dimanche, janvier 15, 2023

Salim Laïbi versus Alain Soral



Pourquoi Alain Soral ne sera Jamais un leader crédible ?

"En réalité, dit Salim Laïbi, la réponse est très simple, Alain Soral ne sera jamais un leader rassembleur et certainement pas réconciliateur car il a une personnalité extrêmement violente... 

Ce comportement pathologique et destructeur sert à compenser un complexe d'infériorité dû à un manque de formation ainsi qu'une vie dissolue qui l'empêche justement d'accéder à ce savoir qui nécessite rigueur et travail ce qui est impossible le concernant étant donné qu'il se réveille tous les jours en milieu d'après-midi. Cette violence s'accompagne systématiquement de mensonges comme celui de faire croire qu'il prierait le ciel alors qu'il ne croit même pas en l'existence de Dieu !" 

Alain Soral et la Tradition

par Salim Laïbi


… si un haut personnage comme René Guénon venait à être présent parmi nous aujourd'hui, il n'aurait paradoxalement pas de partisans ni de militants actifs. Il pourrait juste réunir un cercle d'initiés, de lettrés de haut niveau, dont le savoir n'atteindra jamais les masses populaires, car ces dernières sont plus attirées par la vulgarité et la médiocrité d'un quelconque gourou, bonneteur médiatique.


Il serait urgent que ce comique (Alain SORAL) s'intéressât de plus près aux travaux de René Guénon et les assimilât. À vrai dire, le conseil s'adresse aussi à tous ceux qui voudraient comprendre un peu mieux ce monde décadent et l'étudier avec une approche traditionaliste, celui des cycles cosmiques. Ainsi, on comprendra que l'âge sombre actuel, celui du Kali Yuga, explique parfaitement le pourquoi de la réussite apparente de satyres, comme dans le cas de ce gourou. Rien de nouveau sous le soleil, tout est à sa place encore une fois.

Idem pour Simone Weil, la très catholique et géniale auteure de la "Note sur la suppression générale des partis politiques" qu'il a lue mais qu'il n'a ni assimilée, ni même comprise. Pourtant, son raisonnement, comme celui de René Guénon, est limpide et ne souffre aucune incohérence. Le gourou en a parlé à plusieurs reprises, mais encore une fois, son cerveau, macérant dans des mixtures illicites ou obscurci par les vapeurs de la bombance, n'a pas intégré l'information capitale contenue dans cette brochure sublime : la nécessité de réduire à néant l'idée même de parti politique, en raison de son absurdité intellectuelle. Il n'a tellement pas compris le sens de la réflexion de Simone Weil, qu'il a travaillé pour Philippe Péninque, au profit du Front National. Pire, il monte aujourd'hui son propre parti politique (à vrai dire, un satellite du Front), en vulgaire sous-traitant ! […]

LE CAS EVOLA

Venons-en maintenant à une des plus grosses supercheries du bonneteur professionnel, celle de se faire passer pour un traditionaliste qui a étudié la question notamment sur Julius Evola puisqu'il a osé participer au Brésil, à un colloque international sur ce penseur. Il participera à São Paulo, entre les 10 et 12 septembre 2014, à une rencontre internationale évolienne avec Alexandre Douguine. La vidéo de sa prestation dure à peine 45 minutes (très courte puisque la moitié de la conférence est dédiée à la traduction !). On atteint dans cet enregistrement les cimes les plus vertigineuses des délires les plus inquiétants. Un résumé de sa prestation permettra de refléter la gravité de la situation.

Au bout de deux minutes seulement, il accomplira déjà l'exploit de placer Karl Marx ! J'ignore toujours comment c'est arrivé, mais vous pouvez le vérifier vous-mêmes. Lorsqu'il citera les divisions du Manvantara (terme dont il doit ignorer l'existence) il citera l'âge de fer puis de bronze, cherchant ses mots ! Il utilisera timidement le terme Kali Yuga ! À la minute six, il s'enterrera définitivement, alors qu'on n'en est qu'à l'introduction, avec cette sortie étrange et totalement anti-traditionnelle, en affirmant qu'il ne peut penser le monde qu'à partir de concepts qui valident ces hypothèses alors que la pensée traditionnelle est impossible à valider et qu'il faut emprunter le cheminement inverse ! Assurément, c'est exactement l'inverse qu'il faut comprendre dans la pensée traditionnelle, ce qui conforte la supériorité hiérarchique intellectuelle de la métaphysique sur la physique. De très simples lectures de textes de René Guénon et de Julius Evola auraient pu lui faire saisir cette caractéristique essentielle de la Tradition. Preuve encore une fois qu'il ne l'a pas lu, mais le plus grave est pour la fin. Pour lui, nul besoin de la pensée traditionnelle pour faire le constat d'échec du monde moderne. Cette pensée n'est qu'un complément qu'il qualifie de « poétique » et dont la performance intellectuelle est qualifiée d'étrange et troublante. N'est-ce pas extraordinaire ? Encore une fois, c'est exactement l'inverse de ce qu'il fallait comprendre. Et l'inverse de la tradition, c'est l'anti-initiation, l'anti-tradition, en d'autres termes, le satanisme. Il aurait pu découvrir ces concepts dans des lectures plus intéressantes que celles de Karl Marx ou Engels, en lisant notamment Guénon ou Evola dont il ose participer à un colloque dédié à ce dernier. À la minute 13, il parlera de gauche et de lutte des classes, ainsi que de droite et de droits de l'homme ! On se demande bien pourquoi et quel est le rapport avec ce colloque. On s'attendait à une conférence érudite sur Evola, son histoire, ses travaux, ses rencontres...

Puis il parlera, plusieurs minutes durant, de l'antagonisme producteur sédentaire versus nomade parasite ! Comprendre : le paysan du terroir contre le juif apatride. Il usera et abusera encore de la pleurniche en se présentant comme une victime de la censure tout en étant vendu en tête de gondole à la Fnac et autres Cultura ! On se demande encore une fois quel en est le rapport avec ce colloque !

Puis, pour faire un petit peu intello, il citera un archéologue, Vere Gordon Childe, qui aurait expliqué que l'humanité est passée du stade de la préhistoire à l'histoire via la période néolithique, empruntant pour cela le jargon et le paradigme évolutionniste de Charles Darwin. Ce qui, pour un traditionaliste, est une impasse, une impossibilité, une insulte, un blasphème, une infamie. Une recherche rapide sur le net permet de découvrir que cet archéologue s'est nourri aux idées marxistes (tiens, encore lui !) et qu'il a théorisé le néolithique sans absolument aucune preuve, les dernières découvertes ayant d'ailleurs démenti les travaux. Ce n'est sans doute pas grave, sachant que le magicien Alain Soral a tous les droits et qu'il peut balancer n'importe quelle brillante ânerie. Ensuite, il parlera de banques, de réserve fédérale, de monnaie et de nomades parasites (entendre les juifs) tout en pleurnichant une nouvelle fois sur le danger auquel il s'expose et du risque qu'il encourt d'aller en prison, sans que l'on saisisse le rapport avec le sujet ! Au bout de 28 minutes, il annoncera en avoir fini avec son introduction et qu'il s'apprête à aborder la seconde partie, c'est-à-dire la situation actuelle. Rapidement, il parlera, en vrac, de choc des civilisations, du 11 septembre, des juifs, de Poutine qu'il présentera comme un patriote russe ennemi du nouvel ordre mondial, de Syrie et d'Ukraine. Puis il finira par cette phrase extraordinaire de suffisance et de culot : « J'ai suffisamment brillé pour arrêter là » !

En avez-vous rêvé ? Soral l'a fait.

C'est littéralement à la fois, le strike, le jackpot, le Quinté+ dans l'ordre un an à l'avance, le gros lot, le ticket gagnant ! Comment est-il possible d'associer marxisme, théorie freudienne fumeuse, darwinisme et Tradition ? Il a déjà réalisé un écart doctrinal majer en se risquant à accorder Rousseau et le Christ, Robespierre et l'Eglise, mais là ça dépasse l'entendement, il a franchi allègrement le Rubicon, il est en roue libre, il ose tout. C'est du reste à cela qu'on les reconnaît, ce sont les maîtres du pilpoul, un exercice de sophisme de très haut niveau et inégalé si je dois me référer à ce que j'en sais et à mes lectures. Dans sa conférence lyonnaise de mai 2015 avec Pierre Hillard, il affirmera sans rougir : « Mon catholicisme actuel est un catholicisme dialectique comme l'était celui de Charles Maurras... » ! Qu'ajouter de plus ?

En vérité et au risque de nous répéter, c'est exactement l'inverse dont il s'agit. Lorsque le darwinisme parle d'un progrès humain allant de l'être unicellulaire qu'est l'amibe aux grands singes puis à l'homme, avec l'acquisition d'un savoir et d'une science ascendante et progressive, il faut savoir que cette vision du monde est erronée et qu'elle est contredite par des centaines de vestiges éparpillés sur le globe. Nous évoluons du moins vers le plus, de la barbarie à la civilisation, essaie-t-on de nous faire croire. Il se trouve que la Tradition, avec un grand « T », pense et affirme exactement le contraire : l'Humanité descend d'Adam qui était l'homme primordial détenteur du savoir total et va vers la décadence et la dépravation, c'est-à-dire le singe qu'est l'homme moderne d'aujourd'hui. Nul besoin de polémiquer des heures durant pour constater que c'est bien cette vision des choses qui est exacte et non l'inverse, car elle est immédiatement vérifiable dans le réel et au quotidien. L'humanité adamique est passée de l'âge d'or à l'âge d'argent puis de bronze et enfin de fer ou âge sombre, le Kali Yuga, celui dans lequel nous pataugeons aujourd'hui en face de ce dégénéré et de ses semblables.

D'aucuns, les thuriféraires du gourou, pourront toujours dire que j'ai mal compris le sujet et que ceci n'est que ma version toute subjective des faits. Je les invite donc instamment à découvrir ce que pense Evola de Karl Marx par exemple. Cet exercice est destiné exclusivement aux décérébrés et désespérés, car il n'a absolument aucun sens ; c'est comme si on demandait à une abeille de nous prouver qu'elle sait faire du miel.

