dimanche, mars 20, 2022

La civilisation européenne va s’effondrer



"(...) le nouveau grand élan vers l’évolution naîtra en Russie.", écrit Jonathan Black dans son livre "L'histoire secrète du monde". Les Slaves sont appelés à prendre le flambeau de l’évolution dans le futur. Mais actuellement, nous serions à la fin d'un cycle d'après une analyse de René Guénon, commentée dans la vidéo ci-dessous.

"Il y a un mot, écrit René Guénon, qui fut mis en honneur à la Renaissance, et qui résumait par avance tout le programme de la civilisation moderne : ce mot est celui d'« humanisme ». Il s'agissait en effet de tout réduire à des proportions purement humaines, de faire abstraction de tout principe d'ordre supérieur, et, pourrait-on dire symboliquement, de se détourner du ciel sous prétexte de conquérir la terre ; les Grecs, dont on prétendait suivre l'exemple, n'avaient jamais été aussi loin en ce sens, même au temps de leur plus grande décadence intellectuelle, et du moins les préoccupations utilitaires n'étaient-elles jamais passées chez eux au premier plan, ainsi que cela devait bientôt se produire chez les modernes. L'« humanisme », c'était déjà une première forme de ce qui est devenu le « laïcisme » contemporain ; et, en voulant tout ramener à la mesure de l'homme, pris pour une fin en lui-même, on a fini par descendre, d'étape en étape, au niveau de ce qu'il y a en celui-ci de plus inférieur, et par ne plus guère chercher que la satisfaction des besoins inhérents au côté matériel de sa nature, recherche bien illusoire, du reste, car elle crée toujours plus de besoins artificiels qu'elle n'en peut satisfaire. Le monde moderne ira-t-il jusqu'au bas de cette pente fatale, ou bien, comme il est arrivé à la décadence du monde gréco-latin, un nouveau redressement se produira-t-il, cette fois encore, avant qu'il n'ait atteint le fond de l'abîme où il est entraîné ? Il semble bien qu'un arrêt à mi-chemin ne soit plus guère possible, et que, d'après toutes les indications fournies par les doctrines traditionnelles, nous soyons entré vraiment dans la phase finale du Kali-Yuga, dans la période la plus sombre de cet « âge sombre », dans cet état de dissolution dont il n'est plus possible de sortir que par un cataclysme, car ce n'est plus un simple redressement qui est alors nécessaire, mais une rénovation totale. Le désordre et la confusion règnent dans tous les domaines ; ils ont été portés à un point qui dépasse de loin tout ce qu'on avait vu précédemment, et, partis de l'Occident, ils menacent maintenait d'envahir le monde tout entier ; nous savons bien que leur triomphe ne peut jamais être qu'apparent et passager, mais à un tel degré, il paraît être le signe de la plus grave de toutes les crises que l'humanité ait traversées au cours de son cycle actuel. Ne sommes-nous pas arrivés à cette époque redoutable annoncée par les Livres sacrés de l'Inde, « où les castes seront mêlées, où la famille même n'existera plus » ? Il suffit de regarder autour de soi pour se convaincre que cet état est bien réellement celui du monde actuel, et pour constater partout cette déchéance profonde que l'Évangile appelle « l'abomination de la désolation ». Il ne faut pas se dissimuler la gravité de la situation; il convient de l'envisager telle qu'elle est sans aucun « optimisme », mais aussi sans aucun « pessimisme » puisque, comme nous le disions précédemment, la fin de l'ancien monde sera aussi le commencement d'un monde nouveau.

Maintenant, une question se pose : quelle est la raison d'être d'une période comme celle où nous vivons ? En effet, si anormales que soient les conditions présentes considérées en elles-mêmes, elles doivent cependant rentrer dans l'ordre général des choses, dans cet ordre qui, suivant une formule extrême-orientale, est fait de la somme de tous les désordres ; cette époque, si pénible et si troublée qu'elle soit, doit avoir aussi comme toutes les autres, sa place marquée dans l'ensemble du développement humain, et d'ailleurs le fait même qu'elle était prévue par les doctrines traditionnelles est à cet égard une indication suffisante. Ce que nous avons dit de la marche générale d'un cycle de manifestation, allant dans le sens d'une matérialisation progressive, donne immédiatement l'explication d'un tel état, et montre bien que ce qui est anormal et désordonné à un certain point de vue particulier n'est pourtant que la conséquence d'une loi se rapportant à un point de vue supérieur ou plus étendu. Nous ajouterons, sans y insister que, comme tout changement d'état, le passage d'un cycle à un autre ne peut s'accomplir que dans l'obscurité ; il y a là encore une loi fort importante et dont les applications sont multiples, mais dont, par cela même, un exposé quelque peu détaillé nous entraînerait beaucoup trop loin (1).


1) Cette loi était représentée, dans les mystères d'Éleusis, par le symbolisme du grain de blé ; les alchimistes la figuraient par la « putréfaction » et par la couleur noire qui marque le début du « Grand Œuvre » ; ce que les mystiques chrétiens appellent la « nuit obscure de l'âme » n'en est que l'application au développement spirituel de l'être qui s'élève à des états supérieurs ; et il serait facile de signaler encore bien d'autres concordances."


PDF gratuit ICI

Lecture commentée d'un passage de "La Crise du monde moderne" de René Guénon :

(10:05)


samedi, mars 19, 2022

De nouveaux documents révèlent des milliers d’effets indésirables liés au vaccin contre le covid de Pfizer


De nouveaux documents rendus publics après que des médecins, des professeurs et des journalistes ont déposé une demande au titre de la loi sur la liberté d’accès à l’information auprès de la Food and Drug Administration (FDA), ont mis au jour environ 158 000 événements indésirables liés aux vaccins contre le covid de Pfizer.


Publiés après qu’un juge fédéral du Texas a ordonné à la FDA de rendre publiques les données sur lesquelles elle s’est fondée pour homologuer le vaccin contre le covid de Pfizer, les documents énumèrent 1 291 effets secondaires du vaccin.

Selon The Express, c’est la première fois que le public est autorisé à accéder aux données que Pfizer a soumises à la FDA à partir de ses essais cliniques à l’appui de l’homologation du vaccin contre le COVID-19.

Lorsque Pfizer a demandé l’approbation de la FDA, elle était au courant de près de 158 000 effets indésirables de son vaccin et a demandé que ces documents restent scellés pendant 75 ans.

Dans la vidéo suivante (en anglais), le docteur John Campbell examine et explique les conclusions de ces documents Pfizer qu’ils ont essayé de mettre sous scellés pendant 75 ans.




La liste des effets secondaires indésirables figurant dans les documents comprend :

- Lésion rénale aiguë ;

- Myélite flasque aiguë ;

- Anticorps anti-sperme positif ;

- Embolie du tronc cérébral ;

- Thrombose du tronc cérébral ;

- Arrêt cardiaque ;

- Insuffisance cardiaque ;

- Thrombose ventriculaire cardiaque ;

- Choc cardiogénique ;

- Vascularite du système nerveux central ;

- Mort néonatale ;

- Thrombose veineuse profonde ;

- Encéphalite du tronc cérébral ;

- Encéphalite hémorragique ;

- Epilepsie du lobe frontal ;

- Mousse à la bouche ;

- Psychose épileptique ;

- Paralysie faciale ;

- Syndrome de détresse fœtale ;

- Amyloïdose gastro-intestinale ;

- Crise tonico-clonique généralisée ;

- Encéphalopathie de Hashimoto ;

- Thrombose vasculaire hépatique ;

- Réactivation de l’herpès zoster ;

- Hépatite à médiation immunitaire ;

- Pneumopathie interstitielle ;

- Embolie de la veine jugulaire ;

- Épilepsie myoclonique juvénile ;

- Lésion hépatique ;

- Faible poids de naissance ;

- Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant ;

- Myocardite, crise d’épilepsie néonatale ;

- Pancréatite, pneumonie ;

- Mortinaissance ;

- Tachycardie ;

- Épilepsie du lobe temporal ;

- Auto-immunité testiculaire ;

- Infarctus cérébral thrombotique ;

- Diabète sucré de type 1 ;

- Thrombose veineuse néonatale ;

- Thrombose de l’artère vertébrale.



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Livre :

Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique

Les médias grand public financés par l’industrie pharmaceutique ont convaincu des millions d’Américains que le Dr Anthony Fauci est un héros. Or, il est tout sauf un héros. 

En tant que directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), le Docteur Anthony Fauci distribue chaque année 6,1 milliards de dollars d’argent public à la recherche scientifique, ce qui lui permet de dicter le sujet, le contenu et les résultats des études sur la santé humaine dans le monde entier. Fauci utilise la puissance financière dont il dispose pour exercer une influence extraordinaire sur les hôpitaux, sur les universités, sur la presse médicale et sur des milliers de médecins et scientifiques de premier plan – il a le pouvoir de ruiner ou d’accélérer leurs carrières, de les récompenser, et tient entre ses mains le destin des institutions au sein desquelles ils exercent.


vendredi, mars 18, 2022

La Police, la Mafia et la Loge : L'Obscure Trinité Corruptrice - Opération Tiberius


(9:57)

En janvier 1997, The Guardian a publié pour la première fois une photo considérée comme unique. Elle perce le mur du secret qui entoure l’une des organisations les plus mystérieuses de Grand-Bretagne en révélant un grand rassemblement de policiers londoniens portant gants blancs, écharpes brodées et tabliers en peau d’agneau… Au moment où la photo a été prise, ces 60 hommes étaient tous membres de la loge maçonnique 9179, connue sous le nom de Manoir St James. Cette loge fondée en 1986 est exclusivement réservée aux officiers de Scotland Yard.

