samedi, décembre 05, 2015

Les édéniens



Avis aux immigrés qui viennent massivement en Europe :

Des personnes échangeraient volontiers leur citoyenneté européenne contre la condition de sauvages libres sous les tropiques  !

Parmi ces immigrés allergiques à la « civilisation », il y a des édéniens qui rêvent de créer un espace de liberté interdit aux gourous, allumés, législateurs et autres emmerdeurs...

"La civilisation moderne, affirment les édéniens, va s’effondrer d’un jour ou l’autre : comme pour toutes les précédentes. Les Dirigeants refusent d’apprendre les leçons du passé. À notre époque, la chute sera pire, car il y a plus d’habitants, et ils sont plus dépendants du Système (argent, nourriture, énergie, transports, communication).

Il semble urgent pour certains individus de chercher et trouver un endroit où il sera possible de survivre, peu importe ce qui arrivera dans les pays industrialisés. Un environnement de Paix & Amour, sans aucun stress, sans aucune Autorité. E.D.E.N. est la structure qui sera utilisée par la prochaine civilisation...

Jamais le genre d’existence terrestre proposée par E.D.E.N. ne fut proposé ou initié. Une communauté sans règlements, sans autorités, sans maladies, sans stress... où les habitants (édéniens) ne font que suivre les Lois de la Nature et de l’Univers. Liberté totale !

Comme toutes les nouvelles idées (ou visions) révolutionnaires, E.D.E.N. ne s’adresse pas à tout le monde, ni ne pourra être reconnu par la majorité comme étant l’ultime solution à tous vos problèmes d’existence. L’Humain s’entête à perpétuer les mêmes erreurs, à cause de ses mêmes convoitises matérielles. Nous vivons dans la merde de nos prédécesseurs (parents). Et l’Homme semble se plaire dans sa fange.

Jusqu’à présent, il était difficile pour l’Humain d’abandonner ses mauvaises habitudes parce qu’il n’avait pas un environnement paradisiaque. L’éloignement de la Nature provoque nécessairement des distorsions, des déviations, des épreuves, des misères.

E.D.E.N. est l’opportunité pour un petit groupe d’individus (au départ entre 100 à 1000) de vivre une expérience qui marquera l’Histoire de l’Homme, qui établira une nouvelle genèse à partir des témoignages des civilisations passées.

De nouveaux termes se sont définis : édénien, édénienne, édéniser, édénisation. L’édénisation est l’action d’édéniser qui est le principe de base du fonctionnement de cette nouvelle structure : en tout temps, chercher à améliorer ce qui est possible dans son entourage.

Pourquoi l’Homme devrait-il consacrer son existence à travailler au service d’autres humains ?

Pourquoi ne pourrions-nous pas tous vivre en harmonie avec la Nature comme tous les autres organismes vivants de cet écosystème ? Rien ne sert de combattre qui ou quoi que ce soit.

E.D.E.N. veut offrir la possibilité d’évoluer avec le minimum de contraintes, en toute liberté. Toutes les philosophies cherchaient à établir des directives pour attirer le plaisir et chasser la souffrance. L’existence de l’humain doit être centrée autour de cette dualité.

En tant qu’organisme vivant, l’Humain doit suivre naturellement ces règles :
1) construire une habitation (protection des Éléments)
2) trouver et produire sa nourriture
3) défendre son territoire, ses possessions
4) s’accoupler d’un conjoint

L’environnement tropical facilite la réalisation d’un abri contre les intempéries et l’autosuffisance alimentaire y est plus facile. E.D.E.N. est basé sur le partage. Aucun édénien ne possède quoi que ce soit, tout appartient à tous et est utilisé avec respect.

E.D.E.N. est un vaste terrain (une ferme) composé « d’îlots de vie » et « d’îlots de créativité », tous reliés entre eux par des sentiers. Un îlot de vie est une certaine surface dont l’entretien est la responsabilité d’un individu, d’un couple ou d’une famille. Les édéniens d’un îlot sont responsables de tous les organismes vivants dans cette surface. Sur cette parcelle, il y a au moins une habitation, au moins une surface de culture (jardin) et un verger. Chacun de ces îlots produit quelque chose en excédent. L’échange de produits (partage) est la base de l’autosuffisance. Un îlot de créativité est un espace où il y a une construction majeure renfermant tous les outils nécessaires aux expressions de cette créativité par des personnes talentueuses ou en devenir. C’est à la fois une « fabrique » et une « école »."

