dimanche, février 03, 2019

Bilal Hassani et l'Eurovision en Israël


Avec la spontanéité des ados, Bilal Hassani, âgé de 14 ans, se moque-t-il de la version officielle des attentats en France ?


Au Grand journal de Canal, il aurait aussi pris la défense de Dieudonné. Dans un tweet daté d’août 2014, depuis supprimé, l’interprète de la chanson "Roi" aurait déclaré : "Le crime contre l’humanité venait d’Israël".

Dans une vidéo publiée sur Twitter, Bilal Hassani, 
représentant de la France à l’Eurovision qui se déroulera en mai 2019 en Israël, tente de mettre fin à la polémique :

"Je ne devrais même pas avoir à répondre à tous ces mensonges. Je constate bien que je ne peux garder le silence. Ces propos ne sont pas les miens. Ce n’est ni mes écrits, ni mes pensées", explique-t-il dans cette vidéo. Âgé de 14 ans au moment des faits, il affirme qu’il n’était pas "le seul" à avoir "accès à son compte Twitter". "Il y avait plusieurs personnes qui avaient mon mot de passe. Et il s’est passé des choses qui étaient hors de mon contrôle et hors de ma connaissance". Pour lui, c’est "surtout une opportunité pour tous les haters et pour toutes les personnes mal intentionnées de propager des fake news."



Ils refusent de participer à l'Eurovision en Israël pour des raisons éthiques

Contrairement à Bilal Hassani, une cinquantaine de personnalités britanniques du monde du spectacle, dont l’actrice Julie Christie et le chanteur Peter Gabriel, ont signé d'une lettre ouverte demandant que l’édition 2019 du concours Eurovision se joue ailleurs qu’en Israël, à cause de la "violation systématique des droits humains des Palestiniens" par l’Etat colonial.

Leur texte, également signé par des vétérans de la campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) tels le fondateur des Pink Floyd Roger Waters, l’actrice Julie Christie ou le réalisateur Ken Loach, a été publié mardi 29 janvier dans le quotidien The Guardian.


Liste des signataires 

Peter Ahrends, architecte 
Amir Amirani, cinéaste 
Jonathan Arndell, architecte, artiste 
Roy Battersby, réalisateur 
Bloody Knees, groupe 
braves timbers, groupe 
Jen Brister, comédien 
Carmen Callil, éditeur, écrivain 
Taghrid Choucair-Vizoso, interprète 
Julie Christie, acteur Julie Christie, acteur 
Ian Christie, film historien, animateur 
Chipo Chung, acteur 
Caryl Churchill, dramaturge 
Michael Darlow, scénariste et réalisateur 
Paula Darwish, musicien 
April De Angelis, dramaturge 
Tam Dean Burn, acteur 
Drones Club, groupe 
Nancy Elan, violon 
Gareth Evans, producteur, conservateur, 
Peter Gabriel, musicien , fondateur du festival WOMAD
Lots Holloway, chanteur, compositeur 
Rachel Holmes, écrivain 
Brigid Keenan, auteur 
Patrick Keiller, artiste, cinéaste 
Reem Kelani, musicien, animateur 
AL Kennedy, écrivain 
Desmond Lambert, musicien 
Mike Leigh, écrivain, réalisateur 
Ken Loach, réalisateur 
Sabrina Mahfouz, écrivain 
Miriam Margolyes , acteur 
Yann Martel, écrivain 
Declan McKenna, chanteur, compositeur 
JD Meatyard, musicien 
Pauline Melville, écrivain 
Giuliano Modarelli, musicien, compositeur 
Object Blue, DJ 
Maxine Peake, acteur 
Jocelyn Pook, compositeur 
TJ Rehmi, compositeur, producteur, 
Reverend & the Makers, groupe 
Leon Rosselson, compositeur 
Rrose, DJ
Alexei Sayle, comédien, auteur 
David Scott, producteur de musique 
Nick Seymour, musicien 
Sarah Streatfeild, violon 
Roger Waters, musicien 
Vivienne Westwood, couturier 
Wolf Alice, groupe

samedi, février 02, 2019

La vérité sur le retour de 130 djihadistes français de Syrie



Paris rapatrie ses MERCENAIRES du Nord de la Syrie



Sous couvert de rapatrier quelques 134 combattants français « capturés » par les forces kurdes soutenues par les Américains (en fait par ces derniers) dans l’extrême Nord de la Syrie, Paris s’apprête à rapatrier plus 2280 de ses mercenaires partis guerroyer pour le grand Djihad Otanien contre le « méchant Bashar Al-Assad ».

Ces combattants français d’obédience islamiste radicale sont tous issus des banlieues des grandes villes de France et ont tous été recrutés par des intermédiaires et des indicateurs des services de renseignements français pour les envoyer en Syrie.

Une fois en Syrie qu’ils pénètrent à partir de Turquie avec la bienveillance des autorités turques, ils rejoignent soit Daech ou Al-Nosra et reçoivent des subsides de la part de mystérieuses organisations « caritatives ».

Les Forces Démocratiques Syriennes (FDS) soutenues directement par les Américains en ont capturé des dizaines lors d’accrochages avec Daech dans l’extrême nord de la Syrie, non sans parfois subir de lourdes pertes.

Il semble que les disputes entre mercenaires français et kurdes portaient sur des idéologies irréconciliables et incompatibles (Salafisme islamiste vs. Extrême gauche populiste et ethnique) mais surtout le butin et les très généreuses subventions accordées par les États soutenant le terrorisme en Syrie.

Ces combattants français étaient fort encombrants et parmi les plus violents aux côtés de combattants venus du Caucase.

Les « djihadistes » français capturés étaient parqués provisoirement près de Hassaka et à Rumaila avec leurs femmes et enfants dans des facilités gérées par Washington, mais le départ des Marines US de Syrie a pris de court Paris.

Si les forces spéciales et les agents de liaison sont en train de quitter le bateau dans la plus grande discrétion, ce n’est pas le cas pour les mercenaires « islamistes » vu leur nombre et l’absence de couverture. L’État se contentera de les désigner aux yeux de l’opinion comme des « djihadistes prisonniers ». Histoire de faire passer la pilule.

Pour Castaner, ces combattants « vont vouloir revenir en France » et « tous ceux qui rentreront en France seront judiciarisés et confiés aux juges. Lorsque le juge estimera qu’il faudra les mettre en prison 
»… C’est assez clair : quelques mesures cosmétiques pour enfumer les français et ces gars là seront en fait libres. Prêts à l’emploi en cas de besoin. En France cette fois-ci et si possible contre un éventuel ennemi intérieur tel que le mouvement des gilets jaunes. Du coup plus besoin d’utiliser le LBD-40.

Un attentat par ci, un autre par là et le tour est joué. La scène sera verrouillée.

Jouer avec le feu comporte toujours un risque.

L’envoi de centaines d’individus dans le cadre d’operations clandestines gérées via proxy pour ne pas remonter la source en manipulant ces individus sur la base de leur convictions religieuses et/ou idéologiques pour atteindre des objectifs géostratégiques à l’étranger s’est toujours avéré dangereux, peu productifs et surtout aléatoire et risqué. A fortiori après l’echec de toutes les tentatives visant à abattre le régime syrien.

Or, tenter de gérer des individus revenus de zones de combat et s’étant habitués à l’argent facile ne sera certainement pas aisé une fois en France. Beaucoup d’entre-eux se sentiront « trahis » par leurs mentors et pourront se radicaliser encore plus et même passer à l’acte.

Voilà où a mené la politique étrangère d’un gouvernement aux abois.

L’utilisation d’individus radicalisés comporte toujours un retour de boomerang.

Dans quelques années, on saura un peu plus sur la politique étrangère française criminelle dans la guerre en Syrie et son impact sur les événements qui ont eu lieu sur le territoire français, notamment les attaques sous faux drapeau montées de toutes pièces pour maintenir l’opinion française dans la peur permanente afin de mieux la manipuler et la contrôler.

En bref, un scandale de plus que les médias bien pensant vont couvrir avec des formules à l’arrache-pièce relevant de thématiques surannées n’ayant rien à voir avec la réalité.

Parfois, la réalité dépasse de loin la fiction narrative des médias de la propagande officielle au point de transparaître au grand jour.