La précieuse photo avait été transmise au Guardian par des policiers n’appartenant pas à la franc-maçonnerie. Elle semble avoir été prise lors d’une tenue inaugurale réunissant des policiers qui occupaient alors les postes les plus puissants des forces de l’ordre londoniennes.

Tous ayant en commun l’originalité d’avoir eu les yeux bandés avec un nœud coulant autour du cou et une épée pointée sur leur cœur, alors qu’on les avertit que s’ils brisent leurs vœux de silence et de loyauté, ils auront la gorge tranchée et la langue arrachée… un peu comme chez les mafieux ?…

En 2014, le quotidien britannique The Independant rapportait avoir eu accès à un rapport secret de Scotland Yard révélant que l’ensemble du système était infiltré par le crime organisé : autant la police que la magistrature… L’enquête interne nommée Opération Tibérius, a permis de mettre en lumière un vaste réseau de corruption au sein même de la police, notamment de Scotland Yard. L’Opération Tibérius a révélé que des criminels notoires avaient compromis de nombreux policiers, ainsi que des piliers de la justice pénale, magistrats et avocats.

La conclusion du rapport Tibérius parle d’une « corruption policière endémique » et affirme que certains des plus dangereux criminels de Grande-Bretagne ont ainsi pu infiltrer Scotland Yard « à volonté » !

Le constat est là : chantage, corruption de magistrats, falsifications de preuves, ingérence diverses et variées, coopération étroite entre officiers supérieurs de la police et criminels, notamment dans des affaires de drogue et de prostitution…

Le rapport Tibérius nous apprend que la Franc-maçonnerie et son réseau occulte et sous-terrain n’est pas étrangère à ce pourrissement des institutions… Un tel niveau de corruption au sein même de la police et de la magistrature, explique notamment la facilité avec laquelle les dossiers de réseaux pédocriminels sont étouffés…

La BBC a elle-même traité de l’Opération Tibérius dans un documentaire de 2016 intitulé « Cops, Criminals, Corruption: The Inside Story » (Flics, criminels, corruption : l’histoire interne). Bien évidemment, ce documentaire d’une heure passe sous silence la nature du réseautage ayant facilité l’enracinement de cette corruption… avec la BBC, le Temple est couvert ?

Car en effet, le quotidien The Independant a non seulement révélé publiquement l’Opération Tibérius, mais également le ciment reliant les traîtres fonctionnaires corrompus : c’est à dire la Franc-maçonnerie…

Le journaliste Tom Harper a révélé le secret de Polichinelle : des réseaux occultes de francs-maçons sont à l’origine de la corruption du système judiciaire. La rapport explosif de l’Opération Tibérius a divulgué que les criminels utilisent leurs contacts au sein de la Franc-maçonnerie pour « recruter des officiers corrompus » à Scotland Yard. Autrement dit, les Frères aux postes-clés s’entraident dans la criminalité, faisant passer le serment maçonnique avant l’intérêt public…

Tandis que les médias mainstream pleurnichent en criant à la théorie du complot dès que l’on effleure le sujet des réseaux maçonniques nuisibles et parasites ; l’Opération Tibérius et par la suite le Projet Riverside ont clairement mis en lumière cette crasse institutionnelle qui conduit régulièrement à des propositions de Loi visant à ordonner légitimement que tous les policiers et juges déclarent leur appartenance à cette société secrète.

Le député britannique Dale Campbell-Savors a lui-même publiquement déclaré que « plus de 250 policiers ont été contraints de démissionner suite à des enquêtes ayant révélées leur appartenance à certaines loges maçonniques dans le cadre d’un complot criminel. »

La question qui se pose maintenant est la suivante : si les réseaux maçonniques sont secrets, comment le public profane peut-il avoir la certitude que ce problème est aujourd’hui éradiqué ? Notamment dans le système judiciaire de la république française désormais tristement connue sous le nom de Pédoland ! 

Alexandre Lebreton





Comprendre les arcanes du pouvoir
Alexandre Lebreton

Le mot Schizophrénie provient du grec schizein (fendre) et phrên (esprit), il se traduit littéralement par esprit fendu, la fragmentation de l'esprit, la dualité. Plusieurs choses permettent de relier la Franc-maçonnerie à la schizophrénie et à la notion de dualité, à commencer par le symbole fort des loges le pavé mosaïque en carreaux noirs et blancs, sur lequel les initiés prêtent serment le choc des contraires, le multiple et l'Un, le bien et le mal interpénétrés et inséparables...

La Franc-maçonnerie est double, elle possède deux natures en une seule. Les francs-maçons le disent eux-mêmes, tout ce qu'ils accomplissent en loge possède un double sens. Les rituels ont une signification autre que celle qu'ils auraient dans le monde profane (le monde des non-initiés). Le Vénérable Maître frappe un coup de maillet en début de tenue de loge et déclare Nous ne sommes plus dans le monde profane , sous-entendu nous sommes maintenant dans un monde sacré. Le Vénérable Maître pense ainsi sanctifier l'espace et le temps. En loge, le sens profond des actes et des paroles est caché, tout est différent, tout est fractionné et les mots n'ont plus le même sens, même les âges, les heures et les dates diffèrent. Les individus fraîchement initiés ne peuvent percevoir et comprendre la nature profonde du culte auquel ils ont déjà pourtant prêté serment et allégeance...


jeudi, mars 17, 2022

Guerre en Ukraine : le vrai « Great Reset »

(0:46)
Anne Laure Bonnel en direct du Donbass.
"Mais la guerre en Ukraine promet déjà d’être calamiteuse pour les Européens et singulièrement pour les Français." Michel Geoffroy.


On a beaucoup écrit sur le « Great Reset » ou Grand Reset et sa mise en œuvre covidienne, en particulier avec l’imposition d’un système de crédit social en Europe reposant sur la vaccination obligatoire. Et avec l’accélération de la numérisation de la vie économique et sociale, c’est-à-dire du traçage informatique de la population. Mais c’est en réalité la guerre en Ukraine qui va provoquer le vrai Grand Reset que souhaitait l’État profond : un reset à la fois stratégique, énergétique, atlantiste, autoritaire, européiste, migratoire et politicien. Pour le plus grand malheur de l’Europe et de la France.


Le Great Reset stratégique

La guerre en Ukraine, quelle qu’en soit l’origine ou l’issue, aboutit d’abord à couper durablement la Russie de l’Europe. Ce que souhaitaient les États-Unis, comme l’avait très bien explicité en son temps Zbigniew Brzezinski.

Car cette coupure renvoie aux calendes grecques « l’Europe de l’Atlantique à l’Oural », qui a toujours été le cauchemar des Anglo-Saxons car elle pouvait menacer leur thalassocratie.

Si en outre la guerre dure – puisque les Européens ont décidé, en toute irresponsabilité, de fournir des armes aux Ukrainiens au risque de nourrir une guerre civile durable pendant que les États-Unis affirment haut et fort ne pas vouloir intervenir ! –, l’Ukraine devient un foyer d’instabilité dans le heartland européen, affaiblissant tout le continent.

La guerre en Ukraine permet donc de parachever l’encerclement stratégique de la Russie et son isolement. Préalable nécessaire, dans l’esprit de l’État profond américain, à un conflit avec la Chine, l’autre puissance émergente.

Le Great Reset énergétique

Mais l’isolement de la Russie porte aussi en lui la précarisation énergétique et économique de toute l’Europe.

D’abord sa dépendance énergétique, car l’Europe risque à terme de se déconnecter du gaz et du pétrole russes. Sans oublier bien sûr les effets de la croisade des ONG écolos, aux financements opaques, contre le nucléaire européen !

Une dépendance énergétique qui profitera fatalement au gaz de schiste américain et aux ressources énergétiques des États musulmans sous contrôle des États-Unis. Elle deviendra donc un instrument de chantage aux mains de l’État profond.

Mais ensuite l’Europe pâtira, à la différence des États-Unis et de la Chine, des effets économiques et sociaux des sanctions qu’elle a prononcées dans son hystérie antirusse. L’Asie profitera du commerce que l’Europe ne fera plus en Russie ! Et si la France n’a quasiment aucune relation économique avec l’Ukraine, ce n’est pas le cas pour la Russie, ce qui affecte directement son agriculture et son industrie.

Le Great Reset atlantiste

La guerre en Ukraine remet en selle les partisans de l’alignement transatlantique de l’Europe et du « global Nato » c’est-à-dire de l’extension permanente de l’OTAN, au moment où ils perdaient régulièrement du terrain, en particulier en France.

En effet, comme semble s’en réjouir le journal Le Figaro, la guerre en Ukraine « fait bouger les lignes »… dans le sens souhaité par l’OTAN.

La guerre en Ukraine pousserait même la Finlande et la Suède, nous dit-on, à réfléchir à leur adhésion à l’OTAN pour « garantir leur sécurité ». Et la Suisse sort de sa neutralité pour s’associer aux sanctions « européennes ».

La propagande occidentale profite de la guerre en Ukraine pour diaboliser, avec une vigueur nouvelle, tous ceux qui refusent d’être embarqués dans la stratégie de l’OTAN, en les présentant comme « pro-Russes » ou des « soutiens de Poutine ». On allume déjà les bûchers médiatiques destinés à ces sectateurs du Mal.

Le Great Reset autoritaire

La décision de censurer les médias RT et Sputnik pour faire taire « la désinformation russe » constitue un très fâcheux précédent. Car cette mesure aboutit à imposer aux Européens le monopole de la propagande antirusse, avec la complicité des Gafa et des gouvernements.

Cette décision confirme la nature de plus en plus tyrannique d’une Union européenne alignée, qui veut museler tous ceux qui ne partagent pas son orientation ni son idéologie mondialiste, immigrationniste et woke.

Le harcèlement de la Commission européenne contre la Pologne et la Hongrie, pour imposer l’idéologie LGBT et le gouvernement des juges, procède du même penchant. Comme le harcèlement judiciaire des opposants à l’immigration et à l’islam, de plus en plus prononcé en Europe occidentale.

