jeudi, novembre 21, 2019

Les musulmans d'Europe

(Durée 6:15)
Les "Musul-germains", musulmans des Balkans, étaient considérés comme un "peuple européen de race supérieure" par le Reichsführer-SS Heinrich Himmler et le régime nazi.

Gilles Ardinat :


"Le régime nazi n’a jamais condamné l’islam. Les musulmans présents sur les territoires conquis par l’Allemagne n’ont pas été persécutés (Kosovars, Tatars de Crimée, Caucasiens…). 

Au contraire, Hitler et ses lieutenants avaient une certaine bienveillance envers cette religion. L’Allemagne a noué, dès les années 1930, des liens secrets avec des activistes arabes du Proche-Orient (opposés à la présence britannique). 

Le Grand Mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini, militant anticolonialiste et antisioniste, fut un fidèle allié de l’Allemagne. Accueilli à Berlin et reçu par Hitler en personne en 1941, il était le parrain d’un institut islamique monté par les nazis. Cet institut assurait une propagande à destination des musulmans d’Europe et du monde arabe. 

Le Grand Mufti et les dignitaires nazis se reconnaissaient de nombreux points de convergence : détestation du monde anglo-saxon et du communisme, vision du rôle de la femme dans la société et, surtout, haine des juifs. M. Al-Husseini affirmait : “L’Allemagne combat un ennemi qui est aussi le nôtre. Ayant parfaitement saisi la nature du juif, elle a décidé d’éliminer définitivement le péril juif pour mettre un terme au mal qu’il afflige au monde entier.”

Musul-germains 

Cette entente conduisit à la création d’une unité de SS musulmans en 1943 : la division Handschar (nom du sabre recourbé typique des pays orientaux). Le Grand Mufti assura la formation idéologique de ces 20.000 SS, principalement d’origine bosniaque. Alors que les aumôniers catholiques et protestants étaient exclus de la SS, Hitler insista pour que des imams accompagnent la division Handschar. Les menus sans porc ni alcool furent instaurés et les entraînements respectaient les cinq prières quotidiennes. Himmler, chef des SS, veilla personnellement à faire respecter cette religion : “Je n’ai rien à reprocher à l’islam […] c’est une religion utile et sympathique pour un soldat.” Les idéologues nazis, considérant ces populations comme supérieures du point de vue racial, inventèrent même le concept de « musul-germains » (supposant une parenté avec les mythiques aryens)." 
Lire la suite :

Gilles Ardinat est professeur agrégé d’histoire-géographie. 




Léon Degrelle :

"kosmopolitisch aus Temperament" 


"Le Grand Mufti avait parfaitement compris ce que signifiait le racisme. 

Le terme (racisme) est devenu, surtout dans l’ivresse d’après-guerre, une injure ; il est assimilé à la haine de l’étranger ou xénophobie : mépris et volonté d’asservir et d’exproprier des peuples voisins et étrangers, propre à l’Ancien Testament et au concept messianique juif qui est son ressort permanent, passé et actuel. [...]

Les Allemands sont, au contraire, selon le mot de leur philosophe Emmanuel Kant, « cosmopolites par tempérament », « kosmopolitisch aus Temperament », (Réflexions de Kant publiées par Benno Erdmann, tome I) et s’adaptent aisément partout, avec un sens de l’hospitalité et une générosité qui n’a d’égal que leur sérieux ; alors que ce racisme désignait aussi en Allemagne, et il ne faut pas l’y confondre, une théorie de la diversité des races, et les lois de leur mélange, bien antérieure à Adolf Hitler et indépendante de lui. C’est ainsi que la « théorie des races » dénombrait plusieurs variétés mêmes sur le sol allemand, de la mer du nord et de la Baltique aux Alpes, nordiques, westiques, dinariques, ostiques, ostbaltiques, faliques, sudétiques etc. et que celles-ci se groupaient en ensemble plus vaste embrassant les nations et dépassant leur étroitesse. C’est ainsi que la nation bourgeoise hollandaise, formée politiquement autour de sa bourgeoisie capitaliste et de l’activité courtière juive, immigrée d’Espagne et du Portugal, était décrite composée d’ethnies triples franques, saxonnes et frisonnes liée au grand ensemble allemand impérial, etc. Jamais on n’a eu parlé par exemple scientifiquement dans le racisme allemand de "race allemande" ou même "blanche" comme dans le Ku Klux Klan néo-esclavagiste. On a caricaturé cette conception allemande pour des raisons de propagande, comme aujourd’hui l’on caricature le sacrifice des Palestiniens en le traitant de fanatisme ou d’attitude suicidaire. 

