mercredi, novembre 07, 2012

La Conspiration Cybernétique





« La conspiration Cybernétique » est un texte écrit par Sinouhé l'Artiste, un lecteur de Bouddhanar. On y trouve des associations intéressantes entre la cybernétique, l'occultisme et la politique luciférienne des maîtres du monde.

« La Conspiration Cybernétique » permet d'entrevoir un programme qui vise à modifier radicalement la société. L'élite accédera à l'immortalité dans une trentaine d'années (2045 Avatar Project) grâce à la réalisation, d'abord, d'une sorte de double numérique, puis d'un corps hologramme immortel. Quant au commun des mortels, il est destiné à l'esclavage.

Pour en savoir plus sur l'immortalité en 2045 : http://bouddhanar.blogspot.fr/2012/08/immortalite.html )

En ce jour de réélection d'Obama, beaucoup de personnes regardent vers l'Amérique du nord. Or cette région du monde occupe une place particulière dans les recherches de Sinouhé l'Artiste. Son texte débute par une analyse étonnante de l'autre réalité qui se cache derrière la municipalité de Palo Alto, dans le comté de Santa Clara, au sud de la péninsule de San Franscisco.


Palo Alto
L'antre de la bête


« La relation avec Palo Alto ("le Grand ARBRE"), écrit Sinouhé l'Artiste, vient du fait que cette ville est l'épicentre de toutes les innovations cybernétiques avec quelques autres lieux de par le monde ; mais on peut dire, que c'est à Palo Alto que le lien avec la génération Peace and Love prend tout son sens.

Dans les années 50 et 60, Palo Alto a été un des points de rencontre de la génération LSD avec les prototypes de la GEEK attitude avant de devenir le poumon de la silicon valley et le lieu d'expérimentation des dogmes de la société occidentale actuelle. Cette zone compte également un nombre considérable de sectes sataniques ou apparentées comme l'institut "Esalen" ainsi qu'un nombre sidérant de cultes New Age plus débiles les uns que les autres... Les premiers missionnaires catholiques avaient placé Palo Alto sur le "Camino Réal" ça ne s'invente pas...

Dans les anciennes mythologies et avec une perception accrue, comme celle de certains chercheurs, il semblerait que cette terre de la Californie (le Chaud Fourneau) soit un vestige du continent perdu de MU (voir la petite histoire de Californie dans la suite des extraits de Palo Alto l'antre de la bête) beaucoup d'indices vont dans ce sens. Il est également question de l'or de la Californie, d'où la fameuse fièvre de l'or qui a rendu célèbre dans le monde moderne cette région. Une ancienne légende amérindienne raconte que cette terre était gardée par des amazones noires à la tête d'une armée de griffons et dont les armes étaient faites d'or pur... Le lien avec la City et les princes noirs actuels est alors possible... L'or de la City de Londres est également gardé par des griffons, comme la plupart des lieux où se terrent les grands prédateurs de ce monde... Les chiens ne font pas des chats, enfin pas encore...

La raison doit faire admettre que certains vestiges cyclopéens que l'on retrouve de par le monde sont bien antérieurs au déluge et confirment l'existence des fameux peuples de l'Atlantide, des géants, des cyclopes et autres chimères qui peuplent encore les livres saints et les symboliques des loges maçonniques, des édifices religieux et des grimoires de toutes les magies.

Notons que la partie nord de l'Amérique est redevenue depuis peu de temps la puissance qui veut en imposer au monde entier. Cela montre que l'histoire est un éternel recommencement et que les trames karmiques sont opiniâtres quant à vouloir retrouver inlassablement l'origine de leur origine. Mais la question qui se pose est la suivante : comment se fait-il que ce vaste territoire soit resté aussi longtemps sans aucune reconstruction digne des civilisations de l'Amérique du sud ? Cette vaste terre resta des milliers d'années seulement peuplée de quelques tribus dont le point commun a été de ne pas déranger la terre mère par leur présence, se déplaçant à pied au gré du mouvement des troupeaux et de la clémence du climat... On comprend alors pourquoi les civilisations de l'Amérique du sud considéraient ce vaste territoire comme une terre maudite où vivaient les esprits démoniaques en quête d'une nouvelle existence...

Il y a là un lien qui explique comment aujourd'hui des êtres d'apparence humaine sont devenus en peu de temps des prédateurs voraces et insatiables persuadés que la destinée du monde est entre leurs mains. Nul doute que les parasites dimensionnels de la terre maudite attendaient impatiemment l'arrivée de véhicules de chair pour préparer leur entrée dans la sphère électromagnétique en élaboration à Palo Alto.

Si l'on considère que le nouveau monde est la terre maudite racontée dans les légendes des Amérindiens, alors on comprend pourquoi les vieilles émanations diaboliques des lignées encore actives de par le monde ont voulu à tout prix revenir sur les terres de leurs anciennes résidences pour reprendre leurs projets hégémonique et eugéniste là où ils étaient restés il y a des milliers d'années, avant la grande guerre inter-dimensionnelle à l'origine du méga cataclysme qui "précipita les étoiles sur le sol". [...]

Les points communs que l'on rencontre de par le monde, à travers les légendes et les vestiges des antiques civilisations, sont autant de preuves qui indiquent clairement qu'un tronc commun est a l'origine de toutes ces civilisations post-atlantéennes. 

Aujourd'hui, les habitants de la terre ne sont pas évolués mais amnésiques, alors qu'un petit groupe d'initiés connaît parfaitement la véridique histoire de l'humanité afin de garder une longueur d'avance sur la masse humaine. Il ne fait aucun doute que tous les trésors et toutes les preuves de la véridique histoire de l'humanité ont été conservés par certains cercles initiatiques dans l'attente d'un possible retour de leurs dieux qui viendraient encore et toujours du ciel à moins qu'ils ne décident de les rejoindre définitivement en enfer...

Il faut pourtant admettre que ces dieux venus du ciel sont ces êtres décrits dans les tablettes sumériennes. Avec le temps, et divers accouplements avec les filles de la terre, ils sont devenus les démiurges des écritures hermétiques que les initiés des cercles occultes se sont transmis de génération en génération. Les fables post-diluviennes, relatées dans toutes les légendes du monde, sont à l'origine des religions de la discorde mondiale actuelle alors que les secrets technologiques des anciens dieux sont entre les mains des prétendus scientifiques des laboratoires de recherche à la solde d'une espèce qui n'a plus grand-chose d'humain... Il ne fait aucun doute que les dieux venus du ciel des fables hermétiques connaissaient bien les trésors technologiques que le monde actuel et en train de redécouvrir à ses dépens, car de ces merveilles viendront l'esclavage numérique des peuples et leurs extinctions par le chaos. Les dieux connaissaient d'autant mieux ces technologies d'un autre monde car elles ont été à l'origine de la création de l'ADAM à partir de manipulations génétiques sans lesquelles les dieux venus du ciel ne pouvaient pas rester sur terre pour se baffrer dans le jardin d'éden sur dos de l'ADAM. Dieu a fait l'homme à son image et l'homme n'a pas eu d'autres choix... 

C'est en cela que résident le chaînon manquant et la disparition de l'humain primordial vivant encore en nous dans ce que les savants du moment appellent l'ADN poubelle. C'est par ce parasitage que l'homme actuel est confronté à la dualité infernale qui le conduit à toujours choisir les pires solutions pour sa destinée, dissonance plutôt que consonance, toujours le même choix... La construction d'un monde entièrement virtuel en est encore l'illustration, car l'homme bâti avec son sang et sa sueur les murs d'une citadelle qui lui sera interdite, mais son ego sur-dimensionné lui fait croire que son nombril est le centre de l'univers, et la vie éternelle est un dû et non une quête. 

L'enfer Cybernétique sera à la mesure des paradis artificiels que l'homme appelle de ses vœux car la souffrance de la chair lui est insupportable, et cette souffrance est proportionnelle à la démesure de la Babylone cybernétique en construction.

La Grande Babylone cybernétique

Voici le temps de l'emprise "Cybertechnologique" sur le genre humain dans la perspective du transhumanisme et de l'ère post-sapiens qui s'annonce. Le transhumanisme est présenté comme l'avenir de l'espèce par les papes de cette posture prétendument avant-gardiste, mais réellement mortifère. Avant cela, il faut que l'humanité turbulente se soumette aux maîtres architectes d'une nouvelle configuration planétaire que certains nomment aujourd'hui le nouvel ordre mondial. En fait de nouvel ordre, il s'agit plutôt d'un nouveau monde entièrement virtuel similaire à ce que nous montrent les prétendues fictions hollywoodiennes à la mode augmentées d'effets spéciaux 3 D et aux implants viraux à effet retard qui vont avec... En plus du pouvoir de séduction de la lanterne magique, il s'agit de préparer les consciences à cette nouvelle version de la manifestation, non plus divine mais cybernétique. Dans ce nouveau "JEU" l'humanité, dans sa forme actuelle, n'aura que peu d'utilité, mais l'homme est le seul à ne pas s'en rendre compte, persuadé que sa présence sur terre est indispensable, ce qui est bien naturel. Ce qu'il ignore, c'est qu'il n'est pas au programme du plan global des marionnettistes qui opèrent derrière les écrans de fumée haute résolution de l'illusion aujourd'hui quotidienne de l'existence moderne. Les vrais maîtres ne sont pas les pantins qui s'agitent devant les foules, ils sont les rémanences des plus anciennes lignées déjà issues de l'hybridation contre nature abondamment décrite dans les textes des plus vieilles épopées mythologiques à l'origine des croyances de l'homme actuel.

L'idée d'un gouvernement mondial n'est qu'une étape pour la mise en place de cette matrice cybernétique où l'intelligence artificielle sera génératrice de toutes les fantasmagories, dès lors que des consciences, autrefois incarnées dans les êtres de chair, pourront exister dans les nano-gels des programmes quantiques de la sphère micro-informatique. La non-vie éternelle en somme.

En fait, il s'agit d'utiliser le support cérébral humain comme modèle à l'élaboration d'un double artificiel qui à terme sera en mesure de récupérer l'ensemble des données contenues dans un cortex cérébral modèle. Le plug in de la conscience du modèle dans sa totalité sera alors possible. L'hybridation HOMME/MACHINE sera de cette nature, l'interaction sera possible avec les multitudes de programmes mis en réseaux à travers les super ordinateurs aux puissances de calcul hors de l'imagination. Là seront les nouveaux territoires d'une nouvelle créature existant sur un autre plan de conscience virtuelle, celui des mondes infra-matériels. Le film Avatar a donné un aperçu idéal de ce genre de transfert opérationnel dès aujourd'hui, le film Total Recall a donné un aperçu des moyens mis en œuvre pour préparer l'humanité à la reprogrammation totale de sa trajectoire régulière. Il est important de préciser que l'homme de chair, augmenté en implants robotiques, plus connu sous le nom de cyborg n'a pas pour vocation, comme on veut nous le faire croire, de répondre aux défaillances du corps humain. Dans un avenir proche, ces créatures "cybertronique" seront conformes à la fiction présentée dans la série des films TERMINATOR. Leur usage sera la maintenance des installations terrestres des princes de la nouvelle Babylone électromagnétique. La nature, elle aussi, n'a que peu de place dans ce projet. Les cyborgs seront conformes avec la vision d'Einstein qui disait que la plupart des êtres humain pourraient se passer de cerveaux, la moelle épinière suffisait largement pour remplir les fonctions qui sont les leurs. On comprend mieux le rôle d'Einstein dans la trajectoire de l'humanité.