Le Great Reset européiste

La guerre en Ukraine renforce également les européistes, qui font semblant de jouer à la « puissance », alors qu’ils ne font que s’insérer, avec le zèle des supplétifs, dans le grand jeu américain.

On voit la présidente de la Commission européenne, omniprésente dans les médias, annoncer des mesures qui ne sont pas de sa compétence, ou le ministre français de l’Économie menacer l’économie russe de destruction au nom de l’Europe. Pendant que le président de la République s’adresse aux Français en ayant derrière lui le drapeau… ukrainien !

Les européistes se sentent en effet pousser des ailes pour faire avancer leur agenda.

Et notamment faire entrer sans délai l’Ukraine ou la Moldavie dans l’UE, et sans doute aussi pour ressortir un jour le dossier d’adhésion de la Turquie qui s’est opportunément désolidarisée de la Russie. Car, de toute façon, on ne nous demandera pas notre avis, puisqu’en France Nicolas Sarkozy a fait supprimer la consultation préalable du peuple français par référendum en cas de nouvelle adhésion à l’UE !

Santo subito, voici le mot d’ordre pour l’Ukraine !

Pourtant une entrée de l’Ukraine déstabiliserait l’UE et c’est sans doute pourquoi certains la soutiennent. Car l’Ukraine, pays divisé, instable et pauvre, ne remplit aucune des conditions requises : son faible niveau de vie provoquerait en outre un terrible dumping social sur les vieux pays de l’Union. Enfin, avec la mise en œuvre de l’article 42 du traité de Lisbonne au profit de l’Ukraine, l’Union européenne serait entraînée dans la guerre, même si l’Ukraine n’adhère pas à l’OTAN.

Qui en pâtirait, sinon les Européens ? Voilà qui ne peut que réjouir ceux qui rêvent d’empêcher la multipolarité du monde.

Le Great Reset migratoire

L’exode des Ukrainiens fuyant la guerre relance la machine migratoire, qui est l’arme stratégique pour déconstruire l’Europe. Ne nous faut-il pas « accueillir » ces nouveaux réfugiés ?

Comme l’écrit le journal Le Monde, « l’unanimité dans l’accueil doit servir de levier à une nouvelle politique migratoire européenne. Comment des pays ayant bénéficié de la solidarité des Vingt-Sept pour la protection de leurs voisins ukrainiens pourraient-ils continuer à refuser un mécanisme de partage de l’accueil de l’ensemble des demandeurs d’asile ? ». CQFD !

Le Great Reset politicien


La guerre en Ukraine tombe enfin à point nommé pour Emmanuel Macron l’impopulaire. Elle pourrait faire oublier son lamentable bilan et ses échecs diplomatiques à répétition. En tout cas les médias et les instituts de sondages s’efforcent qu’il en soit ainsi.

La guerre lui permet de jouer au père de la nation, alors que sa politique d’alignement ne nous apporte aucune sécurité, bien au contraire. Et d’espérer une réélection en évitant soigneusement tout débat avec les autres candidats : donc en confisquant une nouvelle fois l’élection présidentielle.

Or une réélection d’Emmanuel Macron serait d’autant plus catastrophique que, depuis la déplorable réforme constitutionnelle de 2008, un président ne peut être réélu au terme d’un second mandat. Cela signifie qu’il n’a donc plus du tout à se soucier de l’opinion des électeurs !

Emmanuel Macron pourrait alors accentuer la déconstruction méthodique de l’exception française et ses penchants tyranniques, sous la protection des « forces de l’ordre ».

Une guerre calamiteuse

Certes, le pire n’est jamais sûr.

Mais la guerre en Ukraine promet déjà d’être calamiteuse pour les Européens et singulièrement pour les Français.

Non seulement parce qu’elle divise notre continent. Non seulement parce qu’elle conduit des chrétiens européens à s’entre-tuer une nouvelle fois sur son sol. Non seulement parce qu’elle confirme le délitement de l’indépendance nationale de la France.

Mais aussi parce qu’elle livre l’Europe aux appétits de puissances qui ne nous perçoivent que comme un vassal ou comme une proie. Et qu’elle risque de modifier durablement la donne politique, aux dépens de la prospérité, de l’identité et de la liberté des Européens.

C’est pourquoi l’oligarchie occidentale se réjouit du Grand Reset qui s’annonce sous les bombes en Ukraine !

Michel Geoffroy, auteur du livre La super-classe mondiale contre les peuples.



BONUS


L'Ukraine est "le premier pays à implémenter le Grand Reset en mettant en place leur application de crédit social regroupant revenu universel, identité numérique, pass vaccinal et à peu près toute votre vie. Pas de crédit social = pas d'indemnité", twitte un ingénieur.

Le tweet précise : "L'application du gouvernement ukrainien (ministère de la transformation numérique) regroupe : – carte d'identité – passeport biométrique – carte de contribuable – tous les permis – immatriculations - polices d’assurance - cartes d'étudiant – certificats de réinstallation - actes de naissance des enfants – certificats COVID19

Elle sert aussi à: - payer les amendes - payer les dettes - payer les impôts - faire les déclarations - demander des renouvellements de papiers - payer les prestations administratives - recevoir ses remboursements & indemnités.

Par ailleurs le gouvernement Ukrainien a déjà annoncé en conférence de presse que si l'application n'a pas de certificat de vaccination COVID elle refusera de payer les indemnités." (Le Réveil d'Atlas)



дія (Diia) est une application mobile, un portail Web et une marque de gouvernance électronique en Ukraine. L'application permet aux ukrainiens d'utiliser des documents numériques dans leurs smartphones au lieu de documents physiques à des fins d'identification et de partage.



mercredi, mars 16, 2022

Massacre ukrainien au cœur de Donetsk


"Plusieurs pays occidentaux encouragent au niveau étatique la participation de leurs citoyens en tant que mercenaires aux hostilités contre les troupes russes en Ukraine." Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.

 




"C’est quand un monstre se noie qu’il fait les plus grosses vagues"

par Erwan Castel


Les bombardements ukrainiens sur les populations du Donbass qui, dois-je le rappeler aux chiens de garde occidentaux qui ne s’indignent que depuis 2 semaines et bien sûr exclusivement du côté ukrainien, durent depuis 8 ans continuent de s’intensifier chaque jour un peu plus en fréquence et en intensité au fur et à mesure que la fin du monstre ukrainien.

Ainsi ce 14 mars, l’artillerie lourde ukrainienne a frappé à 11h30 le centre ville de Donetsk (rue Universtskaïa près du boulevard Shevchenko) avec un missile tactique « Tochka U », un vieux système d’armes hérité de l’arsenal soviétique des pays de l’Est, encore en service dans l’armée ukrainienne et que recomplètent en munitions (et probablement en lanceurs) les pays pays baltes, la Pologne, la Roumanie qui sont des soutiens militaires au régime criminel de Kiev.

En tout, les forces ukrainiennes ont lancé 15 missiles tactiques Tochka U ce matin sur la région de Donetsk-Makeevka, 14 ont été détruits en vol par la défense antiaérienne mais malheureusement 1 à quand même libéré en explosant un de ces caissons à sous munitions anti personnelles au dessus du centre ville.

Après avoir subi pendant 8 ans des bombardements ukrainiens animés par la haine les civils du Donbass subissent aujourd’hui ces mêmes bombardements mais cette fois animés par la rage de ce régime militariste et atlantiste ukrainien agonisant…

Il est peu probable que les thuriféraires de la pensée unique occidentale s’apitoient sur les civils morts et les blessés de Donetsk (dont plusieurs enfants) ; ils continueront à mépriser la souffrance du Donbass, la criminalité du régime de Kiev, voire seront capables de qualifier ce tir comme une réponse légitime aux bombardements russes en cours et peut-être même d’en attribuer la culpabilité à leur artillerie (sauf que le Tochka U n’est plus en service en Russie depuis longtemps).

En quittant mon service, 2 chasseurs bombardiers russes Sukhoï 35 passaient au ras des toits de notre base pour apporter un première réponse vengeresse à ces soudards ukrainiens qui depuis 8 années préfèrent préfèrent massacrer les civils du Donbass plutôt que d`affronter en soldats défenseurs.

Mes pensées ce soir vont aux nouvelles victimes du Donbass tuées encore par cet interminable terrorisme ukrainien et à la douleur de leurs familles…

Paix à leurs âmes !


Source : https://reseauinternational.net/massacre-ukrainien-au-coeur-de-donetsk/ (articles complété de vidéos et photos)

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Les mercenaires étrangers de Zelensky

"L'armée russe a affirmé avoir tué des mercenaires étrangers lors de frappes dimanche contre "la localité de Staritchi et la base militaire de Yavoriv" dans l'ouest de l'Ukraine, près de la frontière polonaise. "En conséquence de cette frappe, jusqu'à 180 mercenaires étrangers et une importante quantité d'armes étrangères ont été éliminés", a affirmé lors d'un briefing le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov."

"Plusieurs pays occidentaux encouragent au niveau étatique la participation de leurs citoyens en tant que mercenaires aux hostilités contre les troupes russes en Ukraine. Toute la responsabilité de la mort de ces citoyens étrangers en Ukraine repose sur les dirigeants de ces pays." (Igor Konachenkov sur Twitter)

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Arrivée de BHL en Ukraine. Il est en compagnie de Maxim Marchenko, ancien commandant du bataillon néo-nazi Aidar, accusé de crimes de guerre selon un document d'Amnesty International :



mardi, mars 15, 2022

La fin imminente de la Cinquième République



(2:28)

Philippe Fabry : 

"Nous avons un régime autoritaire et vieillissant, ce type de régime se termine en révolution !"


