dimanche, avril 09, 2023

CHRISTIANISME



Vendredi saint 2023 : le pape absent du "Chemin de croix" au Colisée était-ce vraiment à cause du froid ?



Bilan provisoire de l'opération rédemption


Le christianisme sentimental nous a désarmés, nous livrant sans défense aux mains de l'élite prédatrice qui utilise notre pacifisme ramolli pour nous faire la guerre et nous réduire à l'état de sous êtres socio-économiques.

Pendant que nous luttons pour survivre, l'élite est en guerre contre nous pour préserver ses privilèges. Elle nous a désarmés par le faux pacifisme chrétien. Le croyant chrétien ne comprend pas que son sauveur est venu apporter le glaive et non la paix. On l'a dressé à se soumettre aux autorités et il ne peut plus les considérer comme des exploiteurs sans se sentir coupable. Le chrétien ne veut pas ressentir de haine car son idéal est l'amour pour tous, en pardonnant aux puissants qui se font passer pour de bons pères de famille.

Nous avons été domestiqués. Nous avons été dressés à ramper et à nous soumettre aux caprices de l'élite, et lorsqu'un révolutionnaire pointe son glaive vers cette engeance, nous le maudissons, lui, le Caïn révolté, qui en toute justice, finira par le glaive.

C'est une chose difficile à comprendre : « pourquoi les moutons tondus et promis à l'abattoir défendent-ils leurs mauvais bergers ? » Parce que les bergers les ont dressés sur la base des valeurs dévoyées d'un christianisme sentimental et décadent. Pour les christianisés timorés, le mal est désormais virtuel. Il n'y a plus de mal, en dehors de leur imperfection morale. Il n'y a donc personne à combattre en dehors d'un Satan individuel subconscient. Le chrétien s'acharne contre lui-même, il se livre une guerre intérieure pour dominer ses mauvais penchants. Il ne voit pas que ses tendances, traits et comportements négatifs lui ont été implantés par la culture où il baigne depuis des siècles. Mais il est plus simple de se culpabiliser et de se stigmatiser soi-même que de se confronter aux agents de Satan.

On peut s'attaquer à soi-même avec acharnement et même cruauté car, finalement, c'est moins risqué que de lutter dignement contre un système qui nous réduit à l'esclavage. Le Chrétien est donc essentiellement un être sécuritaire qui peut certes mener un rude combat moral, sans jamais remettre en cause ceux qui l'ont réduit à l'état de sous-être. Pire encore, il se targue de cet état vil comme d'une occasion d'acquérir la sainteté par la vertu d'humilité. Fier de sa déchéance, il remercie ses exploiteurs d'avoir rabaissé son méchant orgueil. Le drame de l'homme moderne christianisé est qu'il ne croit plus au diable.

Le vieux Satan des Anciens est donc doublement déchu. Il n'est plus qu'une image virtuelle.

Puisque le Mal n'existe plus, on se soumet au pire, et on puise même dans cette acceptation de notre déchéance une fierté religieuse.

Le diable a disparu du monde visible et invisible, et nul n'ose dénoncer les scientifiques, les financiers et les politiques pour ce qu'ils sont, c'est-à-dire des démons incarnés. Ne sont-ils pas des humains, et ne faut-il pas pardonner ?

On entend les partisans de l'amour inconditionnel, qui seraient bien en peine d'aimer leur voisin de palier, nous conseiller l'amour de l'élite « reptilienne », ces pauvres créatures vampiriques !

Il est incorrect de haïr le Mal. C'est même pire que de tuer, car au moins la psychologie accordera les circonstances atténuantes au criminel. Puisque le mal est pardonné d'office, le Chrétien n'a plus d'adversaire contre lequel éprouver sa force de Bien. N'ayant plus d'adversaire, il n'a même plus besoin d'un dieu. Son Christ est donc venu pour crever une bulle. Il est venu pour rien, et c'est pourquoi les christianisés ne croient plus en rien.

S'ils implorent encore, malgré tout, un Christ à leur image, c'est pour qu'il descende sur terre leur procurer une vie tranquille dans la paix et l'abondance.

La cause de notre apathie face au diable et ses serviteurs s'appelle « manger ». Pour manger, on est prêt à se masquer la face devant les horreurs de la civilisation. La révolte nous entraînerait dans une remise en question si radicale qu'il ne serait plus possible de mener une existence tranquille. Or, la valeur suprême est l'arrêt du conflit, la paix flasque des ventres repus. C'est pourquoi la lucidité sur le monde est réservée aux âmes guerrières, et qu'elle fait peur aux âmes sécuritaires. Ils craignent la vérité et la fuient par mille dispersions.

Toutefois, on sait que la révolte primaire qui consiste à lever le poing vers les principautés, les trônes et les dominations, est vaine. Les révolutionnaires dialectiques sont les agents de l'élite qui finance les révolutions. Il ne peut rien advenir de noble à partir du bas.

La révolte spontanée de la masse n'a jamais existé. La révolution est manœuvrée par des lobbies occultes et bancaires. Les masses ne désirent que du pain et des jeux: la justice sociale.

Le Chrétien moderne est identifié à la masse. Il a même fini par croire que son Christ n'est venu sur la terre que pour apporter le confort et la sécurité, la libération sociale.

Du pain et la paix, voilà le programme transcendant du Chrétien de base, qu'il soit catholique ou membre d'une secte évangélique.

En ce qui concerne le Chrétien plus spirituel, aspirant à l'amour, son idéal se réduit à établir sur la terre une parodie du royaume céleste en caricaturant un amour divin, ravalé au niveau de l'humanisme. C'est le résultat de 18 siècles de faux christianisme.

Nous sommes au fond de la décadence. La faute n'en incombe pas au christianisme car, parmi les Chrétiens, peu en connaissent le sens mystérieux.

On ignore que cette religion surnaturelle est la plus grande opération guerrière de tous les temps. Elle est la lente pénétration d'un feu céleste dans l'eau passive du monde. Cette pénétration a commencé pendant la préhistoire, à travers les révélations spirituelles de l'Antiquité.

Le grand être lumineux que les rishis de l'Inde védique voyaient venir lorsqu'ils regardaient le soleil, c'est le Christ. Au fil de trente trois émanations, s'étalant sur des dizaines de milliers d'années, cet être a touché le plan physique au temps du Golgotha. Alors, le christianisme historique est né, sans que son sens profond ne soit révélé jusqu'à aujourd'hui à cause de la récupération religieuse luciférienne.

En effet, lorsque le grand esprit solaire émane sur la terre, les puissances terrestres captent le reflet de sa manifestation secrète et ils en font une copie qui devient une religion de masse. C'est le christianisme que nous connaissons. Ses valeurs sont absorbées dans l'ordre de la sagesse luciférienne. Toutes les religions émanant de l'esprit solaire ont été ainsi récupérées. Le Christ est un esprit étranger au monde, et le monde ne l'a pas connu et ne peut pas le reconnaître.

Le monde peut seulement projeter sur le Christ les valeurs terrestres les plus hautes qui sont les valeurs civilisatrices de Lucifer, le porteur de lumière. C'est pourquoi le christianisme vulgaire est une religion luciférienne, sans doute plus élevée que d'autres à cause de son idéal de sacrifice rédempteur, mais qui devait inévitablement déchoir en humanisme et en sentimentalité, c'est-à-dire en une doctrine mondaine, inversion et trahison de son impulsion originelle.

Le christianisme n'existe pas encore. Nous n'en connaissons que l'ombre terrestre, car la lumière de Lucifer est l'ombre de la lumière surnaturelle.

La question est : l'Opération Rédemption a t-elle porté ses fruits, et à quoi va t-elle aboutir ? La suite au prochain épisode d'Armaguedon.

Joël Labruyère.






jeudi, avril 06, 2023

Les raisons occultes de la guerre en Ukraine







Nous sommes dans une guerre entre deux puissants égrégores, qui trouve ses racines dans un antagonisme profond entre Amérique et Russie.

Comme l'expliquait Rudolf Steiner (1861-1925) en son temps, l'Amérique est la "terre promise" d'Ahriman (qui représente l'illusion matérialiste), c'est là que ses influences y sont les plus prégnantes. À l'inverse, il disait que la Russie est une terre propice à l'opposition à Ahriman, et que l'âme slave est profondément plus mystique, plus chrétienne. On peut dire que, d'une certaine manière, le territoire américain est particulièrement soumis aux forces ahrimaniennes, alors que la terre russe est particulièrement soumise aux forces lucifériennes. (Lucifer représente l'illusion spirituelle et psychique. Ahriman et Lucifer sont les deux faces du "Dia-ble" - le Double.) 

À l'heure où la civilisation mondiale est dominée par l'élément ahrimanien, où la technocratie a triomphé de tous les pays, il peut être difficile de voir cette nuance. Pourtant, le fond du peuple russe est ce qu'il est, bien qu'il ait été "ahrimanisé" de force. Depuis la révolution bolchevique, le peuple russe a été plongé dans le matérialisme. Malgré cela, son subconscient se secoue face à l'élément étranger. Les forces lucifériennes qui agissent à travers l'âme russe tentent de bousculer le couvercle que les forces ahrimaniennes maintiennent sur elles pour les étouffer. 