Ce qu’il faut retenir est que des terroristes français vont être rapatriés après l’échec patent de leur mission en Syrie, laquelle était de semer le chaos et faciliter un effondrement ou un changement de régime dans ce pays.

Tout le reste n’est que de la pure propagande mensongère.

Source : 

vendredi, février 01, 2019

La raison de la flambée spectaculaire des prix de l’alimentation



Le Zap Actu du 31 janvier 2019. Loi alimentation et hausse des prix.



Le gouvernement j***-macroniste décrète la flambée spectaculaire des prix de l’alimentation pour...

AFFAMER LA POPULATION FRANÇAISE ! 

par Captain Harlock


Voici une nouvelle qui devrait rapidement se convertir en souffrances économiques pour le prolétariat français.

Depuis plus d’un an, le gouvernement j***-macroniste prépare dans la coulisse une augmentation arbitraire des prix de l’alimentation générale avec les principaux agents spéculateurs du trafic de l’agroalimentaire.


Europe 1 :


Une hausse de près de 10% pour le Ricard, de 9,3% pour les céréales Chocapic, de 8,4% pour le pot familial de Nutella, de 8,1% pour certains laits et même de 6,1% pour l’eau minéral Evian… À partir de vendredi, plusieurs produits de grande consommation vont voir leur prix augmenter, révèle Le Parisien, qui a mené son enquête auprès d’une enseigne de la grande distribution. En cause : l’entrée en vigueur de certaines mesures de la loi Alimentation, dont l’objectif est de mieux rémunérer les producteurs. La hausse des prix commencera donc dès le 1er février, et devrait vite prendre de l’ampleur. À quoi faut-il s’attendre ?

Dans le détail, la loi met notamment fin aux grosses promotions, qui seront dorénavant limitées à 34% des prix de référence. Fini, donc, les opérations « un produit acheté = un produit offert », ou bien encore les réductions monstres à hauteur de 50% et plus. En outre, seuls 25% des articles vendus par un magasin pourront faire l’objet d’une promotion.

Ces produits dit d’appel, souvent en promotion pour attirer le client, ne pourront plus être vendus au rabais hors promotion en raison d’une autre mesure de la loi Alimentation, qui pourrait toucher au portefeuille des ménages : le relèvement du seuil de revente à perte de 10%, qui impose aux supermarchés de revendre un produit au minimum au prix auquel ils l’ont acheté, majoré de 10%. Un produit acheté 100 euros, par exemple, devra désormais être vendu au moins 110 euros.

C’est une vaste escroquerie, si l’on voulait provoquer les gens qui sont en difficulté de pouvoir d’achat, dans le contexte actuel, on ne s’y prendrait pas mieux », s’agace Alain Bazot, président de l’association de consommateurs UFC-que Choisir, mercredi au micro d’Europe 1 .

Ces mesures entraîneront nécessairement une hausse des prix. Mais il est encore difficile de savoir à combien elle va s’élever… Le Parisien précise par ailleurs que cette hausse concernera 1.000 références (parmi les plus consommées) sur les 25.000 vendues en hypermarchés, et 500 à 600 références dans les supermarchés. Et pour ces derniers, qui seront les plus impactés, la hausse sera en moyenne de 5 à 6%.

On en sait plus sur les victimes futures de cette razzia.


Le Parisien :

Dans quel type de magasin y aura-t-il des hausses ?

Pas dans les petits magasins de centre-ville ou les Monoprix parisiens, en tout cas, car les marges réalisées sur les produits y sont déjà supérieures à 10 %. En revanche, dans les hypermarchés qui se livrent à une guerre des prix – Leclerc, Géant Casino, etc. – comme chez les « hard discounters » (Leader Price, Netto, etc.), les hausses pourront être fortes. Or, ce sont ces magasins que fréquentent les Gilets jaunes. Ce sont donc bien les Français les plus modestes, avec un faible pouvoir d’achat, qui vont payer.


Bref, les hypermarchés des zones péri-urbaines et rurales et leurs clients.

Massivement les Blancs pauvres ou de la classe moyenne.

L’argumentation utilisée par le gouvernement j*** est, sans surprise, « d’aider les pauvres paysans gaulois » dont on sait qu’ils sont le premier soucis de Jéhovah.

Le but de la loi Alimentation est au final de pouvoir mieux rémunérer les agriculteurs. Qu’en pensez-vous ?

Que cela reste très théorique, car si la loi prévoit d’augmenter les marges de la grande distribution, elle ne dit pas du tout, en revanche, sur comment faire pour augmenter les marges des agriculteurs. Cela reste un vœu pieux : la loi n’organise pas le fait que les distributeurs doivent acheter plus cher leurs produits aux agriculteurs. Aucune obligation, aucun contrôle ne sont prévus.

Michel-Edouard Leclerc est revenu sur son blog sur cette loi et nous désigne les véritables maîtres d’œuvre de cette augmentation arbitraire.

MEL :

Qui peut croire cela : un relèvement de prix jusqu’à 10%, début décembre, du prix des Fanta, Nutella, Nescafé, Vittel, Evian ou Coca-Cola, au seul profit des agriculteurs français ? Alors qu’on ne produit ni café ni chocolat en France ! Qui a pu ainsi manipuler les députés LREM ?

La réponse est dans cet article publié dans le dernier Challenges : « Macronie, le vrai pouvoir des lobbies ». « Une sorte d’alliance contre-nature réunissant la FNSEA, les industriels de l’agroalimentaire et les distributeurs a obtenu que le projet de loi relève de 10% le prix minimal des prix alimentaires.

En fait, ce cartel officieux s’était agité avant même les EGA. Le consultant Mathieu Laine, qui fut un soutien d’Emmanuel Macron durant la campagne, avait été missionné par Carrefour, Danone et le groupe Avril, dirigé alors par Xavier Beulin, président de la FNSEA, pour pousser la mesure auprès de candidats, puis d’Audrey Bourolleau (à l’Elysée) après les élections ».

Aucun député, aucun ministre n’a été capable d’expliquer comment, par quel mécanisme, ces hausses en rayon vont « ruisseler vers les éleveurs » ! A quel point nos parlementaires savent-ils qu’ils ont été manipulés pour faire augmenter les marges et la côte boursière de ces grosses sociétés qui n’ont pris évidemment aucun engagement de reversement ?

"Parmi ces groupes capitalistes on peut donc relever la présence de Danone dont la représentante, au sein du gouvernement, n’est autre que la j*** Wargon-Stoleru, sa lobbyiste officielle.

Ces multinationales ont donc entrepris de resserrer encore davantage l’étau financier.

RUSSIE BOLCHEVIQUE et ANCIENNE ÉGYPTE 

Le trafic du grain est probablement la plus ancienne activité des spéculateurs et révolutionnaires bolcheviques juifs .

Ils en sont si fiers qu’ils ont été jusqu’à décrire glorieusement dans leur torah le premier affameur d’entre-eux, Joseph, qui avait mis la main sur le gouvernement du Pharaon d’Egypte.

Ce juif, qui s’était immiscé au cœur de la cour du monarque, avait parfaitement compris que l’art de la spéculation passait par la planification de la pénurie, laquelle avait un impact politique immédiat sur les masses qui se plaçaient sous l’autorité de celui qui contrôlait les circuits d’échanges dans l’espoir de survivre.

La Bible, qui n’a certainement pas été écrite par un antisémite, nous raconte les œuvres saintes du premier financier affameur de l’histoire. Ainsi, nous disent les juifs, au chapitre 41 de la Genèse :

33 Maintenant, que Pharaon trouve un homme intelligent et sage, et qu’il l’établisse sur le pays d’Égypte.

38 Et Pharaon dit à ses serviteurs : "Pourrions-nous trouver un homme pareil à celui-ci, ayant en lui l’esprit de Dieu ?"


39 Et Pharaon dit à Joseph : "Puisque Dieu t’a fait connaître toutes ces choses, il n’y a personne qui soit aussi intelligent et sage que toi.

40 C’est toi qui gouverneras ma maison, et tout mon peuple obéira à ta bouche; par le trône seulement je serai plus grand que toi."