L’entretien complet avec Philippe Fabry :


Philippe Fabry est juriste de formation, historien du droit, spécialiste des institutions et des idées politiques. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à l’histoire et à la géopolitique.

Philippe Fabry a également développé une discipline, l’historionomie, qui consiste notamment à identifier et à étudier des cycles ou des récurrences historiques et les lois qui les sous-tendent, afin d’établir un système théorique et des outils conceptuels à même de fournir une vision dynamique de l’Histoire, « en triant le nécessaire et le contingent, le déterminant et le négligeable ».

« L’historionomie a pour objet d’établir des relations, de décrire des rapports entre des phénomènes, afin de permettre non seulement de mieux comprendre l’Histoire et ses chaînes de causalité, mais aussi de mieux lire le monde actuel et d’en déceler les lignes de force », explique Philippe Fabry.

« Par l’étude raisonnée du passé, et la modélisation historique, l’historionomie permet de radiographier le monde d’aujourd’hui, et d’anticiper celui de demain », ajoute-t-il.

L’historionomie a ainsi permis à Philippe Fabry de prévoir l’invasion de l’Ukraine par la Russie il y a déjà plusieurs mois, alors que la plupart des analystes affirmaient encore que Vladimir Poutine n’envahirait jamais l’Ukraine à la veille du déclenchement de la guerre.

Nous avons rencontré Philippe Fabry afin de revenir sur le conflit et de déterminer la trajectoire historique à laquelle il peut être rattaché au regard de l’historionomie, mais aussi d’évoquer plusieurs aspects géopolitiques de la guerre entre l’Ukraine et la Russie.

L’Otan a-t-il une part de responsabilité dans l’invasion de l’Ukraine par la Russie ?

Quelle est la doctrine de la Russie en matière d'emploi de la force nucléaire ? Quelle est la puissance de l’armée russe ?

Quel est le poids des milices d’extrême droite et néonazies dans la politique ukrainienne ? Quels sont les liens quelles entretiennent avec le pouvoir ?

Quels sont les principaux enjeux du conflit en Ukraine pour l’Union européenne ?

Quelle est l’attitude la plus pertinente à adopter vis-à-vis de l’Otan pour la France ?

Comment s’explique l’aura dont bénéficie Vladimir Poutine auprès d’une partie de l’opinion française ?
Quel regard porte Philippe Fabry sur les liens entre la Chine et la Russie ?

Comment le conflit entre l’Ukraine et la Russie pourrait-il évoluer au regard de l’historionomie ? Une contagion à d’autres pays est-elle possible ?

Quels pourraient être les effets du conflit en Ukraine sur la situation intérieure en France dans les mois qui viennent ?


Déterminisme historique et liberté individuelle


Quelle est la part exacte, dans l’Histoire, du déterminisme ? Comment ce déterminisme historique, s’il existe, s’articule-t-il avec le libre arbitre, exercé de manière individuelle ou collective ?

La démarche de Philippe Fabry vise à y répondre par une pratique ample, raisonnée et novatrice du comparatisme historique. Décelant une trajectoire commune, s’étalant sur sept siècles, dans l’histoire de tous les grands pays d’Europe – Angleterre, France, Allemagne, Espagne, Russie, Danemark, Suède – mais aussi certains pays du Moyen-Orient – Turquie, Iran, Égypte – et des cités-États de jadis comme l’Athènes antique ou la Florence médiévale, il élabore le modèle de la construction des États-nations. Cette mécanique, allant de l’éclatement féodal primordial à l’émergence du parlementarisme démocratique, en passant par un « mouvement de révolution » partout similaire, et fondateur de la modernité, apparaît universelle.

L’auteur en explore les ressorts profonds et montre comment l’Histoire européenne et orientale est le produit de l’enchevêtrement de ces trajectoires locales, parcourues en exécution d’un petit nombre de « lois de l’Histoire ».

Ces lois seront finalement formulées, et donneront la clef de ce questionnement fondamental relatif à la mesure du déterminisme et du hasard historiques, permettant peut être de dessiner l’Histoire de demain.



lundi, mars 14, 2022

Des yoguistes bretons soutiennent l'Ukraine de Zelensky

 




"Le yoga étant une technique, il ne pouvait manquer de lui arriver ce qui arrive à toute technique, qu'elle soit d'ordre physique, psychique, social ou religieux. La technique en soi retient de plus en plus l'attention, et les moyens risquent d'être valorisés pour eux-mêmes aux dépens de la fin primitivement poursuivie. Les dangers alors du yoga ne sauraient être minimisés.

L'un des plus graves est de faire surgir au fond de la conscience du yogi une espèce de sur-moi, si puissant éventuellement qu'il est capable de contrôler et de dominer la conscience phénoménale, le flux mental et même les mouvements musculaires. Un tel sur-moi n'est en définitive qu'une exaltation du moi, de "Pahamkâra", une prolifération cancéreuse de l'ego, un point de la conscience grandi démesurément par rapport au reste. Telle est la source de l'orgueil luciférien de certains yogis. Descendant au fond d'eux-mêmes, ils font effort pour passer soi-disant de soi au Soi. Mais ce vers quoi ils tendent et qu'ils appellent le Soi n'est finalement qu'une projection de leur pensée, le but qu'ils ont conceptualisé et qu'ils se forcent à atteindre. Ce n'est point alors à la perte de leur moi dans le Soi suprême qu'ils parviennent, comme ils se le figurent. Tout au contraire, conséquence même de l'attitude pélagienne qui a accompagné toute leur ascèse, c'est leur propre ego, avec toutes ses particularités et limitations, que, par leur concentration de pensée et leur force de volonté, ils ont enflé de façon monstrueuse et promu au rang de l'absolu."


Dom Le Saux

Pour en savoir plus :

Yoga & quête de soi



dimanche, mars 13, 2022

336 laboratoires bio-militaires américains menacent la vie sur terre

"Les États-Unis bloquent depuis 20 ans la construction du protocole de vérification de la Convention sur les armes biologiques et refusent d’accepter les inspections des installations biologiques à l’intérieur et à l’extérieur de leurs frontières, ce qui ne fait que renforcer les inquiétudes de la communauté internationale." Zhao Lijian


Ukraine : Les laboratoires biologiques du Pentagone existent

 Par Emilien Lacombe

L’Armée américaine a-t-elle financé des labos pour produire des armes biologiques en Ukraine ? Oui, confirme la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland. La Chine s’en inquiète.

Depuis quelques jours, la presse alternative et les médias sociaux évoquent la présence de nombreux laboratoires destinés à fabriquer des armes biologiques sur le sol ukrainien. Ils seraient financés par le Pentagone. La presse officielle dénonce cette nouvelle fake-news accusant le Kremlin de vouloir ainsi justifier l’agression à l’égard de l’Ukraine. Et qualifie tous ceux qui évoquent le sujet de « complotistes ». Pas moins.

Pourtant, face au tollé venu notamment de Chine, la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland a déclaré, mardi, dans un tweet, que Washington travaillait avec l’Ukraine pour empêcher que les installations de recherche biologique ne tombent entre les mains des Russes. Elle confirme ainsi toutes les »théories du complot » sur l’existence de ces labos.

Dans son édition du 4 mars, Le Courrier des Stratèges révèle qu’il existe 11 bio-laboratoires en Ukraine liés aux États-Unis qui « travaillent avec des agents pathogènes très dangereux ».

Le journal écrit : « Avec le soutien des États-Unis, le premier centre biologique d’Ukraine a été ouvert le 15 juin 2010 dans le cadre de l’Institut de recherche Mechnikov Anti-Plague à Odessa en présence de l’ambassadeur américain John Tefft. Le centre d’Odessa s’est vu attribuer un niveau permettant de travailler avec des souches utilisées dans le développement d’armes biologiques. »

Il ajoute : « Rien qu’en Ukraine en 2013, des bio-laboratoires ont été ouverts à Vinnytsia, Ternopil, Uzhhorod, Kiev, Dnepropetrovsk, Simferopol, Kherson, Lviv (trois laboratoires à la fois dans cette ville !) et Lugansk avec le soutien des États-Unis. »

La mémoire d’internet

Toujours selon ce journal, ces laboratoires ont été construits dans le cadre du programme américain de coopération pour la réduction des menaces (DTRA) une agence de soutien au combat au sein du département de la défense des États-Unis (DoD).

Jusqu’ici, l’ambassade américaine à Kiev publiait sur son site internet des documents où l’on trouvait le détail du financement des labos autorisés à manipuler les germes pathogènes. Mais ils ont été effacés dès le début de l’attaque russe.

Par chance, la mémoire du web est ineffaçable, rappelle Le Courrier des Stratèges.

La Chine très inquiète

La Chine ne rigole pas avec les germes pathogènes. Frappé à plusieurs reprises par ces petites bêtes qui font de gros dégâts (grippe aviaire, grippe porcine, Covid-19), l’Empire du Milieu s’intéresse aux labos secrets de l’Ukraine. Et pose des questions embarrassantes aux États-Unis.

Selon l’Agence de presse Xinhua, reprise par french.china.org le ministère chinois des Affaires étrangères a demandé mardi aux États-Unis « de publier tous les détails concernant leurs laboratoires biologiques en Ukraine » et exhorte les parties concernées à assurer leur sécurité.

Le porte-parole du ministère, Zhao Lijian, a indiqué que « les activités bio-militaires américaines en Ukraine ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Sous différents noms, le Département américain de la défense contrôle 336 laboratoires biologiques dans 30 pays. »



(2:26)
Le porte-parole ajoute cette pique : « Les États-Unis bloquent depuis 20 ans la construction du protocole de vérification de la Convention sur les armes biologiques et refusent d’accepter les inspections des installations biologiques à l’intérieur et à l’extérieur de leurs frontières, ce qui ne fait que renforcer les inquiétudes de la communauté internationale. »



samedi, mars 12, 2022

Poutine, le monde libre

Le protecteur de la sainte Russie contre la barbarie yankee et les hordes de l'OTAN.