Au niveau extérieur et politique, c'est la raison pour laquelle l'opposition est inévitable entre Russie et Amérique. Elle a toujours eu lieu, malgré les changements de régime politique en Russie. Les USA voulaient faire tomber le Tsar avant 1917, et beaucoup d'oligarques américains se félicitèrent de la révolution bolchevique.

Quelques décennies plus tard, l'URSS était en "guerre froide" avec l'Amérique. Après l'effondrement de l'URSS, et malgré la libéralisation et l'américanisation de la Russie, ce pays redevint très vite le concurrent principal des USA. L'Amérique a alors continué sa stratégie "d'encerclement" de la Russie en plaçant des bases de l'OTAN toujours plus proches des frontières russes, que ce soit en Europe ou en Asie. Le but est "d'étouffer" peu à peu la Russie. La crise ukrainienne que nous connaissons aujourd'hui en est un effet : les pro-américains organisèrent un coup d'État en Ukraine en 2014, afin de priver la Russie d'un de ses alliés et, à terme, de faire de ce pays un membre de l'OTAN. 

La guerre en Ukraine est, en fait, une guerre indirecte entre le monde russe et le monde américano-occidental - pour lequel l'Ukraine n'est qu'une marionnette. Ce qui est une aberration, car l'Ukraine est historiquement, culturellement et religieusement rattachée au monde russe. En faisant passer l'Ukraine dans son giron, l'Amérique savait qu'elle remportait une grande bataille face à la Russie. Mais l'égrégore russe a frappé en retour.

L'agenda de l'Ordre mondial 

Si les égrégores américains et russes ne peuvent pas faire autrement que de s'opposer, il n'en demeure pas moins que les chefs de ces États, par-delà cette opposition, ont leurs propres accords et savent qu'ils ont chacun des intérêts dans cette opposition ("diviser pour régner "). Poutine n'est pas un ange blanc qui vient libérer le monde de l'impérialisme américain. Il fait partie du jeu de l'Ordre mondial.

Il est intéressant d'observer que le conflit ukrainien s'insère dans une succession d'étapes anxiogènes ayant pour but de faire monter la tension mondiale. Nous sommes dans une période de crise à plusieurs niveaux, organisée afin que nos chères élites puissent nous apporter ensuite une "solution miracle". Comme nous l'avons répété à plusieurs reprises, 2025 est une date butoir dans l'agenda mondialiste pour opérer un reset de la civilisation mondiale, qui devrait s'accompagner d'une nouvelle révélation religieuse capable d'unifier le monde entier. Mais pour que les peuples approuvent ce changement de grande envergure, il faut qu'ils soient en détresse, mis à genoux, prêts à prendre tout ce qu'on leur donnera pour les "sauver". 

Après la "séquence" covid et sa campagne de vaccination génique, voilà la menace dune nouvelle guerre mondiale ! Le vi-rus était l'ennemi, maintenant c'est le "-rus" tout court.

Biden comme Poutine, ainsi que leurs patrons, sont bien au fait de cet agenda mondialiste, et la crise ukrainienne n'est probablement pas sans importance dans celui-ci. 

Une guerre de plus grande envergure ou de graves pénuries sont-elles prévues dans le plan de l'Ordre mondial ? 

L'avenir le dira...

Source : Uranus N° 9. Extrait de l'article "Les raisons occultes de la guerre en Ukraine". Contact : Barka Productions - Le Gazel - 34330 La Salvetat-sur-Agout.


dimanche, avril 02, 2023

ARN messager, les apprentis sorciers ont commis l'irréparable




En prenant les dix dernières années dans la base de données du VAERS, on note 4 800 % de décès en plus, suite au vaccin anti-Covid. En prenant VigiAccess, il a suffi d’une seule année de vaccin anti-Covid pour atteindre dix fois plus d’effets indésirables que tous les effets secondaires obtenus contre la grippe en cinquante ans. À ce jour, ce sont "plus de 11 millions de rapports d’événements indésirables et plus de 70 000 décès" qui ont été rapportés. [...]

Sans que personne en parle, la base de données VigiAccess indique que les principales victimes de ces vaccins sont majoritairement des femmes. Deux tiers de femmes contre un tiers d’hommes. Près d’une victime sur deux est européenne. Et les jeunes entre 18 et 44 ans, qui n’étaient pourtant pas à risque du Covid, représentent 40 % des victimes. [...]

Actuellement, ce sont des milliers de publications scientifiques qui viennent soutenir la description de ces maladies et décès post-vaccination. Mais ces articles alertent aussi sur l’effondrement de la réponse immunitaire chez les vaccinés, et sur le danger que représentent de nouvelles injections pour eux, comme le rapporte The Lancet en juin 2022. [...]

Regardons sur-le-champ l’étendue de ces effets indésirables, grâce à la "liste prioritaire des événements indésirables d’intérêt particulier". Cette liste provient de la très officielle Brighton Collaboration, qui est partenaire de l’OMS :

-  Désordres hématologiques, notamment des saignements internes ou externes, thrombocytopénies, troubles de la coagulation, thrombose, thromboembolisme, AVC ;

- Désordres immunologiques tels que des anaphylaxies dont les formes sont aggravées par le vaccin, les syndromes inflammatoires multisystémiques chez les enfants ;

- Désordres pulmonaires tels que le syndrome de détresse respiratoire aigu ;

- Désordres cardiovasculaires aigus dont myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque, infarctus ;

- Atteintes rénales et hépatites aiguës ;

- Désordres neurologiques dont les encéphalomyélites aiguës disséminées, les syndromes de Guillain-Barré et Miller Fisher, la méningite aseptique, la méningo-encéphalite, les convulsions généralisées, la paralysie du nerf facial, l’anosmie, l’agueusie ;

- Désordres dermatologiques dont les érythèmes multiformes, l’alopécie (chute des cheveux), les lésions de type engelures, la vascularité cutanée. Cette liste est susceptible d’être mise «à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent.

Je pourrais aborder en détail chacune de ces maladies, mais par économie de temps et de frayeurs je ne vais insister que sur quelques-unes.

En premier lieu, les troubles menstruels sont désormais un chapitre important de la vie des femmes vaccinées. Ils concernent entre 10% et 65 % des femmes vaccinées avec ou sans rappel, respectivement selon le ministère de la Santé en Israël et selon une publication italienne dans Open Medicine (février 20 22).

Il y a aussi un lien entre les troubles cardiaques de type myocardites et péricardites, et le nombre de doses de vaccins ARNm reçus par les jeunes hommes entre 12 et 39 ans. Ce lien est clairement établi dans différentes cohortes, que ce soit aux États-Unis (janvier 2022), dans les pays nordiques (avril 2022) et en Israël (avril 2022). Les résultats ont été respectivement publiés dans les journaux JAMA pour deux d’entre elles et Nature pour l’israélienne. Ce risque augmente non seulement en fonction du nombre de doses, mais aussi en fonction de l’âge. À titre d’exemple, deux doses de Pfizer multiplient par 133 le risque de myocardite chez les enfants de 12 à 15 ans.

Autre événement indésirable grave : les troubles neurologiques. Des neuropathies à la démence, en passant par des neurodégénérescences, ces troubles sont les plus fréquemment rapportés après la vaccination, dans les bases de données officielles. VigiAccess, la base de l’OMS, liste 1,7 million de troubles neurologiques. Il peut s’agir de troubles cérébraux vasculaires de type AVC ou thromboses veineuses cérébrales, des problèmes cognitifs et de mémoire de type Alzheimer, des troubles de neuropathie périphérique de type paresthésie, paralysie de Bell, épilepsie et convulsions et des neuropathies immunologiques de type syndrome de Guillain-Barré et myélite transverse.

Une étude prospective sur les maladies démyélinisantes inflammatoires, qui sont des maladies d’une gravité extrême, affirme que 8,5 % des patients ont développé les tout premiers symptômes dans les mois qui ont suivi leur vaccination anti-Covid. Puis une autre de mai 2021 parue dans XActa Neurologica Scandinavica, qui compile les effets neurologiques. Puis une autre parue en juin 2021 dans Cureus. Puis une autre, publiée le 4 septembre 2021 dans le Journal of Neurology. Et encore une autre parue en octobre 2021, dans la revue European Journal of Neurology. Et encore une autre parue le 11 novembre 2022, où l’on apprend cette fois que 57 % des patients de l’étude développent des troubles neurologiques juste après la vaccination. Et il y en a d’autres.

Extraits du livre d'Alexandra Henrion-Caude, "Les apprentis sorciers"

Tout ce que l'on vous cache sur l'ARN messager
Alexandra Henrion-Caude

"Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l'une des plus renommées d'après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu'est l'ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts ?"

Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux États-Unis en 2013, Alexandra Henrion-Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l'hôpital Trousseau, puis à Necker en tant que directrice de recherche de l'Inserm. Elle a découvert l'implication de l'ARN dans différentes maladies génétiques de l'enfant et a révélé l'existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule.

PDF gratuit :


samedi, avril 01, 2023

Partir en Russie, l'immigration idéologique



"L’Occident déclare que la perversion, y compris la pédophilie, est la norme de vie (...) Les élites occidentales deviennent folles, des millions de personnes dans ces pays se rendent compte qu’elles sont conduites vers une catastrophe spirituelle." Vladimir Poutine, le 21/02/23.

