jeudi, juin 11, 2020

Jacques Attali confirme que le cinéma est une véritable arme de subversion idéologique

(Durée 1:26)

Une société secrète juive, le B'naï B'rith, contrôle Hollywood


« Dès les années trente, le B'naï B'rith avait créé des « loges professionnelles » dans les secteurs où l'Ordre disposait d'une implantation suffisante ou souhaitait en disposer d'une. Dès 1927, le B'naï B'rith avait ainsi signé un accord avec le principal syndicat de production et de distribution de films américains, la Motion Picture Producers and Distributors of America. Le prétexte en fut le film Le Roi des rois de Cecil B. De Mille, qui raconte la vie de Jésus. Alfred M. Cohen, président à l'époque du B'naï B'rith, obtint du célèbre cinéaste qu'il rectifie divers passages et modifie certaines scènes, de manière à « corriger » la fiction, en particulier le passage sur la Passion du Christ, afin de dédouaner de toute responsabilité les juifs. Il fut obtenu en outre que le film ne serait pas diffusé « dans les pays européens ou dans les communautés dans lesquels le jugement du Conseil des sages (le Sanhédrin) pourrait créer des sentiments anti Juifs, et là non plus où il risquerait d'être la cause de désordre, en raison du sujet du film ». Le B'naï B'rith créa rapidement, à l'image des organisations maçonniques, sa propre Fraternelle du cinéma, qui regroupa tous les Frères dans cette profession, des acteurs aux cinéastes, des producteurs aux distributeurs, des scénaristes aux techniciens. La fine fleur du cinéma s'y retrouva, avec des hommes aussi puissants qu'Alfred W. Schwalberg, président de Paramount Pictures, Barney Balaban, président de la firme Paramount, ou Harry Goldberg, de la Warner Brothers. Dans les années 1925-1935, cette Fraternelle était déjà si puissante que Will Hays, surnommé " Le Tsar du cinéma ", invita le président du B'naï B'rith, Alfred M. Cohen (juriste, élu sénateur en 1896, à la tête du B'naï B'rith de 1925 à 1938), aux studios de production de New York afin de lui demander de devenir son conseiller en filmographie, de manière à surveiller tous les scénarios en rapport plus ou moins direct avec le judaïsme.

La Loge fut enregistrée auprès du B'naï B'rith le 16 novembre 1939 sous le numéro distinctif 1 366. Elle comprenait alors environ cent cinquante Frères fondateurs. Sous l'influence de Schwalberg, qui en fut le premier président, la Loge compta dans les années quarante plus de 1 600 Frères (acteurs, réalisateurs, producteurs, scénaristes, etc.) qui exercèrent une influence certaine sur nombre des films de cette époque, en particulier durant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années soixante, la Loge perdit de son importance, en raison surtout du fait qu'elle demeurait réservée aux hommes. En 1974, son nouveau président, Herbert Morgan, la transforma en Loge mixte, la Cinema Unit 6 000. Elle retrouva alors une nouvelle vigueur. En 1977, ce chapitre fusionna avec la Loge Radio-Télévision, pour devenir l'actuelle Cinema-Radio-TV Unit 6 000, qui regroupe tous les membres du B'naï B'rith influents dans les médias, les spectacles et le cinéma (y compris les critiques de cinéma), afin de leur permettre de mieux coordonner leurs projets. Comme le dit l'un de ses anciens présidents, Ted Lazarus, cette Loge donne à ses membres « une raison pour identifier la judéité avec un lien professionnel ».

Dans les soirées de bienfaisance du B'naï B'rith ou dans les spots publicitaires (destinés à ramasser des fonds) de sa filiale, la Ligue Anti-Diffamation (A.D.L. ), interviennent des acteurs célèbres, membres de la Loge 6 000 ou de l'A.D.L., comme Larry Hagman, qui interprète J.R. Ewings dans la fameuse série Dallas. Dans le spot, Hagman, jouant sur son image de « méchant » demande aux téléspectateurs de se méfier dans la vie des « méchants », et d'aider les « bons » (c'est-à-dire l'A.D.L.) à gagner le bon combat. On peut aussi citer le héros de la série Hooker, William Shatner (ex-capitaine Kirk de Star Trek), ou Leonard Nimrod, le célèbre Monsieur Spock de La Guerre des étoiles (Star Trek).

Dès 1946, la filiale spécialisée du B'naï B'rith, l'A.D.L., diffusait son programme quotidien sur 216 radios. Ce chiffre a au moins doublé depuis cette date. De manière significative, le président national de l'A.D.L. fut d'ailleurs dans les années soixante Dore Schary, un célèbre scénariste et producteur de cinéma d'Hollywood. Une série de prix Dore Schary « pour les relations humaines " sont désormais décernés chaque année, depuis 1983, par l'A.D.L. A l'instar du B'naï B'rith, l'A.D.L. influence également les productions cinématographiques, telle la série We, the people, dans les années cinquante.

A l'occasion, l'A.D.L. et le B'naï B'rith lancent de grandes campagnes, comme lors de la diffusion sur les réseaux américains du « docu-drama » Holocauste, où la fiction était intimement mêlée à la réalité historique, sans que l'on puisse vraiment distinguer l'une de l'autre. A l'occasion de la diffusion de cette série, du 16 au 19 avril 1978, qui devait être regardée par plus de 120 millions d'Américains, le B'naï B'rith envoya à l'ensemble des membres du Sénat et de la Chambre des représentants l'intégralité du scénario, et diffusa un supplément de seize pages ( The Record) à onze millions d'exemplaires, principalement auprès des écoles. Un Guide du spectateur d'Holocauste fut également publié par la chaîne N.B.C., en liaison avec le Comité juif américain, contrôlé par le B'naï B'rith.

Le B'naï B'rith a également été à l'origine d'un genre nouveau, amplement relayé par les réseaux de la planète, le film « blanc terroriste », à base de savants désaxés, de nazis plus vrais que nature et autres skinheads, réalisé à partir d'enquêtes et de rapports de l'A.D.L. On peut citer Into the Homeland (1987), qui met en scène des chrétiens fondamentalistes opposés à l'impôt sur le revenu, réalisé à partir d'un rapport spécial de l'A.D.L. publié en 1986 et intitulé Les fermiers américains et les extrémistes. Autres exemples, les « docu-dramas néo-nazis » comme Trahis, Les Skinheads, La Deuxième montée de la haine, Dead Bang ou Nous saluons avec orgueil, qui s'inspirent directement des rapports de l'A.D.L. Rasés pour la bataille : les cibles des skinheads (1987) et La Jeunesse et la violence : la menace grandissante des skinheads américains néo-nazis (1988).

C'est sans doute cette volonté pédagogique qui a amené en 1982 la Fondation européenne de la Ligue Anti-Diffamation (A.D.L.E.F.), peu après sa création en Europe, à lancer en 1982, en liaison avec le Centre pédagogique juif de Paris, un vaste programme audiovisuel destiné aux écoles françaises pour être utilisé dans les programmes scolaires. Trois films devaient être diffusés dans un premier temps, sur les thèmes suivants : les stéréotypes, les boucs émissaires, le mythe de la race supérieure."


Emmanuel Ratier.

Livre d'Emmanuel Ratier :


Le B'naï B'rith, qui veut dire « Fils de l'Alliance » en hébreu, a été fondé aux Etats-Unis en 1843. Exclusivement réservé aux israélites, il comprend aujourd'hui plus de 500 000 Frères et Sœurs dans une cinquantaine de pays. L'élite internationale des diverses communautés juives, de Sigmund Freud à Albert Einstein, en est ou en a été membre. Il s'agit donc de la plus ancienne, de la plus vaste et, sans doute, de la plus influente organisation juive internationale. C'est le B'naÏ B'rith qui a, par exemple, obtenu la reconnaissance d'Israël par le président américain Harry Truman. C'est également le B'naï B'rith qui a obtenu que l'Eglise catholique change le contenu de son enseignement bimillénaire à propos du judaïsme.

En France, où la communauté juive est la plus importante d'Europe, le B'naï B'rith, sortant de sa réserve traditionnelle, a pris, ces dix dernières années, des positions politiques publiques hostiles au renouveau des idées nationales. Devant les assemblées du B'naÏ B'rith, les hommes politiques, de droite comme de gauche, se sont notamment engagés à ne s'allier en aucun cas avec le Front national. C'est le fameux « serment des B'naï B'rith ». Disposant de nombreux soutiens dans la classe politique et dans le milieu intellectuel, les Fils de l'Alliance, qui se présentent comme les précurseurs des organisations humanitaires, ont également œuvré pour l'adoption de la loi Fabius-Gayssot.