Le poète, l'artiste, l'homme dans sa merveilleuse nature n'ont aucune place dans ce programme en tant qu'être vivant... La bibliothèque numérique de la sphère électromagnétique micro-informatique sera en mesure de générer à peu près n'importe quelle production visuelle plus vraie que nature à travers les bases de données actuellement mises en Qbit et capable de répondre a n'importe quelle question par l'intermédiaire de l'interface WATSON (quel fils), actuellement incarnée sur le plan virtuel dans le CLOUD.

Peu de gens sont au courant (c'est le cas de le dire) mais les plus célèbres vedettes et le STARS du moment n'ont aucune responsabilité créatrice dans les tubes qu'elles produisent... Des machines sont à l'œuvre pour eux à partir de programmes spécialement conçus pour mettre en séquences leurs natures spécifiques augmentées par des virus sonores destinés à frapper l'inconscient des FANS dans la perspective d'inhiber ou d'exacerber certains comportements, certaines postures sociales, en plus de rapporter des milliards aux opérateurs de l'industrie "CYBERTSHOW". [...]

"La Conspiration Cybernétique" apporte un éclairage original permettant de réunir les morceaux d'un puzzle extraordinaire. Dans ce livre j'ai mis en lumière les liens entre, la Beat génération, la contre culture des années 60 , le LSD et les drogues pharmaceutiques, les agences de renseignements, les cercles occultes, les laboratoires pétrochimiques et les centre de recherche cybernétique, l'ensemble remis en perspective et en lien avec une trajectoire qui prend sa source dans les plus anciennes fables hermétiques relatant l'épopée humaine depuis les mondes antédiluviens.

Il est certain qu'un vaste plan de reformatage de l'espèce humaine est en cours de réalisation dans la perspective des événements décrits plus haut. La Beat Génération a été l'embryon d'un processus diabolique d'expérimentation à l'échelle d'une génération à partir des principes cybernétiques mis en applications pour la modélisation et la transformation en profondeur des consciences occidentales notamment. Dès les années 50, le baby boom s'est transmuté dans une opération de contrôle mental sous la bannière Peace and Love, en vue de préparer les hommes à l'avènement de l'ère informatique et à la suprématie de l'intelligence artificielle au détriment de la réflexion humaine et de son cheminement plus lent mais régulier au regard des règles fondamentales de l'univers... Par le biais du flower power, il a été possible de construire et d'expérimenter un modèle qui est aujourd'hui utilisé chaque fois que les "princes" de ce monde souhaitent mettre la main sur un pays ; depuis les révolutions des fleurs, des couleurs et enfin des printemps arabes. 

Sur d'autres plans, le sabotage spirituel est toujours un ingrédient incontournable et la recette de l'obscurantisme religieux est souvent de la partie. Pour ceux qui étaient déjà là, on se souvient, dans les années 50 et 60, de l'invasion en Occident des gourous et autres maîtres spirituels (aujourd'hui ascensionnés) qui, en plus de détruire les bases de la conscience propre à un individu dans le sens spirituel, est à l'origine de l'engouement actuel des postures inspirées de l'advaita védânta qui prône la non-dualité mise à toutes les sauces New Age avec en prime l'amour universel qui consiste à aimer tout le monde, cela revient à n'aimer personne finalement. La mission est donc accomplie. Il est urgent de dire que cette posture est une bénédiction pour ceux qui souhaitent prendre le contrôle pendant qu'une partie de l'humanité attend l'illumination dans la position du lotus. Il est aussi important de dire (comme un malheur n'arrive jamais seul), que tout cela a été savamment orchestré par des créatures comme Aldous Huxley lui-même converti au védânta dans l'attente de l'avènement de son meilleur des mondes. Nous y sommes presque...

La clef de toute cette formidable organisation inhumaine est sans aucun doute la cybernétique qui a justement vu le jour à la fin de la dernière guerre mondiale, mais qui a été conceptualisée par les promoteurs de l'eugénisme aux 19e siècle.

Il semble clair que les scientifiques nazis de l'opération, "paperclip" ont été particulièrement actifs dans la mise en place de cette nouvelle science inhumaine qui est directement associée à la robotique et à la micro-informatique. Aujourd'hui, il faut y ajouter le transhumanisme qui est le monstre né de cette prétendue évolution. Autrement dit, la cybernétique est venue pour que les prédateurs de l'espèce deviennent les dieux que le pouvoir de l'argent leur fait croire qu'ils sont. Mais pour cela nous devons disparaître.

Il me semble évident que l'emprise sur le monde et sur la conscience humaine est d'ordre cybernétique et que cette approche permet de mieux comprendre les véritables objectifs des "marionnettistes" au pouvoir actuellement. On comprend alors leurs intérêts pour les terres rares sans lesquelles l'intelligence artificielle ne fonctionne par, enfin ! pas encore...

Il est question dans mon ouvrage d'une nouvelle chute du genre humain au moins aussi grave que celle qui a précipité l'humanité dans les affres de la dualité et du matérialisme égotique sous l'impulsion des fameux archontes, créateurs de l'ADAM selon la gnose mais aussi responsables de la chute dans la dualité et les affres du jugement dernier.

À Sumer, ils étaient appelés les Anunnakis ; chez les hébreux : les Elohim ; chez les Grecs : les Titans, etc...

L'outil pour parvenir à cette chute new look est la cybernétique qui consiste à contrôler les entrées et les sorties d'une boîte noire, qui est la version métaphorique cybernétique d'un groupe humain ou plus largement d'un peuple entier... De là découle la modélisation des comportements des sujets d'études et, ensuite, il est possible de créer des algorithmes informatiques capables de donner des réponses et des stratégies afin de parvenir à la modélisation des peuples ; ceci dans le but de les contrôler, puis finalement de les soumettre à des situations le plus souvent délétères pour leur intégrité. Derrière l'aspect idéal de toutes les innovations qui découlent de la stratégie cybernétique, il faut voir les officines des cercles noirs pour qui l'humanité n'a jamais été autre chose qu'une masse laborieuse destinée à servir leurs objectifs de domination et de prédation.

La génération hippie a été, sans aucun doute, le prototype de la "schizophrénisation" des générations actuelles afin de conduire l'humanité à son obsolescence annoncée, et aussi pour qu'elle accepte son sort avec la passivité d'un lobotomisé à la mode New Age. 

La seule alternative au chaos est de connaître la véritable trajectoire et le vrai projet des illusionnistes au pouvoir sur la planète.

Le nouvel ordre noir planétaire refermera définitivement les portes des enclos pour conduire l'humanité dans un univers sans issue et sans possibilité d'échapper au funeste destin d'espèce déchue. Préparons nous c'est pour bientôt. [...]

Tous les programmes informatiques sont construits comme des incantations magiques, mais seuls les commanditaires détiennent le sens kabbalistique de l'affaire et, c'est le moins que l'on puisse dire, dans ces opérations ils excellent. L'homme, lui, utilise les merveilleux avantages de la machine ordinateur comme une bénédiction apportant selon lui la preuve manifeste de sa supériorité sur tout le reste de la création. L'orgueil et l'hyper-ego se portent aujourd'hui aux cous comme un bijou précieux. Or l'humanité ne cesse de se déchirer avec en toile de fond les vieilles religions d'un autre temps. Temps déjà révolu par la cybernétique. (L'homme ignore qu'il n'est pour rien dans la redécouverte de ces merveilleuses inventions, tout comme l'homme ignore la vérité sur l'origine des dieux qu'il adore.)

La seule chose qui a été utilisée par les psychopathes aux commandes pour s'assurer les services de l'ADAM, c'est justement l'énergie vitale de ce dernier. Voilà encore une autre raison pour laquelle il est demandé à l'homme de donner son sang. Qui donne son sang donne son énergie vitale, la bonne cause n'est pas suffisante. Celui qui travaille pour une cause mortifère donne son énergie vitale à cette entreprise et accepte par la même occasion son emprise. Chaque homme qui participe à des horreurs pour un salaire en payera le prix dans sa conscience, car il participe à nourrir les trames rétrogrades en action, sous prétexte qu'il a lui aussi besoin de se nourrir : le loup dévore l'agneau, mais les prédateurs de l'espèce se nourrissent des deux. Il n'y a donc pas d'échappatoire à moins de recouvrir la mémoire et la vision.

L'homme ignore que des créatures sont à l'œuvre pour recouvrir leur statut de démiurges et reconstruire leur éden sur une haute montagne, conformément aux temps des origines où l'on vendait de l'homme à la criée, et où le sang humain était l'ambroisie utile au maintien des démiurges visiteurs du temps en transit sur le plan de la manifestation terrestre. 

Les nouveaux dogmes pour le transfert de la conscience humaine dans une matrice cybernétique sont en cours de téléchargement, l'avènement du messie cybernétique est l'Antéchrist annoncé par les clairvoyants de toutes les époque de notre manifestation...

La bête cybernétique c'est notre affaire à tous.

La Conspiration Cybernétique” s'inscrit dans un travail général sous le nom générique de "l'humanité rétrograde" pour faire écho à la malédiction qui s'installe comme l'inévitable destinée de l'Humanité. Humanité devenue une "sous-humanité" réduite à des codes numériques issus de la cybernétique, nouvelle bible d’un autre genre post-humain. Cet arsenal prend sa source dans les méandres d’une lointaine histoire inhumaine incarnée dans une clique de prédateurs toujours en quête d’un retour à la vie éternelle. Cela se manifeste aujourd’hui par la mise en œuvre d’un formidable plan régit par le mensonge, la cupidité, le crime et l’usage intempestif de tout ce que la science peut engendrer de pire. La victime est sans aucun doute la planète et tout ce qui vit dessus y compris le genre humain. Le polymorphisme satanique est l’apanage entre tous de cette engeance violente, criminelle et psychopathe à l’œuvre depuis les temps immémoriaux dans les basses fréquences des zones rétrogrades. Aujourd’hui, l’épicentre moderne de la pègre mentale s’est transmuté en "cyberterroriste" installé dans la tiédeur des laboratoires de recherches tous azimuts de Palo Alto, cette ville californienne proche de San Francisco.