41 Et Pharaon dit à Joseph : "Voici que je t’établis sur tout le pays d’Égypte."


42 Et Pharaon ôta son anneau de sa main et le mit à la main de Joseph, et il le fit revêtir d’habits de fin lin et lui mit au cou un collier d’or.

43 Il le fit monter sur le second de ses chars, et on criait devant lui: "A genoux !" C’est ainsi qu'il fut établi sur tout le pays d’Égypte.

44 Et Pharaon dit à Joseph : "Je suis Pharaon, et sans toi nul ne lèvera la main ni le pied dans tout le pays d’Égypte."


45 Pharaon nomma Joseph Tsaphnath-Panéach, et il lui donna pour femme Aseneth, fille de Putiphar, prêtre d’On. Et Joseph partit pour visiter le pays d’Égypte.

46 Joseph était âgé de trente ans lorsqu’il se présenta devant Pharaon, roi d’Égypte; et il quitta Pharaon pour parcourir tout le pays d’Égypte.

47 La terre rapporta à pleines mains pendant les sept années d’abondance.

48 Joseph rassembla tous les produits des sept bonnes années qu’il y eut au pays d’Égypte, et il fit des approvisionnements dans les villes, déposant dans l’intérieur de chaque ville les productions des champs d’alentour.

49 Joseph amassa du blé comme le sable de la mer, en si grande quantité, qu’on cessa de compter, parce qu’il était sans nombre.[…]

53 Les sept années d’abondance qu’il y eut en Egypte étant achevées,

54 les sept années de famine commencèrent à venir, comme Joseph l’avait annoncé. Il y eut famine dans tous les pays, tandis qu’il y avait du pain dans tout le pays d’Égypte.

55 Puis tout le pays d’Égypte fut aussi affamé, et le peuple cria à Pharaon pour avoir du pain. Et Pharaon dit à tous les Egyptiens :  "Allez vers Joseph, faites ce qu’il vous dira."


56 La famine étant sur toute la face du pays, Joseph ouvrit tous les greniers qu’on y avait établis et vendit du blé aux Egyptiens ; et la famine s’accrut dans le pays d’Égypte.

57 De toute la terre on venait en Egypte pour acheter du blé auprès de Joseph ; car la famine s’était aggravée sur toute la terre.

C’est ainsi que sont célébrés, dans les textes sacrés des juifs, les chefs de cette race qui se hissent à la tête des plus grandes nations pour mieux réduire leurs peuples à la famine avant de les rançonner s’ils veulent survivre au joug financier juif.

C’est ce que la Bible appelle un "prophète d’Israël" !

Joseph mêlait à l’évidence les qualités d’un Rothschild et d’un Lénine, c’est-à-dire les capacités fondamentales du banquier communiste mandaté par Yahwé pour régner sur les nations.

Tenant d’une main de fer toute marxiste les marchés, il alliait l’art de la manipulation des capitaux et celui de la répression policière brutale de la moindre contestation de sa politique de pillage économique."

Spéculant sur le labeur des fermiers égyptiens, Joseph établit le vol d’état de la paysannerie puis le strict rationnement de la nourriture par la police pré-tchékiste qu’il avait entre ses mains. Il imposa ainsi une tyrannie bolchevique implacable à une plèbe qui dut lui racheter de force ce qu’elle avait produite elle-même de ses mains.

Mais Joseph, à l’image d’un Kaganovitch livrant à la famine l’Ukraine alors qu’il fait fusiller les paysans slaves, n’oublia pas de prélever sur l’Egypte affamée de quoi nourrir ses frères de race juive qu’il installa, au même moment, dans le pays qu’il tenait d’une main de fer.

C’est que Joseph était occupé à établir une république juive-bolchevique sur les ruines de l’Egypte de Pharaon comme Lénine le fit après avoir renversé le Tsar ! Un renfort racial pour cimenter la jeune tyrannie hébraïque était une urgence absolue.

Une seule politique : partout des juifs !

La modestie d’Israël étant légendaire, cette tyrannie d’affameurs hébraïques fût édifiée – d’après eux – à la demande de Pharaon lui-même !

Et Pharaon dit à Joseph : "Dis à tes frères: Faites ceci chargez vos bêtes et partez pour le pays de Chanaan et,

18 ayant pris votre père et vos familles, revenez auprès de moi. Je vous donnerai ce qu’il y a de meilleur au pays d’Égypte, et vous mangerez la graisse du pays.

19 Tu es autorisé à leur dire : Faites ceci : prenez dans le pays d’Égypte des chariots pour vos enfants et pour vos femmes ; amenez votre père et venez.

20 Que vos yeux ne s’arrêtent pas avec regret sur les objets que vous devrez laisser, car ce qu’il y a de meilleur dans tout le pays d’Égypte est à votre disposition."

21 Les fils d’Israël firent ainsi ; Joseph leur donna des chariots, selon l’ordre de Pharaon, ainsi que des provisions pour la route.

Et quand les Egyptiens parvinrent finalement à se libérer du joug hébraïque après 4 siècles d’infiltration et de pillage, les écritures du peuple élu proclamèrent que Pharaon, acquis soudainement à l’antisémitisme, cherchait à toute force à les garder en son royaume au point de les poursuivre jusqu’à la Mer Rouge que les juifs avaient visiblement pu acheter puisqu’elle s’ouvrit en deux pour leur permettre le passage.


Lorsque les juifs me raconte que les mers répondent au commandement de leur dieu pour les sauver de l’antisémitisme, je nourris légitimement quelques doutes sur les fabuleuses histoires que ce peuple raconte sur tout un tas d’autres sujets.

Quoi qu’il en soit, ces hébreux savent moduler l’inflation grâce au contrôle qu’ils exercent sur l’Etat, pillant le peuple tout en faisant basculer celui-ci dans l’autoritarisme le plus brutal.

Depuis des millénaires, la finance et le bolchevisme sont les deux mamelles d’Israël.



Source : Démocratie Participative


Point de vue d'un spiritualiste sur le mondialisme messianique des Rothschild 
et le peuple juif 

"Non, les Juifs n'ont définitivement rien à voir dans les magouilles de la Maison Rothschild qui s'autorise à les envoyer au casse-pipe lorsque cela l'arrange. En fait, la Maison Rothschild est un mystère, même si on croit identifier dans cette famille le médium de Lucifer sur la terre."



jeudi, janvier 31, 2019

La fin de l’empire des mensonges

Jean-Michel Vernochet était l’invité de Radio Lorraine Enragée pour y commenter le phénomène des gilets jaunes.


Jean-Michel Vernochet :
"Les gilets jaunes contribuent à la fin de l’empire des mensonges".

Lecture :


Jean-Michel Vernochet


La France profonde souffre d’un Etat jacobien délocalisé à Bruxelles, ses forces vives sont entravées par une bureaucratie tatillonne qui impose des règles et des mises aux normes sans fin.
Cette démocratie là est aujourd’hui remise en cause par une large partie du peuple : les Gilets Jaunes. Malgré les injonctions du Gouvernement et ses fallacieuses promesses, le fleuve de la colère populaire ne semble pas vouloir regagner son lit.

Vous avez eu ce que vous demandiez : smic augmenté de cent euros, gel des hausses de carburants et puis l’on vous octroie un grand débat national… Un débat oui, mais encadré. Bien sûr sont interdites les questions qui fâchent : l’immigration sauvage, les milliards ponctionnés sur les revenus des classes moyennes, l’effondrement du niveau scolaire… Pourtant ces questions sont le non-dit qui sous-tend la révolte de la France périphérique.


« Ce pays de Gaulois réfractaires au changement » que l’on croyait condamné à se taire et à payer toujours plus, s’est réveillé dans son instinct de survie au grand dam des bobos, héritiers des événements de 1968.


mercredi, janvier 30, 2019

La liberté d'expression en danger

La VRAIE ACTU par Michel Drac

Spéciale Liberté d'expression : alerte sur le Web



Un entretien avec Roubachof sur les menaces pesant actuellement sur la neutralité du Net. 

Sommaire : 

L'affaire Patreon Purge : 1:15 
Petite explication technique : 5:15 
La suite des évènements : 8:15 
Annonce prochaine vidéo : 16:00

Activité traditionnelle et travail moderne

Le corporatisme, une solution d'avenir...





