Les chèvres remplacent des
gourous qui se retrouvent au chômage sans percevoir les
confortables indemnités (5599 euros par mois) versées par Pôle Emploi aux députés devenus chômeurs après leur défaite aux
dernières élections.
Quand de plus en plus de témoignages et d'enquêtes crédibles révèlent les crimes pédo-sataniques de l'élite, Arturo Sosa Abascal, général de l'ordre des jésuites que l'on appelle communément le « pape noir », est-il crédible en déclarant : « le diable est une figure symbolique créée par nous » ?
Arturo Sosa Abascal ne cache pas qu'il est, comme les francs-maçons, favorable au mondialisme et au remplacement des peuples par les masses multiethniques.
De plus, le prétendu vicaire du Christ, toujours à l'instar des francs-maçons, incite les chrétiens à douter de l'enseignement christique : « (...) il serait nécessaire, dit le pape noir, de commencer une vraie réflexion sur ce que Jésus a vraiment dit… A son époque, personne n’avait un magnétophone pour enregistrer ses paroles. On sait que les paroles de Jésus doivent être replacées dans leur contexte, elles sont exprimées dans une langue, dans un environnement spécifique, elles sont adressées à une personne en particulier… »
Laurent Glauzy reprend le combat de Don Luigi Villa, fils spirituel de Padre Pio et ancien agent de renseignement du Vatican, en dévoilant l’influence satanique des « papes » depuis « Vatican II » et le pédo-satanisme de l'élite maçonnique.
Don Luigi Villa, le « fils spirituel » de Padre Pio, est décédé le 18 novembre 2012, à l’âge de 94 ans. Prêtre originaire du nord de l’Italie, docteur en théologie, il fut directeur-fondateur du mensuel Chiesa Viva, paru la première fois en septembre 1971. En 1956, l’abbé Villa rencontra Padre Pio à San Giovanni Rotondo. Le « prêtre aux stigmates du Christ » lui demanda de se consacrer à la défense de l’Eglise contre la Franc-maçonnerie. Le pape Pie XII approuva la mission. L’abbé Villa fut placé sous la direction des cardinaux Alfredo Ottaviani, préfet du Saint-Office, Pietro Parente et Pietro Palazzini. Ces hommes d’Eglise de grande intégrité morale devaient communiquer de nombreux secrets à l’abbé Villa remplissant la fonction d’agent de renseignement contre les loges.
"L'électorat qui a voté dans la 2e circonscription de Paris, est, à mes yeux, à vomir", a dit le député sortant qui a houspillé "les bobos d'un côté qui sont dans l'entre-soi, dans l'égoïsme", et puis "la bourgeoisie traditionnelle de droite qui va à la messe, envoie ses enfants au catéchisme et qui vote pour un type qui pendant 30 ans, s'est arrangé, a triché par tous les moyens. Voilà, c'est tout, j'ai voulu aller jusqu'au bout, je suis allé jusqu'au bout".
Le type dominant de « l'électorat à vomir » est le pashou (pashu). Le pashou, selon la tradition, n'adore que son pasha, son lien, dont il fait son « dieu ». C'est le type de l'esclave grossier et matérialiste de notre époque.
Et, toujours d'après la tradition, le type dominant des « élites » est le marout. « La notion de marout est l’un des tragiques arcanes de l’ésotérisme politique, celui-ci se comprenant mieux sous l’optique shivaïte que chrétienne. Les brahmanes disent que lorsque Shiva (= la Providence, le Destin) veut rabaisser une nation, caste ou famille régnante, il place à la tête de cette nation, caste ou famille, un marout qui en deviendra le chef ou l’épouse du chef. Ne possédant par nature qu’une âme pourrie, cet être hybride contaminera les hautes sphères de la société par exemple, ou les arts ou la religion, et le déclin deviendra inéluctable si des hommes n’extirpent à temps le marout. » (J. L. Bernard)
Depuis le mois de Mai 2017, les Français sont les sujets d'Horus-Apophis, le Très-Bas (Emmanuel Macron se dit « jupitérien»)
Les arcanes contre-initiatiques de l'oligarchie ont permis l'avènement d'un monarque séthien, Horus-Apophis. (MONARQUE ou MONARC(H) avec les lettres M.A.C.R.O.N.)
