jeudi, septembre 14, 2023

Qu'est-ce qui ne va pas avec l'Occident ?

 

Le satanisme


Le spectacle de l'inauguration du tunnel du Saint-Gothard. En Occident, le satanisme est omniprésent dans la culture, le cinéma, la musique, la littérature, les tatouages, les publicités...


Interview du philosophe, politologue et sociologue russe Alexandre Gelievitch Douguine, professeur à l'Université d'État Lomonossov de Moscou.

- Alexandre Douguine, nous entendons de plus en plus souvent les dirigeants du pays définir la civilisation occidentale moderne par le mot "satanisme". Qu'entendez-vous par là, quel est votre avis ?

A. Douguine :


- Le président a déclaré que l'Occident était une "civilisation satanique" dans le discours qu'il a prononcé lors de l'admission de nouveaux sujets au sein de la Fédération de Russie. Nous devrions prendre cela au sérieux et essayer de comprendre ce qui se cache derrière cette formulation, d'autant plus qu'elle a été répétée par la suite par de nombreuses personnalités politiques et publiques de haut rang. Il me semble qu'il s'agit d'une déclaration très sérieuse et profonde.

Après le début de l'Opération militaire spéciale, nous avons commencé à nous rendre compte de plus en plus clairement que quelque chose ne tournait pas rond en Occident. La civilisation occidentale moderne s'est soit égarée, soit détournée de la voie qu'elle suivait lorsque nous l'avons acceptée, accueillie, imitée, soit, ce qui est encore plus probable, quelque chose ne va pas depuis longtemps. Une civilisation que nous admirons, à laquelle nous cherchons à nous intégrer, dont nous partageons les valeurs et les règles et que nous embrassons de toute notre âme, ne peut-elle pas se révéler soudainement satanique ? Parallèlement à cela, nous voyons la question des valeurs se poser à différents niveaux dans notre Etat. Nous commençons à le répéter : nous défendons nos valeurs. Il y a un an, le Président a adopté un décret sur la défense des valeurs traditionnelles, parmi lesquelles la supériorité de l'esprit sur la matière. C'est une chose absolument étonnante ! Les valeurs traditionnelles de la Russie sont reconnues comme étant, si vous voulez, l'idéalisme, la religiosité, la domination de l'esprit. Et bien sûr, si nous commençons à nous considérer - pas encore avec confiance, mais de plus en plus - comme des porteurs de valeurs traditionnelles, c'est précisément face à ces valeurs traditionnelles, que nous découvrons tout juste en nous-mêmes, que nous commençons tout juste à comprendre, à appréhender et à défendre, face à ces valeurs, bien sûr, les valeurs occidentales ressemblent à du satanisme pur et simple. Elles sont tout le contraire des nôtres. Elles reposent sur l'idée que la matière est primordiale par rapport à l'esprit, que l'homme n'est qu'un être biosocial qui est un reflet cognitif du monde extérieur. L'Occident perçoit l'homme comme un animal évolué, qui a atteint son stade final pour passer l'initiative à une espèce posthumaine, aux constructions transhumanistes, aux cyborgs, à l'intelligence artificielle. Et la préparation, l'échauffement, c'est la politique du genre, où l'on change de sexe au gré de ses envies - voire de ses caprices - et bientôt d'espèce, où l'on choisit d'appartenir au sexe homme, à une catégories de machines ou à une espèce animale, ce qui fait déjà l'objet de discussions sérieuses au plus haut niveau des personnalités occidentales.

Ayant découvert que l'Occident est monstrueux et se sépare sous nos yeux de l'espèce humaine, la Russie s'en est éloignée. Un problème local, le conflit avec l'Ukraine, nous a soudain conduits à des conclusions fondamentales : l'Occident fait fausse route, il entraîne l'humanité dans l'abîme et nous devons l'affronter. C'est la nouvelle la plus importante, quelque chose d'absolument incroyable, car auparavant nous nous étions modestement limités à la lutte pour la souveraineté.

Et c'est ici que le concept de "satanisme" acquiert pour la première fois une signification très sérieuse. Il ne s'agit pas seulement d'un mouvement occulte marginal, le satanisme existe en Occident, il y a l'Église de Satan d'Anton LaVey, il y a même le satanisme direct de l'écrivain ultra-capitaliste Ayn Rand (Alice Rosenbaum) - qui était d'ailleurs populaire parmi les oligarques et les libéraux russes dans les années quatre-vingt-dix. Mais il s'agit dans l'ensemble de phénomènes marginaux, de sectes occultes et de productions théâtrales. Par "le satanisme de la civilisation occidentale", Poutine entendait quelque chose d'autre, de beaucoup plus profond. Le satanisme, c'est la primauté de la matière sur l'esprit, le relativisme postmoderne, c'est-à-dire la relativité de toutes les valeurs, y compris celles de l'être humain et de l'esprit. Et c'est la voie que l'Occident a empruntée, non pas hier, mais il y a environ 500 ans, avec le début du New Age.

Qui est Satan ? Il n'y a pas de Satan quand il n'y a pas de Dieu, pas de foi, pas de religion. Ce terme reste dans le vide, si pour nous les termes "Dieu", "foi", "éternité", "immortalité", "résurrection des morts", "jugement dernier", "salut de l'âme"... sont tout aussi vides. Si nous suivons l'image scientifique occidentale moderne du monde, il est bien sûr ridicule de parler de satanisme, car il n'y a ni Dieu, ni diable, ni foi, ni âme immortelle, ni vie post-mortelle, mais seulement un flottement d'unités biologiques, d'atomes, qui se collent les uns aux autres, se séparent, puis disparaissent dans l'abîme de l'espace noir et mort. C'est à peu près cette image du monde qui s'est imposée en Occident il y a 500 ans, et que l'on appelle généralement "l'image scientifique du monde". Elle s'est accompagnée d'une déchristianisation progressive et complète de la culture occidentale. Ainsi, Satan en tant que phénomène a disparu de la "représentation scientifique du monde" en même temps que Dieu. Lorsque nous affirmons sérieusement que la civilisation occidentale est satanique, nous attirons l'attention sur le fait qu'il s'agit d'une conclusion hâtive, incorrecte, prématurée et, en fait, profondément erronée. C'est à tort que l'on s'est éloigné de la tradition, de l'esprit, de Dieu, de la religion, et c'est là que l'âge moderne de l'Europe occidentale a commencé. Nous l'avons perçue sans esprit critique dès le XVIIIe siècle, lorsque nous avons été emportés par les Lumières européennes. Mais jusqu'en 1917, nous avons maintenu d'une certaine manière le caractère religieux de notre société. Puis nous avons plongé dans l'abîme du matérialisme, et après l'effondrement de l'URSS, nous sommes descendus encore plus profondément dans cet abîme - dans un matérialisme capitaliste libéral encore plus débridé et flagrant. Et finalement, nous nous sommes retrouvés à la périphérie de la civilisation satanique occidentale, en tant que sa province.

En d'autres termes, le concept de Satan prend aujourd'hui, dans le cadre de la guerre contre l'Occident, une toute autre signification dans notre société que le concept de Dieu. S'il y a Dieu, s'il y a la foi et l'Église, la Tradition et les valeurs traditionnelles, cela signifie qu'il y a aussi l'antithèse de Dieu, celui qui s'est rebellé contre Dieu. C'est alors que l'histoire de l'Occident, l'histoire du soi-disant progrès, l'époque de la modernité des 500 dernières années s'ouvre sous un jour complètement nouveau. Il s'avère que l'Occident a rejeté Dieu, a dit : il n'y a ni Dieu ni diable, et le diable, comme après un certain temps, a objecté : il n'y a pas de Dieu, mais c'est moi, parce que c'est moi qui vous ai dit qu'il n'y avait pas de Dieu.

- Ce que vous appelez le satanisme peut-il être considéré comme une construction idéologique, ou s'agit-il simplement d'un principe de négation, de destruction ?

A. Douguine :

- Nous ne devrions pas commencer par le satanisme, mais par Satan, par la figure que l'on appelle par ce nom, si nous sommes des croyants, c'est pour nous un fait ontologique. Pour les non-croyants, le satanisme n'a pas de sens.

Qui est Satan, qui est Lucifer ? C'est un ange, c'est-à-dire l'esprit céleste éternel. C'est la première création suprême de Dieu qui s'est rebellée contre Dieu. C'est l'origine de toutes les attaques contre Dieu, du matérialisme, de l'athéisme, de toutes les notions selon lesquelles des personnes sans Dieu peuvent construire un monde meilleur. Nous retrouvons ce principe dans l'humanisme, dans le développement de la science moderne et dans la doctrine sociale du progrès. Satan n'est pas seulement la destruction ou l'entropie, mais une volonté consciente de détruire. C'est la rébellion, la destruction de l'unité au nom du triomphe de la multiplicité. Ce n'est pas seulement un affaiblissement de l'ordre divin, c'est la volonté de le briser. Quand le corps est affaibli, c'est une chose, mais quand il y a une force, comme le cancer ou une autre maladie naturelle, qui pousse le corps à la décomposition, c'en est une autre. Satan est l'esprit, la volonté de se décomposer, pas seulement la décomposition elle-même, qui est déjà une conséquence. En un sens, il s'agit d'une croyance, d'une religion, d'une anti-église. C'est l'"église noire" qui s'incarne dans la culture occidentale moderne, la science, l'éducation, la politique. Nous voyons ici non seulement la décadence, mais aussi le refus de construire l'ordre, la hiérarchie, d'élever les principes de la science, de l'esprit, de la pensée, de la culture à l'unité la plus élevée, comme dans la civilisation traditionnelle, au début de la hiérarchie - parce que la hiérarchie terrestre imite le rang angélique. À ce refus de faire le bien s'ajoute la volonté de faire quelque chose de directement opposé, de faire le mal. Quand on regarde les Ukrainiens, Biden, Soros, Macron, on voit une volonté de destruction active, agressive. Le satanisme présuppose nécessairement une stratégie consciente et une impulsion volontaire qui génère un mouvement puissant des masses humaines. Les masses peuvent détruire la culture traditionnelle par leur stupidité, leur passivité, leur inertie - c'est la propriété de la masse en tant que telle, mais quelqu'un pousse cette masse dans une direction destructrice, quelqu'un la dirige, l'oriente. C'est là qu'apparaît le principe du sujet opposé à Dieu (ainsi qu'à l'homme dans son sens le plus élevé). On le retrouve dans toutes les religions : il s'agit de cette volonté consciente du sujet de construire une civilisation anti-Dieu, inversée. Il ne s'agit pas seulement de détruire l'existant, mais de créer quelque chose de dégoûtant, de pervers, comme les femmes LGBT barbues de l'Occident.

- Y a-t-il là une image de l'avenir ?

A. Douguine :

- René Guénon, philosophe, partisan d'une société spirituelle traditionnelle, l'a appelée la Grande Parodie. C'est à cela que conduit la civilisation satanique. Si, au premier stade du matérialisme, il s'agissait de nier toute spiritualité, c'est-à-dire d'affirmer qu'il n'y a pas d'esprit, mais seulement la matière, l'homme, le monde terrestre, progressivement, au fur et à mesure que cette Grande Parodie prend forme, un nouveau projet émerge : non seulement le rejet de l'Église, mais la construction d'une anti-Église, non seulement l'oubli de l'esprit, mais la création d'une nouvelle spiritualité, inversée. Nous commençons par la destruction de l'église, nous comparons tout à la terre, il ne reste que l'homme, mais après cela, nous commençons à construire un temple souterrain vers le bas, dans la direction opposée, nous faisons un trou dans la matière. L'écrivain français Raymond Abellio a écrit un roman intitulé "La fosse de Babylone", qui traite de la construction de la civilisation dans le sens souterrain. Cette hiérarchie inversée, ce pouvoir inversé, cette spiritualité inversée, voilà ce qu'est le satanisme occidental.

- On a l'impression que même les vices sont inversés. Je ne comprends absolument pas comment une personne peut être séduite par de telles choses, par les déviations qui fascinent aujourd'hui l'Occident...

