En France, des journalistes, des responsables d'ONG, des francs-maçons, des politiciens... sont des sayanim, autrement dit, des traîtres au service d'une puissance politico-financière et de son mondialisme messianique. (Israël n'est que la partie visible de l'iceberg occulte.)
Le Mossad et ses collabos français
Jacob Cohen : Les sayanim – informateurs en hébreu – sont des juifs de la diaspora qui, par « patriotisme », acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l’aide nécessaire dans le domaine de leur compétence. (Ils sont quelques milliers en France mais personne ne les connaît. Leur existence est niée. Leur force vient justement de leur infiltration secrète dans tous les secteurs de la société. Ils agissent en citoyens français, mais en réalité ils travaillent pour une puissance étrangère.) [...]
La puissance médiatique du lobby pro-israélien
JC : Je suis d’assez près l’actualité proche-orientale, et je consulte les médias des 2 bords. Et je suis sidéré, presque fasciné, par la puissance médiatique du lobby pro-israélien. Et comment il arrive à faire rentrer dans les esprits, jusqu’à devenir des banalités admises, des concepts comme « la seule démocratie de la région », ou tellement aberrants, comme « assurer la sécurité d’Israël ».
Le fait de savoir que des sayanim sont en grande partie le moteur de cette propagande permet une lecture plus lucide et plus pertinente de l’actualité. [...]
Un million de sayanim
JC : En France ils seraient près de 3000. Ostrovski, ex-agent du Mossad, estime leur nombre à 3000 rien qu’à Londres. On peut imaginer leur importance aux Etats-Unis. Mais le « réservoir » est infini. Si on associe le B'nai Brith (franc-maçonnerie juive internationale), la WIZO (organisation internationale des femmes sionistes), les organisations judéo-sionistes nationales, comme l’UPJF, l’UEJF, le CRIF… en France, ainsi que les sympathisants, on arrive facilement au chiffre de un million de juifs prêts à travailler pour le Mossad.
(Le B’nai B’rith, la franc-maçonnerie juive mondiale, forte de 500 000 membres, représente un réservoir inépuisable dans lequel le Mossad puise ses futurs « sayanim ». Mais on peut devenir « sayan » sans être lié au B’nai Brith.)...
"Le printemps des sayanim", le cinquième roman de Jacob Cohen, a révélé de façon prémonitoire l'influence prépondérante, et en particulier ses moyens d'action et de pénétration, d'une certaine communauté juive organisée et liée à Israël, pour renforcer l'alliance avec ce pays, et délégitimer toute forme de critique à l'encontre des politiques sionistes, en les faisant passer pour de l'antisémitisme.
Dix membres d'un groupe armé baptisé «Action des Forces Opérationnelles » (AFO) sont actuellement en garde à vue. Ils sont suspectés de vouloir commettre des attentats contre des musulmans, "des imams radicalisés, des femmes voilées, des détenus islamistes sortis de prison...". Ces attentats auraient provoqué un affrontement entre le monde « caucasien » helléno-chrétien et l’Islam présenté comme obscurantiste, terroriste et sanguinaire. Autrement dit, leur but était de générer le chaos de la guerre civile en France.
Il existe une "mystique du chaos" dans de redoutables mouvements messianiques qui œuvrent à la destruction de l'Europe helléno-chrétienne.
Vivez l'Apocalypse des trois derniers jours de la France.
Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément.
La cité s'embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose.
Forces de l'ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos.
Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d'approvisionnements, d'ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel.
Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s'apprêtent à faire face au carnage.
Les événements décrits dans "Guerilla" reposent sur le travail d'écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d'immersion au contact d'agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l'auteur du chef-d'oeuvre "Utøya" (l'affaire Breivik) et de l'enquête phénomène "La France Orange Mécanique" livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile.
La France Big Brother, enquête sur un sujet tabou : le conditionnement d'une population.
Michel Collon : La guerre de l'information fait rage surInternet. Des fanatiques disposent de moyens considérables pour neutraliser et détruire la réputation des personnes qui dénoncent les crimes de l'entité sioniste. Jacob Cohen : En France, la cinquième colonne d'Israël est composée de milliers d'agents nommés les sayanim, tous collaborateurs du Mossad. Ils occupent des postes importants dans de nombreux secteurs de la société française et notamment dans le domaine des médias...
Michèle Sibony, ex-présidente de l'Union juive française pour la paix (UJFP), réclame que Benjamin Netanyahou soit "jugé par la Cour européenne de justice pour crimes de guerre". Pour elle, le Premier ministre israélien, reçu par Emmanuel Macron à Paris, "a porté avec lui le sang de milliers de blessés pendant la marche du retour à Gaza et de plus de 100 morts, tirés à bout portant comme des lapins par des snipers alors qu'il s'agissait de gens désarmés qui manifestaient pacifiquement".
L'attentat du Bataclan : De nouvelles zones d'ombre...
Deux bateaux pour Gaza ont été interdits d'accoster à Paris par la préfecture, le 17 juin. "Ces bateaux font partie de la flottille internationale de la liberté qui tous les deux ans environ tentent de briser le blocus illégal de Gaza," dit Claude Léostic, coordinatrice en France pour la flottille pour Gaza. "On est dans une dérive extrêmement grave de l'État français. Ici ils interdisent des bateaux qui ont une vocation pacifique. La politique française actuelle prend une tournure qui est extrêmement inquiétante."
Monsieur le Président de la République, monsieur le Ministre de l’Intérieur,
La France a-t-elle une autonomie politique par rapport à l’État d’Israël ?
Dimanche dernier, 17 juin, une flottille de deux petits voiliers en route vers Gaza, dont ils tentent de briser le blocus imposé par Israël depuis 11 ans, s’apprêtait à accoster au Quai Saint Bernard, à Paris, où l’attendaient quelque 300 personnes.
Le matin, à l’écluse de Suresnes, ont surgi des zodiacs de la brigade fluviale de la Préfecture de Paris, qui ont imposé une fouille si pointilleuse que 2h30 ont été perdues. Enfin repartis, nos bateaux furent brutalement accostés près du lieu du rassemblement par les zodiacs de la police, qui les ont repoussés au milieu du fleuve, en les heurtant violemment. L’amarrage sur la berge de la Seine et l’accueil par les Parisiens mobilisés contre le blocus de Gaza – les élu.e.s et les personnalités dont M. Lang, président de l’Institut de Monde Arabe – n’auront pas pu avoir lieu.
En raison de quoi ? En quoi la sécurité publique parisienne était-elle menacée ? Pourquoi cet énorme déploiement policier sur la Seine, les berges et le quai St Bernard ? Quel était le donneur d’ordre ? L’Elysée ? Le Ministère de l’Intérieur ? L’ambassade d’Israël en France, dont on sait qu’elle a fait pression pour interdire cette escale de la Flottille ? La France est-elle sous influence d’un pays tiers ?
La semaine passée, un rapport révélait que trois sociétés françaises à capitaux publics sont impliquées dans la construction des lignes de tramway destinées à relier Jérusalem aux colonies israéliennes, toutes illégales, situées en Cisjordanie. Ainsi la France, qui dénonce officiellement la colonisation, continue, par l’action de sociétés comme Systra, Egis Rail et Alstom, de participer à la colonisation de Jérusalem.
D’où vient la consigne de bafouer les recommandations de l’Union européenne sur les relations économiques avec les colonies israéliennes en Cisjordanie ? De Bercy ? De l’Elysée ? De l’ambassade d’Israël en France ? La France est-elle sous influence d’un pays tiers ?
Le 12 juin, la mairie de Bezons, qui venait d’honorer par la pose d’une plaque la mémoire des Palestiniens dépossédés et violemment chassés de chez eux en 1947-49, s’est vue contrainte de l’enlever sur ordre du ministre de l’Intérieur et sous les pressions du Crif, l’officine de propagande israélienne en France. La France est-elle sous influence d’un pays tiers ?