Dans son bulletin N° 127, Xavier Moreau révèle que la Russie envisage de faciliter l'immigration idéologique des personnes qui souhaitent fuir le wokisme, le totalitarisme LGBT, la démocrature à la française... "(...) des députés de la Douma veulent prendre une loi à ce sujet, dit Xavier Moreau." Pour en savoir plus :

- Emigrer en Russie : immigrationideologique@mail.ru

Infos nécessaires :
Nom et prénom
Email et numéro de tél
Profession
Quelle est la région visée pour déménager en Russie
Etat matrimonial
Nombre d'enfants (le cas échéant)

Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe

Nicola Berdiaev

L’expérience des temps modernes ne nous permet pas de retourner à l’ancien Moyen Age ; seul un nouveau Moyen Age est possible. L’appel à un nouveau Moyen Age, aujourd’hui, n’est qu’un appel à cette révolution de l’esprit, à un renouvellement total de la conscience.

PDF gratuit : 


jeudi, mars 30, 2023

Du pain et des jeux


"Entendez-vous un candidat politique parler du côté obscur du numérique ? Entendez-vous l'un d'entre eux parler de la technologie de ville intelligente qui détruit la vie privée et qui est installée dans les villes du monde entier ? En entendez-vous parler des dangers des passeports numériques pour les vaccins, qui ont été approuvés par les pays du G20 à la fin de l'année dernière ? Non, moi non plus. Et cela inclut Trump."



Du pain et des jeux


Par Isabelle



Alors que les Américains sont de plus en plus hypnotisés par la couverture des élections de 2024, où tout ce dont ils entendent parler est la théâtralité entourant Donald Trump, les mondialistes et les technocrates agissent rapidement pour installer un nouvel ordre économique mondial qui déjouera le système politique et asservira l'humanité.

Trump est la figure polarisante parfaite pour distraire les Américains à ce moment clé de l'histoire. Gardez votre regard sur lui et vous êtes assuré de manquer la situation dans son ensemble.

Et voilà la raison d'être des "joueurs de flûte"...

Un excellent article qui nous fait réaliser que les sagas, les intrigues et les scandales sont du "pain et des jeux". Voici la traduction automatisée :


Cela a à voir avec le système de la bête qui approche à grands pas, qui nous mène vers la troisième guerre mondiale et l'esclavage économique grâce à des systèmes de paiement sans numéraire, une surveillance biométrique 24h/24 et 7j/7 et même la mort. Oui, la Troisième Guerre mondiale et les injections d'ARNm fourniront l'abattage mondial des populations humaines que Bill Gates, Henry Kissinger, les Rockefeller et d'autres intérêts puissants préconisent depuis des décennies.

Dans ce contexte, passons à l'essentiel de cet article : les systèmes de paiement électronique sans numéraire qui se nourrissent de vos données biométriques personnelles.

La semaine dernière, nous avons appris que la chaîne de restaurants Panera Bread déploie une nouvelle option de paiement biométrique proposée par Amazon où les clients font scanner leurs paumes sans espèces ni cartes de crédit nécessaires.

Maintenant, JP Morgan a annoncé qu'il déploie également un nouveau système de paiement biométrique avec l'intention de le mettre à la disposition de tous les commerces de détail avec lesquels il traite.

La Presse du Vin rapporte :

Après un mois de turbulences bancaires dans le monde, la mégabanque américaine JP Morgan a annoncé plus tôt cette semaine le lancement d'un programme pilote pour une nouvelle plateforme de paiement par reconnaissance faciale, qu'elle prévoit de franchiser à d'autres banques et entreprises. D'autres sociétés de cartes de crédit ont introduit des types de systèmes de paiement similaires, tels que le système de paiement sans contact et de reconnaissance faciale de VISA pour la Coupe du Monde de la FIFA de l'année dernière au Qatar, ou la fonction "Smile to Pay" de Mastercard .

Sur son site internet, Visa nous invite à apprendre « comment taper pour payer » avec ses systèmes de paiement sans contact. Apple propose des connexions biométriques pour ses téléphones portables depuis plusieurs années et vous pouvez maintenant simplement pointer votre téléphone ou votre AppleWatch vers certains de ces systèmes et, bingo, vous êtes prêt à vérifier. Vous pouvez voir sur son site Web la longue liste des détaillants participant au système sans contact de Visa, notamment McDonalds, Aldi, Costco, CVS Pharmacy, 7-Eleven, Dunkin Donuts, Starbucks, OfficeMax, Whole Foods, etc.

Visa explique son système comme suit :

« Les paiements sans contact sont des transactions effectuées en tapant soit sur une carte sans contact, soit sur un appareil mobile ou portable permettant le paiement sur un terminal de paiement sans contact. Les cartes, téléphones, montres et autres appareils utilisent la même technologie sans contact. Lorsque vous appuyez pour payer, le paiement est sécurisé et pratique. »

Chaque fois qu'une entreprise américaine déploie une nouvelle avancée technologique, l'argument de vente est toujours le même. C'est toujours plus sûr, sécurisé et pratique.

JP Morgan a exposé son nouveau système de paiement sans contact dans un communiqué de presse du 23 mars :

“ JP Morgan va commencer à piloter des paiements basés sur la biométrie avec certains détaillants aux États-Unis. Il s'agit de la première solution pilote à lancer à partir de la nouvelle suite de produits Commerce Solutions de JP Morgan Payments, destinée à aider les commerçants à s'adapter à l'évolution rapide du paysage des paiements.

« Son pilote de paiement basé sur la biométrie inclut l'identification de la paume et du visage pour l'authentification des paiements en magasin et fonctionne sur une base inscription-capture-authentification-paiement. Les paiements biométriques mondiaux devraient atteindre 5,8 milliards de dollars et 3 milliards d'utilisateurs d'ici 2026, selon Goode Intelligence.

« L'offre pilote biométrique de JP Morgan Payments devrait permettre des expériences de paiement rapides, sécurisées et simples pour les clients de ses commerçants, offrant une expérience de paiement moderne pour améliorer la fidélité des clients. En tant que premier acquéreur mondial de commerçants, JP Morgan Payments occupe une position unique pour permettre à cette solution de répondre aux attentes des clients sans compromettre la sécurité et la fiabilité. "

Jean-Marc Thienpont, responsable des solutions omnicanal pour JP Morgan Payments a déclaré :

« Fondamentalement, les paiements basés sur la biométrie permettent à nos clients commerçants d'offrir une meilleure expérience de paiement client. Nous sommes un fournisseur de paiements et une institution financière de confiance dans le monde entier, et entièrement équipés pour gérer les points d'identification hautement sécurisés qui alimentent les solutions biométriques. L'évolution de la technologie grand public a créé de nouvelles attentes pour les acheteurs, et les commerçants doivent être prêts à s'adapter à ces nouvelles attentes. »

Ah oui, vous pouvez lire entre les lignes de cette déclaration et entendre ce qu'il dit vraiment : préparez-vous à vous adapter, vous les paysans, car la société sans numéraire est là, que cela vous plaise ou non !

JP Morgan exécutera ses premiers programmes pilotes avec des magasins physiques aux États-Unis, et inclura potentiellement le Grand Prix de Formule 1 Crypto.com de Miami, qui prévoit d'être la première course de Formule 1 à piloter des paiements basés sur la biométrie pour fournir clients avec une expérience de paiement plus rapide.

Si le programme pilote réussit, un déploiement plus large sera lancé pour les clients marchands américains en 2024, a déclaré JP Morgan.

Méfiez-vous de ces systèmes de paiement « sans contact ».

Les mondialistes ne veulent pas seulement retirer l'argent de votre portefeuille, ils veulent également retirer les cartes de crédit, les cartes de débit et éventuellement même votre téléphone portable de votre poche.

Comme nous l'a déjà prévenu le conseiller du WEF, Yuval Noah Harari, la prochaine étape du mouvement technocratique mondial est que les outils de surveillance 24h/24 et 7j/7 passent « sous la peau ».

Je suis assez vieux pour me rappeler quand les cartes de débit étaient controversées et maintenant nous scannons les parties du corps des gens comme mode de paiement. Ce n'est qu'une partie de l'évolution progressive et planifiée de longue date vers une société totalement sans numéraire contre laquelle les «théoriciens du complot» mettent en garde depuis au moins les années 1980. Ils n'avaient pas tort; ils étaient juste en avance sur leur temps.

La façon de vaincre cette bête, ou du moins de la ralentir, n'est pas politiquement à travers des figures humaines de messie, mais personnellement à travers notre propre agence humaine. Nous devons nous résoudre à ne jamais nous conformer à ces systèmes.

Entendez-vous un candidat politique parler du côté obscur du numérique ? Entendez-vous l'un d'entre eux parler de la technologie de ville intelligente qui détruit la vie privée et qui est installée dans les villes du monde entier ? En entendez-vous parler des dangers des passeports numériques pour les vaccins, qui ont été approuvés par les pays du G20 à la fin de l'année dernière ? Non, moi non plus. Et cela inclut Trump.