Pour en savoir plus : http://www.peupleconscient.com/

Le complot mondial pour asservir les peuples



Les seuls éléments chimiques que l'on nous oblige à consommer sans aucun dosage possible, sont reconnus comme étant les plus dangereux par tous les chimistes :

  • Fluor : fluoration de l'eau potable, dentifrice, rince-bouche, gomme à mâcher...
  • Chlore : chloration de l'eau potable
  • Brome : pain, pâtisserie, boisson énergétique
  • Iode : sel iodé
    IL DOIT BIEN Y AVOIR UNE RAISON !
Déprogrammation

Il n’est jamais facile de s’attaquer à la croyance populaire, spécialement après plus d’un demi-siècle de propagande médiatique de toutes sortes. En ce qui concerne les halogènes et leur consommation populaire et généralisée, ils ont tous eux une approbation « scientifique » immense et difficilement contestable.
Les quatre principaux halogènes ont TOUS été forcés dans l’alimentation des humains (et par doses quotidiennes et cumulatives). Il y a quoi s’interroger pourquoi. Surtout que leur usage est totalement sans contrôle de dosage, car il est impossible de déterminer la dose personnelle quotidienne d’halogènes d’un individu.

Des milliards de dollars sont en jeu annuellement dans le commerce entre autres des fluorures, et cela à plusieurs niveaux et dans plusieurs types d’industries. Le business de l’Iode et du Chlore est tout aussi prospère avec leur consommation obligatoire pour les pays industrialisés.

Les industries des halogènes se sont infiltrées dans tous les niveaux (politique, médical, médiatique) et la propagande pour faire accepter la dispersion de leurs produits toxiques, via le corps humain, s’est avérée très efficace et convaincante. Mais, il n’y a pas seulement le Fluor qui est largement utilisé, il ne fut pas non plus le premier, il y a aussi trois autres halogènes. Cette publication concerne principalement le Fluor, mais, il est important d’apprendre sur les autres halogènes pour avoir une idée du Plan mondial.

Vous pensez qu’on ne peut tout de même pas s’objecter aux insistances de notre dentiste ou de notre médecin concernant la consommation des halogènes. Pourtant oui, il faut le faire.

Confrontez votre dentiste et vous verrez, ses fondations sont très fragiles en ce qui concerne les preuves de l’efficacité du fluor. Les dentistes n’ont pas été en général consultés pour endosser la politique de leur association face au fluor, mais ils suivent fidèlement, en majorité, les incitations –dictées par leur Association (et les publications médicales) – nombreuses à propager la fluoration de leurs patients, de toute la population. Faudra-t-il des POURSUITES JUDICIAIRES pour réveiller les dentistes ?

L’Iode semble généralement reconnu comme indispensable et salvatrice... invisible dans le sel de table sur toute la planète et depuis plusieurs décennies. On ne pense même plus à remettre cette pratique en question. La population utilise du sel iodé sans s’interroger des conséquences de surdose. Il est totalement impossible de mesurer la quantité exacte consommée quotidiennement, puisqu’il y du sel ajouté à presque tous les aliments industrialisés.

Tant qu’au 
Chlore, on a beau détester son odeur et son goût, on en consomme tous des hectolitres chaque année. L’eau chlorée est bue, mais également utilisée pour produire les aliments transformés, les boissons, les conserves... on nage même dedans.

Le 
Brome est le dernier de la famille des Halogènes à être imposé à l’humanité. Il est encore inconnu, pourtant largement utilisé... en boulangerie et pâtisserie... et plus récemment pour cibler les jeunes (dans les boissons énergisantes).


Il me fallait dénoncer les halogènes, car ils sont la base du programme de mondialisation. La consommation de ces produits chimiques, dont tous les chimistes reconnaissent comme les éléments du tableau périodique les plus toxiques, est imposée aux êtres humains pour une raison. Les halogènes affectent violemment votre comportement social, vos choix, vos envies, vos aspirations... 