A. Douguine :

- Contrairement aux vertus, les vices changent, les vertus sont immuables et les vices progressent toujours. Pour une personne progressiste, la débauche de l'"ancien régime" cesse à un moment donné d'exciter, d'affecter. Lorsqu'une personne s'arrête à un certain niveau de vice, qu'elle se fige, cela ne ressemble plus à un vice. Le vice est une décomposition progressive, et la décomposition n'a pas de limites, on ne peut pas se décomposer jusqu'à un certain point et se reposer là. Un homme a besoin de quelque chose qui le saisisse et l'entraîne de plus en plus bas, la décomposition doit aller de plus en plus loin. L'histoire même de la dépravation occidentale est une histoire de progrès. À chaque étape, de nouveaux vices sont découverts, la perversion elle-même devient la norme. Par exemple, aujourd'hui, l'homosexualité en Occident est reconnue comme la norme, ce n'est plus un vice, il faut donc aller plus loin, vers la pédophilie, l'inceste, le cannibalisme, le changement de sexe.... Tout cela est poussé par la législation. Le législateur occidental s'empresse de reconnaître la décomposition, de légaliser ce qui hier encore était interdit et immoral.... Michel Foucault l'a écrit : la décomposition est le dépassement de la loi, la transgression. Or il n'y a plus de loi, plus de vertu, plus de frontière en Occident, et par conséquent, il n'y a plus de vice après sa légalisation. Si nous considérons le vice comme une convention sociale, alors il n'y a pas de vice du tout. Il n'y a qu'un "élargissement de l'expérience", une "libération des préjugés" - comme la honte, la conscience, la moralité, la vertu, l'innocence, la retenue. Lorsque quelque chose n'est plus considéré comme un vice ou un crime, cela devient inintéressant, sans attrait, alors il faut passer à autre chose - changer vingt fois de sexe, se confondre avec les animaux, aboyer, marcher à quatre pattes, exiger que les enfants qui se prennent pour des chats soient nourris sur un plateau par les instituteurs à l'école. La décomposition n'a pas de limites, dès que la décomposition est légalisée, elle cesse d'être attrayante, il faut de nouvelles formes. Le Marquis de Sade, l'un des hérauts de la "civilisation satanique" occidentale, disait que la chose la plus importante dans le vice est l'innovation.

- Cette passion pour la décadence et l'autodestruction est-elle en nous depuis le début ?

A. Douguine :

- Si nous considérons la situation sans Satan, il n'y a qu'un homme et une aspiration à la déification de l'homme, dans ce cas, le refus de l'homme de faire un effort et d'aller vers le haut, vers le salut de l'âme, le paradis et l'immortalité pourrait être attribué à des causes naturelles, à l'inertie, à la matière, au corps. Elles poussent l'homme à ne pas garder son image de Dieu, à la disperser dans des objets matériels, dans de basses attractions. Mais ce n'est pas du satanisme, c'est une simple déchéance humaine. Le satanisme commence lorsque le processus de décomposition est associé à une volonté, à un projet, à un esprit, parce que les esprits déchus, selon le christianisme, ne sont pas simplement matériels (les esprits ne sont pas matériels), ils sont spirituels, intelligents, ils ont une volonté et un esprit. Un démon est un sujet. Par conséquent, le satanisme doit être strictement compris comme une stratégie de décomposition, la volonté de décomposition, l'élévation de la décomposition en une idéologie, en un programme, en un projet. Il ne s'agit pas d'un simple instinct animal. Cette volonté, qui vient des profondeurs de l'ontologie, qui vient du mental, de l'esprit, est imposée, comme le disent les ascètes orthodoxes, par des prilogies et des ajouts.

- Nous disons : c'est du satanisme, et pourtant nous continuons à exister dans le système que l'Occident a créé. Quelle est la probabilité d'une nouvelle confrontation mondiale avec l'Occident, comme à l'époque de l'URSS ?

A. Douguine :

- En fait, nous sommes déjà dans un état de guerre des civilisations, où notre ennemi - la civilisation de l'Occident - est appelé par son vrai nom. C'est une civilisation satanique, combattant Dieu, anti-Dieu, anti-humaine. Nous l'avons désignée, mais la question se pose : s'ils sont une "civilisation satanique", qui sommes-nous ? Il s'avère que notre seule voie est d'être une civilisation traditionnelle, religieuse, réunissant les confessions traditionnelles, mais alors nous devons être différents. Fondamentalement, nous devons repenser notre état intérieur. Ce qu'ils sont, nous l'avons déjà exprimé, et ce que nous sommes, nous ne l'avons pas encore réalisé.

Nous sommes déjà en guerre contre Satan, mais nous ne savons pas encore au nom de qui. Nous n'avons pas beaucoup de choix, ce choix nous est suggéré par nos ancêtres, nos grands écrivains, philosophes, penseurs, anciens, ce choix nous est suggéré par notre culture : nous sommes la Sainte Russie, nous sommes un peuple qui porte Dieu. Nous pouvons, bien sûr, tomber - Blok a vu la Russie tomber. Blok appelait la Russie "l'âme du monde", mais il croyait pieusement que nous, Russes, en tant qu'âme du monde, étions tombés pour nous élever. Nous ne réalisons pas encore pleinement qui nous sommes, ce que nous sommes appelés à faire, ce pour quoi nous nous battons, ce pour quoi nous donnons notre sang et notre vie dans cette lutte. Nous venons à peine de commencer à mener cette guerre, non seulement à la mener, mais surtout à la réaliser. Et maintenant, cette guerre est passée d'un massacre physique à une confrontation métaphysique de civilisations. Ce qu'il nous reste à faire, c'est un effort fondamental pour oublier enfin la culture de la décadence des 40 dernières années.

Je me souviens de la culture de la décadence de la dernière décennie de l'ère soviétique. Une décadence totale, une dégénérescence totale. Et sans surprise, cela a été suivi par les hallucinations monstrueuses des années 90 décrépies. Après être allés jusqu'au bout, jusqu'au fond des années 90 - il me semble que l'histoire russe ne nous a jamais menés plus bas - nous avons commencé à émerger de cette ère cauchemardesque de dictature libérale avec Poutine. Non pas d'un gouffre localisé, mais d'un pic mortel, du nadir de l'histoire russe, du point le plus bas et le plus noir. Face à ce point le plus bas, nous savons ce qu'est Satan, non seulement à l'extérieur, mais aussi à l'intérieur. Il s'agit des maudites années 90, lorsque l'Occident est venu ici, chez nous, lorsque nous avons été achetés pour du bling-bling, humiliés, piétinés, violés et obligés d'applaudir.

- Vous ne pensez donc pas que nous allons, d'une manière ou d'une autre, faire la paix avec l'Occident, faire des compromis ?

A. Douguine :


- Satan, voyant que quelqu'un l'a défié, ne nous laissera pas revenir à des solutions tièdes. Il va maintenant exiger que nous renoncions enfin à Dieu, ce que nous n'avons pas fait même dans les pires périodes d'athéisme et d'impiété. C'est un mystère, nous ne pouvons pas l'expliquer rationnellement, mais nous sommes restés un peuple porteur de Dieu même à l'époque soviétique - en dépit de l'athéisme, du matérialisme, du progressisme, de la "vision scientifique du monde", de toutes les formes de dégénérescence de l'Occident..... Cette fois-ci, si nous faisons marche arrière, l'esprit russe n'aura plus de trous secrets. Il n'y a donc qu'une seule perspective : gagner ou ne rien gagner. Comme l'a dit le président : si nous ne gagnons pas, personne ne gagnera.

Nous avons des alliés - d'autres sociétés traditionnelles, elles ne sont pas comme nous, mais elles sont traditionnelles, elles sont aussi en opposition avec l'Occident, peut-être pourrons-nous gagner le monde multipolaire avec elles dans l'union des traditions et des civilisations. Ce n'est qu'à ce moment-là que nous pourrons avoir une conversation plus équilibrée avec l'Occident, lui expliquer notre position - pourquoi nous ne voulons pas suivre son chemin vers l'abîme.

Peut-être le conflit passera-t-il à une phase brûlante et, qui sait, aboutira-t-il à la mort de la civilisation humaine. Nous sommes à l'aube d'une transformation si fondamentale et décisive que nous ne pouvons pas nous permettre de planifier à long terme. Tout se joue maintenant : le sort de l'humanité, de l'homme, d'Adam en tant que tel. Le destin de l'existence, et nous sommes concernés. Si nous gagnons, le monde sera complètement différent, si nous ne gagnons pas, il n'y aura pas de monde. Sans les Russes, c'est impossible.

Peter Vlasov

Ce texte a été publié dans le numéro 8 de la version imprimée du journal "Kultura" du 31 août 2023 dans le cadre du thème du numéro "Qu'est-ce qui ne va pas avec l'Occident ?"

Source : https://portal-kultura.ru

Traduction par Robert Steuckers.


dimanche, septembre 10, 2023

Les tireurs de ficelles derrière le 11 septembre


"Une étude de l’Institut Watson de l'Université Brown datant de 2023 montre clairement que depuis le 11 septembre les guerres américaines ont coûté la vie à 4,5 millions de personnes. (...)

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut grade Gioele Magaldi, on sait que presque toute l'équipe gouvernementale était au même moment initiée à la franc-maçonnerie. Les membres de la super-loge Hathor Pentalpha sont George W. Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice. Le président américain suivant, Barack Obama, qui a continué à promouvoir la guerre contre la terreur, est également membre de la super-loge Maat, tout comme l'actuel président américain Joe Biden ainsi que Bill et Hillary Clinton. Ces super-loges, au sein desquelles la franc-maçonnerie de haut niveau est organisée, poursuivent également la mise en place d'un « gouvernement mondial unique »."




Le 11 septembre 2001, les événements autour du World Trade Center à New York et du Pentagone ont bouleversé la population mondiale. Un événement qui continue de marquer le monde. Ce jour, également appelé Nine Eleven, a entraîné de nombreuses guerres et a permis aux gouvernements du monde entier d'étendre massivement le contrôle de leur propre population.

Selon le récit officiel du gouvernement américain et des médias mainstream, 19 terroristes ont détourné quatre avions le matin du 11 septembre. Deux avions se sont écrasés sur les tours jumelles du World Trade Center à New York, qui se sont effondrées peu de temps après. Un troisième avion s'est écrasé sur le Pentagone, le siège du ministère américain de la Défense. Un quatrième avion s'est écrasé près de Pittsburgh. Les attentats ont coûté la vie à 2 989 personnes. Immédiatement après les attentats, le gouvernement américain et les médias ont présenté Oussama ben Laden et l'organisation terroriste Al-Qaïda comme les auteurs des attentats.


1. Cette version officielle du gouvernement américain et des médias mainstream résiste-t-elle à un examen minutieux ? 

De nombreux faits, avis d'experts, enquêtes et témoignages oculaires ébranlent très fortement la crédibilité de la version officielle du gouvernement.

Effondrement des tours jumelles par démolition contrôlée ? De nombreux résultats d'enquête et d'autres facteurs indiquent que l'explosion a été contrôlée. Par exemple, une équipe internationale de chercheurs dirigée par un chimiste, le Dr Niels Harrit de l'université de Copenhague, a trouvé, au cours d'une étude scientifique, de grandes quantités de nanothermite, un explosif, dans les décombres des tours jumelles. Dans un article scientifique sur leurs recherches, les chercheurs concluent que les deux avions détournés n'ont pas provoqué les effondrements, mais que des explosifs ont été placés à l'avance dans les bâtiments.