A la violence prédatrice “Cybertronique”, il est vital d’opposer la contre violence comme un pied de nez à la contre culture et aux lobotomisés du lâcher-prise New Age. La contre violence implique une véritable action pour survivre à cette fin annoncée fort, bien trop fort, par les principaux bénéficiaires du crime, cela démontre si l’on veut bien entendre et voir que l’effondrement de leur Babylone est en cours.

La meilleure posture est de faire table rase de l’illusion qui enfume le chercheur de vérité. Pour ce faire, il est capital de voir derrière les écrans de fumée et de mettre en lumière les ventres mous qui prospèrent par la supercherie et l’illusionnisme, bien plus que par la science dont ils se targuent d’être les représentants infaillibles à l’image des anomalies prédatrices en question. Leur présence dans toutes les instances des structures occultes et de l’organisation humaine nous invite à les reconnaître pour ce qu’ils sont et non plus pour ce qu’ils voudraient nous faire croire qu’ils sont. L’objectif et de les montrer au grand jour afin que le monde puisse bien voir leur vraie nature. Aujourd’hui, les masques tombent les uns après les autres car l’âme humaine a devant elle la plus formidable des victoires à prendre pour son retour à la vraie vie.

Il est temps de passer en revue les personnages impliqués dans la promotion et la réalisation d’un plan qui aujourd’hui n'est plus ignoré. Il ne s’agit pas d’une réalisation à valeur scientifique, cela va de soi si l’on considère que la science moderne sert le plan délétère à l’oligarchie rétrograde. Il s’agit d’un travail qui s’inspire de perceptions personnelles recoupées avec des faits réels et historiques puisés dans les livres anciens, chez les occultistes éclairés de tout temps, mais aussi en provenance des informations transitant par l’internet et l’information journalistique alternative et classique. La mise en perspective et en évidence d’une multitude de connexions et d’inter actions entre les tenants et les aboutissants de l’aventure humaine de ces 200 dernière années démontre que la mémoire nous fait défaut.

Plus rien ne doit nous faire ignorer que des prédateurs nous sirotent la cervelle comme des cocktails pris au bord d’une piscine remplie du sang de l’humanité. Les prédateurs ont besoin de sang et d’énergie humaine il faut le savoir pour leur couper les vivres et sortir de l'enclos. »

Sinouhé l'ARTISTE






mardi, novembre 06, 2012

Le réchauffement climatique et la Rose-Croix




« Le réchauffement climatique aux USA. Il donne lieu à un rapport catastrophique ; au même moment EXXON mobil (25 milliards de CA) veut minorer l’importance de ce réchauffement. Pour cela elle trouve un scientifique, Patrick Michaels, qu’elle paye pour exprimer partout, partout le fait que seul l’antarctique se réchauffe et que la terre refroidit (livres, interventions télévisuelles, conférences à la demande). Elle rétribue des groupes de lobbying (40), de chercheurs, de médias pour faire pression sur l’opinion. » Chomsky et Compagnie.

Patrick Michaels, climatologue corrompu, ment comme un arracheur de dents. La terre se réchauffe. Mais, contrairement à ce que l'on nous dit, les activités humaines ne seraient pas totalement en cause.

Dans les années 1950, les initiés d'un ordre Rose-Croix répandaient d'étranges rumeurs. Avant la première conférence des Nations Unies sur l'environnement humain (Stockholm, 1972), qui a soulevé pour la première fois la question du changement climatique, ils affirmaient que la terre se réchauffe et l'amplification du phénomène provoquera de plus en plus de cataclysmes. Les rosicruciens précisaient que l'origine du réchauffement ne se situe pas sur terre mais dans l'espace.

Van Rijckenborgh, grand maître de la Rose-Croix d'Or, alerta ses disciples en ces termes :

« Ce qui se déclenchera d'abord, c'est une série de cataclysmes. Comme vous le savez peut-être par notre littérature, il existe ce qu'on appelle la plus haute sphère de chaleur. Elle se trouve au-dessus de l'ionosphère et entoure spécialement le champ de vie terrestre. Cette sphère de la plus intense chaleur correspond au stratum de feu situé sous la croûte terrestre. La conséquence logique des tensions accumulées dans cette sphère d'intense chaleur, c'est que toutes sortes d'explosions se préparent, tremblements de terre et autres calamités du même genre, qui se produiront par la suite. Elles concerneront le monde entier : nulle contrée ne sera préservée et l'aspect du monde s'en trouvera modifié. […]

Tous les peuples de la terre vont vers l'hystérie. Sur le plan psychologique, une intense chaleur s'est développée, toujours plus intense, une chaleur de crise, la chaleur de la fin. […]

L'humanité, surtout durant ces dernières décades, s'est battue à satiété. Elle a ensuite inventé des moyens de destruction si terribles qu'elle-même en est effrayée. Le monde entier frémit à la pensée d'une guerre atomique, car, chacun le sait, le recours à l'énorme puissance des armes nucléaires entraînera son anéantissement.

Mais pensez à ceci : entre-temps l'humanité a tellement délabré l'économie de la nature, et la crise se traduit actuellement par un tel état de tension, que la nature elle-même commence à réagir, tout comme le corps humain se rebelle lui aussi, lorsqu'il subit pendant longtemps un traitement à contre-sens. Le moment de la crise coïncide en ces jours avec la fin de cette période, ce qui est parfaitement compréhensible, vu le rapport indéfectible qui existe entre toutes les lois naturelles. »

Par ailleurs, Van Rijckenborgh révéla l'existence d'un plan visant à établir la dictature mondiale des loges occultistes. Il disait à qui voulait l'entendre :

« On mettra en scène ni plus ni moins que le Grand Retour du Seigneur, tel qu'il est dépeint dans les diverses prophéties apocalyptiques. Cette représentation minutieusement préparée sera accompagnée de phénomènes prodigieux de nature scientifique naturelle. Elle englobera le monde entier, troublant jusqu'à la moindre place. Chacun pourra être témoin et pensera : « Le Seigneur vient dans les nuées du ciel, avec tous ses saints anges ! »

Ensuite une intervention aura lieu dans le système gouvernemental de tous les pays et un gouvernement mondial sera instauré. »

(Jan Van Rijckenborgh, Démasqué.)


lundi, novembre 05, 2012

La franc-maçonnerie, de Poncins, Guénon et Evola


Léon de Poncins, l'ennemi des sociétés secrètes mondialistes, était-il disciple de René Guénon et de Julius Evola ?


« Descendant d'une famille de parlementaires anoblis en 1696 le vicomte (de Montaigne) de Poncins (1897-1976) était un fervent catholique qui connut un certain succès dans les années 1930 (plusieurs de ses ouvrages furent traduits notamment en anglais, en italien et en espagnol). Léon de Poncins explique la plupart des grands bouleversements politiques et révolutionnaires de la modernité par l'action de courants issus de certaines sociétés secrètes porteuses d'une "foi" opposée à celle du Christianisme : il vise notamment des mouvements révolutionnaires, juifs, sionistes ou autres, ainsi qu'une "guerre secrète" dirigée par une "foi" de nature diabolique. »

Wikipédia



« Les Éditions Pardes ont publié en 1987, écrit Jean Vaquié, sous le titre Ecrits sur la Franc-Maçonnerie, un recueil contenant huit articles de Julius Evola. Ces huit articles sont de parution ancienne puisqu'ils s'échelonnent entre 1937 et 1942. Selon la présentation qui en est faite au dos de la couverture, ils «ne relèvent ni de l'apologie, ni du dénigrement systématique... ils se veulent une contribution à l'étude d'un domaine initiatique».

Le recueil ainsi constitué contient plusieurs appendices dont l'un s'intitule « Léon de Poncins, un Contre-Révolutionnaire Intégral ». C'est ce travail qui va retenir notre attention. Cet exposé, d'ailleurs très dense et renseigné avec soin, se termine ainsi :

« Au terme de cette trop brève étude sur Léon de Poncins, nous avons le sentiment que les éléments réunis ici sont suffisants pour déplaire, sinon à tous, du moins à beaucoup. Les intégristes n'apprécieront pas que nous ayons exhumé des textes d'un de leurs auteurs de prédilection (officiellement, en tous cas) où il est très favorablement question de Guénon. Ces textes, nous ne les avons pourtant pas inventés, et il suffit d'aller les consulter là où c'est possible, dans les bibliothèques.

« Seul Tempête sur le Monde (l'un des tous premiers livres de L. de P.) a été utilisé ici, mais le lecteur intéressé pourra facilement trouver d'autres livres de Léon de Poncins où abondent les références à Guénon. Dérangeant pour certains, un rappel de ce type montre en fait que, derrière l'inévitable étroitesse ou insuffisance des travaux d'un archiviste ou d'un documentaliste de la subversion il y avait un homme possédant une solide formation doctrinale, capable de prendre du recul par rapport à l'événement et de
regarder loin ».

Cet homme « possédant une solide formation doctrinale et capable de regarder loin », c'est Léon de Poncins. Tout l'ensemble du chapitre nous le présente comme "regardant loin" parce qu'il n'a pas craint de puiser sa doctrine "contre-révolutionnaire intégrale" à la source des écrits de Guénon dont il a su prévoir le grand retentissement. Bref on nous en fait un disciple de Guénon. Mais aussi un disciple d'Evola auquel il eut également recours et qu'il cite longuement.

Il y a là une erreur d'appréciation que nous voudrions corriger. Et si nos amis de Chiré m'ont demandé de rédiger une note rectificative, c'est parce que j'ai moi-même fréquenté Léon de Poncins pendant de nombreuses années, travaillant avec lui sur les mêmes sujets. Je connais donc bien son jugement sur R. Guénon et sur J. Evola. Et je dois dire tout de suite qu'il aurait été très désagréablement surpris à la lecture de l'appendice qui termine le recueil que nous venons de désigner. Et il n'aurait pas manqué, j'en suis certain, de rédiger lui-même une "note rectificative", qui aurait peut-être été plus complète mais qui n'aurait pas été substantiellement différente.

Replaçons-nous donc par la pensée dans les conditions où se trouvaient les intellectuels "nationaux" et catholiques pendant la période qui est délimitée approximativement par les dates de parution des articles de J. Evola qui font l'objet du recueil des Editions Pardès, c'est-à-dire de 1937 à 1942. La doctrine de R. Guénon possède, comme toutes les doctrines fortement homogènes et très élaborées, une partie critique et une partie constructive. Ce penseur, comme bien d'autres, s'élève contre une certaine forme de la société avant de proposer un système de remplacement. On avait vu de même, au XIXe siècle, Karl Marx procéder à la critique du capitalisme avant d'édifier le système collectiviste destiné, dans son esprit, à le remplacer.