Le B'naï B'rith, en France comme à l'étranger, est pourtant totalement inconnu du grand public. Calquée sur le modèle des organisations maçonniques, cette association de solidarité a en effet toujours cultivé la discrétion. Mystères et Secrets du B'naï B'rith est la première enquête indépendante qui lui ait jamais été consacrée dans le monde. Comprenant de très nombreux documents inédits, ce livre explosif répondra aux questions que tout citoyen est en droit de se poser.


mercredi, juin 10, 2020

Opération "Coronavirus 2019-nCoV"

Nous avons la conviction que nous avons affaire à un Plan criminel, prévu et organisé depuis longtemps par l’élite mondialiste, et mis en pratique concrètement depuis octobre 2019 par les gouvernements.

par Artémisia-collège

Le but est de créer les conditions de la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial (totalitaire). Il passe par une pseudo pandémie et l’Agenda ID2020 qui doit utiliser la vaccination de masse pour imposer l’Identité Numérique. C’est pour cela que les dirigeants chargés de mettre ce Plan en application, sabotent tout traitement, allant jusqu’à organiser une pénurie. C’est aussi pour cela qu’ils font un décompte morbide des morts, qu’ils soient liés directement à un coronavirus (une très petite minorité ?), ou à d’autres pathologies (ou à une euthanasie). Il faut impérativement que la population apeurée et confinée, se rue d’elle-même sur le « vaccin » providentiel. Ce « vaccin » (prêt depuis longtemps), ne fera que diminuer l’immunité naturelle (comme tous les vaccins), ce qui contribuera à aggraver la situation dans un premier temps. Mais il permettra surtout de marquer les humains de cette fameuse Identité Numérique. Par la suite, il aura d’autres rôles inavouables (avec la 5G)…

Et là, il va falloir que vous le compreniez très vite, sinon ça ne va pas le faire… Vous n’aurez pas le temps de tortiller du derrière longtemps avant qu’il ne soit trop tard !

Aussi, face à ce Crime contre l’Humanité qui est en cours d’exécution, par des personnages pour certains sans humanité (comme Bill Gates et le patron de l'OMS) et pour d’autres manipulés, nous vous appelons à Résister par tous les moyens. Sachant que même les policiers sont exposés, que beaucoup seront indisponibles, et que nous aurons donc en face de nous des militaires étrangers déjà sur place.

Nous appelons TOUS les Français et les résidents en France, à s’unir contre cette barbarie d’une ampleur jusque-là inégalée. Nous comprenons dans cet appel, toute la jeunesse des banlieues, de toutes confessions. Et vous, policiers, gendarmes, militaires, ne collaborez pas avec les traîtres qui organisent ce Plan. Le temps est à l’entente et au rassemblement de toutes les forces du pays !

Il nous a fallu un certain temps pour comprendre réellement se qu’il se passait avec cette arnaque du millénaire : ce « coronavirus » sa « dangerosité » très relative et les objectifs des organisateurs de cette attaque lâche et massive contre l’Humanité.


Pour l'/les agent(s) infectieux, outre le chlorure de magnésium et les huiles essentielles, il y a un traitement expliqué dans une vidéo. 

Pour le reste, il est absolument certain que le confinement est inutile, tout comme, et surtout, le « vaccin-piège-à-cons » qui sera imposé !

Nous avions tout prévu, sans grand mérite d’ailleurs puisque tout était dit. Il fallait juste ouvrir les yeux, et être réaliste, avec juste une bonne aptitude à la synthèse. Pourtant, la situation surréaliste dans laquelle nous nous trouvons impliqués, est consternante. La faculté qu’à la populace à se laisser manipuler, berner, couillonner, est hallucinante ! Pour s’en sortir, il va falloir la jouer fine… À dire vrai, nous sommes véritablement en guerre, lâchement attaqués par des individus sans aucune humanité ni empathie.

Mais c’est la servilité des foules qui nous sidère.

Lire la suite :


Monsieur K d'E&RFM recommande le site Artémisia-Collège 




Rituel franc-maçon : des petits garçons en ROBE DE MARIÉE !

(Durée 12:40)

Franc-Maçonnerie et Schizophrénie - Dr Jekyll & Mr Hyde : Comprendre les arcanes du pouvoir

(Article, régulièrement mis à jour, a été en partie rédigé à partir du livre MK.)

Télécharger le PDF (à imprimer et distribuer)



Entretien avec Alexandre Lebreton sur la Religion Sans Nom

"Inexprimable, indescriptible, non-manifesté… La Gnose regorge d’adjectifs de ce type pour ne pas « limiter » ses adeptes en quête d’Absolu dans des conceptions partielles, Grand Tout oblige. Mais il y un autre sens, celui d’indiscible auquel renvoient les pratiques pour vérifier cette « Connaissance », ce dépassement entre Bien et Mal. Ce que démontre Alexandre Lebreton depuis 13 ans à travers les 700 pages de « MK – Abus Rituels et Contrôle Mental » et près d’autant de vidéos."



mardi, juin 09, 2020

Combattre l’Etat profond, c'est combattre les enfants des Ténèbres

Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’Etat profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres

Mgr Vigano avait déjà créé la surprise en prenant, le 8 mai dernier, l’initiative d’un Appel qui dénonçait sans ambiguïté les agissements en vue d’instaurer un gouvernement mondial.

Nouvelle audace : Mgr Vigano s’adresse publiquement au président des Etats-Unis Donald Trump dans un courrier qui dénonce l’Etat Profond (Deep State), courrier mis en ligne le samedi 6 juin sur le site LifeSiteNews.


(Durée 9:36)

La puissante lettre de l’archevêque Viganò au président Trump : la lutte éternelle entre le bien et le mal se joue en ce moment

L’archevêque Carlo Maria Viganò avertit le président que les crises actuelles liées à la pandémie de coronavirus et les émeutes au nom de George Floyd font partie de la lutte spirituelle éternelle entre les forces du bien et du mal.

7 juin 2020
Dimanche de la Sainte Trinité

Monsieur le Président,

Ces derniers mois, nous avons assisté à la formation d’une dualité que j’appellerais biblique : les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres. Les enfants de la lumière constituent la partie la plus visible de l’humanité, tandis que les enfants des ténèbres représentent une minorité absolue. Et pourtant les premiers font l’objet d’une sorte de discrimination qui les place dans une situation d’infériorité morale vis-à-vis de leurs adversaires, qui occupent souvent des positions stratégiques au gouvernement, en politique, dans l’économie et dans les médias. D’une manière apparemment inexplicable, les bons sont pris en otage par les méchants et par ceux qui les aident soit par intérêt personnel soit par peur.

Ces deux camps, qui ont un caractère biblique, suivent la séparation claire entre la progéniture de la Femme et la progéniture du Serpent. D’une part, il y a ceux qui, bien qu’ils aient mille défauts et faiblesses, sont motivés par le désir de faire le bien, d’être honnête, d’élever une famille, de travailler, de donner la prospérité à leur patrie, d’aider les nécessiteux et, par obéissance à la Loi de Dieu, de mériter le Royaume des Cieux. D’un autre côté, il y a ceux qui se servent eux-mêmes, qui n’ont aucun principe moral, qui veulent démolir la famille et la nation, exploiter les travailleurs pour se rendre indûment riches, fomenter des divisions et des guerres internes, et accumuler du pouvoir et de l’argent : pour eux l’illusion fallacieuse du bien-être temporel cédera un jour – s’ils ne se repentent pas – au terrible sort qui les attend, loin de Dieu, dans la damnation éternelle.

Dans la société, Monsieur le Président, ces deux réalités opposées coexistent en tant qu’ennemis éternels, tout comme Dieu et Satan sont des ennemis éternels. Et il semble que les enfants des ténèbres – que nous pouvons facilement identifier avec l’Etat profond (Deep State) auquel vous vous opposez sagement et qui mène une guerre acharnée contre vous ces jours-ci – ont décidé de montrer leurs cartes, pour ainsi dire, en révélant maintenant leurs plans. Ils semblent si sûrs d’avoir déjà tout sous contrôle qu’ils ont mis de côté cette circonspection qui, jusqu’à présent, avait au moins partiellement caché leurs véritables intentions. Les enquêtes déjà en cours révéleront la véritable responsabilité de ceux qui ont géré l’urgence de Covid non seulement dans le domaine des soins de santé mais aussi dans la politique, l’économie et les médias. Nous trouverons probablement que dans cette opération colossale d’ingénierie sociale, il y a des gens qui ont décidé du sort de l’humanité, s’arrogeant le droit d’agir contre la volonté des citoyens et de leurs représentants dans les gouvernements des nations.