 Une théorie des races

Il s’agit, touchant le racisme, comme théorie des races, avant tout d’une connaissance et d’une hygiène des races humaines, de l’examen de leur diversité au sein même des constructions artificielles des Etats, car les races dépassent les frontières politiques et appellent à une fédération élargie, et du respect des cadres naturels de vie. La race était donc un facteur d’unité générique et un point commun à toute l’humanité, une sorte de lieu naturel d’où les hommes tiraient le meilleur d’eux-mêmes dans une compétition que le Coran dit bien une volonté divine."


Le racisme hitlérien

« Pour Hitler, pour nous tous, être raciste ne consistait pas à se dresser contre les autres races mais à donner à la race européenne toutes les possibilités de se fortifier, de s’épanouir, de s’embellir. Former dans un ensemble solidaire une jeunesse solide, harmonieuse, loyale, vibrante du désir de servir et de se surpasser, faire de la mère et de la famille, forte, saine, rayonnante, les joyaux de la société était un objectif juste, utile et louable. »


« Donner à l’Europe raciale son maximum d’épanouissement physique et moral n’impliquait pas le mépris des autres races. Que celles-ci se développent à leur tour dans leur personnalité rayonnante ! Qu’elles en fassent chez elles, au sein de leur propre communauté, autant que nous dans notre espace européen. »

La société marchande

« Jamais Hitler n’eût admis les mélanges raciaux que supportent si mal à présent les pays démocratiques de l’après-guerre, ayant charrié – amené vers eux comme dans un chariot , par mercantilisme, (de l’italien "mercante", le marchand, tendance à tout rapporter au commerce, au profit, à l’avantage économique.) des millions d’immigrants dépaysés, coupés de leur religion et de leur culture, objets d’aversion dès que leur exploitation industrielle devient sans intérêt économique.

C’est chez eux, dans leur milieu naturel, au sein de leur race, sur le sol millénaire de leurs peuples qu’ils avaient à s’épanouir, à retrouver ou à exalter leurs caractéristiques civilisatrices. Notre racisme tendait à les encourager avec force dans ce sens-là. Avec joie nous les eussions aidés. »

L'apport de l'islam

« C’est ce qui explique l’intérêt tout spécial que Hitler portait aux peuples de l’Islam, livrés trop souvent à la domination et au mépris des négriers étrangers qui avaient imposé à ces pays hautement civilisés leur langue et leurs mœurs. Sans les apports de ces peuples anciens, l’Europe eût sans doute pataugé dans les balbutiements d’un Haut Moyen Age qui ne se souvenait même plus de l’Athènes de Socrate et de la Rome d’Auguste. C’est l’Islam qui nous avait apporté, à Cordoue, Aristote voilà plus de dix siècles. »



Quelques livres de Léon Degrelle 
(1906-1994, journaliste, écrivain et directeur de presse engagé dans la mouvance catholique belge. Il fonda le mouvement REX et combattit dans la 28ᵉ division SS "Wallonie".) :



Léon Degrelle : persiste et signe ...

Commentaire d'un lecteur du blog : "Ce rappel historique pourra-t-il mettre en garde les nationalistes chrétiens contre l'islamophobie ? Une islamophobie qui est orchestrée par les médias sionistes afin de provoquer la guerre civile. La république maçonnique est plus proche du satanisme que l'islam qui dénonce depuis toujours le borgne menteur, le Dajjal (l'Antéchrist)."

Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...