"(...) on verra le monde revenir à l'état social du temps de
l'Empire romain, qui connut lui aussi les siècles de l'Usure ;
l'esclavage aura pris la forme du prolétariat, la ploutocratie
tiendra la place de l'aristocratie, et tout idéal aura disparu..."




Activité traditionnelle et travail moderne


(...) dans la conception traditionnelle, ce sont les qualités essentielles des êtres qui déterminent leur activité ; dans la conception profane, au contraire, on ne tient plus compte de ces qualités, les individus n’étant plus considérés que comme des « unités » interchangeables et purement numériques. 

Déshumanisation de l'activité professionnelle

Cette dernière conception ne peut logiquement aboutir qu’à l’exercice d’une activité uniquement « mécanique », dans laquelle il ne subsiste plus rien de véritablement humain, et c’est bien là, en effet, ce que nous pouvons constater de nos jours ; il va de soi que ces métiers « mécaniques » des modernes, qui constituent toute l’industrie proprement dite, et qui ne sont qu’un produit de la déviation profane, ne sauraient offrir aucune possibilité d’ordre initiatique, et qu’ils ne peuvent même être que des empêchements au développement de toute spiritualité ; à vrai dire, du reste, ils ne peuvent même pas être considérés comme d’authentiques métiers, si l’on veut garder à ce mot la valeur que lui donne son sens traditionnel.

Si le métier est quelque chose de l’homme même, et comme une manifestation ou une expansion de sa propre nature, il est facile de comprendre qu’il puisse servir de base à une initiation, et même qu’il soit, dans la généralité des cas, ce qu’il y a de mieux adapté à cette fin. En effet, si l’initiation a essentiellement pour but de dépasser les possibilités de l’individu humain, il n’en est pas moins vrai qu’elle ne peut prendre pour point de départ que cet individu tel qu’il est, mais, bien entendu, en le prenant en quelque sorte par son côté supérieur, c’est-à-dire en s’appuyant sur ce qu’il y a en lui de plus proprement qualitatif ; de là la diversité des voies initiatiques, c’est-à-dire en somme des moyens mis en œuvre à titre de « supports », en conformité avec la différence des natures individuelles, cette différence intervenant d’ailleurs d’autant moins, par la suite, que l’être avancera davantage dans sa voie et s’approchera ainsi du but qui est le même pour tous. 

Éveiller les possibilités latentes que l’être porte en lui

Les moyens ainsi employés ne peuvent avoir d’efficacité que s’ils correspondent réellement à la nature même des êtres auxquels ils s’appliquent ; et, comme il faut nécessairement procéder du plus accessible au moins accessible, de l’extérieur à l’intérieur, il est normal de les prendre dans l’activité par laquelle cette nature se manifeste au dehors. Mais il va de soi que cette activité ne peut jouer un tel rôle qu’en tant qu’elle traduit effectivement la nature intérieure ; il y a donc là une véritable question de « qualification », au sens initiatique de ce terme ; et, dans des conditions normales, cette « qualification » devrait être requise pour l’exercice même du métier. Ceci touche en même temps à la différence fondamentale qui sépare l’enseignement initiatique, et même plus généralement tout enseignement traditionnel, de l’enseignement profane : ce qui est simplement « appris » de l’extérieur est ici sans aucune valeur, quelle que soit d’ailleurs la quantité des notions ainsi accumulées (car, en cela aussi, le caractère quantitatif apparaît nettement dans le « savoir » profane) ; ce dont il s’agit, c’est d’« éveiller » les possibilités latentes que l’être porte en lui-même (et c’est là, au fond, la véritable signification de la « réminiscence » platonicienne).

Activité professionnelle, voie de réalisation intérieure


On peut encore comprendre, par ces dernières considérations, comment l’initiation, prenant le métier pour « support », aura en même temps, et inversement en quelque sorte, une répercussion sur l’exercice de ce métier. L’être, en effet, ayant pleinement réalisé les possibilités dont son activité professionnelle n’est qu’une expression extérieure, et possédant ainsi la connaissance effective de ce qui est le principe même de cette activité, accomplira dès lors consciemment ce qui n’était d’abord qu’une conséquence tout « instinctive » de sa nature ; et ainsi, si la connaissance initiatique est, pour lui, née du métier, celui-ci, à son tour, deviendra le champ d’application de cette connaissance, dont il ne pourra plus être séparé. Il y aura alors correspondance parfaite entre l’intérieur et l’extérieur, et l’œuvre produite pourra être, non plus seulement l’expression à un degré quelconque et d’une façon plus ou moins superficielle, mais l’expression réellement adéquate de celui qui l’aura conçue et exécutée, ce qui constituera le « chef-d’œuvre » au vrai sens de ce mot.

Esclavage de la main-d'œuvre 

On voit sans peine par là combien le véritable métier est loin de l’industrie moderne, au point que ce sont pour ainsi dire deux contraires, et combien il est malheureusement vrai, dans le « règne de la quantité », que le métier soit, comme le disent volontiers les partisans du « progrès », qui naturellement s’en félicitent, une « chose du passé ». Dans le travail industriel, l’ouvrier n’a rien à mettre de lui-même, et on aurait même grand soin de l’en empêcher s’il pouvait en avoir la moindre velléité ; mais cela même est impossible, puisque toute son activité ne consiste qu’à faire mouvoir une machine, et que d’ailleurs il est rendu parfaitement incapable d’initiative par la « formation » ou plutôt la déformation professionnelle qu’il a reçue, qui est comme l’antithèse de l’ancien apprentissage, et qui n’a pour but que de lui apprendre à exécuter certains mouvements « mécaniquement » et toujours de la même façon, sans avoir aucunement à en comprendre la raison ni à se préoccuper du résultat, car ce n’est pas lui, mais la machine, qui fabriquera en réalité l’objet ; serviteur de la machine, l’homme doit devenir machine lui-même, et son travail n’a plus rien de vraiment humain, car il n’implique plus la mise en œuvre d’aucune des qualités qui constituent proprement la nature humaine. Tout cela aboutit à ce qu’on est convenu d’appeler, dans le jargon actuel, la fabrication « en série », dont le but n’est que de produire la plus grande quantité d’objets possible, et des objets aussi exactement semblables que possible entre eux, et destinés à l’usage d’hommes que l’on suppose tous semblables également ; c’est bien là le triomphe de la quantité, comme nous le disions plus haut, et c’est aussi, et par là même, celui de l’uniformité. 

Cités concentrationnaires

Ces hommes réduits à de simples « unités » numériques, on veut les loger, nous ne dirons pas dans des maisons, car ce mot même serait impropre, mais dans des « ruches » dont les compartiments seront tous tracés sur le même modèle, et meublés avec ces objets fabriqués « en série », de façon à faire disparaître, du milieu où ils vivront, toute différence qualitative ; il suffit d’examiner les projets de certains architectes contemporains (qui qualifient eux-mêmes ces demeures de « machines à habiter ») pour voir que nous n’exagérons rien ; que sont devenus en tout cela l’art et la science traditionnels des anciens constructeurs, et les règles rituelles présidant à l’établissement des cités et des édifices dans les civilisations normales ? 

Il serait inutile d’y insister davantage, car il faudrait être aveugle pour ne pas se rendre compte de l’abîme qui sépare de celles-ci la civilisation moderne, et tout le monde s’accordera sans doute à reconnaître combien la différence est grande ; seulement, ce que l’immense majorité des hommes actuels célèbrent comme un « progrès », c’est là précisément ce qui nous apparaît tout au contraire comme une profonde déchéance, car ce ne sont manifestement que les effets du mouvement de chute, sans cesse accéléré, qui entraîne l’humanité moderne vers les « bas-fonds » où règne la quantité pure.

René Guénon

lundi, janvier 28, 2019

La tentation des armes


Eric Drouet réagit à la blessure de Jérôme Rodrigues : "On aurait dit une élimination de leader". En éborgnant Jérôme Rodrigues, le régime veut-il créer le chaos ?



 La tentation des armes

par Lotfi Hadjiat


La république maçonnique se fissure, le bétail goy est en colère et le fait savoir brutalement en s’en prenant physiquement aux représentants et aux institutions de ladite république. 