Nous découvrirons également que les émeutes de ces jours ont été provoquées par ceux qui, voyant que le virus s’estompe inévitablement et que l’alarme sociale de la pandémie s’estompe, ont forcément dû provoquer des troubles civils, car ils seraient suivis d’une répression qui, bien que légitime, pourrait être condamnée comme une agression injustifiée contre la population. La même chose se produit également en Europe, en parfaite synchronisation. Il est tout à fait clair que le recours aux manifestations de rue est déterminant pour les objectifs de ceux qui souhaitent voir quelqu’un élu aux prochaines élections présidentielles incarner les objectifs de l’État profond et qui exprime ces objectifs fidèlement et avec conviction. Il ne sera pas surprenant que, dans quelques mois, nous apprenions une fois de plus que derrière ces actes de vandalisme et de violence, il y a ceux qui espèrent profiter de la dissolution de l’ordre social pour construire un monde sans liberté: Solve et Coagula , comme l’enseigne l’adage maçonnique.

Bien que cela puisse sembler déconcertant, les alignements opposés que j’ai décrits se retrouvent également dans les milieux religieux. Il y a des bergers fidèles qui s’occupent du troupeau du Christ, mais il y a aussi des infidèles mercenaires qui cherchent à disperser le troupeau et à remettre les brebis pour être dévorées par des loups voraces. Il n’est pas surprenant que ces mercenaires soient des alliés des enfants des ténèbres et détestent les enfants de la lumière : tout comme il y a un Etat profond , il y a aussi une église profonde qui trahit ses devoirs et renonce à ses engagements appropriés devant Dieu. Ainsi, l’ ennemi invisible, contre lequel les bons dirigeants se battent dans les affaires publiques, est également combattu par les bons bergers de la sphère ecclésiastique. C’est une bataille spirituelle dont j’ai parlé dans mon récent Appel qui a été publié le 8 mai.

Pour la première fois, les États-Unis ont en vous un président qui défend courageusement le droit à la vie, qui n’a pas honte de dénoncer la persécution des chrétiens du monde entier, qui parle de Jésus-Christ et du droit des citoyens à la liberté de culte. Votre participation à la Marche pour la vie , et plus récemment votre proclamation du mois d’avril comme Mois national de la prévention de la maltraitance des enfants, sont des actions qui confirment de quel côté vous souhaitez vous battre. Et j’ose croire que nous sommes tous les deux du même côté dans cette bataille, bien qu’avec des armes différentes.

Pour cette raison, je crois que l’attaque à laquelle vous avez été soumis après votre visite au Sanctuaire national de Saint-Jean-Paul II fait partie du récit médiatique orchestré qui ne cherche pas à combattre le racisme et à ramener l’ordre social, mais à aggraver la situation ; non pas pour rendre justice, mais pour légitimer la violence et le crime ; non pas pour servir la vérité, mais pour favoriser une faction politique. Et il est déconcertant qu’il y ait des évêques – comme ceux que j’ai récemment dénoncés – qui, par leurs paroles, prouvent qu’ils sont alignés du côté opposé. Ils sont soumis à l’Etat profond , au globalisme, à la pensée alignée, au Nouvel Ordre Mondial qu’ils invoquent de plus en plus souvent au nom d’une fraternité universelle qui n’a rien de chrétien, mais qui évoque les idéaux maçonniques de ceux qui veulent dominer le monde en chassant Dieu des tribunaux, des écoles, des familles et peut-être même des églises.

Le peuple américain est mature et a maintenant compris à quel point les médias mainstream ne veulent pas répandre la vérité mais cherchent à la faire taire et à la déformer, répandant le mensonge qui est utile aux fins de leurs maîtres. Cependant, il est important que les bons – qui sont la majorité – se réveillent de leur torpeur et n’acceptent pas d’être trompés par une minorité de personnes malhonnêtes à des fins inévitables. Il faut que les bons, les enfants de la lumière, se réunissent et fassent entendre leur voix. Quelle manière plus efficace de le faire, Monsieur le Président, que par la prière, en demandant au Seigneur de vous protéger, vous, les États-Unis et toute l’humanité, de cette énorme attaque de l’ennemi ? Avant le pouvoir de la prière, les tromperies des enfants des ténèbres s’effondreront, leurs complots seront révélés, leur trahison sera montrée.

Monsieur le Président, ma prière est constamment tournée vers la nation américaine bien-aimée, où j’ai eu le privilège et l’honneur d’être envoyé par le Pape Benoît XVI comme Nonce apostolique. En cette heure dramatique et décisive pour toute l’humanité, je prie pour vous et aussi pour tous ceux qui sont à vos côtés au sein du gouvernement des États-Unis. J’espère que le peuple américain est uni avec moi et vous dans la prière au Dieu Tout-Puissant.

Unis contre l’ennemi invisible de toute l’humanité, je vous bénis ainsi que la Première Dame, la nation américaine bien-aimée, et tous les hommes et femmes de bonne volonté.

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique



"Mgr. Viganò, précise Voltairenet.org, est un diplomate de très haut niveau ayant exercé de très hautes fonctions au Vatican, dont il fut secrétaire général de l’administration. Il s’est fait connaître du grand public en révélant les abus sexuels sur mineurs du cardinal Theodore McCarrick, archevêque de Washington, plongeant l’Église catholique dans une grave crise jusqu’à la relégation du pécheur dans un couvent. [...]

Mgr. Viganò considère que les réponses publiques à l’épidémie de Covid-19 étaient sans fondement médical et ont constitué la plus grande opération d’ingénierie sociale de l’histoire. Selon lui, elles ont été commanditées par les mêmes acteurs que les organisateurs des manifestations mondiales à l’occasion du lynchage survenu à Minneapolis. N’étant pas parvenus à imposer leurs vues au président Trump, ces acteurs falsifient aujourd’hui ses propos pour le couper de son soutien populaire."



lundi, juin 08, 2020

Les enfants sacrifiés

(Durée 19:09)

Essayiste spécialiste du judaïsme et bête noire du CRIF, Hervé Ryssen se consacre maintenant  à l'étude d'un judaïsme dévié où se perpétuent de génération en génération l'inceste et les crimes rituels pédo-sataniques.

Témoignage 

Oprah Winfrey a consacré une de ses émissions ‘‘The Oprah Winfrey Show’’ aux abus rituels sataniques. L’émission était intitulée ‘‘Mexican Satanic Cult Murders’’ (meurtres du culte satanique mexicain).

Durant cette soirée, une femme a témoigné des horreurs dont elle a été victime, elle a affirmé que sa famille était impliquée dans des rituels depuis des générations et des générations. À l’époque de son témoignage, elle suivait une intense thérapie en raison de son trouble de personnalité multiple ou trouble dissociatif de l’identité.

Voici la retranscription de son interview avec Oprah Winfrey :

- Oprah Winfrey : Vous aussi avez vécu des abus rituels dans votre famille ?

- Vicki Polin : Oui, ma famille descend d’une longue lignée qui répète les abus, cela remonte au XVIe siècle.

- OW : Et donc ils ont abusé de vous ?

- VP : Je viens d’une famille qui croit à cela…

- OW : Et de l’extérieur, tout le monde pensait qu’il s’agissait d’une respectable famille juive ?

- VP : C’est exactement cela.

- OW : Alors qu’il y avait un culte à Satan à l’intérieur même de la maison…

- VP : Oui… Il y a beaucoup de familles juives à travers tous le pays, pas seulement la mienne.

- OW : Vraiment ? Et qui est au courant de ces choses là ?... Beaucoup de gens maintenant. (rires)

- VP : J’en ai parlé à un enquêteur de la police de Chicago, et plusieurs de mes amis le savent. J’en ai aussi déjà parlé publiquement avant…

- OW : Donc vous avez été élevée au milieu de toute cette horreur. Vous pensiez que c’était normal ?

- VP : J’ai enfoui en moi beaucoup de mes souvenirs à cause de mon trouble de personnalité multiple, mais oui… quand vous grandissez avec quelque chose, vous pensez que c’est normal. J’ai toujours cru que…

- OW : Mais quel genre de choses ? Vous n’avez pas à nous donner des détails gore, mais quel genre de choses se passait dans votre famille ?