La Critique que R. Guénon adresse au monde moderne est double. Il lui fait deux procès distincts. Le premier vise le matérialisme de la société contemporaine. Le second a pour objectif une certaine forme de spiritualisme dont elle s'imprègne rapidement. Reprenons séparément ces deux griefs en essayant de définir leurs fondements bphilosophiques dans la doctrine guénonienne.

R. Guénon reproche au monde moderne son matérialisme et sa désacralisation. Et il les explique ainsi. Il écrit que le monde moderne est le siège d'une véritable solidification. D'où provient cette solidification? Si le monde se solidifie c'est parce qu'il est parvenu à la fin d'un cycle cosmique. Au début de chaque cycle l'univers apparaît dans un état à prédominance spirituelle et sacrale. Puis il va en se dégradant, c'est-à-dire en se déspiritualisant et donc en se matérialisant. De sorte qu'à la fin du cycle, quand arrive l'âge final appelé âge sombre l'univers est dans un état de matérialisation irréversible. Tel est précisément le stade qui est atteint par notre monde moderne. Il est voisin de la solidification. C'est la désacralisation matérialiste qui y prédomine, d'où son hyper-technicité, son mercantilisme et son collectivisme massifiant. Tels sont les grands traits de la construction guénonienne en ce qui concerne la critique du monde moderne.

En même temps qu'il s'élève contre le matérialisme, R. Guénon fait le procès d'une certaine forme de spiritualisme. Il a en vue un faux spiritualisme qui se présente sous deux formes : la théosophie et le spiritisme, lesquels font l'objet de deux ouvrages différents : Le Théosophisme, Histoire d'une Pseudo-Religion (1921) et L'Erreur Spirite (1923). Ces deux ouvrages figurant parmi ses tout premiers livres. C'est par eux que le public catholique a commencé à connaître Guénon.

R. Guénon explique que ces deux faux spiritualismes en pleine expansion sont de faux antidotes au matérialisme moderne. Ils ne sont que des caricatures du vrai spiritualisme que lui-même se propose d'exposer longuement dans ses travaux ultérieurs. Le "vrai spiritualisme" de René Guénon s'inspire de ce qu'il appelle la "Grande Tradition Universelle et Primordiale" dont nous verrons plus loin quelle est la véritable valeur. On comprend très bien de la part de Guénon, cette critique préalable. Elle était destinée à faire place nette. Il était nécessaire en effet qu'avant de répandre son propre système spiritualiste, Guénon règle leurs comptes aux deux faux spiritualismes qui constituaient ses deux principaux concurrents à savoir la théosophie et le spiritisme. Et il faut reconnaître que son éreintement fut magistral. Il les a fait taire pour de nombreuses années. Devant cette critique du monde moderne dans son matérialisme et dans les
faux spiritualismes, les nationaux, et parmi eux les catholiques, furent très admiratifs. Pouvait-on souhaiter un auxiliaire plus avantageux que l'auteur de ces deux livres magistraux ? Voilà un homme qui s'attaque simultanément à la dégénérescence matérialiste et à l'invasion de l'occultisme hindouisant lesquelles constituent précisément leurs deux adversaires les plus redoutables. Et cette attaque, il la fonde sur "la Tradition", ce qui n'était pas non plus pour leur déplaire, si du moins ils n'étaient pas trop regardants quant à la définition de cette tradition. Le mot de "tradition" en effet exerçait déjà, sur les nationaux et les catholiques, son effet de prestige et d'autorité. Effet psychologique vague mais puissant qui reste encore actuel et que nous connaissons bien.

Il faut reconnaître que, si les écrivains catholiques et leurs conseillers théologiques de l'époque avaient étudié avec plus de soin les fondements de la fameuse "tradition universelle" au nom de laquelle Guénon prononçait son réquisitoire contre le matérialisme et contre les pseudo-spiritualismes", ils auraient constaté que cette prétendue tradition n'était pas autre chose que le védantisme, lequel diffère essentiellement de la Tradition apostolique dont l'Eglise est "gardienne et maîtresse" (custos et magistra) et qu'eux-mêmes étaient censés défendre.

On voit que les positions relatives des doctrines en présence étaient assez mal définies. Cette imprécision générale était due au fait que Guénon, finalement, avançait masqué. Il avait ouvertement fait la critique du monde moderne, mais on ne connaissait la partie positive de ses doctrines que par des ouvrages assez énigmatiques et d'accès difficile qui étaient lus seulement par ceux que l'on appelait alors les occultistes et qui allaient devenir, après la guerre de 39-45, les "ésotérites".

Quoiqu'il en soit de ces incertitudes, ce qui est sûr c'est que L. de Poncins n'a utilisé que la partie critique de l'œuvre guénonienne. Il est facile de constater qu'il ne lui a emprunté que ses griefs contre le monde moderne. Griefs que Guénon avait en commun avec les nationaux et les catholiques, et qu'il exprimait seulement d'une manière un peu différente. Jamais Poncins n'a rien puisé dans la construction hindouiste ou islamique de Guénon, dans ses développements ésotériques et gnostiques bien qu'ils constituent la part la plus importante et la plus essentielle de son œuvre. On peut affirmer que L. de Poncins a ignoré le guénonisme.

Il est un point de doctrine tout à fait capital qui permet de constater la pleine liberté et l'indépendance d'esprit que L. de Poncins a conservé à l'égard de Guénon. C'est le jugement porté, par l'un et par l'autre des deux hommes, sur la maçonnerie spiritualiste. Comment cette question se pose-t-elle ? Voyons d'abord le point de vue de Guénon et ses fondements philosophiques ou plutôt historiques.

La thèse de Guénon était celle-ci. Il acceptait la distinction que les maçons établissent eux-mêmes entre, d'une part les loges rationalistes et athées et d'autre part les loges spiritualistes. C'est une distinction tout à fait classique dans la maçonnerie. Mais Guénon considère que la filière initiatique est irréprochable dans l'une et l'autre maçonneries. Dans les deux cas l'initiation, qui est conférée, présente les indispensables caractères d'archaïsme. Dans les deux branches, l'origine de l'initiation se perd dans la nuit des temps, donc elle est de fondation "non-humaine". Par conséquent, pour Guénon, dès lors que la loge est "régulière" et que les rites sont rigoureusement respectés, l'initiation maçonnique est authentique et il n'y a pas lieu de distinguer entre maçonnerie rationaliste et maçonnerie spiritualiste.

D'après Guénon, ce qui est répréhensible, dans les loges rationalistes et athées, ce n'est pas l'initiation, c'est l'enseignement doctrinal. On y impose une orientation de type encyclopédique, révolutionnaire, scientiste et matérialiste. C'est cela qui est mauvais, très mauvais même car les loges rationalistes, qui ne reconnaissent pas de Dieu, en arrivent à accélérer la "solidification" du monde. Mais la régularité de l'initiation est inattaquable nonobstant les doctrines erronées qui l'accompagnent.

Les loges spiritualistes, au contraire, toujours d'après Guénon, sont irréprochables autant pour leurs doctrines, qui sont de nature religieuse, que pour leur initiation qui est d'origine immémoriale et donc non-humaine. On comprend dès lors que R. Guénon se soit toujours trouvé en accord fondamental avec la maçonnerie spiritualiste. Il en a fait partie et il y a toujours conservé des amis, des défenseurs et même des disciples nombreux.

Ainsi peut-on résumer la doctrine de Guénon concernant la maçonnerie. Mais il est bien évident qu'il s'agit là d'un schéma. La distinction des deux courants philosophiques n'est contestée par personne, dans son principe, mais dans la pratique elle ne se présente pas toujours d'une manière tranchée. Car, du fait de sa tolérance, la maçonnerie abrite des tendances très diverses et très nuancées.

Voyons maintenant le point de vue de Poncins. De même qu'il avait appelé nGuénon à l'aide contre le monde moderne, il aurait pu le citer aussi dans ses développements contre la maçonnerie rationaliste qu'il combattait comme lui. Mais il s'en est bien gardé. Poncins engloba toujours dans la même réprobation les loges athées et les loges théistes dans lesquelles il ne percevait qu'une habile répartition de la clientèle. De fait, contrairement à Guénon, Poncins a toujours été détesté dans l'un et l'autre courants maçonniques. Il a été combattu par la maçonnerie toutes tendances confondues. Et cela essentiellement parce qu'il n'y a jamais été considéré comme un disciple de Guénon si peu que ce soit.

Mais alors pourquoi L. de Poncins, qui vouait aux deux courants maçonniques une détestation égale, n'a-t-il pas combattu la religion gnostique élaborée par les loges spiritualistes avec la même ardeur qu'il mettait à critiquer les doctrines révolutionnaires des loges athées? Pourquoi s'en est-il tenu à dévoiler les menées anti-nationales de la maçonnerie rationaliste et socialiste ? Il y a là une objection que j'ai quelquefois entendu formuler et à laquelle il faut répondre.

Notre "ami était parfaitement conscient de la nécessité du combat dans l'ordre religieux. Il savait très bien que si l'ordre temporel était attaqué, l'ordre spirituel l'était aussi. Et s'il ne s'est pas lancé lui-même expressément dans la défense de l'Église c'est pour deux raisons.

La première vient de ce qu'il avait reçu, de la part de plusieurs ecclésiastiques, le conseil pressant de se tenir à l'écart des discussions religieuses pour lesquelles, lui disait-on, il n'avait ni compétence ni autorité. Il s'abstint donc, réservant son activité aux limites du temporel. A eux seuls les titres de ses livres témoignent de la sectorisation qu'il s'imposa. Citons par exemple La Franc-Maçonnerie contre la France. Il n'a rien écrit sur la maçonnerie contre l'Eglise. L'un de ses premiers livres avait été La S.D.N., Super-Etat Maçonnique. Et jamais il n'a traité le sujet de la maçonnerie comme Super-Eglise. Il laissait au clergé, qui paraissait encore à cette époque bien charpenté et bien décidé, le soin de défendre la cause religieuse. La répartition des tâches semblait logique.

La seconde raison pour laquelle L. de Poncins s'abstint longtemps d'attaquer la maçonnerie sur le terrain spiritualiste et religieux c'est l'existence, à Paris, d'un organe spécialisé : la R.I.S.S (Revue Internationale des Sociétés Secrètes) de Monseigneur Jouin. Poncins entretenait avec lui d'excellents rapports. Mais il était parfaitement conscient qu'une revue, consacrée à la publication de documents maçonniques et occultistes s'exposait en permanence à se laisser circonvenir par des agents de toutes sortes. Je lui ai souvent entendu exprimer quelques réserves de détail. Dans l'ensemble cependant il était très élogieux non seulement pour Mgr Jouin lui-même mais aussi pour la majorité de ses collaborateurs.