L’abrutissement méthodique des masses goy n’a pas fonctionné, même avec une propagande acharnée sur tous les fronts, musique, cinéma, publicités, informations, polémiques, divertissements, écoles, publications… Quant à la dernière tactique du détournement de la colère du bétail goy vers et contre l’islam, cette stratégie a elle aussi échoué malgré les hurlements aux loups des Zemmour, Finkielkraut, Bernard-Henry Lévy…, incitant hystériquement à une guerre civile ; les trois têtes de ce cerbère républicain sont littéralement folles de rage de voir qu’au lieu de plonger dans une guerre civile contre les musulmans, le bétail goy se soit levé plutôt contre cette république à laquelle ces têtes folles sont si attachées ! 

Prière rabbinique pour la république maçonnique

En désespoir de cause, le 7 décembre 2018, le Grand Rabbin de France Haïm Korsia a même appelé le corps rabbinique français à réciter la prière pour la république, car oui il y a une prière pour la république dans le corpus de leurs prières, la seule prière dite en français. 

Sommes-nous en train de vivre les dernières heures de cette république maçonnique ? Les dernières heures de l’oligarchie maçonnique française qui s’engraisse sur le dos des paysans qui se suicident ? Voire l’écroulement de la franc-maçonnerie tout court ? Car même si cette oligarchie républicaine décide de sacrifier Macron, qu’en sera-t-il de l’après-Macron ? 

Colère insurrectionnelle du peuple

Rien n’est plus incertain que l’après-Macron, rien n’est plus imprévisible que la colère d’un peuple qui se rend compte à quel point on se fout de lui depuis des décennies, qui n’a plus rien à perdre et qui reste déterminé jusqu’à la mort à ne plus se laisser duper par les manœuvres de cette oligarchie gavée de tous les privilèges. À part mettre le peuple en prison, ou l’éradiquer pour le remplacer par un autre, cette oligarchie n’a pas beaucoup de solutions pour se maintenir au pouvoir. Surtout que l’après-Macron va arriver très vite. Même un État martial décidé à la hâte avant que le peuple n’arrive au pouvoir, avant que la porte de l’Élysée ne soit enfoncée par la France d’en bas, comme l’a été tout à fait physiquement celle du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, même un État militaire dirigé par des généraux très grassement stipendiés n’aurait finalement pour effet que de décupler la colère déjà insurrectionnelle du peuple. Reste l’infiltration, le noyautage, le sabotage… ou le pourrissement, le chaos. 

Le chaos irréversible, la guérilla généralisée

Ces fumiers oligarchiques n’accepteront de toute façon la défaite qu’en enlisant le pays dans le chaos et la destruction totale, car ils ont la défaite mauvaise. Voilà le piège que la colère du peuple doit éviter : le chaos irréversible, la guérilla généralisée… 

Tout ça pour dire que les appels aux armes de certaines figures de ce soulèvement populaire français me paraît hautement suspect. Le bras de fer, le rapport de forces politique doit continuer en se rappelant cette parole très juste de Rousseau : « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître ».

Source : https://www.lelibrepenseur.org

dimanche, janvier 27, 2019

La vraie actu : Spéciale Gilets Jaunes

La généralisation du "projet chaos" ?


La vraie actu par Michel Drac 
Spéciale Gilets Jaunes 2 : Fight Club

Le point sur l'évolution du mouvement des gilets jaunes et le contexte politique général dans lequel il s'insère, à fin janvier 2019.

Fait suite à une vidéo présentant une analyse de ce mouvement, à mi-décembre 2018 : https://www.youtube.com/watch?v=mlNow...


Sommaire : 
6 semaines plus tard : 1:30 
Une population déboussolée : 2:45 
Un pouvoir autiste : 13:45 
Un mouvement en mutation : 33:15 
Les risques de contagion : 46:00 
Les conséquences politiques : 1:00:45


vendredi, janvier 25, 2019

L'Histoire suit un scénario écrit pour le Messie de Rothschild



Le clip Hip-hop "Gilets jaunes", censuré par YouTube dénonçait les Rothschild, la finance apatride, la classe politique corrompue...



L'Histoire suit un scénario écrit pour le Messie de Rothschild 

Henry Makow



L’idéologie derrière le Nouvel Ordre Mondial relève certainement du Messianisme Juif, la vision du monde selon laquelle Dieu a choisi le «Roi des Juifs» pour diriger les nations. Ce «Messie», ou Antéchrist, sera sélectionné parmi les rangs de la famille Rothschild.

Cet argument est exposé dans un livre rare et supprimé intitulé: "Elijah, Rothschilds and the Ark of the Covenant" - "Elijah, les Rotschild et l’Arche d’Alliance" de Tom Crotser & Jeremiah Patrick (Restoration Press, 1984). Il vient confirmer les Protocoles des Sages de Sion (23-24) révélant qu’un descendant du Roi David, le «Roi des Juifs» sera couronné «Roi du Monde».

L’ouvrage détaille la quête des Rothschild pour la découverte de l’Arche d’Alliance, une boite recouverte d’or construite par Moïse après l’Exode pour y recueillir la canne d’Aaron et les tablettes originales des Dix Commandements. Apparemment les Rothschild avaient l’intention de la placer dans le Temple de Salomon à Jérusalem pour légitimer leur prétention à être le «Messie».

Cette vision bizarre ayant sa racine dans les prophéties bibliques, se trouve à l’origine des évènements politiques et économiques d’aujourd’hui. Le projet Sioniste voit bien au-delà d’une patrie juive. «L’espoir messianique promet la mise en place par les juifs d’un pouvoir mondial en Palestine auquel toutes les nations de la Terre rendront hommage.» (p. 29) «Cet âge glorieux ne peut être amené que par un homme, un descendant de la maison de David» qui conduira les juifs vers la «droiture» et «régénèrera» la race humaine.

D’après le Talmud, ce Messie de la lignée de David soumettra toutes les nations païennes et Israël détiendra le pouvoir mondial.

Résumant le Talmud, le rabbin Michael Higger écrit que: «Tous les trésors et les ressources naturelles du monde deviendront la possession des vertueux.» Cela, dit-il, se fera en accomplissant la prophétie d’Isaïe: «Mais son gain et son salaire impur seront consacrés à l’Eternel, Ils ne seront ni entassés ni conservés; Car son gain fournira pour ceux qui habitent devant l’Éternel une nourriture abondante et des vêtements magnifiques.» ("The Jewish Utopia" - "L’Utopie Juive", 1932) Évidemment, la majorité des juifs ne sont pas au courant de ce plan, il est donc d’autant plus aisé de les manipuler.



LES FAISEURS DE MESSIE

Les Rothschild se considèrent eux-mêmes comme des faiseurs de Messie, si ce n’est le Messie lui-même.

Dès 1836, Anselme Meyer Rothschild recevait une lettre du rabbin Hirsch Kalischer, qui lui révéla le plan divin: «Ne pensez pas que le Messie apparaitra soudainement par un miracle et au milieu de merveilles, et conduira les israélites vers leur ancien héritage. Le début de la rédemption s’accomplira de manière naturelle, par le désir des juifs de s’installer en Palestine, et la volonté des nations de les aider à accomplir ce projet.»

Sans l’Holocauste Juif, il n’y aurait pas eu d’état d’Israël. Si nous considérons le fait que l’Holocauste fut essentiel à l’établissement d’Israël, le messianisme donne à l’histoire moderne un éclairage tout à fait nouveau. L’Holocauste faisait probablement parti d’un plan pour amener un Messie Juif en forçant les juifs à créer Israël.

Après que les Juifs soient retournés en Palestine et que le Temple ait été reconstruit, «Dieu leur montrera alors tous les miracles en accord avec la description donnée par les prophètes et les sages… Dieu enverra son prophète et son Roi pour qu’il reçoive l’onction sacrée», écrivait Kalischer à Rothschild.

Albert Cohen, le tuteur d’Edmond de Rothschild, partageait les vues de Kalisher et en imprégna son pupille. Ainsi Edmond de Rothschild finança la colonisation juive de la Palestine au 19ème siècle.

Edmond de Rothschild organisa la célèbre affaire Dreyfus de manière à créer l’antisémitisme et forcer les juifs à soutenir la création d’Israël comme un refuge.



