat particulier, qui comprend tous les Juifs
du monde. Il lui est donc impossible d'être sincèrement membre d'un
autre Etat. Chaque peuple qui tient à sa liberté et à son honneur
et entend se défendre face à toute tentative d'affaiblissement de
son droit et à toute dégénérescence morale, ne pourra à l'avenir
tolérer de Juifs en son sein. Où doivent-ils aller, alors ? Ceci
les regarde. Certainement pas là où les paysans et les artisans
[non-Juifs] seraient obligés d'abandonner leurs biens et leurs
maisons. Du reste, ils possèdent assez d'argent pour acquérir une
part entière du globe, en Australie ou en Afrique. Là, ils pourront
vivre en paix selon leurs coutumes et montrer au monde qu'avec leur
force, ils savent créer une culture. A nous, s'impose l'abolition de
l'émancipation des Juifs ». Et De Vries de Heekelingen
d'ajouter : « Nous ne reprochons pas aux Juifs de travailler pour la
grandeur de leur race. Nous admirons même la ténacité avec
laquelle ils poursuivent la réalisation de leur but. Nous ne pouvons
comprendre, en revanche, l'aveuglement de tant de non-Juifs qui ne
montrent pas le même enthousiasme et la même ténacité pour
défendre leurs intérêts les plus sacrés ».
Par
les considérations ici évoquées, on a mis en lumière le coté
essentiellement « racial », outre que politique ou social, du
problème juif : racial non pas en référence à une race pure, mais
à des instincts devenus, pour ainsi dire, un héritage organique capable
d'épouser des formes variées de manifestation, mais ne
disparaissant jamais complètement.
Les
Protocoles des Sages de Sion
Nous
devons maintenant dire quelque chose sur un livre qui a suscité
toutes sortes de discussions et a eu une part fondamentale dans la
polémique antijudaïque : il s'agit des fameux Protocoles des Sages
de Sion. Puisque nous avons déjà traité de ce livre dans
l'introduction de sa dernière édition italienne, nous nous
limiterons à un aperçu général, car on ne peut évoquer la
question juive sans un éclairage à son propos.
Les
Protocoles sortirent sous leur forme actuelle en Russie en 1904,
édités par un certain Sergueï Nilus qui les présenta comme un
document soutiré à une mystérieuse
organisation
judéo-maçonnique. En réalité, il a été prouvé qu'une partie de
ces textes avaient
été divulgués, publiés et Bismarck lui-même en aurait eu
connaissance. Les idées centrales des Protocoles sont les suivantes
:
1.
Les différents événements et les différentes idéologies qui ont
conduit l'Europe traditionnelle, aryenne et chrétienne au déclin ne
sont pas fortuits, mais obéissent à un plan précis de destruction.
2.
Ce plan de destruction émane d'une organisation occulte, qui l'a
élaboré dans tous ses détails, étudiant en même temps, sur les
bases de la connaissance des lois précises qui lient les causes aux
effets, les voies de sa réalisation progressive.
3.
Cette organisation agit surtout par l'intermédiaire de gens qui ne
se rendent pas compte, souvent, qu'ils en sont les instruments. Son
action se développe sur trois plans.
D'abord
un plan idéologique : on distille des idéologies auxquelles on ne
croit pas, que les Sages de Sion méprisent, mais qui servent leurs
desseins machiavéliques, pour faire avancer la subversion, pour
désagréger les sociétés et les Etats : libéralisme,
rationalisme, internationalisme, démocratie.
En
second lieu, on fait en sorte que les principaux centres de
fabrication de « l'opinion publique », c'est-à-dire la presse
internationale, soient sous contrôle.
En
troisième lieu, l'objectif est de contrôler la part maximale des
richesses du monde, c'est-à-dire la finance internationale.
Agissant
par ces trois instruments, ils poussent partout le ferment de la
subversion, déracinent spirituellement et socialement les hommes, en
font une bouillie matérialiste, sans patrie ni tradition, sans force
intérieure ni personnalité ; vraies révolutions
(qui devront avoir comme point de départ la Russie – à noter que
les Protocoles furent du domaine public à partir de 1904) et guerres
suscitées de manière occulte devront conduire la crise de l'homme
occidental jusqu'à un tel degré qu'à la fin il deviendra une chose
passive entre les mains de dirigeants invisibles. Alors ceux-ci se
révéleront pour assumer le pouvoir universel. A leur tête, un roi
de race juive.
Une
fois informé du contenu des Protocoles, on vient à se demander
s'ils sont authentiques. Cette question n'a pourtant pas de sens car,
comme le relève bien René Guénon, « aucune organisation vraiment
et sérieusement secrète, quelle que soit sa nature,
ne laisse derrière elle des documents écrits ». Il ne faut donc
pas se demander s'ils sont authentiques mais s'ils sont véridiques.