Alexandre Lebreton, auteur du livre « Mk- Abus Rituels et Contrôle Mental », a mis en ligne la vidéo-témoignage de Ronald Bernard (sous-titrée en français).
« Ronald
Bernard, précise Alexandre Lebreton,est
un homme d'affaires néerlandais ayant navigué dans les hautes
sphères de la finance internationale. Dansson témoignaged'une
quarantaine de minutes pour le médiaDe Vrije, il explique comment il avait mis sa conscience et sa morale au "congélateur", dit-il, afin de pouvoir pratiquer son business sans désagréments psychologiques (un mécanisme de survie). Il dit que son parcours professionnel dans ces réseaux bancaires était censé faire de lui un véritable psychopathe... C'est une fois entré dans les cercles les plus profonds, qu'il a pris conscience de l'horreur du milieu dans lequel il évoluait. Selon lui, la plupart des gens qui naviguent dans ces milieux élitistes sont Lucifériens, ils pratiquent les messes noires et les sacrifices de sang. C'est lorsqu'on l'a "invité" à participer aux sacrifices d'enfants, ce qu'il a refusé, que sa conscience s'est "décongelée"... Son témoignage décrit la mentalité tordue, manipulatrice et sans états d'âme, des financiers psychopathes qui siègent sur le "toit du monde".
La vidéo qui suit est la traduction française de la partie où il évoque les pratiques lucifériennes et sataniques qui sont courantes chez ces gens là... qui bénéficient donc d'une aide surnaturelle dans leur quête de domination mondiale. Un témoignage choc dédicacé à Emmanuel Macron qui a fait "ses armes" dans la haute finance, chez les Rothschild... »
D'après des textes sacrés du lamaïsme, la vénération des entités subtiles, qui se délectent du sang humain, apporte le bonheur suprême.
Le poignard rituel (phurba) des occultistes du toit du monde.
Dans « Mk - Abus Rituels et Contrôle Mental », Alexandre Lebreton rappelle qu'un texte sacré du bouddhisme tibétain, « le Tantra de Kalachakra, la ‘‘Roue du Temps’’, contient un traité d’alchimie et de démonologie. Voici ce qui est écrit à la Strophe 125 : ‘‘La consommation de matière fécales et d’urine, de sperme et de sang menstruel, mélangés à la chair humaine, prolonge la vie. Ce sont les cinq ingrédients qui entrent dans la composition des pilules de nectar (…) La consommation des cinq chairs, avec du miel et du ghee, met fin à toutes les affections.’’ À noter que dans ce même texte, il est indiqué à la strophe 154 qu’une vénération des entités subtiles ‘‘apporte le bonheur suprême’’ : ‘‘Les serpents, les démons, les planètes qui influencent les hommes, les Nâga maléfiques qui se délectent du sang humain, le gobelin Kushma, les déités tutélaires des lieux, les vampires, les esprits qui causent l’épilepsie et les Garuda peuvent apporter le bonheur suprême, s’ils sont vénérés dans un mandala.’’
En
compagnie du cardinal philippin Luis Antonio Tagle, le pape (ou
antipape) fait un prétendu "cornuto", le signe de reconnaissance des adversaires
du Christ, notamment des satanistes.
La
photo du "cornuto" papal n'a pas échappé à l'illustre internaute et
twitter invétéré Donald Trump. Ce dernier a-t-il voulu
confondre le pape en utilisant le geste de reconnaissance des
francs-maçons-Illuminati-satanistes qui se fait avec la main – la
fameuse poignée des francs-maçons ; ce qui leur a valu d'être
surnommés les « frères la gratouille » par François Mitterrand ?