Témoignage du Dr Niels Harrit : 

« Nous avons trouvé de la nanothermite dans les débris. [...] Elle peut faire exploser des choses et elle peut faire fondre des choses. Ces deux attributs ont probablement été utilisés, d'après ce que je vois. Du métal en fusion s'écoule de la tour sud quelques minutes avant l'effondrement. »

Le concierge du World Trade Center William Rodriguez a fait cette déclaration frappante :

« La première explosion s'est produite au sous-sol B2. Il y avait six sous-sols dans le bâtiment. Avant même que l'avion ne frappe le bâtiment. [...] J'étais là, j'ai sauvé des gens que j'ai aussi présentés à la Commission du 11 septembre, c'est la commission qui a été créée pour enquêter sur tout ça. Mais ils n'ont pas été entendus une seule fois. [...] J'ai été concierge pendant 20 ans et le 11 septembre, j'avais l'unique passe-partout. »

Les pompiers et les centaines de témoins oculaires qui ont fait état de dynamitages et d'explosions n'ont pas été pris en compte dans le rapport officiel du gouvernement :

« Quand je suis arrivé dans le hall, on a entendu comme des coups de feu, puis il y a eu trois énormes explosions. »

« Quand nous sommes entrés dans le hall, il était complètement détruit. Je pense qu'une bombe a explosé avant même que l'avion ne s'écrase sur le bâtiment. »

« Sur le chemin du 8e étage, il y a eu une énorme explosion qui nous a fait reculer. »

« Nous étions dans la cage d'escalier avec notre matériel. Et là, il y a eu une énorme explosion. »

Dans la version officielle du gouvernement, le fait que le béton des tours jumelles ait été pulvérisé (!) par l'effondrement reste inexpliqué.

Témoignage de Peter Ketcham :

« Regardez les débris qui sont restés. Ce ne sont pas de gros morceaux d'acier ou de gros morceaux de béton. Ce sont de fines particules. »

Témoins oculaires :

« Où sont passés tous les débris ? Le béton a été pulvérisé. J'étais ici mardi et c'était comme si j'étais sur une planète étrangère. [...] Le béton était tout simplement pulvérisé. [...] Nous avons ici des immeubles de bureaux de 210 étages. On ne trouve pas de bureau ici, on ne trouve pas de chaise, pas de téléphone, pas d'ordinateur. Le plus gros morceau de téléphone que j'ai trouvé était la moitié du clavier - il faisait à peu près cette taille. Le bâtiment s'est effondré en poussière. »

Ground Zero désigne le site du World Trade Center détruit lors des attentats terroristes du 11 septembre 2001. Ce terme est utilisé dans le langage militaire pour désigner le lieu d'explosion en surface d'une bombe atomique ou d'un missile.

WTC 7

Le World Trade Center 7 ne se trouvait pas directement sur Ground Zero, mais au nord, à l'extérieur du site.

Très peu de gens savent que ce gratte-ciel s'est également effondré le 11 septembre, bien qu'il n'ait été touché par aucun avion. Il s'est effondré verticalement, comme il est d'usage lors d'une démolition.

Le « National Institute of Standards and Technology », en abrégé NIST, financé par le gouvernement américain, a mené l'enquête officielle sur l'effondrement du WTC 7.

Le rapport du NIST a étayé la version officielle du gouvernement : selon lui, le WTC 7 a pris feu et s'est effondré en raison de la chute de débris des tours jumelles.

L'historien suisse Daniele Ganser s'exprime à ce sujet : 

« Comment un bâtiment avec 81 colonnes en acier peut-il s’effondrer en chute libre à cause d'un incendie ? Car lors d'une chute libre, les 81 colonnes en acier doivent disparaître à la même seconde. [...] Jusqu'à présent, dans l'histoire, jamais, vraiment jamais, un bâtiment ne s'est effondré à cause d'un incendie, un bâtiment à ossature d'acier. »

En 2019, une étude indépendante sur le WTC 7 a été publiée aux États-Unis. Elle a été présentée par l'Université d'Alaska Fairbanks. La principale conclusion de cette étude est que le feu n'a pas causé l'effondrement du WTC 7 le 11 septembre.

Le Dr Daniele Ganser s'est exprimé comme suit sur les résultats de cette étude : 

« Elle dit que les 81 colonnes d'acier ont dû perdre leur stabilité à la même seconde. Et c'est en fait une autre façon de parler de dynamitage. »

En 2017, Peter Ketcham, employé de longue date du NIST, a accusé l'institut d'avoir falsifié le rapport d'enquête en faveur de la version gouvernementale :

« Le rôle du NIST, si je comprends bien, était d'enquêter sur les effondrements des trois tours du Word Trade Center. Et par là, je veux dire déterminer pourquoi les tours 1, 2 et 7 se sont effondrées. [...] En très peu de temps, j'ai compris que l'étude du NIST sur les effondrements du World Trade Center n'était pas une étude sérieuse et réelle. [...] J'avais toujours cru que les recherches du NIST étaient des plus sérieuses. Maintenant, voir ce qu'ils avaient fait de l'étude et du rapport sur le World Trade Center m'a décontenancé. [...] J'ai tout de suite compris qu'il y avait des preuves accablantes que les trois tours, 1, 2 et 7, s'étaient effondrées suite à des dynamitages contrôlés. [...] J'ai vu que le dynamitage contrôlé n'avait pas du tout été étudié comme la cause la plus évidente. En fait, cela a été traité en une ou deux phrases dans le rapport. »

Couverture médiatique du jour du 11 septembre

La BBC a diffusé en direct un reportage sur l'effondrement du WTC 7 alors que le bâtiment était encore debout. En réalité, l'effondrement de la tour n'a eu lieu que vingt minutes plus tard. Outre la chaîne de télévision britannique, CNN avait également annoncé trop tôt l'effondrement. Ce fait indique que certains médias étaient pré-informés.

2. Compte tenu de ces faits, qui plaident en faveur d'une démolition contrôlée, les questions suivantes se posent inévitablement :

Qui est le propriétaire du World Trade Center ?

Qui était responsable de la sécurité de ce complexe de bâtiments ?

Existe-t-il des preuves que les gens étaient au courant à l’avance de ces événements ?

Construction du World Trade Center à New York

A la fin des années 1950, le banquier et stratège global David Rockefeller s'est engagé pour la construction du World Trade Center. En 1958, Rockefeller a fondé la Downtown-Lower Manhattan Association et en a pris la présidence. Son frère Nelson Rockefeller, qui était à l'époque gouverneur de New York, l'a beaucoup aidé dans cette entreprise. C'est pour cette raison que les tabloïds new-yorkais ont appelé les tours jumelles « Nelson » et « David ».

Le CFR a été fondé en 1921 par des banquiers connus comme John D. Rockefeller Junior, le père de David et Nelson Rockefeller, et est depuis lors financé en grande partie par la famille Rockefeller.

Une première piste sur les commanditaires du 11 septembre est fournie par le témoignage remarquable du réalisateur américain primé Aaron Russo en 2009, peu avant sa mort : « J'avais un ami, Nick Rockefeller. [...] Lorsque je me suis présenté au poste de gouverneur du Nevada, il m'a contacté par l'intermédiaire d'une avocate et nous sommes devenus amis. [...] C'est lui qui m'avait dit - onze mois avant le 11 septembre - qu'il y aurait un événement. Il ne m'a jamais dit ce que serait cet événement. Mais cet événement devait être suivi d'une invasion de l'Afghanistan par l'Amérique pour construire des pipelines depuis la mer Caspienne. Nous envahirions l'Irak pour prendre les champs de pétrole et établir des bases militaires au Moyen-Orient - pour faire de tout cela une partie du Nouvel Ordre Mondial. [...] Je me souviens qu'il m'a dit que nous verrions des soldats chercher des personnes dans les grottes d'Afghanistan et du Pakistan. Il y aura cette guerre contre le terrorisme, dans laquelle il n'y a pas de véritable ennemi. Tout cela ne sera qu'une gigantesque escroquerie ; un prétexte pour le gouvernement pour contrôler le peuple américain. [...] Toute la guerre contre le terrorisme est une escroquerie, une farce. [...] L'objectif final que ces gens ont en tête est la création d'un gouvernement mondial - dirigé par l'industrie bancaire, par les banquiers. [...] L'agenda est de créer un gouvernement mondial et d'implanter une puce RFID dans chaque citoyen. Tout l'argent ne doit plus se trouver que dans ces puces. Il n'y aura plus d'argent liquide. Et Rockefeller m'a dit lui-même qu'ils voulaient y arriver. »

Comment Nick Rockefeller était-il au courant du 11 septembre et des plans de guerre qui ont suivi ? Nick Rockefeller est également membre du CFR.

Qui était responsable de la sécurité du World Trade Center ?

La sécurité de ce complexe de bâtiments a été confiée à l'entreprise Stratesec de 1993 jusqu'aux événements du 11 septembre. Il s'est avéré par la suite que Marvin Bush, le frère du président américain de l'époque George W. Bush, a fait partie du conseil d'administration de cette entreprise de 1993 à 2000.

Qui est le propriétaire du World Trade Center ?

Dans les années 1980, le milliardaire Larry Silverstein a loué un terrain en face du complexe du World Trade Center et y a construit la tour WTC 7, inaugurée en 1987.

Silverstein a également signé un contrat de location pour 99 ans pour les deux tours jumelles du World Trade Center six semaines avant le 11 septembre 2001.

Parallèlement, il a souscrit une assurance qui s'appliquait également en cas d'attentats terroristes. Finalement, il a profité du 11 septembre puisqu'il a reçu 1,1 milliard de dollars supplémentaires en plus de la somme d'assurance convenue de 3,5 milliards de dollars.

Comment cela s'est-il passé ? Silverstein a réclamé deux fois à l'assurance la somme d'assurance convenue, car les tours jumelles avaient été détruites par deux avions - donc, selon Silverstein, par deux événements indépendants. La somme qu'il a reçue de l'assurance a pu être utilisée pour la construction du nouveau World Trade Center.

La société d'investissement américaine Blackstone-Group est un partenaire d'affaires de Larry Silverstein. Elle a pris en charge l'hypothèque du WTC 7 l'année précédant les attentats. Le Blackstone-Group a été fondé par Peter George Peterson et Stephan Allen Schwarzman. Peterson était non seulement le président exécutif du Blackstone Group au moment du 11 septembre, mais aussi le président du CFR. Schwarzman est également membre du CFR.

Larry Silverstein est également un grand ami de David Rubenstein, l'actuel président du CFR. On voit ici David Rubenstein lors d'une conférence en ligne avec Silverstein : « C'est un grand honneur pour moi d'avoir mon ami Larry ici. »

Le nouveau WTC 7 a été inauguré en 2006. Silverstein a fait construire sur le parvis du nouveau bâtiment un parc appelé "Silverstein Park". Ce parc est une représentation de l'œil qui voit tout - le même symbolisme que l'on retrouve sur le billet de dollar américain au sommet de la pyramide. Elle symbolise l'établissement d'un Nouvel Ordre Mondial sous la domination de Lucifer.

En 2021, à la demande de Larry Silverstein, une œuvre d'art composée de plusieurs pyramides a été installée dans "l'œil" du Silverstein Family Park. Il s'agit également d'une allusion au Nouvel Ordre Mondial auquel aspirent ces cercles.

Le fait suivant laisse supposer que Larry Silverstein avait lui aussi une connaissance préalable des projets liés au 11 septembre :
Dans les interviews, il a toujours déclaré qu'il passait habituellement ses matinées à prendre son petit-déjeuner dans la tour nord du World Trade Center et à rencontrer les nouveaux locataires du bâtiment. Et précisément le matin du 11 septembre 2001, il se trouvait à l'extérieur du World Trade Center.

3. La Commission officielle sur le 11 septembre a enquêté de 2002 à 2004 sur les causes et les arrière-plans du 11 septembre.

Quel est le degré d'indépendance et de fiabilité de cette Commission du 11 septembre ? Y a-t-il des liens entre la Commission du 11 septembre et les cercles de personnes mentionnés ?

En raison de l'énorme pression exercée par le public, le gouvernement américain s'est vu contraint de mener une enquête sur le 11 septembre en 2002. La Commission du 11 septembre qui a été créée par la suite a toujours souligné l'indépendance de son enquête.

Le président américain George W. Bush a d'abord refusé son accord pour une commission indépendante. En novembre 2002, la Maison Blanche a finalement donné son accord, mais en prétextant que Bush lui-même désignerait le président de la commission. Bush a alors nommé l'ancien ministre des Affaires étrangères Henry Kissinger à la présidence de la commission. Ce dernier était l'un des amis les plus proches de David Rockefeller jusqu'à la mort de celui-ci et est considéré comme l'un des principaux stratèges mondiaux en ce qui concerne la mise en place d'un nouvel ordre mondial. Kissinger est également membre du CFR et a fait partie de son conseil d'administration de 1977 à 1981.