S’y ajoute la scandaleuse visite, le 5 juin dernier, du criminel de guerre Netanyahou. Le Premier ministre israélien a été reçu avec tous les honneurs à l’Elysée, alors même que les manifestants pacifiques de Gaza tombaient par milliers, morts ou blessés, sous les balles israéliennes. Sans parler de la détention arbitraire de notre compatriote Salah Hamouri, dont on attend toujours la libération, demandée officiellement par Emmanuel Macron. Quelle humiliation pour la France !
Le président français doit affirmer les principes qui fondent la République. Paris n’est pas Tel-Aviv, la Seine ne coule pas en Israël.
Nous n’acceptons pas l’ingérence d’un État tiers dans les affaires de notre pays.
Paris, le 20 juin 2018
Les signataires :
Jérôme Gleizes, conseiller de Paris
Claude Léostic, coordinatrice de la Flottille de la Liberté en France
Raphaëlle Primet, conseillère de Paris,
présent.e.s sur les bateaux le 17 juin.
Avec Danielle Simonnet, conseillère de Paris
et les membres de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine et/ou du Collectif pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens :
AMANI (Association franco-palestinienne d’aide & de formation médicale )
AFPS (Association France Palestine Solidarité)
AJFP (Association de jumelages entre les camps palestiniens et les villes françaises)
Américains contre la Guerre
AURDIP (Association des universitaires pour le respect du droit international)
CICUP (Collectif interuniversitaire pour la collaboration avec les universités palestiniennes)
CJACP (Collectif judéo-arabe et citoyen pour la Palestine)
CJPP5 (Comité justice et paix en Palestine)
CVPR-PO (Comité de vigilance pour une paix réelle au Proche-Orient)
EELV (Europe Ecologie-Les verts)
ENSEMBLE
FEN (Femmes en noir)
LDH (Ligue des droits de l’Homme)
MIR (Mouvement international de la réconciliation)
MJCF (Mouvement des jeunes Communistes de France)
Mouvement de la paix
MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples)
L'évangile d'Israël est plus grand que l'Évangile de Jésus
(...) les Écritures disent que « le salut vient des Juifs », mais cela veut simplement dire que c’est par l’intermédiaire de cette nation que Dieu jugea bon d’inaugurer le Royaume de Dieu par la foi en Son Fils, Jésus. [...]
Dans son livre excellent, "Le sionisme chrétien – en route pour Armageddon" (Christian Zionism: Road-map to Armageddon), Stephen Sizer se plaint des principes des sionistes et des judaïsants, « Israël est élevé à un statut au-dessus de l’Église… Israël remplacera l’Église sur terre… des nations entières seront bénies au travers de leur association et leur support pour Israël… »
Il y a au milieu de nous une apostasie et une hérésie qui font rage. Un changement fondamental a eu lieu dans les dernières brèves décennies, changement qui a fait des dommages sévères et qui continue de causer des ravages à la foi chrétienne et à son message rédempteur. Jésus a dit : « …quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi » [Jean 12:32]. Les sionistes n’ont pas élevé Jésus, mais la juiverie mondiale et Israël. Leur message d’Israël alpha et omega a pris d’assaut de nombreuses églises et a détourné des dizaines de millions de personnes du message profond et vivifiant de Jésus et de la croix.
Pour les chrétiens sionistes, l’évangile d’Israël est plus grand que l’Évangile de Jésus.
W.G. Carr : "Quand on lit "The Talmud Unmasked" ("Le Talmud sans masque" de Pranaitis), avec ses terribles extraits du Talmud (la Loi), il est clairement démontré que cet ouvrage effrayant n’est aucunement fondé sur la Loi Mosaïque, telle qu’on la trouve dans la Bible, mais forgé à Babylone, par les adeptes de Baal (le démon)".
La troisième guerre mondiale - le métissage généralisé - l'éradication de la spiritualité - Jérusalem capitale du gouvernement mondial.
par William Guy Carr
Discours du Rabbin Emmanuel Rabinovitch, prononcé lors d’une réunion du Conseil d’urgence des Rabbins d’Europe, tenu en Hongrie le 12 janvier 1952 :
(...) "Le but vers lequel nous tendons toutes nos forces DEPUIS TROIS MILLE ANS est en vue ; et, puisque cette prophétie est si proche de sa réalisation, il nous appartient d’accroître nos efforts en les décuplant. Je puis vous assurer en toute certitude que dans les dix ans à venir, notre race occupera la place qui lui revient de droit dans le monde : faisant de chaque Juif un roi et faisant de chaque Goy un esclave [...].
La Synagogue de Satan et la guerre
(Rabinovitch annonce la Troisième Guerre mondiale)... "qui dépassera en destruction toutes les prévisions calculables. Israël, évidemment, conservera sa neutralité ; en sorte que lorsque les deux blocs se seront mutuellement dévastés et épuisés, nous puissions proposer notre arbitrage en envoyant partout des "Commissions de Contrôle", là où auront sombré les patries. Cetteguerre marquera le terme de notre lutte contre les Goyim." [...]
La disparition des "Blancs"
"Nous révélerons ouvertement notre identité avec les races asiatiques et africaines. Je peux avancer avec assurance qu’à présent les dernières générations d’enfants blancs ont vu le jour. Nos Commissions de Contrôle, ayant en vue d’une part les intérêts de la paix, d’autre part la cessation des tensions interraciales INTERDIRONT AUX BLANCS D’ÉPOUSER DES BLANCHES."
"De la sorte, la race blanche va disparaître, car le métissage des Blancs et des Noirs signifie la fin de l’Homme Blanc ; en sorte que notre plus mortel ennemi ne subsistera que comme souvenir. Alors s’ouvrira une ère de dix mille ans de paix et d’abondance : la Pax Judaïca ; et notre race régnera sans partage sur le monde. Notre intelligence supérieure nous met en état de demeurer les maîtres incontestés dans un monde peuplé de métis de Noirs."
L'éradication de la véritable spiritualité
— QUESTION : « Rabbi Rabinovitch, que pouvez-vous dire des religions variées après la Troisième Guerre Mondiale ? »
— Réponse de Rabbi Rabinovitch : « Il n’y aura plus du tout de religions. Non seulement l’existence d’une caste de prêtres demeurerait un constant danger qui menacerait notre Loi, mais la croyance d’une vie spirituelle dans l’au-delà alimenterait des forces de résistance contre nous. Nous maintiendrons cependant les rituels et les coutumes juives comme le signe royal de notre caste héréditaire ; renforçant nos lois raciales, en sorte qu’il ne soit permis à aucun Juif de se marier en dehors de sa propre race, ni qu’aucun étranger ne soit accepté par nous. » [...]
Jérusalem capitale du gouvernement mondial
Le RABBIN JULIUS T. LOEB nous dit : « Les Juifs qui gouvernent à Washington sont tous répertoriés dans le Who’s Who comme détenant la Fortune de la Nation en 1929- 1930, ainsi qu’en témoigne le titre attribué à Jérusalem : « ICI — À JÉRUSALEM — SE TROUVE LA TÊTE DE LA HAUTE-FINANCE AMÉRICAINE QUI RÈGNE SUR LE MONDE ENTIER ».
ASHER GINSBERG (HASHAD-HA-HAM : en hébreu = « Un parmi le Peuple ») : Le journal juif-allemand "Actualité juive", N°83, de 1921, se référant à lui le cite : « La seule vraie place future de la Ligue des Nations ne peut être ni Genève, ni La Haye ; Asher Ginsberg a rêvé de bâtir un Temple sur le Mont Sion, où les nations représentatives élèveront un Temple à la Paix éternelle. »
— « Viendra un temps, poursuit-il, où tous les peuples de la terre se rendront à CE temple en pèlerins pour déclarer solennellement, pour déclarer COMME UN FAIT, la paix éternelle. »
Ainsi, précise William Guy Carr, ce n’est pas une nouvelle idée des Sionistes que Jérusalem doit devenir le siège du Gouvernement Mondial. En fait, toutes leurs ambitions se résument dans leur constante nostalgie célébrée par leur poète Izraeli Zangwill, dans ces mots : « Viendra un jour où l’humanité prendra garde au son de la trompette des Hébreux leur soufflant que la foi de tous les peuples du monde n’est autre que notre foi ».
