jeudi, novembre 14, 2019

Alexandra David-Néel, l’invention d’un mythe



Alexandra David-Néel, ni bouddhiste, ni spirituelle
(mais franc-maçonne*)


"C'est lorsque l'Europe a cessé de se concevoir comme chrétienne que le bouddhisme a commencé à devenir populaire chez nous, mais sous une forme sécularisée, où l'on insistait sur sa dimension rationnelle. Chez certains anticléricaux ou francs-maçons, notamment, on a voulu y voir une philosophie déconnectée des rites de la chrétienté. On l'ignore parfois, mais quelqu'un comme Clemenceau (franc-maçon) a été séduit par le bouddhisme. Jules Ferry (franc-maçon) aussi. Il a même préconisé son enseignement à l'école. Dans les années 1890, le musée Guimet organisait des cérémonies bouddhistes à Paris. Alexandra David-Néel (franc-maçonne) y a d'ailleurs assisté." Marion Dapsance.

Marion Dapsance et Frédéric Lenoir (un petit "philosophe" qui a profité de la bouddhamania pour vendre beaucoup de livres). Ils ont tous les deux fait leurs doctorats sur le bouddhisme à l'École pratique des hautes études, à Paris. 


Bouddha « un anti-Christ »

Dans Qu’ont-ils fait du bouddhisme ? Marion Dapsance remettait en cause la manière dont le bouddhisme est généralement présenté en Occident, c’est-à-dire comme une sorte de sagesse universelle, pouvant apporter bien-être et paix à l’humanité. Elle s’en prenait notamment à l’idéologie visant à faire du Bouddha « un anti-Christ », qu’elle fait remonter au début du XIXe siècle, au moment où l’Occident cessa d’être chrétien, avec des personnalités tel Eugène Burnouf (1801-1852), anticlérical, libre-penseur et fondateur de la Société asiatique.

L’anti spiritualité d’Alexandra David-Néel 

Prolongeant sa critique des importateurs du bouddhisme en Europe, cette anthropologue de l’École pratique des hautes études (EPHE) s’attaque (dans son dernier livre Alexandra David-Néel, l’invention d’un mythe) à « l’anti spiritualité d’Alexandra David-Néel ». Car la célèbre exploratrice, décédée en 1969 à presque 101 ans, a contribué par ses nombreux articles et livres – notamment Voyage d’une Parisienne à Lhassa en 1927 et Le Bouddhisme : ses doctrines et ses méthodes en 1939 – à diffuser un bouddhisme réinventé, conçu comme l’antithèse du catholicisme.

Enfant unique d’un couple de commerçants, la jeune Louise David, née à Saint-Mandé (Val-de-Marne) en 1868, cherchait un sens à sa vie qu’elle ne trouva pas dans le catholicisme, la religion de sa mère, même si elle songea un temps au carmel « par idéal romantique », selon Marion Dapsance.


Après s’être convertie à 20 ans au protestantisme, elle rencontra par les ouvrages de Helena Blavatsky la « théosophie moderne », fondée sur un syncrétisme à base d’hindouisme et de bouddhisme. « Louise David est restée théosophe toute sa vie, ce qui lui a permis, souligne Marion Dapsance, de bénéficier d’un réseau international de personnes partageant les mêmes centres d’intérêt et prêtes à l’assister dans ses voyages. »

Trahison de la pensée bouddhique 

C’est dans ces milieux orientalistes, marqués à la fois par l’ésotérisme et le matérialisme, que Louise David a découvert le bouddhisme à partir de 1890. Et c’est donc à travers ce prisme qu’elle l’analysa. Ce qui fait dire à l’auteure que « Louise David, occultiste athée, a joué un rôle important dans la trahison de la pensée bouddhique qui revendique précisément l’indépendance totale de l’esprit par rapport à la matière – rendant seule possible la transmigration ».

Autre spécificité de Louise David, selon Marion Dapsance : son objectif, à 30 ans, n’était ni l’épanouissement personnel ni le service d’autrui, « mais simplement la survie face à une société conçue comme aliénante ». En ce sens, elle adhéra à un club anarchiste bruxellois et s’engagea dans la rédaction d’écrits politiques et féministes – à une époque où une femme qui ne souhaitait pas se marier n’avait guère d’autre choix que de devenir une « demi-mondaine », tout en poursuivant une carrière de chanteuse sous le pseudonyme d’Alexandra Myrial.

Le panthéisme hindou, "un athéisme mystificateur et cynique"

Après avoir épousé à 36 ans Philippe Néel de Saint-Sauveur, elle continua sa vie d’errance entre capitales européennes, Asie et Afrique du Nord – elle fut un temps directrice artistique du casino de Tunis. Son mari ayant mis sa fortune à sa disposition, même s’ils ne vécurent jamais ensemble après leur mariage, celle qui est désormais connue comme Alexandra David-Néel part pour l’Inde, en 1911, avec l’intention d’écrire sur « Le Vêdanta vivant ». Elle y rencontre quelques brahmanes mais, à aucun moment, ne recherche un guru ou un guide spirituel : à ses yeux, écrit Marion Dapsance, « le panthéisme hindou est un athéisme mystificateur et cynique ».

Avec ce même manque d’estime pour ce qu’elle appelait le « lamaïsme », l’exploratrice rencontre à Kalimpong, près de Darjeeling, le 13e dalaï-lama dont elle parle comme du « pape jaune » ou du « grand manitou ». Et « lorsqu’elle constate la religiosité des peuples de Ceylan, d’Indochine et du Tibet, elle conclut, dénonce Marion Dapsance, que ces gens ne sont pas des bouddhistes authentiques
».


*) Dès 1888, Alexandra David-Néel fréquente la franc-maçonnerie et atteindra le 30ème degré dans le rite écossais ancien et accepté.



de Marion Dapsance

Alexandra David-Neel (1868-1969) est présentée comme une figure spirituelle majeure du XXe siècle. Ses longs voyages en Inde et en Asie, sa connaissance du bouddhisme et des coutumes tibétaines, son intérêt pour les philosophies orientales laissent penser que cette femme de lettres s'est engagée dans une quête mystique et a fini par adopter les croyances de l'Extrême-Orient. 


Une lecture attentive de ses écrits montre qu'Alexandra David-Néel était au contraire une matérialiste convaincue, hostile à toute forme de religion

Ce livre, fondé sur des textes connus, oubliés et inédits, retrace l'itinéraire de cette femme hors du commun. Il montre la manière dont la jeune artiste lyrique Louise David, catholique convertie au protestantisme, à l'ésotérisme fin-de-siècle, puis au nihilisme et à l'anarchisme, s'est inventé un programme de vie hétéroclite qu'elle nomma « modernisme bouddhiste » et qui lui inspira un personnage devenu mythique : Alexandra David-Néel, journaliste-orientaliste, « lampe de sagesse », « femme aux semelles de vent »


mardi, novembre 12, 2019

Pédocriminalité, l'enquête que les médias ne feront jamais

(Durée 18:01)

ARENBERG, BRUNEL, ZAMPOLLI, CLAUDE HADDAD, PEDOHELP, et éducation sexuelle...

0:25 - Fabrizio Cerina / Paolo Zampolli 
03:17 - John Casablancas, Jean Luc Brunel, Claude Haddad 
04:34 - Giuseppe Cipriani, Harvey Weinstein 
05:49 - Prince Pierre d'Arenberg, ICMEC, FAPE, Chirac 
08:25 - pedo help, association une vie, rutgers, ippf

Une enquête de RevoFsociety

 (* Le "Black Book", le carnet d'adresses de Jeffrey Epstein contient des dizaines de noms de personnalités françaises : Jean-Luc Brunel, Jacques de Crussol d’Uzès (héritier du domaine d'Uzès ), Hermine de Clermont-Tonerre (actrice et figure du gotha), Jean-Yves Le Fur (hommes d'affaires), Albert Benamou (gérant d'une galerie d’art parisienne), les princes Louis Albert de Broglie et Pierre d'Arenberg, Azzedine Alaïa (designer de mode), Marie Joseph Experton (avocate), Alberto Pinto (photographe et designer d'intérieur), Betty Lagardère (épouse de l'homme d'affaire Jean-Luc Lagardère), Edouard de Rothschild (homme d'affaires et héritier de la famille Rothschild), Jacques Grange (décorateur et architecte d'intérieur), Philippe Junot (banquier, premier mari de Caroline de Monaco)... Lire : Rothschild, Lagardère, Clermont-Tonerre : qui sont les contacts français du “Livre noir” de Jeffrey Epstein ?