Sans vous infliger la peine de lire les gros ouvrages de J. Evola - ce qui en vérité serait un pur bonheur - il est loisible de trouver sur le Net le positionnement de ce grand penseur en ce gui concerne le marxisme et le freudisme. Il est essentiel de rappeler à ceux qui ont la mémoire courte ou à ceux qui ne le savent pas, que Freud est un pur produit du sabbatao-frankisme, étant lui-même un kabbaliste, un drogué, un père incestueux et un escroc de haut vol, responsable de bien des suicides de patients lui ayant fait confiance. Michel Onfray a fini lui-même par le comprendre ! En février 1940, Evola a publié dans la revue "La difesa de la razza", un article au sujet des Juifs et des mathématiques, dans lequel il attaquait violemment Marx et Freud. Il considérait ces deux zigotos comme faisant partie d'un complot mondial de domination. Peut-on être plus clair ? Je ne le crois pas. On peut ne pas être d'accord avec lui sur le fond mais on ne peut pas lui faire dire le contraire de ce qu'il a dit. Pour revenir à Michel Onfray, il faut lui reconnaître d'avoir évolué sur le plan des idées et eu le courage de remettre en cause tout le paradigme moderne. Il a enfoncé encore plus le clou lors de sa dernière conférence tenue à l'occasion de la sortie de son livre Cosmos. Le gourou, malgré toutes les contradictions relevées chez lui à propos du triumvirat Marx, Darwin et Freud, s'est permis de s'approprier cette évolution observée chez Onfray en titrant sur son site : "Onfray en voie de soralisation !" Quelle prétention ! Toujours cette volonté de récupération avec des slogans publicitaires creux …

Pour toutes ces raisons, on peut conclure en toute évidence, que Soral n'a jamais lu Evola, qu'il ne sait pas du tout ce qu'est la Tradition et que ça ne l'intéresse même pas, lui qui a eu le temps de l'étudier et qui ne l'a pas fait. Et pourtant, il a eu le culot de participer à ce colloque tenu au Brésil, ce qui prouve que Douguine est lui aussi une belle imposture.

Extrait du livre de Salim Laïbi, "Le mythomane, la face cachée d'Alain Soral".



samedi, janvier 14, 2023

L’éveil pour les paresseux





Dans un monde où règnent l’activisme et la fébrilité, la voie de la fainéantise spirituelle ne manque pas de susciter la méfiance de tous ceux qui sont persuadés que l’éveil s’obtient au terme d’enseignements alambiqués et de pratiques mystérieuses.

Le domaine de l’esprit est accaparé par des professionnels qui en font leur gagne pain. Des prêtres, des philosophes, des scientifiques, des gourous défendent des croyances, des théories, des méthodes spirituelles qui promettent à leurs adeptes besogneux le bonheur, le paradis, des extases agrémentées d’ondes alpha et, cerise sur le gâteau, des pouvoirs paranormaux. En revanche, le paresseux refuse de travailler à un progrès spirituel douteux. L’amélioration spirituelle est souvent invoquée par de prétendus maîtres plus soucieux de manipulation mentale que de libération.

Le spiritualiste oisif a l’intuition qu’il n’y a rien à acquérir ou à maîtriser. Comme Alexandre le bienheureux, le fainéant accompli d’un film de Yves Robert, il prend le temps de savourer la vie. La silencieuse onde de vie est dans chaque être. Cet insondable silence passe inaperçu aussi longtemps que se fait entendre le besoin d’obtenir un état de conscience supérieur, la libération, la sainteté... Toutefois, quand l’esprit n’est plus soumis à un incessant labeur et à de nombreuses attentes spirituelles, cette présence se manifeste naturellement.

Du Non-agir des taoïstes au « reste tranquille » de Ramana Maharshi en passant par la docte ignorance des mystiques rhénans, il est admis qu’il n’y a rien à acquérir. Mais l’éloge de la paresse spirituelle peut sembler un peu désuète ou trop orientale.

De nos jours, le vieux conseil de Lin Tsi (maître Chan du 10ème siècle), « Que l’homme se garde bien de faire », est réactualisé avec des mots simples et vrais par un auteur qui ne revendique pas une appartenance à une confrérie de grands initiés ou à un mouvement spirituel formel. Dans son livre, « L’éveil pour les paresseux », Franck Terreaux communique son expérience de la reconnaissance de l’esprit et de l’attention non attentive :

"Généralement, le matin, après m’être levé et avoir pris une tasse de café, je m’accorde souvent quelques minutes à rester là sans rien faire. J’affectionne particulièrement ce moment car il se trouve encore embaumé par l’état de sommeil vécu précédemment.

- Tu veux dire que tu médites ?

- Non, pas du tout. Je suis bien trop paresseux pour ça. Je suis simplement là, affalé dans un fauteuil, je ne fais rien, sans pour autant m’obliger à ne rien faire. Il s’agit d’une non-intervention non dictée par la volonté de ne pas intervenir. Je suis là, c’est tout. Tu parles de méditer, mais méditer serait entreprendre quelque chose, trouver la paix, en examinant ce qui se passe en moi comme à l’extérieur, faire le vide où je ne sais quoi. Ce dont je te parle est « juste avant » que l’idée de méditer surgisse, c’est beaucoup plus simple, c’est le simple fait d’être là, c’est tout.

- Donc, si j’ai bien compris, tu restes là à rêvasser ?

- Même pas, c’est seulement un bain de présence. Cette présence provenant essentiellement du sommeil dont l’état de veille m’a tiré, son parfum est encore là, c’est comme lorsque tu as passé un long moment dans le froid et que même si tu as regagné le chaud, le froid met un certain temps à disparaître.

- Mais dans ces moments-là, aucune pensée ne t’absorbe ?

- Pour qu’elle m’absorbe, il faudrait que j’y trouve un quelconque intérêt, alors que c’est cette présence qui, elle, est intéressante. Et même si une pensée se présentait, eh bien elle se présenterait et j’ai presque envie de te dire : et alors ? D’ailleurs je n’observe même pas le contenu de la pensée car cela « me » ferait quitter inexorablement le bonheur que j’éprouve d’être tout simplement là, à ne vraiment rien faire, à ne rien être. Ce dont je te parle est si simple qu'on ne peut que le vivre et non l’imaginer."

Franck Terraux, "L'éveil pour les paresseux".

L’expérience de Franck Terreaux permet de constater que la nature de l’esprit (l’esprit originel ou la nature de Bouddha) n’est dissimulée que par sa simplicité. Une déconcertante simplicité pour les personne qui sont aveuglées par des opinions, des dogmes, des manipulations en matière de spiritualité.

vendredi, janvier 13, 2023

LA TRADITION PRIMORDIALE



Qu’est la Tradition Primordiale ?

Par Nirodha


« Tradition » a pour racine indo-européenne DÔ : transmettre la possession de … Cette racine a donné en latin : « traditio : action de transmettre », « tradere : transmettre, livrer ».

Le mot Tradition a deux sens

1. L’un, caractérisant les transmissions des éléments des Voies authentiques.

2. L’autre, « profane », caractérisant la transmission d’éléments SANS articulation métaphysique. C’est à l’honneur de René Guénon d’avoir rétabli le sens premier, effacé par le modernisme, le sens profane ayant prévalu dans l’oubli du « troisième composant de l’homme » : l’articulation métaphysique dans le Dharma du Bouddha.

Qu’est donc cette articulation métaphysique ?

La Tradition Primordiale transmet l’hypothèse forte à vérifier que l’existence humaine est fondée sur trois modes constitutifs : 

1. Le mode physiologique. 

2. Le mode psychologique. 

3. Le mode d’articulation métaphysique.

Malheureusement en ces temps sombres que la Tradition hindou nomme Kali-yuga, « le mode d’articulation métaphysique » n’est plus connu en Occident qui se fourvoie dans un scientisme délirant ; et l’on y voit des forces infra–humaines par des pouvoirs politiques et pseudo-religieux se déchainer et tirer l’humain vers le bas dans une sorte d’auto destruction.

Les Traditions primordiales seront et sont encore plus occultées par des systèmes religieux déterminés en dogmatismes qui se grefferont sur elles au cours des temps. Toute Tradition Primordiale est toujours extra-religieuse non-dogmatique et réservée à ceux qui ont le courage de réfléchir pour sortir de l’instinct de troupeau.

Prenons l’exemple de cela qui est nommé « bouddhismes » devenus traditionalismes systémiques qui occultent la Tradition primordiale. Il faudrait dire « Dharma du Bouddha », Dharma retrouvé par le Bouddha, racine « Budh : éveil », aussi BODHI. L’impersonnel vient alors remplacer tout ce qui est personnel.
 

A l’origine, ce Dharma est vigoureux, « Porte-greffe », mais les « greffons » qui deviendront « les bouddhismes » sont de plus en plus éloignés de la nature du Porte-greffe par dégradation métaphysique, par occultation des résultats subtils, par difficulté d’atteindre des états de Connaissance transcendante élevés.

D’emblée, il faut comprendre que la Tradition Primordiale a pour seule instruction de faire sortir le chercheur des mondes du kâma-loka, les mondes des désirs des sens, et ceci sans tarder selon ses capacités. Au départ, ces enseignements étaient réservés aux moines, aux Yogis. Il faut aussi comprendre le terme « moine » au sens étymologique : « monos : solitaire », celui qui est en dehors des complications mondaines vaines et sources de l’errance, car il n’est pas possible d’éteindre un feu en passant son temps à y ajouter du combustible. La Tradition Primordiale est uniquement supra-mondaine, réservée aux ascètes (ceux qui s’exercent) qualifiés, habiles, capables de s’appliquer à un mode d’existence le plus simple qui soit, guidés par une éthique fonctionnelle qui les détache du monde, leur offre un pouvoir suprême de synthèse libératrice et permet ainsi à l’Intuition métaphysique impersonnelle et universelle de se développer. Il n’y a aucune autre alternative sur ce Chemin libérateur dont l’axe est vertical et non pas horizontal comme chez l’ignorant désaxé et sans chemin. Il n’y est jamais question de compensation intellectuelle mais d’abandon des compensations vers le « zéro absolu ». La joie et le bonheur supra-mondains ne sont qu’une étape nécessaire vers la félicité ou béatitude qui résulte de détachements successifs. Ils n’ont rien à voir avec la joie et le bonheur mondains, fugaces, enfantins, impermanents, toujours attachés aux objets des sens qui ne peuvent que, dans la complaisance, le déni et le mensonge, prolonger la souffrance qui se révèle parfois être un guide inattendu qui tire vers le haut en alertant constamment la conscience …

Un Yogi authentique ne cherche pas à vouloir changer le monde, mais il guide, informe, participe souvent et justement à l’éducation des ignorants, uniquement par amour impersonnel, ce que le profane ne peut pas comprendre. La seule chose qui importe donc est l’abandon des conditions vers l’Inconditionné.