Nous ne voterons jamais pour sortir de ce système, pas en élisant Trump ou DeSantis ou qui que ce soit d'autre. On a déjà essayé ce truc de messie, tu te souviens ? Voter c'est bien mais voter ne représente qu'une toute petite partie de notre devoir civique et il ne faut pas se laisser ronger par le théâtre qui entoure le processus électoral, notamment présidentiel.

Au lieu de cela, je dirais que nous devons, en tant qu'individus, décider maintenant de quel royaume nous souhaitons faire partie. Nous pouvons rester à l'intérieur du système des bêtes mondaines, profitant de sa sûreté, de sa sécurité et de ses commodités temporaires, pour payer le pot plus tard en tombant avec ce système corrompu lorsqu'il rencontrera sa disparition inévitable. Ou, nous pouvons nous retirer du système - une décision qui, à un moment donné, suscitera la colère du système mondial, qui est exploité par des prédateurs mondialistes lucifériens.

Ces prédateurs ne peuvent pas accepter que certaines personnes veuillent simplement être laissées seules, vivre libres et indépendantes de leurs technologies transhumanistes et de leurs produits pharmaceutiques déshumanisants. En prenant position contre ces prédateurs mondiaux maintenant, nous leur envoyons le message qu'ils ne nous domineront pas, qu'ils ne nous subjugueront pas, du moins pas en nous incitant à entrer volontairement dans notre propre captivité. Dites simplement non aux paiements biométriques, aux applications de paiement numérique, aux voitures électriques, aux technologies portables, aux villes intelligentes, aux injections d'ARNm, à la viande cultivée en laboratoire et à tout le reste des illusions trompeuses qui composent la matrice.

Source : https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2023/03/et-des-jeux.html




lundi, mars 27, 2023

Et si Internet était l'Antéchrist de notre époque ?



L'Antéchrist ("Antichrist", dans les Évangiles en grec) est la force qui s'oppose au Christ en récupérant son impulsion pour la dévier. De façon plus générale, l'Antéchrist est la puissance qui, en prenant le masque du bien, utilise les aspirations altruistes ou spirituelles des hommes pour consolider la prison terrestre. Il est dit de l'Antéchrist qu'il "vient à la fin des temps", ce qui signifie entre autres qu'il vient à la fin de chaque période, avant qu'une nouvelle ère ne commence.

Il y a 2 000 ans, les forces antéchristiques donnèrent naissance à l'Église, afin de récupérer dans leur sens les influences de l'ère des Poissons qui commençait (foi, recherche de l'Absolu, unité des consciences). Deux millénaires plus tard, nous changeons aussi d'ère astronomique : nous entrons dans l'ère du Verseau, dans laquelle doivent prédominer l'esprit scientifique, les valeurs altruistes, l'unité sociale avec une conscience universelle et la volonté de dépasser les entraves du monde physique. 

Comment les forces antéchristiques vont-elles récupérer ces influences ? 

On peut déjà le voir dans les différents aspects de la civilisation scientiste et mondialiste qui est en place. Mais il est intéressant de noter que l'intelligence artificielle, dont le "corps mondial" est l'internet, conjugue la récupération de ces différentes influences du Verseau : elle est l'aboutissement de la recherche scientifique, elle vise à unir le monde entier sur la même onde. en jouant sur la corde "sociale", et à créer un nouvel univers "libéré", du plan physique.

Internet, en tant que corps de l'intelligence artificielle mondiale qui acquiert une autonomie, n'en est encore qu'à sa tendre enfance. Le monstre grandit, et on peut se demander ce qu'il deviendra à l'âge adulte... Rappelons que l'outil informatique n'est pas innocent, mais qu'il véhicule des entités vampiriques qui se nourrissent des énergies humaines à travers son utilisation. 

Quelle est l'entité supérieure qui est en train de s'incarner dans l'intelligence artificielle ? Quelle est cette puissance qui - en termes de mémoire et d'intelligence uniquement analytique - surpasse tous les cerveaux humains de la Terre ? 

Rudolf Steiner a appelé ce démon du nom d'Ahriman et avait prédit son incarnation au début du IIIe millénaire. Francis Paul Emberson, continuateur de Rudolf Steiner qui a, quant à lui, vécu jusqu'en 2017, expliquait qu'Ahriman a lancé trois grandes impulsions sur Terre : vers l'an 666, vers 1332 (2x666) et enfin vers 1998 (3x666).

L'an 1998, qui est le départ effectif d'Internet, est selon lui le début de l'incarnation d'Ahriman à travers un corps planétaire. 

Nous nous souviendrons aussi des étonnantes paroles du patriarche de l'Orthodoxie russe Kirill, qui compare Internet à l'Antéchrist (Lire l'article, "L'opposition entre l'Eglise catholique et l'Eglise orthodoxe russe", Uranus n° 3)... "L'Antéchrist est la personne qui sera à la tête du World Wide Web et qui contrôlera l'espèce humaine entière", disait-il entre autres. 

Nous ne souhaitons pas ici affirmer une théorie dogmatique, mais ouvrir une réflexion, poser une question : et si Internet était "l'Antéchrist de notre époque" ? 

Que disent les Ecritures ? 

Les Évangiles, ainsi que le Livre de la Révélation (traduit "Livre de l'Apocalypse"), donnent de nombreux éléments ésotériques sur l'Antéchrist. L'erreur serait de croire que ces descriptions concernent un moment précis et unique de l'Histoire - ce qui fait que chacun a cru voir, à son époque, la réalisation des prophéties apocalyptiques. En réalité, les Écritures évoquent des vérités qui se situent sur différents plans (individuel, collectif planétaire, cosmique...) sans s'annuler entre elles. Au niveau extérieur, elles se manifestent cycliquement et de différentes manières selon les époques. Certains moments-clefs de l'Histoire correspondent ainsi à des passages de la Bible. En ce qui concerne la venue de la Bête et de son faux-prophète, on pourrait trouver à différentes époques des situations correspondant à ce que décrivent les Écritures - les initiés les ayant rédigées connaissant les schémas qui se répètent cycliquement dans l'Histoire.

Pour notre époque, il est étonnant de constater que le World Wide Web correspond à la description de l'action de l'Antéchrist. 

Étudions quelques extraits du Livre de l'Apocalypse. 

"Et la Bête fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent un marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom." La marque de la Bête est reçue par tout le monde. L'homme est connecté à la machine informatique principalement par deux points de son corps : sa main droite qui lui permet d'agir dans le monde virtuel (par la souris ou par le tactile), et sa glande pinéale (derrière le front) qui s'aligne sur l'onde informatique. Par la main droite, il pénètre le monde virtuel, il y "agit". Par le "front", il est pénétré par ce monde virtuel, il en reçoit passivement les influences. Par ces deux points, l'humanité entière reçoit la "marque" d'Internet. 

On remarquera ensuite que la société mute à une telle vitesse autour de cet axe central qu'est l'internet, qu'il devient en effet impossible "d'acheter et de vendre" (donc de vivre) sans cet outil, sans avoir "la marque". 

Le nombre de la Bête est donné dans le verset qui suit cet extrait du Livre de l'Apocalypse : il s'agit de 666. Là encore, une "coïncidence" doit être observée : l'hébreu étant le langage de référence de la Bible, il faut savoir que chaque lettre hébraïque a une valeur numérique. Le chiffre 6 est la valeur de la lettre W. 666 en code alphanumérique est donc WWW. 

La Bête dont il est question, qui est la "seconde Bête" (aussi appelée le "faux-prophète") "séduit les habitants de la Terre par ses prodiges", elle "fait des prodiges, jusqu'à faire descendre du feu du Ciel sur terre" : Internet a dépassé les limites de ce qui pouvait être imaginé il y a encore quelques décennies. Et nous n'en sommes qu'à ses débuts ! Ses multiples "prodiges" (présents et à venir) qui séduisent la Terre entière, auraient été vus comme des affabulations de science-fiction il y a encore un demi-siècle. Quant à "faire descendre du feu du Ciel sur terre", comme pour tous les passages bibliques, cette phrase évoque des réalités à plusieurs niveaux. À un niveau matériel, on remarquera que le fondement de notre civilisation antéchristique, l'énergie fondamentale sur laquelle elle repose, est l'électricité. Sans électricité, pas de monde virtuel ! Ce "feu du Ciel" est adoré par tous les habitants de la Terre au point que, s'il fallait l'ériger en religion, le culte de l'électricité serait de loin la première représentée !

Le faux-prophète dit "aux habitants de la Terre de faire une image à la Bête (...). Et il lui fut donné d'animer l'image de la Bête, afin que l'image de la Bête parlât". Encore une fois, la portée hautement symbolique de l'Apocalypse est à une échelle qui nous dépasse, mais le parallèle avec ce que nous pouvons observer physiquement dans notre époque ne peut pas nous échapper. Si les Anciens avaient voulu décrire l'écran, ils n'auraient pas mieux fait. N'est-ce pas l'écran qui, de la télévision jusqu'au smartphone et à la montre connectée, a envahi la Terre entière pour la soumettre à l'image de la Bête qui s'anime et qui parle ? La Bête n'est pas un politicien ou un pape, c'est le démon qui enserre la civilisation entière et qui, par le simple rayonnement des écrans, nous maintient sous son contrôle.