Les dociles halogènes :






mardi, décembre 01, 2015

Padre Pio



Le mysticisme est une voie périlleuse vers la transcendance

par Gerald Messadier

Gerald Messadier a étudié des médiums, des mystiques et plus particulièrement un religieux capucin canonisé en 2002, Padre Pio, auteur de nombreux phénomènes surnaturels (stigmates, odeur de sainteté, guérisons inexplicables, bilocation...).

« A aucun moment ces médiums et ces mystiques ne se détachent d’eux-mêmes, constate Gérald Messadier. Seuls leur ego et leur petit monde comptent. La générosité et la ferveur des mystiques n’entretiennent pas plus cette illusion, si triste cela soit-il. Leur regard n’effleure même pas les événements qui secouent le monde. Sur la grande tuerie désignée sous le nom de « Grande Guerre », prélude de la convulsion suicidaire qui devait secouer le XXe siècle, Padre Pio, pourtant épistolier frénétique et quasi graphomane, s’épanche peu. Rien ne laisse supposer qu’il ait conscience de l’horreur des tranchées et de l’étendue des massacres : seuls ses tracas personnels et ses combats avec le diable le tourmentent. […]

La guerre et la « sainte cruauté » de Dieu

Il a ainsi couvert des centaines de pages, emplies de plaintes et de lancinante douleur. On en reste stupéfait. Le stigmatisé est comme enfermé dans cette recherche de la fusion avec la divinité, dans le cadre strict de la religion catholique. Pourtant Jésus avait étendu sa charité aux Samaritains, aux fils et aux domestiques de centurions romains. Padre Pio a-t-il jamais songé que l’enseignement de son maître ne se limitait pas à la Passion et que l’excès de scrupule pouvait constituer, plus qu’un péché, une faute ?

Même si les capucins en étaient relativement protégés, ils étaient conscients des horreurs de la guerre, dont l’écho leur parvenait par les récits des correspondants du front et des rescapés. D’ailleurs, un certain nombre d’entre eux avaient été mobilisés.

Dans une lettre au Padre Pio, datée du 27 mai 1915, le père Agostino lui écrit :

Cette guerre épouvantable est un supplice. Mon Dieu ! Quelle hécatombe, quelle boucherie ! Que vont devenir nos pauvres nations !

Padre Pio lui répond, le 31 mai :

Jésus veut prolonger notre martyre : qu’il en soit béni à jamais. […] Que les nations affligées par cette guerre comprennent le mystère de l’irritation pacifique du Seigneur ! S’il verse de l’amertume sur les douceurs empoisonnées de ces pays, s’il gâte leurs plaisirs et répand des épines sur la voie de leurs désordres fleuris de roses homicides, c’est parce qu’il les aime encore.

C’est la sainte cruauté du médecin qui doit, devant de grands maux, prescrire des remèdes amers et douloureux. C’est encore, mon Père, la colère aimante d’une tendre mère qui fait peur à son enfant pour l’obliger à se dépêcher de revenir vers elle.

On croit rêver : pour Padre Pio, la guerre est causée par la « sainte cruauté » de Dieu et de Jésus, destinée à rapprocher l’humanité de la divinité. Le libre arbitre n’existe plus : la position de Padre sur la liberté de l’homme est exactement celle de Luther, condamnée par le concile de Trente.

Non seulement aucune autorité religieuse ne souscrirait à pareils propos, mais encore elle excommunierait d’office leur auteur comme hérétique. Le Jésus et le Dieu décrits par Padre Pio sont des entités cruelles, étrangères au christianisme. Et l’on se demande s’il a jamais lu les Évangiles… Face à ces lignes d’un fanatisme fou, on est tout à coup moins indigné des persécutions infligées au capucin par l’Église. Sa vision tragique de l’existence est incompatible avec la théologie chrétienne. Nul auteur, à ma connaissance, n’a pourtant soulevé le problème à ce jour.

Quant à l’Église, il est peu probable qu’elle ne révise jamais aucune de ses décisions.