PAR LA DETTE

Les Rothschild ont soumis les nations à leur volonté grâce la dette. Moïse en décrit le principe de base dans le Deutéronome 15:6: «Tu prêteras à de nombreuses nations, mais tu n’emprunteras pas; et tu règneras sur beaucoup de nation, mais elles ne règneront pas sur toi.»

L’auteur explique: «Notez qu’il ne s’agit nullement d’une suggestion donnée dans les Écritures. C’est un commandement du Dieu d’Israël. Le prêt usuraire est le moyen de s’emparer de la terre.» «Le prêt usuraire aux consommateurs et en cas d’urgence est devenu un monopole virtuel Juif en Europe Occidentale entre le 12ème et le 15ème siècle… Comme garantie, l’immobilier était le moyen privilégié. De cette manière, les Juifs ont acquis des demeures, des vignobles, des fermes, des villages, des châteaux, des villes et mêmes des provinces entières.» «L’émergence de monarchies absolues en Europe Centrale a conduit de nombreux Juifs à des positions influentes où ils furent en mesure de négocier des emprunts pour les cours royales. Le phénomène de Juifs de cour s’est prolongé en Europe. Les plus célèbres étaient Lehmann, Oppenheimer et Goldschmidt en Allemagne et en Autriche.» «Jean Izoulet, un membre de l’Alliance Israélite Universelle, a écrit en 1932 : «Le sens de l’histoire du dernier siècle est qu’aujourd’hui 300 financiers Juifs, tous maitres des loges, dirigent le monde.»

«La Cité du Vatican est tombée sous l’influence des Rothschild au début du 19ème siècle… Le Pape Jean-Paul II a admis que l’Église Catholique Romaine était toujours liée aux Rothschild… En septembre 1979, le Pape a révélé que l’Église détenait 50 milliards de dollars investis au sein de diverses banques Rothschild…»



CONCLUSION

Edmond de Rothschild a joué un rôle majeur dans un drame d’une ampleur bien plus grande, qui verra son descendant devenir finalement l’Antéchrist. Cela nécessitait que les juifs retournent en Palestine, et que Rothschild organisât un énorme pogrom en Europe. (Voir Makow, Hitler a été un don du ciel pour Israël) Il avait établi sa propre administration en Palestine, décidait de ce qui devait pousser et achetait tous les produits à prix fixe. Entre 1887 et 1899, il effectua trois visites au sein de bon nombre de campements éloignés.

L’auteur des "Protocoles des Sages de Sion" se réfère de manière répétitive à la conquête mondiale dans les termes suivant: «lorsque nous aurons atteint notre royaume.» Je suis convaincu qu’il était un Rothschild.

Nous pouvons déjà voir ce plan se mettre en place dans la manière dont les États-Unis et les autres nations Occidentales financent Israël et se porte garant de sa sécurité.


Henry Makow, né le 12 novembre 1949 à Zurich, est un écrivain canadien.

"Henry Makow affirme que la « force occulte » qui agit en arrière-plan de l'Histoire provient d'un cartel de banquiers de la ville de Londres qui exerce une influence sur les médias et agit par l'intermédiaire de la franc-maçonnerie. Ce cartel souhaite établir une « dictature mondiale » pour défendre son monopole du crédit et sur la création de la monnaie. En ayant recours à la guerre, leur objectif est le dépeuplement, lequel aboutira, en dernière instance, à l'esclavage mental et spirituel voire physique de l'humanité. Makow est aussi un dénonciateur de réseaux pédocriminels canadiens."

mercredi, janvier 23, 2019

La vraie actualité pour sortir du conditionnement médiatique




Commentaire de l'actualité par Michel Drac 

Le postérisé du mois : 1:00 
Démographie et flux migratoires : 3:45 
Energies et technologies : 14:45 
Géopolitique : 19:45 
Economie et écologie : 38:00 
Eurocrise : 55:15 
Politiques intérieures : 1:09:15 
Cultures et société : 1:09:30

(Risque d'une nouvelle guerre dans l'ex-Yougoslavie, retour des talibans en Afghanistan, troubles au Soudan, encerclement du bloc sino-russe... "Quand vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres...")

Livre :
Michel Drac

Macron : un illusionniste. Son élection : un trompe-l'œil. Sa politique : du théâtre. Sa méthode : communiquer sur des détails insignifiants pour faire perdre de vue le tableau d'ensemble. Donc, afin que nous puissions voir Macron, et le voir réellement, Michel Drac va à l'essentiel. En huit scénarios, il dévoile les vrais enjeux du quinquennat :

1. La mort douce : 2020, la conjoncture mondiale se retourne. Mal remise de la crise de 2008, l'économie française encaisse durement le choc. Le climat politique se dégrade...

2. Euro : Le Brexit est conflictuel. La City of London passe à l'attaque. Crise de la zone euro, le retour...

3. La grande spoliation : les élites américaines se déchirent. Wall Street n'accompagne pas la politique de Donald Trump. 24 octobre 2018, le Dow Jones est divisé par deux...

4. Le printemps italien : panique à Rome, le Mouvement 5 Étoiles a remporté les élections législatives...

5. Mourir pour Riga : le commandant en chef de l'OTAN en Europe veut contraindre Paris, Madrid et Berlin à lui confier les pleins pouvoirs sur la défense européenne. Mais rien ne se passe comme prévu...

6. Le dérapage incontrôlé : 2020, élections en vue aux États-Unis. Trump joue au chef de guerre pour rallier l'électorat républicain. Il défie la Corée du Nord...

7. La découverte de l'Europe : 2019, cataclysme climatique majeur. Partout dans le monde, les stocks de céréales plongent. Des dizaines de millions de migrants affluent vers le vieux continent...

8. La Troisième Guerre Mondiale : coup d'État néo-nazi à Kiev. Le conflit du Donbass dégénère. L'armée russe intervient...

mardi, janvier 22, 2019

TV Lobotomie





La vérité scientifique sur les effets de la télévision 



Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant.

Lubin, 3 ans, regarde la télé 2 heures par jour. Cela triple ses chances d'être en surpoids.

Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents comme DragonBall Z. Cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement quand il sera à l'école primaire.

Silvia, 7 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela augmente de plus d'un tiers ses chances de devenir une adulte sans diplôme.

Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives. Cela triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée.

Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour. Cela augmente d'un tiers ses chances de développer la maladie d'Alzheimer.

Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, se contente de la moitié. Henri a 2 fois plus de chances de mourir d'un infarctus que René.

Chaque mois, les revues scientifiques internationales publient des dizaines de résultats de ce genre. Pour les spécialistes, dont fait partie l'auteur, il n'y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l'attention, l'imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l'alcoolisme, la sexualité, l'image du corps, le comportement alimentaire, l'obésité et l'espérance de vie.


Ces faits sont niés avec un aplomb fascinant par l'industrie audiovisuelle et son armée d'experts complaisants. La stratégie n'est pas nouvelle : les cigarettiers l'avaient utilisée, en leur temps, pour contester le caractère cancérigène du tabac...




La vérité scientifique sur les effets de la télévision

Extrait :