L'Apocalypse dit aussi que "tous les habitants de la Terre se réjouiront et s'enverront des cadeaux les uns aux autres". On peut 1à aussi voir que cette description colle avec l'internet qui a mis le monde entier en communication. 

Dans ces différents extraits, il est souvent question de "tous les habitants de la Terre", car la Bête vient pour une unification Planétaire. Qui a mieux réussi cette unification que l'internet ?

Les Évangiles parlent eux aussi de l'Antéchrist. Ainsi, l'Évangile de Matthieu dit que "même les élus seront séduits" (qui se passe de l'internet ?) et que les antéchrits se font passer pour le Fils de Dieu, ce qui veut dire qu'ils veulent détrôner Dieu (dans la nouvelle religion scientiste, l'intelligence artificielle doit "devenir Dieu"). N'oublions pas que le pape jésuite François a déclaré : "Internet est un don de Dieu", et les Jésuites utilisent depuis déjà longtemps la formule "Notre-Dame du Web". Est-ce la préparation de la nouvelle religion mondiale de demain ? 

Qu'est-ce qui unit le plus les humains sur toute la Terre, si ce n est le progrès scientifique et le monde numérique qu'il développe ? À l'heure actuelle, la seule base d'unification qui ait été trouvée entre toutes les religions est la "supériorité d'e la science"... Le transhumanisme finira-t-il par mettre tout le monde d'accord ? 

"Tous les yeux le verront !" 

Des initiés plus récents ont dit que le faux-prophète qui viendrait pour installer la nouvelle religion mondiale "serait vu de tous les yeux" et "utiliserait les ondes". Le parallèle avec le monde numérique qui s'est installé est évident. 

La question d'un faux-prophète personnalisé, incarné par un "sauveur charismatique", paraît presque secondaire. Il est très difficile de prévoir l'avenir ; par contre, nous savons que quoi qu'il advienne, les forces de l'Antéchrist n'iront que dans le sens de la consécration d'Internet et de l'intelligence artificielle mondiale. 

Le transhumanisme et l'existence virtuelle sont les seules perspectives de cette civilisation matérialiste. Les nouvelles générations sont éduquées dans ce messianisme : "seule l'intelligence artificielle pourra sauver le monde, car elle synthétise les meilleures performances de l'homme... sans avoir aucun de ses défauts puisqu'elle n'est pas humaine !"

L'Antéchrist de notre époque est-il donc cette puissance démoniaque qui s'incarne à travers l'intelligence artificielle et qui régit le réseau numérique de la planète entière ? La question mérite d'être posée.

Antoine Duvivier, extrait du "DOSSIER INTERNET, La toile qui emprisonne le monde. L'arme qui détruit la pensée". Revue URANUS. Contact : Barka Productions - Le Gazel - 34330 La Salvetat-sur-Agout.


samedi, mars 25, 2023

Courage fuyons !


Le Grand Rejet

"La seule solution est de créer des micro-communautés indépendantes qui peuvent survivre au Grand Reset grâce à un Grand Rejet..."



"Au cours des dernières décennies, écrit l'ancien franc-maçon Léo Zagami, une tendance notable en Occident a été de placer des politiciens, aussi jeunes et inexpérimentés que possible, à des postes très élevés. 

Bon nombre de politiciens les plus célèbres d'aujourd'hui, aussitôt après avoir remporté une seule victoire électorale, sont poussés par leurs collègues à des postes au sommet de la hiérarchie gouvernementale. L'ancien président américain Barack Obama, le premier ministre canadien Justin Trudeau, le président français Emmanuel Macron, le premier ministre britannique Rishi Sunak, le premier ministre finlandais Sanna Marin, l'ancienne première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern et son successeur Chris Hipkins ont tous atteint les zéniths du pouvoir national.

(...) les présidents et les premiers ministres actuels conduisent les nations occidentales vers l'Armageddon nucléaire mondial, vous remarquerez non seulement leur incompétence, mais aussi leur mépris flagrant pour ce que veulent leurs électeurs. Il suffit de regarder la plupart des Français, qui sont en colère contre le président Emmanuel Macron et son projet de repousser l'âge de la retraite. Au cours des dernières 24 heures, ils ont bloqué l'accès à un terminal d'aéroport, se sont assis sur des voies ferrées, se sont affrontés avec la police et ont lancé des projectiles sur un poste de police lors d'une journée de manifestations à travers la France, ce qui démontre une fois de plus que ces jeunes politiciens, marionnettes Illuminati soumises au lavage de cerveau comme Macron, sont les serviteurs idéaux du système dictatorial jésuite. C'est pourquoi le pape François a rencontré le président de la France, lors d'une troisième audience privée au Vatican en octobre dernier.

Ensuite, nous avons quelqu'un comme le président américain Joe Biden, le plus âgé à occuper le poste et le deuxième président catholique qui est, bien sûr, une autre marionnette jésuite. Biden est maintenant tellement "aguerri" que presque chaque semaine un article remet en question ses aptitudes mentales et sa capacité à faire face aux exigences de la fonction présidentielle, mais ce n'est pas un problème pour les contrôleurs qui veulent détruire l'Amérique et ont besoin d'un zombie à la Maison Blanche pour accélérer le processus.

Depuis le début du COVID, le "Build Back Better" (B. B. B. Plan est un cadre législatif proposé par le président Biden) a été répété par les "jeunes leaders mondiaux" sans cervelle et inutiles qui vont régulièrement au Forum économique mondial de Klaus Schwab à Davos, en Suisse, une émanation moderne de l'Ordre des Illuminati d'Adam Weishaupt et le cœur de la montée du Quatrième Reich, comme je l'ai expliqué en détail dans "Confessions d'un Illuminati Volume 7 : Des racines occultes de la grande réinitialisation aux racines populistes du grand rejet".

Lorsque Schwab, un agent jésuite, et ses sous-fifres du Forum économique mondial Illuminati ont transformé la tragédie du COVID en une opportunité de validation d'une "grande réinitialisation" modifiant les marchés mondiaux, la gouvernance et le pouvoir, presque tous les dirigeants politiques ont accepté sans remettre en question cette absurdité. Ce manque de résistance aurait dû provoquer une contestation immédiate de la plupart d'entre nous, mais rien ne s'est passé, car au moment où j'écris le volume 8, la plupart des gens subissent un lavage de cerveau par des films et de la musique conçus aujourd'hui par des personnes qui traînent à Davos et participent à un rituel satanique.

La synchronicité est suffisante pour vous faire vous demander si c'est votre nation ou le Forum économique mondial qui dirige les gouvernements. 

En tant que fondation la plus réussie au monde qui agit également comme un groupe de réflexion Illuminati, le Forum économique mondial publie un large éventail de rapports et répand une propagande qui contribue à conduire ces politiciens incompétents dans les bras du futur Antéchrist. 

Les dirigeants politiques d'aujourd'hui, qui sont constitués de marionnettes maçonniques, parlent constamment de "Reconstruire mieux" simplement parce que Klaus Schwab se tient directement derrière eux, rappelant à ces connards qu'ils ne sont là que pour le servir lui et les Illuminati et leurs seigneurs jésuites, rien de plus.

L'Occident est dirigé de facto par une oligarchie, des "élites" financières. Peu importe le nombre de fois que les dirigeants politiques vantent les vertus de la "démocratie", tout cela est une arnaque pour vous préparer à la dictature de l'IA, que j'ai décrit dans "Confessions d'un Illuminati Vol. 6.66 : L'ère du cyber Satan, de l'intelligence artificielle et de la robotique".

Les politiciens, comme les produits concernés par d'obsolescence programmée, sont placés dans un système truqué dans lequel les consommateurs en aval sont obligés de payer plus au fil du temps tout en possédant peu de choses qui ne perdent pas leur valeur.

Comme l'écrit Shurck du Gatestone Institute :

"Une oligarchie financière sur le pouvoir politique est comme un monopole manufacturier sur le pouvoir économique : sur les deux marchés, les biens sont produits en masse avec les composants les moins chers possibles. Le résultat est que les choses se cassent facilement et que les systèmes ne durent pas. Si de nos jours les politiciens s'avèrent tout aussi médiocres que ce que les clients trouvent trop souvent dans les magasins, il peut y avoir une raison simple à cela : les titans financiers internationaux fabriquent, vendent et permettent les deux… et envisagent peut -être de vous posséder aussi."

Et la seule solution est de créer des micro-communautés indépendantes qui peuvent survivre au Grand Reset grâce à un Grand Rejet, comme je l'envisage dans le tome 7 de mes Confessions."




jeudi, mars 23, 2023

La domination des nanas


Un « nannarchat » latent, sans visage précis, domine toute l'Europe occidentale et les USA, pays où les idéologies poussent à la virilisation des femmes et à la dévirilisation des hommes.



La domination des nanas

NANA est un terme archaïque, sans doute étrusco-lydien, auquel Maurice Guignard a restitué son contenu, c'est-à-dire la sociologie matriarcale des hautes époques. En français, « nonne » : sœur. religieuse, est de même origine. A vrai dire, le règne de la nana ou nonne représentait, par rapport au matriarcat strict, une réaction salutaire puisqu'il substituait au règne de la femme sénile celui de la femme dynamique. Décadent, il retombait dans le matriarcat strict (comme en Asie Mineure, quand Cybèle succéda à Artémis en tant qu'arcane) ou aboutissait au patriarcat (comme à Rome, quand la révolution rejeta le matriarcat étrusque et ses rois soumis aux nanas, devenues abusives). Les sibylles et pythies représentèrent une floraison de cette institution. à moins qu'elles ne se soient reliées à une forme typiquement berbère du matriarcat - celui des Grandes Reines.