Les Bouddhismes ?

Les « bouddhismes » sont des systèmes (-isme : suffixe indiquant un système) qui occultent plus ou moins le Dharma qui n’est pas un « système ». Chaque système se présente comme seul authentique, d’où la critique des autres. Et comme en tout système, on peut constater : entropie-néguentropie-homéostasie- rétroaction. C’est ainsi que le Theravâda avec le Canon Pâli (prakrit : c’est-à-dire langue commune, vulgaire), amuïssant le Sanskrit, le Parfait, se prétend être le plus proche de l’enseignement du Bouddha. On peut déplorer des éléments mythologiques qui abondent parmi les suttas et les sûtras, par exemple : la conception sans le père (évidemment !), la naissance du bodhisattva par le flanc droit de la mère, les « miracles » ! Le Mahâyâna, le « grand véhicule » qui appelle avec arrogance le Theravâda, « Hînayâna » : « véhicule inférieur », abonde en éléments fantastiques et se prétend aussi le plus proche de l’enseignement primitif. Toutefois, étant en sanskrit, les mots peuvent être éclairés par l’étymologie. Nous n’irons pas plus avant dans cette analyse, mais que ce soit le Ch’an ou le Zen, que ce soit les bouddhismes Tibétains, on y trouve beaucoup d’histoires, de faits invraisemblables.

A l’origine il y a cette hypothèse, proposition essentielle du Dharma : « il est un sans-naissance, sans-devenir, sans-création, sans-conditions ». L’attitude que prescrit la Tradition Primordiale est simple et impersonnelle : refuser d’entrer dans quelque système ou quelque modalité que ce soit mais rechercher à vérifier deux hypothèses : « l’illusion du moi et l’accès à l’Inconditionné » en s’entraînant par les techniques qui développent la Connaissance transcendante. Notre intention n’est pas de critiquer ou de dénigrer mais de mettre en garde contre les déviations si fréquentes qui déforment l’essentiel du Dharma.

Comment a-t-on pu arriver à ces autels surchargés, à cette quincaillerie au-milieu de laquelle trône un enfant Bouddha auréolé d’un tube circulaire de néon fluorescent ?! Les rites et les cérémonies ont remplacé et submergent en quantité et d’une façon parfois délirante les techniques libératrices validées par la Tradition primordiale.

Le Dharma est profond et son expression dialectique, la gnose, est difficile à comprendre car ce Dharma a été « occulté » par les « bouddhismes », nous l’avons dit. Les mots sont des traîtres. Le Bouddha n’aurait-il pas dit : « Le Bhagavat se sert des mots mais n’est pas pris au piège des mots » ? Distorsion-confusion-désinformation-incompréhension. Ce Dharma ne peut être compris qu’en Intuition Métaphysique d’abord noétique, certes, mais à l’acmé, anoétique, donc, sans explications, sans « mots », mode complètement étranger à l’Occident pour lequel seul le cerveau compte.

Et voici cet Occident obnubilé par son homme neuronal-animal-humain, parfois de plus en plus animal qu’humain, conditionné par un physiologique et un psychologique dont il ne connaît pas grand-chose sinon rien y compris les « psy », contrairement à la psychologie orientale, aussi par le Yoga, beaucoup plus profonde et éclairée justement par l’Intuition métaphysique … qui a donc quasi disparue d’Occident.

Ce Dharma étant essentiellement pragmatique, sa psychologique l’est aussi. Elle a le caractère d’une phénoménologie sans ontologie. Le but du Dharma est « d’aller au-delà » des phénomènes, si subtils soient-ils, d’où la nécessité de données descriptives qui présentent les caractéristiques des phénomènes, leurs enchaînements, leurs relations, leurs origines interdépendantes. Car il est vain de chercher une cause ultime aux phénomènes, mais bien plutôt il faut connaître le faisceau des causes, le réseau des actions et réactions des « indéfinies compossibilités » afin d’en reconnaître le caractère propre.

Il serait donc maintenant possible d’avoir une compréhension plus claire de ce qu’est la Tradition Primordiale. L’enseignement métaphysique et les méthodes, les techniques libératrices, comme celles fondées sur la respiration, nous semblent plus importants que les fioritures et les imageries de conte appartenant à des mondes culturels loin de nous géographiquement et historiquement. Que nos propos ne soient pas du goût de certains, nous en convenons !

Le Dharma se transmet, nous l’avons dit. Sa Réception pour l’apprentissage comporte trois aspects : l’éthique dite fonctionnelle, les techniques de concentration-compositionsynthèse, la Connaissance transcendante ou Intuition métaphysique à développer. Ces trois aspects se déclinent sur le Chemin à Huit branches ou l’Excellent Sentier Octuple.

Par conséquent, il sera nécessaire de trouver un Instructeur qualifié qui, bien évidemment, incarnera normalement l’exemplarité par son comportement. Le disciple doit pouvoir le vérifier, sinon …

Le Dharma comporte un « noyau » d’informations essentielles qui représente le dénominateur commun à toutes les modalités bouddhiques et sans lequel elles ne seraient pas libératrices. Il faudra connaître ce « noyau » pour cheminer justement et paisiblement sur le Sentier du Dharma qui n’a que faire des complications culturelles et ethniques.

Ce qui importe est l’intention juste, l’intention droite et énergique, puis … la communication avec un éveillé. Comment savoir qu’un instructeur du Dharma est éveillé et pourra soutenir dans l’ascèse, éclairer les notions de base et enfin provoquer la cassure du mental ordinaire pour accéder à la Connaissance Transcendante, Prajñâ ?

Seul un éveillé peut reconnaître un autre éveillé. Mais le candidat à l’éveil peut connaître une « résonance » : tout se passe comme s’il y avait « Reconnaissance », alerte, intérêt, voire Amour, et aussi reconnaître des critères de Vue juste, de non-attachement, d’indifférence, d’équanimité, d’éthique, sans se laisser trop impressionner par des comportements destinés à jeter « hors de soi », à mettre son mental « a quia », à bouleverser sa structure « qui empêche » pour accéder à une structure favorable. ATTENTION à ces « Maîtres » si nombreux qui sont comme les anciennes auberges espagnoles : on y trouve ce que l’on y apporte !

Question : Pourquoi n’avez-vous pas donné les données essentielles de cette psychologie ?

Réponse : Nous avons proposé des données prioritaires à investiguer par vous-même. Si vous persévérez dans votre recherche, vous trouverez l’instructeur qui vous offrira dès lors ces données essentielles indispensables, psychologiques et métaphysiques pour développer la pratique. Ce sera une question de vie ou de mort ! La Tradition Primordiale est UNE, elle n’est pas multiple. Elle se nomme DHARMA. Ce qui n’est pas Dharma c’est la multiplicité des dialectiques traditionalistes toujours plus ou moins des vérités relatives, souvent confuses, voire irrationnelles. Toute certitude discursive est pathologique. L’intuition métaphysique est Connaissance transcendante au-delà du langage.

Question : Que pensez-vous du libre-arbitre ?

Réponse : Le monde phénoménal est déterminé. Le Dharma conduit au non-déterminé, audelà des conditions, l’Inconditionné, qui est la totale liberté ou Libération. C’est pourquoi la Vigilance est d’une importance cruciale dans l’existence.


jeudi, janvier 12, 2023

Une véritable élite constituée d'honnêtes hommes


Diogène le Cynique portant une lampe pendant la journée et cherchant un honnête homme.



L’élite se constituera d’individualités issues de différents milieux dont elles se seront affranchies pour constituer une race mentale différenciée, indépendante des conditions sociologiques et idéologiques de l’heure. Ceux qui n’auront pas les qualifications requises s’excluront d’eux-mêmes, mus par leur "parti pris d’incompréhension" et leur peur d’affronter la "grande solitude".


Moins d'intellos


Les plus éminents universitaires, savants, philosophes, ont peu de chance, en raison de leurs habitudes mentales et de leur « myopie intellectuelle », d’appartenir à cette élite. Ses éléments, éparpillés, apparemment non agissants, sont néanmoins plus nombreux qu’on ne serait tenté de le croire. Le nombre ne fait de toute manière rien à l’affaire pour que l’influence transformante puisse s’exercer de façon effective ; et il doit s’entourer de discrétion.

Plus de sages

L’élite aura pour principale fonction de préserver et de transmettre le dépôt de la connaissance métaphysique, et de préparer les conditions de la naissance du nouveau cycle : on ne doit pas attendre que la « descente » soit achevée pour préparer la « remontée ».

Formation doctrinale et pratique spirituelle

Mais si l’effort ne débouchait sur rien au plan du macrocosme, il ne serait point perdu au niveau individuel : ceux qui auront pris part au travail – formation doctrinale et pratique spirituelle – en retireront forcément des bienfaits personnels.

Quoique insuffisante au niveau livresque, la formation doctrinale sera le premier degré de la transmutation. Elle consistera à étudier le contenu des « enseignements traditionnels » et des « sciences sacrées » d’Orient et d’Occident, à se donner la mentalité initiatique qu’a détruit l’éducation profane.