L’hérésie des propos de Padre Pio est-elle la véritable raison de l’hostilité du Saint-Office ? La correspondance du capucin était-elle connue des autorités qui le sanctifièrent ? Il faudrait, pour le savoir, consulter les archives du Saint-Office. Vaste programme. Illusoire projet.

On voudrait que l’ignorance théologique grave de Padre Pio fût, sinon démentie, du moins atténuée par une certaine conscience de la douleur. Mais voici les seules traces de compassion du capucin pour les centaines de milliers d’êtres humains arrachés à la vie dans la boue des tranchées, sous les obus et les balles, dans les gaz, le typhus et les infections :

Dans l’une des visites de Jésus que j’ai reçues ces jours-ci, je lui ai demandé avec plus d’insistance d’avoir pitié des pauvres nations si éprouvées par le malheur de la guerre et d’accepter que sa justice cède enfin la place à sa miséricorde. Chose étrange ! Il ne répondit que par un signe de la main qui veut dire d’habitude : doucement, doucement ! « Mais quand ? », ai-je ajouté. Alors son visage devint sérieux, puis, un demi-sourire sur les lèvres, il me fixa un peu du regard et me congédia sans mot dire.

Qu’est-ce que cela, mon Père ? Je ne saurais vous le dire. Je vous fais cependant remarquer que, chaque fois que, par le passé, j’ai parlé de la guerre à Notre Seigneur, je ne me souviens pas qu’il m’ait jamais parlé ou fait le moindre signe ; il a toujours gardé le plus profond silence. Il lui est même souvent arrivé de manifester clairement qu’il lui déplaisait que j’aborde ce sujet, à tel point que je restais pantois quand je devais le supplier à ce propos; je me sentais presque mourir sous l’effort que je devais faire sur moi-même.

Or, comment expliquer, maintenant, ce change-ment de comportement de Notre Seigneur ? Peut-être voudra-t-il intervenir personnellement dans le déroulement de ce bouleversement mondial ? Qu’il lui plaise de le faire vite !

(Lettre au père Benedetto, 19 décembre 1917)

On reste confondu par la collusion d’incommensurables naïveté et prétention que révèlent ces lignes. Jésus y est décrit comme un interlocuteur seigneurial, qui tantôt trouve déplaisant qu’on lui parle de la guerre et tantôt réagit de manière énigmatique (mais non moins détachée), congédiant le requérant avec « un demi-sourire ». Quel chrétien imaginerait jamais que Jésus eût pu réagir de façon si désinvolte face aux supplications d’un moine au sujet de la Grande Guerre ? Nul doute ne subsiste : cette « visite » de Jésus n’est qu’un pitoyable fantasme construit à partir des représentations qu’un natif du Mezzogiorno se fait des puissants. La pathétique condition humaine de Padre Pio et sa faillibilité resurgissent dans toute leur vérité.

Le détachement souverain dont le capucin fait preuve face au massacre en cours est également des plus gênants. Malgré son humilité professée, voire le mépris de soi qu’il affiche, Padre Pio se présente comme un maire du palais adressant une requête au roi dans un domaine situé par-delà l’humanité.

Mais bien d’autres choses encore entachent son image. Quand, trois ans plus tard, le père Benedetto se déclare angoissé par la guerre et l’avenir (lettre du 19 septembre 1918), Padre Pio réitère ses vues luthériennes et lui répond :

Dans les desseins de Dieu, le fléau actuel est permis pour rapprocher l’homme de la divinité, c’est sa fin principale; comme fin secondaire et immédiate, il a aussi pour but d’excuser les persécutions qui s’ensuivraient contre les enfants de Dieu, comme juste fruit de la guerre actuelle.

(Lettre au père Benedetto, 22 octobre 1918)

Le doute n’est plus de mise : au-delà de l'errement théologique fondamental, le sens de la réalité et le sens social du visionnaire sont gravement altérés. L’isolement, la souffrance et la contemplation ont atrophié jusqu’à sa compassion pour l’humanité et son bon sens historique. Il s’en faut, et de loin, que la Grande Guerre et celle qui suivit aient rapproché l’homme de la divinité !