Voir la vidéo de Radio Québec : 
"Epstein, les médias complices" 


lundi, novembre 11, 2019

L'immolation par le feu d'un étudiant, Macron, les sionistes parasites et criminels... Verdi explose

Un étudiant s'immole par le feu : "J'accuse Macron de m'avoir tué"

(Durée 27:10)

Le 8 novembre, un étudiant stéphanois de 22 ans, en détresse sociale, désespéré par la société imposée par Macron, s'est immolé à Lyon. Dans une lettre, il accuse Macron et le rend directement responsable de son suicide. Son corps est brûlé à 90% :

« Aujourd'hui, je vais commettre l'irréparable, si je vise donc le bâtiment du CROUS à Lyon, ce n'est pas par hasard, je vise un lieu politique, le ministère de l'enseignement supérieur et la recherche et par extension, le gouvernement.

Cette année, faisant une troisième l2, je n'avais pas de bourses, et même quand j'en avais, 450€/mois, est-ce suffisant pour vivre ?

J'ai eu la chance d'avoir des personnes formidables autour de moi, ma famille et mon syndicat, mais doit-on continuer à survivre comme nous le faisons aujourd'hui ?

Et après ces études, combien de temps devrons-nous travailler, cotiser, pour une retraite décente ? Pourrons-nous cotiser avec un chômage de masse ?

Je reprends donc une revendication de ma fédération de syndicats aujourd'hui, avec les salaires étudiant et d'une manière plus générale, le salaire à vie, pour qu'on ne perde pas notre vie à la gagner.

Passons à 32 heures de travail par semaine, pour ne plus avoir d'incertitudes vis-à-vis du chômage, qui conduit des centaines de personnes comme moi chaque année à ma situation, et qui meurent dans le silence le plus complet.

Luttons contre la montée du fascisme, qui ne fait que nos diviser et créer et du libéralisme qui crée des inégalités.

J'accuse Macron, Hollande, Sarkozy et l'UE de m'avoir tué, en créant des incertitudes que l'avenir de tous-tes, j'accuse aussi le Pen et les éditorialistes d'avoir créé des peurs plus que secondaires… »

Le 9 novembre était le 49ème anniversaire de la mort du Général de Gaulle. Un événement la plupart du temps passé sous silence dans les merdias. Pourtant, plus que jamais, il est la référence, en particulier pour combattre l’erreur de casting qu’est Macron. 

Un nouvel ordre mondial aux mains des sionistes, qui sont le parasite du judaïsme

Les oiseaux de mauvais augures qui prédisent tout et n’importe quoi ne font qu’agiter les spectres de la peur, sans fondement, notamment en parlant sans cesse d’effondrement financier. Ce faisant, ils servent les desseins du Nouvel Ordre Mondial. Un nouvel ordre mondial aux mains des sionistes, qui sont le parasite du judaïsme. [...]

11 Novembre 1918, la Première Guerre mondiale prend fin...  "Guerre voulue par les sionistes qui visaient la création d'un Etat religieux en Palestine." [...]

"Les sionistes sont derrière tous les coups bas de la planète. Ce sont eux qui sont derrière la création de groupes terroristes ; qui troublent les esprits y compris de musulmans qui se laissent abuser. [...]

En ce jour de commémoration de la fin de la Première Guerre mondiale, Verdi est catégorique : "c'est à cause des sionistes qu'il y a eu des millions de morts supplémentaires (durant la Première Guerre mondiale). Des millions de vies auraient pu être épargnées si les sionistes n'étaient pas intervenus en 1917. En 1917, le Kaiser, empereur d'Allemagne, demande à négocier. Les Rothschild interviennent et incitent à la capitulation totale des Allemands en échange de la création d'un Etat juif en Palestine." Pour affaiblir l'Allemagne, les Britanniques, complices des sionistes, feront durer la guerre au prix de millions de vies. 

Le sionisme mondialiste est criminel. Son Nouvel Ordre Mondial est une entreprise satanique.

Verdi dénonce souvent le Nouvel Ordre Mondial. A partir de 17:55, il en fait un résumé particulièrement clair et désigne aussi les principales institutions qui participent à ce plan démoniaque.

Lecture :

Les illusions perdues
Angelo Diano

De plus en plus d’êtres humains sont en grande souffrance matérielle et morale. La manipulation des esprits par les puissants médias, que sont la télé et internet, via les réseaux sociaux, annihile les velléités de révolte contre les injustices. Elle endort les consciences, déboussole les femmes, désoriente les gens. L’ultra-libéralisme fait des ravages à travers le monde, pour le profit d’une poignée d’exploiteurs. 

Au cours des dix dernières années, la France s’est cherchée un président à la hauteur des enjeux. Sarkozy a été chassé en 2012, après un quinquennat calamiteux. Hollande, un faux homme de gauche, l’a remplacé, en poursuivant la même politique destructrice du tissu social. Comble de l’ironie, en voulant dégager les politiciens profiteurs, qui ont encombré les trente dernières années, les Français ont porté Macron au pouvoir, un sémillant technocrate, qui a la caractéristique d’être d’abord le président des riches et le défenseur de la finance ! 

Comme ses deux derniers prédécesseurs, l’ex-banquier d’affaires Macron est avant tout un serviteur zélé du capitalisme débridé, maintenu coûte que coûte par les Etats-Unis, un pays dont le comportement hégémonique menace le monde. 

Ce livre est un recueil des articles de l’auteur, publiés sur Agoravox, sous le pseudonyme de Verdi.


Agents de la finance apatride coupables de haute trahison.
(...) ceux de la synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent...  (Apocalypse 3/7-9)

L'exhumation de Franco, une vengeance talmudo-maçonnique


La dépouille de Franco a été exhumée le 24 octobre 2019. Il était porté par 8 membres de sa famille, dont l'héritier du trône de France, Louis de Bourbon, qui est son arrière-petit-fils français. 

Le corps de Franco a été transféré au cimetière de Mingorrubio, dans le nord de Madrid. Son exhumation était voulue par Pedro Sanchez. 

Le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez est considéré comme un agent de la franc-maçonnerie pour l'Espagne. Son programme politique contient tout ce que le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.) exige : l'idéologie du genre, l'interdiction de la petite propriété privée (Rothschildo-Marxisme ou nouveau féodalisme mondial des ultra-riches dépossédant le peuple-serf), bien entendu la christianophobie, etc.

L'exhumation de la dépouille de Franco, le dictateur anti-maçonnerie, apparaît nettement comme une vengeance talmudo-maçonnique.



FRANCO CONTRE LA FRANC-MAÇONNERIE


Le seul chef d’Etat d’après-guerre à dénoncer dans un discours public la Maçonnerie !

Son père en était, écrit-il de la Franc-maçonnerie introduite comme partout par l’Angleterre, dans un de ses articles parus depuis le 14 décembre 1946 jusqu’au 3 mai 1951 dans le journal de la Phalange, « Arriba » (debout, par allusion au cri antiséparatiste et antibolcheviste « Arriba Espana ! ») sous le pseudonyme de Jakim Boor, au temps du blocus, (que taisent aujourd’hui les historiens de cour, n’évoquant que le refus du Plan Marschall pour l’Espagne), formé contre l’Espagne, et qui ont été réunis dans un livre, paru en 1952, à Madrid, intitulé Masoneria (Grafica Valera.), lisible sur la toile (cf : Massoneria).