Le Commodore William Guy Carr (1895-1959), de la Marine Royale Canadienne, fut longtemps membré des Services de Renseignements et se consacra à partir de 1931, sauf pendant l’interruption de la guerre, à des tournées de conférences destinées à faire connaître la « Conspiration Internationale ». Il apporte bon nombre de preuves à l’appui de ses dires et des documents de première main, la plupart secrets et inédits.
L’ouvrage contient le récit de faits historiques échelonnés sur les trois derniers siècles, faits qui ne sont révélés nulle part ailleurs, sauf en de rares et fragmentaires exceptions.
Au cours des dix-huit chapitres de son livre, William Guy Carr nous dévoile tout le programme de domination universelle forgé par les « Illumines » — « Ceux qui détiennent la Lumière » — nom du petit groupe d’une trentaine d’hommes environ, organisé de 1770 à 1776 par Adam Weishaupt, un luciférien de la plus belle espèce.
Les « Illumines », appellation générique, historiquement exacte, s’applique en fait de nos jours à leurs descendants spirituels et charnels, les « Illuminati », chefs actuels, secrets et réels de la Subversion Mondiale, dont la Franc-Maçonnerie est l’élément le plus efficace, et des Forces Occultes dont le Communisme est de loin l’élément le plus redoutable.
C’est ce petit groupe de hauts subversifs qui tend à former un Gouvernement Mondial et travaille actuellement d’arrache-pied à la constitution des États-Unis d’Europe, piédestal obligatoire de la République Universelle d’après un « document controversé capital », aujourd’hui censuré...
W. G. Carr veut nous dévoiler les machinations occultes destinées à provoquer les diverses révolutions et guerres, qui, pour répondre aux projets des Illuminati, ont ensanglanté le inonde depuis 1773 et il présente les preuves à l’appui de sa thèse.
Pour consolider leur pouvoir et asseoir leur puissance, les Illuminati ne reculent devant rien : spéculations financières gigantesques, sociétés secrètes, infiltrations d’agents à tous les niveaux, formation de groupes et d’agents révolutionnaires, mafias, assassinats, campagnes de diffamation, chantage, corruption, etc.
On saisit mieux ainsi le déroulement des faits historiques car ils sont soulignés par cette « histoire parallèle » mais bien réelle, cette histoire occult(é)e qui se sert des êtres humains et surtout des plus hauts placés comme autant de « pions sur l’échiquier ».
W. G. Carr veut nous montrer que le danger est sur nos têtes — et davantage encore quarante ans après la parution de l’édition canadienne originale !... — et que le pouvoir occulte, d’inspiration satanique, qui lutte pour la Domination du Monde par l’argent, le chantage, la haine, les divisions et tous les péchés capitaux, ne peut être combattu par tel ou tel mode de gouvernement, telle ou telle idéologie, puisque — dit-il — ceux-là ne serviront que d’instruments de guerre, et les tenants de celles-ci que de « pions sur l’échiquier du monde »...
Il faudrait donc bien plutôt s’appuyer sur l’Amour de Dieu et du prochain, sur l’esprit de pauvreté et sur toutes les vertus qui découlent de la seule recherche de la volonté de Dieu. Seule cette politique permettra d’échapper à l’encerclement des Forces du Mal et de ne pas succomber.
Depuis deux cents ans que les forces de la Contre-Révolution Catholique et Monarchiste essuient échec sur échec, le moment ne serait-il pas enfin venu de demander à Dieu « SA » Solution pour qu’Il nous débarrasse du joug odieux de la « Synagogue de Satan » ?...
« Des pions sur l’échiquier » est un livre très important qu’il faut lire et relire. Un livre important par la quantité de faits historiques occultés, accumulés dans ses pages. Toute l’Histoire Secrète vous est ainsi dévoilée grâce aux explications d’un homme qui en savait beaucoup dans ce domaine.
Que l’Auteur, de formation anglo-saxonne, n’ait pas tout analysé à sa juste mesure et que la Conspiration Mondiale ait progressé depuis quarante ans, qui serait assez téméraire pour lui reprocher ?!...
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Racisme juif sans complexe en 2018
Le 13 juin 2018, Miki Zohar, un député du Likoud, parti au pouvoir en Israël, a dit que la «race juive» est la plus intelligente du monde et possède le «capital humain le plus élevé».
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec.
Alain de Benoist donne son avis sur Alain Finkielkraut
ALAIN DE BENOIST : « POURQUOI LE CONFLIT ISRAÉLO-PALESTINIEN EST D’ORDRE RELIGIEUX ET MÉTAPHYSIQUE… »
Israël fête, cette année, son soixante-dixième anniversaire. Certains, à droite, y voient une extension de l’Occident en Orient. D’autres, à gauche, un État colonial. Les Israéliens paraissent eux-mêmes divisés sur la question, tiraillés qu’ils sont entre socialisme d’origine et fièvre mystico-religieuse. Que reste-t-il, aujourd’hui, des idéaux sionistes ?
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec. Le succès porte un nom : c’est l’État d’Israël, dont la naissance en 1948, dans les conditions que l’on sait, montre bien qu’une idée qui n’a longtemps été qu’une abstraction (ou un rêve) peut parfois se réaliser dans les faits. C’est d’autant plus remarquable qu’à l’époque où Theodor Herzl écrivait son État des Juifs (1896), le sionisme était loin de faire l’unanimité dans les milieux juifs religieux. Ce succès comporte, d’ailleurs, un autre volet : l’extraordinaire renaissance de l’hébreu parlé, grâce notamment aux efforts d’Eliézer Ben-Yehoudah.
L’échec tient au fait que l’idéologie sioniste s’était fondée, au départ, sur la conviction que seule la création d’un État juif permettrait au peuple juif de disposer d’un lieu sûr après des siècles de tribulations et de persécutions, alors que l’on constate aujourd’hui qu’Israël est peut-être le pays où les Juifs sont le moins en sécurité ! À cela s’ajoute que le vieux principe « une terre sans peuple pour un peuple sans terre » était d’un parfait irénisme : la Palestine n’a évidemment jamais été une « terre sans peuple ».
Le conflit israélo-palestinien dure depuis le début de l’État d’Israël. Comment pensez-vous qu’il pourrait prendre fin ?
Israël ne veut pas d’un État binational, car il sait bien qu’à court terme, pour de simples raisons démographiques, cet État cesserait d’être un État juif. Mais il ne veut pas, non plus, d’une solution à deux États, estimant qu’un État palestinien constituerait pour lui une menace. Toutes les options paraissent donc bouchées.
Je crois que c’est au politologue Quentin Skinner que l’on avait demandé un jour qui avait raison, selon lui, les Israéliens ou les Palestiniens. Il avait répondu que les uns comme les autres avaient raison, et que c’est pour cela que ce conflit ne prendrait jamais fin. C’est aussi mon avis, mais pour une raison différente : plus qu’un conflit politique, stratégique, territorial ou démographique, le conflit israélo-palestinien est d’abord un conflit religieux et métaphysique. Les conflits métaphysiques ne sont pas négociables. Ils ne peuvent faire l’objet d’un compromis, parce que le Bien ne peut pas faire de compromis avec le Mal. Quand les deux parties se regardent mutuellement, non pas seulement comme des ennemis, mais comme des incarnations du Mal, la guerre devient inexpiable. Elle ne prend fin qu’avec la disparition de l’un des belligérants.
Les dernières manifestations palestiniennes dans la bande de Gaza se sont soldées par plus d’une centaine de morts et un millier de blessés. Israël affirme que le Hamas pousse lui-même en avant les manifestants, en particulier les enfants, pour qu’il y ait parmi eux le plus de victimes possible afin de s’attirer la sympathie de l’opinion internationale. Qu’en pensez-vous ?