- VP : Eh bien il y avait des rituels dans lesquels des bébés étaient sacrifiés et vous deviez…

- OW : Les bébés de qui ?

- VP : Il y avait des gens qui ramenaient des bébés à notre famille. Personne ne s’en rendait compte, beaucoup de femmes étaient obèses, on ne voyait pas si elles étaient enceintes ou non. Et s’il y avait des soupçons, elles s’en allaient un moment puis elles revenaient. Une autre chose que je veux dire, c’est que tous les juifs ne sacrifient pas des bébés, ce n’est pas quelque chose de traditionnel.

- OW : Donc vous avez été témoin d’un sacrifice ?

- VP : Oui, quand j’étais très jeune, j’ai été forcée à participer à cela et j’ai dû sacrifier un enfant.

- OW : Quel est le but de ces sacrifices, qu’est-ce que cela vous apporte ?

- VP : C’est pour le Pouvoir, la Puissance…

- OW : Avez-vous vous-même été utilisée ?

- VP : J’ai été agressée sexuellement, violée à plusieurs reprises…

- OW : Que faisait votre mère ? Quel était son rôle ?

- VP : Je ne suis pas sûre du rôle qu’elle pouvait avoir, je n’ai pas encore récupéré tous mes souvenirs, mais ma famille était extrêmement impliquée là-dedans… Vous savez, elle m’a mené à ça, mes deux parents m’y ont mené.

- OW : Et où est-elle maintenant ?

- VP : Elle habite dans la métropole de Chicago, elle travaille à la Commission des Relations Humaines de la ville où elle réside. C’est une citoyenne modèle, personne ne la soupçonnerait…

- OW : Avez-vous été élevée avec la notion du bien et du mal ?

- VP : Oui… j’avais ces deux notions. Ce que je veux dire, c’est que pour le monde extérieur, tout ce que nous faisions était bien et respectable, puis il y avait certaines nuits où les choses étaient différentes… où ce qui était mal devenait le bien, et ce qui était bien était quelque chose de mal. Tout ceci dans le but de développer des troubles de la personnalité multiple.

- OW : Dans votre famille, on appelait cela véritablement ‘‘un culte au diable’’ ou c’était juste les choses que vous faisiez qui étaient diaboliques ?

- VP : Non, je ne sais pas. Enfin, moi je disais que c’était mal, et eux disaient que c’était bien. Il y a un livre sur lequel je suis tombé intitulé ‘‘La grotte de Lilith’’, un livre sur le mysticisme juif et le surnaturel. Il y a beaucoup de choses là-dedans en rapport avec ce que j’ai vécu dans mon enfance.’’

Extrait du livre d'Alexandre Lebreton 


dimanche, juin 07, 2020

Marcel sur la Loi AVIA


et annonce du Média en 4-4-2


(Durée 9:28)



Marcel D :

"Les français doivent savoir que notre liberté se réduit à la même vitesse que la vérité émerge, plus les français sont conscients du mensonge élitiste et des médias, plus nous serons censurés. Nous sommes réellement dans une guerre et nos moyens sont ridicules face à des milliards d'euros mais nous avons la vérité qui engendrera le nombre... Avant de gagner la guerre, il faut combattre et celui qui combat a déjà gagné sa liberté, c'est ta première victoire ! On va le foutre au cul !"


vendredi, juin 05, 2020

Va-t-on vers une guerre raciale ?


Le covid-19 a instauré une dictature sanitaire provisoire qui aurait pu aboutir au gouvernement mondial des ultra-riches, eugénistes et  psychopathes. 


Pour l'instant, ce plan est contrecarré grâce à la révélation des mensonges proférés par les gouvernements corrompus, l'opposition des patriotes et la fin de la pandémie moins mortelle qu'escompté. 

Mais, fidèles à devise talmudo-maçonnique "ordo ab chao", l'oligarchie mondialiste, les multinationales, les médias, les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft)... attisent la haine raciale.

(Durée 21:35)

Va-t-on vers une GUERRE RACIALE ? Analyse sans concession (Camélia Jordana, Floyd, etc.)

"Florian Philippot, né le 24 octobre 1981 à Croix, est un haut fonctionnaire et homme politique français. Se réclamant du gaullisme et du souverainisme, il fonde, en 2017, le parti politique Les Patriotes (LP)."


mercredi, juin 03, 2020

Réouverture des réseaux sociaux à la liberté d'expression


Le président Donald Trump a rétabli la neutralité des réseaux sociaux sur Internet par décret, le 28 mai 2020.

Désormais les réseaux sociaux (dont Twitter, Facebook, Instagram, YouTube) et autres forum internet doivent choisir entre
- publier sans filtre les posts de leurs clients ;
- ou les filtrer, les altérer ou les commenter.

Dans le premier cas, leur responsabilité juridique ne saurait être engagée par les posts de leurs clients, mais dans le second cas, s’ils filtrent, altèrent ou commentent un seul post d’un client, ils seront responsables de tous les posts de leurs clients qu’ils auront choisis de publier.

Ce faisant, le président Trump restaure la conception états-unienne de la liberté d’expression énoncée dans le Premier amendement. Celle-ci est totale quelque soit le jugement que l’on puisse porter sur telle ou telle idée.

Les lois US et britannique, à la différence des lois européennes, condamnent cependant la diffamation, mais exigent que le plaignant et non l’accusé établisse la preuve des faits.

Ce décret intervient alors que Twitter avait fait figurer après un message de Donald Trump un avertissement mettant en cause l’authenticité de ses informations.

Ce décret devrait également s’appliquer aux notes de NewsGuard par lesquelles Google entend sanctionner les sites d’information contestant l’impérialisme US.


Source :



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Ouverture des chakras
(Dharma grolandais)


(Durée 1:00)






mardi, juin 02, 2020

L'empire satellite « tueur » d'Elon Musk

"Les forces lucifériennes ont lancé le programme de la grille « christique » planétaire pour mettre nos corps énergétiques sous tension dans un filet électromagnétique." (Kali Yuga, lumière sur la civilisation de l'âge noir, Joël Labruyère.)

(Durée 4:02)

Que signifient ces étranges guirlandes lumineuses dans le ciel nocturne ? Elles font partie du projet Starlink de SpaceX, qui dispose d'une myriade de satellites installés dans l'espace pour les services 5G mondiaux. 

Cependant, le militant Arthur Firstenberg met en garde contre cette situation, car ces satellites représentent une menace imminente pour la vie sur la Terre. Pourquoi pensez-vous que si peu de gens en ont entendu parler ?

Le 18 mars pour la sixième fois, une fusée avec des mini-satellites a été lancée, semblables à un collier de perles qui tourne autour de la terre. Cette guirlande lumineuse inhabituelle dans le ciel nocturne attire de plus en plus l'attention des gens.

Chez Hans Jürgen Köhler du Bureau de notification des OVNI du Réseau Central de Recherche sur les Phénomènes Célestes inhabituels (CENAP), le téléphone n'a pas arrêté de sonner depuis début avril 2020.

Depuis novembre, pour le projet SpaceX, le patron de Tesla, Elon Musk, a mis 360 satellites Starlink en orbite.

Les satellites Starlink doivent fournir aussi bien les régions éloignées que les zones métropolitaines avec de l’internet à haut débit.

Les unités émettrices pesant 260 kilos sont nettement plus petites et plus légères que les précédents satellites de communication.

En raison de leur conception plate, ils peuvent être empilés facilement, de sorte que la fusée "Falcon 9" de SpaceX peut en lancer plusieurs dizaines à la fois.

En tout SpaceX, le plus grand gestionnaire de satellites privés a reçu des autorisations pour la lancée d’un maximum d’environ 12 000 satellites jusqu’en 2027 et a fait des demandes pour 30 000 satellites supplémentaires.

Le projet Starlink de SpaceX, qui vise à fournir des services 5G dans le monde entier, est un danger immédiat pour la vie sur Terre, a déclaré le militant et écrivain américain Arthur Firstenberg au journal britannique Daily Star.

Les satellites Starlink seraient situés dans la couche la plus basse de la magnétosphère, appelée ionosphère.

Cette couche agit comme une membrane vibrante et augmenterait ainsi fortement la puissance de transmission des satellites.

Le miltant souligne que le nombre actuel de satellites influence déjà considérablement la vie sur Terre. D’après lui, cette quantité est responsable pour un grand nombre de cas de cancers et d’autres maladies lourdes chez les humains et les animaux ainsi que pour la mort d’insectes.

Les oiseaux migrateurs et les bancs de poissons perdent leur orientation.