La Philosophia perennis

Il est évident que depuis l’époque où Guénon délivrait son message, d’immenses facilités ont été offertes à ceux qui veulent s’informer de la Philosophia perennis, même si celle-ci continue d’être étouffée par les instances officielles - autant de « compensations » inhérentes à l’époque, relevant pour la plupart d’une saine vulgarisation et contribuant à contrebalancer les pires amalgames de la « contre-initiation ». Ceux qui, sans tomber dans la dispersion mentale, sont parvenus à se donner une doctrine cohérente, ne sauraient plus être atteints par les influences dissolvantes et insidieuses du nihilisme contemporain. « Ceux qui savent qu’il doit en être ainsi ne peuvent, même au milieu de la pire confusion, perdre leur immuable sérénité ».

Ces assises doctrinales permettent au contraire de prendre une plus juste mesure de l’époque et de soi-même, à travers les désagréments qu’elle suscite ; et, par là, de s’en mieux préserver. Elles enseignent à éviter l’inutile dialectique, source de confusion sans fin, à rompre avec les systèmes philosophiques qui ne font qu’engendrer la « maladie de l’angoisse » en multipliant les questions sans fournir de réponses. Elles débarrassent à jamais des préjugés et illusions qui, depuis le XVIe siècle au moins, pourvoient l’intelligence occidentale : la « déification » de la raison, la « superstition » de la vie, la primauté de l’action sur la contemplation, le progrès continu de l’humanité...

Certes, de tels hommes auront à souffrir plus que les autres par excès de lucidité au sein de l’aveuglement panique ; et même, une hostilité inconsciente du milieu pourra se déclencher à leur endroit. Mais il y a dans toute souffrance un ferment de maturation, et toute connaissance exige rançon.

Jean Biès.

2 livres de Jean Biès (1933-2014) :

Retour à l'essentiel

Quelle spiritualité pour l'homme d'aujourd'hui ?
Notre monde s'effondre de toutes parts : pollution de la nature, danger de destructions massives, chaos social, corruption morale, terrorisme, falsifications de l'Histoire, conditionnements idéologiques, dévastation du langage et des arts, dissolution de la psyché, nihilisme philosophique, religion en crise, proliférations sectaires; bref, le " triomphe de la Subversion " - énorme caricature du Réel.

C'est ce constat inquiétant qu'analyse d'abord Jean Biès avec son talent habituel. Mais il existe des réformes radicales qu'il propose également, fondées sur les enseignements initiatiques de la Philosophia perennis, communs à l'Orient et à l'Occident, et seules capables d'opérer, avant qu'il ne soit trop tard, un complet retournement de l'être, et de rendre aux esprits lucides mais désorientés les axes et les références dont on les a privés, indispensables à l'acquisition d'une "formation doctrinale" et à un redressement personnel et profond. Il s'agit de rétablir la primauté de l'Essence sur l'existence, de retrouver les chemins de l'ésotérisme chrétien, relié à l'ésotérisme universel (ou Tradition primordiale), de restaurer la vision ternaire de l'être humain, reflet des trois plans du macrocosme, de recourir à des pratiques d'intériorité adaptées à l'homme moderne...

Vie spirituelle et modernité

Nous sommes à la fin d'une époque. toute la question est de savoir comment traverser cette "crise" apocalyptique et en atténuer les effets. La vraie solution ne peut- être que spirituelle. Une nature ravagée, une société déstructurée, un totalitarisme massif ou feutré: il s'agit de recréer des cadres de vie, des modes d'existence, des attitudes intérieures susceptibles de sauver le meilleur de l'homme.


mercredi, janvier 11, 2023

Fonder un gouvernement libre





Un gouvernement est un système qui contrôle un vaste ensemble énergétique sur la zone de sa juridiction nationale. Ce contrôle couvre les nombreux êtres humains qui vivent dans ce secteur d’espace-temps ainsi que les sites naturels, la faune et la flore, mais aussi les aspects spirituels plus subtils qui sous-tendent tous ces éléments vivants.


Par son autorité, l’Etat impose l’ordre, la sécurité et les autres fonctions organiques de la nation. Ce pouvoir s’effectue par l’administration, qui dans un Etat laïc, fixe le rythme et le rituel de la vie collective. L’administration agit comme une sorte de prêtrise laïque qui administre les sacrements et décrète les pénitences.



Un autre système de gouvernement


L
orsqu’un groupe de personnes idéalistes ou spirituelles projette de s’émanciper des règles et des croyances communes qui sont en usage dans une zone nationale, elles doivent d’abord élaborer un nouveau système de croyances et de lois. Il leur faudra créer au sein de la zone nationale un autre système gouvernemental, qui pour durer, devra concentrer en lui tous les aspects d’un gouvernement normal, avec ses systèmes d’organisation, de décision, de protection, de survie et de production.

Ce groupe doit refléter les lois universelles qui sont à l’origine de tout organisme vivant.

Un collectif social ou spirituel ne peut échapper à ces lois. Si ce groupe ne répond pas à un minimum de lois élémentaires en ce qui concerne la cohésion d’un système de vie, il ne peut durer, et il demeure à l’état d’idée ou de rêve.

Un groupe qui désire s’émanciper d’un collectif social qui est soit obsolète, destructeur ou répressif, doit assumer sa responsabilité auto-gouvernementale, ce qui l’oblige à vivre dans deux systèmes durant l’incarnation physique : l’ancien ordre qui fixe les règles sociales extérieures et le nouvel ordre qui s’en détache pour aller vers son autonomie spirituelle et éventuellement vers une autarcie physique – ce qui est très difficile à réaliser mais deviendra nécessaire à l’avenir.

Un Etat de droit offre la sécurité pour les corps et la liberté de conscience pour les âmes.

Mais il n’en est jamais vraiment ainsi car l’Etat et l’Eglise sont rarement en équilibre, l’un désirant toujours imposer sa volonté à l’autre. Toutefois, un consensus préserve le citoyen d’une trop forte pression de l’un ou l’autre, qui sortant de son domaine, cherche à contrôler à la fois les corps et les âmes.



Les besoins créatifs et fonctionnels 


Un groupe en voie d’émancipation doit disposer de tous les éléments allant de l’organisation matérielle à la vie de la conscience, sinon il sera récupéré par l’ordre établi sur les zones où il n’a rien construit.

Ce groupe doit devenir son propre gouvernement et sa propre autorité spirituelle. Il doit pourvoir aux besoins créatifs et fonctionnels de ses membres, sinon il demeure dépendant du vieux système qui continue à le nourrir et à lui imposer son rythme et son rituel. La plupart des communautés idéalistes ont échoué parce qu’elles n’ont pas envisagé que l’émancipation devait être totale, et que la condition de la libération est de viser un but de réintégration dans l’univers, et pas seulement de vivre un projet idéaliste terrestre où tout se transforme continuellement en son contraire.

L’univers ne traite qu’avec des organismes constitués et qui ont démontré leur capacité de s’organiser et de survivre de manière autonome. Il est donc nécessaire de satisfaire à toutes les conditions pour générer un tel organisme, à partir d’une haute idée spirituelle jusqu’au plan vital.

Il ne faut rien laisser dans le vague, et le premier travail d’un tel groupe est de s’organiser et de s’équiper comme un équipage qui partirait en mer. Ici l’équipage devra choisir son gouvernement. Car un groupe désirant être pris en compte par l’univers doit disposer d’un système de gouvernement organique, ce qui est la fonction d’un conseil des ministres sous tous les régimes. Un conseil des ministres qui se réunit est le signe de la légitimité sous n’importe quel régime, car à cet instant ce conseil est représentatif dans l’invisible comme étant le miroir de la nation et du peuple.

Par prudence, le groupe en voie de structuration et d’émancipation ne doit pas émettre de charge revendicatrice ou belliqueuse envers l’ordre établi dont il commence à s’extraire. Il ne doit rien demander ni devoir - rendre à césar ce qui lui appartient - mais respecter simplement le jeu des protocoles administratifs, financiers et politiques de la zone physique où il a son campement.

Le système de puissance d’un Etat est considérable et écrasant. Il ne faut donc pas provoquer sa prêtrise administrative, qui ne cherchera pas à faire des problèmes gratuitement, par goût du moindre effort.



Une légitimité spirituelle


Pour échapper à l’éventuelle pression du gouvernement en place et de l’ordre social où l’on est physiquement inscrit, il faut se placer spirituellement et énergétiquement sur un plan supérieur. Si l’on a une démarche spirituelle authentique, ce positionnement est la moindre des choses. Si l’on tente de mener des activités au même niveau que l’ordre social et culturel environnant, on risque de se retrouver en position de rivalité avec le gouvernement en place. Celui-ci peut alors traiter le groupe comme un dissident dangereux, une faction antisociale ou subversive.

Mais si l’on parvient à mener des activités à un niveau au-dessus de celles de l’ordre établi, alors, les circuits universels qui enregistrent et traitent les organisations nationales vont pouvoir se brancher librement sans interférence avec les systèmes dont on veut s’extraire. Une parole dit : « Dieu ne s’occupe pas des personnalités » ce qui signifie que les lois universelles ne traitent qu’avec des collectifs représentatifs. Il faut donc devenir une nation et un gouvernement à part entière pour être pris en compte régulièrement par l’univers. Ce fait est simple mais sans doute difficile à comprendre par les utopistes et les idéalistes qui, n’ayant pas connaissance des lois universelles, ont tenté de s’arracher au vieux système sans avoir de légitimité spirituelle. Ils n’ont donc pas été repérés ni pris en compte par manque d’un branchement effectif avec les circuits spirituels qui traitent les organismes appelés à être enregistrés dans l’univers. Ces circuits de réglementation universels sont impersonnels et ne négocient pas avec les personnalités individuellement, mais seulement avec des systèmes organiques à même de survivre - et de se mouvoir comme des vaisseaux sur la mer universelle.



Se connecter aux intelligences opératives universelles


Si un groupe réunit les justes conditions, à partir de son autonomie gouvernementale, sans se laisser reprendre par le système social ambiant, tout en ayant élevé son taux vibratoire au-dessus de ce que le système ambiant peut capter, alors, l’intelligence universelle sera agissante à travers les relais angéliques électromagnétiques qui traitent les opérations de réintégration spirituelle. Il faut considérer tout cela de manière scientifique.