En
réalité, la vidéo est un montage fabriqué de toute pièce pour
l'émission humoristique de Jimmy Kimmel.
Faux cornuto et véritable geste de la langue des signes signifiant "Je vous aime".
"Les
tragédies des guerres, du terrorisme et de la misère jettent des
milliers d'hommes, de femmes, d'enfants sur les rives de la
Méditerranée, aux portes de l'Europe. Ils arrivent par flots
continus, ces frères humains qui deviennent la proie des passeurs et
tentent de traverser la mer sur des bateaux de fortune. Quinze mille
d'entre eux se sont déjà noyés dans cette Méditerranée, berceau
de notre civilisation et lieu de rencontre entre les hommes depuis
l'aube des temps. La mer est aujourd'hui devenue sépulcre. L'Europe
qui ne veut pas être envahie par les hordes des réfugiés ergote
sur le nombre de ceux qu'elle peut accueillir. Il ne s'agit certes
pas d'accueillir la misère du monde sans avoir de solutions à lui
offrir. Mais au moins s'agit-il de ne pas se tromper sur le premier
geste à accomplir : les empêcher de mourir.
Essayons
de comprendre comment tout cela est né. L'abbé Pierre disait depuis
fort longtemps : Comment voulez-vous empêcher les pauvres du
monde de venir alors que les écrans de télévision partout dans les
pays les plus pauvres exposent de belles voitures, de belles maisons
et de jolies piscines bleues. Eux n'ont rien mais ils voient que cela
existe ailleurs. C'est un aimant irrésistible. C'est aussi un
orgueil des pays riches et puissants qui cherchent à démontrer au
monde leur supériorité. Nous sommes les plus beaux et les
meilleurs. Ne nous étonnons pas que tout ceci devienne un mirage
pour les pauvres du sud. C'est une motivation pour partir.
Il
ne faut jamais perdre de vue que l'Afrique est un continent oublié.
Il a été pillé jadis d'un point de vue humain avec la traite, et
pas toujours bien traité avec la colonisation. Aujourd'hui il est en
passe de devenir un continent oublié de la mondialisation. Comment
voulez-vous que les Africains ne se disent pas : « Bon, si chez eux
c'est si beau que cela, j'y vais et par tous les moyens ! »
Comment
ne pas en vouloir à cet Occident qui a été capable, en un éclair,
de sortir l'Europe de ses ruines après la Seconde Guerre mondiale
mais pas d'établir un plan Marshall pour relever l'Afrique ? Au lieu
de quoi on l'a laissée sombrer dans le chaos. On y a même contribué
notamment en traçant des frontières arbitraires issues de la
décolonisation, et propices aux guerres ethniques. Aujourd'hui, on
reste irrespectueux des modes de vie, des Africains, de leurs
traditions, de leur histoire. L'Occident se montre condescendant
envers l'Afrique. Le constat est sévère mais il est vrai. On ne
ressent pas un discours d'égal à égal vis-à-vis du continent
africain.
Il
faut en rester à des choses simples. Pour développer l'Afrique, il
est quelques principes de base, compte tenu de son immensité et de
la pauvreté de ses populations. Il faut d'urgence construire des
routes, des chemins de fer, des écoles, des hôpitaux et des
dispensaires partout où il n'y en a pas et promouvoir l'accès à l'eau potable dont dépend la santé, sans oublier de favoriser le
développement harmonieux de l'urbanisme en lieu et place de son
développement anarchique. Si vous ne me croyez pas, allez donc vous
promener à Tana, Lagos ou Nairobi et vous comprendrez ! Seulement,
toutes ces actions avancent bien trop lentement !
— Peut-être
les riches trouvent-ils plus commode de piller que d'aider ?
— Exactement.
Et c'est comme au temps des conquistadors d'hier ! Les «
néo-pillards » du nord trouvent sur place des complices pour
extorquer, dominer, exploiter leurs peuples. Un million de tonnes de
bois de rose de Madagascar est exporté illicitement. Et ce sont
quelques notables sans scrupule et quelques marchands chinois sans
état d'âme qui en tirent profit.