Les microorganismes responsables de la production d'oxygène dans les océans seraient décimés, de sorte qu'à long terme le monde manquerait d'oxygène, selon les déclarations du militant Firstenberg. Le carburant des lanceurs est également très destructeur pour la couche d'ozone de la Terre. Celle-çi protège des effets néfastes des rayons de soleil en les filtrant.

L'appel-spatial-5G co-fondé par Arthur Firstenberg, qui demande l'arrêt de ce programme a depuis été signé par des scientifiques de renom et des milliers de militants et a été envoyé aux Nations unies (ONU), à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à l'Union européenne (UE), au Conseil de l'Europe et aux gouvernements de toutes les nations.

Mais jusqu'à présent, il a eu peu d’écho.

Si le programme de satellite SpaceX d'Elon Musk s'avère être un empire de satellites « tueurs » pourquoi et par qui a-t-il été approuvé et pourquoi n'a-t-il pas été arrêté il y a longtemps ?


Source :
https://www.kla.tv/16502

lundi, juin 01, 2020

USA : les émeutes raciales et la tentation séparatiste

(Durée 2:06)

Laurent Glauzy, auteur du livre  LES SUPER-LOGES n° 2, écrit :

"C’est parce-que les mensonges sur le COVID-19 ont été mis au grand jour que Soros a encore une fois payé les ANTIFAS en Amérique pour déstabiliser Donald Trump avant l’élection de Novembre 2020.

Les ANTIFAS sont la "carte maîtresse" lorsque un plan "PLANDEMIC" échoue.

Et c’est la DERNIÈRE carte maîtresse qui vient de faire pschitt".


USA : les émeutes raciales et la tentation séparatiste

par Thierry Meyssan

Les émeutes raciales qui s’étendent aujourd’hui aux USA ne menacent pas l’intégrité du territoire, mais pourraient ouvrir la voie à un affrontement culturel entre les communautés qui se partagent le pays. Contrairement à un a priori courant, des sécessions de régions entières sont plus que jamais à l’ordre du jour.


Les États-Unis s’embrasent après l’apparent lynchage d’un résident noir, George Floyd, par un policier blanc de Minneapolis, Derek Chauvin, le 25 mai 2020.

Les paroles apaisantes du maire, Jacob Frey, n’ont pas été entendues. Le gouverneur du Minnesota, Tim Walz, a requis la Garde nationale pour mater la rébellion. Les émeutes se sont étendues à 140 grandes villes et 20 autres États fédérés ont également requis la Garde nationale.

Ces émeutes ne sont pas contre le racisme en général, mais exclusivement contre le racisme anti-Noirs. Elles n’ont pas non plus de rapport avec le clivage politicien Démocrates/Républicains. Minneapolis comme le Minnesota sont démocrates. Elles étaient cependant prévisibles par tous ceux qui s’intéressent à la sociologie états-unienne.

Ces évènements ne sont pas sans rappeler les émeutes de Los Angeles, en 1992, qui suivirent l’acquittement des policiers blancs ayant roué de coups le Noir Rodney King. À l’époque, 63 personnes furent tuées, 2 383 blessées et plus de 12 000 furent arrêtées. 3 767 immeubles furent brûlés et les dégâts s’élevèrent à plus d’1 milliard de dollars.

Cependant, la situation actuelle oppose exclusivement des Noirs et certains Blancs au Pouvoir Blanc, tandis que celle d’il y a vingt-huit ans opposait aussi des Noirs à la communauté coréenne. Elle se propage dans l’ensemble du pays au lieu de rester confinée aux alentour du lieu du crime. Cette extension renvoie les États-Unis aux années 60 (Kennedy-Johnson), lorsque la Garde nationale dû être déployée dans plusieurs États ségrégationnistes pour permettre aux Noirs d’accéder aux écoles publiques.

Les États-Unis n’ont toujours pas digéré leur passé esclavagiste. Cependant, malgré les apparences, ce conflit ne menace pas l’intégrité du pays. En effet, au cours des dernières décennies, la population US a beaucoup déménagé de sorte qu’aujourd’hui elle s’est regroupée par affinités culturelles en 11 communautés différentes (voir carte ci-dessus). Les Noirs quant à eux n’ont pas formé de zone géographique qu’ils contrôleraient, mais ont opéré une « Nouvelle grande migration » (New Great Migration) principalement vers le Sud profond (système de caste et lutte contre l’État fédéral) où ils sont à la fois intégrés et discriminés. Ils sont également très présents dans les Midlands (pluralistes et centrés sur les classes moyennes).

Selon diverses sources policières, des groupes prétendument antifascistes coordonnent les émeutes actuelles dans tout le pays. Bien que l’on ignore avec certitude qui finance ce mouvement, on ne peut s’empêcher de penser au complot dénoncé il y a trois ans par le FBI qui avait exposé des liens entre les milieux anarchistes US et les jihadistes moyen-orientaux. Si ces informations étaient vérifiées, il faudrait voir non pas dans ces émeutes, mais dans leur extension, la main de l’État profond US contre le président Trump. Celui-ci a annoncé son intention de les interdire.


Quoi qu’il en soit, les choses ne tourneront mal pour l’avenir des USA que si d’autres communautés entrent dans la danse. Particulièrement les Mexicains, dont la culture aztèque est très violente.

La tentation séparatiste est notamment très forte au Texas et en Californie ; les seuls États fédérés qui se présentent comme des Républiques.

En 1998, le professeur Igor Panarin, qui était alors un des directeurs du KGB, avait prédit que les États-Unis ne survivraient pas longtemps à l’URSS. Se fondant sur une analyse des différences culturelles régionales qui commençaient à apparaître, il avait anticipé la dissolution de l’État fédéral. Ce processus fut interrompu par les attentats du 11-Septembre et le projet des présidents Bush fils et Obama. Il a cependant repris durant le second mandat de Barack Obama, a porté Donald Trump au pouvoir, et paraît aujourd’hui inévitable.

samedi, mai 30, 2020

Valérie Bugault dans le viseur de Conspiracy Watch

(Durée 2:56)

Valérie Bugault remet les pendules à l'heure.


Conspiracy Watch est un site web français, fondé en 2007 par Rudy Reichstad, avec le soutien financier de la Fondation pour la mémoire de la Shoah. Ce site use et abuse de l'accusation de "complotisme", un anathème commode contre la liberté d'expression.

Rudy Reichstadt, 
écrit Le Libre Penseur, est un "triste sire,  dont le patronyme laisse deviner son appartenance à la communauté des élus (ce qu’il omet soigneusement de dire à ses lecteurs), est un proche de Botul-Henri Lévy puisqu’il a participé à des séminaires de La règle du jeu du philosophe le plus stupide et le plus entarté de France ! Il est également proche de ProChoix de C. Fourest, obsédée du conspirationnisme, avec laquelle il a tourné dans Les obsédés du complot ! C’est un ultra sioniste (c’est son droit) qui a participé également à la rédaction d’articles dans Le Meilleur des mondes, revue trimestrielle qui a soutenu toutes les guerres et massacres états-uniens : Afghanistan, Irak..."


Source de la vidéo : TVLibertés 


Livre :


Comment l’idée de démocratie a-t-elle cédé le pas au chaos universel ?

Derrière les apparences, qui sont les réels protagonistes de la géopolitique mondiale ?

Les Gilets jaunes sont-ils une résurgence du rêve occidental ?
Une analyse juridique, institutionnelle, économique et monétaire, qui considère les évolutions historiques nationales et internationales, permet de saisir la réalité cachée du pouvoir actuel. Derrière le pouvoir politique apparent se profile, dans un jeu d’ombres et de lumières, le véritable pouvoir mondial. Les États ne sont majoritairement plus des entités autonomes et souveraines mais des coquilles vides, dénuées de légitimité politique.

Depuis l’époque des Grandes découvertes et de la fusion, par Oliver Cromwell, des puissances militaire et financière, le « fait politique » a progressivement, partout dans le monde, cédé la place au «fait économique». Les actuelles «démocraties» ne représentent pas les intérêts des populations mais les intérêts de ceux qui financent les campagnes électorales et les «partis». Les donneurs d’ordre se cachent derrière les pantins politiques et l’anonymat des capitaux pour échapper à toute responsabilité. Les financiers, véritables responsables politiques, imposent ainsi leurs intérêts catégoriels aux populations en toute impunité.

