vendredi, novembre 08, 2019

Roger Dommergue, le professeur juif qui dénonçait les troubles psychiques provoqués par la circoncision du 8ème jour

L'interview du professeur Roger Dommergue (1923-2013), un juif très critique à l'égard du judaïsme, sera bientôt supprimé de YouTube. En effet, début novembre 2019 à Munich, le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, a exigé de nouvelles lois pour censurer le Web.


A télécharger
(Pour ce faire, on peut, par exemple, utiliser le navigateur OPERA qui offre gratuitement l'extension "YouTube Video and MP3 Downloader". De plus, ce navigateur a un bloqueur de publicité intégré.)
(Durée 2:14:27)


"(...) la circoncision se pratiquant à un moment hormonal très important va induire une mentalité particulière : intelligence spéculative extrêmement développée, mais le plus souvent malheureuse, paranoïde, angoissée et privée dans ses oeuvres de sens moral et d'esprit de synthèse qui caractérisent l'évolution HUMAINE. (Freud, Marx, science analytique, action bancaire d'expropriation, de pollution et de soutien du Bolchevisme)." Roger Dommergue Polacco de Menasce, "Dossiers secrets du XXIe siècle".

L'holocauste des esclaves noirs

9 millions de victimes 


Quand, écrit Roger Dommergue,  la communauté noire internationale va-t-elle demander des réparations à la communauté juive pour l'immense préjudice que lui a causé le commerce juif des esclaves ? 



“God himself approves of the slave trade.”
(Rabbi Morris Raphall)

Quand dressera-t-on un monument commémoratif de ce crime de lèse-humanité à ne jamais oublier ?

Parmi ceux qui accompagnaient Christophe Colomb à son arrivée en Amérique, il y avait cinq juifs : Luis de Torres, Marco, Bernal, Alonzo de la Calle, Gabriel Sanchez. Ils persuadèrent Colomb de capturer 500 Indiens et de les vendre comme esclaves à Séville en Espagne. Les juifs furent chassés d'Espagne en 1492 et du Portugal en 1497. Ils s'installèrent aux Pays-Bas où ils fondèrent «la Compagnie hollandaise des Indes Occidentales» (c'est à dire l'Amérique).

En 1654, Jacob Barsimson fut le premier juif à émigrer de Hollande vers New Amsterdam (New York). De nombreux juifs le suivirent, s'établissant sur la côte et commerçant avec les autochtones. Le premier à exercer ainsi ce métier fut Layman Lévi qui échangeait des pacotilles venues de Hollande contre de précieuses fourrures. Les juifs Nicholas Lowe et Joseph Simon prirent alors part à ce fructueux commerce. Lowe eut l'idée de vendre du rhum aux Indiens sans méfiance. En un rien de temps la ville portuaire de Newport comptait 22 distilleries. Toutes appartenaient à des juifs. L'intoxication alcoolique des Indiens et les massacres perpétrés en état d'ivresse sur les premiers colons européens sont dus à cette initiative juive. 

Newport, qu'on appela longtemps «Newport juif», devint un centre mondial du trafic d'esclaves avec l'Afrique. Les bateaux partaient de Newport vers l'Afrique Occidentale pour y capturer leur cargaison humaine noire. 128 bateaux qui débarquaient des esclaves à Charleston appartenaient à des Juifs de Newport et de Charleston. La traite des esclaves était un monopole juif. Le juif Aaron Lopez joua un rôle très important dans ce monstrueux commerce de 1726 à 1774, il contrôla personnellement 50% de la traite de ces êtres humains dans toutes les colonies américaines.

En 1717 la première loge maçonnique fut fondée : 90% des membres en étaient juifs. Vingt ans plus tard la loge maçonnique King David fut fondée. Elle était entièrement juive.


Accompagnons le bateau «Abigaïl» du juif Aaron Lopez jusqu'en Afrique Occidentale. En mai 1752, il fut chargé de 34.000 litres de rhum, d'une énorme quantité de fers à mettre aux mains et aux pieds des Noirs qui seraient ramenés comme esclaves. Il y avait aussi pistolets, poudre, sabres, et une abondante camelote, comme fond de «commerce». Le capitaine Freedman était un juif. Trois mois plus tard ils abordaient la terre d'Afrique où de nombreux agents d'établissements juifs, travaillaient pour le compte des trafiquants d'esclaves, étaient sur place. Les choses se passèrent comme avec les Indiens: les chefs des tribus noirs étaient saoulés au rhum et vendaient or, ivoire et membres de la tribu. Souvent on menait les tribus noires à travers forêts et steppes jusqu'à la côte. Le trajet durait des semaines et beaucoup succombaient. Les cravaches empêchaient les colonnes d'esclaves de s'arrêter. On abandonnait à une mort affreuse ceux qui ne pouvaient suivre. Des ossements jonchaient les pistes. Arrivés à la côte, ils étaient laissés dans leurs fers, inspectés comme du bétail, et gardés par des chiens féroces.