Kissinger a dû démissionner après peu de temps de la présidence de la Commission du 11 septembre, car il ne voulait pas rendre publics les noms des clients de sa société de conseil aux entreprises. Il a également été accusé par les familles des victimes du 11 septembre d'entretenir des liens financiers et politiques avec l'Arabie saoudite, notamment avec la famille ben Laden.

Thomas Kean a alors été nommé nouveau président par le président Bush. Lee Hamilton est devenu le vice-président. Thomas Kean et Lee Hamilton sont tous deux membres du CFR.

La Commission du 11 septembre se chargeait principalement des auditions publiques des témoins et faisait des déclarations sur le déroulement de l'enquête. Le travail concret, à savoir la demande, la collecte et l'évaluation des documents pertinents ainsi que la rédaction du rapport final, incombait à une équipe de 78 personnes. Celle-ci était dirigée par Philip Zelikow, il en était le directeur exécutif. Zelikow a écrit l'histoire officielle du 11 septembre. Et comme on pouvait s'y attendre, Philip Zelikow est lui aussi membre du CFR.

En mars 2004, le journaliste Jim Mann a révélé que Zelikow avait plaidé pour le renversement de Saddam Hussein et qu'il avait rédigé en septembre 2002 le document stratégique par lequel Bush a légitimé la guerre en Irak en 2003. Zelikow a toujours été accusé d'utiliser la Commission du 11 septembre pour justifier la guerre en Irak.

Le Dr Heiko Schöning, écrivain et médecin, a décrit le travail de la Commission du 11 septembre dans son livre « Game Over » de la manière suivante : « Pour tous ceux qui ont conservé un peu de bon sens, il suffit de prendre connaissance d'une seule audition parlementaire. [...] celle du lundi 26 janvier 2004. Le directeur exécutif de la commission d'enquête gouvernementale sur le 11 septembre, le Dr Philip Zelikow, et son assistante Susan Ginsburg [...] ont montré un passeport prétendument retrouvé, presque intact, d'un [...] pirate de l'air qui aurait percuté une tour du World Trade Center à New York. Pourquoi "prétendument" ? Parce que physiquement c'est impossible ! » !

En 2011, le journaliste Paul Craig Roberts est arrivé à la conclusion suivante : « La commission n'a pas convoqué de témoins importants et n'a entendu que des témoins qui confirmaient le point de vue du gouvernement, afin d'occulter politiquement et de manière contrôlée les événements réels. »

La réaction de George W. Bush est également frappante. L'interrogatoire de sa conseillère à la sécurité Condoleezza Rice par la commission du 11 septembre a eu lieu le 8 avril 2004. Cependant, Bush ne l'a autorisée à témoigner qu'à la condition que la commission ne l'interrogerait pas, lui ou le vice-président Dick Cheney, publiquement, et l’interrogerait sans prêter serment et sans enregistrement. L'audition du président Bush et de son vice-président Dick Cheney sur le 11 septembre s'est finalement déroulée à huis clos et sans prestation de serment.

George W. Bush a également longtemps refusé de déclassifier les rapports des services de renseignement qu'il avait reçus dans les semaines précédant les incidents du 11 septembre. En novembre 2003, un compromis a été trouvé. La Maison Blanche n'a autorisé que les deux commissaires Philip Zelikow et Jamie Gorelick à consulter les rapports des services secrets que Bush avait reçus. Outre Zelikow, Jamie Gorelick est également membre du CFR – qui s'en étonnera ?

Le sénateur Max Cleland s'est fermement opposé à cette censure de l'accès aux dossiers et a donc annoncé en décembre 2003 qu'il quittait la commission. Il a été remplacé par Bob Kerry, également membre du CFR.

Outre la Commission du 11 septembre, la CIA et le FBI ont enquêté sur les causes du 11 septembre.

Au moment du 11 septembre, la CIA était dirigée par George Tenet. Il a clairement indiqué qu'il existait des tabous pour les recherches dans certains domaines. George Tenet est également membre du CFR.

Mueller a été directeur du FBI de 2001 à 2013. Il a été nommé à ce poste par le président George W. Bush. Robert Mueller est également très proche du CFR. On le voit ici lors d'une réunion du CFR.

4. Le 11 septembre a été le déclencheur de la « guerre contre le terrorisme ». Ce n'est qu'après avoir suscité la peur du terrorisme parmi la population américaine et le monde occidental que les actions militaires menées par les États-Unis ont été acceptées.

Le 20 septembre 2001, le président américain Bush a annoncé dans un discours la « guerre contre le terrorisme » : « Notre guerre contre le terrorisme commence avec Al-Qaïda, mais elle ne s'arrêtera pas là. [...] Les Américains ne doivent pas se préparer à une bataille, mais à une campagne de longue durée comme nous n'en avons jamais connue jusqu'à présent. »

Moins de quatre semaines après le 11 septembre, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont lancé des opérations militaires en Afghanistan. Plusieurs villes ont été attaquées par les airs. 240 000 morts et 5,5 millions de personnes en fuite, tel est le cruel bilan après 20 ans de guerre en Afghanistan.

En 2003 a eu lieu l'attaque contre l'Irak. Le président américain Bush a accusé l'Irak de soutenir des terroristes et de posséder des armes de destruction massive. Cette justification de la guerre en Irak, contraire au droit international, s'est avérée par la suite être un mensonge. L'étude américaine « La guerre en Irak 2003 et les victimes humaines évitables » évalue, dans une faible estimation, que la guerre en Irak a coûté la vie à environ un demi-million de personnes. Pendant la guerre en Irak, les États-Unis ont utilisé mille tonnes de munitions à l'uranium. Les malformations chez les enfants ont augmenté de manière dramatique.

Le président américain Barack Obama a poursuivi la « guerre contre le terrorisme » pendant toute la durée de son mandat.

En 2011, les États-Unis et les pays européens ont bombardé la Libye pendant huit mois sans interruption, dévastant des régions entières. Avec la Libye, c'est le pays avec la meilleure infrastructure sociale et le revenu par habitant le plus élevé d'Afrique qui a été détruit et pillé. Des dizaines de milliers de personnes ont été tuées pendant la guerre, et plusieurs milliers d'autres sont mortes au cours des dix années de guerre civile qui ont suivi.

Le bilan dramatique de la guerre en Syrie : plus de 600 000 personnes ont perdu la vie, dont 55 000 enfants selon les estimations. Jusqu'à 12 millions de Syriens ont perdu leur foyer.

Une étude de l’Institut Watson de l'Université Brown datant de 2023 montre clairement que depuis le 11 septembre les guerres américaines ont coûté la vie à 4,5 millions de personnes.

Les guerres en Afghanistan, en Irak, au Pakistan, au Yémen, en Libye, en Somalie et en Syrie ont en outre déclenché en 2015 un mouvement massif de réfugiés qui se poursuit encore actuellement.

En outre, le 11 septembre a entraîné l'adoption de nouvelles lois de surveillance et de contrôle de la population dans le monde entier.

5. Après le 11 septembre, le cabinet gouvernemental de George W. Bush a mené cette « guerre contre le terrorisme » qui a fait des millions de morts. Les faits permettent d'établir des liens non seulement entre le CFR et la Commission du 11 septembre, mais également entre le CFR et l'administration Bush.

L'équipe gouvernementale rapprochée du président américain George W. Bush a formé l'administration responsable de la guerre contre la terreur. Elle se composait comme suit :

Président : George W. Bush, vice-président : Dick Cheney, secrétaire d'État, Colin Powell, secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, secrétaire adjoint à la Défense et conseiller politique du Président Bush, Paul Wolfowitz ainsi que la Conseillère à la sécurité nationale, Condoleezza Rice.

Parmi ces personnes, quatre étaient membres du CFR à l'époque de leur mandat : Dick Cheney, Colin Powell, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut grade Gioele Magaldi, on sait que presque toute l'équipe gouvernementale était au même moment initiée à la franc-maçonnerie. Les membres de la super-loge Hathor Pentalpha sont George W. Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice. Le président américain suivant, Barack Obama, qui a continué à promouvoir la guerre contre la terreur, est également membre de la super-loge Maat, tout comme l'actuel président américain Joe Biden ainsi que Bill et Hillary Clinton. Ces super-loges, au sein desquelles la franc-maçonnerie de haut niveau est organisée, poursuivent également la mise en place d'un « gouvernement mondial unique ».

Le chef terroriste Oussama ben Laden a été présenté comme le principal instigateur des attentats du 11 septembre 2001.

Gioele Magaldi a révélé qu'Oussama ben Laden est également un franc-maçon de haut grade et un membre de la super-loge maçonnique « Hathor Pentalpha » - avec presque tous les politiciens du gouvernement américain au moment du 11 septembre. Ben Laden a été Salim fondée en 1968 par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Outre Oussama ben Laden, George Bush père, Dick Cheney, Condoleezza Rice et Nelson Rockefeller font ou ont fait partie de cette loge secrète. L'actuel président du CFR, David Rubenstein, et le président à long terme du CFR, Richard Haass, font également partie de la super-loge « Three Eyes ».

Dans ce contexte, on comprend mieux le lien entre la famille Bush et la famille ben Laden :

Le père d’Oussama ben Laden s’est hissé au premier rang des entrepreneurs de construction et des multimillionnaires dans le royaume d’Arabie saoudite à partir des années 1950 avec son entreprise Saudi Binladin Group. Salim ben Laden, le demi-frère aîné d’Oussama ben Laden, a dirigé l’entreprise familiale de 1972 jusqu’à sa mort. En tant qu’investisseur, il était étroitement lié à George Bush senior par le biais d’entreprises telles que le Carlyle Group. Avec le fils de ce dernier, George W. Bush, il a fondé en 1978 la société pétrolière Arbusto Energy au Texas.

Dans les jours qui ont suivi le 11 septembre, le trafic aérien a été interdit aux États-Unis. Toutefois, selon des documents internes du gouvernement, le FBI a permis à des proches du chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden, et à d'autres Saoudiens de quitter rapidement les États-Unis le 13 septembre 2001. La Maison Blanche, sous la présidence de George W. Bush, a donné l'autorisation de faire sortir du pays six jets privés et deux douzaines d'avions de ligne. Les documents qui ont révélé cela ont dû être publiés en 2015, car le groupe de défense des droits civils « Judicial Watch » avait intenté avec succès une action en justice pour les obtenir.

Mais qu'en est-il des messages vidéo de menace d'Oussama ben Laden, diffusés en continu par les médias grand public ? Selon les révélations de Magaldi, ben Laden agissait selon un scénario préétabli.

Même le vérificateur de faits de la radio SWR3 a dû admettre qu'il existe des doutes légitimes sur la version officielle concernant la responsabilité d'Oussama ben Laden :

« Selon la version officielle, 19 terroristes, pour la plupart saoudiens, auraient détourné les avions et provoqué leur crash. [...] Le commanditaire aurait été Oussama ben Laden, le chef d'Al-Qaïda. [...]. Mais il n'y a pas de preuve irréfutable ! [...] Le juge administratif fédéral allemand Dieter Deiseroth a souligné qu'aucun tribunal indépendant n'a jamais pu vérifier les preuves présentées par les services de renseignement sur la culpabilité de ben Laden. »

La mort d'Oussama ben Laden est également très étrange et soulève des questions. Officiellement, le gouvernement américain l’a déclaré mort. Selon cette déclaration, ben Laden a été abattu par l'US Navy. Toutefois aucune photo du corps du « terroriste le plus recherché au monde » n'a été prise. Selon les informations officielles, le corps a été jeté à la mer. Il n'y a toutefois aucune preuve de cela.

Conclusion

Lorsqu'on cherche à identifier les véritables responsables, commanditaires et acteurs du 11 septembre, on tombe toujours sur le même groupe de personnes. Après un examen plus approfondi de la commission officielle du 11 septembre et du gouvernement américain en place lors du 11 septembre, le nom de David Rockefeller et du Conseil des relations extérieures qu'il a longtemps dirigé ressortent très fortement. Même dans le cas d'Oussama ben Laden, présenté au monde entier comme l'auteur principal du 11 septembre, les liens avec ces personnes et ces points de contacts sont très visibles.