La télé cultive la peur et la violence


L'effet des programmes audiovisuels violents sur le psychisme et le comportement des spectateurs a été largement étudié par les scientifiques du monde entier, depuis plus de 60 ans. Toutefois, en ce domaine, l'effort de recherche ne s'est pas exprimé de façon linéaire. Il a pris corps principalement entre le début des années soixante et la fin des années quatre-vingt. Depuis cette dernière date, l'investissement des spécialistes s'est lentement étiolé jusqu'à devenir quasiment nul. Aujourd'hui, seul un petit nombre d'études longitudinales de très longue haleine parviennent encore à trouver leur place dans les revues internationales de premier plan. Sur le fond, cette désaffection progressive n'a rien de surprenant. Elle ne fait qu'entériner l'épuisement graduel du champ problématique et la conviction unanime que tout a été dit . En fait, depuis le début des années deux mille, c'est principalement à la diffusion de cette réalité que se sont attachés les chercheurs du domaine. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ces spécialistes n'ont pas lésiné sur la clarté des formulations. «Le débat scientifique destiné à savoir si la violence médiatique augmente les comportements d'agression et de violence est fondamentalement terminé. » (Craig Anderson et collègues) « Il y a évidences claires selon lesquelles l'exposition à la violence médiatique contribue de manière significative à la violence du monde réel. » (Ellen Wartella et collègues) « Les recherches conduites durant les 50 dernières années amènent à la conclusion selon laquelle la violence télévisée affecte les attitudes, valeurs et comportements des spectateurs. En général, il semble y avoir trois classes principales d'effets : agression, désensibilisation et peur. » (John Murray) «La conclusion des organisations de santé publique, basée sur plus de 30 ans de recherches, est que regarder des spectacles violents peut conduire à augmenter les attitudes, valeurs et comportement agressifs, particulièrement chez les enfants. Les effets sont mesurables et de longue durée. » (Déclaration conjointe de 6 associations médicales américaines majeures) « Les évidences sont maintenant claires et convaincantes : la violence dans les médias est l'un des facteurs causaux des agressions et de la violence réelle. En conséquence, les pédiatres et les parents doivent agir. » (Académie américaine de pédiatrie) «Le corpus d'évidences accumulées est cohérent et clair — la violence à la télévision provoque une augmentation des comportements agressifs et violents. » (Rowell Huesmann et Laramie Taylor) « La controverse devrait être terminée. » (Victor Strasburger) L'ultime preuve de cette réalité réside sans doute, aujourd'hui, dans le développement des travaux de neuro-imagerie. En effet, ceux-ci témoignent directement du fait que les chercheurs ont dépassé le problème de mise en évidence (est-ce que les images violentes altèrent le comportement ?) pour s'intéresser à la question des causalités (comment les images violentes altèrent-elles le comportement ?).


Au vu des observations précédentes, on aurait pu s'attendre à ce que le message délivré au grand public, par les médias, soit d'une limpidité absolue. Il n'en est rien, bien au contraire. Contre vents et marées, « l'industrie du divertissement et certains critiques choisis continuent de nier l'évidence ». En fait, plus les scientifiques empilent les confirmations et plus le vulgum pecus médiatique affiche son scepticisme. Ce point a été clairement démontré par Bushman et Anderson au sein d'une étude quantitative réalisée en réponse à une série d'articles parus dans plusieurs organes de presse éminents, dont Newsweek et le New York Times. Avant de publier cette étude, nos deux chercheurs ont bien évidemment tenté de porter le fer au cœur de divers médias grand public. Ces derniers restèrent cependant de marbre. Comme beaucoup de leurs collègues, Bushman et Anderson furent poliment priés d'aller jouer plus loin. En désespoir de cause, les deux hommes se résolurent donc, finalement, à publier leurs arguments dans un journal scientifique familier des seuls spécialistes. Le citoyen lambda n'entendit jamais parler de la controverse. La position exprimée par la gent journalistique et son armée de pipeaulogues complaisants resta parole d'évangile. Un constat d'autant plus ennuyeux qu'il ne limite pas sa portée aux seuls États-Unis. Bien d'autres pays, dont la France, offrent un terreau fertile aux tribunes délirantes des bonimenteurs de tous horizons. Parmi les arguments favoris de ces braves gens se trouve, en tête de liste, l'inusable théorie du bouc émissaire. Selon cette dernière, la télévision ne serait en fait qu'une victime expiatoire désignée à la vindicte populaire afin d'exonérer le corps social de ses responsabilités. « Faute d'identifier les "vrais coupables", nous dit par exemple la sociologue Judith Lazar, on se rabat sur les "coupables idéaux". La télévision semble être un de ces coupables illusoires. » Une idée récemment reprise par Patrick Eveno. Selon cet historien des médias, il existe « une thématique récurrente qui attribue aux médias la cause des malheurs de la société. Ainsi, au début du XXe siècle, le sociologue Gabriel de Tarde suscite un ample débat médiatique en accusant la presse, par ses récits de crimes, de développer la criminalité ». À ce genre de discours on peut, je crois, opposer deux remarques. Premièrement, ce n'est pas parce qu'un éminent sociologue s'est peut-être trompé il y a plus d'un siècle à propos de la presse écrite, que les scientifiques se fourvoient aujourd'hui en référence à la télévision. Deuxièmement, comme ne cessent de le répéter les spécialistes, aucun individu sérieux n'a jamais érigé les médias en bouc émissaire, ni affirmé que la télévision était la source unique ou même principale des comportements violents qui traversent notre société. Selon les termes de Rowell Huesmann et Laramie Taylor, par exemple, « aucun chercheur respectable ne suggère que la violence médiatique est "la" cause des comportements violents ». La seule chose qu'osent affirmer les scientifiques, c'est que la télévision représente un facteur de violence significatif et qu'il serait dommage de ne pas agir sur ce levier causal, relativement accessible en comparaison d'autres déterminants sociaux plus profonds (pauvreté, éducation, cadre de vie, etc.). Des tréfonds de ma grande naïveté, cette position ne me semble ni scandaleuse, ni imbécile ni, surtout, de nature à rejeter sur les médias « la cause des malheurs de la société ».