Après avoir surmonté cet obstacle et en dépit de l’assassinat, le 20 décembre 1973, du successeur par lui désigné, l’amiral Carrero Blanco (né en 1903 à Santonia, en Cantabrie, au nord de l’Espagne) dans un terrifiant attentat madrilène dont seule la C.I.A. avait les moyens, l’Espagne, à la mort du prétendu dictateur, en fait, chef de la nation, tenait un rang important, dans les dix premières nations de puissance atomique et industrielle, enviable, dont l’expérience intéressera, en particulier, l’Iran ; et, grâce au syndicalisme phalangiste, avec une protection sociale permettant des loyers modérés et donc la possibilité pour des jeunes familles, à la différence d’aujourd’hui, de se former pour l’avenir de la race espagnole dont l’idéal demeura toujours, au cour des âges, aristocrate.

Il nommait son action pendant la « guerre civile » de 1936 à 1939, la guerre de libération, et la dictature, entendue comme tyrannie, s’entendait de la Maçonnerie et de son allié communiste.

Il faut retenir aussi, qu’en pleine terreur dont des Basques aveuglés, – y compris dans les séminaires plus « rouges » que chrétiens – étaient l’instrument, avec l’E.T.A., laquelle avait frappé même des policiers hors service, dont un garde-civil père de famille dans une pâtisserie où il achetait des gâteaux pour les siens, alors que des défilés « parisiens » se formaient, Mitterrand en tête, pour protester de leur antifascisme, – croisade de la City pour épuiser et conquérir les peuples par le terrorisme !-, le généralissime espagnol fut le seul chef d’Etat d’après guerre, à proclamer, comme il l’a fait au balcon de la place madrilène d’Orient, le 1er octobre 1975 que :

« tout obéit à une conspiration maçonnique gauchiste dans la classe politique en collusion avec la subversion communiste terroriste dans le social »


(« Todo obedece a una conspiración masónica izquierdista en la clase política en contubernio con la subversión comunista-terrorista en lo social »), devant une foule en liesse, tous âges confondus, saluant la conclusion du discours à la romaine en chantant « Cara al Sol con la camisa nueva… » (« Face au soleil avec la chemise neuve… », écrit en collaboration, par José Antonio et mis en musique par le compositeur basque Juan Tellera, 1895-1949). En réponse aux exécutions légales des terroristes avérés, les bâtiments des représentations espagnoles avaient été attaqués en Europe, l’Ambassade au Portugal prise d’assaut et complètement brûlée, après que ce pays ait versé, avec la « Révolution des œillets » (Revolução dos Cravos, 25 avril 1973), dans la démocratie maçonnique.


Le discours est tronqué, mais on entend bien dans la bouche d’un Franco affaibli par une insuffisance coronarienne qui devait l’emporter, le mois suivant, le 20 novembre, le mot de « contubernio » (collusion) qui désigne le lien, si remarquable aujourd’hui et particulièrement en Syrie, entre maçonnisme et terrorisme islamo-bolcheviste, à savoir d’un bolchevisme aux couleurs islamiques, et gouvernements maçonnisés, de Londres à Ankara !

La santé du Chef de l’Etat soigné à son domicile où il continua son activité, surveillé à distance par ses médecins, fut, comme ils le reconnaissent, rapidement altérée par les soucis causés par le Roi du Maroc Hassan II, d’une dynastie hautement maçonnisée, mobilisant des civils pour envahir le Sahara espagnol, et, par la défense papale (celle de Paul VI qui avait des sympathies naturelles, familiales mêmes, pour l’entité sioniste qu’il visita, comme premier pape, et reconnut), des cinq ou six terroristes fusillés en septembre pour l’assassinat de policiers.

Un excellent témoignage en est fourni dans la video suivante :




Le séparatisme, œuvre maçonnique de désagrégation !

Qu’il soit dit, à l’intention des dupes du séparatisme favorisé par les Georges Soros « de tous les pays » mais qui n’ont qu’une volonté de maintenir leur tyrannie par un désordre contrôlé et perpétuel, que la tradition politique espagnole est celle d’une unité du divers des peuples qui la composent. Cela se voit dans les opinions droites ou principes d’action et directives du mouvement de la Phalange espagnole de Jose Antonio. Sa sœur Maria Pilar qui resta insensible jusqu’à sa mort aux sollicitations de la démocratie désorganisatrice qui n’accouche que du chaos, a, dans ses Mémoires d’une Vie (« Recuerdos de una Vida », 1983, Editions DYRSA, Madrid, 447pp.) établi, dans l’esprit du programme de la révolution nationale, la politique ou le fonds de la pensée active phalangiste sur ce thème : de citer son frère s’exprimant ainsi le 29 octobre 1933 au Théâtre de la Comédie madrilène, pour la fondation du Mouvement :

« Que tous les peuples d’Espagne (Que todos los pueblos de Espana…), pour divers qu’ils soient (por diversos que sean), se sentent harmonisés dans une irrévocable unité de destin (se sentian armonizados en una irrevocable unidad de destino). » (op.cit. p.59)

Contre ce sentiment se mobilisa la Maçonnerie, qui ici prêchait la sécession, et là écrasait comme en France néo-jacobine, radical-socialiste etc… les pays, qui sont autant de piliers ou d’arcs qu’en porte une cathédrale, sous le poids d’une organisation tyrannique, fiscale, théiste en paroles et en fait athée, avec son temple froid de la fraternité ou solidarité abstraite, sans charité, mais égoïste et rapace.



Discours de la Place d’Orient





Extraits du discours :

« Espagnols ! Merci pour votre adhésion et pour la sereine et virile manifestation publique que vous m’offrez en réparation aux agressions dont ont été l’objet plusieurs de nos différentes représentations diplomatiques et établissements espagnols en Europe, qui nous démontrent une fois de plus ce que nous pouvons espérer de certains pays corrompus, ce qui éclaire parfaitement leur constante politique contre nos intérêts. Mais ce n’est pas le plus important, mais bien ce qui se présente sans son apparence, la prise d’assaut et la destruction de notre Ambassade au Portugal survenus dans l’état d’anarchie et le chaos dans lequel se débat la nation frère, et rien ne nous tient plus à cœur que soient rétablis chez elle l’ordre et l’autorité [el orden y la autoridad]. Tout obéit à une conspiration maçonnique gauchiste dans la classe politique en cheville avec la subversion communiste terroriste dans le social, en sorte que tout ce qui pour nous est honneur, chez eux est dégradation. .Ces manifestations démontrent, par ailleurs, que le peuple espagnol n’est pas un peuple mort, dont on se moque. Celui-ci s’est réveillé et garde sa raison, et sa confiance en la valeur des forces gardiennes de l’ordre public, et en la garantie suprême des forces de terre, de mer et de l’air, en appuyant la volonté de la nation; permet au peuple espagnol de reposer tranquillement. A l’évidence, le peuple espagnol est redevenu aujourd’hui quelque chose dans le monde. Arriba Espana ! »

Après la seconde guerre mondiale, les « frères » en question, celui qui proposa le blocus onusien, Trygve Lie (33ème degré), et le Président des U.S.A. et atomiseur du Japon (de deux villes chrétiennes), Harry Truman (1884-1972, initié le 9 mai 1909, Grand Maître de La Loge du Missouri), frères espagnols et mexicains, entre autres furieux, crurent pouvoir ainsi étrangler l’Espagne par la faim et un blocus industriel, par exemple de pièces détachées, pour aider à l’instauration d’une démocratie selon leurs vœux.

Notre défunt ami catalan français Jean Roux, qui organisait chaque année un repas des « Anciens » et dont l’épouse échappa, jeune fille, aux massacres et tortures des Rouges immigrés d’Espagne exerçant leur œuvre sadique à la Citadelle de Perpignan, en 1944, en passant les Pyrénées, grâce à la Garde Civile qui sauva de nombreux proscrits français, s’était réfugiée chez son frère à Barcelone – nous rappelait l’action des nationaux du Roussillon pour rompre ce blocus. Jean Roux parla plus tard, avec foi, à la radio iranienne.