Cet homme délire. Le mot « illuminé » s’impose. Padre Pio ne peut pas être offert comme modèle aux catholiques.

Et l’on peut juger de la fragilité de la notion de sainteté.

Conclusion

L’accès au monde parallèle, même prolongé, ne délivre pas la personne de son moi. Il ne constitue en rien une incursion dans une sphère angélique, pas plus que le fait de voler au-dessus de 10 000 mètres d’altitude n’élève l’âme. Padre Pio n’y acquit pas l’omniscience et n’entra pas en communication avec les cerveaux de Boltzmann. S’il eut quelque aperçu de l’avenir, ce fut de celui de l’Église et d’elle seule ; il n’y exerça que son esprit ordinaire.

Pour plaisante qu’elle ait été à ceux qui la humèrent, l’odeur de sainteté fut un phénomène fortuit, auquel rien n’indique qu’il faille attacher de valeur symbolique.

L’énergie communiquée au capucin, qui porta sa température corporelle à des niveaux inconnus et lui permit de survivre jusqu’à quatre-vingts ans sur un régime de famine, ne servit que ses fins propres.

Les incursions dans l’univers parallèle étaient accidentelles et ne furent qu’accessoirement bénéfiques, comme lorsqu’il « capta » l’intention suicidaire de Cadorna. Sa compassion était réservée aux malades qui pouvaient s’approcher de lui ou dont les souffrances lui étaient décrites (comme dans le cas de Wanda Poltawska, pour laquelle un certain Karol Wojtyla le supplia d’intercéder). Seulement à eux.

Les stigmates, enfin, ne sont nullement une preuve de l’intervention divine, sur laquelle les interprétations humaines sont inéluctablement téméraires.

Ils procédaient d’une volonté consciente et obsessionnelle de s’identifier à Jésus, ce qui peut être interprété comme un élan irraisonné vers l’auto-glorification. On peine à discerner dans le phénomène lui-même le reflet de l’enseignement de Jésus : c’est un spectacle troublant certes, mais seulement un spectacle, comme les insignes d’un ordre suprême de chevalerie conféré aux élus du roi.

Padre Pio était inconscient des convulsions du monde qui devaient engendrer trois des pires tyrannies de l’histoire (celles de Hitler, de Staline et de Mao), repousser les limites du désespoir pour des dizaines de millions d’humains et ne servir en rien la gloire de Dieu.

Sous cet éclairage brutal et fantastique, Padre Pio apparaît tel qu’il était : un fils de paysans du Mezzogiorno propulsé dans des sphères qu’il eût été incapable de concevoir, animé de convictions erronées et cruelles… Humain, trop humain.

Le mysticisme est une voie périlleuse vers la transcendance, car il exalte l’idée même qu’on se fait de celle-ci. Parvenu à des altitudes exceptionnelles, l’esprit humain traîne ses convictions et ses erreurs.


Le surnaturel n’est pas un attribut de la sainteté ; il n’est qu’un autre naturel dont nous commençons à peine à entrevoir les contours, au péril de notre culture et de nos convictions positivistes. C’est l’usage qu’en fit Padre Pio qui justifierait l’appellation de sainteté, nonobstant ses considérables limites intellectuelles. Comme nous tous, il ignorait les lois de ce monde parallèle ; il utilisa cet outil sans le comprendre, comme un habitant d’une jungle primitive trouvant une torche électrique ou un téléphone portable. »


samedi, novembre 28, 2015

Cop21, il chauffe, il pleut, il mouille, c'est pas la fête à la grenouille !


Il chauffe, il pleut, il mouille, 

C'est pas la fête à la grenouille !


Flamby le roi des Froggies, têtard adipeux avatar de Dieu Kermitterrand, rêve de faire la pluie et le beau temps durant la Cop21. Mais, un peu partout dans le monde et surtout dans la puissante Amérique, la météo des grenouilles de l’Élysée, c'est la vanne du siècle !

Les chrétiens américains se moquent des bulletins météo de Flamby. Ils lisent la Bible pour savoir que le réchauffement du climat est un signe annonciateur du feu divin qui purifiera le monde. Jean n'a-t-il pas écrit dans l'Apocalypse cette effroyable vision : «... et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée » ?

