dimanche, novembre 17, 2019

L'imposture bergoglienne

FRANÇOIS est-il un antipape ?

Le pape François, un homme de parole.

Il y a un peu plus d'un an, en septembre 2018, sortait le film "Le pape François, un homme de parole", accusé par certains d'être un film de commande, voire de propagande.   

Le film réalisé par Wim Wenders a pour objectif de rassurer les chrétiens qui constatent que "l’élection du pape François, le 13 mars 2013, est un pas de plus dans l’insertion de l’Église dans les instances mondialistes. Sitôt élu, il a reçu l’hommage des partisans du nouvel ordre mondial et du noachisme. Il est vrai que son action en Argentine a laissé de très bons souvenirs aux partisans d’un monde sans frontières. Ainsi, on peut relever l’engagement du cardinal Bergoglio en faveur de la fête juive Hanoucca. Nous pouvons citer aussi la joie de la franc-maçonnerie juive argentine, les B’nai B’rith, qui a salué l’élection de cet homme sur la chaire de saint Pierre", écrit Pierre Hillard dans Chroniques du mondialisme.

Miles Christi :

"(...) le "magistère" de François est reçu favorablement par les gauchistes, les juifs, les féministes, les laïcistes et les homosexualistes : tous les ennemis de l’Eglise et de la civilisation chrétienne se complaisent dans son message écologique, œcuménique et mondialiste. Mais il semblerait que ce "détail" n’est pas de nature à troubler l’immense majorité des catholiques. Le fait que les LGBT considèrent François "Homme de l’année" et que nos "frères aînés" (les talmudistes) qui exècrent le Christ lui tressent des couronnes semblerait être quelque chose de tout à fait naturel. Aussi naturel qu’un pape qui ne croit pas dans un dieu catholique et qui se dit prêt à baptiser des martiens. [...]

Dans la sphère spirituelle, ce qui intéresse vraiment François n’est pas l’acceptation de Jésus Christ comme Messie et Sauveur mais la déification de la conscience humaine, érigée en norme morale suprême de la vie, au détriment de l’Evangile et des commandements divins. [...]

La mission de l’église bergoglienne n’est pas celle de rendre à Dieu le culte qui lui est dû ni de guider les âmes vers le Ciel, mais bien celle de promouvoir le culte de l’homme libre, autonome et affranchi de toute norme surnaturelle et transcendante. [...]

Si l’homme est capable de faire le bien en se passant de la révélation et de la grâce, si, au bout du compte, tout le monde se sauve, y compris ceux qui rejettent Dieu et son Eglise, alors la  seule chose importante sera celle de satisfaire les besoins temporels des hommes, la question de la vérité religieuse ayant perdue toute signification. [...]

Bâtir la cité terrestre, naturaliste, égalitariste et utopiste, au détriment de la cité céleste et du salut éternel, auquel on accède seulement par la rédemption opérée par Notre Seigneur Jésus Christ, voilà le seul objectif poursuivi par François. [...]


La clarté de ses intentions saute aux yeux, tout comme sa détermination inébranlable à parachever l’oeuvre dévastatrice initiée par les néo-saints conciliaires Roncalli et Montini, les artisans du diabolique aggiornamento de l’Eglise et de la « nouvelle Pentecôte » de Vatican II."

Miles Christi est l'auteur de "Trois ans avec François, l'imposture bergoglienne". 
Miles Christi

Lorsque le 13 mars 2013 François s'adressa pour la première fois à la foule, dépourvu des ornements liturgiques pontificaux, il donna quelques signes avant-coureurs de ce qui allait se produire par la suite. Il y eut d'abord son étonnant buona sera !, salutation profane, inouïe dans la bouche d'un Souverain Pontife, et qui laissait transparaître sa volonté de désacralisation du ministère pétrinien. Cette impression fut confirmée lorsqu'il se prosterna devant la foule, lui demandant de prier pour sa personne avant de la bénir, endossant ainsi implicitement le principe révolutionnaire de la souveraineté populaire. 

Trois jours plus tard, il renouvela sa profession de foi humaniste en donnant une « bénédiction silencieuse » aux représentants des medias présents dans la Salle Paul VI du Vatican, prétextant qu'ils n'étaient pas tous catholiques ou croyants, et qu'il se devait de « respecter la conscience de chacun ». 

Le décor était déjà largement planté. La suite des événements n'a fait que confirmer la portée symbolique de ces gestes précurseurs, posés en guise de manifeste idéologique et de programme d'action. Ce modeste recueil d'articles ne prétend pas à l'exhaustivité, étant donné le caractère intarissable de son « magistère médiatique », qu'il utilise pour semer systématiquement la confusion partout où il va, fort du prestige que lui confère son investiture pontificale. Car il est vrai que l'occupant de la Maison Sainte-Marthe porte « deux cornes semblables à celles d'un agneau » (Ap. 13, 11). Mais son langage, force est de le constater, n'est autre que celui du dragon...

De son côté, Freddy Malot, fondateur d'une "Eglise Rouge", signe le brûlot "Un ANTIPAPE de plus : FRANÇOIS dernier"

"En 1835, le régime Civilisé occidental se transforme sans barguigner en son contraire : en Barbarie conquérante. [...]

Depuis 1835, ce sont deux Empires Protestants (WASP !) qui menèrent successivement la danse Barbare, précisément parce que nés d’une rupture franche avec le christianisme Latin-Papal, contrairement aux empires Catholiques (français et ibériques), qui ont bien pu apporter leur pierre aux Temps Modernes (Gallicans, Oratoriens, Jansénistes), mais toujours en traînant le boulet de Trente (1545-1547 ; 1551-1563 ; 1566 : Catéchisme) et des Chouans (1793). Seule la dialectique lève l’apparent paradoxe du phénomène. Les deux empires de Réformés dégénérés : d’abord celui de Victoria (1841), “Her Britannic Majesty” (H.B.M.) ; ensuite celui de Wilson (1917), des USA à la “Manifest Destiny” (O’Sullivan – 1845)."
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Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...