"Ici (en Russie), il reste encore des racines vivantes. Elles sont en train de donner des pousses. Il y aura une restauration des valeurs civiques et spirituelles. Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l'intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. J'ai senti tout cela dans le Vermont. Le système occidental va vers son état ultime d'épuisement spirituel : le juridisme sans âme, l'humanisme rationaliste, l'abolition de la vie intérieure... Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. Elles ont oublié que le premier droit de l'homme, c'est le droit de ne pas encombrer son âme avec des futilités." Soljenitsyne



Poutine, le monde libre

par Philippe de Villiers


Je pousse Vladimir Poutine à m'expliquer la confrontation des visions du monde entre la Russie et l'Amérique : la Russie veut un monde multipolaire, m'explique-t-il, les États-Unis le veulent unipolaire — atlantiste, mondialiste. Les sanctions sont une aberration géostratégique pour la France. Elles coupent l'Europe de la Russie alors que les complémentarités sont évidentes, entre les biens industriels et les sources d'énergie, entre nos cultures et nos richesses spirituelles. L'Europe de saint Benoît et de saint Vladimir, celle de Pouchkine, de Tolstoï, de Balzac et de Victor Hugo.

— La Russie avait vocation à devenir l'interface entre la Chine et l'Union européenne. La crise ukrainienne a abîmé ce rêve eurasiatique. L'Amérique y a mis son veto.

Il me fait comprendre que la Russie n'a désormais d'autre choix que de se tourner davantage vers la Chine et l'Inde. Et nous, les Français, nous n'avons pas d'autre horizon, hélas, que l'américanisation de l'Europe.

— Vos dirigeants passent à côté de leur avenir. Comme on dit en Russie, ils ne cessent de marcher sur le même râteau. Trop souvent sans culture, ils ne connaissent plus les leçons du passé. Ainsi ignorent-ils que l'Ukraine est historiquement un pays lié à nos affections. Quant à la Crimée, revenue à la mère patrie, l'ancienne Chersonèse et Sébastopol ont une importance civilisationnelle et même sacrée, inestimable pour la Russie, comme le mont du Temple à Jérusalem pour les croyants de l'islam et du judaïsme. Le baptême du grand-duc Vladimir eut lieu à Chersonèse en Crimée ; et le baptême des Russes eut lieu à Kiev en Ukraine.

En réalité, en écoutant cet homme d'État qui cherche à embrasser l'avenir du monde et qui parle sans détour, je comprends que nous assistons aujourd'hui à une formidable inversion historique. Jusqu'à la chute du Mur, la Russie représentait le bloc soviétique, le bloc soumis, et l'OTAN le monde libre. Désormais, la Russie libérée de toute idéologie révolutionnaire, assiste en pays libre à l'instrumentalisation de l'OTAN pour asservir le monde à l'Amérique ainsi qu'à son modèle de société. Le monde libre, indépendant, ne serait-il pas désormais à l'Est, le monde asservi — sous domination américaine — désormais à l'Ouest ? 

Si l'Europe et les nations européennes veulent sortir de la récession, voire d'une disparition pure et simple — puisqu'on nie aujourd'hui les valeurs chrétiennes qui ont forgé leur identité —, elles doivent se tourner vers le monde orthodoxe qui résiste envers et contre tous à une forme de décadence occidentale reposant sur l'individualisme absolu, le nihilisme transgressif et le consumérisme globalisé.

Aujourd'hui la Russie, où je vais régulièrement, ne représente plus, selon moi, une menace, elle est même pour nous une opportunité remarquable sur le plan économique comme sur le plan moral, parce qu'elle est sortie de l'idéologie que nous avons fabriquée pour elle — Marx et Engels étaient des Européens. Elle peut donc nous aider à nous libérer nous-mêmes de nos dérives idéologiques, quelles qu'elles soient. Hélas, l'Europe n'est plus pensée comme un ensemble de nations aux cultures proches qui peuvent travailler ensemble de manière multilatérale, mais comme une idéologie, un absolu, un magma en fusion sans consistance et sous influence, l'Europe des Femen et du terrorisme médiatique.

Un an après cet entretien du 14 août 2014, j'ai pu constater que l'Histoire n'a pas traîné. Obama, qui tient Merkel et Hollande dans sa main, commande les destinées de l'Europe, tant sur le plan militaire que diplomatique. L'Amérique a besoin d'un ennemi pour tenir et cimenter l'Alliance atlantique, qui n'a plus de raison d'être depuis la disparition du pacte de Varsovie et la chute du communisme. Elle a donc besoin d'un diable. Et ce diable, c'est Poutine. S'il n'y a plus de diable, la brouette risque de perdre ses grenouilles en route. Nul ne pourra plus les retenir. Les Européens échapperont alors à la férule américaine.

Mon père me rappelait souvent les liens de notre famille avec l'Amérique. Notre ancêtre, qui fut ministre de la Guerre, le général de Ségur, participa à la guerre d'Indépendance. Ce qui nous vaut d'être membres de la prestigieuse National Society of the Sons of the American Revolution. Mais l'amitié ne doit pas entraver la lucidité. Mon père me répétait :

— J'ai vu de près les Américains pendant la guerre, je les aime beaucoup, ils ont de l'allant, mais ce sont de grands enfants. Ils jouent avec le monde.

Il faut croire qu'aujourd'hui les Européens sont aussi devenus puérils. La différence entre les enfants et les adultes, c'est le poids de l'Histoire et le prix de leurs jouets.

Pour l'heure, la brouette transatlantique accompagne, en queue de convoi, les pyromanes américains partout où il leur prend l'envie d'aller mettre le feu : le Kosovo, l'Irak, la Libye, la Syrie, l'Ukraine. Leurs voyages sont nos voyages ; leurs conflits, nos conflits ; leurs aventures, nos aventures. C'est la définition même d'un protectorat.

Notre président est un proconsul américain qui a choisi de rendre visite à Castro plutôt que d'associer la France à la grande commémoration patriotique du 9 mai 2015 à Moscou. C'est plus qu'une faute, une erreur stratégique. Qui est passée inaperçue, car beaucoup d'intellectuels français ont salué cette « entrevue historique » à la une des journaux. Sans doute avaient-ils la larme à l'œil à cause de leurs souvenirs de jeunesse. Ces gens-là en veulent à Poutine de ce qu'ils ne sont plus. Ils l'accusent d'être un ancien du KGB, quand eux-mêmes ont passé leur jeunesse chez Mao, Castro, Pol Pot.

La presse française a parlé de « l'isolement de Poutine », le jour de cette parade militaire qui célébrait le soixante-dixième anniversaire de la victoire de la Russie sur l'Allemagne nazie.

Un drôle d'« isolement ». Sur l'estrade officielle, le président de la Russie était entouré du président de la Chine et du Premier ministre de l'Inde. A la tribune, il y avait trois milliards d'hommes représentés. Le parti communiste chinois a ensuite déclaré : « Cette cérémonie a propulsé à un nouveau stade le partenariat stratégique global entre la Chine et la Russie. »

Bientôt, en Europe, on dénoncera chez Poutine cette dérive vers l'Asie. Ainsi lui reprochera-t-on ce qu'on a provoqué. Moscou est devenue la capitale du système polycentrique face au bloc unipolaire sous clé américaine. La diplomatie européenne, au contact des grands enfants yankees, est devenue infantile. Elle relève d'un monôme dans une cour d'école : Hollande met les mains sur les épaules de Merkel qui les dispose sur les épaules d'Obarna. Et en avant pour le tour du monde. Seul l'Américain sait où il va.

Au rebours de nos intérêts, les sanctions contre la Russie ont des conséquences stratégiques pour l'Europe. « Leur but caché n'est pas de mettre la Russie à genoux, mais d'empêcher que la coopération entre Russes et Européens n'engendre le premier concurrent de l'économie américaine. » Seule la France peut aider l'Europe au nécessaire retournement stratégique que le président russe appela de ses vœux à la fin de notre entretien :

— Pensez-vous, m'interrogea-t-il, qu'il puisse y avoir un jour un mouvement d'émancipation des vieilles nations européennes face à l'Europe technocratique et américaine ?

— Bien sûr que oui. Et plus tôt que nous ne le pensons. Un jour, Margaret Thatcher m'avait dit : « On s'est débarrassé des commissaires à l'Est. Ce n'est pas pour obéir à d'autres commissaires à l'Ouest. » Bientôt ce système oligarchique va s'effondrer. Mort, il faudra bâtir la grande Europe confédérale...

— C'est le bon sens, reprit Vladimir Poutine. Helmut Kohl et François Mitterrand nous l'avaient secrètement proposée après la chute du Mur de Berlin. Mais les Américains veillaient. Ils voulaient que l'Europe passe de l'atlantisme au mondialisme.

— De Gaulle, lui aussi, avait proposé la Grande Europe. Il avait même prédit : « Un jour viendra où la Russie boira le communisme, comme le buvard boit l'encre. »

Préparez-vous, monsieur le président, votre projet de « Grande Europe » sera bientôt à l'ordre du jour.

Alors, Vladimir Poutine, qui connaît ses classiques, d'un geste de la main, m'interrompit :

— Oui... Oui... L'Europe de l'Atlantique à l'Oural.


Philippe de Villiers, « Le moment est venu de dire ce que j'ai vu ».





"J'ai été un homme politique. Je ne le suis plus. Ma parole est libre. Je suis entré en politique par effraction. Et j'en suis sorti avec le dégoût.

Le désastre ne peut plus être maquillé. Partout monte, chez les Français, le sentiment de dépossession. Nous sommes entrés dans le temps où l'imposture n'a plus ni ressource ni réserve. La classe politique va connaître le chaos. Il n y a plus ni précaution à prendre ni personne à ménager. Il faut que les Français sachent. En conscience, j'ai jugé que le moment était venu de dire ce que j'ai vu."