Ces grands détenteurs de capitaux opèrent à partir de leur quartier général de la City et répartissent leurs forces dans les paradis fiscaux qui ont fleuri aux quatre coins du monde. Les allégeances actuelles fonctionnent sur le modèle de l’hommage-lige féodal, à la réserve près que ces liens de subordination sont occultes. Dans les coulisses, le véritable modèle de nos démocraties modernes est le fonctionnement des mafias, qui contrôlent la Société par les récompenses matérielles et la terreur.


Les «banquiers-commerçants» ont construit leur puissance au fil des siècles par le contrôle des monnaies et des «lois». Ils ont élaboré, via le droit des affaires, un archétype mondial de Société sans ordre moral. Ce système, d’origine anglo-saxonne a, sous couvert de «liberté», remplacé le modèle de droit continental traditionnel. Il sévit autant dans les «droit» et «sciences» économiques — y compris au niveau des normes comptables — que dans les systèmes monétaires, financiers et institutionnels. Peu à peu, le modèle impérial anglo-saxon génère, partout dans le monde, un glissement vers l’esclavagisme légal.

Il ne reste plus aux banquiers qu’à parfaire leur œuvre en instituant officiellement un gouvernement mondial dictatorial que leurs partisans appellent d’ores et déjà «nouvel ordre mondial». Ce «nouvel ordre» est loin d’être nouveau, il vient tout droit du XVIIème siècle.

vendredi, mai 29, 2020

Le film qui dénonce les agissements ignobles et immoraux d’une élite surpuissante

(Durée 3:00)

Eyes Wide Shut : coup de projecteur sur le chef-d’oeuvre testamentaire de Kubrick


par Alcide GRAX

En ces temps de salles obscures fermées, j’ai pensé qu’il serait intéressant de ressortir un classique du septième art en vue de le décortiquer. Pour inaugurer cet exercice, je vous propose comme cobaye le magnifique et subversif Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick (1999). Disons-le d’emblée : certaines scènes choquantes ne permettent pas que ce film soit vu en famille ou par des enfants ou adolescents, des personnes sensibles et doit être strictement réservé à des adultes avertis n’ayant pas froid aux yeux et désireux de mieux comprendre ce qu’est vraiment le satanisme. Reste que si j’avais à établir la liste des films m’ayant le plus marqué, celui-ci serait indéniablement sur le podium. Et il est évidemment dans le duo de tête des meilleurs films du cinéaste, voire même en pole position (choix difficile à faire tant le réalisateur a une filmographie remarquable). Eyes Wide Shut est l’adaptation du récit d’Arthur Schnitzler Tromnovelle (Double rêve). Comme à son habitude, Kubrick utilise la nouvelle comme un support lui permettant de structurer sa narration, mais se donne une liberté totale quant au fond. Alors que le roman évoque un couple de Juifs issus de la classe moyenne viennoise dans les années 1920, le film nous présente, quant à lui, un couple de jeunes goys plutôt aisés, évoluant dans le New York des années 1990. Je ne vais pas énumérer les nombreuses différences entre le livre et son adaptation, ni faire un résumé détaillé des 2h39 de film qui sont d’une richesse incroyable, mais plutôt essayer de faire émerger le véritable et profond message d’Eyes Wide Shut, en mettant en lumière et en démystifiant les différents symboles qui le composent.

Un soir de Noël, le Dr Bill Harford (Tom Cruise), et sa femme Alice (Nicole Kidman) se rendent à une réception mondaine donnée par Victor Ziegler (Sydney Pollack), un richissime patient de Bill. Durant la soirée, Bill se fait ouvertement draguer par deux mannequins lui proposant d’aller « au bout de l’arc-en-ciel », et de coucher avec elles. La discussion s’écourte lorsque Victor fait venir Bill à l’étage pour secourir Amanda, l’une de ses relations d’un soir, en pleine overdose. Remise sur pieds, elle dit à Bill qu’elle lui doit la vie. Le lendemain, une dispute éclate entre Bill et Alice. Celle-ci lui demande s’il a eu un rapport sexuel avec les deux filles. Il répond que non, et qu’il n’a aucune envie de la tromper. Ce n’est pas le cas d’Alice qui lui avoue son fantasme de coucher avec un officier de la marine, préalablement rencontré lors de vacances d’été. S’ensuit alors une interminable nuit d’errance pour Bill, hanté par le secret de sa femme et par les découvertes de plus en plus étranges qu’il va être amené à faire…

Après ce résumé posant les grandes lignes, venons-en maintenant à l’essentiel : la symbolique.

Le film s’ouvre sur Alice laissant glisser sa robe à ses pieds, devant des rideaux dessinant un triangle, entre deux colonnes. Ce n’est pas sans raison que Kubrick débute son film par cette scène ; elle est d’une importance capitale. Les colonnes représentent les piliers maçonniques, les rideaux ont une forme de pyramide inachevée, bref, le décor est planté. EWS n’est pas un énième film sur l’infidélité et les problèmes de couple (certes il en traite, et beaucoup mieux que n’importe quel film), mais bien un film sur le pouvoir et les pratiques occultes d’une certaine élite.

Dès l’ouverture, le spectateur peut admirer la plastique d’Alice, pleine de grâce et sans une once de graisse, harmonieuse et voluptueuse. Lors de la célèbre débauche orgiaque, le déshabillage des esclaves sexuelles fait écho à celui d’Alice dans le premier plan. Les corps fuselés des jeunes femmes rappellent celui d’Alice. Par ce procédé, Kubrick aguille le spectateur, sous-entendant qu’elle aussi ferait partie de ces poupées programmées à disposition de la société secrète. Quand Alice décrit à Bill son cauchemar où elle couche avec de nombreux hommes, ce n’est pas dans son imagination, cela s’est vraiment passé. Il s’agit de fragments de souvenir qui resurgissent sous la forme d’un rêve, de bribes de rites sexuels vécus sous contrôle de l’esprit.

Alice est clairvoyante (le port constant des lunettes accentue ce sentiment), Bill ne voit rien. Dès les premiers plans du film, Bill cherche son portefeuille (Bill n’est identifié que par son argent et son statut social). Alice le trouve. Bill ausculte une jolie patiente dénudée, Alice y fait référence dans leur dispute alors qu’elle n’était pas à son cabinet. Enfin, Alice appelle Bill alors qu’il était sur le point de passer à l’acte avec la jeune prostituée, comme si elle savait ce qu’il allait se passer. En quelque sorte, Alice ressent et voit des choses que seule une esclave conditionnée peut ressentir et voir. Cela fait fortement penser au cas Cathy O’Brien, connue pour avoir participé (par le biais de son père faisant partie d’un réseau pédocriminel) au programme de lavage de cerveau de la CIA, plus connu sous le nom de Projet Monarch (une branche du projet MK-Ultra). Cathy O’Brien dit avoir développé une acuité exceptionnelle qui lui permettrait de voir certaines choses. Ce n’est pas la première fois que Kubrick traite de ce sujet, puisque dès 1980, dans son excellent Shining, il nous présente un enfant victime d’abus par son père, discernant des choses que personne d’autre ne peut voir (on peut même distinguer lors d’une scène une affiche avec écrit en majuscules “MONARCH”, mais certains diront qu’il s’agit d’une énième coïncidence).

Passons à la scène la plus culte et occulte : l’orgie. Elle se déroule au Mentmore Towers appartenant aux Rothschild. La couleur rouge, omniprésente dans le manoir (notons que le Grand Prêtre, tout de rouge vêtu, siège sur un trône représentant un aigle couronné à deux têtes, symbolisant le 33e degré de la franc-maçonnerie, soit le plus haut grade possible), est intrinsèquement liée à cette famille (Rothschild signifiant la porte rouge en allemand). Ce n’est pas un hasard si Kubrick décide de placer subtilement des éléments propres à cette famille susceptibles d’éveiller la curiosité des spectateurs les plus attentifs. Je ne vous apprendrai rien en disant que les Rothschild sont l’incarnation type de l’élite luciférienne et mondialiste, ayant tout pouvoir en ce bas-monde, participant activement à la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Grâce à Internet, nous avons accès à plusieurs photos du célèbre bal masqué Illuminati organisé par cette famille en 1972, et qui a très probablement inspiré Kubrick ; les masques vénitiens étant identiques (cf : les photos, voyez le masque représentant une pyramide avec un œil porté par un participant, symbole récurrent des Illuminati, qu’on retrouve aussi sur l’affiche d’un autre film de Kubrick datant de 1971, Orange Mécanique). De plus, le fait que le réalisateur, pourtant d’origine juive, ait gommé le judaïsme du couple originellement présent dans la nouvelle, pour le transposer de manière implicite sur certains membres de l’élite (Victor Ziegler, le Hongrois Sandor Svavost qui drague Alice chez ce même Ziegler, nom qui fait sans aucun doute référence à Anton Szandor LaVey, le fondateur de l’Église

de Satan), plutôt que sur Bill et Alice comme le voudrait le livre, n’est pas non plus anodin. Kubrick semble avoir un rapport complexe avec sa judéité ; très peu de ses films en sont empreints (il est intéressant de noter qu’il a épousé Christiane Harlan, nièce de Veit Harlan, réalisateur du Juif Süss, film-propagandiste du IIIe Reich).