L’Angleterre initiatrice de la Maçonnerie en Espagne, et du blocus de 1946

L’Angleterre et la France à sa suite, avec un gouvernement démocrate-chrétien (Mouvement Républicain Populaire M.R.P.), en prirent l’initiative ; mais l’Angleterre, plus subtile et réaliste, rompit avant la France le blocus. Ce fut le contraire de leurs espoirs qui se produisit : toute la nation espagnole, avec ses peuples, comme un principe spirituel aimantant l’énergie des âmes, se souda autour de Franco, tels les Syriens autour de Bachar El Assad ! Et alors la dirigeante communiste, secrétaire générale puis présidente du Parti de 1942 à 1989, la basquaise rouge Dolores Ibarruri (1895-1989, par ailleurs, comme il faut savoir, de famille catholique et de père politiquement de la faction monarchiste dite carliste), réfugiée chez Staline et ses successeurs, fulmina, croyant entrer pour y régner en souveraine avec comme bijoux la faucille et le marteau, sans qu’elle eût pu néanmoins dépasser des spécialistes en la matière, comme la moldave Hannah Rabinsohn (1893-1960, mariée Pauker), en Roumanie, ou l’avocate ministresse de la justice, Hilde Lange (1902-1989) surnommée « la Guillotine Rouge », mariée Benjamin (parent de Walter Benjamin de l’Institut de Marxisme mieux connu sous le nom « d’École de Francfort »), en zone allemande centrale soviétisée. La soi-disant République espagnole exilée au Mexique où sévit longtemps un parti gouvernemental trostkyste, le Parti Révolutionnaire Institutionnel, crut arrivé le jour de la restauration du carnaval d’avant-guerre.

Mais le pays tint bon, et ce fut le général Perón (1895-1974) qui força le blocus (sa formule « Salvamos Espana ! ») de la faim. Le secrétaire de Léon Degrelle (1906-1994), feu Raimond Van Leeuw, nous conta dans son appartement madrilène où il devait nous présenter son ami patriote castillan Alberto Torressano (dont le père fut secrétaire du ministre et beau-frère de Franco et intime de José Antonio, le plus que centenaire Ramon Serrano Suner, 1901-2003), avoir vu dans de très nombreux pueblos ou villages en fête dansant, priant et chantant, la réception grandiose de la tenace et belle Eva surnommé affectueusement Evita Duarte, mariée Perón, morte jeune (1919-1952), seconde épouse du chef de l’Etat argentin, deux fois veuf, laquelle fit, en deux semaines, du 9 au 26 juin 1947 (sauf erreur), le tour du pays la remerciant de l’entrée des viandes, céréales et autres produits dans le pays mère. « Tout ce que Truman nous refuse, Peron nous l’accorde », lit-on dans la presse. L’Argentine, par le port de Cadix, avait permis à l’Espagne, berceau de son hispanité, de briser ce complot ignoble visant à son abaissement définitif.

C’est dans le climat de lutte pour l’existence espagnole que le général Franco rédigea des études réunies dans ce livre érudit, brillant et énergique, empreint d’une haute spiritualité, dont nous détaillons quelques points :

A. L’introducteur anglais, en Espagne, de la maçonnerie, le duc de Wharton 
(art. du 5 février 1947) :

« L’implantation de la maçonnerie en Espagne coïncide avec sa décadence. Felipe Wharton, premier et dernier duc anglais de Wharton, vrai escroc et aventurier, la fonda en 1728. Tous les attraits et les vices étaient thésaurisés par ce personnage. Marié en secondes noces en Espagne avec Teresa O’Byrne, fille du colonel du régiment irlandais Hiverni, au service de l’Espagne, et dame d’honneur de la Reine espagnole. Il fut blessé devant Jibraltar (ainsi écrit dans l’original) en combattant ses compatriotes, nommé colonel adjoint du régiment irlandais, au moment où l’Angleterre le répudiait pour trahison. Il se convertit aussi au catholicisme, à l’article de la mort, fonda la première loge à Madrid sous obédience et en bonne relation avec la Grande Loge de Londres. A Madrid, il s’éleva par l’appui de la noblesse, accumulant prestige social et influence politique. Mais la personne du duc de Wharton, beau, généreux, éloquent, érudit intelligent, ambitieux, menteur, pillard, voleur et ivre, comme le qualifient les historiens de la nation anglaise, mérite bien, comme père de notre maçonnerie, un chapitre à part. »


B. Le contraire de la démocratie 

(5 Janvier 1947)


Cette appréciation de Franco est originale et arrache le masque démocratique à cette organisation criminelle qui assassine ses propres membres désobéissants, et de donner l’exemple de l’amiral Darlan. Il y revient en un autre endroit :

« La maçonnerie se montre ainsi le plus grand ennemi de la démocratie. La démocratie est publique, la maçonnerie est secrète ; la démocratie reconnaît des droits, la maçonnerie les écrase (los avasalla) ; la démocratie pose en principe le libre-arbitre des associations politiques, la maçonnerie les assujettit au serment et à la peine de l’irradiation ou, le cas échéant, de mort, sur l’ordre de ses supérieur (…) Le maçon est obligé d’obéir à l’encontre de sa propre convenance, des intérêts sacrés de sa patrie et des impératifs de sa propre foi. On profite de la démocratie pour trahir la démocratie. Aucun pays n’échappe habituellement au phénomène. »



C. L’entité sioniste


Jamais Franco ne reconnut l’entité sioniste, et celle-ci ne le fut que par le socialiste Felipe Gonzales : d’une part Franco suivait la politique de l’Eglise catholique romaine qui, conformément au dit droit romain, jusqu’à ce que Paul VI rompit avec cette sagesse (pour des raison bien personnelles), refusait alors tout Etat qui n’avait point de frontières déclarées. Ce qui est toujours le cas de cet « Etat » ; et d’autre part, le Caudillo avait ses propres raisons exposées dans son article du 9 juillet 1950 :

« Un autre point névralgique de cette infiltration soviétique que la maçonnerie nous offre est celle de l’Etat d’Israël où, sous prétexte de créer un Etat confessionnel juif, on a procédé à une concentration d’éléments athées du centre de l’Europe et des bas -fonds internationaux [y de los bajos fondos internationales], lesquels viennent en taxant de pharisiens et d’arriérés les ministres et représentants du culte mosaïque (ou mosaïste). Ce qui voulait être un Etat juif fondé sur les vieux moules du judaïsme international, se convertit en un foyer de concentration de gens sans foi et sans racine [foco de concentración de gentes sin fe y sin arraigo} ouverts aux consignes et aux influences étrangères. »



D. Le serment de passage au 16e degré du rite écossais : restituer Jérusalem aux Hébreux 

(art. 9 juillet 1950, Manœuvres maçonniques) :

« Une fois de plus la Russie profite de l’état de choses que la maçonnerie lui offre pour servir ses intérêts. La Russie connaît la grande influence du judaïsme dans la politique américaine…, la présence dans de nombreux gouvernements européens de membres importants des sectes maçonniques, le serment prêté par eux au passage des grades XV à XVI de « chevalier de l’Orient ou de l’épée et des princes de Jérusalem » respectivement : « de restituer au peuple hébreu tout ce qu’il a perdu par la force », et en attendant aidait et soutenait les attentas terroristes de Stern au Proche-Orient, travaillait dans les réunions internationales pour favoriser les idéaux sionistes qui mettraient des bombes dans le camp de ses ennemis, donc pour la Russie, avant la guerre et après la guerre, les nations qui ne s’y soumettent pas sont toujours ses ennemis.

Rien de plus soucieuses que les nations occidentales à maintenir la paix et l’ordre au Moyen-Orient : mais aucune non plus plus intéressée que la Russie à créer un centre de dissociation dans le front uni qu’offre le Proche-Orient aux ambitions de l’expansion soviétique. Le moment ne pouvait être plus favorable. La création d’Israël fut un accouchement soviétique [un parto sovietico]. Ainsi tout comme dans le cas de Lie [maçon norvégien et agent stalinien], l’on a également Ben Gourion avec la complexité de sa double nationalité, lequel déjà avec des noms différents a milité dans les rangs communistes.