BONUS :

La Russie abolit McDonald’s, Tinder, Netflix, CNN et Facebook

Après deux semaines de guerre, nous avons une idée de ce qu’il en coûte à un Etat de déclarer la guerre au Nouvel Ordre Mondial.

Grosso modo, cela revient à vivre sans Netflix, KFC, CNN, McDonalds, Starbucks et Facebook.

Autrement dit, Vladimir Poutine vient d’interdire la malbouffe, les fake news et les séries multiraciales pour femmes blanches dans toute la Russie.

C’est-à-dire toutes les recommandations de self improvement dont l’extrême-droite occidentale parle depuis une décennie sans avoir jamais pu convaincre personne d’y souscrire.

En moins de six mois, le peuple russe aura subi un régime de remise à niveau physique et psychique qui en fera le plus fort d’Europe.

J’admire Vladimir Poutine depuis très exactement deux semaines. C’est devenu l’homme le plus significatif de l’histoire européenne du XXIe siècle.

Poutine a eu sur la table un rapport très détaillé des sanctions à venir en cas d’opération anti-OTAN en Ukraine. D’évidence, à 70 ans, il pouvait flancher et ne servir à rien en continuant de parler pour ne rien dire à propos des projets de ZOG contre son pays.

Comme Trump, en fait.

Surtout que la totalité de son peuple, victime de l’opium du peuple qu’est le mode de vie occidental, ne demandait qu’à capituler.

En lieu et place, il a choisi de déconnecter totalement son pays de tout ce que nous maudissons.

D’ailleurs, toute l’extrême-gauche écologiste française hait celui qui a sauvé son pays de la bouffe empoisonnée US, ce qu’ils ne pourront jamais que rêver de faire.

Certes, arracher une dent fait mal, mais mieux vaut une douleur intense et brève qu’une douleur diffuse qui emporte toute la mâchoire.

Nous allons avoir des agents de ZOG d’extrême-droite qui vont nous dire qu’il est impossible de vivre sans McDonald’s, sans Starbuck, sans Tinder et sans Netflix et que c’est une catastrophe pour la Russie de ne plus être exposée au poison du bolchevisme judéo-américain.

Je crois au contraire que ce bond en arrière est le seul bond en arrière qui aura jamais eu des vertus pour un peuple.

Les Russes vont devoir faire une quantité énorme de choses eux-mêmes.

Quand ils ne pourront pas le faire, cela viendra de Chine, mais la Chine n’a rien d’équivalent au bolchevisme culturel judéo-américain. Elle livrera des produits finis, pas de biens culturels susceptibles de déformer la culture russe.

La seule culture qui puisse agir comme une anti-culture est la culture américaine, une version atrocement déformée de la culture européenne sous l’effet du judaïsme et de la négrification raciale.

Donc les Russes vont redécouvrir qui ils sont. Ils vont retrouver leur force intérieure.

Extrait d'un article de C. Harlock dans Démocratie Participative. (Sans les théories de Gobineau ce site serait plus fréquentable.)

*******

Les États-Unis et leurs toutous se sont trompés dans leurs sanctions et leurs réelles opportunités d'exclure la Russie de leurs approvisionnements en technologies et en matières premières !

- Le gaz et le pétrole russes sont en fleurs !!!! Les fruits vont bientôt mûrir !

- La Russie fournit 90% du palladium pour l'électronique mondiale !

- La Russie fournit 80 % des substrats uniques en saphir pour les microcircuits – c'est une technologie russe unique !

- La Russie détient plus de la moitié des brevets du projet Airbus et en fournit la moitié des matériaux !

- L'acier russe est le matériau principal de l'Europe, qui ne peut le remplacer par rien ! Etc.

- Les Arabes ne soutiendront que leurs propres intérêts ! Pour le moment ils sont très satisfaits du prix du pétrole ! Ils ne refuseront pas une telle pluie dorée ! Les États-Unis n'ont rien à offrir en échange d'un tel cadeau du destin !

- La Chine est prête à acheter tout le pétrole et le gaz russes ! Les acheteurs en Europe ne nous intéressent plus par principe !

- Cette opération militaire permettra à Poutine de résoudre toute une série de problèmes internes !

- Le problème avec la Banque centrale de Russie, qui était sous le contrôle total de la Réserve fédérale américaine, sera enfin résolu !

- Toutes les structures compradores dans les affaires russes seront rendues inoffensives ! La Russie va vraiment commencer à se développer ! Vous ne pouvez même pas imaginer quelles technologies la Russie possède et qui peuvent être développées ! L'Occident ne sait même pas comment il s'est éloigné de nous ! Ils ne savent même pas comment faire ! Un paradigme technologique et scientifique complètement différent est intégré dans la plupart des futures technologies russes. La politique pro-occidentale de nos oligarques sera terminée ! La Russie a une réelle chance de commencer son développement rapide et actif !

- Les États-Unis ont officiellement fait savoir qu'ils avaient un plan pour remplacer Zelensky ! Il reste pour eux comme un possible sacrifice, un fusible ! Ils n'ont plus besoin de lui – un impuissant clown qui ne sait jouer du piano qu'avec son pénis (il y a une vidéo avec son numéro sur scène !)

- Une vraie guerre moderne est une guerre de destruction et de nettoyage TOTAL et ultra-rapide du territoire ! La Russie ne se fixe pas de tels objectifs. C'est une situation unique où l'agresseur présumé considère la population civile du pays comme son peuple et essaie de la protéger au maximum ! Les geeks nazis font autrement – ils détruisent leur propre peuple !

- Les États-Unis et l'Occident ont besoin d'un nouveau paradigme politique et de nouveaux buts et objectifs pour le 21e siècle ! Sinon, ils seront confrontés à une extinction et à une dégradation complètes. Biden n'est pas un bon politicien. Il vit au 20ème siècle ! Il n'a pas de nouvelles idées et ne comprend pas le véritable avenir des États-Unis et du monde entier ! C'est triste!

- Le partenaire général de la boutique financière Matrix Capital, Pavel Teplukhin, estime que l'industrie russe s’attend une prospérité encore plus grande. Il commente ainsi la situation :

“ La bulle high-tech doit éclater. […] Et les entreprises qui représentent le secteur manufacturier devraient dépasser les segments hype en termes de croissance. En ce sens, compte tenu de la structure actuelle de l'économie, nous devrions également être généralement en avance sur les pays développés en termes de taux de croissance, qui ont largement grimpé sur un battage médiatique de haute technologie. La Russie aura donc plusieurs années de bonnes perspectives économiques devant elle. ”

- Les États-Unis imposent une interdiction de fournir à la Russie des produits électroniques produits dans n'importe quel pays du monde utilisant la technologie américaine. Selon des estimations préliminaires, les plus grandes marques (Apple, Samsung, Xiaomi) perdront environ 10 milliards de dollars par an.

- En réponse, le gouvernement russe envisage d'arrêter la vente de néon à l'Occident. D'une part, ce gaz n'est qu'un sous-produit de l'industrie métallurgique. Mais il est nécessaire pour les lasers des scanners lithographiques pour la production des chips/puces électroniques.

- 90 % du néon arrive aux États-Unis depuis l'Ukraine. Mais là, il était seulement nettoyé. Les "mines" sont en Russie.

- Le groupe de recherche Techcet a publié un rapport indiquant que les fabricants de semi-conducteurs sont fortement dépendants des matières premières russes.

- Dans le contexte de la situation géopolitique actuelle, la Maison Blanche a exhorté les entreprises à rechercher des fournisseurs alternatifs de matériaux, dont le néon. Ceci est rapporté par Reuters. Cependant, les trouver ne sera pas facile. Les lignes sont déjà saturées pour les années à venir. De plus, beaucoup se trouvent en Chine, qui fait également l'objet de sanctions.

- L'usine de Voronezh "TyazhMekhPress" est un leader dans la production de presses lourdes pour l'industrie automobile. Presses TMP – avec une force de 4000 tonnes. Leur part sur le marché mondial est de 50 à 60 %.

- En 2013, TyazhMekhPress a fabriqué la première presse à forger à chaud au monde avec une force de 16,5 mille tonnes. Il n'y a que 2 analogues - en Allemagne et au Japon.

- L'usine Forges de Courcelles près de Paris a acheté 7 presses TMP pour l'emboutissage des vilebrequins des moteurs Audi, VW, Mercedes.

- Les machines TMP fonctionnent également dans les usines de Renault et Peugeot, Toyota et Mitsubishi, Samsung, Tata Motors.

- Un autre sujet explosif est le fait qu'un programme d’armes biologiques militaires est mis en œuvre en Ukraine, financé par le Pentagone. Comme Igor Konashenkov l'a récemment rapporté, le ministère de la Défense a reçu des documents d'employés de ces biolabs sur la destruction d'urgence le 24 février d'agents pathogènes à l'origine de diverses maladies - choléra, anthrax, peste, tularémie et autres. Cela a été fait afin d'empêcher la divulgation des faits de violations par l'Ukraine et les États-Unis de la Convention sur l'interdiction des armes biologiques et à toxines (BTWC).

- Les médias russes tirent depuis longtemps la sonnette d'alarme sur les nombreux laboratoires de biologie militaire en Ukraine (il en existe une trentaine) supervisés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) américaine.

- Dans le cadre de leurs activités incontrôlées au cours des différentes années dans différentes régions de l'Ukraine, il y a eu des épidémies de maladies atypiques, souvent mortelles.

- Selon un ancien membre de la commission des Nations Unies sur les armes biologiques, le microbiologiste Igor Nikulin, les Américains étudient les caractéristiques de l'immunité des Slaves de l'Est et créent de nouveaux agents pathogènes résistants aux antibiotiques.