Dans ce cas, il y aurait une excellente façon de déjouer ce cynique calcul : ce serait de ne tirer sur personne ! Au demeurant, le raisonnement selon lequel l’armée israélienne sert la cause palestinienne quand elle tue des Palestiniens ne me paraît pas conduire bien loin… Pour ma part, je m’en tiens aux définitions courantes. Quand une armée régulière tire à balles réelles sur des manifestants seulement équipés de pierres, de bâtons, de cocktails Molotov et de cerfs-volants, cela s’appelle un massacre.
Quant à la décision de Donald Trump de transférer l’ambassade de son pays de Tel Aviv à Jérusalem, dont la portée symbolique est évidente, rappelons qu’elle a été prise en violation de la résolution adoptée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée plénière de l’ONU qui plaçait Jérusalem sous un régime spécial international (raison pour laquelle les ambassades étrangères se sont installées à Tel Aviv).
En France, dans certains milieux conservateurs, il est souvent dit que ce qui se passe là-bas « ne nous regarde pas ». Beaucoup de gens de droite se disent aussi solidaires des Israéliens au seul motif que ceux-ci font face à des Arabes. Politique à courte vue ?
Quand on montre la Lune, il y a toujours des idiots qui regardent le doigt ! Il y a aussi des gens qui préfèrent regarder « On n’est pas couché » plutôt que de s’intéresser à ce qui se passe à l’étranger. Je crois vain d’essayer de leur faire comprendre que ce qui se passe en Palestine n’est qu’une pièce sur l’échiquier proche-oriental, et que ce qui se passe sur cet échiquier nous concerne directement, ne serait-ce que parce que cela conditionne le maintien de la paix ou le déclenchement de la guerre dans le monde. À l’époque de la mondialisation, les conséquences des grands événements ne s’arrêtent pas plus aux frontières que les perturbations climatiques ou les nuages de Tchernobyl. Quant à ceux qui adorent voir tirer du Palestinien en Israël parce qu’ils aimeraient bien voir quelque chose de semblable se dérouler dans les banlieues, on ne peut que leur conseiller d’aller vivre quelque temps dans les territoires occupés. Ils constateront que les deux situations n’ont rien de comparable, que les « occupants » ne sont pas les mêmes et qu’il n’est pas très logique de déplorer « le Grand Remplacement » en France tout en soutenant, dans les territoires, le Grand Remplacement des Palestiniens (qui sont chez eux aussi) par des colons israéliens.
Un recours aux racines. Une spiritualité pour notre temps
Alain de Benoist
« Entre le paganisme et le christianisme, quelles sont au fond les différences essentielles ? De nombreux historiens avaient avant moi retracé l'histoire de l'affrontement entre les systèmes religieux de l'Europe ancienne et la religion nouvelle qui, surtout à partir du IVe siècle, s'est peu à peu imposée sur le continent européen. De cet affrontement, quelles étaient véritablement les causes ? Sur quels points précis s'opposaient les façons de croire, les théologies, les conceptions du monde ? Les chrétiens, quant à eux, ont au fil des siècles adopté vis-à-vis du paganisme des attitudes assez contrastées. Après s'être attaquée frontalement au paganisme, qualifié d'"idolâtrie" diabolique, l'Église a réalisé qu'elle parviendrait mieux à ses fins en recourant à plus de souplesse. C'est alors que les évêques et les prêtres, suivant les instructions des papes, se sont employés à "récupérer" des lieux de culte traditionnels en leur affectant une destination nouvelle, à attribuer à des saints légendaires des attributs ou des hauts faits qu'on attribuait auparavant à des héros ou à des dieux, à donner aux pèlerinages qui se pratiquaient depuis la nuit des nuits une signification conforme à l'espérance de salut, à greffer sur l'ancien calendrier liturgique des commémorations ou des solennités d'un genre nouveau. Aujourd'hui encore, l'attitude des chrétiens reste ambivalente. D'un côté, le paganisme est à l'occasion toujours décrié et honni. De l'autre, il ne manque pas de bons esprits pour assurer que le christianisme a repris à son compte, et finalement mieux exprimé que lui, "ce qu'il y avait de meilleur" dans le paganisme. Cette idée que le christianisme européen est peu à peu devenu un "pagano-christianisme" n'est pas entièrement fausse, à condition de bien distinguer la théologie des pratiques populaires, mais elle n'est pas sans contribuer à entretenir l'équivoque. C'est pour dissiper cette équivoque que "Comment peut-on être païen ?" a été écrit ». A. B.
Sputnik, l'agence de presse lancée par la Russie le 10 novembre 2014, relaye les propos du dalaï-lama.
Le 16 juin à Riga (Lettonie), selon Sputnik, le dalaï-lama a déclaré : "Pour prévenir les conflits dans le monde, le Président américain Donald Trump et d'autres leaders internationaux doivent moins qu'aujourd'hui se laisser guider par leurs émotions et les intérêts matérialistes..."
Le 15 mai 2018, le dalaï-lama a expliqué comment prendre la meilleure décision dans une interview accordée à Sputnik à la suite de sa rencontre avec des scientifiques russes dans sa résidence à Dharamsala.
La vague migratoire en Méditerranée parrainée par le Pape François
"François, Pape du Monde et de la Synagogue", le premier Pape jésuite fait l'apologie du judaïsme talmudique dont le mondialisme messianique s'accorde avec le jésuitisme.
"Le jésuitisme est le rêve d'un royaume terrestre et matériel en opposition absolue avec le plan de Salut du Christ dont le "Royaume n'est pas de ce monde". Teilhard de Chardin appelait Dieu : "Mon Dieu de la matière".
Les jésuites ont permis à l'œcuménisme d'évoluer vers une nouvelle religion mondiale de synthèse. Le jésuitisme ne reconnaît qu'un monde homogène où tout se vaut. Mais qui en aura le contrôle ? C'est là l'enjeu de leur combat." ("La Compagnie de Jésus", dossier du Comité de salut public.)
L’opération Mare Nostrum
Mare Nostrum, l’opération de sauvetage en mer des migrants tentant de traverser le Canal de Sicile depuis la côte libyenne vers le territoire italien, mise en œuvre du 18 octobre 2013 au 31 octobre 2014, aurait eu un sponsor exceptionnel : le Pape François.
Selon ce que le correspondant au Vatican Marco Tosatti écrit sur son blogue , l’opération gérée par les forces de l’Armée de l’ Air et la marine italienne, qui a marqué le début de la vague extraordinaire de migration de l’ Afrique, en particulier de la Libye, serait due à un appel téléphonique que le pape régnant aurai fait « au premier ministre d’ alors Enrico Letta pour solliciter l’ intervention de l’ Italie. (…)
Sûr de la solidité de sa source ("sources de haut niveau du ministère de l’Intérieur", parmi lesquelles "un haut fonctionnaire du dicastère, maintenant à la retraite") le journaliste a écrit sur son blog que "l’Italie a décidé unilatéralement de lancer l’Opération Mare Nostrum pour rassembler le plus de migrants possible dans la mer, les amener sur le territoire national, faire en sorte que tous demandent l’asile et les traitent, plutôt que comme immigrants illégaux, demandeurs d’asile et, en fait, comme vrais réfugiés. en plus de mener à la violation du droit national, international et coutumier, […] comme un multiplicateur des départs de l’Afrique, dont il est toujours une incitation claire, et traduit en une collusion de facto avec les trafiquants d’êtres humains, qui depuis lors sont devenus encore plus riches,avec des chiffres estimés au-dessus du trafic de drogues".
« Le gouvernement Letta était dans un mauvais état, et un appel téléphonique venait du Pape », a déclaré un haut responsable de l’Etat à M. Tosatti, rappelant l’origine de Mare Nostrum. « Pourquoi, à votre avis, dès que je pourrais je suis parti ? »
Les sources du ministère de l’Intérieur citées par le journaliste génois soulignent que même le programme Triton, malgré les indications initiales, s’est révélé être une forme d’aide à la traite des êtres humains, plutôt qu’un moyen de lutter contre la traite et aide des migrants.