Les intelligences opératives universelles pourront élever le système vibratoire du nouveau groupe naturellement, en l’alimentant en énergie supérieure, et en le guidant sur les voies de retour vers le cœur de l’univers.

Pour se maintenir durant l’incarnation physique dans la zone où l’on doit nécessairement résider, il faut maintenir une relation diplomatique avec l’environnement et négocier continuellement pour se maintenir dans une juste orientation spirituelle.

C’est pourquoi, il est impératif que les membres du groupe soient sur la même fréquence, et qu’il n’y ait pas de tiraillements idéologiques ou philosophiques.

La difficulté est de réussir à faire fonctionner un système différent dans une zone étrangère régie par d’autres codes. Il est donc important de disposer extérieurement d’un réseau matériel faisant office de protection au cas où l’environnement deviendrait inquiet à cause de l’élévation du taux vibratoire du groupe. L’histoire a montré que les cathares étaient entourés d’un cercle de seigneurs occitans dévoués à leur cause, ce qui représentait une force matérielle protectrice qui était comme un bouclier préservant leur travail spirituel intérieur. Mais, lorsque le blindage de la population et la noblesse fidèle au catharisme fut anéanti lors de la croisade, les cathares devinrent vulnérables et furent exterminés.

Si l’on ne dispose pas de biens matériels, on peut toujours s’en passer dans la vie individuelle mais dans la vie d’un groupe qui veut parvenir à l’autonomie optimale cela est difficile. Une communauté ne vit pas à l’hôtel. Par contre, il ne faut pas trop s’extérioriser en activités diverses ou en possessions. La dernière heure des Templiers sonna le jour où le roi de France convoita leur biens.

A l’opposé, un groupe qui élève son niveau vibratoire sans s’entourer d’un cercle protecteur matériel suffisant, pourra enregistrer des réactions brutales de la part d’un environnement perturbé par la force spirituelle qui a été soulevée et que cet environnement ne peut intégrer dans ses registres ordinaires. Dans ce cas la fonction des biens matériels est de faire tampon, car les coups atteignent d’abord la structure lourde.

C’est pourquoi il faut s’ORGANISER concrètement, contrairement à la propagande new age qui veut enfermer l’individu dans un réseau collectif virtuel où il n’a plus aucun pouvoir.

Il est amusant d’entendre les nouilles-ageux individualistes se vanter de n’appartenir à aucun groupe. Ils démontrent ainsi qu’ils sont les prisonniers inconscients de la grande secte globale.

Nous espérons que les communautés de bonne foi vont découvrir qu’elles pourraient très bien s’organiser en une fédération de nations libres, et que de nombreux individus isolés vont se regrouper pour générer une force alternative véritable.


Joël Labruyère (Texte inspiré d’une communication transmise par JP 
Appel-Guéry dans la "Science Unitaire de l’Intra-Univers". Chapitre 100 : "Incarnation sur une planète déconnectée", p. 445 - version intégrale, Ed. Transtar.)

mardi, janvier 10, 2023

Pass vaccinal mondial : c’est en route !



Au début, les gouvernements avaient juré que le pass vaccinal ne serait qu’une mesure temporaire. « Une fois la crise sanitaire terminée, il n’aura plus raison d’être », disaient-ils…

Le pass vaccinal a d’ailleurs été officiellement arrêté en France le 1er août 2022. En Suisse c’était à mi-février déjà. La plupart des pays européens ont suivi dans la foulée.

Oui mais…

Novembre 2022 : le G20 lance l’élaboration d’un pass sanitaire mondial

Les 15 et 16 novembre 2022, les dirigeants des vingt plus grandes puissances mondiales se sont réunis à Bali lors du G20.

À cette occasion, ils ont conclu un accord pour créer une identité numérique sanitaire destinée à l’ensemble des citoyens du monde. C’est ce qu’annonce l’article 23 de leur Déclaration commune.

Le texte précise même que ce passeport numérique peut être fait à partir des pass vaccinaux nationaux créés lors de l’épidémie de COVID-19.

Le répit aura été de courte durée.

A soumettre à l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 à Genève

C’est le ministre de la santé indonésien, Budi Gunadi Sadikin, qui a vendu la mèche en premier. En pleine conférence, il a déclaré:

« Ayons un certificat de santé numérique reconnu par l’OMS. Si vous avez été vacciné ou testé correctement, alors vous pourrez vous déplacer (…). Les pays du G20 ont convenu de ce certificat numérique en utilisant la norme de l’OMS, et nous le soumettrons à la prochaine assemblée de l’OMS à Genève lors de la révision du règlement sanitaire international. »

Annonce confirmée par des membres du G20 :

- Aux Etats-Unis, la Maison Blanche a publié un communiqué sur son site officiel, annonçant vouloir soutenir «la poursuite du dialogue international et de la collaboration sur la mise en place de réseaux mondiaux de confiance en matière de santé numérique, dans le cadre des efforts visant à renforcer la prévention et la réponse aux futures pandémies, qui devraient capitaliser et s’appuyer sur le succès des normes existantes et des certificats numériques Covid-19».

- En France, le gouvernement a partagé la déclaration signée par les membres du G20, qui souligne, à l’article 23, «l’importance de normes techniques et de méthodes de vérification partagées, dans le cadre du RSI (2005), pour faciliter les voyages internationaux sans rupture, l’interopérabilité et la reconnaissance des solutions numériques et des solutions non numériques, y compris la preuve des vaccinations ».

- Au Canada, le gouvernement de Justin Trudeau a admis avoir signé un contrat de 105 millions de dollars avec le Forum de Davos pour la création d’un système d’identification numérique des voyageurs aériens.

- En Nouvelle-Zélande, la première ministre Jacinda Ardern collaborerait avec Microsoft pour le déploiement d’identifiants numériques à travers le pays.

Vers un contrôle social "à la chinoise" ?

Officiellement, l’objectif de ce «nouveau pass sanitaire» est de pouvoir agir immédiatement en cas de nouvelle épidémie.

Et pourtant, l’expérience a bien montré l’inutilité de cette démarche. En août 2021, même l’OMS déclarait qu’un «laissez-passer sanitaire basé uniquement sur le statut vaccinal individuel pouvait augmenter le risque de propagation de la maladie ».

Les défenseurs du libre choix vaccinal estiment plutôt que le pass sanitaire risque de devenir un nouvel outil de contrôle social, comme en Chine. Il pourrait, en théorie, être actionné à n’importe quel moment et partout dans le monde.


Lire la suite :



lundi, janvier 09, 2023

Des satanistes pédocriminels comparaissent devant la Haute Cour de Glasgow



Un procès sordide se déroule à Glasgow, en Écosse. Onze adeptes du satanisme, sept hommes et quatre femmes, sont accusés d’avoir abusé de trois jeunes enfants pendant dix ans.


Des enfants au cœur de rituels sataniques

Les faits reprochés sont particulièrement graves et choquants. Les trois enfants, deux filles et un garçon, ont été forcés à participer à des rituels sataniques lors desquels des animaux étaient tués. Ils ont été torturés et violés. L’une des filles affirme avoir été enfermée dans un four et dans un congélateur.

Contraint de poignarder une perruche

Lors des rituels, les 11 persécuteurs portaient des capes et des cornes de diable. Ils auraient forcé un enfant à poignarder une perruche. Les victimes devaient aussi participer à des séances de spiritisme pour évoquer les esprits et les démons. Le groupe d’adultes est également accusé d’avoir tué de nombreux chiens.


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A Glasgow, la police a arrêté du menu fretin. Les puissants pédocriminels, coupables des pires abominations, sont, eux, protégés...


Daniel Guichard chez Hanouna parle des "gens de réseaux qui se tiennent tous par la barbichette".





dimanche, janvier 08, 2023

Brigitte Macron a présenté à Roselyne Bachelot un projet dément : Remplacer la flèche de Notre-Dame par une sorte de phallus

 



Notre-Dame : Roselyne Bachelot révèle le projet fou pensé pour l’architecture de la flèche


L’ancienne ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, fait le bilan de son passage à la rue de Valois dans un livre. Elle a notamment révélé qu’un projet, qu’elle décrit comme phallique, avait été pensé pour l’architecture de la flèche de Notre-Dame de Paris.

Roselyne Bachelot ne passe pas par quatre chemins dans son nouveau livre, "682 jours" (682, c'est le nombre de jours que Roselyne Bachelot a passés au ministère de la Culture sous la présidence d'Emmanuel Macron)
, paru chez Plon jeudi 5 janvier.

L’ancienne ministre de la Culture y dénonce « le bal des hypocrites », et tape notamment sur les artistes « les plus friqués » qui se seraient montrés ingrats en critiquant le gouvernement. Et ce, alors que l’État continuait d’aider financièrement le secteur de la culture, à l’arrêt durant la crise sanitaire. Mais Roselyne Bachelot a également fait d’autres révélations.

« Une sorte de sexe érigé »…

Au moment des discussions concernant la rénovation de Notre-Dame de Paris, victime d’un incendie en avril 2019, la ministre de la Culture de l’époque militait pour que la flèche de Notre-Dame soit reconstruite à l’identique afin de « respecter la convention de Venise ». Malgré cela, « l’Élysée rêve d’un « geste architectural » » et accuserait Roselyne Bachelot de « n’en faire qu’à (sa) tête », a-t-elle raconté. Parmi les idées pour reconstruire la flèche de la cathédrale, Roselyne Bachelot avait pu constater un projet architectural des plus excentriques.

Lors d’un déjeuner quelques jours après la première réunion de la Commission nationale de l’architecture et du patrimoine le 9 juillet 2020, Brigitte Macron dévoilera en effet à Roselyne Bachelot une idée… à la symbolique phallique. 

L’ex-ministre a décrit la scène dans son livre : 

« Déjeunant quelques jours plus tard avec Brigitte Macron, elle me montrera un projet culminant avec une sorte de sexe érigé, entouré à sa base de boules en or… » 

Roselyne Bachelot n’avait néanmoins rien lâché face à la Première dame pour préserver l’authenticité de Notre-Dame. La même année, le clergé avait proposé l’idée d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier récent. Ce qu’avait jugé « irrecevable » Roselyne Bachelot.