— Comment
expliques-tu cette condescendance qui perdure vis-à-vis de l'homme
africain ?
— Il
faudrait changer l'homme ! L'être humain est ainsi. Par nature, il
tend à vouloir dominer. Jusqu'à aujourd'hui, on considérait même
que c'était là le moteur du progrès être plus fort que l'autre, dominer l'autre !
— Ainsi
l'arrogance de la colonisation n'est pas morte ?
— Pas
tout à fait. Mais c'est aujourd'hui davantage une condescendance
qu'une arrogance. Certes il y a bien des gens qui viennent travailler
ici dans un bon esprit , pour faire le bien, en respectant l'autre,
hélas ce ne sont pas les plus nombreux.
— Même
dans l'humanitaire ?
— Dans
l'humanitaire, c'est comme partout. Certains font cela pour se sentir
exister. On les dote de gros moyens. Ces moyens sont nécessaires, à
condition de ne pas s'en servir dans un esprit de supériorité. Il y
a plus grave encore. La plupart de ces « experts » ne connaissent
rien ou peu des traditions et des cultures. Ils causent, ils causent.
La seule façon d'avancer, c'est en développant des micro-projets
qui rencontrent l'adhésion. L'agriculture, par exemple, est une des
grandes chances de l'Afrique et de Madagascar, et les paysans
représentent 80 % des habitants. Mais on ne développe pas des
micro-projets à grande échelle avec les paysans. Résultat, c'est
un zéro pointé. On en reste aux théories et aux discours. Les
discours sont la maladie endémique ici en Afrique. On est capable de
répéter des centaines de fois les mêmes choses et rien n'avance !
On préférera toujours être l'intellectuel, celui qui pense plutôt
que celui qui se retrousse les manches. Pourtant, à notre mesure, à
Akamasoa, nous l'avons fait, FAIT ! Routes, évacuations, maisons,
cultures, reboisement et même cimetières pour enterrer nos morts.
Ce que nous avons fait avec nos petits moyens, beaucoup d'autres
pourraient le faire, avec de gros. Il y faut la volonté, le courage
et l'âme. La plupart de ceux qui travaillent ici sont des Malgaches
et on avance, avec une tonne de problèmes, certes, mais on avance. Attention, la faute n'incombe pas seulement aux pays du nord. Lesélites locales aussi, corrompues, égoïstes, refermées sur
elles-mêmes."
Dans un monde en manque de repères, nostalgique de grandes figures comme l'abbé Pierre, mère Teresa ou sœur Emmanuelle, le père Pedro apparaît comme leur successeur. On connaît le combat qu'il mène depuis près de trente ans contre la pauvreté à Madagascar à travers son association Akamasoa. On connaît sa bonté, sa générosité, son amour mais aussi son caractère volcanique, son franc-parler, ses saintes colères.
Voici un manifeste et un livre de réflexions sur des sujets qui lui tiennent à cœur - l'école pour tous, la question des réfugiés, la guerre sainte et la mort, la décadence des politiques, la place des femmes, la démocratie, etc. -, dans lequel le père Pedro conjugue ses interrogations, ses convictions, ses indignations.
Damcho Dyson, s'est lassée de sa vie de nonne bouddhiste soumise durant 10 ans à un gourou lamaïste (maître dans l'art tibétain du bondage mental et aussi grand fornicateur devant le Bouddha éternel). Après avoir quitté son monastère, situé dans le sud de la France, elle décide de devenir à son tour maître, ou plus exactement Maîtresse ou Domina, c'est-à-dire une sorte de gourou du BDSM (Bondage, Discipline, Sado-Masochisme).
Le BDSM serait-il une forme occidentalisée du lamaïsme ?
Pour l'ex-nonne bouddhiste, une tenue en latex est comparable aux vêtements monastiques.