Triton, à l’origine appelé Frontex Plus, était une opération menée par l’Agence européenne de contrôle des frontières (Frontex), dans le but de contrôler les frontières de la mer Méditerranée. L’opération de sauvetage des migrants, qui a débuté le 1er novembre 2014, a été remplacée par l’opération Themis depuis le 1er février de cette année.
"Si les nouvelles sont vraies", a conclu Tosatti, "c’est une pression extraordinaire, et si nous voulons une ingérence exceptionnelle du Saint-Siège envers l’Etat, et dont les conséquences, nous le savons, se poursuivent encore. continue, même si maintenant soutenu par des intérêts substantiels, la prédication des pro-migrations du Pape toujours et partout".
A lire aussi l'article de Francesca de Villasmundo : "Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaire de Goldman Sachs !"
Dans "François, Pape du Monde et de la Synagogue", Miles Christi écrit :
"Ce à quoi je veux en venir n’est pas agréable à entendre ni plaisant à dire, je peux vous l’assurer, mais rien ne sert de se voiler la face devant les réalités qui fâchent. Je suis par conséquent obligé en conscience à le dire sans ambages, en l’écrivant noir sur blanc : dans la personne de Jorge Mario Bergoglio nous avons affaire à un possédé. Oui, vous avez bien lu : à un possédé du Démon. Nous sommes bel et bien confrontés à un suppôt de Satan, à un véritable agent de l’Enfer et à un précurseur de l’Antichrist, voire, très vraisemblablement, au Faux Prophète annoncé par Saint-Jean dans sa vision eschatologique (Ap. 13, 11)…
La nature maléfique de ses actes en est la preuve éclatante. Et la manière insolite, foudroyante et unanime par laquelle ce personnage ordinaire, dépourvu de charisme, parfaitement banal jusqu’au jour de son élection, a réussi à captiver subitement les fidèles et littéralement hypnotiser le monde entier, est un clair indice qui, a posteriori, vient confirmer cette lecture des événements.
François est devenu une idole planétaire, le héros humaniste d’un monde moderne totalement émancipé de la loi naturelle et des commandements divins, la coqueluche d’une société sans Dieu et sans autre loi que celle issue de la « souveraineté populaire », le leader incontestable et incontesté de la modernité antichrétienne démocratique, pluraliste et sécularisée.
Il a été élu Homme de l’Année et a fait « la une » des publications les plus emblématiques de la presse occidentale « progressiste » : Time, Vanity Fair, Rolling Stone, The Advocate, The New Yorker, pour n’en citer que quelques-uns parmi les principaux porte-paroles du mondialisme laïciste-féministe-homosexualiste qui ont érigé l’humble résident de la Maison Sainte-Marthe en leur icone de prédilection, le catapultant vers un statut quasi messianique de chef religieux planétaire.
Ce qui ne devrait pas nous surprendre outre mesure, compte tenu du fait que François incarne à la perfection l’idéologie gnostique, naturaliste et œcuménique de la franc-maçonnerie, dont les idéaux laïques et humanistes constituent la quintessence de la pensée bergoglienne. Pour s’en convaincre, il suffit de lire quelques-unes des innombrables déclarations à travers lesquelles François met en évidence la conformité totale de son esprit égaré avec celui qui anime la secte antichrétienne, dont le faux prophète argentin est un digne représentant et un serviteur exemplaire…
L'illusion monothéiste est l'une des caractéristiques des religions du Kali Yuga.
par Alain Daniélou
Le principe du monde est indéfinissable, mais toute existence implique la multiplicité. Le Principe est au-delà de la manifestation, au-delà du nombre, au-delà de l'unité, au-delà du créé. « Il n'est saisissable ni par l'œil, ni par la parole, ni par les autres sens, ni par l'ascèse ou les pratiques rituelles. » (Mundaka Upanishad, III, I, 8.)
La métaphysique des imbéciles
Le divin est défini, dans la philosophie shivaïte, comme « ce en quoi les contraires coexistent ». Nous trouvons la même définition chez Héraclite. « L'union des contraires » (coincidentia oppositorum) était pour Nicolas de Cusa la définition la moins imparfaite de Dieu.
L'homme, faisant partie du créé, ne peut concevoir ou connaître que les aspects multiples de la divinité. Le monothéisme est une aberration du point de vue de l'expérience spirituelle.
Issu d'une conception cosmologique qui aboutit à l'idée d'une cause première, ou d'ailleurs d'un dualisme premier, le monothéisme ne saurait s'appliquer à la réalité de l'expérience religieuse. On ne saurait communiquer avec la cause première de l'univers, au-delà des galaxies, pour recevoir des instructions personnelles d'ordre pratique. Une telle simplification fait partie de ce que les Hindous appellent « la métaphysique des imbéciles » (anadhikâri védânta). [...]
Conquête, génocide, destruction de l'ordre naturel
La simplification monothéiste semble issue d'une conception religieuse de nomades, née chez des peuples qui cherchent à s'affirmer, à justifier leur occupation de territoires et leurs conquêtes. Le dieu est imaginé à l'image de l'homme. Il est réduit au rôle d'un guide qui accompagne la tribu dans ses migrations, donne des instructions personnelles à son chef. Il ne s'intéresse qu'à l'homme et, parmi les hommes, qu'au groupe des « élus ». Il devient une excuse facile à la conquête, au génocide, à la destruction de l'ordre naturel, comme nous pouvons l'observer tout au long de l'histoire. A l'origine, il n'exclut pas les dieux des autres tribus, les « faux dieux », mais uniquement pour les opposer, les détruire, et imposer sa domination et celle de « son peuple ». Nous pouvons suivre ce passage du polythéisme à l'exclusivisme, puis au monothéisme dans l'évolution de la religion du peuple hébreu. [...]
Ce sont les soi-disant « prophètes », qui prétendent communiquer directement avec un dieu personnel et unique, édictant des règles de conduite qui ne sont en fait que des conventions sociales et n'ont rien à voir avec la religion ou le domaine spirituel, qui ont été les principaux artisans des déviations du monde moderne. Le monothéisme est contraire à l'expérience religieuse des hommes ; il n'est pas un développement naturel, mais une simplification imposée. La notion d'un dieu, qui, ayant créé le monde, attendrait quelques millions d'années pour enseigner aux hommes, avec un retard difficilement excusable, la voie du salut, est évidemment une absurdité.
La perversion religieuse du monde sémitique
et judéo-chrétien
Les religions monothéistes ont toujours pour point de départ la pensée, l'enseignement d'un homme, qu'il se dise ou non le messager, l'interprète d'une puissance transcendante qu'il appelle dieu. Ces religions s'expriment en dogmes, en règles concernant la vie de l'homme. Elles deviennent inévitablement politiques et forment une base idéale pour les ambitions expansionnistes de la cité. Parmi elles, le Judaïsme, le Bouddhisme, le Christianisme et l'Islam sont théistes, le Jaïnisme et le Marxisme sont athées.
Adopté par le Judaïsme - qui ne fut pas monothéiste à l'origine - , le concept du « dieu unique » à figure humaine est en grande partie responsable du rôle néfaste des religions ultérieures. Moïse, influencé probablement par les idées du pharaon Akhaténon, fit croire au peuple juif en l'existence d'un chef de tribu qu'il appelait le « dieu unique » et duquel il prétendit recevoir des instructions. Mohammed devait plus tard se comporter de même. Ces imposteurs sont à la source de la perversion religieuse du monde sémitique et judéo-chrétien.
Avilir et asservir
Ce « dieu », dont tant d'autres après eux ont prétendu interpréter les intentions jusque dans les domaines les plus relatifs, a servi de prétexte et d'excuse à la domination du monde par divers groupes d'« élus » et à un orgueilleux isolement de l'homme par rapport à l'œuvre divine.
L'impertinence et l'orgueil avec lesquels les « croyants » attribuent à « dieu » leurs préjugés sociaux, alimentaires, sexuels, qui d'ailleurs varient d'une région à l'autre, seraient comiques s'ils n'aboutissaient pas inévitablement à des formes de tyrannie, de caractère purement temporel. L'obligation de se conformer à des croyances et des modes d'action arbitraires est un moyen d'avilir et d'asservir la personnalité de l'individu, dont toutes les tyrannies, religieuses ou politiques, de droite ou de gauche, ne savent que trop bien se servir.