Ne perdons pas de vu le mince Etat d’Israël, lequel, si petit que soit son contenu, est ambitieux dans ses aspirations, qui atteignent les limites de l’Euphrate, que pour si disparate que celui-ci nous paraisse, existe, laquelle alimente le feu qui peut un jour se convertir en incendie dévorant à travers lequel font irruption les tanks des barbares modernes ! »


E. L’assassinat de l’amiral Darlan à Alger, conflit entre maçonnerie anglaise et U.S. 

(art. 14 décembre 1946)


L’amiral François Darlan (7 août 1881-24 décembre 1942) était une personnalité politique et militaire de famille républicaine maçonnisée, comme l’establishment de la IIIe République. Franco examine les raisons de son assassinat par un jeune écervelé monarchiste Bonnier de la Chapelle manipulé par des forces obscures et lui-même immédiatement fusillé :

« L’assassinat de Darlan fut réalisé par la maçonnerie. Comme l’Intelligence Service, la maçonnerie jouait son rôle dans les guerres. Darlan maçon, contre les ordres de la maçonnerie , était passé pour être l’homme des Etats-Unis, et devait disparaître, comme tant d’autres personnages importants pendant le conflit .La présence de Darlan en Afrique et sa nomination comme chef suprême, privait De Gaulle considéré par les Anglais comme leur homme, de l’appui des uniques forces sur lesquelles la France comptait jusqu’à présent; la nord-africaine. Il fallait que disparaisse l’obstacle. »



F. La maçonnerie française et sa carte de l’Espagne amoindrie (ibidem) :

« De M. Jouhaux (1879-1951, syndicaliste parisien, Prix Nobel de la Paix, fondateur de Force Ouvrière), un des organisateurs principaux des Brigades Internationales dans notre guerre de Libération, nous ne pouvions pas espérer autre chose; l’esprit anti-espagnol et de mauvais voisinage de la maçonnerie française depuis de nombreuses années que nous en souffrons, a été un moyen dont se prévaut la nation française pour supprimer une frontière. Mais non contente de cela, elle aspirait à plus, et le chemin de son chauvinisme et de ses ambitions, est arrivé durant notre guerre de Libération à distribuer pour le sud de cette fameuse feuille avec une carte de notre région pyrénéenne attenante avec sa frontière, dans laquelle dans le fleuve Aragon s’unissent au nord de Huesca deux zones, la Catalogne à l’Est et à l’Ouest, le Pays Basque (Vasconia) ; l’Espagne interposée entre les deux, apparaît marquée au sud. Des lettres éloquentes se détachaient sur le dessin, en bleu : « Une Espagne forte est une mouche dans la nuque de la France »; et il était alors à aider les rouges. »



G. La puissance maçonnique bridée par les fascismes 

(art. Sous la dictature maçonnique, 19 août 1949) :


« A la grande crise dont souffrit la maçonnerie avec la montée de Mussolini et d’Hitler qui firent accéder au gouvernement de leurs nations de nouveaux politiciens, en leur quasi totalité étrangers à la maçonnerie (en su casi totalidad extranos a la masonería) succéda cette autre période de revanche maçonnique (periodo de revancha masonica) dans laquelle maçons et politiciens prennent le Pouvoir, et, profitant de la période d’exception immédiate d’après guerre, au croisement des tribunaux populaires et des actions illégales d’éliminatio , visent la disparition ou l’incarcération, sous prétexte de collaboration, des intellectuels et des patriotes qui étaient leurs adversaires: la persécution de Maurras, la prison prolongée du vénérable Maréchal vainqueur de Verdun [né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour (Pas-de-Calais) et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l’île d’Yeux] et le cruel refus de l’allègement de sa condamnation obéissent à la passion sectaire et à la décision des loges maçonniques. Parmi les milliers de personnes éliminées en France clandestinement et sans procès une grande proportion correspond aux adversaires de la maçonnerie ou d’éléments radiés par elle. »

Pierre Dortiguier




dimanche, novembre 10, 2019

Le B’nai B’rith


"La suppression radicale de la circoncision au 8ème jour réglerait la question juive (Comme je l’ai expliqué dans mes ouvrages secrets). Mais, hélas, le Judéo-Cartésianisme est lancé et rien ne peut désormais arrêter sa course vers le néant.
Le Rothschildo-Marxisme va nous exterminer.
Après les ruines… On verra !
Après l’âge de fer, du béton, des ténèbres, ce sera l’âge d’or mais nous ne serons plus là pour le voir."


Roger Dommergue



Dans son livre VÉRITÉ ET SYNTHÈSE (PDF gratuit ICI), le professeur juif Roger Dommergue Polacco de Menasce reprend des déclarations qui auraient été faites au sein du B’nai B’rith.

"Cette secte maçonnique exclusivement juive, écrit 
Roger Dommergue Polacco de Menasce, est donc interdite aux Goyim. Les propos qui y furent tenus ont été cités par « Le Réveil du Peuple » de février 1936 : 

Aussi longtemps que subsistera parmi les Goyim une conception morale de l’ordre social, et aussi longtemps que la foi, le patriotisme et la dignité n’auront pas été déracinés, notre règne sur le monde est impossible.

Nous avons déjà accompli une partie de notre tâche mais nous ne pouvons encore prétendre que tout le travail est accompli. Nous avons encore un long chemin à parcourir avant de renverser notre principal ennemi : l’Eglise catholique. Nous devons toujours avoir à l’esprit que l’Eglise catholique est la seule institution qui s’est maintenue et qui, tant qu’elle se maintiendra, nous barrera la route.

L’Eglise catholique, par son travail méthodique et par ses enseignements édifiants et moraux, tiendra toujours ses enfants dans un tel état d’esprit qu’ils auront trop de respect d’eux-mêmes pour plier devant notre domination et pour fléchir devant notre futur roi d’Israël.

C’est pourquoi nous nous sommes efforcés de découvrir le meilleur moyen de secouer l’Eglise catholique dans ses bases profondes. Nous avons répandu l’esprit de révolte et un faux libéralisme parmi les nations des Goyim de façon à les persuader d’abandonner leur foi et même à leur inspirer la honte de professer les préceptes de leur religion et d’obéir aux commandements de leur Eglise. Nous avons conduit de nombreux parmi eux à se vanter d’être des athées et mieux encore, à se glorifier d’être des descendants du singe !

Nous leur avons fourni des théories nouvelles de réalisation radicalement impossible, telles que le communisme, le socialisme ou l’anarchisme.

Ces mythes servent nos fins. Les Goyim, stupides, les ont acceptés avec le plus grand enthousiasme sans réaliser le moins du monde que ces théories viennent de nous et qu’elles constituent un puissant instrument contre eux-mêmes.

Nous avons noirci l’Eglise par les plus ignominieuses calomnies. Nous avons sali son histoire et jeté le discrédit sur ses plus nobles activités. Nous lui avons imputé les torts de ses ennemis et avons amené ces derniers à se rapprocher plus étroitement de nous. Ainsi nous sommes aujourd’hui les témoins satisfaits de rébellions contre l’Eglise dans plusieurs pays.

Nous avons transformé son clergé en objet de haine et de dérision. Nous l’avons exposé au mépris de la foule. Nous avons fait considérer comme démodés et comme perte de temps, les pratiques de la religion catholique.

Les Goyim, à notre stupéfaction, se sont montrés des dupes extraordinaires. On s’attendait à plus d’intelligence et de sens pratique de leur part mais ils ne valent pas mieux qu’un troupeau de moutons : laissons les paître dans nos champs jusqu’à ce qu’ils soient assez gras pour être immolés à notre futur Roi du Monde.

Nous avons fondé de nombreuses associations secrètes qui travaillent à nos fins, sous nos ordres et notre direction. Nous avons fait en sorte que les Goyim considèrent comme un honneur d’en faire partie. Elles sont plus florissantes que jamais grâce à notre or.

Les Goyim qui trahissent ainsi leurs intérêts les plus précieux, doivent ignorer que ces associations sont notre oeuvre et qu’elles travaillent pour nous. L’un des nombreux triomphes de la Franc Maçonnerie est que les Goyim ne soupçonnent même pas que nous nous servons d’eux pour construire leur propre prison, et qu’ils forgent les chaînes de leur propre servilité à notre égard.

Jusqu’ici nous avons conduit nos attaques contre l’Eglise suivant une stratégie opérant de l’extérieur. Mais ce n’est pas tout. Voyons maintenant comment nous avons procédé pour hâter la ruine de l’Eglise, comment nous avons pénétré dans ses cercles les plus intimes et amené une grande partie de son clergé à se faire les chantres de notre cause.