En soutien à la fable du bouc émissaire, on trouve généralement aussi le conte des incertitudes scientifiques. Il est alors suggéré que les effets de la violence médiatique sur le comportement du spectateur ne sont en rien avérés. Cette idée fut notamment soutenue il n'y a pas si longtemps par Catherine Tasca déclarant, alors qu'elle était ministre de la Culture, que « les scientifiques sont loin d'établir un lien mécanique entre la violence des images et l'évolution des comportements des enfants ». Une idée réaffirmée ultérieurement de manière plus directe à travers l'assertion selon laquelle « majoritairement, les chercheurs disent qu'il n'y a pas de lien ». Et les énergumènes qui osent dire le contraire sont forcément malhonnêtes, En fait, tous ces lascars cachent un projet sournois. Ils veulent, à l'image de Blandine Kriegel (coordinatrice d'un rapport officiel remarqué sur la violence à la télévision ), « inquiéter pour contrôler » et ils n'hésitent pas, pour soutenir leurs fallacieuses conclusions, à sélectionner « certaines recherches aux dépens d'autres ». J'avoue que ce dernier argument est d'une beauté fatale. Ultime recours de la mauvaise foi, il se range avec agilité sous l'aile des théories complotistes en laissant entendre qu'il existerait, « quelque part », une littérature dissidente que les contempteurs de la violence médiatique passeraient sournoisement sous silence. Ce genre de saillie a déjà fait ses preuves dans bien des domaines dont le réchauffement climatique, les conséquences de l'homoparentalité, les effets de la garde alternée et (bien sûr) l'association cancer/tabac. Souvent, les chercheurs se désintéressent du problème, jugeant qu'il ne serait pas très convenable de dilapider l'argent des institutions publiques dans d'aussi vaines polémiques. Parfois, pourtant, la pression devient telle que la communauté scientifique n'a d'autre choix que de monter au créneau pour défendre sa probité. C'est précisément ce qui s'est passé avec la violence audiovisuelle. En ce domaine, la contre-offensive s'est notamment appuyée sur une identification systématique des recherches prétendument « oubliées ». Résultat des courses, selon les chiffres publiés par l'Académie américaine de pédiatrie, « plus de 3 500 travaux de recherche ont examiné l'association liant violence médiatique et comportements violents ; tous, à l'exception de 8, ont montré une relation positive ». 8 sur plus de 3 500, cela représente près de 99,8 % de corroboration ! Ce pourcentage, tout à fait faramineux pour des travaux de sciences humaines, n'est cependant pas surprenant au regard d'analyses antérieures, basées sur des approches dites méta-analytiques. Ces dernières sont couramment utilisées par les chercheurs pour combiner, au sein d'une seule étude « géante », un grand nombre d'observations indépendantes. L'objectif ultime est alors de déterminer si un effet s'avère présent, « dans l'ensemble », au-delà de possibles variations locales. Lorsque cela fut fait pour le problème de la violence à la télévision, on observa qu'il existait une influence fortement significative des images violentes sur l'émergence de conduites agressives. Ce résultat se révéla d'autant plus important qu'il reposait sur l'évaluation de populations générales, non pathologiques. Une telle représentativité souligne, pour reprendre les termes de Rowell Huesmann et de ses collègues, que les processus cérébraux qui mènent des images violentes aux comportements agressifs sont « immuables et universels ». Cette conclusion invalide clairement la thèse tristement répandue de prédisposition dont on trouve trace, par exemple, dans une interview de Mme Tasca déclarant doctement que « le passage à l'acte ne se fait que chez un public prédisposé ». Une affirmation que partagent évidemment Catherine Muller et François Chemel certifiant avec foi (mais sans source faut-il le préciser) que les images violentes « ne représentent un véritable danger que chez les sujets qui présentent déjà une pathologie certaine ». En d'autres termes, et pour citer Michael Stora, fondateur d'un obscur « observatoire des mondes numériques en sciences humaines », « les images sont prises pour cibles mais elles ne sont que des révélateurs de pathologies déjà existantes ». Tout cela n'est guère sérieux, vraiment... sauf si l'on considère que le célèbre Dr Knock avait raison lorsqu'il affirmait avec exaltation que « les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent ». Peut-être, après tout, que « tout spectateur équilibré cache au fond de lui un psychopathe en sommeil ». Nous aurons l'occasion de revenir ci-après sur cette idée en abordant la question centrale des priming sociaux. Avant cela toutefois, que l'on me permette de discuter un dernier reproche fait aux contempteurs de la violence audiovisuelle, et relatif à la faiblesse des influences observées. En termes statistiques, un effet peut être à la fois fortement significatif et désespérément faible. Pour illustrer ce point, prenons, par exemple, 1 000 adolescents de 16 ans. Demandons-leur de sprinter 50 mètres dans deux conditions expérimentales imposant d'évoluer soit tout nu, soit chargé d'une ceinture de 500 grammes. Chez presque tous les sujets, la performance aura tendance à se dégrader légèrement dans le second cas. Dès lors, si un test statistique est effectué pour déterminer l'effet de la charge sur la performance motrice, on obtiendra une très forte significativité en présence de faibles variations chronométriques. Ce type de dissociation a souvent été évoqué au sujet des images violentes. L'idée alors développée suggère que l'effet existe, mais qu'il est quantitativement marginal. Un simple coup d’œil à la problématique des grands nombres suffit à disqualifier irrévocablement ce propos. En effet, il est clairement établi qu'une influence localement minime peut avoir des conséquences majeures si elle s'applique à une large population et/ou de manière récurrente. Supposons, pour illustrer ce point, que la violence contenue dans un film affecte 1 spectateur sur 1 000. Si 10 millions de sujets voient ce film lors de sa sortie à la télévision, on se retrouve avec 10 000 actes agressifs ou violents sur les bras. En accord avec ce cadre théorique, Brandon Centerwall a évalué, au début des années quatre-vingt-dix, sur la base de données épidémiologiques de grande ampleur, le nombre de délits imputables à la télévision. Selon les conclusions présentées par cet auteur dans le très réputé Journal of the American Medical Association (JAMA), « chaque acte violent est manifestement le résultat d'un ensemble de forces agissant de concert pauvreté, crime, abus d'alcool et de drogue, stress — dont l'exposition précoce à la télévision n'est qu'une dimension. Néanmoins, les évidences épidémiologiques indiquent que si, hypothétiquement, la technologie télévisuelle n'avait jamais été développée, il y aurait aujourd'hui aux États-Unis chaque année 10 000 homicides de moins, 70 000 viols de moins et 700 000 agressions avec blessures de moins ». Pour ceux qui jugeraient ces chiffres extravagants, un petit retour sur une recherche déjà évoquée pourrait se révéler intéressant. Dans ce travail, trois villes sociologiquement comparables furent étudiées. Deux recevaient la télévision (UniTel, MultiTel). La troisième devait obtenir sa connexion à échéance de 24 mois (NoTel). Les auteurs étudièrent le comportement de jeunes élèves du primaire, alors que ceux-ci jouaient dans la cour de leur école pendant les récréations. Les conduites agressives et violentes furent classées selon deux axes, l'un physique (par exemple coups, bousculades, morsures, etc.), l'autre verbal (par exemple injures, menaces, altercations, etc.). Les résultats montrèrent, pour NoTel, suite à l'introduction de la télévision, un doublement des incidents verbaux et un quasi-triplement des accrochages physiques. Aucune évolution significative ne fut observée, sur la même période, pour les deux autres agglomérations (MultiTel et UniTel). Difficile de conclure, au vu de ces données, que l'effet télévision est marginal ! Une ultime illustration de cette réalité provient d'études de corrélations. Le principe consiste alors à déterminer, à conditions sociodémographiques, psychologiques et personnelles égales, si les enfants qui consomment le plus de contenus audiovisuels violents produisent un plus grand nombre de comportements agressifs. Ce lien potentiel est généralement exprimé sous forme d'un coefficient r, pouvant varier entre — 1 (lorsque l'une des deux variables augmente, l'autre diminue de manière strictement proportionnelle), 0 (les deux variables sont indépendantes) et 1 (les deux variables varient de manière strictement proportionnelle). Typiquement, les chercheurs ont trouvé, en fonction des études, des indicateurs d'agression considérés et des approches expérimentales utilisées, des coefficients situés entre 0,2 et 0,4. En termes mathématiques, cela veut dire que 5 à 15 % des différences comportementales observées entre les individus, en matière de violence, sont attribuables à la télévision. En termes qualitatifs, cela implique que le lien moyen associant images violentes et comportements agressifs a presque la même force que le lien unissant tabagisme et cancer du poumon. Ces deux liens sont eux-mêmes supérieurs à ceux observés entre l'absence d'utilisation du préservatif et le risque de contamination par le virus du sida, entre l'exposition précoce au plomb et la survenue de déficiences intellectuelles, entre la consommation de calcium et la valeur de masse osseuse, entre l'utilisation de patchs à la nicotine et l'arrêt des conduites tabagiques, ou entre l'absence d'administration de bêtabloquants après un infarctus et le risque de mortalité à 14 court terme. Ceux qui allèguent que la relation unissant images et comportements violents est négligeable oseraient-ils affirmer que l'utilisation du préservatif a une influence minime sur le risque de contamination par le VIH, ou que le recours aux bêtabloquants a un effet dérisoire sur la survie des patients exposés à un infarctus du myocarde, ou encore que le fait de fumer n'accroît que marginalement le risque de développer un cancer du poumon ? Je ne le crois pas. Or, on ne peut défendre l'une de ces stupides assertions sans les soutenir toutes.


Ainsi, malgré les dénégations de l'industrie du divertissement et de ses maîtres pipeaulogues, il est aujourd'hui clairement établi que la violence des images affecte le comportement de nos enfants. Cette action prend trois formes principales : stimulation de comportements violents et agressifs abaissement du seuil de tolérance à la violence (c.-à-d. désensibilisation) exacerbation du sentiment d'insécurité. Ces différents points seront abordés successivement au sein des pages suivantes, après un bref état des lieux relatif à l'omniprésence des images violentes à la télévision. Le lecteur trouvera peut-être étonnant de ne pas voir développé aussi, au sein du présent chapitre, le concept de catharsis selon lequel les spectateurs se purgeraient de leurs pulsions violentes en voyant ces dernières mises en scène à la télévision. Cette idée d'une « libération par dérivation » pour reprendre l'expression d'Henri Piéron est en effet très populaire chez les défenseurs du droit à la créativité et à la violence audiovisuelle. Si elle n'apparaît pas ici, c'est tout simplement parce qu'elle ne jouit d'aucun support expérimental probant et que, selon la conclusion d'un large travail de synthèse, « il n'y a pas le plus petit début de donnée scientifique convaincante pour étayer cette théorie [...] [qui] peut être oubliée ». Victor Strasburger va même jusqu'à parler d'une « théorie complètement discréditée » qui doit son étonnante pérennité au fait qu'elle arrange bien les affaires des lobbies cinématographiques et audiovisuels. À ce jour, parmi les milliers d'études réalisées, aucune n'a pu montrer, en accord avec les prédictions du modèle de purge cathartique, que les comportements agressifs tendaient à diminuer après exposition à des contenus audiovisuels violents.


Michel Desmurget



Biographie de l'auteur

Michel Desmurget est docteur en neurosciences. Après avoir fréquenté plusieurs grandes universités américaines (MIT, Emory, UCSF), il est aujourd'hui directeur de recherche à l'INSERM. Il est l'auteur de Mad in USA (Max Milo, 2008).



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