Afin de ne transmettre que la version officielle aux générations suivantes et d'effacer la trace des cercles de personnes présentés dans cette émission, rien n'a été laissé au hasard par les personnes à la tête de ces réseaux.

En 2014, un mémorial et un musée ont été inaugurés sur le site du World Trade Center.

Le 9/11 Museum raconte l'histoire du 11 septembre et est, selon ses propres déclarations, la plus importante institution consacrée à l'étude de cet attentat.

David Rockefeller était membre d'honneur du jury qui a choisi l'architecture du mémorial du World Trade Center. Il était également membre du conseil d'administration de la World Trade Center Memorial Foundation, qui a été chargée de la construction et du financement du mémorial et du musée du 11 septembre. Au total, David Rockefeller a contribué à hauteur de 15 millions de dollars à cette institution. Outre Rockefeller, on trouve également Peter George Peterson au conseil d'administration de cette fondation. Peterson a été président du CFR de 1985 à 2007, c'est-à-dire à l'époque où se sont déroulés les événements du 11 septembre.

Les faits et les liens mis en évidence dans cette émission doivent être examinés de toute urgence par un tribunal indépendant. En particulier, les liens avec le CFR ainsi qu'avec la famille Rockefeller et les crimes de guerre déclenchés par le 11 septembre, qui ont fait des millions de victimes, exigent une enquête et une sanction juste imposée par un tribunal indépendant. Les véritables raisons du 11 septembre seront observées par la population, tout comme le projet d'établir un gouvernement mondial. Ce n'est qu'ainsi qu'il sera possible d'empêcher ces manipulateurs de continuer à soumettre les peuples sans méfiance et que les gens pourront à l'avenir reconnaître à temps leurs plans sournois et les stopper.

[...]

Source : Kla.tv

Kla.TV tient à préciser que les personnes, les contextes et les interdépendances cités [...] n'ont pas pour but d'inciter le (lecteur) à porter un jugement antisémite. Même si les personnes mentionnées prétendent être juives, (on) doit garder à l’esprit que dans de nombreux cas, ce n’est pas le cas.

En effet, on constate souvent la chose suivante après une enquête plus approfondie : Les personnes qui se retrouvent sous les projecteurs grâce à un travail de dévoilement et d'information se font volontiers passer pour des juifs afin de stigmatiser immédiatement leurs détracteurs comme antisémites et de bénéficier elles-mêmes d'une protection particulière sous le couvert du judaïsme.
Le fait que, dans de nombreux cas, on n’a pas du tout affaire à de vrais Juifs mais à une idéologie luciférienne [...]

Comme le dit aussi la Bible en Apocalypse 2.9 : "... ceux qui se disent juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan".


mardi, septembre 05, 2023

Contrôle du cheptel humain, puce sous-cutanée, implant dans le cerveau...



Le 4 Septembre 2023, France Info, principal média du service public, vante les "bienfaits" de la puce sous-cutanée : 

"Plus besoin de sortir avec ses clés ou son portefeuille. On pourra faire démarrer sa voiture, payer ou même décliner son identité d’un geste de la main.

Vous vous souvenez peut-être de la polémique, quand une entreprise a proposé à ses employés de leur implanter la puce du badge d’accès directement sous la peau, comme ça, plus personne ne pouvait les perdre ? On pourra aller encore plus loin. Car les nouvelles puces peuvent désormais gérer des protocoles de sécurité très pointus.

Avant, il s’agissait de simples transpondeurs comme ceux des badges de parking. Maintenant, on leur a ajouté de l’intelligence et des fonctions de cryptage. Ce qui leur permet de remplacer les cartes bancaires, les clés de voiture, les serrures connectées et même un passeport biométrique ou une carte Vitale.

Cela signifie que vous pourriez être totalement nu. Et quand même être capable d’ouvrir la porte de chez vous, de payer ou de faire démarrer une voiture. C’est ce que proposent désormais des sociétés comme Vivokey ou Walletmor : vous greffer une puce sous la peau du dos de la main.

Si vous craignez qu’on vous coupe la main au lieu de voler nos clés, vous regardez trop de films de science-fiction ! En théorie, évidemment c’est possible. Mais vous déverrouillez sans problème votre téléphone avec votre visage ou vos empreintes digitales. Et vous n’imaginez pas qu’on va vous couper la main ou la tête pour vous piquer des informations. Votre téléphone permet déjà de payer, de faire démarrer une voiture ou d’ouvrir des serrures. Avec une puce sous la peau, ce sera encore plus pratique puisque c’est invisible et qu’il n’y a plus rien à transporter.

Tout le monde n’est pas prêt à se faire implanter, si vous avez peur des tatouages et des piercings, une puce sous la peau ne vous tentera peut-être pas. Pourtant, ça fait la taille d’un grain de riz. C’est fiable et totalement sûr. Voilà des années qu’on en implante aux chiens pour les identifier. Cela prouve néanmoins qu’une technologie ne doit pas simplement être pratique. Elle doit aussi être acceptée socialement et culturellement.

Il y a quelques années, on trouvait ridicule de payer avec son téléphone. Qui sait ? Peut-être que demain, on trouvera génial de payer avec le dos de la main."

Source : France Info



"Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde."

"Depuis plusieurs années, écrit Serge Monast, il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point !" Serge Monast, "Le complot dévoilé : Plan du chaos et du marquage de l'humanité". PDF gratuit ICI.


Dans une interview accordée à la Radio Télévision Suisse en 2016, le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, "prédit" que les humains auront des micropuces implantées dans leur cerveau et sous leur peau d'ici 2026. "En fin de compte, il y aura une communication directe entre notre cerveau et le monde numérique."





 

dimanche, septembre 03, 2023

Le messianisme démoniaque





Les mesures aujourd’hui en vigueur pour contrôler la population ont réveillé d’amers souvenir. 

Parmi ceux qui ont bonne mémoire, citons Fritz Stern, éminent spécialiste de l’histoire allemande. Il introduit une récente étude sur « la descente aux enfers de l’Allemagne, de l’honorabilité à la barbarie nazie », par la remarque : « Aujourd’hui, je m’inquiète de l’avenir immédiat des Etats-Unis, le pays qui a accueilli les réfugiés de langue allemande dans les années trente », lui compris. 

Avec des allusions qu’aucun lecteur ne peut manquer de discerner à ce qui se passe ici et maintenant, Stern évoque l’appel démoniaque de Hitler à sa « mission divine » de « sauveur de l’Allemagne », dans une « transfiguration parareligieuse de la politique » ajustée aux « formes chrétiennes traditionnelles », à la tête d’un gouvernement attaché aux « principes fondamentaux » de la nation, avec « le christianisme comme fondement de la morale nationale et la famille comme base de la vie nationale ». L’hostilité de Hitler à l’égard de l’« Etat laïque libéral », partagée par une grande partie du clergé protestant, a été la force motrice d’« un processus historique où la rancœur contre un monde laïque désenchanté a trouvé un exutoire dans l’évasion extasiée vers la déraison ».

N’oublions pas que cette descente accélérée jusqu’à la pire barbarie a eu pour cadre le pays qui faisait l’orgueil de la civilisation occidentale dans les sciences, la philosophie et les arts ; un pays qui, avant la propagande hystérique de la première Guerre mondiale, était perçu par de nombreux spécialistes américains des sciences politiques comme un model de démocratie. 

L’un des plus grands intellectuels israéliens, Amos Elon, aujourd’hui en exil volontaire par désespoir face au déclin moral et social d’Israël, estime que la communauté juive allemande de sa jeunesse était « l’élite laïque de l’Europe ». Ces juifs allemands « étaient l’essence de la modernité – des dirigeants qui gagnaient leur vie par la puissance de leur cerveau et non de leurs muscles, des médiateurs, pas des travailleurs de la terre. Des journalistes, des écrivains, des savants. Si tout cela ne s’était pas terminé si horriblement, nous chanterions aujourd’hui les louanges de la culture de Weimar. Nous la comparerions à la Renaissance italienne. Ce qui s’est passé là-bas en littérature, en psychologie, en peinture, en architecture, ne s’est produit nulle part ailleurs. Il n’y avait rien eu de tel depuis la Renaissance ». C’est un jugement qui se défend.

Rappelons aussi que les techniques de la propagande nazie ont été empruntées à des théories et pratiques d’entreprise, inaugurées pour la plupart dans les sociétés anglo-américaines. Ces techniques reposaient sur l’usage de « symboles et slogans » simples pour créer des « impressions formidablement répétées » faisant appel à la peur et à d’autres émotions primaires, à la manière de la publicité commerciale, observe une étude contemporaine. « Goebbels a embauché la plupart des grands publicitaires d’Allemagne au ministère de de la Propagande » et déclaré qu’« il allait utiliser les méthodes de publicité américaines » pour « vendre le national-socialisme » comme les entreprises vendent « le chocolat, le dentifrice et les médicaments ». Et ces mesures ont effroyablement réussi à provoquer la chute soudaine de l’honorabilité à la barbarie que Fritz Stern retrace comme une terrible mise en garde.

Le messianisme démoniaque est un outil naturel pour des dirigeants qui poussent à l’extrême le dévouement aux intérêts immédiats de cercles étroits de riches et de puissants et le désir de domination mondiale. Il faut beaucoup d’aveuglement volontaire pour ne pas voir que ce sont ces engagements-là qui guident la politique américaine actuelle. Les objectifs visés et les mesures prises sont régulièrement contraires aux souhaits de l’opinion. […]


Pour maintenir la population du dessous dans l’obéissance malgré les réalités quotidiennes de sa vie, le recours à la « transfiguration parareligieuse » est un outil naturel : il exploite des traits de la culture populaire qui sont depuis longtemps en rupture très nette avec le reste du monde industriel et que l’on manipule à des fins politiques (...).

Un autre instrument est régulièrement exploité : la peur de la destruction imminente par un ennemi incarnant un mal infini (virus ?). 

Ce sentiment est profondément ancré dans la culture populaire américaine, en association étroite avec la foi dans la générosité de nos intentions – cette dernière idée est ce que l’histoire peut offrir de plus proche d’un universel. Dans un examen instructif de la culture populaire à partir des premières années, Bruce Franklin repère des thèmes cruciaux, comme « le Syndicat anglo-américain de la guerre » qui imposera son « pouvoir pacifique et éclairé » en menaçant d’« anéantissement » ceux qui se mettent en travers de sa route, et en apportant l’« Esprit de la Civilisation » aux peuples arriérés (1889). Il étudie aussi le choix remarquable des démons sur le point de nous détruire : il s’agit, en général, de ceux que les Américains sont en train de fouler aux pieds, les Indiens, les Noirs, les immigrés chinois, entre autres. Parmi les participants à ces exercices, on trouve de grands écrivains progressistes comme Jack London, qui a écrit en 1910, dans une revue populaire, une nouvelle où il préconisait l’extermination des Chinois par une guerre bactériologique qui déjouerait leur odieuse conspiration secrète pour nous submerger.

Quelles que soient les racines de ces traits culturels, ils sont aisément manipulables par des dirigeants cyniques, souvent avec des propos à peine croyables…

Noam Chomsky, "Les Etats manqués".


samedi, août 26, 2023

Rome change de masque

  

"(...) les Illuminati doivent toujours rendre visite à leurs suzerains jésuites avant de prendre une décision importante..."


Le pape François a reçu lundi 21 août au Vatican Mark Milley, chef d’état-major américain, pour échanger à propos de la guerre en Ukraine.

"Dans cette bataille pour le pouvoir et la propagande, écrit Leo Zagami (ex franc-maçon du 33ème degré), le sort de la population ukrainienne ou russe dans son ensemble n’intéresse que très peu, voire pas du tout, l’élite Illuminati, dans la mesure où cette guerre fait partie de leur programme mondial de Grande Réinitialisation. Dans ce contexte, les médias occidentaux déploient des efforts extrêmes pour promouvoir une image déformée du conflit en Ukraine, de la Russie, des Russes et de leur président, Vladimir Poutine. Ils semblent désespérés de nous convaincre que l’évolution de notre époque exige que l’Ukraine entre dans le cadre conçu par les États-Unis et l’OTAN. [...]