En plus de l’influence de notre philosophie, nous avons pris d’autres mesures pour ouvrir une brèche dans l’Eglise. Nous avons induit certains de nos enfants à se joindre au corps catholique, avec l’intimation explicite qu’ils devaient travailler d’une façon encore plus efficace à la désintégration de l’Eglise en créant des scandales dans son sein. Nous avons obéi à l’ordre séculaire : « faites de vos enfants des chanoines afin qu’ils puissent détruire l’Eglise ».

Malheureusement des Juifs convertis n’ont pas tous été fidèles à leur mission. Plusieurs d’entre eux nous ont trahis. Mais un grand nombre a tenu sa promesse et fait honneur à sa parole.

Nous sommes les pères de toutes les révolutions, même ce celles qui parfois se sont retournées contre nous. Nous sommes les maîtres suprêmes de la paix et de la guerre. Nous pouvons nous vanter d’avoir été les créateurs de la Réforme. Calvin était Juif, l’autorité juive lui fit confiance et il eut l’aide de la finance juive pour dresser son plan de réforme.



Martin Luther céda aux influences de ses amis Juifs et grâce à l’autorité et à la finance juive, son complot contre l’Eglise fut couronné de succès.

Grâce à notre propagande à nos théories sur le Libéralisme, à notre définition perverse de la Liberté, les Goyim furent prêts à accepter la Réforme. Ils se séparèrent de l’Eglise pour tomber dans nos filets. L’Eglise s’affaiblit, son autorité sur les rois fut réduite à néant.

Nous sommes reconnaissants envers les protestants pour leur loyauté à nos desseins. Mais la plupart d’entre-eux ignorent totalement qu’ils nous sont loyaux. Mais nous leur sommes reconnaissants pour l’aide merveilleuse qu’ils nous donnent dans notre lutte contre le château-fort de la civilisation chrétienne et nos préparatifs vers l’avènement de notre suprématie sur le monde entier et les royaumes de Goyim.

Nous avons réussi à renverser la majorité des trônes d’Europe. Les autres suivront dans un proche avenir. La Russie sert déjà notre domination. La France, avec son gouvernement maçonnique est entièrement à notre merci. L’Angleterre par sa dépendance à notre finance, est sous notre talon et son protestantisme détruira le catholicisme dans le pays. L’Espagne et le Mexique ne sont que des jouets entre nos mains.

De nombreux pays sont entre nos mains : les Etats Unis y sont intégralement. Mais l’Eglise est toujours vivante. Nous devons la détruire sans attendre davantage et sans la moindre pitié. La presse mondiale est sous notre contrôle. Encourageons de façon plus violente la haine contre l’Eglise catholique. Intensifions nos activités dans l’empoisonnement de la morale des Goyim. 

Répandons l’esprit de révolution dans le cœur des peuples.

Il faut les amener à mépriser le patriotisme, l’amour de leur famille, à considérer leur foi comme une fadaise, leur obéissance à l’Eglise comme une servilité dégradante de sorte qu’ils deviennent sourds à l’appel de l’Eglise et aveugles à ses cris d’alarme contre nous.

Par dessus tout rendons impossible la réunion à l’Eglise des chrétiens qui sont hors de son giron et la réunion des non chrétiens à l’Eglise. Autrement, le plus grand obstacle à notre domination sera raffermi et notre travail restera inaccompli. Notre complot serait dévoilé. Les Goyim se retourneraient contre nous dans un esprit de vengeance et notre domination deviendrait impossible.

Tant que l’Eglise aura des militants, nous ne serons pas les maîtres du monde. Les Juifs ne régneront que lorsque le Pape de Rome sera détrôné, comme tous les autres monarques de la terre."


vendredi, novembre 08, 2019

Roger Dommergue, le professeur juif qui dénonçait les troubles psychiques provoqués par la circoncision du 8ème jour

L'interview du professeur Roger Dommergue (1923-2013), un juif très critique à l'égard du judaïsme, sera bientôt supprimé de YouTube. En effet, début novembre 2019 à Munich, le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, a exigé de nouvelles lois pour censurer le Web.


A télécharger
(Pour ce faire, on peut, par exemple, utiliser le navigateur OPERA qui offre gratuitement l'extension "YouTube Video and MP3 Downloader". De plus, ce navigateur a un bloqueur de publicité intégré.)
(Durée 2:14:27)


"(...) la circoncision se pratiquant à un moment hormonal très important va induire une mentalité particulière : intelligence spéculative extrêmement développée, mais le plus souvent malheureuse, paranoïde, angoissée et privée dans ses oeuvres de sens moral et d'esprit de synthèse qui caractérisent l'évolution HUMAINE. (Freud, Marx, science analytique, action bancaire d'expropriation, de pollution et de soutien du Bolchevisme)." Roger Dommergue Polacco de Menasce, "Dossiers secrets du XXIe siècle".

L'holocauste des esclaves noirs

9 millions de victimes 


Quand, écrit Roger Dommergue,  la communauté noire internationale va-t-elle demander des réparations à la communauté juive pour l'immense préjudice que lui a causé le commerce juif des esclaves ? 



“God himself approves of the slave trade.”
(Rabbi Morris Raphall)

Quand dressera-t-on un monument commémoratif de ce crime de lèse-humanité à ne jamais oublier ?

Parmi ceux qui accompagnaient Christophe Colomb à son arrivée en Amérique, il y avait cinq juifs : Luis de Torres, Marco, Bernal, Alonzo de la Calle, Gabriel Sanchez. Ils persuadèrent Colomb de capturer 500 Indiens et de les vendre comme esclaves à Séville en Espagne. Les juifs furent chassés d'Espagne en 1492 et du Portugal en 1497. Ils s'installèrent aux Pays-Bas où ils fondèrent «la Compagnie hollandaise des Indes Occidentales» (c'est à dire l'Amérique).

En 1654, Jacob Barsimson fut le premier juif à émigrer de Hollande vers New Amsterdam (New York). De nombreux juifs le suivirent, s'établissant sur la côte et commerçant avec les autochtones. Le premier à exercer ainsi ce métier fut Layman Lévi qui échangeait des pacotilles venues de Hollande contre de précieuses fourrures. Les juifs Nicholas Lowe et Joseph Simon prirent alors part à ce fructueux commerce. Lowe eut l'idée de vendre du rhum aux Indiens sans méfiance. En un rien de temps la ville portuaire de Newport comptait 22 distilleries. Toutes appartenaient à des juifs. L'intoxication alcoolique des Indiens et les massacres perpétrés en état d'ivresse sur les premiers colons européens sont dus à cette initiative juive. 

Newport, qu'on appela longtemps «Newport juif», devint un centre mondial du trafic d'esclaves avec l'Afrique. Les bateaux partaient de Newport vers l'Afrique Occidentale pour y capturer leur cargaison humaine noire. 128 bateaux qui débarquaient des esclaves à Charleston appartenaient à des Juifs de Newport et de Charleston. La traite des esclaves était un monopole juif. Le juif Aaron Lopez joua un rôle très important dans ce monstrueux commerce de 1726 à 1774, il contrôla personnellement 50% de la traite de ces êtres humains dans toutes les colonies américaines.

En 1717 la première loge maçonnique fut fondée : 90% des membres en étaient juifs. Vingt ans plus tard la loge maçonnique King David fut fondée. Elle était entièrement juive.


Accompagnons le bateau «Abigaïl» du juif Aaron Lopez jusqu'en Afrique Occidentale. En mai 1752, il fut chargé de 34.000 litres de rhum, d'une énorme quantité de fers à mettre aux mains et aux pieds des Noirs qui seraient ramenés comme esclaves. Il y avait aussi pistolets, poudre, sabres, et une abondante camelote, comme fond de «commerce». Le capitaine Freedman était un juif. Trois mois plus tard ils abordaient la terre d'Afrique où de nombreux agents d'établissements juifs, travaillaient pour le compte des trafiquants d'esclaves, étaient sur place. Les choses se passèrent comme avec les Indiens: les chefs des tribus noirs étaient saoulés au rhum et vendaient or, ivoire et membres de la tribu. Souvent on menait les tribus noires à travers forêts et steppes jusqu'à la côte. Le trajet durait des semaines et beaucoup succombaient. Les cravaches empêchaient les colonnes d'esclaves de s'arrêter. On abandonnait à une mort affreuse ceux qui ne pouvaient suivre. Des ossements jonchaient les pistes. Arrivés à la côte, ils étaient laissés dans leurs fers, inspectés comme du bétail, et gardés par des chiens féroces.