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"La bombe lancée par la Bachelot est bien plus importante qu'il n'y paraît : on est en train de s'aviser que non seulement la Baphomette est folle et obsédée par le sexe, mais qu'elle participe au gouvernement de la France pour 750 000 € par an en dégradant tout sur son passage." (Tweet de Campagnol)




samedi, janvier 07, 2023

Blogger censure le constat du Docteur Vladimir Zelenko

 

Blogger est la propriété de Google depuis 2003.



La conspiration sioniste contre la Russie chrétienne




"(...) l'Occident a été l'otage, pratiquement une marionnette, pendant au moins 250 ans du même sionisme qui, en 1917, a déclenché la révolution bolchevique et retenu la Russie en otage pendant 75 ans.

Le changement de cap est donné par l'implosion contrôlée de l'ex-URSS provoquée par les sionistes croyant l'avoir suffisamment affaiblie et donc rendue une proie beaucoup plus facile à dévorer, par le biais de sa marionnette Eltsine. Ce que le sionisme, dans son aveuglement spirituel, n'a pas prévu, c'est l'entrée en scène, il y a 22 ans de Poutine qui, avec le faux attentat du 11 septembre, a compris les véritables intentions de l'Occident et s'est empressé de faire face aux nouvelles menaces, en modernisant l'énorme apparatus militaire hérité de l'ex-Union soviétique et décidant, à l'unisson avec le patriarche Cyrille, de sauver la souveraineté et l'identité essentiellement chrétiennes de leur pays.

Malheureusement, l'Occident est bien plus mal loti que l'ex-URSS, car il a été complètement vidé de toute spiritualité avec l'implacable propagande sioniste basée sur le matérialisme le plus effronté, des 75 dernières années. À ce stade, la Russie a la tâche plus ou moins implicite de sauver non seulement elle-même de la barbarie sioniste, mais aussi le reste du monde, à commencer par la partie encore saine de l'Occident lui-même." Vercingetorige.



Un article signé Iurie Rosca, ancien ministre et homme politique moldave, permet de comprendre la conspiration ourdie par le sionisme international contre la Russie :


La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild


Dès que l’opération militaire russe pour démilitariser et dénazifier l’Ukraine a commencé, les réseaux d’influence sionistes présents en Russie ont commencé à activer toutes leurs ressources humaines afin de torpiller la stratégie de Moscou visant à obtenir la défaite militaire du régime de Kiev. L’élément clé qui prédomine lors des interventions publiques proférées par les agents d’influence étrangère en Russie est le suivant : "Poutine, arrêtez la guerre !"

Curieusement, cette cohorte de pacifistes ne s’est jamais distinguée au fil du temps en appelant à la fin du terrorisme d’État pratiqué par Israël contre les Palestiniens. Nous n’avons par ailleurs jamais entendu ces gens appeler à ce que les États-Unis mettent fin à leurs agressions militaire en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie ou au Yémen.

Le réseau sioniste en Russie

Parmi les représentants du lobby sioniste en Russie (qui sous couvert de messages pacifistes, condamnent résolument les actions de Vladimir Poutine en Ukraine), on trouve :

Maxim Galkin, comédien, parodiste, star de la télévision ;

Ivan Urgant, showman, vedette de la télévision ;

Matvei Ganapolski, journaliste de la radio Eho Moskvî qui s’est enfui en Ukraine ;

Alexander Nevzorov, journaliste, star de la télévision, ancien député de la Douma d’État ;

Ksenia Sobciak, animatrice de télévision et de radio, militante civique ;

Boris Grebenshchikov, poète et musicien, compositeur, chanteur et guitariste du groupe de rock Aquarium, l’un des fondateurs de la musique rock en russe, animateur des émissions Aerostat sur Radio Russie ;

Andrei Makarevich, chanteur, poète, compositeur, présentateur de télévision, leader du groupe de rock Maşina Vremeni (Time Machine) ;

Valerii Meladze, chanteur

Alisher Morgenshtern, rappeur et sataniste auto-proclamé ;

Oleg Deripaska, oligarque, milliardaire, journaliste ;

Mikhail Fridman, oligarque, milliardaire, co-fondateur d’Alfa Bank, citoyen d’Israël, membre de la direction du Congrès juif en Russie ;

Roman Abramovich, oligarque basé à Londres, milliardaire, propriétaire de l’équipe de football Chelsy ;

Andrei Kozirev, ancien ministre russe des Affaires étrangères sous le président Bors Yeltsine ;

Outre les VIP citées ci-dessus (tous pacifiste auto-proclamées), on peut y ajouter un certain nombre de personnages mineur du showbiz tels que Zemfira, Monetochka, etc., lesquels entretiennent l’illusion de l’existence d’une multitude de "leaders d’opinion" dont l’objectif consiste à torpiller toute action entreprise par les dirigeants russes en Ukraine.

Dans le même ordre d’idées, la récente interdiction de deux structures médiatiques russes depuis le commencement des opération militaires spéciales en Ukraine met également en lumière la présence massive d’agents sionistes au sein de dispositifs de propagande visant à porter atteinte aux intérêts nationaux russes. Il s’agit de la station de radio Eho Moskvi (Echo de Moscou) et de la station de télévision Dojdi (Pluie). On relèvera au passage que le rédacteur en chef et copropriétaire de la station de radio Eho Moskvi n’est autre que Alexei Venediktov.

Quelques jours après le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine, une autre "initiative civique" est apparue. Cette dernière est animée par toute une cohorte d’expatriés de nationalité juive. Il s’agit du soi-disant "Comité anti-guerre" dirigé par l’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky, l’ancien propriétaire de l’entreprise Yukos, qui a été reconnu coupable d’innombrables crimes et gracié par Poutine après plusieurs années de détention, après quoi il s’est réfugié en Occident.

Il est bien connu que le clan Rothschild est derrière cet agent antirusse, un fait qui peut être vérifié par quiconque fait un effort minimal pour se documenter sur Internet.

Dans la liste de ceux qui se sont échappés de Russie et se sont réunis dans ce comité, les personnages les plus connus sont le joueur d’échecs et opposant politique Gari Kasparov, né Weinstein, ancien champion du monde d’échecs, d’origine arméno-juive (Wikipedia), ainsi que l’écrivain satirique juif Victor Shenderovich qui est inscrit au registre du ministère russe de la Justice avec la mention "agent étranger".

Le même réseau de "dissidents" inclut également Aleksei Navalny, un militant civique et aspirant présidentiel qui est récemment allé en prison, un exposant clair des intérêts de l’Occident collectif en Russie.

C’est donc une très vaste toile d’araignée tissée depuis des décennies, constituée de showmens, de journalistes et d’oligarques liés au même agenda, qu’elle promeut avec méthode et persévérance. Ce programme est complètement étranger et même hostile à la Russie. C’est ce qu’on peut appeler le lobby libéral ou atlantique, le camp des occidentolatres.

Leur trait distinctif est l’hostilité à la tradition, plus précisément, sa désagrégation par l’anti-musique "moderne" et les abominables tours de scène qu’ils pratiquent, l’hostilité à l’Église orthodoxe, la tolérance (et parfois "l’appartenance à") pour les minorités sexuelles, la dévaluation par persiflage de codes culturels russes, la ridiculisation des vertus et mœurs traditionnelles.

Cette cohorte de prestidigitateurs et de farceurs constituent l’arme de destruction massive aux effets dévastateurs appelée "culture de masse", qui a inondé l’espace public russe, anéantissant toute trace d’identité collective, de décence, de sériosité et de patriotisme, notamment chez les jeunes générations. Et ces oligarques ne sont que le véhicule financier du même acte subversif de sape des fondements du peuple et de l’État russes. En fait, dans tous nos pays, il existe des réseaux similaires d’influence anti-nationale.

Le commando juif à la tête du pouvoir d’État en Ukraine

Si l’on tient également compte du fait qu’aux postes clés de l’Ukraine se sont installés, non par hasard, quelques personnalités juives, tout est lié.

Avec Volodymyr Zelenski, (président), Denys Shmyhal, (Premier ministre) et Alexey Reznikov, (le ministre du Défense), le lobby sioniste controle l’Ukraine d’une poigne de fer. Et comme par hazard la personne qui l’a soutenu financièrement et dans les médias et a amené le comédien Zelensky à la tête de l’État est l’oligarque juif Igor Kolomoiski.

De la même manière l’ancien pouvoir étatique avait aussi une surreprésentation des juifs dans les fonctions clés : Petro Porochenko (président de 2014 à 2019) et Volodymyr Groysman, (Premier ministre de 2016 à 2019).

Vadim Rabinovich, homme d’affaires ukrainien bien connu, magnat des médias et homme politique, président du Congrès juif ukrainien, candidat à l’élection présidentielle de 2014, citoyen d’Israël, pourrait également être mentionné ici.

En général, la présence de l’élément juif dans la politique, les affaires et les médias ukrainiens est massive. Face à une surreprésentation aussi écrasante de citoyens israéliens au sein de l’élite dite-ukrainienne, l’écrivain et publiciste Eduard Hodos (juif loubavitch devenu chrétien orthodoxe) a caractérisé la réalité politique en Ukraine de "roulette juive". Contrairement à la roulette russe (dans laquelle il n’y a qu’une seule balle), la roulette juive remplit toutes les chambres du barillet.

Et ce qui est particulièrement éloquent dans ce contexte, c’est que la majeure partie de la dette souveraine de l’Ukraine est détenue depuis 2015 par le fonds d’investissement américain Franklin Templeton, lequel agît dans l’intérêt du clan Rothschild.

Les informations ci-dessus montrent qui est en fait le véritable maître de l’Ukraine et qui poursuit l’hostilité permanente des relations entre l’Ukraine et la Russie.

La grande finance internationale ayant complètement pris le contrôle de l’Ukraine, elle y a installé ses représentants dans toutes les fonctions importantes de l’État et ce faisant pris le contrôle de l’économie et des médias dominants. Dans une logique d’expansion de sa sphère d’influence, la prochaine grande cible de cette mafia ploutocratique mondiale est la Russie.

