(...) comme il y a une cohérence dans le Bien, il y a une cohérence dans le Mal. Et ces actions que nous jugeons apparemment sans gravité – si nous ne les contextualisons pas – se révèlent être les rouages d’un engrenage, peut-être insignifiants, mais qui lui permettent de fonctionner, et sans lesquels la machine se bloquerait.
C’est pourquoi le Mal – qui ontologiquement est un non-être, une absence de Bien – cherche à s’infiltrer dans nos âmes par petits pas, provoquant des chutes progressives, en s’assurant qu’il ne suscite en nous aucune inquiétude ni aucun remords ; puis il grandit et se développe comme un cancer. Et là où le Bien apporte plus de bien, le Mal appelle plus de mal, nous accoutumant à lui, et à tout ce vers quoi il nous entraîne.
Les plans infernaux de l’élite mondialiste – dont nous avons découvert la malice intrinsèque – sont eux aussi cohérents les uns avec les autres, parce qu’ils sont mus par la haine de l’Adversaire envers le Christ. Le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et vacciner la population mondiale ; celui de George Soros de faire envahir les pays occidentaux par des hordes de musulmans et saper la famille naturelle en finançant les mouvements woke et LGBTQ ; le plan de Klaus Schwab pour nous forcer à manger des insectes ou à nous confiner dans les smart city de 15 minutes ; celui de Harari d’effacer l’idée d’un Dieu transcendant et réécrire une Bible « politiquement correcte » ; le projet de l’état profond de centraliser le contrôle des citoyens avec l’identité numérique, la monnaie électronique et la manipulation du vote ; celui de Bergoglio de transformer l’Église en une agence de l’ONU et du Forum Économique Mondial de Davos, ne sont pas des plans autonomes mis en œuvre sans aucun lien les uns avec les autres.
Dans tout ce qui s’est passé au cours des dernières décennies sous une forme plus souterraine et plus récemment de manière beaucoup plus évidente, nous pouvons reconnaître un esprit, une intelligence capable de donner une organisation apparemment infaillible et implacable. Car il nous faut l’admettre : ceux qui ont construit cette machine infernale, dans laquelle tous les engrenages semblent tourner parfaitement, font preuve d’une intelligence supérieure, angélique, voire : satanique.
La victoire apparente des méchants
Le constat de l’efficacité organisationnelle des méchants ne doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à combattre leurs plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection », presque mécanique, sans âme, dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation : Simul stabunt, simul cadent, récite l’adage latin. Et il en sera exactement ainsi, car le triomphe du Mal est une fiction, une simulation, une mise en scène basée – comme tout ce qui vient de Satan – sur l’apparence et le mensonge.
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Êtes-vous intellectuellement armé pour regarder les informations ?
Aussi étrange que cela puisse paraître, le covid a été une bonne formation intellectuelle. Il a enseigné à beaucoup de gens le doute méthodique : suspendre son jugement et investiguer avant de soutenir ou réfuter un récit/une information médiatique."