Aux USA, on ne se contente pas de lire la Bible, les scientifiques climato-sceptiques sont plus écoutés qu'en France. Par exemple, un spécialiste de l'atmosphère à la NASA, ancien chef de division au Marshall Space Flight Center, récipiendaire de la Médaille de la NASA pour Service Exceptionnel a déclaré :

« Les causes de ces changement globaux sont dues au soleil et aux mouvements de la Terre sur son orbite. Pas les activités humaines. » (William W. Vaughan)

En Suède, Hans Jelbring, climatologie de l'Unité Paléogéophysique et de Géodynamique de l'Université de Stockholm a dit :

« la nature dysfonctionnelle des sciences du climat n'est pas autre chose qu'un scandale. La science est trop importante pour nos sociétés pour être pervertie comme elle l'a été par la communauté des sciences du climat. L'establishment du changement climatique a activement supprimé les résultats de chercheurs qui ne se plient pas au dogme du GIEC ».

Au Japon, Kiminori Itoh, Ph.D. en chimie industrielle, diplômé de l'université de Tokyo, actuellement au Département d'Ingénierie de l'Université de Yokohama, contributeur au rapport 2007 du GIEC (AR4), a écrit quatre livres sur le changement climatique dont le dernier s'intitule « Mensonges et Tromperies dans l'Affaire du Réchauffement Climatique » (en japonais).

En Russie, Andrei Kapitsa, géographe, spécialiste de l’Antarctique, membre de l’académie des Sciences de Russie. Selon lui, « les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. [L’étude des carottes glaciaires démontre que] c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire ».

En Australie, William Kininmonth, ancien directeur du centre national du climat australien, il a dirigé pendant douze ans son centre national du climat et a représenté l'Australie à l'organisation météorologique mondiale pendant seize ans (1982-1998) : Il s'oppose à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique actuel et met en valeur les phénomènes naturels qui l'expliquent, aujourd'hui comme au cours des variations passées du climat. Il critique par conséquent le simplisme des modèles climatiques du GIEC, qui parte du présupposé, non démontré, que c'est l'homme qui affecte le plus le climat, et occulte les facteurs naturels comme l'activité solaire.

ETC...

Liste des scientifiques climato-sceptiques.


Vidéo "En Virginie occidentale, personne ne croit au réchauffement climatique". 





vendredi, novembre 27, 2015

Un chien tire sur un chasseur


Lundi 23 novembre 2015, dans un bois de Mesplède, un village situé près d'Orthez, un chasseur, âgé de 61 ans a été blessé au bras, à la main, et a reçu une projection de plombs au visage. 

Le responsable du coup de feu est son chien.

Le chasseur avait posé son fusil sur le tronc d'un arbre, le chien en sautant a accroché le fusil. Le coup est parti.



mardi, novembre 24, 2015

On nous prépare une guerre civile généralisée en Europe



Jean-Michel Alcader, ayant des origines arabo-musulmanes, licencié d'Etat en théologie, a vécu plusieurs années en terre d'islam. Sa maîtrise de la langue arabe lui donne accès aux subtilités linguistiques indispensables à une véritable compréhension de la doctrine islamique. Dans un livre quasiment prophétique (paru en 2004), « Le vrai visage de l'islam », il traite des origines de l'islam et de ses fondements idéologiques. Les analyses qui y sont présentées permettent une lecture objective des grands événements mondiaux en lien avec cette religion. Jean-Michel Alcader parvient à une conclusion effrayante : l'oligarchie mondialiste favorise l'immigration de masse et l'implantation de l'islam en Europe afin d'y provoquer une guerre civile, dont la finalité est l'instauration d'un gouvernement mondial.



On nous prépare une guerre civile généralisée en Europe

par Jean-Michel Alcader


Qu'est-ce que la politique internationale n'inventerait pas pour maintenir et promouvoir ses desseins d'hégémonie mondiale et ses intérêts financiers ? Toute opposition à son plan synarchique, c'est-à-dire à sa soif de gouverner et surtout de dominer le monde, se voit combattue par tous les moyens, les plus odieux et les plus criminels.