Pour en savoir plus, lire « Fétiche, BDSM et Eveil » dans "Engage, The Voice of the Buddhist Precariat" (en anglais) :
Un documentaire de BARBET SCHROEDER, dernière partie de sa trilogie sur le Mal.
"Le Vénérable W." dresse le portrait de Ashin Wirathu, moine bouddhiste.
"La curiosité intellectuelle de Barbet Schroeder est sans limites. En témoigne une filmographie où le cinéaste s’est intéressé à tous les états extrêmes de l’humain, avec un regard d’anthropologue quand il faisait des fictions, et de cinéaste nourri aux classiques hollywoodiens quand il signait des documentaires.
Barbet Schroeder a présenté "Le Vénérable W". comme le film le plus fou qu’il ait jamais réalisé. Ce qui met la barre assez haut venant de la part d’un globe-trotter qui a posé sa caméra pour observer à peu près tous les tabous, transgressions, pathologies et violences recensés sur les quatre continents, toujours dans le présent du tournage.
"Le Vénérable W." n’est rien d’autre que la dernière partie de sa « trilogie sur le Mal », après un documentaire consacré au dictateur ougandais Idi Amin Dada en 1974 et un autre sur Jacques Vergès et plus généralement la question du terrorisme, L’Avocat de la terreur (2007). A chaque fois il s’agit de donner la parole à un homme qui incarne ou diffuse des doctrines de mort et de haine, la négation de l’humanisme.
"Le Vénérable W." dresse le portrait de Ashin Wirathu, moine bouddhiste qui détourne le message de sa religion pour stigmatiser la communauté musulmane en Birmanie et militer pour un boycott économique et des lois discriminatoires contre les Rohingyas, musulmans venus du Bangladesh et de confession sunnite.
Lors de prêches à travers le pays, devant des foules galvanisées, ses paroles haineuses exploitent les peurs des birmans, saisissent l’occasion de fait-divers ou de tensions ethniques pour déclencher des explosions de violence, des massacres de populations et la destruction de villages entiers. Islamophobe, raciste, nationaliste, Wirathu injecte avec une morgue terrifiante le poison de la haine et de l’intolérance dans le peuple birman et le bouddhisme. Cette religion sans dieu et profondément pacifique est elle aussi rattrapée par le fanatisme violent qui a contaminé d’autres croyances religieuses à un moment donné de leur histoire.
Schroeder s’approche d’un monstre, d’un salaud radical et lui donne la parole, avec une technique de mise en confiance dans laquelle il est passé maître. Il le contredit et dévoile ses mensonges et manipulations par la force du montage et de témoignages des moines ou de spécialistes de la région. Barbet Schroeder donne un nouveau visage au Mal, tel qu’il fut incarné par Hitler et d’autres chefs sanguinaires au cours du XXème siècle.
"Le Vénérable W." est glaçant et salutaire, c’est aussi l’un des nombreux films de ce Festival de Cannes, tous genres confondus, à décrire un état de chaos et un monde au bord de l’apocalypse."
Après la photo de Macron intronisé « Grand Valet de Mammon » devant la pyramide du Louvre composée de 673 (666 + 7) carreaux de verre, une autre photo interpelle les internautes.
Photo prise lors de l'ouverture du centre anti-extrémisme à Riyad, elle montre le président américain, le roi Salmane et le président égyptien Abdel Fatah al-Sissi les mains sur un globe terrestre.
Un internaute écrit : « La scène rappelle les meilleurs Comics où les méchants préparent la conquête du monde dans un rire bruyant... »
La
CIA a inventé le terme « théorie de la conspiration »
en 1967, une « arme de guerre psychologique », et a mis
en place des opérations pour discréditer « l'opposition »
à la propagande officielle.
Suite au scepticisme public vis-à-vis les conclusions de laCommissionWarrensur l'assassinat du président John F. Kennedy, la CIA a envoyé une directive détaillée à tous ses bureaux, Intitulé "Counter Criticism of the Warren Commission Report ", ce document a joué un rôle définitif en faisant de la «théorie de la conspiration» une arme utilisée contre les individus ou groupes qui remettent en question les programmes et activités clandestins du gouvernement.