Le document doit être examiné pour la vérité qu'il contient au
sens des sciences positives, modernes, c'est-à-dire des hypothèses
de travail qui servent à orienter le procédé inductif qui les
confirme, un ensemble
de faits qui, en vertu d'elles, vont révéler une intime connexion
et une loi unitaire. D'un tel point de vue, on peut dire que même si
les Protocoles n'étaient pas vrais, c'est comme s'ils l'étaient,
pour deux raisons :
1.
Parce que les faits qui se sont produits après leur publication les
confirment. Hugo Wast écrivait : « Les Protocoles peuvent être
faux ; mais ils se réalisent merveilleusement » et Henry Ford : «
L'unique jugement que je puis émettre sur les Protocoles
est qu'ils s'accordent parfaitement avec ce qui advient. Depuis
qu'ils ont été écrits, ils correspondent exactement à la
situation mondiale et aujourd'hui encore ils indiquent le rythme ».
2.
Parce que les idées fondamentales dont ils s'inspirent sont celles
du judaïsme international, et donc si les Protocoles ont été
inventés, l'auteur a simplement écrit ce que chaque Juif fidèle à
sa tradition, à la volonté profonde d'Israël et conscient de ses
instincts, aurait pu écrire.
Sur
le premier comme sur le deuxième point, l'édition italienne des
Protocoles donne une ample et convaincante démonstration. Le
problème ainsi posé, la question du « plagiat », qui a provoqué
le vieux procès de Berne apparaît, au fond, frivole. Il ne fait
aucun doute qu'on trouve dans les Protocoles des éléments tirés
d'ouvrages antérieurs, en particulier une plaquette écrite en 1865
par un franc-maçon révolutionnaire, Joly. Mais on ne se situe pas
ici dans le domaine de la littérature, où emprunter aux autres
jette le discrédit sur l'œuvre. Un stratège peut utiliser des
choses exposées par d'autres et en conserver même leur formulation
littérale si elle sont susceptibles d'entrer dans son plan, sans que
la signification de ce dernier s'en ressente.
Il
est plus sérieux et concluant de constater la présence de toute une
série d'antécédents des Protocoles, antécédents qui nous
ramènent à des temps lointains et qui, de manière plus ou moins
romancée ou mythologique, reproduisent le pressentiment obscur de
cette double vérité :
-
Que tous les principaux événements de l'Histoire ne sont pas
fortuits mais ont leur logique et obéissent à une certaine
intention.
-
Qu'il existe un centre occulte du monde.
La
caractéristique des Protocoles réside dans une formulation spéciale
de ces deux motifs généraux : ce sont les événements de la
subversion moderne qui obéissent à une certaine intention et qui
ont une direction – et par conséquent, le centre occulte du monde
a un caractère ténébreux, il est le centre de forces maléfiques,
dévolues à la destruction de l'Europe traditionnelle. Cette
formulation particulière est l'effet d'une espèce de retournement
ou de contrefaçon d'une tradition préexistante, en soi ni juive ni
maçonnique ; de quoi le lecteur pourra se convaincre en lisant la
dernière partie de notre
livre "Le Mystère du Graal".
De
toute façon, il se demandera si au centre de ce plan destructeur
annoncé par les Protocoles et vérifié, souvent avec une exactitude
impressionnante par les événements successifs, on trouve vraiment
des Juifs. Dans les Protocoles, on se réfère tantôt aux Juifs
tantôt aux francs-maçons, ce qui n'est pas tout à fait la même
chose... Pour notre part, nous croyons prudent d'utiliser seulement
l'expression : dirigeants secrets de la subversion mondiale. Il est
indiscutable que de nombreux éléments juifs ont été utilisés par
ces chefs anonymes, car à cause de leurs instincts et de la
déformation de leurs idées traditionnelles, les Juifs paraissaient
être les instruments les plus qualifiés et adaptés. Mais il n'est
pas prudent de généraliser au-delà d'une certaine limite.
Il
faut, du reste, se rendre compte d'un autre point : que l'on ne peut
pas faire des Juifs la cause unique et suffisante de toute subversion
mondiale – comme le voudraient certains extrémistes – sauf à
reconnaître une humiliante infériorité. Les Juifs auraient donc
été plus forts que le monde aryen supposé en ordre et en pleine
possession de ses moyens ? C'est un non-sens. L'action juive a été
possible seulement parce que dans l'humanité non-juive s'étaient
développés des processus de dégénérescence et de désagrégation
: l'élément juif s'est greffé à ces processus, avec l'esprit, les
instincts et les méthodes qui lui sont propres, il les a accélérés
jusqu'à l'exaspération, les conduisant là où, seuls, ils ne
seraient pas parvenus aussi rapidement."
Julius EVOLA, "Le Mythe du Sang".
Le
combat de Dieudonné et Soral vu par un juif Ashkénaze.