On leur rasait le crâne et on les marquait au fer rouge, ce qui permettait de reconnaître les fugitifs. Pères, enfants, femmes étaient séparés et de désespoir certains se noyaient en se jetant à la mer. Un voyage sans espace de trois mois était atroce. Manque de place, scènes de folie pour quelques centimètres carrés, matière fécale, fouets pour faire régner le calme. Les femmes étaient violées par l'équipage. Les nombreux morts étaient jetés par-dessus bord.

Historiens et statisticiens évaluent à 9 millions le nombre des victimes de cette horreur juive banalisée. Véritable holocauste celui-là. 11 millions ont dû survivre débarqués dans les ports américains où ils furent vendus dans de véritables marchés à bestiaux.

Les bénéfices furent considérables: par exemple le voilier «la Fortuna» revint en Amérique avec 217 Noirs payés 4300 dollars et revendus 41.438 dollars. Dans le nord des États-Unis le trafic d'esclaves était interdit. Les juifs Sandifortd Lay, Woolman, Solomon et Benezet œuvrèrent afin qu'il devînt légal. L'institut Carnégie de Washington possède de nombreux documents qui prouvent de façon radicale que le vaste trafic d'esclaves fut un monopole juif, sur lequel les non-juifs n'avaient aucune participation. [...]


Parmi les habitants de Newport et de Charleston nous relevons plus de cent noms juifs participant au trafic d'esclaves et à l'exploitation des distilleries, depuis Isaac Gomez à Abraham All, en passant par Felix de Souza et Aaron Lopez connus comme les rois du trafic d'esclaves... Dans un article publié peu avant la guerre des six jours, le Professeur Shahak nous a montré que le trafic d'esclaves entre l'Europe et l'Orient, était entièrement entre les mains des juifs, autre « petit détail ...»

Tous les Juifs connaissaient cet horrible trafic, ce crime monstrueux. Pourquoi les rabbins n'ont-ils pas déféré les auteurs devant un tribunal? Pourquoi les honnêtes petits juifs n'ont-ils pas opposé une âpre résistance à ce génocide authentique, lui, et qui ne souffre pas de contradictions arithmético-techniques [comme au sujet de la révision à la basse – 10 x moins ! - du nombre des Juifs morts durant la Deuxième Guerre mondiale et l’impossibilité technique des gazages massifs d’êtres humains avec du Ziklon B !] ? Aujourd'hui encore l'immense majorité des Noirs aux U.S.A ont le statut social d'assisté. Or cette misère de la masse noire est due aux trafiquants juifs d'esclaves de l'époque.

Les descendants des trafiquants juifs sont-ils coupables, comme on veut que les Allemands le soient d'un holocauste plus que remis en question ? Qu'en pense Bronfman, roi de l'alcool et chantre milliardaire d'un holocauste de 6 millions de juifs, alors que l'American Jewish year book, fixe à 3.300.000 le nombre de juifs présents en 1941 en Europe occupée? Qu'ont fait les juifs en matière de réparations envers la population noire alors que l'Allemagne aura versé en 2030, la somme de 119 milliards 790 millions de marks (Multiplier par 3 pour avoir l'équivalent en francs) !!!

Que vont faire les Juifs pour entretenir la mémoire et le sentiment de culpabilité juive envers les Noirs ? Ce génocide va-t-il être rappelé sans cesse dans les médiats ? Les politiciens juifs vont-ils sans cesse demander pardon aux Noirs ? Va-t-on conduire les enfants juifs sur les lieux du crime ou à des expositions ? Vont-ils faire en sorte que cet horrible génocide ne tombe jamais dans l'oubli ?

Actuellement des êtres humains en provenance d'Asie, d'Amérique Latine et d'Afrique sont l'objet de trafics menés par des juifs. Que vont faire les juifs à leur égard ? Et les Palestiniens ? Qui en dehors du professeur Shahak, va s'élever contre le martyre et l'injustice qui leur est imposé ? Où sera le monument commémoratif et quelles réparations les juifs vont-il accorder aux Russes pour ceux massacrés dans des Goulags par un régime entièrement juifs par ses idéologues, ses financiers, ses politiciens, ses administrateurs et ses bourreaux carcéraux et concentrationnaires, ou réduits à des famines volontairement agencées comme en Ukraine où il y eut six millions de morts ?

Les juifs vont-ils demander pardon pour l'outrecuidance de leurs livres saints "racistissimes" : « Le peuple de Yahwé est le peuple distingué parmi tous les peuples.- Israël est le peuple élu entre toutes les nations - Le Seigneur t'a choisi pour être son peuple à lui parmi tous les peuples de la terre - Tous les peuples que le Seigneur ton Dieu te livre, tu les dévoreras et les regarderas sans pitié - De tes fils tu feras des princes par toute la terre - Yahwé a mis Israël à la tête de toutes les 3 nations - Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te rends pour les déposséder de leur territoire - Les Dieux des autres peuples sont des fantômes, des idoles et des démons.- Aux serviteurs des idoles il faut faire une guerre d'extermination.» Y a-t-il une phrase analogue de ce type mystico-mégalo-paranoïaco-raciste dans tout Mein Kampf ? Non ! Absolument pas. 



Roger Dommergue, 30 décembre 2004. 


Un rabbin
(qui n'est évidemment pas antisémite) écrit que les marchands juifs dominaient le marché des esclaves dans toutes les colonies américaines

"Nous vous invitons à lire ce que le rabbin Marc Lee Raphael a publié sur l’implication des Juifs dans l’esclavage. Professeur d’études judaïques au Nathan and Sophia Gumenick, professeur d’études religieuses et directeur du département du même nom au College William and Mary, Marc Lee Raphael est par ailleurs rabbin de la congrégation Bet Aviv de Columbia, dont l’une des activités est de se consacrer à la réforme du judaïsme."


3 livres de Roger Dommergue :



À l'heure où le mal s'est emparé subtilement de la dialectique et de la logique, de tous les instruments de la pensée au profit de toutes les inversions, l'impossibilité d'exprimer la vérité naît de ce qu'elle ne se manifeste plus dans le cœur de l'homme que par des émotions, des élans, des sursauts fulgurants, mais impuissants : il ne reste qu'une seule valeur digne d'être exprimée : la souffrance de l'âme et du cœur. Aussi avez-vous restitué cette souffrance mais de la seule manière que vous pouviez, c'est-à-dire pure, débarrassée de toutes les compensations que sont haine, vengeance, ironie, moquerie. Toute trace de coquetterie, tout souci d'esthétique comme la moindre recherche même légitime des effets, dénaturent la réflexion métaphysique, née d'une épreuve exceptionnelle de la vie. La souffrance n'est vraie et exemplaire que si elle subit les injures et les quolibets comme l'enfant désarmé reçoit les coups, avec un regard étonné. La dernière ressource de celui qui a compris le monde moderne c'est de s'exposer aux gifles. Ce ne fut pas là le résultat d'une délibération, vous vous êtes reproduit vous-même et il se trouve que dans cette image, il n'y rien à retrancher, rien à ajouter : elle est en quelque sorte le miroir où se réfléchit l'aventure misérable du monde moderne : votre diagnostic est compatissant mais implacable.



La fin des impostures

Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d'avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique. De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombés dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l'exemple type du juif de religion catholique. Tout d'abord les sémites ne sont pas d'origine européenne, ils sont ethniquement proches de l'arabe, pas du gaulois. Ensuite le juif appartient d'abord au peuple d'Israël, c'est sa communauté nationale. Enfin le judaïsme entérine religieusement le plus vieux racisme que la terre ait jamais porté. Seul le peuple élu appartient à l'essence même de dieu, les autres hommes sont assimilés à des animaux. Pas de prosélytisme chez les rabbins, convertir des animaux au judaïsme est inutile. Preuve de sa félonie, le juif se dit Français d'origine roumaine (François Copé, Pierre Moscovici), Français d'origine hongroise (Nicolas Sarkozy), Français d'origine luxembourgeoise (Stéphane Bern), Français d'origine espagnole (David Pujadas)... Quand il ne se dit pas Français, le juif se dit Européen, Corse, Breton ... Citoyen du monde. Mais jamais, oh combien jamais il ne se dit juif.