La question immédiate que la plupart d’entre vous se poseront est de savoir pourquoi un général américain de haut rang doit rencontrer le pape. Eh bien, cette réunion démontre une fois de plus que les Illuminati doivent toujours rendre visite à leurs suzerains jésuites avant de prendre une décision importante, et le général Milley veut faire avancer la guerre en Ukraine malgré les morts massives et les souffrances du régime. Le mois dernier seulement, le général Milley et Joe Biden ont décidé de fournir des bombes à fragmentation à l’Ukraine même si elles sont interdites par plus de 100 pays de la communauté internationale.

L’utilisation de bombes à fragmentation ne viole pas le droit international, mais leur utilisation contre des civils peut constituer une violation. Comme pour toute frappe, déterminer s’il s’agit d’un crime de guerre nécessite de déterminer si la cible était légitime et si des précautions ont été prises pour éviter des pertes civiles.

Le pape est « manifestement très préoccupé par les centaines de milliers de personnes qui ont été tuées et blessées et par les vies civiles innocentes qui ont été perdues », a déclaré Milley aux journalistes à bord d’un avion militaire américain après son audience avec le pape. "Il est très intéressé d'entendre mon point de vue sur l'état de la guerre et le statut de la guerre, ainsi que sur la tragédie humaine qui se déroule en Ukraine", a déclaré le général. Milley – le président des chefs d'état-major interarmées américains – a joué un rôle central dans les efforts visant à fournir à l'Ukraine une assistance, notamment du matériel militaire et une formation, pour combattre les troupes russes qui ont envahi l'Ukraine en février 2022.

Il y a seulement cinq jours, le Washington Post écrivait que « les renseignements américains affirment que l'Ukraine ne parviendra pas à atteindre l'objectif clé de l'offensive », et le général sait que sa mission sera terminée, ainsi que sa carrière une fois que les Républicains seront de retour à la Maison Blanche en 2024. .

« La communauté du renseignement américain estime que la contre-offensive ukrainienne ne parviendra pas à atteindre Melitopol, une ville clé du sud-est du pays, ont déclaré au Washington Post des sources proches des prévisions classifiées. Si ces prévisions s'avèrent exactes, Kiev ne parviendra pas à atteindre son objectif principal.» de couper le pont terrestre entre la Russie et la Crimée lors de la campagne de cette année. »

Pendant ce temps, le pape François continue de jouer un rôle ambigu en coulisses..." 


Rome change de masque


Par Joël Labruyère


Aujourd'hui, au début d'une ère nouvelle, Rome est occupée à changer de masque. Quelle sera l'apparence de cette métamorphose ? 

Ce sera la religion mondiale du Nouvel Âge, en partenariat avec le vieux concurrent oriental, dont une milice est spécialement descendue de son repaire himalayen.

Les compères bêlent leurs invocations à la paix et « au meilleur des mondes » pour paralyser toute velléité de résistance. Les lamas ont préparé le terrain par voie télépathique et ils sont assurés de conserver une place de choix à la table des élus de la nouvelle religion mondiale.

Ce que l'on appelle « Nouvel Âge » est une préparation à la fusion religieuse internationale qui est déjà effective dans l'invisible.

L'islam se rangera du côté du pétrole, quant au judaïsme matérialiste il tient le monde par les bourses de la Banque Mondiale.

Donc, dans la nouvelle configuration de la religion mondiale, Rome va changer de peau, abandonnant son troupeau de fidèles pour chapeauter les masses reconverties à la religion internationaliste du Nouvel Age.

Cette fois, le bon berger romain a échangé sa trique de fer contre les bons sentiments humanistes. Le christianisme romain a abandonné toute référence à la transcendance divine pour affiner la transcendance terrestre d'un Évangile dévoyé, vidé, caricaturé, entièrement vendu au « Prince de ce monde ». Ce fut l'œuvre des Jésuites. Rome n'a jamais eu d'états d'âme lorsque la politique était en jeu. L'Eon cosmique incarné dans la Rome éternelle se moque bien de Jésus et de tous les saints. Dès l'instant qu'ils desservent sa stratégie, Rome évacue ses dogmes et déboulonne ses saintes idoles. 

Le Jésus des Jésuites est un homme, humain trop humain, et son paradis est l'univers matériel. Sans doute, l'Eglise catholique conservera encore une apparence traditionnelle comme cela est exprimé dans un écrit du cardinal Ratzinger dans lequel cet esprit lucide prophétise que « notre Eglise redeviendra une petite chapelle comme les autres, retrouvant ainsi sa pureté originelle ». Sous la plume d'un pape, cette phrase, pas très catholique, est vraiment la preuve d'une volonté de liquidation totale. Le cardinal Ratzinger savait ce qu'il disait lorsqu'il écrivait ces mots, quelques années avant son investiture.

Les autorités de Rome savent donc ce qu'elles font, et elles ne sont pas entièrement victimes du vent de l'histoire. La hiérarchie catholique est informée de l'avenir, et elle s'y prépare tranquillement en gérant la fermeture de l'établissement Vatican. Il y a des mises à pied et du chômage, mais la nouvelle religion mondiale apportera du sang neuf.

Le Vatican laissera quelques comptoirs de piété ouverts dans les pays les plus attachés à la forme magique de l'Eglise. Alors, s'accomplira la parole évangélique où Jésus dit à Pierre :

« Lorsque tu étais jeune, tu te ceignais et tu allais où tu voulais, mais lorsque tu seras vieux, un autre te ceindra et te mènera où tu ne veux pas aller. » On ne peur être plus précis.

Rome se dirige donc là où elle ne voulait pas aller d'elle-même. Mais grâce à son pragmatisme éternel, elle saura opérer sa mutation obligatoire et mourir, selon les apparences, pour renaître à une nouvelle forme de pouvoir.

Ainsi, l'adversaire est toujours là et, plus que jamais, il faut avoir à l'esprit que ROMA est l'inverse d'AMOR. L'exécutif de Rome est en train de passer ailleurs. Sa hiérarchie entière déménage et se forme aux nouvelles technologies religieuses. Les Jésuites, qui ont investi tous les domaines de la civilisation, ont préparé le terrain. Un pacte a été signé avec le vieux concurrent asiatique donnant droit aux magiciens lamaïstes de chasser en terre chrétienne.

Vers une Inquisition technologique

Pour ceux qui aspirent à la liberté spirituelle, il ne fait aucun doute qu'en dépit des apparences le grand adversaire des temps modernes, c'est toujours la Rome internationale dissimulée derrière la Nouvelle Religion Mondiale. Et pourquoi ?

Parce que l'inquisition sera désormais technologique et technocratique. La Sainte Inquisition de la nouvelle religion mondiale s'immiscera dans les esprits, les âmes et les corps pour s'assurer que nul ne tente de se soustraire à la loi internationale.

C'est une histoire déjà vue, à une nuance près : il n'y aura désormais aucune échappatoire dans un monde unifié politiquement. Pourra-t-on se réfugier hors des frontières d'un pays pour échapper à son gouvernement ? Impossible sur une terre sans frontières. Tenterons-nous de protester contre un abus technocratique ou une manipulation scientifique ? Impossible dans un monde où la loi est la même pour tous.

Toute contestation sera inutile dans un ordre moral aseptisé. Déjà, le Nouvel Age nous profère insidieusement ses menaces : « tu es gentil, tu es heureux, tu es en paix, tu es bon ». Ce sont des ordres. Celui qui voudra exprimer un autre avis et émettre des critiques contre le meilleur des mondes passera pour un malade passible d'une thérapie ou d'un traitement spécial. Déjà, les revues alternatives ne sont que des annuaires de thérapies comportementales pour s'adapter au meilleur des mondes. On vous propose sournoisement de libérer votre essence individuelle, dans un bocal de formol bien pensant. Lorsque vous lisez une invitation à « libérer votre potentiel vital », vous savez déjà qu'on en veut à votre âme. Et si l'on vous offre d'accroître vos pouvoirs naturels pour obtenir une santé parfaite, sachez qu'on en veut à votre vie.

Joël LaBruyère, "Kali Yuga".





dimanche, août 20, 2023

L'intuition métaphysique face au chaos programmé

 


L’intuition métaphysique est intemporelle, non-duelle, anoétique (au-delà des mots) ; elle éclaire l’origine de la souffrance qui est « la convoitise, la haine, l’ignorance », ces trois racines qui conditionnent l’humain.

Les fous psychopathes dominants égarés dans le règne de la quantité, totalement dépourvus d’intuition métaphysique, représentés, par exemple, par les membres du Forum économique mondial de Davos, « asura ou titans furieux » selon la cosmogonie hindoue, sont une poignée d’humains qui obéissent à quelques autres. En guerre contre l’humanité, l’affaire n’est pas nouvelle, ils veulent tous les pouvoirs et mettent en place ce jour leur guerre de cinquième génération contre les peuples.

Le nouveau variant ERIS

DELTA est la quatrième lettre de l’alphabet grec, représentée par un triangle. OMICRON est la quinzième lettre de l’alphabet grec, transcrite par un « O » dérivé du phénicien Ayin qui signifie « œil ». Maintenant, ERIS, qui a été choisie pour la propagande d’un faux nouveau variant (!) à venir dès septembre (?), est la déesse de la discorde, fille de Nyx (la nuit), mère de démones malfaisantes comme la douleur et la famine. ERIS aurait pour objet de participer à continuer un chaos programmé après DELTA et OMICRON …

DELTA qui est le « triangle » et OMICRON qui est « l’œil qui voit tout », sont représentés sur le billet de 1 dollar par : « un triangle et un œil au sommet du triangle ». C’est aussi un des symboles d’une franc-maçonnerie.

Le dévoilement final de cette supercherie arrivera-t-il ?

Dans ce cas, signera-t-il la chute d’un Occident ?


Le SAGE, l’éveillé, est « Libéré par l’Intuition Métaphysique ». Dans le dualisme vous trouvez des noms : Yaweh, Allah, Dieu, Brahmâ-Shiva-Vishnu, Principe, Intelligence créatrice, etc. Nous disons « Intuition métaphysique ou Connaissance suprême » au-delà de l’intellect réducteur car réduit aux conditions de ses limites.

Les « ingénieries » diverses ne sont que des moyens nourris par la convoitise, la haine, l’ignorance, qui règnent par « la peur et la terreur ». Elles se fondent ce jour davantage sur un rationalisme matérialiste, une manipulation avérée de l’ADN, le fonctionnement biologique des cerveaux reptilien, mammifère, limbiques et néocortex, en interdépendance. Cette connaissance est de plus en plus exploitée par les neurosciences pour servir des pouvoirs politiques à des fins de totalitarisme, et l’IA devient l’outil principal pour couvrir tous les domaines possibles. Les fous nommés plus haut, auto–destructeurs, se sont emparés de ces savoirs à des fins diaboliques, sataniques, et leur folie apparue au grand jour depuis 2019 est visible à ceux qui peuvent la voir. Les injections sont une arme de destruction massive, génocidaire, un holocauste, avec l’aide de l’IA entropique.

Les « ingénieries » sociales, politiques, religieuses, sanitaires, climatiques, agroalimentaires, le trafic mondial des humains, de leurs organes et de leur sang, sont bien réelles.