Le problème chrétien
Il faut distinguer le Christianisme des autres religions monothéistes, car, bien qu'il soit devenu un exemple typique des religions de la cité, il n'est pas certain qu'il représente l'enseignement réel du Christ lui-même dont il se réclame. Le message de Jésus s'oppose à celui de Moïse et, plus tard, de Mohammed. Il semble avoir été un message de libération et de révolte contre un Judaïsme devenu monothéiste, desséché, ritualiste, puritain, pharisien, inhumain. Sous sa forme romaine, le Christianisme s'opposa d'abord à la religion officielle de l'Empire comme il s'était opposé au Judaïsme officiel, à la religion d'État. Nous ne savons pas grand-chose des sources de l'enseignement de Jésus, de son initiation, de son séjour « dans le désert » vers l'Orient. Le mythe chrétien apparaît très lié aux mythes dionysiaques. Jésus, comme Skanda ou Dionysos, est fils du Père, de Zeus. Il n'a point d'épouse. Seule la déesse mère trouve place auprès de lui. Il est entouré de ses fidèles, de ses bhaktas qui sont des gens du peuple, des pêcheurs. Son enseignement s'adresse aux humbles, aux marginaux. Il accueille les prostituées, les persécutés. Son rite est un sacrifice. C'est dans la tradition orphique que la passion et la résurrection de Dionysos occupent une place centrale. C'est à travers l'Orphisme que nombre de « miracles » de Dionysos furent attribués à Jésus. Divers aspects de la légende du Dionysos orphique se retrouvent dans la vie de Jésus. Le parallèle est évident entre la mort et la résurrection du dieu et celle du Christ. [...]
Instrument de la domination impériale
Le Christianisme n'est devenu une religion importante qu'à partir du moment où il servit d'instrument à la puissance impériale de Rome. Longtemps, le Dionysisme et ses variantes lui disputèrent la primauté. N'oublions pas que les "Dionysiaques" de Nonnos datent du Ve siècle,de notre ère. C'est à partir du IVe siècle que Constantin décida d'utiliser l'Église comme moyen d'unification de l'Empire. L'histoire religieuse du monde et l'évolution du Christianisme lui-même auraient été tout autres si ce choix politique n'était pas tombé sur cette foi nouvelle.
Etat de dépendance morale et rituelle
Le Christianisme devint un instrument de conquête et de domination du monde comme le Bouddhisme l'avait été pour les empereurs indiens. Cette forme d'action s'est perpétuée jusqu'à nos jours, permettant d'éliminer les cultes et les dieux autochtones de l'Europe et du Moyen-Orient, et plus tard d'étendre cette action au monde entier, privant les peuples de leurs dieux, donc de leur force, de leur personnalité, les réduisant à un état de dépendance morale et rituelle, prélude de leur complète annexion et assimilation. L'Amérique « latine » en est un exemple récent. L'Islam, puis le Marxisme ont aujourd'hui pris la relève.
Si nous séparons l'Évangile de l'Église, celui-ci devient fou
Les missionnaires chrétiens, souvent mandatés par des gouvernements athées, comme ce fut le cas pour la France – qui par ailleurs, sous la IIIe République, avait banni les congrégations religieuses - , ont été l'élément le plus puissant de la dépersonnalisation des peuples conquis et de leur asservissement au conquérant. L'excuse religieuse permit l'extermination des éléments réfractaires qui restaient attachés à leur culture, à leurs traditions, à leurs dieux. Le Christianisme ultérieur, « religion typique du Kali Yuga » (J. Evola, "Le Yoga tantrique", p. 19), est à peu près l'antithèse de ce que nous savons des enseignements du Christ. Il représente essentiellement la religion de la cité, de caractère social et moraliste. « Si nous séparons l'Évangile de l'Église, celui-ci devient fou », écrivait Jean Daniélou dans son dernier livre, montrant à quel point l'Église s'est éloignée du message de Jésus, qu'elle ignore et rejette en fait.
La domination de l'Inde par les musulmans, chrétiens et autres
L'Islam a utilisé le même monothéisme primaire et le même puritanisme agressif comme moyens de conquête et de domination. Dans l'Inde, soumise à la domination islamique, puis chrétienne, le Sikhisme d'inspiration musulmane, puis l'Arya Samâj de Dayânanda Sarasvati et le Brahmo Samâj de Dévendranâth Tagore (père du poète), et enfin le Gandhisme avec ses tendances monothéistes, son puritanisme, sa sentimentalité, inspirée des missionnaires chrétiens, sont des manifestations récentes de ces mêmes tentatives d'adaptation de la religion traditionnelle en se conformant aux préjugés sociaux des conquérants afin soi-disant de mieux pouvoir les combattre. Cela toutefois devait aboutir à des tragédies culturelles et humaines. Le culte marxiste, qui tend aujourd'hui à se substituer au Christianisme, ne s'intéresse qu'à l'homme social et empêche son épanouissement individuel. Il représente l'aboutissement de cette tendance. Il est l'antithèse absolue du Shivaïsme et du Dionysisme.
Le dogmatisme aberrant des Chrétiens
Le message de Jésus est-il récupérable ? Ce n'est pas impossible. Il faudrait pour cela un retour à un Évangile moins sélectif et la redécouverte de tout ce que l'Église a soigneusement caché et détruit de ses sources et de son histoire, y compris les textes évangéliques soi-disant apocryphes dont certains sont plus anciens que les Évangiles reconnus par l'Église. Cela permettrait de revenir à ce que l'enseignement du Christ a pu être en réalité, c'est-à-dire une adaptation pour un monde et une époque particulière de la grande tradition humaine et spirituelle, dont le Shivaïsme et le Dionysisme représentent l'héritage. Le Christianisme originel ne s'est complètement séparé de ses sources que tard. Il a longtemps abrité des sectes initiatiques et mystiques continuant les pratiques dionysiaques. Il n'est pas absolument exclu qu'il puisse retrouver son sens primordial. Dépouillée des fausses valeurs dont, depuis saint Paul, on a entouré son enseignement, la personne du Christ peut éventuellement être réincorporée dans la tradition shivaïte-dionysiaque. Cela évidemment ne peut se faire qu'en dehors de ceux qui osent prétendre être les représentants de « Dieu » sur la terre et les interprètes exclusifs de « Sa » volonté. Une religion véritable ne peut être fondée que sur un humble respect de l'œuvre divine et de son mystère. Il est étrange que ce soit aujourd'hui la science athée, dans son effort pour comprendre sans préjugé la nature du monde et de l'homme, qui soit moins éloignée d'une religion véritable que le dogmatisme aberrant des Chrétiens.
L'esprit moderne est anti-chrétien
« On dit que l'Occident moderne est chrétien, mais c'est là une erreur. L'esprit moderne est anti-chrétien parce qu'il est essentiellement anti-religieux... L'Occident a été chrétien au Moyen Âge, mais ne l'est plus. » (René Guénon, La "Crise du monde moderne", p.111-112.) C'est en effet à partir des environs de l'an 1000 qu'apparaît l'idée que l'homme est capable de dominer le monde, de rectifier la création, de donner en quelque sorte un coup de main à Dieu. Cela représente une transformation profonde dans l'attitude du monde chrétien. C'est donc en dehors des églises que le Christianisme pourrait redevenir, en se rattachant à ses sources, une religion véritable, c'est-à-dire universelle, religion de l'homme tout entier, de l'homme qui retrouve sa place dans le monde naturel et rétablit ses rapports avec le monde des esprits, de la nature et des dieux. Le dernier à le comprendre dans le monde chrétien fut saint François d'Assise. Une religion est en principe une méthode, une manière de se rapprocher du divin. Une religion vraie ne peut pas être exclusive, ne peut pas prétendre détenir la seule vérité, car la réalité divine a de multiples aspects, et les voies qui mènent au divin sont innombrables.