Il y a deux mondes : d’un côté, le monde profane, celui des non-initiés, de la masse, de la populace ignare qui a les yeux grands fermés, rempli de couleurs (celles de l’arc-en-ciel), de lumières en tous genres (la soirée chez Ziegler, dès que Bill entre dans une pièce, elle est éclairée, les décorations brillent, les sapins sont lumineux, le jazz-bar qui scintille de mille feux, etc.), de l’autre, le monde qui se trouve au bout de l’arc-en-ciel, dans lequel les couleurs vives ont pâli, et où tout semble terne et fade (le premier aperçu de ce monde est la salle de bains de Ziegler). Ce dernier rappelle à Bill que ce qui s’est passé dans cette salle de bains ne doit pas en sortir, que le monde profane ne doit surtout pas être mis au courant. Il réitérera ce conseil, sous forme de menace, lorsqu’il démasquera Bill à l’orgie. La frontière entre ces deux mondes ne peut et ne doit être franchie. Parlons maintenant des arcs-en-ciel, disséminés un peu partout dans le film. L’arc-en-ciel est un symbole hautement ésotérique (la boutique de costume, Rainbow, se tient sur deux étages, permettant ainsi d’aller au bout de l’arc-en-ciel), rappelant le Magicien d’Oz (son auteur L. Frank Baum faisait partie de la Société Théosophique, une de ces nombreuses sectes initiatiques comme il en existe tant). Quand on passe de l’autre côté de l’arc-en-ciel, c’est que l’on entre dans le monde parallèle de ces élites, un monde où les valeurs et la morale chrétiennes sont inversées.

ENTROUVRIR LA BOÎTE DE PANDORE...

En somme, on passe de l’autre côté du miroir. Le Magicien d’Oz, Alice ou pays des merveilles, et de nombreux dessins animés Disney, servent, toujours hélas, de matrice de programmation mentale dans le but d’assujettir et de contrôler des êtres humains (principalement des enfants, plus innocents et malléables). Ceux-ci deviennent rapidement des esclaves à la personnalité multiple, souffrant de troubles dissociatifs, complètement manipulés, hypnotisés, sous emprise, prêts à assouvir les pulsions les plus innommables d’une élite se croyant intouchable.

Avec l’affaire Epstein, bien étouffée par les médias, EWS n’a jamais été autant d’actualité. Au premier abord, la société secrète a l’air de consommer des jeunes femmes majeures. La réalité est toute autre quand on s’intéresse à l’Affaire Epstein, ou quand on se renseigne un minimum sur certaines sectes (j’invite tous les rivaroliens à visionner le reportage d’Élise Lucet Viols d’enfants : la fin du silence ?).

EWS parle bien de la pédocriminialité d’élite et de réseau, mais de manière fine, délicate,  ingénieuse. Kubrick ne pouvait évidemment pas montrer des enfants violés et sacrifiés dans une cérémonie satanique, cela ne serait jamais passé (déjà que le film a échappé de peu à la classification X) ; il aurait été assassiné avant même d’avoir fini le tournage (tandis que là on a attendu cinq jours après qu’il eut rendu son montage final à la Warner avant de le tuer, la chance). L’indice le plus frappant que nous laisse Kubrick sur l’existence de réseaux pédophiles est le marchand de costumes qui prostitue sa fille mineure. Celle-ci susurre à l’oreille à Bill de choisir « une cape doublée d’hermine », comme si elle avait déjà participé à ce genre de cérémonie rituelle. Aussi, c’est Nick Nightingale (l’ancien camarade de fac de Bill, rencontré plus tôt à la soirée de Ziegler, reconverti en pianiste jouant les yeux bandés lors des orgies) qui envoie Bill dans cette boutique, autre signal alarmant montrant qu’il y a une collaboration évidente entre le boutiquier « fournisseur de chair fraîche russe » et les membres de la société secrète. Comme dans toutes les affaires de pédocriminalité de réseau, il y a les pédophiles du bas (Dutroux) qui rabattent pour les pédophiles du haut. Pour conclure ce paragraphe, intéressons-nous à la fille d’Alice et Bill, Helena. La première fois que nous la voyons, elle nous est présentée déguisée, avec des ailes de papillon dans le dos. Un autre clin d’œil au projet Monarch, qui tire son nom du papillon Monarque (les sujets soumis à ces traitements diaboliques ont l’impression de flotter). On retrouve la petite fille à la toute fin du film, dans un magasin de jouets (où la couleur rouge est anormalement présente, surtout dans une boutique pour enfants). Elle marche entre ses deux parents, au milieu de jeux au nom évocateur tel que Magic Circle (nom donné dans les rites de magie sexuelle au cercle que forment les femmes autour du Grand Prêtre pendant l’orgie), traversant un rayon rempli de peluches, un symbole très prisé par les pédophiles militants. Enfin, le plus surprenant est que l’on retrouve dans ce même rayon deux hommes que l’on a déjà aperçus à la soirée de Ziegler. Helena adresse un dernier regard à sa mère, et s’éloigne du champ, prise en étau par ces deux hommes. Il semblerait que le sort réservé à Helena est le même que celui de sa mère (peut-être même avec sa complicité), le tout devant Bill, qui ne voit rien, comme d’habitude.

Il y a tellement de choses à dire sur ce film, qu’il m’est impossible de faire tenir le tout en quelques lignes. J’ai néanmoins essayé d’être le plus clair et complet possible. Avec ce film-somme, Kubrick donne un énorme coup de pied dans la fourmilière et dénonce, à qui veut bien ouvrir les yeux, les agissements ignobles et immoraux d’une élite surpuissante. À ceux qui diront que tout cela n’est que hasard, coïncidences et surinterprétations, je ne peux rien faire pour eux. S’ils ont choisi de rester les yeux grands fermés, c’est qu’ils ont leur raison. Par manque de courage, par peur d’affronter une réalité et une vérité qui bousculeraient leur petit train-train quotidien, ou encore par manque de connaissances (ce qui est compréhensible tant le Système fait tout ce qui est en son pouvoir pour abrutir et décérébrer le peuple).

Kubrick livre ici une critique monumentale de toutes ces sociétés secrètes, de ces réseaux obscurs, de ces maçonneries en tous genres et autres sectes cabalistiques exerçant un contrôle total sur les individus. Choisir Tom Cruise, scientologue connu de tous, comme acteur principal n’est pas innocent. Le fait aussi que sa fille Vivian ait rejoint l’Église de Scientologie, fuyant sa famille et abandonnant le film dont elle devait composer la musique (comme elle l’avait fait pour Full Metal Jacket en 1987) a renforcé la méfiance qu’a toujours eu Kubrick sur les sectes. Mais ce qui est nouveau dans EWS par rapport à tous les autres films critiquant les sectes, c’est qu’ici Kubrick s’attaque à la secte des sectes, à la plus puissante, la plus nocive, la plus dévastatrice d’entre elles, composée en grandes partie de nos élites que les médias encensent tous les jours et nous présentent comme de braves gens (Ziegler dit bien à Bill qu’il ne dormirait pas de la nuit s’il savait qui était présent à la fameuse orgie). Et même quand il s’attaque à la Scientologie, qui reste toute de même moins influente que la franc-maçonnerie, il critique en réalité l’élite de la Scientologie, la Sea Org, dans laquelle les scientologues sont tous habillés en marin (d’où le fantasme d’Alice).

Selon la version officielle (la même que pour les attentats du 11-Septembre), Stanley Kubrick serait mort d’une attaque cardiaque quelques jours après avoir finalisé son film. Mangeant mal, dormant peu (deux à trois heures par nuit durant les deux années de tournage et l’année de montage), il ne vivait plus que pour ses films, son hygiène de vie étant le cadet de ses soucis. Cela me rappelle le passage où Ziegler dit à Bill qu’Amanda n’est pas morte à cause de la société secrète, mais bien à cause de son train de vie déplorable de junkie. Il semblerait que Kubrick ait connu le même sort que son personnage, éliminé pour avoir un peu trop entrouvert la boîte de Pandore.