Avez-vous en effet remarqué que l'on retrouve les mêmes arguments et les mêmes lois dans toute l'Europe et même dans tout l'Occident ? N'est-ce point une preuve de plus qu'il s'agit bien d' une volonté issue d'un consensus international de favoriser l'islam sur tous les continents ?

Aux Etats-Unis par exemple, la "loi contre le racisme" est des plus sévères au point que toute résistance à l'islam a quasiment disparu . Et lorsque l'on sait combien les gouvernements européens, à commencer par la France, sont "à la botte" de cet Etat, et malgré les apparences qui voudraient que le gouvernement (présidé par Jacques Chirac) s'y soit opposé lors de la guerre américano-irakienne, il se pourrait que bientôt il ne soit plus même possible d'en parler. La "pensée unique", tellement répandue aujourd'hui, et le "politiquement correct"  exigé depuis des décennies dans nos pays occidentaux, pourraient donc désormais se résumer, pour reprendre la célèbre expression du politologue français, M. Alexandre Delvalle, dans "l'islamiquement correct". [...]

Une paralysie organisée.

Et si ces lois "anti-racisme" servent à en maintenir certains dans la peur d'un jugement civil, elle sera utilisée pour d' autres comme moyen de culpabilisation. Quant à cette dernière, elle consistera à nous faire penser que toute critique de l'islam ou toute dénonciation publique d'actes répréhensibles de musulmans révèle chez ceux qui les émettent des sentiments racistes et xénophobes envers les "arabes". Ces derniers n'accuseraient en fait qu'une race, la race arabe, et non des actes volontaires d' individus libres influencés par leur religion ! […]

L'amalgame entre race et religion, c'est-à-dire ici entre l'arabité et l'islamité est bien également entretenu à cette intention. Il est donc utile de rappeler ici que le mal ne vient pas d'une race, les arabes chrétiens étant bien souvent témoins de l'honorabilité de leur race, mais bien d'une religion : l'islam. Cet amalgame a par conséquent pour but d'embrouiller les esprits, (comme l'islam a su si bien le faire depuis ses origines), et est utilisé en Occident comme moyen de maintenir les occidentaux dans une culpabilisation paralysante, ou tout au moins dans une perplexité qui freine leur élan vers la dénonciation du mal.

Et l'ignorance des occidentaux des origines et des fondements de l'islam ne feront que renforcer cette paralysie. Car beaucoup de ceux qui sont accusés de juger des "arabes", ne savent pas qu'ils se révoltent, en réalité, non contre des personnes de race arabe, mais contre les principes inadmissibles d' une religion sectaire. [...]

La tendance actuelle de beaucoup d'occidentaux généralement endormis par les narcotiques médiatiques serait pourtant aujourd'hui davantage "d'islamophilie". Quant à ces hommes politiques prêts à défendre jalousement, ou soutenant même furieusement, comme une lionne protège ses petits, leur protégé, l'islam, et son avancement, ils ont depuis longtemps dépassés ce stade. Leur attitude, souvent agressive à l'égard de ses contradicteurs révèle davantage chez eux d' un "amour irraisonné", d'une "passion déréglée" pour cette religion. Ils "aiment" (amour pas vraiment "gratuit" d'ailleurs...) à visiter les mosquées, à encourager leur construction comme à les subventionner, à rencontrer leurs imam et à les "écouter", à faire des lois pour aider, favoriser soutenir, développer, "secourir" même l'islam comme décorer ses responsables, sans oublier évidemment de festoyer avec eux ! […]

Des européens désarmés

Mais parallèlement à une paralysie psychologique, médiatique et politique, l'on travaille également, à un "haut niveau", à paralyser les forces traditionnelles et conventionnelles de nos Etats, soit encore ses forces défensives, policières ou militaires. Si le djihad attend son heure, encore faut-il que sa réussite soit certaine. Une guerre, qu'elle soit sainte ou non, se prépare le mieux possible afin de mettre toutes les chances de son côté pour être sûr de la gagner. Sinon, mieux vaudrait signer un traité de paix avec ses ennemis avant même de la lancer ! Et pour ce faire, il faut être mieux armé et mieux préparé au combat que ses adversaires et, s'il eut été possible, saper sa défense.