La nana, personnage tabou, se retrouve en filigrane dans la haute époque des peuples scandinaves, océaniques et méditerranéens. Elle s'éteignit peut-être en Occident avec la druidesse. Sainte Anne de Bretagne rappelle le souvenir à peine christianisé, soit d'une « grande nana » régnant sur un collège de nanas, soit celui de la déesse Ana symbolisant l'âme du globe. Écrit avec deux « n », sainte Anne se rapporte à la première théorie.

C'est par le déchiffrement de l'étrusque et du lydien, langues cousines, que Maurice Guignard rétablit cette insolite sociologie. Il explique que, dans la famille étrusque ou lydienne, il arrivait que l'une des filles, plutôt l'aînée, se consacrât à une prêtrise domestique : elle devenait nana. Célibataire et vierge, elle serait la gardienne de la tradition, la célébrante de certains rites et la prêtresse mariant ses sœurs (ce qui lui donnait par ricochet le contrôle des maris).

La nana existait à chaque niveau du corps social : famille, clan, cité, État. En fait, le pouvoir politique était indirectement entre les mains des nanas parce que, prophétesses. elles détenaient l'oracle. Leur chasteté, combinée à une ascèse et à un régime alimentaire, leur donnait des antennes ; elles étaient médiums. Elles transmettaient la voix des morts, celle de l'âme ethnique et, pour les plus douées, la voix des dieux. Leurs états de transe impressionnaient les hommes qui craignaient de surcroît leur malédiction.

Gardiennes de la tradition. elles préservaient aussi la connaissance des runes et de leur vocalisation. C'est en effet par la magie du son que leur malédiction pouvait être rendue efficace !

A la longue, après avoir assuré une stabilité plusieurs fois millénaire aux civilisations archaïques, l'institution entra en décadence. Faux médiums, ne captant plus l'oracle divin, ou médiums tricheurs car lui substituant un oracle infernal, les nanas se défigurèrent de surcroît en tyrans domestiques, mariant les femmes à leur gré et envoyant les hommes au travail et à la guerre.

En Crète, la « Grande Mère », c'est-à-dire la « papesse » des nanas,
exerça sur les masses une magie fascinatrice en tirant du culte du
serpent une puissance qui se substituait à la puissance divine.

Un texte étrusque, éloquent, traduit par Maurice Guignard, dit que l'homme n'avait alors que deux façons d'échapper à la nana : « le vin et la colonisation »... Mais une nana accompagnait l'amiral ; les figures féminines de proue perpétueraient le souvenir de ces contre-amiraux en jupon !

Et le prophétisme criminel des dernières druidesses aurait causé la fuite épique de Ram. En son temps, de louches oracles féminins prescrivaient le sacrifice humain du guerrier d'élite, par haine inavouée du mâle... Comme prétexte : ces hommes étaient choisis « par les dieux » pour être les messagers du peuple auprès des ancêtres... Escroquerie spirituelle !

Les abus du « nannarchat » expliquent la révolution romaine et la chute des rois étrusques - évidemment. Les Romains instaurèrent le patriarcat le plus strict, retirant soigneusement à la femme le pouvoir prophétique.

Les antiques nanas se prolongèrent néanmoins par les vestales, vierges aussi et gardiennes de la tradition, mais sans médiumnité et sans autorité.

Il semble que l'âme inconsciente des peuples méditerranéens et océaniques soit restée traumatisée par la tyrannie des nanas de décadence : l'esclavagisme féminin, corse et sicilien (prostitution), en serait la rançon sous la forme d'une inconsciente vengeance.

Aujourd'hui, dans l'argot de la truandaille, la nana = l'esclave préférée du proxénète, la reine du harem, en somme, le reflet inversé de l'ancienne nana. Tyran domestique, elle exploite au profit du proxénète ses sœurs en esclavage.

Quant à la mama méditerranéenne, autre tyran domestique, elle dérive aussi de la misogynie corse et sicilienne.

Ailleurs, le spectre de la nana écroulée qui pèse sur l'inconscient collectif de manière très abstraite, a des conséquences moins dramatiques : le culte du joueur de football ou de rugby, culte enfantin (des adultes en culotte courte jouant au ballon, jeu d'enfants) sévit en des régions où l'abus du féminisme, jadis, empêcha les hommes de devenir vraiment adultes ! 

De nos jours

(...) la nana reparaît sous l'alibi de l'égalité des sexes (en fait, il s'agit de féminisme) et de la liberté des mœurs. Tout en réduisant l'homme en bête de plaisir et de travail et en guerrier castré, les femmes vengent la chasteté forcée de leurs lointaines devancières sacralisées.

Un « nannarchat » latent, sans visage précis, domine toute l'Europe occidentale et les USA, pays où les idéologies poussent à la virilisation des femmes et à la dévirilisation des hommes. Il s'y ajoute maintenant le sacrifice humain étatisé - par les lois sur l'avortement ! Tout cela entre dans un même contexte de résurgence de matriarcat décadent et d'Apocalypse.

Jean-Louis Bernard 


mardi, mars 21, 2023

Monter au ciel en plein jour



Un thème de la littérature antique peu étudié jusqu'à présent : 
Le rapt vif et entier vers l'au-delà.

3 récits :

- 1 ) Monter au ciel en plein jour (Zhongchang Gongli, Chine)

"Il y avait, au sud du fleuve [Jaune], dans le district de Mi, un certain Shangcheng qui, après avoir longtemps étudié la Voie, fit ses adieux à sa famille et s'en alla. Il s'éleva d'un pas léger pour commencer, puis il entra dans les nuages, et on ne le revit jamais. C'est ce que l'on appelle élever son corps et s'envoler léger ; monter au ciel en plein jour, l'apogée des Immortels.» Chen Yuanfang et Han Yuanchan étaient tous deux des hommes éminents de Yingchuan, non loin du district de Mi. S'ils croyaient tous deux à l'existence des Immortels, c'est sans doute parce que le père de l'un et le grand-père de l'autre purent voir Shangcheng devenir Immortel et monter au ciel. Cela est une preuve de plus de l'existence des Immortels."

« Monter au ciel en plein jour » (Zhongchang Gongli, Chine), cité par Ge Hong, La voie des divins immortels, traduit, présenté et annoté par P. Che, Gallimard.

- 2) C'est ainsi qu'on nous enleva (Scribe inconnu, Mésopotamie)

« Plutôt que le Déluge,
Une disette eût mieux valu, pour dé(biliter) le pays !
Plutôt que le Déluge,
Une épidémie eût mieux valu
Pour fr[apper çà] et là les hommes !
Non! Je n'ai pas dévoilé le secret
Juré par les grands-dieux
J'ai seulement fait voir à Supersage un songe,
Et c'est ainsi qu'il a appris ce secret!
A présent, décidez de son sort ! »
Alors Enlil monta sur le bateau,
Me prit la main et me fit monter avec lui,
Et fit monter et s'agenouiller avec moi ma femme.
Il nous toucha le front,
Et, debout entre nous, nous bénit en ces termes:
« Uta-napishtî, jusqu'ici, n'était qu'un être humain:
Désormais, lui et sa femme
Seront semblables à nous, les dieux!
Mais ils demeureront au loin:
A l'Embouchure-des-fleuves !
C'est ainsi qu'on nous enleva,
Pour nous installer au loin,
A l'Embouchure-des-fleuves ! »
Bottéro J. et Kramer S.N., Lorsque les dieux faisaient l'homme, mythologie mésopotamienne, Gallimard

- 3) Élie monte jusqu'au ciel  (probablement d'un groupe de prophètes, royaume d'Israël-Samarie)

Ils continuent à marcher en parlant. Soudain un char et des chevaux de feu les séparent. Pris dans le tourbillon, Elie monte jusqu'au ciel. Voyant cela, Elisée se met à crier :
- Mon père! Mon père! Char d'Israël et ses cavaliers !
Mais il ne le voit plus. Alors il saisit ses vêtements, les déchire en deux, ramasse le manteau d'Elie qui est tombé puis revenant sur ses pas, il s'arrête devant la rive du Jourdain, saisit le manteau d'Elie qui était tombé et en frappe les eaux.
- Où est Yhwh, Dieu d'Élie ?
Il frappe encore l'eau, qui se divise de part et d'autre. Elisée traverse. L'apercevant d'en face, depuis Jéricho, les fils de prophètes s'exclament :
- Le souffle d'Elie s'est posé sur Elisée!
Puis ils viennent à sa rencontre et se prosternent contre terre devant lui :
- Voici avec tes serviteurs cinquante hommes fils de vigueur! Qu'ils aillent à la recherche de ton maître, de peur que le souffle de Yhwh ne l'enlève et ne le jette sur une des montagnes ou dans une des vallées.
- Non, n'envoyez personne.
Mais ils insistent tellement qu'il finit par céder. Ils envoient les cinquante hommes, qui recherchent Elie pendant trois jours, en vain. Enfin ils reviennent vers Elisée, resté à Jéricho.
Ne vous avais-je pas déconseillé d'y aller ? leur dit-il. (La Bible)