Un souci de vérité synthétique motive ce long exposé. Je vous le livre sans aucun espoir de réponse intelligente et exhaustive. En effet hormis Simone Weil, Bernard Lazare, Bergson et quelques autres congénères, je n'ai jamais rencontré de Juif intellectuellement honnête. Je ne vois que leurs mensonges et leur mauvaise foi exsuder de partout. J'aimerais ne pas être parmi les Juifs, une rarissime exception susceptible de probité et de synthèse. Poser la question du silence de Heidegger est déjà inconscient en soi et je vais m'en expliquer de la façon la plus claire possible. L'histoire contemporaine nous montre clairement que la méconnaissance de l'ordre hiérarchique fondé sur la suprématie de l'autorité spirituelle sur le temporel, entraîne nécessairement, déséquilibre, anarchie sociale, confusion des valeurs, domination de l'inférieur sur le supérieur, dégénérescence biologique, intellectuelle, morale, esthétique, oubli des principes transcendants puis négation de la véritable connaissance provenant de l'esprit pénétrant notions d'identité et synthèse, et non de l'esprit dit à tort scientifique...


mercredi, novembre 06, 2019

Pierre Hillard sur le Messianisme Juif Apocalyptique (Ordo ab Chao)


(Durée 4:23)

Provoquer le chaos permet le passage d’un monde ancien à un monde nouveau. 

La politique du chaos s’appuie sur l'idéal mystique que l’on "retrouve, dit Pierre Hillard, dans certains courants du judaïsme talmudique comme Isaac Louria, Sabbataï Tsevi ou encore Jacob Frank. Cette mystique reposant sur la transgression la plus complète et la rédemption par le chaos avec ses implications politiques, le tout s’associant à un idéal messianique, a été parfaitement expliquée par l’extraordinaire historien israélien Gershom Scholem." [...]

 Le véritable messie mettra Israël au-dessus des autres nations 

"La non-reconnaissance du caractère messianique du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à continuer d’attendre « leur » véritable messie. Le judaïsme talmudique considère le Christ comme un imposteur 
qu’il faut abattre en tant qu’objet de scandale. Pour les représentants de la synagogue, le véritable messie doit apporter à Israël la gloire et une dignité au-dessus des autres peuples. Cette vision religieuse, qui est aussi matérielle et charnelle avec ses conséquences politiques (point capital à ne pas oublier), est diamétralement opposée à celle du christianisme."

La synagogue de Satan

"D’un point de vue catholique, l’action du Christ a révoqué définitivement l’Ancienne Alliance (épître aux Hébreux VIII-XI) en ouvrant le chemin du Salut à l’ensemble de l’humanité divisée en nations dans le cadre d’une Nouvelle Alliance. En dehors de quelques Juifs à reconnaître la messianité du Christ, notamment les premiers chrétiens, le refus obstiné de la majorité d’accepter le Christ comme Fils de Dieu fait que, selon la Tradition de l’Église, le peuple juif mené par la synagogue est sous l’emprise de Satan. Ce prince déchu se sert de ce peuple rebelle pour combattre l’Église, ses oeuvres et les États s’inspirant du catholicisme. Ce fait a été clairement affirmé par le Christ quand il lance : « Vous êtes du diable, votre père, et ce sont les désirs de votre père que vous voulez accomplir » (Jean VIII, 44). Ces propos ont été réitérés d’une manière formelle par saint Jean qui, dans l’Apocalypse, réaffirme deux fois les méfaits de la « synagogue de Satan » (Apocalypse II, 9 ; III, 9)." [...]

Le judaïsme talmudique

"En raison de cette opposition systématique à l’Église, la synagogue a produit le Talmud, sorte de code juridique, régissant la vie des Juifs afin de les conforter dans leurs convictions face à un monde temporel et spirituel catholique. En réaction, les autorités de l’Église ont combattu ce Talmud considéré comme une menace profonde en raison aussi de passages cachés aux chrétiens. La première condamnation eut lieu en 1244 avec le document Impia Judaeorum perfidia (« La perfidie impie des Juifs ») du pape Innocent IV. Elle faisait suite au premier procès du Talmud qui eut lieu en 1240, à Paris, sous l’égide de Saint Louis opposant des rabbins, en particulier Yehiel de Paris, face à des ecclésiastiques comme le franciscain Nicolas Donin. Le résultat de ce procès aboutit à brûler 24 charrettes de manuscrits talmudiques le 20 juin 1242 en place de Grève (actuelle place de l’Hôtel de Ville)."
(Commentaire d'une lectrice du blog : "L'incendie de Notre-Dame, a été perçu par des rabbins comme un châtiment de l’autodafé de 1242".) 
[...]

Anti-judaïque mais jamais antisémite


"La Tradition de l’Église a toujours été théologiquement anti-judaïque mais jamais antisémite. Au contraire, la promotion de l’antisémitisme entraîne obligatoirement des théories racialistes, darwiniennes et politiques qui ont toujours été réprouvées par les Pères de l’Église.

Cette opposition systématique s’est traduite pour la synagogue par un contre-projet spirituel et politique pour le peuple juif et pour les non-juifs (« Les Gentils »). Cette vision du monde s’appelle le noachisme. Une répartition définie de la mission des Juifs et du rôle attribué aux Gentils à l’échelle planétaire consiste à mettre un terme définitif au message traditionnel du Christ et de son Église, ainsi qu’à renverser la politique des États s’inspirant de son enseignement. Il s’agit de revenir à l’antique vision du mosaïsme (la religion de Moïse) pour les Juifs seuls et à attribuer aux Gentils les sept lois du noachisme, commandements imposés aux fils de Noé." [...]


L'ordre talmudique universel

"Dans cette structure politique et spirituelle émanant de la synagogue, les non-juifs, constituant l’humanité avec ses subdivisions ethniques, sont sous la direction d’un peuple prêtre (le peuple juif), ce dernier étant l’intermédiaire, et le seul, entre le genre humain encadré religieusement et politiquement d’un côté, et le Dieu unique de l’autre. Cependant, la concrétisation de cet idéal ne peut se faire qu’à la condition expresse de procéder à une révision complète des dogmes catholiques. Parmi les sept lois du noachisme, la condamnation du polythéisme est formelle et s’applique au catholicisme. Cette religion qui est monothéiste, mais aussi trinitaire, est considérée par la synagogue comme une religion polythéiste (un tri théisme). Elle doit être réformée afin d’aboutir, comme l’explique un des grands porte-parole de cette pensée, le rabbin Élie Benamozegh, au « catholicisme d’Israël » Il s’agit de faire disparaître le caractère messianique du Christ, la Sainte Trinité et le dogme de l’immaculée Conception. L’Église catholique
réformée et vidée de sa substance pourra ainsi être réintégrée dans les structures régissant la synagogue, cette dernière se considérant comme la seule héritière du message du Dieu unique dans le cadre d’une religion universelle."

Extraits des Chroniques du mondialisme de Pierre Hillard


Carte de la structure de la gouvernance mondiale selon The Economist, autrement dit Rothschild, présentée par Pierre Hillard : 


E&R Lille accueillait Pierre HILLARD pour une conférence intitulée MONDIALISME : VERS LA GUERRE ! 


Livres de Pierre Hillard :

Archives du mondialisme - De la guerre contre l'Ancien et le Nouveau Testament.

La décomposition des nations européennes : De l'union euro-atlantique à l'Etat mondial.

La marche irrésistible du nouvel ordre mondial : L'échec de la tour de Babel n'est pas fatal.


Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine.

Réchauffement climatique : La Froide Vérité

De nos jours, des vidéos sont rapidement censurées et les paroles s'envolent . Grâce à la transcription et l'impression de l'aud...