La directive " CIA Document 1035-960 ", obtenue via le Freedom of Information Act (FOIA) par le New York Times en 1976, définit une série d'actions et de techniques détaillées pour contrer et discréditer les allégations des "théoriciens du complot", de façon à empêcher la circulation de ces théories dans d'autres pays. Par exemple, s'approcher de "contacts d'élite amicaux" (en particulier les politiciens et les rédacteurs en chef ) pour leur rappeler que l'intégrité et la solidité de la Commission Warren devraient être prioritaires.
Le document suggère la technique du "troll", soit d'utiliser des propagandistes (au sein du corps politique et médiatique) pour générer de fausses informations ou pour créer des polémiques qui visent à discréditer les théories du complot. Il suggère aussi de s'attaquer à la crédibilité du "propagandiste" (témoin) en lui accolant de faux statuts ou de fausses activités (motivé par des ambitions politiques obscures et par des intérêts financiers dans la promotion des "théories de la conspiration").
Aujourd'hui, plus que jamais, les commentateurs politiques et les médias d'actualité occupent des positions puissantes pour manipuler l'opinion publique, utilisant des techniques ressemblant étroitement à celles énoncées dans le document 1035-960 de la CIA.
Un instant d'intoxication médiatique sur France Info
Julien Pain (L'instant détox) et Rudy Reichstadt (Conspiracy-Watch) sévissent dans les rue de Paris :
Message subliminal de Julien Pain : Si vous critiquez l'oligarchie, vous n'êtes qu'un complotiste abruti et de surcroît un vilain antisémite. Mais, attention, ce Pain est toxique !
Julien Pain est le rédacteur en chef de "L'instant détox" une nouvelle forme de propagande d'un prétendu service public nommé "France Info".
Le but de "L'instant détox" est de neutraliser les informations propagées par les médias alternatifs.
Selon Ingrid Riocreux (auteure de « La Langue des médias ») :
« L’intention de Julien Pain est claire : en commençant par faire réagir les gens à des informations qui se révèlent être des manipulations, il espère leur faire admettre que leurs opinions sont illégitimes, fondées sur des mensonges. »
"Un nouveau mouvement de libre pensée est en marche. Il a plus à voir avec la méditation, le yoga, la fraternité, les bonnes ondes, la célébration communautaire et la quête du divin, qu’avec les substances psychotropes de ses prédécesseurs des années 1960.
Dans Bliss : Transformational Festivals & the Neo Hippie, Steve Shapiro (83 ans), photographe célèbre pour ses clichés de la première ère hippie à San Francisco et ailleurs, suit son fils dans son chemin vers la lumière, pendant les « festivals transformationnels » qui se déroulent dans tous les Etats-Unis : des festivals de musique à Washington, des rassemblements pour la paix en Oregon, des rencontres sacrées en Californie, des « happenings » d’un weekend ou d’une semaine au Lincoln Park et dans le Désert de Black Rock.
Avec Bliss, Schapiro s’intéresse à une sous-culture de la contre-culture hippie, connue sous le nom « Bliss Ninnies » (« Les Imbéciles Heureux ») – des individus centrés sur la méditation et la danse comme moyen d’atteindre la joie dans la transe. L’ouvrage rassemble des images de festivals dans tout le pays et offre une vision d’ensemble de ce nouveau mode de vie hippie dans l’Amérique d’aujourd’hui.
Avec ces photos fascinantes, Bliss entraîne le spectateur dans une balade visuelle auprès de ces imbéciles heureux extatiques, le regard fixe (forme libératrice de méditation les yeux ouverts), qui dansent et se prélassent dans le divin. Leurs croyances et leur façon de vivre posent la question : « La quête de la joie pure est-elle une quête de Dieu ? » Ces scènes encore jamais montrées sont peut-être une réponse à cette interrogation. Les années 1960 sont toujours là. Il vous suffit de trouver où."