Ces deux raisons font qu'il n'éprouva nul besoin de se lancer en personne dans la défense de la vraie Religion, ni contre les attaques directes des rationalistes, ni contre les attaques indirectes des spiritualistes néo-gnostiques. Il fallut la crise conciliaire pour que L. de Poncins abandonne la discipline qu'il s'était imposée. A partir de ce moment, les pressions judéo-maçonniques pour faire dévier l'Eglise devinrent si fortes et la défense de l'orthodoxie par des religieux spécialisés ou non, se révéla si déficiente et même si inexistante qu'il se sentit obligé d'entrer personnellement dans l'arène.

Deux ouvrages témoignent de cet élargissement de son action au domaine religieux de la maçonnerie spiritualiste. Pendant le Concile, il publia et distribua Le Problème des Juifs au Concile. Puis en 1970, aux éditions de l'Ordre Français, il fit paraître un ouvrage très clair et très solide : Christianisme et Franc-Maçonnerie (1970), dont il existe une réédition à la D.P.F. de Chiré en 1975. Livre dans lequel nous recommandons le chapitre VII qui a pour titre « La théologie occulte et l'influence gnostique ». Tout cela aurait-il pu être écrit par un disciple de Guénon ? On voit qu'il aurait été aussi compétent en matière spirituelle qu'il l'avait été en matière temporelle si les deux circonstances que nous venons de relater ne l'avaient arrêté.

Pour nous résumer sur les rapports de Poncins avec Guénon, nous pouvons dire ceci. Avant la guerre de 39-45, pendant les années de lutte de toute la Droite contre les "menées anti-nationales" comme l'on disait alors, L. de Poncins avait fait appel à quelques citations de R. Guénon pour renforcer, par un témoignage extérieur, son argumentation contre le monde moderne. Mais quant à se nourrir de la doctrine guénonienne, il en était très loin. Bien sûr, il lisait ces livres-là quand il en apercevait de nouveaux dans les devantures des librairies, mais il ne les recherchait certes pas. Il les trouvait d'ailleurs parfaitement indigestes et il avait du mal à les finir. Son aversion pour l'auteur allait en grandissant.

Il finit par exploser littéralement à la lecture du Règne de la Quantité et les Signes des Temps. C'était en 1945. Il m'avait demandé de lui prêter mon exemplaire et nous avions convenu que je passerai le reprendre à l'hôtel de la rue Jacob (non loin de la rue des Saints-Pères) où il descendait presque toujours quand il venait à Paris. Il me le rendit avec des commentaires tout ce qu'il y a de plus désapprobateurs. Et il me confia même qu'il était furieux contre Guénon qui finalement, l'avait trompé.

Depuis la lecture de Règne de la Quantité L. de Poncins n'eut plus le moindre doute sur l'affiliation initiatique de R. Guénon puisque son discours différait si peu de celui des maçons spiritualistes.

Demandons-nous maintenant quel type de relations L. de Poncins a bien pu entretenir avec Julius Evola et avec son oeuvre. Ces relations ont suivi le même schéma qu'avec Guénon, malgré une petite différence d'ordre personnel que nous noterons au passage. Pour comprendre les rapports des deux hommes, il faut savoir qu'il existait deux Evola dans le même personnage. Il y avait un Evola exotérique, c'est-à-dire politique et un Evola ésotérique, plein de sousentendus d'ordre religieux.

L'Evola exotérique est l'ami de l'ordre. C'est le contre-révolutionnaire. C'est l'homme politique. Et c'est à lui que L. de Poncins demandait, pour sa revue (Contre-Révolution, Revue Internationale d'Etudes Sociales, Paris.), des articles comme par exemple celui de décembre 1938 : « Technique de la Subversion » ou « Les instruments de la Guerre Occulte », dans lequel il nous décrit l'action de ce qu'il appelle « les forces secrètes de l'anti-tradition », forces secrètes qui ne sont pas autre chose que les loges rationalistes, athées et révolutionnaires. On retrouve la même position que chez Guénon (note de Bouddhanar : selon Guénon, les forces secrètes qui œuvrent à l'avènement de la contre-tradition sont d'une nature beaucoup plus redoutable que de simples idées révolutionnaires, rationalistes, athées...). Même position aussi en ce qui concerne les "faux spiritualismes" que J. Evola décrit dans son livre Masques et Visages du Spiritualisme Contemporain (Editions de l'Homme). Avec cet Evola exotérique, Poncins, incontestablement se plaisait, alors que le personnage de Guénon ne l'a jamais séduit. Et il est tout à fait exact qu'il admirait beaucoup la force de caractère et le stoïcisme d'Evola et qu'il aimait à lui rendre visite à Rome dans la vieille maison paternelle où il était né et où il devait mourir.


Mais il y avait aussi un autre Evola, celui qui cultivait l'ésotérisme graalien, gibelin et aussi bouddhiste, celui qui est devenu l'un des grands doctrinaires de la nouvelle gnose, avec des ouvrages comme Chevaucher le Tigre (à la Colombe), La Métaphysique du sexe (chez Payot), Le Mythe du Graal et l'Idée Impériale Gibeline (Éditions Traditionnel-les), La Tradition Hermétique (également aux Éditions Traditionnelles), Le Yoga Tantrique (chez Fayard), La Doctrine de l'Éveil (chez Arché-Milano).

Cet Evola ésotérique, je puis dire que Poncins a voulu l'ignorer et, à cause de son amitié pour l'homme, il souffrait mal qu'on lui en parle, ce qui prouve qu'il situait très exactement l'œuvre. Il était totalement imperméable à ce genre de raisonnement. C'est une pensée qui lui était tout à fait étrangère. Il ne lui a jamais rien emprunté. Il n'a pas subi son influence. Mais en mesurait-il la nocivité ? Je le crois, car il se fermait dès que l'on commençait à lui parler de l'ésotérisme d'Evola. Finalement, il avait été trompé par lui comme par Guénon, mais il avait mis beaucoup plus longtemps à en prendre conscience.

Nous terminerons cette "note rectificative" par la conclusion suivante. On serait totalement dans l'erreur si l'on prétendait situer Léon de Poncins dans la mouvance de R. Guénon et de J. Evola. Maintenons, car telle est la vérité, qu'il appartient pleinement à l'École du légitimisme classique. »

Jean VAQUIÉ





de Julius Evola

La Franc-Maçonnerie revient souvent au premier plan de l'actualité, si bien que plus personne ne peut ignorer quelle influence elle exerce sur la vie politique, locale et nationale. On n'a pas oublié les activités de la " Loge P. 2 ", en Italie, et, en France, on se rappellera les affaires autour du tribunal de Nice. L'opinion publique a ainsi été amenée à s'interroger sur l'identité de la Franc-Maçonnerie, sur sa problématique fonction de société de pensée. Mais ce ne sont évidemment pas ces aspects que privilégie Julius Evola. Parus entre 1937 et 1942, ses huit articles ne relèvent pas plus de l'apologie que du dénigrement systématique. Abordant des questions comme le symbolisme maçonnique, l'illuminisme, la préparation intellectuelle de la Révolution française, l'arrière-plan de la guerre d'Espagne ou les rapports supposés de Descartes avec les Rose + Croix, ils se veulent à la fois une enquête historique et une contribution à l'étude d'un domaine initiatique. Ces articles d'Evola sont précédés d'une introduction de Renato Del Ponte, dans laquelle, notamment, il s'interroge sur la validité de la distinction guénonienne entre "initiation virtuelle" et " initiation effective ". De nombreuses notes historiques et documentaires, dues à Renato Del Ponte et au traducteur, complètent les articles. En fin de volume, figurent une biographie critique raisonnée, établie par Renato Del Ponte, et une étude du traducteur sur un "contre-révolutionnaire intégral", Léon de Poncins, auquel Evola lui-même se référait fréquemment. Voilà un recueil qui ne manquera pas d'intéresser le lecteur, spécialiste ou non de ces questions, désireux de réfléchir sur le rôle et le destin de la Franc-Maçonnerie.


dimanche, novembre 04, 2012

Programme Monarch & pédocriminalité





Délire paranoïaque ?

Comment présenter le Programme Monarch à tous ceux qui sont novices en matière de “conspirationnisme” ? 


Disons que Monarch est une série d'expériences de manipulation du comportement menées par une ou plusieurs agences de renseignements, laboratoires militaires ou section Delta qui forment la nébuleuse sécuritaire américaine.

Pour parler en termes encore plus précis, Monarch désignerait l'ensemble des techniques de conditionnements psychologiques destinés à créer de toutes pièces à partir d'un individu lambda, de préférence un enfant, un futur petit soldat qui répondra à tous les ordres, même les plus pervers. Monarch vise ainsi à créer, chez un même individu, différentes personnalités qui serviront différentes missions allant de l'assassinat, du trafic de drogue, à la prostitution, en passant par l'espionnage, etc. Chacune des personnalités ainsi programmées a sa mémoire propre, et ne communique pas avec les autres (sauf sous certaines procédures). Le réseau s'assure ainsi que la victime ne parlera pas puisqu'elle ne se souviendra de rien ou sera incapable d’interpréter les informations contenues dans “ses mémoires segmentées”.

Il n'empêche. Les victimes racontent toujours le même genre d'histoire : elles ont été utilisées dès l'enfance pour satisfaire les fantasmes et la lubricité de notables. Actes sexuels, mises à mort sacrificielles, séances de cannibalisme reviennent souvent à travers les témoignages…

Ces pratiques serviraient d'une part à compromettre et à acheter la fidélité des notables qui y participent. D'autre part, elles permettraient de générer sur les victimes un état de traumatisme qui aura pour effet de susciter l'apparition de ce que l'on appelle des personnalités multiples.

Ce conditionnement particulier s'exerce dès la naissance et implique généralement des familles de militaires, du renseignement, de policiers, de magistrats, du showbiz, mais aussi des familles très riches et très puissantes au sein desquelles les abus sont héréditaires. Ces familles forment un réseau mondial très puissant, fonctionnant comme une société secrète soumise à d'étranges rituels.

La réalité du programme

Contrairement au programme MK Ultra, il n'existe aucun projet portant le nom “Monarch” dans les archives “déclassifiées” de la CIA. On raconte que le terme “Monarch” désigne symboliquement ce fameux papillon de taille exceptionnelle qui passe de l'état de larve à un état plus achevé. Ce serait en quelque sorte le cas aussi pour les victimes de ce programme ! L'ancien sénateur du Nebraska mais aussi juriste et avocat, John De Camp, auteur d'une sérieuse enquête sur un réseau pédocriminel de type Monarch (the Franklin Cover Up) a interrogé son ami William Colby, ancien ponte de la CIA aujourd'hui décédé (dans de curieuses circonstances) et qui disait en 1992 : “Il n'y a pas de programme particulier appelé “Monarch”. “Monarch” est plutôt un nom que certains participants au programme ont donné pour se reconnaître entre eux – et ceux-ci n'en savent que peu de choses mise à part leur participation limitée…”.