Entendons ce que Claire Séverac, dont la mort prématurée reste mystérieuse, dit dans une vidéo :

« Plus nous avançons dans les enquêtes sur les injections, l’agroalimentaire, l’histoire des systèmes de santé, plus on se rend compte que le monde dans lequel nous vivons n’a rien à voir avec le monde dans lequel nous pensons vivre qui est une collusion entretenue, une espèce d’illusion entretenue par ceux qui nous gouvernent. Il y a un complot mondial contre la santé. L’éducation est faite pour cacher le savoir, le système de santé est fait pour créer les maladies, les informations sont faites pour cacher la réalité, les marchés financiers sont faits pour voler les richesses, l’intégration est faite pour créer la désunion. Rien n’est fait pour que l’humanité aille mieux et tout converge vers une sorte de contrôle des populations par une poignée de gens extrêmement puissants. Leur plan est programmé depuis longue date et beaucoup plus vaste que nous pourrions penser. Sa finalité se retrouvait déjà inscrite dans les « Georgia Guidestones » avec 10 commandements dignes d’un régime dictatorial dont le but final est de limiter l’humanité à 500 millions d’habitants, de créer une unification du genre humain, de créer un tribunal mondial. Les nombreuses techniques de manipulation mentale des masses, élaborées au cours des siècles pour y arriver, existent et sont bien réelles. Nul doute que le plus difficile est de pouvoir faire le lien entre tout cela, de voir à quel point nous sommes cernés. »

Le but est de garder l’humanité sous hypnose dans un état de sous-développement, de la maintenir et de la plonger davantage dans l’avilissement et la soumission.

Des chercheurs-inventeurs travaillent sur « l’énergie libre » pour produire une énergie qui serait quasi gratuite. C’est pourquoi, certains de ces généreux chercheurs ont été assassinés. Il y a à ce sujet une obstruction politique orchestrée par la maison blanche depuis des décennies, des omerta, une loi du silence aussi pour cacher le but véritable des injections, pour cacher que les pharmaceutiques ont fusionné depuis longtemps avec l’agro-alimentaire.

Quant à l’intelligence artificielle, des religieux disent que c’est la marque du diable avec ses diableries technologiques, sa négation de l’humain, son eugénisme, son transhumanisme. Ce n’est pas du complotisme que de le dire quand nul ne peut prédire le devenir de tout cela. Que se passera-t-il si les consciences s’éveillent davantage chez un plus grand nombre ?

L’Intuition métaphysique permet le courage pour sortir de la peur de l’esprit de troupeau.

Elle n’a rien à voir avec les savoirs convenus, mondains, intellectuels, de propagandistes dominants dont les deux propos suivants bien étranges et malsains illustrent clairement ce qui caractérise des dirigeants politiques et certains religieux qui se prennent ainsi pour des hommes supérieurs … :

- « Notre race est la race des maîtres. Nous sommes des dieux divins sur cette planète. Nous sommes aussi différents des races inférieures comme elles le sont des insectes. En fait, comparées à notre race, les autres races sont des bêtes et des animaux, un bétail au mieux. Les autres races sont comme de l’excrément humain. Notre destin est de régner sur ces races inférieures. » Menahem Begin, premier ministre israélien (1977-1983) Prix Nobel de la Paix en 1978 ! …

- « Il y a pour les races supérieures un droit parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. » … Jules Ferry (1832-1893), homme d'Etat français, franc-maçon et raciste.

Source anonyme





lundi, août 14, 2023

Magisterium IA : La prise de contrôle insidieuse de l'Église catholique par Cyber Satan a commencé !


Les futures homélies de l'Église catholique seront préparées par Cyber ​​Satan.


Un article de Leo Zagami :

Dans mon dernier livre, "Confessions of an Illuminati, Volume 9", j'ai décrit comment l'impensable s'est produit en Allemagne cette année lorsqu'un chatbot IA a soudainement demandé aux fidèles, réunis dans une église évangélique St. Paul bondée dans la ville bavaroise de Fürth, de se lever des bancs et louez le Seigneur.

Le chatbot ChatGPT a même été personnifié par l'avatar d'un homme noir barbu sur un écran géant placé au-dessus d'un autel, une image effrayante de style orwellien qui a rendu la première apparition de Cyber ​​Satan à l'église encore plus effrayante. L'avatar généré par l'IA a commencé à prêcher à plus de 300 personnes un vendredi matin pour un service religieux luthérien expérimental presque entièrement généré par l'IA. La plupart d'entre eux savaient ce qui se passait et pensaient probablement que c'était cool, mais cette apparition choquante restera dans les mémoires dans les livres d'histoire comme la première apparition horrible de Cyber ​​Satan à l'église, avant que l'IA, alias Cyber ​​Satan, ne prenne le contrôle de la plupart des institutions chrétiennes.

Et maintenant, l'Intelligence Artificielle (IA), alias Cyber ​​Satan, entame officiellement sa prise de contrôle de l'Église catholique avec une nouvelle monstruosité d'IA mise en place par l'entrepreneur américain Matthew Sanders, qui a déclaré il y a quelques jours que le nouveau projet d'intelligence artificielle, que sa société a aidé à créer", pourrait changer la donne" pour l'Église catholique qui envisage déjà de le généraliser.

Sanders, qui est le fondateur et PDG de Longbeard, une société de logiciels basée aux États-Unis qui a créé Magisterium AI (un ensemble croissant de données de documents et d'algorithmes religieux) et a expliqué que son "objectif principal est d'aider à rendre l'enseignement de l'Eglise catholique accessible à tous partout dans le monde, sur n'importe quel appareil, dans leur langue maternelle". Mais comme dans le cas de Chat GPT, il semble qu'il y ait bien plus qu'il n'y paraît. Actuellement au stade expérimental, Sanders a déclaré à la presse que le Magisterium IA s'adresse principalement aux formateurs et aux enseignants de la foi, pour aider les prêtres à enrichir leurs homélies, animer des cours de catéchisme et aider les parents à catéchiser leurs enfants.

Sanders a concédé qu'il reste encore beaucoup à faire sur l'IA de Magisterium avant qu'elle ne soit pleinement opérationnelle, et l'un des principaux points focaux est de créer une base de connaissances complète sur l'enseignement magistral. Les programmeurs téléchargent actuellement 20 documents par jour, a déclaré Sanders, mais a ajouté: "Nous avons encore un long chemin à parcourir."

L'un de ces domaines nécessitant plus d'informations est le sujet complexe du droit canonique. Sanders a déclaré que son entreprise prévoyait d'insérer des commentaires sur le Code de droit canonique et de télécharger les canons de l'Église orientale. "Ce n'est pas encore utile", a-t-il dit, "mais ce sera incroyablement positif." Cependant, il a également déclaré que la manière dont l'intelligence artificielle est exécutée doit également être améliorée, en particulier en ce qui concerne les "nuances". La façon dont il "prépare les homélies peut être un peu approximative", a déclaré Sanders, ajoutant qu'il est "bien meilleur pour mettre en place un enseignement magistral propice à une homélie".

Ainsi, il semble que les futures homélies de l'Église catholique seront préparées pour  par Cyber ​​Satan. L'homélie est généralement une conférence ou un discours sur un thème moral que le prêtre prononce au cours de son sermon. Pouvez-vous imaginer la folie de mettre ce moment religieux entre les mains de l'IA alias Cyber ​​Satan ? Une autre question est de savoir comment AI va gérer les désaccords croissants survenant au sujet de l'autorité enseignante de l'Église catholique romaine (le magistère), ou même d'éventuels changements au catéchisme de l'Église catholique.

Sanders a souligné que lui et son équipe "surveillaient attentivement les sites Web du Dicastère pour la Doctrine de la Foi", le plus ancien des départements de la Curie romaine encore connu de manière informelle sous le nom de Saint-Office, à la recherche de "tout nouveau décret ou déclaration doctrinale". ” et en les hiérarchisant pour le téléchargement dans leur base de connaissances. Il a ajouté qu'"un document publié il y a 60 ans peut faire autorité, mais si un document plus récent sort et met à jour un canon ou une compréhension doctrinale, ce document prévaudra".

"Il le fait bien de temps en temps, mais ne le fait pas aussi bien que nous le voudrions, et c'est un domaine que nous voulons améliorer", a-t-il déclaré. "Dans la prochaine version de l'IA, ça ira mieux."

Les préoccupations plus générales concernant l'IA sont bien documentées, en particulier en ce qui concerne le milieu universitaire et la recherche. L'un d'eux concerne l'exactitude des données et le fait que l'IA peut être sujette à des erreurs, aboutissant éventuellement à des articles de recherche. Mais les créateurs de Magisterium AI disent que cela fonctionne légèrement différemment des autres programmes d'IA plus importants tels que ChatGPT et Google Bard, qui ont reçu un accueil mitigé dans le milieu universitaire, en ce que les informations sont limitées aux données authentiques de l'Eglise. Mais cela sera-t-il possible une fois le Magisterium IA prendra complètement le relais ?

Le père Baggot a déclaré que contrairement aux "programmes d'IA génératifs plus généraux", Magisterium AI s'appuie sur une "base de données restreinte de documents officiels de l'Église", ce qui le rend "beaucoup moins enclin à donner des réponses fausses ou trompeuses basées sur des sources non fiables". En incluant des références et des liens vers des documents officiels de l'Eglise, il a déclaré que le programme permet aux utilisateurs de lire les sources originales.

Cependant, il a averti que "puisque tout système d'IA générative peut "halluciner" (un terme d'IA pour créer de fausses informations), les utilisateurs doivent toujours consulter les documents originaux pour éviter toute confusion". 

En attendant, préparez-vous à l'arrivée imminente de l'Antéchrist aidé par l'IA extraterrestre et les ordinateurs quantiques que j'ai décrits dans "Confession d'un Illuminati, volume 9, Sept étapes vers les secrets du nouveau désordre mondial, du transhumanisme et de l'immortalité à Jésus gnostique, aux ovnis et à la sorcellerie des insectes". (Confessions of an Illuminati Volume 9: Seven Steps to The Secrets of the New World Disorder from Transhumanism and Immortality to Gnostic Jesus, UFOs, and Insect Witchcraft)

Source :


samedi, août 12, 2023

"La mafia France-Afrique dirigée de main de maître par la mafia maçonnique"

 





"Nous avons saigné l'Afrique pendant quatre siècles et demi, nous avons pillé ses matières premières ; après, on a dit : "Ils (les Africains) ne sont bons à rien". Au nom de la religion, on a détruit leur culture et maintenant, comme il faut faire les choses avec plus d'élégance, on leur pique leurs cerveaux grâce aux bourses. Puis, on constate que la malheureuse Afrique n'est pas dans un état brillant, qu'elle ne génère pas d'élites. Après s'être enrichi à ses dépens, on lui donne des leçons."  Jacques Chirac.


Le franc CFA

Le fait que cette monnaie soit fabriquée en France est la preuve définitive de l’existence de la mafia France-Afrique, dirigée de main de maître par la mafia maçonnique. Son nom CFA qui signifie « colonies françaises d’Afrique » est une insulte aux peuples africains. Quant à l’excuse de faire croire qu’ainsi ces pays bénéficieront d’une monnaie stable, elle relève de la maladie mentale et non plus de la seule bêtise car une telle assertion ne peut venir de pays ruiné comme la France par exemple dont la dette est de plus de 2500 milliards d’euros ! Autant mettre Guzmán El Chapo à la tête de la police anti drogue, c’est kifkif.

La monnaie aujourd’hui utilisée dans 15 pays africains est fabriquée dans le Puy-de-Dôme.

Elle suscite depuis plusieurs mois un vif débat sur le continent africain. Certains estiment qu’il faut le maintenir, quand d’autres préconisent de l’abandonner.

Fabriqué en France et utilisé en Afrique. Voici l’une des particularités du franc CFA, aujourd’hui présent dans 15 pays africains. Cette monnaie est fabriquée à Chamalières, dans une imprimerie de la Banque de France entourée de grilles infranchissables. Le maire de cette petite commune du Puy-de-Dôme n’est autre que Louis Giscard d’Estaing, le fils de l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing. « Après la Première Guerre mondiale la Banque de France a décidé de construire une imprimerie très éloignée de la frontière de l’est dans un endroit peu accessible : elle a acheté un terrain à Chamalières en 1921 », raconte Louis Giscard d’Estaing au Figaro.

Initialement, l’acronyme CFA signifiait « colonies françaises d’Afrique ». « Le franc CFA est issu de la colonisation », explique Philippe Hugon, directeur de recherche à l’IRIS en charge de l’Afrique. « Il s’est développé après la Seconde Guerre mondiale », poursuit le chercheur. Concrètement, le franc CFA est aujourd’hui utilisé dans deux unions monétaires distinctes disposant chacune d’une banque centrale :

• La communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) qui comprend le Cameroun, la Centrafrique, la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad.