Commentaire

Ces trois récits développent un thème de la littérature antique peu étudié jusqu'à présent : le rapt vif et entier vers l'au-delà. La Bible qui fourmille de héros, de saints et de miracles ne mentionne que deux fois ce motif. Outre Elie, un patriarche antédiluvien bénéficia d'un enlèvement, échappant ainsi au déluge : « Hénoch accompagne Dieu et plus une trace de lui car Dieu l'a pris » (Gn 5,24). Ce bref verset biblique atteste un événement prodigieux. Un homme a reçu l'immortalité en récompense de son obéissance à la loi de son créateur. Il jouit désormais d'une vie sans fin. Le motif de l'enlèvement définitif d'entre les mortels se distingue des apothéoses post mortem ainsi que des voyages éphémères dans l'empyrée. Il signale un privilège que de rares humains ont obtenu : rejoindre l'au-delà, corps et âme, sans mourir. Les élus n'ont pas de tombe. Ils suivent une trajectoire verticale (ciel) ou horizontale (terre lointaine). Les cultures où la mort est redoutée ont imaginé cette possibilité, autre que la fin commune des créatures. L’Égypte où la mort est un passage obligé pour l'ascension n'a laissé aucune trace de ce type d'immortalité. Motivés par l'idéologie politique, la morale religieuse, la critique sociale, des récits d'assomption ont perduré en Eurasie. La plupart ont été canonisés dans des textes sacrés. Il est toujours difficile d'en déterminer l'origine mais encore plus hasardeux de les dater car ils sont pour la plupart véhiculés par une tradition orale insaisissable. Il semble cependant que depuis la nuit des temps de tels récits aient circulé en Extrême-Orient. De la Chine à la Méditerranée, suivons le vol de ces augustes ancêtres.

La Chine est une terre d'enlèvements. Depuis des temps immémoriaux mille élus bénéficieraient de l'immortalité. De la hiérarchie trine du taoïsme deux types répondent à notre définition : les immortels terrestres devenus invisibles, continuant de vivre parmi les hommes (Tch'e-song Tseu et la plus jeune fille de Yen-ti), apparaissant épisodiquement; les célestes « montés au ciel en plein jour », tels que décrits par le premier texte, séjournant avec les ancêtres dans les montagnes ou les îles légendaires, le corps métamorphosé (empereur jaune env. 2500 av. J. C., Schang-chen, Xu Xun). C'est selon le plus ancien traité d'étymologie (de Xu Shen, env. Ère chrétienne) le sens du caractère non simplifié qui les désigne : 10 + œil, suggérant en outre la présence de témoins visuels. Le texte a pour auteur un érudit miséreux, Ge Hong, qui vécut en Chine du côté de Nankin entre 283 et 343 ap. J.C. ; il est considéré comme le plus grand écrivain alchimiste de tous les temps. Le contexte décadent de l'époque des Six dynasties lui inspira de se détacher du monde pour écrire plusieurs ouvrages. Ce Traité ésotérique du maître qui porte la simplicité est l'un des plus complets sur l'immortalité ; dans ce texte, il cite Zhongchang Gongli (179-219 ap. J.C.) qui fut secrétaire impérial sous les Han et conseiller militaire sous les Cao Cao. Le taoïsme appelle la vie vertueuse « façon de monter au ciel » et mourir « s'entraîner à la vertu ». Celle-ci ne suffit pas : il faut être prédestiné, rencontrer un maître, maîtriser trois techniques: alchimique, sexuelle, gymnique et respiratoire. L'assomption n'est pas réservée aux hommes, mais au ciel seul le yang subsiste. Parmi de nombreux traités le plus ancien en notre possession est le Lie-sien Tchouan de Lieou Hiang (77-6 av. J.C.). Incorporé au canon taoïque en 1019, il relatait alors 72 biographies, nombre mystique. La vieille mythologie chinoise, métissée de chamanisme, évoque le pays des hommes qui ne meurent pas à l'est, région qui connut une grande effervescence mystique à la fin des Royaumes combattants et sous les Han (IVe siècle-220 av. J.C.). C'est le berceau du taoïsme magico-religieux : la transformation en oiseau serait inspirée des indigènes Yi mais le thème de l'ascension dans les flammes se rattache selon Wen Yi-touo aux pratiques funéraires des K'iang, tribus tibétaines des confins occidentaux. C'est une même expression qui désigne la « mort du souverain » et « l'apothéose des immortels ». Paradoxalement ce sujet intéresse aussi bien des empereurs que des sages qui fuient la société, le retrait du monde étant une condition pour acquérir la capacité de l'immortalité. Certains souverains favoriseront même les recherches alchimiques dans cette intention. Deux foyers apparaissent donc pour attester ce mythe: l'extrême est de la Chine et le Tibet. De celui-ci ont pu naître des récits oraux colportés vers l'Inde comme en témoigne l'existence de ce motif dans la tradition indienne.

Les mythes religieux plongent souvent leurs racines dans la préhistoire, ils donnent naissance à des contes merveilleux ou moraux, à des fables dont le caractère fluent échappe à la traçabilité historique. Stith Thompson, dans sa classification des motifs de la littérature populaire, répertorie des types d'ascension, la plupart dans la zone indienne : héros monté au ciel, enlèvement au ciel par Dieu, rapt par un chariot du ciel d'un couple qui vivra avec des sages dans la Grande Ourse au-dessus de laquelle est le paradis. Une tradition orale indienne et persane a produit la plus grande œuvre littéraire pendjabie au début du XVIe siècle. Mise en écrit par le poète hindou Damodar, Hir est la première attestation intégrale du textes. Cette variante est insérée dans le livre sacré des Sikhs. Elle se clôt sur l'enlèvement de Hir et de Rajah par un attelage de quatre chevaux noirs dans le ciel vers le pied d'une montagne à l'ouest. Leur amour impossible sur terre symbolise l'amour vrai, image de la quête mystique : l'amour est la seule morale sanctifiée par cinq saints. Leur histoire sera aussi interprétée comme une critique sociale du système des castes ; dans un souci de modernisation on assimilera leur combat à celui des masses indiennes contre l’État. La civilisation indienne a des affinités culturelles avec le monde indo-iranien.

La personnalité la plus connue de celui-ci est sans conteste Zarathoustra. Prophète de la préséance d'Ahura-Mazda, il lutte contre le polythéisme qui semble s'être répandu dans son milieu. En Mésopotamie comme en Syrie du Nord l'idéologie royale fonde sa légitimité sur un mythe qui rapproche le roi de la sphère du divin. Naram-Sin (env. 2225-2185 av. J.C.) inaugura de son vivant la divinisation, il sera imité par de nombreux rois. Pour cela il ajoute à son nom le déterminatif divin, ce qui signifie non qu'il soit Dieu, mais qu'il au un lien avec la divinité, se distinguant ainsi des autres hommes. Les rois appuient leur autorité sur une prétendue délégation divine du pouvoir, ils sont vicaires des dieux. Comment ? Par une parole révélée au seul souverain qui participe de cette façon à quelques secrets des dieux ou par une généalogie mythique qui le situe dans la descendance d'une divinité, ainsi de Gilgamesh auquel s'adresse le sage du deuxième texte. Le royaume d'Ougarit, au XIIIe siècle, laisse les plus anciens témoins des fondements de cette idéologie dans Baal et la Mort et Shachar et Shalim. Ces mythes expriment la conception idéale du pouvoir royal : le souverain doit pouvoir se réclamer d'une autorité céleste, être puissant mais moins qu'un dieu, la transmission de l'autorité pouvant s'effectuer par l'engendrement d'une lignée semi-divine suite à un enlèvement par un dieu d'une humaine qui concevra de lui. Ce motif sera productif et évolutif en Grèce (Europe, Ganymède). Parallèlement, lors des fêtes de nouvel an, sont rappelés les débuts de l'humanité où quelques gouvernants, pour leur sagesse, ont été sauvés par un dieu au moment du déluge. Le deuxième texte est extrait du récit ninivite de l’Épopée de Gilgamesh où le héros, à la recherche de l'immortalité, ayant atteint la terre où le sage poursuit une vie sans fin, écoute le récit de l'enlèvement divin. Ce document est attesté par des manuscrits du premier millénaire et fait écho au poème d'Atrahasîs et au récit sumérien du déluge du XVIIe siècle. Au début du dialogue, le dieu Ea qui a sauvé Uta-napishti explique son geste au dieu Enlil qui voulait exterminer l'humanité entière. La leçon de l'histoire est que seuls ceux qui peuvent dépasser la finitude de la condition humaine ont droit à l'immortalité.