Un peu d'histoire

Il convient de faire un petit retour en arrière et de décrire les informations incontestables sur le contrôle du comportement ; des informations qui ont pu être obtenues soit par le biais d'une enquête d'une commission parlementaire présidée par un des frères Rockefeller, soit par l'entremise de la loi sur la liberté de l'information (FOIA ; Freedom of Information Act) qui permet à tout citoyen US d'obtenir une déclassification des documents secrets de la CIA.

Il existe des documents officiels sur les expériences, les opérations clandestines et les tests cliniques réalisés dès 1943 par l'OSS, l'ancêtre de la CIA, sur les outils de modifications du comportement humain. Le but était alors de créer des méthodes d'interrogatoire alternatives à la torture, et qui aient des résultats moins aléatoires que les brutalités physiques ou psychologiques. D'autre part, des recherches étaient également faites pour mettre au point des drogues destinées à produire des super soldats, principalement dans l'aviation embarquée sur porte-avions, qui était plus que toute autre soumise au stress et aux fortes cadences. On faisait donc des recherches dans le domaine des super amphétamines de combat au même titre d'ailleurs que les Japonais (connues aujourd'hui sous les appellations de “Shabu” ou Ice) et les Allemands (benzédrine).

En ce qui concerne les techniques d'influence du comportement lors des interrogatoires, les Américains commencèrent d'ailleurs comme les Allemands à travailler sur la Mescaline, une puissante drogue hallucinogène qui ne donna pas de résultats fiables selon les experts de l'OSS. Ils se tournèrent alors par la suite sur le cannabis, plus exactement, une formule très concentrée de THC qui fut d'abord utilisée sous la forme d'une solution buvable puis en un spray qui imbibait des cigarettes. Les premières 
expériences furent tentées par les agents de l'OSS sur des membres de la mafia plus ou moins avertis du fait et qui travaillaient en collaboration avec les alliés sur un projet de débarquement et de libération de la Sicile. 

Ce n'est qu'après la fin de la guerre, une fois que les alliés eurent pris en main les médecins SS et les résultats de leurs expériences sur des prisonniers de camp de concentration, que la CIA passa à la vitesse supérieure. On était en pleine guerre froide, et la CIA s'adonna à des séries impressionnantes d'opérations tordues, et d'essais sur des civils non volontaires avec de nombreuses drogues, surtout le LSD et le BZ.

Ces recherches sur les modifications du comportement et le sérum de vérité prirent le nom de code générique de MK Ultra. Ce même LSD fabriqué par les sociétés pharmaceutiques Sandoz puis Eli Lilly fut déversé pratiquement sans contrôle sur les campus universitaires américains par la CIA dès la fin des années 50 et le début des années 60. De là à dire que le mouvement hippie fut une créature de la CIA, une façon commode de détourner les étudiants de la tentation gauchiste, il n'y a qu'un pas que certains auteurs comme Alex Constantine, Jim Keith, voire Martin Lee et Bruce Shlain (auteurs d'un passionnant “LSD et CIA ; quand l'Amérique était sous acide” aux éditions du Lézard) n'ont pas hésité à franchir. Quant au programme Monarch, il se révèle plutôt une opération tout à fait à part et indépendante, qui a bénéficié des recherches de MK Ultra mais aussi des progrès faits en matières d'implants et d'armes psychotroniques.

Monarch serait en réalité la création d'une double structure : le cartel militaro-industriel engagé dans la recherche militaire, la sécurité et les armées privées d'une part, et les illuminati d'autre part.

De fait, l'efficacité absolument remarquable de Monarch repose non pas sur l'usage d'une technique, mais bien sur une combinaison de techniques différentes. Selon certains

auteurs, certaines de ces techniques remonteraient d'ailleurs à l’Égypte ancienne et à Babylone… L'utilisation d'implants est également un thème récurrent dans le dossier
Monarch. 

À titre d'anecdote, il est étrange de constater que la société Mandex International, fabricante de la technologie employée par le système de cartes de crédit Master Card, a mis en place un projet d'implant universel avec la société VeryChips : le logo de ce nouveau projet d'implant est justement un grand papillon bleu de l'espèce monarque.

Que penser de tout cela ?

Le programme Monarch est-il une réalité ou s'agit-il d'un délire paranoïaque et conspirationniste !

À en croire certains chercheurs, un faisceau de présomptions laisserait penser que MK Monarch est fondé sur une réalité tangible. Jim Keith par exemple a mis en avant l'étrange passé psychiatrique et militaire de certains tueurs célèbres comme Oswald, Shirhan Shirhan, Jim Jones ou même Tim Mc Veigh. Peu avant son décès Bill Colby, s'est confié à De Camp et il semble que ses confidences attestent sans restriction de l'existence de l'opération Monarch mais pas sous cette appellation. En outre, les thérapeutes qui ont examiné les victimes sont formels pour affirmer que ces dernières ont bel et bien subi de profonds sévices sexuels. J'ai dénombré aux Etats-Unis une centaine d'associations ayant pour but de recueillir et d'aider les victimes de ce genre d'abus rituels. Étrange, cette 
profusion d'associations très sérieuses pour la plupart, consacrées à un phénomène qui n'existe pas... officiellement. Autre bizarrerie : des psychiatres se sont donnés la peine de créer une association, une sorte de lobby ayant pour but de prouver que le syndrome de personnalité multiple n'existe pas, et qu'il s'agirait en fait d'une triste maladie -le “false memory syndrom” (le syndrome des faux souvenirs). Ces gens ont pignon sur rue, de puissantes ramifications dans les universités américaines et tentent de devenir des experts incontournables dans les affaires de viols d'enfants qui viennent devant les tribunaux. 

Que d'énergie dépensée dans une affaire qui relèverait du pur fantasme (thèse prônée par une partie des experts psychiatres qui estiment que les réseaux pédophiles et les affaires de cultes sataniques et rituels divers n'existent pas !). C'est ainsi que le FBI a décrété officiellement, que les affaires de viols rituels ou sataniques, ayant pour cadre des réseaux structurés, relevaient de la légende urbaine, du fantasme de victimes en mal de démons imaginaires... Pourtant ces victimes existent.

Le phénomène est certes plus répandu et plus sophistiqué aux Etats-Unis. Toutefois, en Europe, des victimes apparaissent fugacement au détour de différentes enquêtes policières pour être très rapidement oubliées : au Portugal, en Italie ou en France, on a évoqué l'existence de ces réseaux recrutant leurs victimes dans des homes, des structures d'accueil de l'enfance défavorisée ou dans des familles très pauvres et impliquant des notables et des personnalités parfois de premier plan du gouvernement.

Les témoins "X" de l'affaire Dutroux

Un mois après l'arrestation de Dutroux et consort, se présentèrent tour à tour à la cellule d'enquête de Neufchâteau (chargée de l'affaire) une série de témoins, tous adultes, ne se connaissant pas entre eux, provenant des 4 coins de la Belgique, d'âge et d'origine sociale différents et qui désiraient conserver l'anonymat. Raison pour laquelle les enquêteurs, en l'occurrence des gendarmes, les baptisèrent les témoins "X", à savoir X1, X2, X3 etc... selon leur ordre d'arrivée. Les faits dénoncés par la plupart de ces témoins sont tellement horribles, tellement incroyables que même le plus ouvert des enquêteurs avait du mal à leur accorder du crédit. Il était question de cannibalisme, de mise à mort, de viols, de parties de chasse…etc, le tout se passant toujours dans des parcs, des châteaux, des grosses villas (dont certaines ont croyants et non croyants, entre ceux qui estimaient que les témoins X disaient la vérité, toute la vérité et ceux qui pensaient que ceux-ci relevaient plus de la psychiatrie.

Ces témoins X sont-ils crédibles ? Un premier constat s'impose : ils racontent le même genre d'horreurs que narrent les victimes américaines du projet Monarch. Certains psychiatres belges qui ont examiné ces victimes affirment qu'elles ne sont ni délirantes, ni en état de démence ou de déséquilibre mental. Les experts précisent qu'il est certain que ces personnes ont bel et bien fait l'objet de sévices graves dans leur jeune âge.

Il me semble inepte d'écarter ces récits parce qu'ils sont incroyables ou dérangeants. Ces dénonciations, et l'accumulation d'autres témoignages serviront peut-être de base pour nous expliquer une réalité dont nous n'avons aucune idée.

Un des gendarmes concernés par l'enquête Dutroux et qui a dénoncé certains des monstrueux dysfonctionnements qui paralysa l'enquête m'expliqua la chose suivante : "Il semble que certains des témoins X mentent, reconstruisent la réalité. Ce sont des taupes envoyées par on ne sait qui et dont les mensonges et contradictions peuvent facilement être démontrés. Ils ont pour effet de décrédibiliser les propos des autres témoins, de semer le doute et la confusion parmi l'opinion publique.”

Dimension satanique

Il y a derrière les opérations de Mind Control mises au point par des psychiatres de la CIA, et derrière les agissements d'une société secrète qui les gère, les Illuminati, une dimension satanique qui ne peut être passée sous silence. C'est difficile à croire, certes, mais les témoignages sont si nombreux, si concordants, si fouillés et si tenaces que l'on ne peut que constater la solidité du phénomène.

Certaines de ces programmations de personnalités sont d'autant plus puissantes qu'elles se fondent sur des outils technologiques sophistiqués combinant l'usage d'ordinateurs très puissants, d'ondes, d'hypnose, de tortures, etc. mais aussi de magie noire. Toutes ces allégations sont difficiles à croire, une fois de plus. L'important n'est pas tellement que nous y croyions, mais plutôt de savoir que les programmeurs de Monarch, et les Illuminati, y croient dur comme fer et qu'ils ont sans doute de bonnes raisons pour cela.

Par exemple, ils renforcent la programmation d'une personnalité en y adjoignant une entité démoniaque, un démon ou tout au moins en faisant croire à la victime que c'est le cas. Cela rend paraît-il la mise à jour de la personnalité, du programme et des codes déclencheurs extrêmement malaisée, voire parfois impossible, le “démon” ou esprit noir servant de “défenseur” au programme.

Doug Riggs, thérapeute, ancien séminariste à Richmond, affirme que la CIA s'est longuement intéressée au paranormal et aux entités démoniaques par le biais de recherches qui ont été effectuées par la Duke University mais aussi dans le cadre de l'opération Stargate (Grillflame, etc…) dont les attributions étaient plus étendues que les seules expériences réalisées sur le remote viewing, la vision à distance.