- La porte-parole du département d'État américain, Victoria Nuland, s'exprimant lors d'auditions au Sénat américain, a admis avoir fait des efforts conjoints avec la partie ukrainienne pour « empêcher que tout matériel lié à ces études bio-armes ne tombe entre les mains des troupes russes ».

- Pendant ce temps, des responsables russes et chinois demandent des explications aux États-Unis sur les activités de 336 laboratoires biologiques déployés par le Pentagone dans 30 pays. Dans le cadre du soupçon d'une violation manifeste des normes internationales et du risque de menaces biologiques pour la population, Moscou n'exclut pas l'utilisation des articles de la BTWC sur les consultations sur ces questions.

- Les Américains ont visiblement joué trop fort, imposant aux autres leurs propres règles inacceptables pour le monde libre, estimant que la loi n'est pas écrite en ce concerne leur « hégémonie ».

- Le vice-président du Conseil de la Fédération, Konstantin Kosachev, prédit que l'heure ne sera pas loin pour que les preuves du soutien occidental aux structures néo-nazies en Ukraine seront établies.

- Ce ne sera pas le fameux « tube avec poudre » (traduit du russe), mais des faits qui peuvent radicalement affecter l'opinion publique et les appréciations de ce qui se passe avec ce que font les gouvernants en Occident. Pour ce faire, il est nécessaire de préparer soigneusement la base de preuves et d'assurer sa livraison aux destinataires.

- Alors que l'opération spéciale de démilitarisation et de dénazification de l'Ukraine progresse, l'armée russe obtient des documents qui font la lumière sur les plans ambitieux du régime de Kiev, étroitement cornaqué par des conservateurs occidentaux.

- Ainsi, le ministère russe de la Défense a rendu public un document contenant un ordre de combat de la Garde nationale ukrainienne sur les préparatifs d'une offensive dans le Donbass début mars 2022.

- Maintenant, il devient clair pourquoi les politiciens occidentaux ont fait tout ce tapage au sujet de l'« invasion » russe imminente : ils ont exigé de la Russie « de renvoyer les troupes dans les casernes » afin de laisser champ libre aux forces armées ukrainiennes et de l'armée nationale pour envahir le Donbass.

- Selon le représentant officiel du ministère de la Défense, le général de division Igor Konashenkov, l'opération spéciale des forces armées russes lancée le 24 février a contrecarré une offensive à grande échelle menée par des groupes de frappe de troupes ukrainiennes sur les Républiques populaires de Lougansk et de Donetsk, qui ne sont pas contrôlés par Kiev, en mars.

- Il reste maintenant à voir à quel point les dirigeants américains et leurs toutous de l'OTAN, qui se soucient verbalement de la paix en Ukraine, ont été impliqués dans la planification et la préparation de cette opération offensive dans le Donbass.

- Le secret est devenu clair en ce qui concerne les projets de l’Ukraine de créer ses propres armes nucléaires. L'agence de presse Interfax, citant une source informée dans l'un des départements compétents de Russie, a rapporté que "la mise en œuvre par Kiev de son projet nucléaire extrêmement dangereux pourrait devenir une réalité dans un avenir très proche".

- Selon la source, des spécialistes ukrainiens préparaient une «bombe sale» et séparaient du plutonium dans la zone d'exclusion de la centrale nucléaire de Tchernobyl, et le fond de rayonnement accru, naturel pour elle, cachait ces travaux.

- Le rôle clé dans la création d'un engin explosif nucléaire a été confié au centre scientifique « Institut de physique et de technologie de Kharkov », qui dispose d'une base expérimentale appropriée. Comme l'a noté la source, Kiev pourrait secrètement acquérir de l'Occident des technologies d'enrichissement par centrifugation de l'uranium et de séparation des isotopes par laser.

- Pour accélérer ces travaux, du plutonium de la qualité requise a été obtenu au stade initial, et il y a lieu de croire que cela n'a pas été sans la participation de Washington.

- Alors que l'opération spéciale de démilitarisation et de dénazification de l'Ukraine progresse, l'armée russe obtient des documents qui font la lumière sur les plans ambitieux du régime de Kiev, étroitement surveillés par des conservateurs occidentaux. Ainsi, le ministère russe de la Défense a rendu public un document contenant un ordre de combat de la Garde nationale ukrainienne sur les préparatifs d'une offensive dans le Donbass début mars 2022.

- L'armée russe pourrait atteindre les frontières occidentales de l'Ukraine dans les prochains jours. Cette opinion a été exprimée par le premier vice-président de l'Académie des problèmes géopolitiques, membre correspondant de l'Académie russe des sciences des fusées et de l'artillerie, Konstantin Sivkov.

- L'analyste militaire estime que le but de l'opération spéciale russe est simple. Il s'agit de l'occupation de tout le territoire de l'Ukraine, de l'accès à ses frontières occidentales, de l'élimination de la junte à partir de là, puis de la réalisation d'un nettoyage des villes. Dans le même temps, la dernière tâche ne sera pas tant accomplie par l'armée que par la police.

- Selon Sivkov, l'accès aux frontières occidentales de l'Ukraine peut se faire en quelques jours. Et après cela, l'expérience de la Syrie en matière de nettoyage sera utilisée, par exemple, tous les militants seront mis dans un bus et renvoyés d’où ils viennent.

Armes génétiques contre les Slaves

- Des prélèvements sanguins sur les soldats ont été effectués pour la présence d'anticorps contre le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo et les hantavirus. Cette information est devenue publique grâce à une enquête menée par la journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva. Elle a également déclaré qu'environ 80 millions de dollars avaient été alloués aux expériences. Le programme était géré par Black & Veatch Special Projects Corp., sous la direction de la US Defense Threat Reduction Agency. C'est l'un des départements du Pentagone.

- Il convient de noter que les États-Unis mènent constamment des recherches biologiques qui mettent l'humanité au bord du désastre. Ainsi, pour nettoyer la marée noire du golfe du Mexique survenue en 2010, des laboratoires américains dirigés par le prix Nobel Hamilton Smith ont synthétisé en 2011 à l'Institut J. Craig Venter un dangereux organisme artificiel « Cynthia » (Mycoplasma laboratorium), qui ensuite aurait traversé l'Atlantique et provoqué une épidémie d'une infection inconnue parmi les pêcheurs du Sénégal. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont souffert d'abcès cutanés et littéralement d'effondrement des organes internes.

- C'est à la lumière de ce qui précède qu'un autre message fait lors d'un briefing par le lieutenant-général Kirillov est particulièrement effrayant. Sa gravité n'a pas été pleinement réalisée par la communauté mondiale. Kirillov a parlé du transfert au laboratoire spécial américain de milliers d'échantillons de sérum sanguin d'Ukrainiens liés au groupe ethnique slave.

- En commentant les informations, on peut supposer avec un haut degré de probabilité que nous parlons de tentatives de création d'une arme génétique visant spécifiquement les personnes - porteuses d'haplogroupes du génotype slave.

- En fait, les actions des États-Unis et de la junte de Kiev violent directement l'article 1 de la Convention des Nations Unies sur l'interdiction des armes bactériologiques (biologiques) et à toxines. En outre, l'exploitation de telles installations à proximité des frontières avec la Russie constitue une menace pour notre pays. Nous parlons donc de la sécurité de la Russie et de la santé de ses citoyens.

- Le jeu d'escalade de l'Occident se transforme en prix exorbitants non seulement pour les ressources énergétiques, mais aussi pour les métaux, les engrais et les produits agricoles, qui sont des éléments importants des exportations russes.

- Par exemple, le 8 mars, le London Metal Exchange a été contraint de suspendre les transactions sur le nickel, son prix ayant doublé en deux jours (à 100 000 $ la tonne) par crainte de limiter l'approvisionnement en métal en provenance de Russie. Le vice-Premier ministre Alexander Novak a averti l'Occident qu'un embargo sur le pétrole russe pourrait faire grimper les prix du pétrole à 300 dollars ou plus le baril.

- Un certain nombre d'experts américains ont averti dans The Hill que leur pays ressentirait « l'onde de choc » des restrictions anti-russes sous la forme d'une flambée des prix du carburant et des denrées alimentaires.

- L'ancien sous-secrétaire au Trésor Daniel Glaser n'est pas enthousiasmé par la volonté des pays occidentaux de mener une guerre économique contre la Russie. Voulant infliger le plus de dégâts possible à la Russie, ils négligent les dommages collatéraux, "et c'est juste ahurissant".

Extrait de l'article "Ukraine. Point de vue des Russes" :



vendredi, mars 11, 2022

Facebook et Instagram donnent libre cours à la haine contre les Russes




Facebook et Instagram autorisent temporairement les appels à la violence contre les Russes.

Reuters :

Meta Platforms (géant du Web créé par Mark Zuckerberg*) permettra aux utilisateurs de Facebook et d'Instagram de certains pays d'appeler à la violence contre les Russes et les soldats russes dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine, selon des courriels internes vus par Reuters jeudi, en une modification temporaire de sa politique en matière de discours de haine.

La société de médias sociaux autorise également temporairement certains messages appelant à la mort au président russe Vladimir Poutine ou au président biélorusse Alexandre Loukachenko, selon des courriels internes à ses modérateurs de contenu.

"A la suite de l'invasion russe de l'Ukraine, nous avons temporairement autorisé des formes d'expression politique qui violeraient normalement nos règles, comme des discours violents tels que "mort aux envahisseurs russes" (Les Russes sont considérés comme des libérateurs dans une partie de l'Ukraine*). Nous n'autoriserons toujours pas les appels crédibles à la violence contre les civils russes", a déclaré un porte-parole de Meta dans un communiqué.