Bien qu’au cours des trois dernières décennies, les réseaux d’influence étrangère se soient fortement développés en Russie, réussissant à imposer une influence considérable dans un certain nombre d’institutions étatiques, en économie, médias et showbiz la colonisation définitive de ce pays reste malgré tout inachevée. Alors qu’elle a achevé un contrôle total des pays constituant le bloc de l’OTAN et de l’UE, la Cabale complote sans relâche afin de renverser à tout prix l’État russe et y installer ses propres marionnettes à la tête de ce pays.

Dans ce contexte, l’Ukraine s’est vu attribuer le rôle de fer-de-lance dans la guerre tous-azimuts menée contre la Russie. Cette élite financière ne se contente pas de demi-mesures et s’acharne à extorquer des concessions sans fin auprès de Moscou. Elle vise la capitulation définitive du Kremlin et la transformation de la Russie en colonie, en objet de domination étrangère, dépourvue de toute vocation ou capacité à jamais revenir au statut de sujet de politique internationale.

Il est bien sûr interdit dans tout l’espace euro-atlantique d’exprimer de telles analyses. Les tenants du "discours dominant" à l’échelle mondiale ne le tolèrent pas et tout contrevenant à cette doxa est immédiatement châtié et dénoncé en tant que "complotiste".

La sémantique est extrêmement régulée et le sens étymologique des mots jalousement surveillé. Il ne peut être toléré aucun dérapage aux dogmes idéologiques obligatoires. En excluant toute opinion un tant soi peu non-orthodoxe sur ces questions, il devient dès lors impossible de comprendre les véritables enjeux des conflits géopolitiques majeurs.

À l’heure actuelle, ceux qui s’enrôlent dans le camp du régime de Kiev et se font passer pour des pacifistes sont en fait les mercenaires de l’élite mondialiste cosmopolite, l’élite qui ne cache pas son désir de voir s’établir un Nouvel Ordre Mondial sous l’égide d’un Gouvernement Mondial chargé d’imposer une dictature technocratique à l’échelle planétaire.

Cette mafia globaliste ambitionne d’inaugurer une ère transhumaniste et ainsi de recréer une humanité selon des préceptes prométhéens grâce à la cybernétique et la manipulation du génome humain.

Qu’importe le nom prêté aux principes philosophiques partagés par cette élite ("néo-Kominternistes", trotskystes, mondialistes, sionistes, kabbalistes, occultistes, lucifériens, Illuminati, mamonocratie, ploutocratie, démonocratie etc.) : leur agenda n’est en rien légitime pour la simple et bonne raison qu’ils sont prêts à procéder à une dépopulation massive pour achever leurs ambitions.

En seulement quelques jours de guerre, toute la théorie et la pratique de la conspiration sont apparues en pleine lumière. Il s’agit donc bien d’une "conspiration ouverte" (selon H. G. Wells).

On sait maintenant qui a mis en place et exécuté les deux "Maïdans" (les coups d’État de 2004 et 2014 à Kiev) et quels sont les rôle attribués par le souverain oligarchique à ses pions placés au sommet de chaque hiérarchie étatique.

Nous sommes également en présence d’une guerre totale de religion (de nature quasi-eschatologique) dont l’expression visible se manifeste à travers tout le spectre anthropologique (guerre politique, guerre économique, guerre médiatique et cognitive, guerre culturelle et – ce qui prévaut – la guerre axiologique). Depuis quelques jours, il est même question d’une guerre sans limites menée par des sociétés secrètes qui ont pris le pouvoir politique principalement en Occident.

Quiconque feint d’occulter la dimension spirituelle de l’affrontement planétaire actuel ne peut rien comprendre au déroulement des événements actuels.

La cible principale du Léviathan mondialiste est la Fédération de Russie non seulement à cause de ses vastes ressources naturelles mais aussi parce qu’elle est le rempart ultime de la Chrétienté contemporaine au travers de l’Orthodoxie.

Le conflit civilisationnel/eschatologique entre l’Occident déchristianisé et la Russie est maintenant entré dans sa phase militaire directe en cela que les Occidentaux utilisent l’Ukraine comme bélier contre la Russie.

Vu sous cet angle, au-delà du récit officiel promu par la pieuvre politico-médiatique atlantique, l’enjeu de l’affrontement en Ukraine apparaît dans la véritable dimension planétaire.

Le conflit civilisationnel entre l’Occident hégémonique, déchristianisé, mercantile, avec des revendications de domination planétaire d’un côté, et la Russie de l’autre, est maintenant entré dans sa phase militaire directe. Pour l’instant, les Occidentaux préfèrent rester dans la stratégie de la "proxy war", dans laquelle l’Ukraine est utilisée aveuglément au détriment de ses propres intérêts nationaux et contre la Russie.

La Russie a toujours été la cible des stratèges occidentaux. Depuis Halford John Mackinder, les constantes géopolitiques du monde anglo-saxon, contrôlé par les banquiers et les marchands, n’ont pas changé. La Russie est située dans l’espace appelé "Heartland", "cœur du monde" ou "pivot géographique de l’histoire".

La définition classique de Mackinder est la suivante : Celui qui dirige l’Europe de l’Est gouverne le Heartland ; celui qui dirige le Heartland gouverne l’Île-Monde ; et celui qui dirige l’Île-Monde gouverne le monde.

Comme nous l’avons évoqué, la Russie apparaît également comme le dernier bastion de la civilisation chrétienne. Selon la philosophie politique orthodoxe, c’est le rôle messianique de "Katechon", ce gardien providentiel qui retient et ralentit la venue de l’antéchrist (Deuxième épître aux Thessaloniciens de saint Paul, 2 : 6).

Le philosophe et écrivain français d’origine roumaine Jean Parvulesco a vu en Vladimir Poutine "l’homme providentiel", qui aura pour mission historique de refuser l’arrivée du "fils de perdition". L’homme providentiel dont parle Parvulesco n’a pas grand-chose à voir avec l’individu Poutine dans le sens ou le philosophe traditionaliste fait la distinction entre la force historique qu’incarnerait Vladimir Poutine (destin, sens de l’histoire, manifestation divine) et les limites de l’homme lui-même.

Poutine deviendra-t-il l’instrument d’une volonté supérieure poussée vers la réalisation d’objectifs spirituels majeurs ? Cette probabilité reste ouverte. Mais une chose est certaine. Dans des moments historiques aussi critiques, l’homme au poste politique clé transgresse ses limites personnelles.

Le conflit en Ukraine inaugure une contre-offensive mondiale contre le mondialisme sataniste, contre les promoteurs de l’Agenda 21 génocidaire, contre la dictature technocratique, contre les centres de commandement des forces occultes, lesquelles mettent en œuvre le dépeuplement au travers d’injections forcées, la famine et la paupérisation généralisée.

La Russie obtiendra-t-elle sa revanche sur l’Histoire après les deux défaites majeures de 1917 et 1991 ? Dieu permettra-t-il aux forces de la lumière de vaincre les forces des ténèbres ?

Est-ce la fin du monde ou la fin de ce monde ? Sommes-nous à la fin de l’histoire ou juste à la fin d’un cycle historique, comme disait René Guénon selon une vision de l’Histoire plus "hindoue" ? Sommes-nous à la fin du Kali Yuga, le dernier des quatre cycles, appelé le "temps sombre", enveloppé d’un matérialisme opaque, de conflits et de péché ?

Bien sûr, le recours à l’hindouisme n’est ici qu’une figure de style, pas une déviation du dogme orthodoxe. Et pourtant notre optimisme chrétien nous porte à espérer que l’issue du conflit actuel puisse servir de prélude à un renouveau spirituel octroyé à l’humanité par la providence divine.

Klaus Schwab affirme que le monde ne reviendra jamais à l’époque pré-Covidienne.

Nous affirmons aussi qu’il ne reviendra pas non plus à ce qu’il était avant le 22 février 2022.

Source : Strategika

Iurie Rosca est écrivain. Ancien ministre et homme politique moldave, il est le président de l’Université populaire de Chișinău et organisateur du Forum non-aligné de Chisinau.


vendredi, janvier 06, 2023

Danger Mondial, la franc-maçonnerie

(...) les énergies criminelles et les magouilles de la franc-maçonnerie de haut niveau sont mises en lumière. Il ne s'agit toutefois pas de remettre en question leur bienfaisance dans les trois grades symboliques de base.

Mais ces grades d'apprentis et compagnons, etc., incarnés par les petits frères des loges johanniques, du Rotary, du Lions Club, etc. remplissent, pour la franc-maçonnerie de haut niveau le même but que celui de la farine et de la craie pour le loup dans le conte avec les sept chevreaux.

Dictature mondiale extrêmement draconienne

Les explications suivantes sont nées en réponse à un cri de détresse des francs-maçons de haut niveau. Ceux-ci ont rompu leur secret, poussés par l'extrême urgence, pour lancer un avertissement urgent à la population mondiale. Avant de se retirer, ils ont compilé pendant des années, des milliers de documents explosifs comme preuves. Cela doit démontrer que ce qui n'était jusqu'à présent qu'une thèse pour les lanceurs d’alerte indépendants, n’est absolument pas qu’une thèse. Ils demandent donc à la communauté mondiale de stopper à temps les groupes secrets qu'ils ont dévoilés, car ils ont compris trop tard que ceux-ci travaillaient à une catastrophe mondiale cruelle et délibérément orchestrée, qui ne pourrait pas être plus sanglante.

Le but de cette catastrophe mondiale serait l'établissement d'une dictature mondiale extrêmement draconienne, qui convoite pour elle-même un reste de sujets humains complètement privés de droits et de pouvoir. Ce n'est qu'après d'extrêmes querelles internes, des divisions et des luttes de pouvoir, lorsque les repentis ont réalisé que l'aile du plus haut grade, sujette à un extrémisme malveillant, disposait désormais de tous les moyens nécessaires pour mettre en œuvre ce plan odieux, qu’ils ont commencé leur travail de dénonciation impitoyable. Ces francs-maçons de haut niveau qui se sont retirés garantissent à la communauté mondiale qu'il ne s'agit pas de simples théories du complot, mais bien de véritables faits de conspiration, qu'il faut absolument dévoiler en unissant nos forces – et des projets inimaginables, dangereux pour la société, omniprésents, à l'échelle mondiale ! Pour protéger leur recueil de faits, fruit de plusieurs années de travail, ils l’ont fait sceller partout dans le monde sous contrôle juridique et notarial. Aussi au cas où ils seraient poursuivis juridiquement pour leurs témoignages, ce qui n'est pas encore arrivé.

Ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande

En clair, si on tatouait le symbole de la franc-maçonnerie sur le front de chaque franc-maçon qui se trouve à un levier de commande quelconque, oui, on pourrait rendre visibles les francs-maçons qui se sont infiltrés dans les hautes sphères de notre société. Les peuples seraient choqués alors de constater qu’ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande. Ils ne maîtrisent pas seulement l’ensemble du système d’information, de communication et des finances, nos services secrets, nos armées et nos politiciens ; ils dominent également l'économie mondiale, le système de santé mondial, Big-Pharma ; les autorités de surveillance de toutes sortes, l’immense majorité des médias grand public, une grande partie de la culture, en particulier le cinéma, la musique et l'audiovisuel, la télévision, l'espace, etc. Grâce à leurs réseaux secrets et d’entraide mutuelle, ils ont pu s'enrichir en échappant à tous les services fiscaux et acquérir ainsi une telle position de toute-puissance qu'ils ont réussi à s'emparer de la totalité du complexe numérico-financier, c'est-à-dire des principaux flux du capital mondial, et à les soumettre à leur contrôle de fer. Par le biais d'innombrables crises financières manipulées, de dangers de toutes sortes dans un climat de panique simulé, de grands projets bidons et de milliers d’agissements hypocrites et apparemment désintéressés, ils ont pu engranger des bénéfices de crise insoupçonnés, se hisser à la tête de toutes les conquêtes techniques, scientifiques, militaires, etc. Comme les métastases mortelles d'un cancer, ils ont pu s’introduire jusqu'au plus profond des juridictions et de tout ce qui peut être appelé système de sécurité, etc., s'insinuer partout, sans failles !

L'infiltration est tellement avancée qu'il faut partir du principe que toutes les menaces récemment esquissées dans la panique ne sont qu'un jeu de dupes de ces frères de la loge mondiale, qui souhaitent par ce biais imposer leur nouvel ordre mondial, c'est-à-dire leur propre domination du monde. Pour ce faire, ils utilisent notamment les armes météorologiques désormais bien connues, ou les substances cultivées dans leurs propres laboratoires, qui sont à l'origine de toutes les épidémies. La peste porcine, la grippe aviaire, la maladie de la vache folle, la maladie de la langue bleue, la "plandémie" des chauves-souris appelée SARS-CoV-2 et la variole du singe, etc.

Les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont  membres de la même loge

Cette étude fournit des preuves dramatiques qui appuient la thèse selon laquelle les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont tous des membres de la même loge, d'un seul et même réseau de sociétés secrètes et qu'ils doivent donc obéir aux diktats de leurs maîtres suprêmes. Ce documentaire nous fait d'abord traverser les siècles pour que nous réalisions que la plupart de ce que nous avons compris jusqu'à présent comme l'histoire fatidique du monde, n'était probablement qu'un calcul planifié de bout en bout. De nos jours, la logique veut que le printemps arabe, qui vient de se terminer, ainsi que toutes les révolutions de couleur, les épidémies, etc., jusqu'à la guerre actuelle entre la Russie et l'Ukraine, ne sont au fond qu'un seul et même scénario. Il s'agit d'un spectacle stratégique visant à réaliser des objectifs bien plus ambitieux par le biais de tous ces scénarios d'horreur orientés. Quels sont ces objectifs ?

La réalisation du chaos total planifié depuis longtemps

Par exemple, la réalisation, planifiée depuis des siècles, d'une expropriation et d'une soumission totales de toute l'humanité. Par exemple, la réalisation du chaos total planifié depuis longtemps, en vue de l'élimination stratégique de toutes les nationalités. Nous parlons actuellement de la mise en œuvre ciblée d'un plan de plus de 300 ans qui vise à éliminer toutes les monnaies, les religions, les idéologies, les libertés, etc. – un plan ancestral qui, à travers la crise totale, doit permettre son propre nouvel ordre mondial ou domination draconienne du monde. Mais une telle solution ne serait pas acceptée par les peuples sans méfiance, à moins que les menaces les plus fatales, telles que le terrorisme imprévisible, les épidémies, les pandémies, les catastrophes climatiques, les crises financières mondiales, les guerres, les guerres mondiales, etc. ne puissent apparemment être surmontées que par l’établissement d’une domination mondiale draconienne. Ce que le monde ne devrait évidemment jamais savoir, c'est que la quasi-totalité de la terreur a été organisée par ceux qui se présentent soudain comme la seule issue et le sauveur du monde. Parmi les innombrables mensonges et les sacrifices impitoyables, qui sont d'ailleurs monnaie courante dans la franc-maçonnerie de haut niveau, ce grand spectacle doit donc servir un seul grand but final : l'établissement de la domination mondiale de cette même société secrète qui, d'une main invisible, dirige tout depuis longtemps. Cette tactique de la direction politique des peuples par une seule main pour ainsi dire cachée, est d'ailleurs retenue symboliquement, comme nous le verrons abondamment par la suite, dans la franc-maçonnerie depuis Napoléon 1er. D'innombrables hommes d'État et hauts fonctionnaires se sont en effet fait dessiner, peindre ou photographier comme Napoléon, avec une main dans le gilet.

Un Nuremberg 2.0 

Il semble n'y avoir qu'un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d'un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués. Il est nécessaire de proclamer une annulation mondiale de la dette pour les peuples trompés. Toutes les dettes causées par cette injustice peuvent facilement être payées par les biens volés de ces pilleurs. Si les peuples ne le font pas très rapidement à leur encontre, ces conspirateurs le feront certainement encore de nos jours à l’encontre de tous les peuples !

Depuis que les milieux de l'information libre ont commencé à dévoiler ces réseaux maçonniques qui infiltrent tout sur la toile mondiale, d'innombrables preuves pertinentes sont constamment bannies d'Internet, effacées, censurées ! Il faut signaler ici que tous ces censeurs se rendent ainsi coupables de complicité de génocide. Ils seront certainement accusés de complicité lors des prochains procès Nuremberg 2.0.

Censure et propagande

En effet, chaque jour, des milliers d'informations pertinentes disparaissent de la toile à cause d'eux, et au lieu de preuves vitales sur ce complot réel, on trouve maintenant des textes et des vidéos qui minimisent systématiquement la franc-maçonnerie, la protègent, la justifient, et même la glorifient. Jetons donc un coup d'œil à quelques-uns de ces titres qui apparaissent en premier sur Google. Si on demande par exemple : « Quel est le danger de la franc-maçonnerie ? » Que se passe-t-il alors ?

Aussitôt, la Deutschlandfunk titre de manière extrêmement rassurante : « Les francs-maçons – des pierres pour un monde meilleur » – et puis cette même Deutschlandfunk associe intelligemment, dès le sous-titre, tout critique de la franc-maçonnerie aux nazis antisémites : « Donc, il a toujours été clair pour les nazis : les juifs et les francs-maçons, ils sont de mèche... »

Le magazine GEO Plus réhabilite lui aussi les sociétés secrètes dès son titre : « Francs-maçons : une société secrète sans un seul secret »
Les francs-maçons pratiquants préfèrent s'auto-présenter avec ce slogan : « Francs-maçons : le sens et le but est l'amélioration de soi »

Même les soi-disant experts en religion, qui stigmatisent habituellement toutes les sectes d'arrière-cour, même les plus inoffensives, enlèvent leur mise en garde contre la franc-maçonnerie en tant que secte et la minimisent considérablement dès le titre – et les experts en religion doivent bien le savoir : 
« La franc-maçonnerie a perdu de son importance »

Le Centre fédéral pour l'éducation politique condamne également, dès son surtitre, toute référence à un réseau maçonnique influent comme un simple mythe : « Les francs-maçons – le mythe d'un réseau influent »

Et c'est avec cette petite sélection parmi d'innombrables autres dénigrements sur le web que nous nous lançons maintenant, dans la réalité ! Nous vérifions notamment si les réseaux maçonniques ne sont en fait qu'un mythe sans influence significative.

Nous nous intéressons tout particulièrement à la question de savoir si l'intérêt des francs-maçons pour la politique est vraiment aussi faible que ce qui est affirmé avec insistance sur toutes sortes de sites web maçonniques originaux comme celui qui suit – également dans son surtitre :

- « La franc-maçonnerie n'est pas un mouvement politique et n’est pas un groupe de pression »

- « Les loges et les grandes loges ne formulent pas de programmes et ne prennent pas part aux débats politiques partisans »

En outre, les francs-maçons de haut niveau aiment dissimuler la vérité en disant par exemple : « En fait, nous ne sommes pas des« loups déguisés en moutons », mais plutôt des « moutons déguisés en loups », dont la dangerosité est bien en deçà de l'image qu'en donnent la littérature et les médias.

Mais il est bien connu que l'on reconnaît chaque arbre à son fruit. La question est donc la suivante : 

Quels sont les fruits de la franc-maçonnerie ? En d'autres termes, quels francs-maçons ont incarné quelles œuvres dans l'histoire mondiale passée et présente ? 

Cela seul compte et est important ! Nous avons commencé nos recherches à partir du 18e siècle : Nous nous sommes d'abord intéressés à la question de savoir si les francs-maçons n'étaient effectivement pas actifs sur le plan politique, comme ils le prétendent toujours solennellement. Mais les premières enquêtes nous ont déjà prouvé le contraire : où que l'on cherche parmi les hauts fonctionnaires : francs-maçons, francs-maçons, francs-maçons ! Des francs-maçons sur tous les fronts politiques, militaires et juridiques : Ils ont mené de leurs propres mains des révolutions en première ligne, infiltrant les plus hauts postes politiques dans tous les pays que nous avons examinés... 

Source :  www.kla.tv/23995



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