Selon les chercheurs, les “Illuminati” se serviraient de Monarch et des techniques de contrôle mental pour générer un chaos social en utilisant leurs “esclaves” dans divers secteurs : trafic de drogue, pornographie, assassinats sur commande, attentats suicides (pensez au exactions commises dans les prisons irakiennes, et le comportement des soldats américains prendra alors peut-être un tout autre sens), le but ultime de Monarch étant l'instauration d'un nouvel ordre mondial, une société totalitaire fondée sur le 
règne absolu d'une personne… l'Antéchrist. 

Le Dr Judianne Densen-Gerber, psychiatre, juriste qui a fondé l'association PACT (Protect America's Children Today), bien que "non mystique", arrive bon gré mal gré à cette conclusion. En mettant côte à côte les récits qu'elle a enregistrés afin d'arriver à en tirer une vision globale, elle n'a pu que conclure que toutes ces opérations avaient pour but 
de “générer un chaos global qui devra précéder l'arrivée de l'Antéchrist”. 

Pour Riggs, “le mystère ne réside pas tant dans la prise de pouvoir (des Illuminati) mais bien dans la manière dont ils veulent y arriver”, un modus operandi qui combine manipulations politiques, financières et sociales ainsi que l'usage de technologies extrêmement sophistiquées couplées avec des rituels religieux archaïques, un monde à la “Harry Potter” qui peut nous sembler pour le moins exotique et peu crédible et pourtant, cela fonctionne.

Typologie des victimes

Qui sont les principales victimes du réseau Monarch ?

D'après la majorité des auteurs et des témoins victimes, on peut finalement les classer en deux strates, deux groupes : un premier groupe d'enfants issus de milieux défavorisés, en rupture sociale dont la disparition ne soulèvera pas trop de questions. Ces enfants sont d'office considérés comme sacrifiables au cours des rituels, tortures et séances de mise à mort, chasses à l'homme, etc. Le deuxième groupe est constitué par les enfants des membres des familles appartenant aux tourmenteurs, aux programmeurs, aux abuseurs.

C'est donc au sein de ces groupes, à l'intérieur des familles que Monarch recrutera. Ou pour être plus exact, chacun des membres de ces familles a été conditionné, martyrisé, programmé dès la plus tendre enfance pour devenir ensuite un bourreau et un programmeur lui-même. Le trauma en guise de cadeau héréditaire et de rituel initiatique dans le but de créer des individus à personnalités multiples. C'est connu : un enfant victime d'abus, de violence a de fortes chances de devenir lui-même un abuseur, un tourmenteur à l'âge adulte.

Selon les prédispositions physiques, intellectuelles et le bagage génétique, les enfants seront programmés dans le but de remplir des tâches spécifiques dans le réseau : telle 
petite fille, violée par son père, livrée dès le plus jeune âge à des rituels sexuels et sataniques deviendra par exemple soit prêtresse organisatrice de rituels, soit “modèle présidentiel” (pur objet sexuel offert aux autres membres de Monarch, surtout à l'exécutif de la Maison blanche et à des militaires), soit courrier et “passeuse” de drogues et d'informations, soit encore assassin. 

Chaque fonction est chapeautée par une personnalité, un alter spécifique qui est programmé dans l'esprit de la victime. Ces comportements illicites ou violents sont totalement indécelables chez une victime ou chez un programmeur / victime de Monarch. C'est la raison pour laquelle les visages qu'offrent aux média et au grand public les très hauts personnages membres de Monarch sont parfaitement lisses et insoupçonnables.

Selon les spécialistes, les naissances de certains de ces enfants sont programmées pour certaines dates qui correspondent à des positions planétaires importantes et à des rituels ésotériques traditionnels et des fêtes païennes (solstice, éclipse etc.). Voilà un repère pour qui veut faire des recoupements.

Niveau de programmation

Les témoins ont tous rapporté le fait que la programmation Monarch est divisée en plusieurs niveaux correspondant à des comportements, des tâches et des schémas mentaux spécifiques. Par ce type de procédures, plusieurs personnalités coexistent : la personnalité générale est accessible sous le nom de code Alpha avec des sous codes comme Alpha 1, Alpha 2, Alpha 3 qui correspondent à des personnalités distinctes, toujours de façade auxquelles des tâches spécifiques seront assignées (délivrer des messages par exemple sans que le sujet en soit conscient. Ce n'est que sous état d'hypnose que le sujet délivrera le message, non dans un état conscient mais en état de transe hypnotique).

Les programmations à buts sexuels sont appelées code Beta et c'est donc sous des personnalités programmées sous des codes Beta (prostitution, pornographie etc…) que 
les enfants Monarch répondront aux injonctions d'ordre sexuel. Les programmations de type Delta concernent les opérations d'assassinat et d'espionnage. Omega est relié à des comportements autodestructeurs et suicidaires (utilisés pour se débarrasser d'un sujet Monarch lorsqu'il ne sert plus à rien). Quant au code Gamma, il est relié aux opérations de désinformation, à l'amnésie, à l'effacement des données et de l'information. D'autres codes plus spécifiques tournés uniquement vers les enfants reposent sur des images et des symboles délivrés par des films et des dessins animés ainsi que des représentations d'entités étranges de type extraterrestre. 

L'irruption de dessins animés peut surprendre dans un tel contexte, mais Springmeier, Cathy O'Brien, Cisco Wheeler, en fait toutes les victimes Monarch, parlent des films de 
Disney comme étant des œuvres au contenu symbolique, ésotérique et occulte contenant des significations subliminales qui seront largement utilisées dans la programmation des enfants. Mickey, l'apprenti sorcier, Bambi, Blanche Neige et surtout Fantasia, Tron, Alice au Pays des Merveilles et le film de la MGM, le Magicien D'Oz (Ken Anger, le scénariste s'est inspiré de l'œuvre de son mentor, le célèbre Alistair Crowley) contiendraient ainsi un nombre impressionnant de symboles occultes et ésotériques. 

Selon Springmeier, Disney était manipulé, étroitement surveillé, et il travaillait sous influence. Les œuvres de Disney ne sont pas les seules incriminées, et il serait fastidieux d'en dresser la liste. Dès 1989, un film illustre relativement bien ce que pourrait être le réseau Monarch, il s’agit de “Society” de Brian Yuzna. Il ne toucha cependant pas le grand public comme le fit un film récent qui a retenu toute l'attention des observateurs. Il s’agit de l'œuvre quasi posthume de Stanley Kubrick, “Eyes Wide Shut”.

Arizona Wilder tout comme d'autres témoins attestent que certains films contiennent des messages codés ou servent d'instrument de conditionnement pour les victimes du 
réseau. Arizona Wilder s'est exprimée au sujet du dernier film de Stanley Kubrick, "eyes Wide Shut" que l'on pourrait traduire par "les yeux largement clos", un titre lui-même ambigu, à double sens qui signifie une double contrainte : voir et se fermer les yeux en même temps, être témoin et se taire. 

À y regarder de plus près, il semble bien que le film de Kubrick soit une mise en scène à peine voilée de thématiques, de mots clés et de situations typiques du programme Monarch. Les références sont tellement nombreuses, certaines scènes sont si explicites que l'on peut se dire que ce n'est pas un hasard. Maintenant, quant aux mobiles de Kubrick pour faire ce film là précisément, on ne peut que se livrer à diverses suppositions. Quant à savoir si Kubrick savait ce qu'était Monarch, les victimes d'abus rituels qui ont vu le film sont formelles : Kubrick était d'une manière ou d'une autre un initié.

Pour ceux qui n'ont pas vu le film, voici en bref le scénario.

Il s'agit des mésaventures d'un riche médecin new-yorkais dont la clientèle est constituée par le gratin des personnalités de la ville. Ce médecin, le Dr Bill, joué par Tom Cruise et son épouse jouée par Nicole Kidman forment un couple en crise, une crise larvée pleine de non-dits, de tensions sexuelles et de prises de pouvoir. Tous deux vont se retrouver confrontés à des tas de scènes qui mettront leur union en péril.

Voilà à peu près le niveau de lecture où se sont arrêtés les critiques cinématographies…

Pourtant beaucoup d'autres choses transparaissent dans ce film et qui vont bien plus loin qu'une simple histoire de couple qui bat de l'aile. Bill et sa femme se rendront d'abord 
dans une soirée très mondaine où le médecin se fait draguer par deux mannequins, deux modèles apparemment sous l'emprise de stupéfiant. Le maître de maison l'interrompt dans cette séance de “triolisme” pour lui demander un petit service : une autre prostituée, modèle de haut luxe a fait une overdose dans une des chambres de la vaste demeure. Le Dr Bill doit rester bien entendu discret. Par la suite, on suivra les disputes et rapports de force du couple ainsi que la longue errance de Tom Cruise dans un New York inquiétant avec des bars glauques, des prostitués, un loueur de déguisements prêt à louer les charmes de sa fille, une très jeune adolescente. Finalement cette nuit totalement folle se termine dans une soirée “très particulière”, dans un énorme et mystérieux château installé dans une riche banlieue de la ville. Le Dr Bill s'y invite grâce à un mot de passe extorqué à l'un de ses amis. 

Il s'immisce dans la fameuse soirée qui s'avère être une partouze doublée d'un étrange rituel satanique où des hommes et des femmes de la haute société, masqués, scandent une sorte de litanie. Apparemment encore, les gens présents sont de très hautes personnalités. "Si tu savais qui était présent, tu en perdrais le sommeil" dira au Dr Bill, l'un des protagonistes du film qui voulait l'avertir de ne parler à personne de cette étrange nuit.

Au moins deux sites internet américain sérieux qui se consacrent aux théories conspirationnistes ont relevé l'importance du film “Eyes Wide Shut” de Kubrick et le mystère qu'il constitue : Steamshovel Press et The Konformist. Dans Steamshovel Press, dans un article signé par Uri Dowbenko, les propos d'Arizona Wilder sont rapportés. D'abord, l'auteur ne peut manquer de remarquer que le film n'a pas été vraiment achevé et que Kubrick est décédé en plein montage, un fait qui ne peut qu'entretenir la paranoïa, avec des questions comme : Kubrick avait-il dépassé la limite ? Voulait-il trop en dire ? du moins plus qu'il ne lui était permis ?...cette liberté lui coûta-t-elle la vie ?

On peut ainsi se demander si le film est complet, si toutes les séquences ont été tournées, montrées et montées par les héritiers de Kubrick, en l'occurrence, surtout son épouse qui avait la main haute sur la réalisation et le montage final de l'œuvre.