Les appels à la mort des dirigeants seront autorisés à moins qu'ils ne contiennent d'autres cibles ou n'aient deux indicateurs de crédibilité, tels que le lieu ou la méthode, selon un e-mail, dans une récente modification des règles de l'entreprise sur la violence et l'incitation.

Citant l'article de Reuters, l'ambassade de Russie aux États-Unis a exigé que Washington mette fin aux "activités extrémistes" de Meta.

"Les utilisateurs de Facebook et d'Instagram n'ont pas donné aux propriétaires de ces plateformes le droit de déterminer les critères de vérité et d'opposer les nations les unes aux autres", a déclaré l'ambassade sur Twitter dans un message également partagé par leur bureau en Inde.

Les changements temporaires de politique sur les appels à la violence aux soldats russes s'appliquent à l'Arménie, l'Azerbaïdjan, l'Estonie, la Géorgie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Roumanie, la Russie, la Slovaquie et l'Ukraine, selon un e-mail.

Dans l'e-mail récemment envoyé aux modérateurs, Meta a souligné un changement dans sa politique de discours de haine concernant à la fois les soldats russes et les Russes dans le contexte de l'invasion.

[...]

La semaine dernière, la Russie a déclaré qu'elle interdisait Facebook dans le pays en réponse à ce qu'elle a qualifié de restrictions d'accès aux médias russes sur la plateforme. Moscou a réprimé les entreprises technologiques, dont Twitter, qui a déclaré qu'il était limité dans le pays, lors de son invasion de l'Ukraine, qu'il appelle une "opération spéciale".

De nombreuses grandes plateformes de médias sociaux ont annoncé de nouvelles restrictions de contenu autour du conflit, y compris le blocage des médias d'État russes, RT et Spoutnik, dans l'Union européenne, et ont démontré des exclusions dans certaines de leurs politiques pendant la guerre.

Les e-mails ont également montré que Meta autoriserait les éloges du bataillon Azov de droite (Il s'agit d'un bataillon néonazi, dont l'insigne, la rune du loup, était aussi l’emblème de la division hitlérienne "Das Reich"*), ce qui est normalement interdit, dans un changement signalé pour la première fois par The Intercept.

Le porte-parole de Meta a précédemment déclaré que la société "faisait pour le moment une petite exception pour les éloges du régiment Azov strictement dans le contexte de la défense de l'Ukraine, ou dans son rôle au sein de la Garde nationale ukrainienne".

*) Annotations de Bouddhanar.




jeudi, mars 10, 2022

Quel est le véritable objectif des sanctions contre la Russie ?


Paupériser les Européens pour imposer la grande réinitialisation, The Great Reset, de la secte de Davos ?




Constat de Charles Gave :

"Premier point, le monde en général et l’Europe en particulier sont en train de rentrer dans une période de pénurie énergétique globale et durable. L’Allemagne en particulier est dans une situation impossible après avoir fermé toutes ses centrales nucléaires au moment où il aurait fallu en bâtir d’autres.

Deuxième point, la zone Euro a un énorme déficit énergétique avec la Russie qui lui vend du gaz, du pétrole et du charbon, facturés au moins en partie en Euro, ce qui est une bonne nouvelle pour la zone euro.

Comme la Russie a des comptes courants excédentaires avec la zone Euro, elle se retrouve donc avec trop d’euros, qu’elle investissait en obligations allemandes et françaises, ce qui est la façon normale de procéder entre un client et son fournisseur de matières premières. Dans le fond, la Russie nous faisait crédit et donc nous permettait de vivre au-dessus des moyens, ce qui était bien aimable de sa part.

Mais la décision a été prise (par qui ? et pourquoi ?) de geler ces réserves de changes qui constituaient environ un quart des réserves de change russes.

Nous venons donc de dire à la Russie : Allez-vous faire voir, nous n’avons que faire de votre crédit ! Ce qui est bien stupide quand on a besoin de pétrole pour faire tourner son économie et qu’il n’y en a pas ailleurs.

Dans la pratique, qu’est que cela veut dire ? La Russie ne peut plus tirer sur ses réserves en cas de besoin, ce qui est bien sûr le but recherché.

Mais, comme l’Europe ne peut survivre sans acheter de l’énergie en Russie, la question qui ne va pas manquer de se poser est la suivante : dans quelle monnaie les Russes vont-ils demander à être payés ?

En Dollar ? Pour se les faire piquer par les américains ?

En Euro ? Comme le précisent les contrats, mais pour les déposer où et dans quelle banque ?

En Or ? Mais la Bundesbank va écumer si on la force à vendre son or au profit du reste de la zone euro.

En Yuan ? Mais la Chine est tres excédentaire vis-à-vis de l’Europe, et nous n’avons pas beaucoup de yuans dans nos réserves de change.

En Rouble ? Mais personne n’a des Roubles dans ses réserves de change. Et je ne vois pas Poutine ouvrir une ligne de crédit aux pays européens qui viennent de lui voler ses réserves de change.

Et donc, nous nous trouvons dans une situation complètement ubuesque : Les Européens ont besoin de l’énergie russe, ceux-ci sont prêts à leur en fournir, mais on ne sait pas comment solder la transaction.

Et du coup, nous nous retrouvons avec d’un côté du pétrole Russe que personne ne peut acheter et de l’autre une pénurie de pétrole ou de gaz qui fait monter les prix de façon gigantesque.

Et bravo encore une fois aux génies qui nous gouvernent. Il est difficile de se tirer une balle dans le pied avec plus de précision.

Je connais déjà la réponse, le capitalisme restant le capitalisme : une grande société de trading Japonaise ou Singapourienne va acheter la production Russe et la revendre à l’Allemagne, la France ou l’Italie (en prenant une marge, bien sûr) mais rien ne garantit que la Russie va accepter le paiement en Euro. Elle va peut-être exiger d’être payée en Yen ou en dollar de Singapour, ce qui financera les déficits budgétaires Japonais ou Singapouriens, ce qui ne va pas nous aider à financer les nôtres.

Élargissons le débat et essayons de réfléchir à ce que cela veut dire pour le financement du commerce international.

Comment ce dernier se finançait -il ?

Facile. Tous les produits internationaux (énergie transport, matières premières industrielles ou alimentaires etc…) étaient étiquetés en dollar US, ou parfois en Euro dans le cas du commerce Euro-Russe.

Les pays consommateurs de ces biens ou services payaient en dollar, ce qui voulait dire qu’ils avaient des réserves de change en dollar, et ces réserves étaient investies en obligations du trésor américain.

Ce qui fait que les producteurs avaient eux aussi des réserves de change en dollar, souvent pour acheter les autres matières premières et voilà qui finançait le déficit budgétaire américain et constituait ce que Rueff avait appelé « le privilège impérial des Etats-Unis ».

Mais si les USA et les Européens décident de vous piquer vos réserves de change quand il leur semble bon, alors là, tout change.

Le pays producteur de matières premières n’a plus de raison de vendre en dollar et de conserver des réserves de change en dollar puisque ses réserves peuvent être volées à tout moment si son gouvernement venait à déplaire aux USA.

Quant au pays consommateur de matières premières avoir des dollars en réserve ne veut plus du tout dire qu’il aura accès aux matières premières dont il a besoin surtout s’il venait lui aussi à se fâcher avec les USA.

Et, à mon avis, les USA vont avoir tendance à se fâcher avec tous les pays auxquels ils doivent beaucoup d’argent, se fâcher coûtant moins cher que de rembourser sa dette.

Les réserves en dollar ou en euro déposées auprès des banques centrales des USA ou de l’Europe sont donc devenues un investissement sur lequel je peux tirer, à condition que mon débiteur soit d’accord, ce qui est inattendu.

Ce qui m’amène à une conclusion stupéfiante :

Avec la Crise Russo-Ukrainienne , le système des paiements internationaux qui existait depuis 1945 vient de voler en éclats, puisque les réserves de change ne servent plus à rien.

Et donc, les USA et l’Europe viennent de détruire le mécanisme qui leur permettait de vivre au-dessus de leurs moyens, ce qui veut dire que leur niveau de vie va baisser à partir de maintenant.
" (Source : Institut des Libertés)


Commentaire :

"Il faut encore préciser que l’économie française covidiste est une économie dirigée taxée à 60% où les bars, restaurants et cinémas sont remplis par l’Etat grâce à des centaines de milliards d’euros imprimés à partir de rien qui s’ajoutent à des milliers de milliards d’euros imprimés à partir de rien. [...]

Quand Le Maire parlait de « détruire l’économie russe », il parlait en fait de l’économie française. Le Maire restera certainement comme le ministre de l’économie français qui a réussi à détruire la France en moins de trois ans.

La Russie passera en économie de guerre, la France passera aux émeutes raciales une fois la CAF plantée par sa politique antirusse. [...]

J’ai hâte de voir la rhétorique antirusse des zombies lobotomisés par BFM Drahi se heurter de plein fouet à leur fin de mois.

Cela va arriver très vite.

Et c’est avant que la dette souveraine française ne s’effondre sur elle-même, faute d’acheteurs.

L’économie européenne est virtuellement anéantie et l’économie française est vouée à la destruction finale après 20 ans de désindustrialisation générale.

Mais oui, les ahuris ont des drapeaux ukrainiens dans leur bio Twitter pour bien montrer à Poutine qu’ils n’ont pas peur de lui.

Notez bien tous ceux qui ont refusé de suivre ZOG dans cette guerre, parce qu’ils auront été les rares à annoncer le désastre succédant à celui du covidisme." 

Extraits de l'article de C. Harlock, "Great Reset déguisé en sanctions antirusses : Bruno Le Maire avertit que l’économie française sera pulvérisée comme prévu". (D.P.)


Crime contre la démocratie et déferlement totalitaire

Anthropologue français, spécialisé en santé publique, Jean Dominique Michel enseigna dans de nombreuses universités. Dans une courte vidéo ...