C'est ce qu'a prévu et s'emploie à réaliser, depuis longtemps, le plan maçonnico-synarchique, via nos gouvernements européens à la solde de la haute finance mondiale. L'avancée de l'islam en Europe et son invasion sont depuis des lustres programmés par la synarchie internationale. Mais pour que le plan de destruction fonctionne parfaitement, c'est à dire que la "révolution islamique" puisse s'effectuer sans trop de résistance, il faut que chaque musulman soit armé ! Et chaque européen de souche, désarmé ! ...

Il faut prendre ici chacun de ces deux termes, "armé" et "désarmé", dans un double sens : le premier psychologique, le deuxième concret. L'armement ou le désarmement psychologique consiste en ce que nous avons dit de la fanatisation des musulmans d'une part, et de l'endormissement des consciences occidentales d'autre part. Quant à l'armement ou le désarmement concret il consiste comme son nom l'indique à permettre la possession d'armes aux musulmans en vue de la révolution islamique (le djihad) et leur difficulté désormais quasi absolue à s'en procurer des européens...

Une armée en promenade

L'on constate en effet que nos gouvernements, qui s'emploient depuis quelques décennies à faire entrer un maximum de musulmans en nos contrées, soit à l'avancement de l'islam, s'affairent aussi à ce qu'aucune résistance ne puisse lui être opposée, qu'elle soit morale, politique, civile ou militaire. Au delà du soutien politique à la progression de l'islam en terre chrétienne, ceux-ci élaborent également en Europe des lois "anti-armement" , comme par exemple l'armée "professionnelle" en France qui ne permet plus aux français d'être armés et prêts au combat en cas de guerre civile, soit à l'intérieur même de leurs frontières. Cette armée "professionnelle" sera d'ailleurs probablement appelée, à l'heure du djihad, à guerroyer loin de nos frontières, soi-disant par exemple pour aider quelque "allié" éloigné à se sortir d' une mauvaise passe. Une armée "nomade" ou en "promenade" en somme qui, au jour "j", comme "jihad" […] sera occupée et "aura à faire sous d'autres cieux" ! Bref, une armée indisponible quand on aura besoin d'elle, et qui vous répond au jour du combat qu'elle a "d'autres chats à fouetter"...

La guerre civile généralisée en Europe

Les ressortissants français sont donc dores et déjà à la merci d'une quelconque armée, fut-elle celle de rebelles musulmans installés intra-muros depuis longtemps et armés jusqu'aux dents. Elle sera suivie évidemment par l'ensemble des musulmans, prêts au djihad... […]

En un mot, l'on nous prépare une guerre civile généralisée en Europe, la fameuse "révolution islamique", où l'issue est prévue et calculée d'avance, la lutte étant de prime abord inégale puisque inégal l'armement de chacune des parties !

Les "grands de ce monde" semblent donc bien décidés à allumer la mèche du djihad, via quelques responsables musulmans, quand le moment sera jugé opportun par la haute finance mondiale. Lutte sanglante où le djihad sera la raison d'être, l'Europe le champ de bataille, la finalité l'instauration d'un gouvernement mondial dirigé par les Etats-Unis.


jeudi, novembre 19, 2015

La Thaïlande prie pour Paris





Gérard G. vit en Thaïlande, il écrit :

« C'est pas Daech, c'est quand même les musulmans qui martyrisent le sud de la Thaïlande avec 4500 morts depuis dix ans. 


Ces guerriers courageux attaquent régulièrement : bus scolaire, moines et paysans au travail. On a pris comme habitude ici de lire ce genre d'infos. Je pense que dans peu de temps l'horreur grimpera plus haut dans des régions plus ouvertes : île de Phuket par exemple. Depuis 10 ans l'armée est en alerte ! »

Source de l'illustration : 

L'Occident aura les pires difficultés à se remettre d'un orage magnétique même en trois siècles

  11 mai 2024 : "Une tempête solaire d'une rare intensité s’est dirigée vers la Terre et a provoqué des perturbations sur les résea...