On leur rasait le crâne et on les marquait au fer rouge, ce qui permettait de reconnaître les fugitifs. Pères, enfants, femmes étaient séparés et de désespoir certains se noyaient en se jetant à la mer. Un voyage sans espace de trois mois était atroce. Manque de place, scènes de folie pour quelques centimètres carrés, matière fécale, fouets pour faire régner le calme. Les femmes étaient violées par l'équipage. Les nombreux morts étaient jetés par-dessus bord.

Historiens et statisticiens évaluent à 9 millions le nombre des victimes de cette horreur juive banalisée. Véritable holocauste celui-là. 11 millions ont dû survivre débarqués dans les ports américains où ils furent vendus dans de véritables marchés à bestiaux.

Les bénéfices furent considérables: par exemple le voilier «la Fortuna» revint en Amérique avec 217 Noirs payés 4300 dollars et revendus 41.438 dollars. Dans le nord des États-Unis le trafic d'esclaves était interdit. Les juifs Sandifortd Lay, Woolman, Solomon et Benezet œuvrèrent afin qu'il devînt légal. L'institut Carnégie de Washington possède de nombreux documents qui prouvent de façon radicale que le vaste trafic d'esclaves fut un monopole juif, sur lequel les non-juifs n'avaient aucune participation. [...]


Parmi les habitants de Newport et de Charleston nous relevons plus de cent noms juifs participant au trafic d'esclaves et à l'exploitation des distilleries, depuis Isaac Gomez à Abraham All, en passant par Felix de Souza et Aaron Lopez connus comme les rois du trafic d'esclaves... Dans un article publié peu avant la guerre des six jours, le Professeur Shahak nous a montré que le trafic d'esclaves entre l'Europe et l'Orient, était entièrement entre les mains des juifs, autre « petit détail ...»

Tous les Juifs connaissaient cet horrible trafic, ce crime monstrueux. Pourquoi les rabbins n'ont-ils pas déféré les auteurs devant un tribunal? Pourquoi les honnêtes petits juifs n'ont-ils pas opposé une âpre résistance à ce génocide authentique, lui, et qui ne souffre pas de contradictions arithmético-techniques [comme au sujet de la révision à la basse – 10 x moins ! - du nombre des Juifs morts durant la Deuxième Guerre mondiale et l’impossibilité technique des gazages massifs d’êtres humains avec du Ziklon B !] ? Aujourd'hui encore l'immense majorité des Noirs aux U.S.A ont le statut social d'assisté. Or cette misère de la masse noire est due aux trafiquants juifs d'esclaves de l'époque.

Les descendants des trafiquants juifs sont-ils coupables, comme on veut que les Allemands le soient d'un holocauste plus que remis en question ? Qu'en pense Bronfman, roi de l'alcool et chantre milliardaire d'un holocauste de 6 millions de juifs, alors que l'American Jewish year book, fixe à 3.300.000 le nombre de juifs présents en 1941 en Europe occupée? Qu'ont fait les juifs en matière de réparations envers la population noire alors que l'Allemagne aura versé en 2030, la somme de 119 milliards 790 millions de marks (Multiplier par 3 pour avoir l'équivalent en francs) !!!

Que vont faire les Juifs pour entretenir la mémoire et le sentiment de culpabilité juive envers les Noirs ? Ce génocide va-t-il être rappelé sans cesse dans les médiats ? Les politiciens juifs vont-ils sans cesse demander pardon aux Noirs ? Va-t-on conduire les enfants juifs sur les lieux du crime ou à des expositions ? Vont-ils faire en sorte que cet horrible génocide ne tombe jamais dans l'oubli ?

Actuellement des êtres humains en provenance d'Asie, d'Amérique Latine et d'Afrique sont l'objet de trafics menés par des juifs. Que vont faire les juifs à leur égard ? Et les Palestiniens ? Qui en dehors du professeur Shahak, va s'élever contre le martyre et l'injustice qui leur est imposé ? Où sera le monument commémoratif et quelles réparations les juifs vont-il accorder aux Russes pour ceux massacrés dans des Goulags par un régime entièrement juifs par ses idéologues, ses financiers, ses politiciens, ses administrateurs et ses bourreaux carcéraux et concentrationnaires, ou réduits à des famines volontairement agencées comme en Ukraine où il y eut six millions de morts ?

Les juifs vont-ils demander pardon pour l'outrecuidance de leurs livres saints "racistissimes" : « Le peuple de Yahwé est le peuple distingué parmi tous les peuples.- Israël est le peuple élu entre toutes les nations - Le Seigneur t'a choisi pour être son peuple à lui parmi tous les peuples de la terre - Tous les peuples que le Seigneur ton Dieu te livre, tu les dévoreras et les regarderas sans pitié - De tes fils tu feras des princes par toute la terre - Yahwé a mis Israël à la tête de toutes les 3 nations - Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te rends pour les déposséder de leur territoire - Les Dieux des autres peuples sont des fantômes, des idoles et des démons.- Aux serviteurs des idoles il faut faire une guerre d'extermination.» Y a-t-il une phrase analogue de ce type mystico-mégalo-paranoïaco-raciste dans tout Mein Kampf ? Non ! Absolument pas. 