Source :

Rivarol n°3426 du 27 mai 2020
A télécharger gratuitement







jeudi, mai 28, 2020

Réseaux francs-maçonniques, Jean-Louis Caccomo témoigne

Faux Diplômes et Internements Psychiatriques Abusifs

(Durée 11:44)

Alexandre Lebreton :
"Dans son autobiographie "Le rescapé de l'âme", Jean-Louis Caccomo, brillant professeur d'économie à l'Université de Perpignan, raconte comment il a été interné de force par sa hiérarchie après avoir dénoncé un trafic de faux diplômes. Il dénonce la corruption d'un réseau aux pratiques mafieuses et la machination psychiatrique à l'œuvre en France. Un témoignage unique pour ouvrir les yeux...

Cérémonie - maçonnique - de remise de l'ordre national du mérite au Président Fabrice Lorente : 

Dédicace aux grandes gueules de la "dissidence" qui relativisent, ridiculisent, ou passent sous silence le problème PREMIER de notre pays : la MAFIA MAÇONNIQUE à la tête des institutions de la république. Combien de victimes silencieuses pour un courageux Louis Caccomo ?! Combien de mères internées de force sous expertises psychiatriques bidon, pour avoir dénoncé un pédocriminel lié au réseau ?!"


Entretien intégral sur TVLibertés, L'hôpital psychiatrique pour avoir dit la vérité :
https://www.youtube.com/watch?v=W5qOlAeRdtg


Livre de Jean-Louis Caccomo :

Le rescapé de l'âme 

Une descente aux enfers face à la dérive totalitaire de l'université et de la santé mentale en France

L’histoire que je vais vous relater est l’histoire de ma vie, totalement basée sur des faits réels que j’ai tour à tour, selon les circonstances, vu, vécu ou subi. Lassé de devoir me battre depuis que je suis né, comme s’il me fallait justifier ma propre existence, je me sens assailli par les ironies de ma vie et cela m’a poussé à sauter le pas, à explorer l’écriture romanesque alors que j’avais pour habitude d’écrire des textes académiques, scientifiques ou politiques. Je laisse au lecteur la liberté de déceler la part du vrai et celle issue de mon interprétation sincère, mais sans doute biaisée. Quant à mes ennemis, ils s’empresseront de s’offusquer, de m’injurier et de me diffamer. Mais, ils m’ont bien fait pires : ils m’ont volé – et violé - ma vie et ma dignité, ce qui est pire que la mort…

La réalité dépasse souvent la fiction. C’est la raison pour laquelle les autres ont tendance à ne pas vous croire quand vous dites la vérité alors qu’ils vont prendre pour argent comptant les boniments des gourous en tout genre. J’ai appris, dans ma carrière d’économiste, comme dans ma vie personnelle, que lorsque l’on dit la vérité aux gens, ils ont tendance à fermer les yeux et ils préfèrent s’accrocher aux mensonges qui confortent leurs illusions. La peur du jugement des autres nous rend hypocrite, pour ne pas dire menteur.

Mais j’ai appris aussi, dans l’épreuve la plus terrible que puisse subir un être humain, à ne compter sur personne, à n’avoir besoin de personne, pas même de Dieu. J’ai assez à faire avec le diable…Tant d’amis, ou déclarés comme tels contre mon gré, m’ont si rapidement lâchés et oubliés. Mais, celle ou celui qui cesse un jour d’être un ami, c’est qu’il n’a jamais été un ami, il était seulement intéressé. Les épreuves nous apprennent à faire le tri qui s’impose. Je n’ai même pas pu compter sur ma propre famille, si tant est que ce mot ait un sens pour moi. Car, comment peut grandir un enfant qui n’a connu ni grands parents, ni oncles, ni tantes, ni cousins, et qui connait à peine ses propres parents, et si peu ses frères et soeurs. J’ai voulu mourir tant de fois et, ironie du sort, j’ai survécu aux pires épreuves. Je me demande encore pourquoi…


mercredi, mai 27, 2020

L'Islam est-il appelé à dominer le monde ?


(Durée 2:48)

L'irrésistible ascension de l'Islam



L'Islam dans "Soumission" de Michel Houellebeck, lecteur du soufi français René Guénon 


Dans le roman « Soumission » de Michel Houellebecq, le candidat de la Fédération musulmane est élu président de la république française en 2022. Il a une idée de l'Europe et un véritable projet de civilisation.

Extrait :

« Dans un article destiné à « Oummah », où il se posait la question de savoir si l'Islam était appelé à dominer le monde, Rediger (un universitaire pro-palestinien auteur d'une thèse intitulée « Guénon lecteur de Nietzsche ») répondait finalement par l'affirmative. C'est à peine s'il revenait sur le cas des civilisations occidentales, tant elles lui paraissaient à l'évidence condamnées (autant l'individualisme libéral devait triompher tant qu'il se contentait de dissoudre ces structures intermédiaires qu'étaient les patries, les corporations et les castes, autant, lorsqu'il s'attaquait à cette structure ultime qu'était la famille, et donc à la démographie, il signait son échec final ; alors venait, logiquement, le temps de l'Islam). Il se montrait plus prolixe sur le cas de l'Inde et de la Chine : si l'Inde et la Chine avaient conservé leurs civilisations traditionnelles, écrivait-il, elles auraient pu, demeurant étrangères au monothéisme, échapper à l'emprise de l'Islam ; mais à partir du moment où elles s'étaient laissées contaminer par les valeurs occidentales elles étaient, elles aussi, condamnées : il détaillait le processus, fournissait un calendrier prévisionnel.

L'article, clair et documenté, trahissait nettement l'influence de Guénon, sa distinction fondamentale entre les civilisations traditionnelles, prises dans leur ensemble, et la civilisation moderne. […]

Michel Houellebecq fait dire au narrateur : « C'est d'ailleurs, curieusement, à l'occasion d'une recherche Internet sur Huysmans que je tombai sur l'un des plus remarquables articles de Rediger, paru cette fois dans la « Revue européenne ». Huysmans n'y était qu'incidemment cité, comme l'auteur chez lequel l'impasse du naturalisme et du matérialisme apparaissait avec la plus grande évidence ; mais l'ensemble de l'article était un énorme appel du pied à ses anciens camarades traditionalistes et identitaires. Il était tragique, plaidait-il avec ferveur, qu'une hostilité irraisonnée à l'islam les empêche de reconnaître cette évidence : ils étaient, sur l'essentiel, en parfait accord avec les musulmans. Sur le rejet de l'athéisme et de l'humanisme, sur la nécessaire soumission de la femme, sur le retour au patriarcat : leur combat, à tous points de vue, était exactement le même. Et ce combat nécessaire pour l'instauration d'une nouvelle phase organique de civilisation ne pouvait plus, aujourd'hui, être mené au nom du christianisme ; c'était l'islam, religion sœur, plus récente, plus simple et plus vraie (car pourquoi Guénon par exemple s'était-il converti à l'islam ? Guénon était avant tout un esprit scientifique, et il avait choisi l'islam en scientifique, par économie de concepts ; et pour éviter, aussi, certaines croyances irrationnelles marginales, telles que la présence réelle dans l'Eucharistie), c'était l'islam, donc, qui avait aujourd'hui repris le flambeau. À force de minauderies, de chatteries et de pelotage honteux des progressistes, l'Église catholique était devenue incapable de s'opposer à la décadence des mœurs. De rejeter nettement, vigoureusement, le mariage homosexuel, le droit à l'avortement et le travail des femmes. Il fallait se rendre à l'évidence : parvenue à un degré de décomposition répugnant, l'Europe occidentale n'était plus en état de se sauver elle même – pas davantage que ne l'avait été la Rome antique au Ve siècle de notre ère. 


L'arrivée massive de populations immigrées empreintes d'une culture traditionnelle encore marquée par les hiérarchies naturelles, la soumission de la femme et le respect dû aux anciens constituait une chance historique pour le réarmement moral et familial de l'Europe, ouvrait la perspective d'un nouvel âge d'or pour le vieux continent. Ces populations étaient parfois chrétiennes ; mais elles étaient le plus souvent, il fallait le reconnaître, musulmanes. »


Soumission de Michel Houellebecq.



Ils veulent nos âmes

  Henry Makow : "Ils veulent nos âmes. Les mondialistes veulent nous faire subir à tous ce que les Israéliens font aux Palestiniens. Et...