Arizona Wilder, de son côté, insiste sur le fait que le film est une allusion directe et sans faux-fuyants à Monarch et aux réseaux sataniques. Rien que le titre "Eyes Wide Shut" est 
selon elle, une phrase codée dans le programme Monarch qui signifie la chose suivante "tout ce dont vous avez été témoin ici ne peut être révélé à quiconque". "Les programmeurs du contrôle mental de Monarch utilisent cette expression, c'est vraiment une phrase culte" souligne Arizona Wilder. Le film s'avère également être une réminiscence directe de l'une de ses expériences : "Dans l'un de mes journaux datant de 1990, je parle d'un rituel où ils portent des masques dorés et des toges à capuchon. Cela a un rapport avec le Dieu Soleil (ndlr : Apollon). Ils utilisent ces masques dans des cérémonies rituelles en relation avec l'Egypte. Les masques signifient : "nous ne sommes pas des individus. Et une chose qu'ils font est de ne jamais ôter leur masque". 

Il y a plein d'autres allusions comme le nom de l'ami pianiste "Nightingale" qui est peut-être victime d'un meurtre pour avoir révéler au Dr Bill l'adresse où se passait le rituel et le 
mot de passe pour s'y introduire. L'ami pianiste de Tom Cruise s'appelle donc Nightingale, ce qui est une référence directe à Monarch tout comme le nom du magasin de déguisements "Over the Rainbow" où Tom Cruise va emprunter le masque et la cape pour se rendre au rituel. "Ce film est en fait une déclaration" précise-t-elle, "une déclaration selon laquelle, Nous, les Illuminati, sommes là. Que pouvez-vous donc faire contre cela ?". 

Le film répond de façon assez pessimiste puisque les dernières paroles du couple Kidman Cruise sont "Est-ce que tout cela est un rêve ? Peut être devrions nous avoir de la 
gratitude d'avoir simplement survécu. Nous sommes éveillés maintenant". Bref une sorte de déni après avoir expérimenté quelque chose d'aussi étrange. Enfin, selon Per Sewen, rédacteur à Illuminati News qui a vu "Eyes Wide Shut" en compagnie d'une victime d'abus rituels de type Monarch, le film s'avère assez fidèle à certains aspects de l'affaire : "Aucun de nous n'avait la moindre idée du sujet du film. Ce fut un choc pour nous deux, spécialement parce que ce genre de film peut servir de déclic pour des victimes de SRA (satanic and ritual abuses). Et ce le fut. La jeune femme qui m'accompagnait était très mal à l'aise à la fin du film". 

Pour conclure

Vous comprendrez bien qu'il ne convient certainement pas de prendre tout au pied de la lettre : récits, témoignages, affirmations, mais comme nous le répétons assez, les incohérences et étrangetés de ce dossier ne peuvent nous empêcher de considérer que l'affaire Monarch repose sur quelque chose de tangible. Pour ceux qui voudraient vérifier la réalité de ces dossiers, plongez-vous par exemple dans le scandale de l'école maternelle Mc Martin en Californie (rituels sataniques, pornographie et prostitution enfantine à la Mc Martin Preschool. Lire Virtual Government, CIA Mind Control Operations in America, Alex Constantine, Feral House). Renseignez-vous sur les abus qui se sont déroulés dans la crèche de la base militaire Présidio à San Francisco, des faits dénoncés sur base des constatations d'abus perpétrés sur un enfant de 3 ans, victime de viols et de 
tortures. Ce sont près de 59 enfants qui seront cités à titre de victimes dans cette affaire impliquant entre autre le Colonel Michael Aquino, fondateur d'une secte satanique, le Temple de Set dont le siège se trouvait sur la base militaire (lire le livre du journaliste d'investigation Roy Blake : Objective Evil : Satanic Cults in US Intelligence). Les cas documentés sont innombrables, il suffit d'avoir le courage de s'y plonger pour constater la tragique réalité de ces faits et cet étrange mélange de civils, de militaires et d'agents du renseignement, de contrôle mental, de pédophilie et de rituels sataniques. Nous vous invitons, si vous comprenez l'anglais, à lire les ouvrages de Springmeier, John Rappoport, Alex Constantine, Brice Taylor ou Daniel Ryder. Nous vous conseillons de vérifier par vous-même l'existence des organisations thérapeutiques ou d'entraides aux Etats-Unis regroupant des victimes et des thérapeutes dont le but est - outre d’aider - de rassembler un maximum d'informations fiables sur le contrôle mental. Elles sont nombreuses et très actives. Leur existence doit signifier quelque chose... La littérature anglophone est par ailleurs si abondante et si convergente que le sujet du contrôle de l'esprit doit englober une réalité qui nous échappe, et qui ne correspond peut-être pas forcément aux explications des auteurs “conspirationnistes”. 

Quant au scandale du "Franklin Cover Up", l'enquête est l'une des plus tangibles (mais qui n'a pas abouti à des inculpations sérieuses) sur l'un des innombrables réseaux composant Monarch. Selon Bonacci, une des victimes, l'affaire du Franklin Cover Up impliquait de très jeunes garçons et adolescents emmenés par Lawrence “Larry” King Jr à la Maison Blanche et dans des villas de Washington pour participer à des sex and drugs parties très violentes.

Karma One

Ecrire à l'auteur : http://www.karmapolis.be/

Article paru dans le N° 20 du magazine Top Secret. http://www.topsecret.fr/ 


samedi, novembre 03, 2012

LIBEREZ Aurore Martin !




Les « libéraux » (UMP etc.) sont de vulgaires exploiteurs capitalistes. Mais les socialistes bourgeois sont plus dangereux, ces prétendus humanistes sont les fossoyeurs hypocrites des libertés. Exécuteurs des basses œuvres de l'oligarchie, ils poussent d'un cran l'infernal mécanisme de l'aliénation européenne.

Sous le coup d'un mandat d'arrêt européen, Aurore Martin, une militante du parti basque indépendantiste Batasuna, a été interpellée en France et transférée dans une prison espagnole pour délit d'opinion. C'est une procédure dictatoriale. L'Europe est une dictature contre-traditionnelle.

Les républicains français, espagnols, européens, parviendront-ils à s'unir rapidement contre la tyrannie oligarchique qui vient de franchir une nouvelle étape dans la destruction de la démocratie ?

Article 35 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».


« A galopar », un hymne républicain d'actualité.





Le fascisme du renard


L'époque du fascisme casqué, armé et botté a disparu. Cette formule présente l'avantage de la visibilité : les modalités de l'exploitation se repèrent dans la rue, les commissariats, les écoles de guerre, les médias, l'université et autres lieux sensibles de la société civile. Le coup d’État sur le principe putschiste avec l'aide d'une colonne de blindés et la troupe de soldats d'élite déterminés, sans foi ni loi, tout cela a disparu. Les États-Unis ont beaucoup pratiqué ainsi en Amérique du Sud au XXe siècle, quelques pays africains persistent sur ce modèle passé de mode, mais le fascisme ne recourt plus à d'aussi grosses ficelles. Le fascisme de lion laisse désormais place à un fascisme de renard : il mérite une analyse.

D'abord le fascisme de lion : banal, classique, entré dans les livres d'histoire, il suppose la communauté nationale mystique qui ingère et digère visiblement les individualités au profit d'un corps mystique transcendant — la Race, le Peuple, la Nation, le Reich... La vie privée disparaît dans l'athanor en fusion de la collectivité toute-puissante. La propagande envahit tous les domaines et détermine à lire, penser, consommer, s'habiller, se conduire d'une manière précise, déterminée et unique. Tout discours alternatif est rendu difficile, fustigé, dénigré, voire interdit. La raison compte pour rien, on la présente d'ailleurs comme un facteur de décadence, un ferment de décomposition pour lui préférer l'instinct national, la pulsion populaire, l'énergie irrationnelle des masses sollicitée avec force discours et techniques de sujétion médiatique. La mise en forme de cette déraison pure suppose le chef charismatique, le grand organisateur, le principe de cristallisation.

Ensuite, le fascisme de renard : il tire les leçons du passé et suppose des arrangements formels, des révolutions de signifiants. Car le libéralisme, lui, est plastique, voilà d'ailleurs sa force. Le coup d’État n'est pas populaire : trop visible, trop indéfendable en ces heures de médiatisation planétaire et de plein pouvoir des images. Mauvais genre... D'où la mise à l'écart de la violence du lion machiavélien au profit du renard appartenant au même bestiaire mais célèbre pour sa ruse, sa rouerie, sa filouterie. Le lion recourt à la puissance de l'armée, le goupil à la force des agencements discrets.

Pour le contenu, les choses changent peu : il s'agit toujours de réduire le divers à l'un et de soumettre les individualités à une communauté qui les transcende ; on recourt à la pensée magique, aux instincts plus qu'à la raison ; on intimide ; on justifie la terreur par la lutte contre des ennemis transformés en bouc émissaire; on contraint moins par corps qu'on ne subjugue les âmes ; on ne maltraite pas les chairs, mais on matraque l'esprit; on ne lâche pas la troupe ; on formate les intelligences à ne pas ou plus penser : rien de bien neuf, sinon l'emballage... Le succès de l'entreprise se confirme : dans les zones à domination libérale — l'Europe maastrichtienne en faisant bien sûr partie —, l'édition et la presse servent le même brouet insipide ; les politiciens au pouvoir, droite et gauche confondues, défendent un même programme sous de fausses différences orchestrées pour le spectacle ; la pensée dominante célèbre la pensée des dominants ; le marché fait la loi sur la totalité des secteurs — éducation, santé, culture, bien sûr, mais aussi armée et police ; partis, syndicats, parlements participent de l'oligarchie reproduisant le social à l'identique ; on déconsidère l'usage public de la raison critique au profit de logiques irrationnelles de communication — savamment théâtralisées et scénographiées par des consortiums financiers en situation de monopole ; on manipule quotidiennement les masses par un usage adducteur de la télévision ; on empêche tout projet constructeur un tant soit peu consistant au profit d'une religion consumériste, etc

Ce fascisme de renard est micrologique, car il se manifeste dans des occasions infimes et minuscules. Leçon de Michel Foucault : le pouvoir est partout. Donc dans les intervalles, les interstices, l'entre-deux du réel. Ici, là, ailleurs, sur de petites surfaces, dans des zones étroites. Mille fois dans la journée, cette renardie produit des effets.

Autre leçon magistrale, celle de La Boétie : il affirme dans son Discours de la servitude volontaire que tout pouvoir s'exerce avec l'assentiment de ceux sur lesquels il se manifeste. Ce micro-fascisme ne vient donc pas du haut, mais il irradie sur le mode rhizomique avec des passeurs — potentiellement, chacun de nous... — qui deviennent des conducteurs, au sens électrique, de cette énergie mauvaise. Ce constat constitue le premier temps nécessaire à une logique de résistance. Savoir où est l'aliénation, comment elle fonctionne, d'où elle provient, permet d'envisager la suite avec optimisme.

Michel Onfray, La puissance d'exister.



Ils veulent nos âmes

  Henry Makow : "Ils veulent nos âmes. Les mondialistes veulent nous faire subir à tous ce que les Israéliens font aux Palestiniens. Et...