Pour Alain Daniélou, l'Occident a perdu sa propre tradition et éloigné l'homme de la nature et du divin. Ce sont les religions relativement récentes du monde aryen et sémitique, Judaïsme, Christianisme, Islam et Communisme qui ont éloigné l'homme du reste de la création et de l'expérience religieuse et mystique multimillénaire dont la tradition s'est préservée dans l'Inde jusqu'à nos jours et que l'Occident, s'il veut survivre, devra retrouver.
Récemment, sur son émission de radio Internet, Alan Stang m’a demandé s’il existait une chose telle que le complot juif. Il reçoit des e-mails de personnes accusant les Juifs, les Jésuites, le Vatican, les Francs-maçons, etc.
Banquiers francs-maçons, kabbalistes, jésuites, etc.
Je lui ai répondu que le cartel des banques centrales est le seul groupe ayant à la fois le motif et les moyens de conquérir le monde. Constitué principalement de juifs kabbalistes et de francs-maçons, il est la tête de la pieuvre. Le Sionisme, la Franc-maçonnerie, la communauté juive organisée, l’impérialisme, les Jésuites, le Vatican, les agences de renseignement, les médias, etc. sont parmi les bras innombrables de la pieuvre.
Le «mobile» est de protéger son inestimable mais frauduleux monopole privé, sur le crédit (la création monétaire) public (le gouvernement). Ils ont besoin d’un «gouvernement mondial» afin de s’assurer qu’aucune nation n’imprime son propre argent ou ne fasse défaut sur les «prêts» émis par les banquiers à partir de rien.
Un puisant réseau mondial
Les «moyens» sont bien sûr leur richesse illimitée canalisée à travers leur réseau de cartels, qui leur permet de posséder le gouvernement, les médias, l’éducation, etc. Toute personne qui réussit dans la vie publique est leur marionnette ou sert inconsciemment leur feuille de route. Leur réseau sioniste-franc-maçon-communiste-socialiste-MI-5-MI-6 etc. leur permet d’exercer un contrôle secret.
Une théocratie occulte
L’idéologie de la tyrannie mondiale, l’Illuminisme, provient de la Kabbale juive, qui prêche que l’homme (c’est à dire les banquiers) peut usurper la place de Dieu et redéfinir la vérité.
Vers 1770, un syndicat de banquiers dirigé par Mayer Rothschild fonda l’ordre des illuminés «Illuminati», une secte satanique conçue pour subvertir la société. Selon Edith Starr Miller, le Consortium Rothschild incluait des financiers juifs tels que Daniel Itzig, Friedlander, les Goldsmids et Moïse Mocatta. («Théocratie occulte», p. 184.)
Selon Miller, les objectifs des Illuminati (le Communisme et le Nouvel Ordre Mondial) étaient la destruction du christianisme, des monarchies, des États-nations (en faveur de leur gouvernement mondial ou l’internationalisme), l’abolition des liens familiaux et du mariage par le biais de la promotion de l’homosexualité et de la promiscuité sexuelle, la fin de l’héritage et de la propriété privée, et la suppression de toute identité collective sous le nom fallacieux de «fraternité humaine universelle», c’est-à dire la «diversité». (P. 185)
Le Tribunal
Naturellement, ils essaient de supprimer ce genre d’information. Le Congrès Juif Canadien s’est plaint auprès de la Commission Canadienne des «droits de l’homme» exigeant que les références juives soient retirées de mon site, www.henrymakow.com. En Mars 2009, la CCDH a institué un «Tribunal» pour enquêter sur mes écrits. Le motif que je promeus la «haine» en est le prétexte éculé.
Dans mon esprit, ceci confirme tout ce que je dénonce. Je ne suis pas un grand prophète, mais si Isaïe, Ezéchiel, Jérémie et Amos ont également critiqué en leurs temps les «dirigeants» juifs, ils seraient traités de la même façon aujourd’hui.
Le C.J.C. ne veut pas que les Juifs sachent que l’entreprise juive a été détournée. L’élite juive a perverti l’idéal d’un peuple saint choisi pour défendre la morale, pour en faire une élite auto-proclamée prenant la place de Dieu. Les banquiers utilisent ce messianisme juif comme un instrument pour consolider leur hégémonie matérielle, spirituelle et culturelle. Le judaïsme (avec le Communisme et le Sionisme) est un système pour contrôler les juifs, et à travers eux la race humaine.
La tyrannie du gouvernement mondial
La tyrannie du gouvernement mondial est la seule conquête qui aura lieu à l’insu du vaincu. Dans les «Protocoles des Sages de Sion», l’auteur martèle notre «marque de fabrique» est «le pouvoir de faire croire.» Par «faire croire», il veut dire la tromperie qui constitue leur «magie». (Protocole 1)
Quand des banquiers étrangers contrôlent les cordons de la bourse, inévitablement l’État devient synonyme de ces banquiers. L’État est une ruse utilisée pour manipuler les masses, qui n’a de «public» que le nom. Telle est la vérité derrière le «faire-croire» du Nouvel Ordre Mondial communiste.
Cette tyrannie est aussi la première dans l’histoire qui ne peut être mentionnée, de peur d’être stigmatisé comme un «antisémite» et un «haineux». Croyez-moi, la haine est entièrement du côté des kabbalistes.
Cette ruse se perpétue en blâmant tous les juifs pour les machinations de quelques-uns. C’est comme si tous les italiens étaient rendus responsables des activités de la mafia. Le fait de blâmer tous les juifs les rend naturellement complices des Rothschild, confirmant ainsi les soupçons. Une véritable déambulation dans la ligne de mire! Que penserions-nous des italiens s’ils défendaient Al Capone et le crime organisé ?
La juiverie organisée utilise «l’antisémitisme» et la «haine» comme la malédiction d’un sorcier sous laquelle tous les horrifié se courbent. Pour neutraliser ce maléfice vaudou, nous devrions porter le badge de l’antisémite avec fierté, affirmant qu’il est synonyme de l’opposition au rôle disproportionnée des juifs (et des cryptos-juifs) dans la promotion du Nouvel Ordre Mondial (Personne ne préconise de fermer les yeux sur le génocide.) Ainsi, l’antisémitisme deviendrait un mouvement politique légitime (non racial) dirigé contre certains pions juifs (et non-juifs) et les politiques Illuminati.
Ce qu'être juif signifie pour moi
Pour moi, être juif est une question d’esprit, de caractère, de sang et de culture. J’ai un fort sentiment de Dieu comme dimension morale immanente. Je crois que le but de l’homme ainsi que son devoir est de manifester cette dimension. Je n’imposerai jamais mon idée du bien à quiconque. Mais dans une société qui fonctionnerait sainement, le questionnement de ce qui est vrai, juste ou beau serait l’objet d’un débat permanent.
L’effet civilisateur de l’Évangile
Je suis un juif assimilé. Je m’identifie à la race humaine d’abord, à mes compatriotes ensuite, et aux Juifs en dernier. Je n’ai pas reçu d’éducation juive et je ne m’associe pas régulièrement avec les juifs. Jusqu’à présent, sauf pour les Dix Commandements et quelques parties de l’Ancien Testament, la «religion» ne m’attire pas. «Reconnaissez-les à leurs fruits», a dit Jésus.
En revanche, je peux voir l’effet civilisateur que l’Évangile de l’amour du Christ a eu sur la société. La première étape de l’évolution spirituelle de l’homme repose sur le fait d’envisager l’autre avant soi-même et en reconnaissant que tous les hommes (pas juste les juifs) sont frères.
Le judaïsme n’est pas une religion
Dans son livre, «Histoire juive, religion juive» (1994) Israël Shahak a confirmé mes soupçons que le judaïsme n’est pas une religion. «La foi et les croyances (sauf les croyances nationalistes) jouent un rôle extrêmement faible dans le judaïsme classique. Ce qui est d’une importance primordiale est l’acte rituel, plutôt que le sens que cet acte est censé avoir ou la croyance qui s’y rattache.» (P.35)
La prochaine étape pour moi a été la conclusion que le judaïsme est au mieux une religion païenne raciale, et au pire une société secrète satanique. La nature d’une société secrète, c’est que l’adhérant est gavé de platitudes idéalistes sans qu’on lui dise jamais ce qui est réellement à l’ordre du jour.