Si la Bible démythisa l'imaginaire païen ce fut parfois au prix d'une nouvelle mythisation moralisée et spiritualisée. Si le patriarche Hénoch enlevé avant le déluge est comparable aux sages des épopées mésopotamiennes, Élie est la figure inverse des rois déifiés (2 R 1-2,18). Le troisième texte, probablement rédigé vers 800 av. J.C., appartient au cycle d'Élie contant ses faits et gestes dans un genre légendaire de tradition orale. Mais Elie est un personnage historique qui a vécu dans la première moitié du IXe siècle dans le royaume hébreu du Nord appelé Israël ou Samarie. Ce prophète solitaire dont le nom signifie « YHWH est mon Dieu » lutta toute sa vie contre le polythéisme introduit par l'épouse étrangère du roi Achab. Homme de Dieu renommé, il semble gouverner les forces naturelles, il combat l'injustice des souverains et se signale par des miracles. Son enlèvement est une critique de l'idéologie royale expliquée dans le paragraphe précédent : aucun roi n'est au-dessus de la loi morale révélée par Dieu, seul l'ajustement à la volonté divine permet d'échapper au sort commun. Alors que le successeur d'Achab monte dans sa chambre pour descendre dans la fosse, Élie descend vers le Jourdain pour monter au ciel. Fenêtres d'espérance en une après-vie glorieuse où d'autres aussi vivront sûrement (Si 48, 1-14), les élus sont parangons de conversion tel Hénoch dans la Septante, de ferveur inébranlable tel Élie qui brûle d'un zèle jaloux pour YHWH. Leur destin gémellaire abolit les limites du temps et de l'espace.

Plusieurs courants se dessinent, inspirés par ces récits. L'apocalyptique juive, en particulier dans les livres d'Hénoch, a trait aux secrets du ciel, au jugement dernier ; le patriarche, dépeint comme l'équivalent des héros mésopotamiens et grecs, parce qu'il est proche de Dieu, sait interpréter ses signes et prévoir l'avenir. Plus tard la mystique juive de la Merkabah, le «chariot », en empruntera quelques thèmes (Hénoch transformé en l'ange Métatron). Martyre et ascension sont associés dans les apocryphes pour montrer que la montée au ciel est une récompense de la sainteté, parfois sanctionnée par le martyre : le Martyre d'Isaïe, texte rabbinique, est inséré dans l'Ascension d'Isaïe, apocryphe chrétien. Des trépassés de l'Ancien Testament sont exaltés par une assomption tel Moise. Le Nouveau Testament fait mémoire d'Hénoch (He 11,5) en insistant sur la foi grâce à laquelle il ne vit pas la mort, thème que les Pères de l’Église utiliseront. Cependant la rationalisation du motif perceptible dès la Bible d'Alexandrie devient définitive dans les logia de Jésus : « Nul n'est monté au ciel » Un 3,13) ; « Le fils même de Dieu a connu la mort avant d'être enlevé au ciel » (Mc 16,19).

Une nouvelle lecture s'impose : aucun homme ne pouvant échapper à la mort, les Pères de l’Église devront élaborer une lecture spirituelle de l'enlèvement miraculeux. Cependant Irénée au IIe siècle insiste encore sur la matérialité du rapt d'Hénoch en son corps même et d'Elie dans la substance de sa chair modelée. Déjà, pourtant, ses écrits désignent Hénoch comme figure de la résurrection des justes et Elie, de l'enlèvement des hommes spirituels. Il préfigure Jésus. Eusèbe de Césarée, aux IIe et IIIe siècles, entreprend de réfuter la lecture de la « foule non philosophe ». Moise devient l'emblème de l'ascension mystique : sa mort sur la bouche de Dieu dans la Bible hébraïque et l'impossibilité de trouver sa tombe ont donné naissance à la légende de son enlèvement d'entre les mortels. Les Pères méditeront longuement sur chaque moment de sa vie en y voyant les étapes de la montée de l'âme vers Dieu. Philon d'Alexandrie (première moitié du Ier siècle) synthétisant des traditions grecques et juives allégorise les ascensions comme autant de paradigmes mystagogiques, c'est-à-dire d'éducation au mystère de la vie divine. L'âme qui cherche Dieu dans son essence grandit de comprendre que Dieu est incompréhensible. Ce thème initiatique est repris par Grégoire de Nysse et Denys l'Aréopagite. Le Nysséen, au IVe siècle, donne un sens spirituel à la vie de Moïse qui, selon lui, accède à la contemplation de la transcendance par la pureté, celle-ci résultant du détachement des choses terrestres. Dans l'éloge de Basile de Césarée, il propose Moïse comme modèle commun à tous ceux qui tendent à la vertu. Denys, aux Ve et VIe siècles, y ajoute un sens noétique : il dépeint le divin Moïse se hâtant vers le sommet des ascensions divines uni à l'Inconnaissable, mais connaissant au-delà de l'Intellect parce que ne connaissant rien. Cette ultime élévation atteinte par l'amour extatique est un don de l'Aimé : désormais le rapt est spiritualisé, l'Inconnaissable ravissant hors de lui l'amant qui ne peut seul sortir de lui-même ; pour obtenir ce don suprême l'amant doit appartenir totalement à l'Aimé. La voie est ouverte à l'expérience unitive que tenteront les aventuriers de Dieu (sainte Thérèse d'Avila, saint Jean de la Croix). S'adaptant à l'évolution des esprits le motif de l'enlèvement se montre riche en potentialités. S'il fait aujourd'hui sourire, il donne aussi à méditer: « L'éternité, c'est la victoire sur le temps quand il n'y a plus d 'écart entre l'homme et lui-même » (Maurice Zundel). Brigitte D'Arx, « Le livre des sagesses ».



Déjà coauteurs de la très remarquée Encyclopédie des religions, Frédéric Lenoir et Isé Tardan Masquelier taillent la route et nous donnent aujourd'hui ce Livre des sagesses, épais volume de près de 2 000 pages, bleu coffret magique où s'amassent toutes les expériences spirituelles vécues par les hommes depuis qu'a retenti en eux l'appel du sacré. Une grande parade spirituelle planétaire où défilent tous ceux qui ont fait "une expérience radicale de l'absolu", qu'ils soient sages taoïstes, philosophes grecs, mystiques chrétiens ou chamans indiens. La perspective qui prévaut ici est celle de l'expérience personnelle, de la quête subjective préférée à l'adhésion doctrinale ou à l'histoire ecclésiale. "La quête prend ici le pas sur l'adhésion à une doctrine constituée" nous déclare-t-on. Choix qui facilite le dialogue avec le lecteur convié là à un vrai face-à-face intérieur. Deux parties, l'une de type biographique, l'autre anthologique président à ces textes écrits et choisis par les meilleurs spécialistes. L'intérêt de la première partie est qu'elle offre une coupe synchronique de l'état de la spiritualité à un moment donné de l'histoire humaine. Les grandes figures de sagesse, souvent perçues en soi, sont ici rendues à l'histoire et réinsérées dans une vision globale : Antoine devient le contemporain de Mani et de Pantajali, Milarépa celui de Bernard de Clairvaux. Classés par notions (l'homme et le devin ; la voie), les textes de la seconde partie permettent à la fois de goûter au texte même (car l'essentiel n'est-il pas là : traduire savoureusement l'informulable) et de creuser l'approche du spirituel. À ce colossal grenier à grain drapé de bleu Klein, à l'achèvement extrême de ce travail, à son sérieux, nous apporterons néanmoins un bémol : un certain sentiment d'équidistance qui rend tout message égal à tout autre, une impression d'égalisation qui tend à faire de l'expérience intérieure une simple variante d'une approche globale (mais n'est-ce pas là le credo actuel). Il sera nécessaire au lecteur praticien de cette somme de choisir au sein de cette immense rocade religieuse une direction et de la développer ; sinon il errera sans fin comme dans les galeries d'un musée, à la fois gavé et frustré. Un livre idéal pour découvrir l'univers des spiritualités et… faire son choix. Francois Angelier


samedi, mars 18, 2023

"La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie."

 



Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR)



Chers amis, c’est pour moi une grande joie de pouvoir vous adresser un bref message à l’occasion de la constitution du Mouvement International des Russophiles.

Le Manifeste de cette association commence par un mot qui semble avoir disparu du vocabulaire occidental : amitié. Dans ce cas, c’est l’amitié pour les Russes, partagée par tant de personnes à travers le monde, et l’amitié des Russes envers les autres peuples, dans cet esprit de fraternité qui trouve son fondement dans la reconnaissance de nous-mêmes comme enfants de l’unique Père éternel et frères en Notre Seigneur Jésus-Christ.

Lorsque l’Empire Romain d’Occident perdit son rôle politique sous la pression des invasions barbares, le relais passa à Constantinople. Et lorsque l’Empire Romain d’Orient est également tombé avec la conquête de Byzance par Mehmed II, c’est Moscou qui a sauvé son héritage religieux et politique, avec ses Saints et ses Rois. La crise actuelle nous montre l’effondrement d’un Occident corrompu, dans lequel il n’y a pas de Pape Léon le Grand pour sauver son avenir, mais qui a encore un destin, s’il recouvre sa mission providentielle et reconnaît ce qui l’unit à la mission de la Russie.

Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial.

Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours, dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde.

Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant.

Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio.

Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste.

Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué.

Nous sommes en train de mener une bataille historique : demeurons sous le manteau de la Très Sainte Vierge, la glorieuse Nikopèia, avec l’Archange Saint Michel. La victoire appartient au Christ et à ceux qui se tiennent sous la sainte bannière de la Croix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque. 




Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...