• L’union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui regroupe le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Mali, le Niger, le Togo, le Bénin et la Guinée-Bissau.

L’acronyme CFA signifie désormais « coopération financière en Afrique » pour la première union monétaire et « communauté financière africaine » pour la seconde union monétaire. Le franc CFA est également utilisé aux Comores.

Source : Le Libre Penseur.


La mafia France-Afrique, dirigée de main de maître par la mafia maçonnique

"(...) nous pouvons citer toute la machinerie criminelle de vampirisation de l'Afrique et de sa rapine. Tous les "hommes Afrique" de l'Élysée étaient maçons à commencer par J. Foccart et Guy Penne mais également R. Bourgi, A. Djouhri, A. Tarallo ... La GLNF détient d'ailleurs le record mondial de l'initiation de dictateurs étant donné que le Gabonais Omar Bongo, le Malien Amadou Toumani Touré, le Congolais Denis Sassou-Nguesso, le Burkinabé Blaise Compaoré, le Tchadien Idriss Déby, le Centrafricain François Bozizé, le Sénégalais Abdoulaye Wade, le Nigérien Mamadou Tandja et le Béninois Boni Yayi, mais également les Maghrébins Ben Ali et le Roi marocain, l'Egyptien Moubarak ... sont tous initiés ! C'est la plus belle brochette de criminels les plus sanguinaires au monde, illuminés par la sagesse luciférienne."



dimanche, août 06, 2023

Barbarie made in Germany




"Connaissez-vous l’histoire des Herero et des Nama ? Ces peuples de Namibie ont été décimés par les Allemands parce qu’ils refusaient de se soumettre à la loi coloniale. Le film “L’homme mesuré” raconte ce génocide oublié, considéré comme le premier du XXème siècle." AJ+


Sait-on que l'Allemagne, responsable de l'élimination méthodique de peuples jugés inférieurs, avait jeté les bases de la solution finale bien avant les nazis ?

Serge Bilé, journaliste à RFO, dévoile cet aspect totalement méconnu de l'histoire du peuple Allemand.

« C'est un pays que peu de gens réussiraient sans hésiter à situer sur une carte du monde. Un pays dont on ne parle quasiment jamais. Un pays oublié. Seul avec son drame.

C'est là pourtant que tout a commencé, là qu'est né le nazisme bien avant l'heure, là qu'ont été expérimentés les premiers camps de concentration bien avant la Seconde Guerre mondiale, là qu'ont été jetées les bases de la solution finale bien avant l'avènement d'Adolf Hitler.

Ce pays, immense et désertique, c'est la Namibie dont l'effroyable histoire a été jusqu'ici éclipsée par celle de son puissant voisin, l'Afrique du Sud, avec lequel il partage une frontière et des douleurs communes.

Quand les premiers colons allemands débarquent sur ses côtes, en 1870, la Namibie est une mosaïque de peuples divisés entre Ovambo, Kavango, Nama ou encore Herero. Une désunion dont joueront d'ailleurs les Allemands pour s'aventurer et s'installer à l'intérieur des terres.

Des Allemands qui découvrent très vite les richesses du sous-sol namibien avec sa profusion de cuivre et surtout de diamants. Pour exploiter ces gisements et étouffer toute velléité de contestation, le chancelier Otto von Bismarck nomme en 1884 un gouverneur civil chargé d'administrer la nouvelle colonie.

Cet homme, dont le nom de famille, nous est devenu, depuis, tristement commun, c'est Heinrich Goering, le père de Hermann Goering, qui deviendra plus tard l'un des plus hauts dignitaires nazis.

Henrich Goering a recours, pour remplir sa tâche, à des méthodes expéditives : déplacement des populations parquées dans des réserves raciales et réduites en esclavage, exécutions sommaires en cas de résistance et confiscation systématique des terres et du bétail.

Une ségrégation et une barbarie auxquelles s'opposera vigoureusement un petit peuple de bergers, les Herero, conduit par un chef obstiné et courageux, Samuel Maharero. Il préconise pour bouter les Allemands hors du pays de créer le plus large front possible.

« Toute notre docilité et notre patience envers les Allemands ne nous servent à rien, car chaque jour ils nous fusillent pour rien", écrit-il le 11 janvier 1903 aux autres chefs de tribus pour les exhorter à la révolte. "Mes frères, n'en restez pas à votre premier refus de participer au soulèvement, mais faites en sorte que toute l'Afrique combatte les Allemands. Mourrons plutôt ensemble au lieu de mourir de mauvais traitement, en prison ou encore d'autres manières. »

Sa missive restera sans réponse. Las, les Herero décident, un an plus tard, le 11 janvier 1904, de se lancer seuls dans la bataille. Ils attaquent une garnison allemande à Okahandja, tuent une centaine de colons et détruisent leurs lignes de télégraphe et de chemin de fer.

Une véritable humiliation pour les Allemands, qui n'auront de cesse de se venger, épaulés par des renforts qui ne tarderont pas à arriver. Trois mille hommes et un nouveau commandant en chef connu pour sa brutalité et sa poigne de fer, le général Lothar von Trotha.

Von Trotha confirme sa réputation en lançant dès le 2 octobre 1904, aussi incroyable que cela puisse paraître, un ordre d'extermination (Vernichtungsbefehl) à l'encontre des Herero.

« Moi, général des troupes allemandes, adresse cette lettre au peuple Herero. Les Herero ne sont dorénavant plus des sujets allemands. Tous les Herero doivent quitter le pays. S'ils ne le font pas, je les y forcerai avec mes grands canons.

Tout Herero aperçu à l'intérieur des frontières allemandes (namibiennes) avec ou sans arme, avec ou sans bétail, sera abattu. Je n'accepte aucune femme ni aucun enfant. Ils doivent partir ou mourir. Il n'y aura aucun prisonnier mâle. Tous seront fusillés. Telle est ma décision pour les Herero. »

Une décision immédiatement mise à exécution avec une minutie et une stratégie diaboliques. Hommes, femmes et enfants herero sont systématiquement exterminés. Les survivants sont pourchassés, pris en tenaille et repoussés méthodiquement vers le désert où ils mourront d'épuisement, de faim et de soif. Les Allemands avaient pris soin auparavant d'empoisonner l'eau des puits...

La révolte matée, dans le camp des bourreaux, c'est la jubilation, comme l'atteste ce rapport de mission d'une patrouille allemande : « Le blocus impitoyable des zones désertiques pendant des mois a parachevé l’œuvre d'élimination. A l'arrivée de la saison des pluies nous avons trouvé des squelettes gisant autour de trous secs, profonds de douze à quinze mètres, que les Herero avaient creusés en vain pour trouver de l'eau.

Les râles des mourants et leurs cris de folie furieuse se sont tus dans le silence sublime de l'infini. Le châtiment a été appliqué. Les Herero ont cessé d'être un peuple indépendant. »

Le bilan est effrayant : soixante mille morts, soit plus de 80% de la population herero éliminée en quelques mois. Un véritable génocide. Mais en Allemagne, quelques voix finissent par s'élever en réalisant que cette boucherie allait priver la colonie de...main-d’œuvre. L'ordre d'extermination de von Trotha est finalement levé.

Les quinze mille survivants herero, essentiellement des femmes, sont faits prisonniers et regroupés dans ce que les Allemands appellent déjà des konzentrationslager, des "camps de concentration". Le terme est utilisé officiellement pour la première fois dans un télégramme de la chancellerie daté du 14 janvier 1905.

Dès leur arrivée dans ces camps de travaux forcés clos par de hauts barbelés, les herero sont tatoués de ces deux lettres : GH, pour Gefangener Herero, ce qui signifie Herero capturé.

La suite c'est un témoin britannique de ce drame, Hendrik Fraser, qui la raconte : « Lorsque je suis entré à Swakopmund, j'ai vu beaucoup de prisonniers de guerre herero. Les femmes devaient travailler comme les hommes. Le travail était harassant.

Elles devaient pousser des chariots chargés à ras bord sur une distance de dix kilomètres. Elles mouraient littéralement de faim. Celles qui ne travaillaient pas étaient sauvagement fouettées. J'ai même vu des femmes assommées à coups de pioche. Les soldats allemands abusaient d'elles pour assouvir leurs besoins sexuels. »

Autre témoignage, tout aussi terrifiant, celui d'un chef herero, Traugott Tjienda, espédié lui aussi dans l'un de ces camps : « Notre peuple qui sortait du bush fut astreint immédiatement au travail. Les hommes n'avaient plus que la peau sur les os. Ils étaient si maigres qu'on pouvait voir à travers leurs os. Ils ressemblaient à des manches à balais. »

Malnutrition, mauvais traitements, exécutions sommaires des malades et des plus faibles, au bout d'un an, ce sont pas moins de 7 862 Herero, soit la moitié des détenus, qui meurent en captivité.

Mais le calvaire ne s'arrête pas là. Les Allemands, trop heureux de disposer dans ces camps d'une main-d’œuvre gratuite, en profitent pour réaliser toutes sortes d'expérimentations anthropologiques, scientifiques et médicales, transformant du coup ces malheureux prisonniers herero en véritables cobayes humains.

Des recherches qui seront conduites sur place par l'un des généticiens racialistes allemands les plus influents de l'époque, le docteur Eugen Fischer. Il dissèque à la chaîne des cranes et des corps de pendus herero et expédie quelques cadavres dans les universités allemandes afin de partager ses expériences avec ses premiers disciples.

Il mène également des travaux de stérilisation sur les femmes herero pour s'assurer que les rapports sexuels qu'elles entretiennent avec les colons ne menacent pas la pureté du sang allemand. C'est la meilleure façon, à ses yeux, d'empêcher la mixité raciale qui conduit inévitablement, selon lui, à la « disparition de la population blanche ».

De retour en Allemagne, Eugen Fischer dirige, à l'avènement de Hitler, l'institut d'anthropologie, d'hérédité humaine et d'eugénisme de Berlin. Il collabore naturellement avec les SS, épaulé par son fidèle assistant, le futur bourreau d'Auschwitz, Joseph Mengele.

Fischer et Mengele appliqueront par la suite dans les nouveaux camps de concentration et d'extermination conçus par les nazis tout ce qu'ils ont appris et expérimenté impunément en Namibie. Mais cette fois à une plus grande échelle.

Quant aux Herero, ils n'ont depuis le drame de 1904 cessé de se battre pour la reconnaissance et la réparation de leur génocide oublié et nié jusqu'ici.

Un génocide dont personne, en fait, ne s'est réellement soucié à l'époque, sans doute parce que ceux mêmes qu'il frappait étaient africains.

Mais voilà, trente-cinq ans plus tard, avec l'éclatement de la Seconde Guerre mondiale, c'est le monde entier qui paiera le prix de cet abominable mépris. »

Serge Bilé, Noirs dans les camps nazis.


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BONUS

Les Allemands peuvent-ils exister sans obéir, avant-hier au Kaiser, hier au Führer, aujourd'hui à l'oligarchie politico-financière ?

Cette nation, qui est responsable de deux guerres mondiales, prend le leadership européen en mobilisant toutes ses forces vives dans une guerre économique impitoyable. Le fameux modèle allemand est fondé sur un état d'urgence permanent et un colossal effort imposé aux travailleurs. « Pour renforcer sa compétitivité et exporter, l'Allemagne a libéralisé son marché du travail et précipité une part croissante des salariés dans la précarité : absence de salaire minimum, travail à temps partiel, "mini jobs" sans assurance maladie ou petit boulots payés 1 euro de l'heure. Aujourd’hui, près d’un travailleur allemands sur cinq est pauvre ». Source

Plus de soixante-dix ans après la mort d'Adolf Hitler, l'Europe se retrouve sous la domination d'un « Ordre Nouveau » qui évoque celui du dictateur nazi. Rappelons que l'Ordre Nouveau nazi était fondé sur la subordination des États européens à la « Grande Allemagne ». L'actuelle exploitation économique de l'Europe s'apparente sous certains aspects au plan nazi.



Réchauffement climatique : La Froide Vérité

De nos jours, des vidéos sont rapidement censurées et les paroles s'envolent . Grâce à la transcription et l'impression de l'aud...