Talmud et kabbale
La plupart des juifs ignorent que le judaïsme évite largement l’Ancien Testament en faveur du Talmud et de la kabbale. Très peu de juifs lisent ces livres. S’ils le faisaient, ils pourraient se rendre compte que le Talmud est plein de haine et de mépris pour les non-Juifs. Ils découvriraient que la kabbale est la base de la sorcellerie moderne, de l’astrologie, de la numérologie, du tarot, de la magie noire, de l’androgynie, du culte du sexe et d’une grande partie du mouvement New Age. Elle enseigne que le bien et le mal sont une seule et même chose et que le noir est blanc et vice-versa.
Les juifs kabbalistes racontent cette blague en privée : «Un juif orthodoxe interroge trois candidats pour un emploi, il leur demande : «Qu’est-ce que 2 plus 2 ?» Les deux premiers requérants répondent 4 et 22. Il les chasse. Le troisième répond : «Tout ce que vous voulez qu’ils soient.» Il est embauché. C’est ce à quoi nous sommes confrontés dans le Nouvel Ordre Mondial, une tentative de remodeler la vérité selon leur propre intérêt.
L'adoration du sexe
La kabbale est la base du culte d’adoration du sexe qui a envahi le monde. Le sexe conjugal est un rituel obligatoire pour un juif kabbaliste le jour du sabbat. Le désir physique est censé augmenter «l’amour d’un homme pour Dieu», et les rapports sont «un instrument de l’union avec Dieu.» (Ceci, bien sûr, c’est de la foutaise. On s’unit avec Dieu en le servant sept jours par semaine. Le sexe est un instinct naturel comme manger, pas un acte sacré.)
L’arc de la civilisation occidentale est passé de la croyance en Dieu (ascension) à la croyance en Satan (descente). Le sommet étant les soi-disant «Lumières» lorsque les hommes d’argent ont décidé qu’ils pouvaient prendre le relais de Dieu. En règle générale, le déclin dans l’obscurité morale est représenté par les lucifériens par la lumière, le lever du soleil. (par exemple dans le logo de Barack Obama)
Selon Texe Marrs, la cabale enseigne que le «saint serpent est le vrai Dieu ; que tout le mal que fait une personne, est transformé magiquement par le biais de l’alchimie en justice ; et que oui, Lucifer est le Seigneur. Satan est le vrai et seul dieu. Telle est la doctrine essentielle de la kabbale.» (Codex Magica p.426.)
Je soupçonne que la kabbale soit le plan de l’ère post-chrétienne, c’est la raison pour laquelle nous sommes submergés par l’occultisme généré par les médias, la pornographie, la violence et la peur.
Le procès contre Dieu
Dans ma jeunesse, on me disait que les juifs ont toujours été haïs sans raison. (C’est ainsi que les dirigeants contrôlent et manipulent les juifs.) Mes grands-parents sont morts dans l’holocauste et mes parents portaient les stigmates de passer pour non-juifs dans l’Europe nazie. On m’a dit qu’Israël était la réponse à des siècles de persécution. Je voyais mes compagnons juifs en Amérique comme une petite communauté des plus vulnérables. Je réalise maintenant que l’antisémitisme est causé par une variété de raisons complexes. La principale est que, inconnu de la plupart des juifs, le judaïsme contient une idéologie de suprématie et de domination. La direction Illuminati juive se considère comme Dieu. Léon Trotski intenta un procès à Dieu à Moscou en 1923, devant 5 000 hommes de l’Armée Rouge. Dieu fut reconnu coupable de divers actes ignominieux et condamné par contumace. (Berliner Taegeblatt, le 1er mai 1923.)
Le grand idéal du judaïsme
Le «Monde Juif», a annoncé le 9 février 1883 que, «Le grand idéal du judaïsme est que le monde entier soit imprégné de l’enseignement juif et que, dans une fraternité universelle des Nations - constituant en fait un judaïsme élargi - toutes les races distinctes et les religions sont vouées à disparaître.»
Ce sentiment joue un rôle important dans le Nouvel Ordre Mondial. Il fournit un système de soutien pour les banquiers centraux et détourne le blâme loin d’eux. Si votre groupe ethnique ou religieux est secrètement utilisé pour le mal, vous feriez mieux de prendre vos distances ou vous risquez de vous retrouver pointé du doigt.
Psyché de groupe
Cela s’applique à presque tout le monde, pas seulement aux Juifs. En tant que juif ethnique, je m’interroge, est ce que le dieu juif représente un ordre moral universel ou une égrégore tribale primitive (c’est-à-dire une projection de la psyché de groupe ?) Est-ce que l’égrégore juive est maintenant Lucifer ? (Voir dans "Illuminati", «Le Dieu que sert l’élite juive»)Nous nous approchons peut-être d’une crise. La juiverie organisée et ses alliés maçonniques suivent un programme basé sur les prophéties bibliques de la fin des temps (qu’ils peuvent avoir écrites ou modifiées.) Ce programme appelle à une troisième guerre mondiale et à la destruction de masse de toutes les personnes, y compris des 2/3 des juifs. Le Nouvel Ordre Mondial est censé émerger des débris.
L'Age Sombre
La race humaine est entrée dans un Age Sombre. A mesure que le Nouvel Ordre Mondial est adopté, l’antisémitisme, se développera inévitablement. Il est temps pour les Juifs de s’éveiller et de prendre position. A présent, il n’y a pas de récompense pour un tel acte de courage, rien que du mépris à récolter. Plus tard, si l’antisémitisme devient endémique, les Juifs devront faire face. Il sera trop tard.
Deux observations finales et sans rapport : beaucoup de juifs se sont coupés de la notion d’un Dieu aimant représenté par l’enseignement de Jésus. Ces juifs sont des parias métaphysiques. Ils se sentent obligés de «gagner» l’amour en étant super performants. Comme une femme qui mange trop pour compenser le manque d’amour, ils cherchent l’argent et le pouvoir. Dans les cas extrêmes (tel les Rothschild,) leur quête de la richesse et de puissance sans limite, leur besoin de tout posséder et de tout contrôler, illustre la domination de Satan.
L’humanité est contrôlée par des satanistes
J’avais l’habitude de regarder de travers la capacité des chrétiens de profiter de la vie ordinaire. Leur vie «normale» et saine semblait ennuyeuse et ridicule. Je devais justifier ma vie, lui trouver un sens. Je ne m’étais pas rendu compte que la vie a un sens intrinsèque si elle est conduite selon les desseins aimant de Dieu.
Finalement, les gens ne peuvent pas découvrir la vérité, s’ils ne savent pas quoi chercher. La vérité - que l’humanité est contrôlée par des satanistes - est difficile à prouver de façon concluante. Mais dans plus de 60 articles, je montre que c’est l’explication la plus convaincante du bourbier dans lequel elle se débat.
PDF gratuit "ILLUMINATI, le culte qui a détourné le monde", de Henry Makow.
Pierre Hillard a écrit la préface du livre "Le Nouvel Ordre Mondial" de H.G. Wells.
De "La Guerre des Mondes" à "L’homme invisible", de "La machine à explorer le temps" à "L’Île du Docteur Moreau", nous connaissons H. G. Wells comme l’un des pionniers des romans de science-fiction. Mais il fut aussi un penseur politique, membre de cercles de réflexion influents, et un ardent défenseur d’un “Nouvel Ordre Mondial”, une expression qu’il forgea dès 1914 et développe dans le présent essai, publié en 1940. Pour la première fois traduit en français, "Le Nouvel Ordre Mondial" – et son auteur – est présenté aux lecteurs francophones par une éclairante mise en abîme de Pierre Hillard, auteur de référence sur la question du “mondialisme”.