Roger Dommergue, 30 décembre 2004. 


Un rabbin
(qui n'est évidemment pas antisémite) écrit que les marchands juifs dominaient le marché des esclaves dans toutes les colonies américaines

"Nous vous invitons à lire ce que le rabbin Marc Lee Raphael a publié sur l’implication des Juifs dans l’esclavage. Professeur d’études judaïques au Nathan and Sophia Gumenick, professeur d’études religieuses et directeur du département du même nom au College William and Mary, Marc Lee Raphael est par ailleurs rabbin de la congrégation Bet Aviv de Columbia, dont l’une des activités est de se consacrer à la réforme du judaïsme."


3 livres de Roger Dommergue :



À l'heure où le mal s'est emparé subtilement de la dialectique et de la logique, de tous les instruments de la pensée au profit de toutes les inversions, l'impossibilité d'exprimer la vérité naît de ce qu'elle ne se manifeste plus dans le cœur de l'homme que par des émotions, des élans, des sursauts fulgurants, mais impuissants : il ne reste qu'une seule valeur digne d'être exprimée : la souffrance de l'âme et du cœur. Aussi avez-vous restitué cette souffrance mais de la seule manière que vous pouviez, c'est-à-dire pure, débarrassée de toutes les compensations que sont haine, vengeance, ironie, moquerie. Toute trace de coquetterie, tout souci d'esthétique comme la moindre recherche même légitime des effets, dénaturent la réflexion métaphysique, née d'une épreuve exceptionnelle de la vie. La souffrance n'est vraie et exemplaire que si elle subit les injures et les quolibets comme l'enfant désarmé reçoit les coups, avec un regard étonné. La dernière ressource de celui qui a compris le monde moderne c'est de s'exposer aux gifles. Ce ne fut pas là le résultat d'une délibération, vous vous êtes reproduit vous-même et il se trouve que dans cette image, il n'y rien à retrancher, rien à ajouter : elle est en quelque sorte le miroir où se réfléchit l'aventure misérable du monde moderne : votre diagnostic est compatissant mais implacable.



La fin des impostures

Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d'avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique. De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombés dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l'exemple type du juif de religion catholique. Tout d'abord les sémites ne sont pas d'origine européenne, ils sont ethniquement proches de l'arabe, pas du gaulois. Ensuite le juif appartient d'abord au peuple d'Israël, c'est sa communauté nationale. Enfin le judaïsme entérine religieusement le plus vieux racisme que la terre ait jamais porté. Seul le peuple élu appartient à l'essence même de dieu, les autres hommes sont assimilés à des animaux. Pas de prosélytisme chez les rabbins, convertir des animaux au judaïsme est inutile. Preuve de sa félonie, le juif se dit Français d'origine roumaine (François Copé, Pierre Moscovici), Français d'origine hongroise (Nicolas Sarkozy), Français d'origine luxembourgeoise (Stéphane Bern), Français d'origine espagnole (David Pujadas)... Quand il ne se dit pas Français, le juif se dit Européen, Corse, Breton ... Citoyen du monde. Mais jamais, oh combien jamais il ne se dit juif.



Un souci de vérité synthétique motive ce long exposé. Je vous le livre sans aucun espoir de réponse intelligente et exhaustive. En effet hormis Simone Weil, Bernard Lazare, Bergson et quelques autres congénères, je n'ai jamais rencontré de Juif intellectuellement honnête. Je ne vois que leurs mensonges et leur mauvaise foi exsuder de partout. J'aimerais ne pas être parmi les Juifs, une rarissime exception susceptible de probité et de synthèse. Poser la question du silence de Heidegger est déjà inconscient en soi et je vais m'en expliquer de la façon la plus claire possible. L'histoire contemporaine nous montre clairement que la méconnaissance de l'ordre hiérarchique fondé sur la suprématie de l'autorité spirituelle sur le temporel, entraîne nécessairement, déséquilibre, anarchie sociale, confusion des valeurs, domination de l'inférieur sur le supérieur, dégénérescence biologique, intellectuelle, morale, esthétique, oubli des principes transcendants puis négation de la véritable connaissance provenant de l'esprit pénétrant notions d'identité et synthèse, et non de l'esprit dit à tort scientifique...


Un rabbin affirme que les Juifs sont des extraterrestres venus pour « conquérir » la Terre.

Le rabbin Michael Laitman est l'auteur de "Kabbalah, Science and the Meaning of Life". Le livre retrace les étapes de l'év...