mardi, septembre 04, 2018

11 Septembre, le grand Bluff

Plus tard, Jean-Marie Bigard décidera (sous quelles pressions ?) de faire acte de contrition : "Je demande pardon à tout le monde pour les propos que j’ai tenus vendredi dernier (5 septembre 2008, sur Europe1)... Je ne parlerai plus jamais des événements du 11 Septembre. Je n'émettrai plus jamais de doutes."



11 Septembre, le grand Bluff



par Sacha Sher



Il ne fait aucun doute qu’il y a, dans l’affaire du 11 septembre, volonté de camoufler des choses à l’opinion état-sunienne et à la communauté internationale. Le gouvernement a montré très tôt qu’il n’avait que faire de dévoiler la vérité et a infailliblement bloqué les enquêtes pour des raisons
politiques ou financières et consacré tous ses efforts à assouvir ses ambitions mercantiles en exacerbant les désirs de vengeance de ses concitoyens et de ses petits soldats.

Les pièces manquantes au puzzle du 11 septembre et les tentatives délibérées du pouvoir en place ou de certains fonctionnaires de l’administration aérienne (F.A.A.) d’éliminer des preuves matérielles cruciales pour mieux faire régner l’opacité, sont trop nombreuses pour être le fruit du hasard.

Comment expliquer par ailleurs que personne n’a été renvoyé ? Tout le monde a-t-il été affreusement incompétent, et tout le monde protège-t-il tout le monde ? Cela paraît court car seul un certain degré de complicité encore non élucidé permet de comprendre comment des équipes terroristes – si elles ont joué le moindre rôle – ont pu pénétrer dans des cockpits sans que les membres de l’équipage ou les pilotes n’aient eu ni les moyens de se défendre, ni le temps d’actionner le moindre signal de détresse. Les pirates n’ayant pas pu paralyser à eux seuls les systèmes de défense, une trahison haut placée est la meilleurs explication au fait que trois avions ont pu parfaitement atteindre leur cible sans avoir été ni interceptés ni abattus selon les procédures en vigueur. A moins que ces avions n’étaient pas ceux dont on nous a parlé, que leurs trajectoires si incongrues n’étaient pas celles qu’on nous a dessinées, et qu’il s’agissait d’autres avions venus d’on ne sait où. Nous savons grâce aux données d’archives du B.T.S. et de la F.A.A. qu’il n’est pas sûr que les avions désignés dans le scénario officiel aient été détruits le jour même et que certains d’entre eux aient décollé avec des passagers. Il est par ailleurs des phénomènes radar, des déclarations de contrôleurs, et des dépêches de presse qui incitent à croire qu’ils ont été dirigés vers le sol avant d’atteindre leurs cibles prétendues. Il semble donc plutôt que l’opération a été organisée de manière à ce que nul ne puisse être capable de l’empêcher, grâce, notamment, à des substitutions d’avions à la manière du projet de l’opération Northwoods, et/ou grâce à des leurres envoyés dans le ciel et sur des écrans radars dans le cadre de simulations ou d’exercices militaires (wargames). Dans ce cadre, renvoyer des gens les aurait fait parler. Les révoqués auraient relevé les traces d’une possible transformation ou substitution d’avions ou souligné la diversion qu’avait constituée tel ou tel exercice.

Le débat entamé sur ce qui a endommagé le Pentagone a certes permis de réveiller l’opinion mais a fini par s’embourber à cause du manque d’informations délivrées par les autorités, du caractère délibérément tordu de l’attaque ou de pistes douteuses probablement lancées par le pouvoir états-unien lui-même. La discussion sur les mystères du Pentagone a permis de surmonter plusieurs difficultés en supposant que l’opération avait été menée de manière à piéger les sceptiques, par exemple en faisant exploser les ailes et l’aileron arrière de l’avion juste avant le choc. Ce débat ne parvient donc pas, selon nous, à éliminer la possibilité qu’un avion de ligne ait frappé le Pentagone, la question étant de savoir lequel (Boeing 737, 747, 767 ou 757), même s’il n’était sans doute pas piloté par le supposé Hani Hanjour – incapable de conduire un avion biplace en août 2001 selon son instructeur, et donc d’effectuer, au-dessus de Washington, cette descente parfaite (smooth 495) en un virage de 330° 496 , puis de faire faufiler un Boeing à basse altitude entre des bâtiments et des antennes avant d’atteindre la partie du Pentagone qui était la moins peuplée du complexe. Quoi qu’il en soit, il serait dommageable que l’attention du public soit détournée d’autres failles abyssales d’un scénario officiel de plus en plus incroyable, que nous souhaitons énumérer rapidement ici :

– Le fait qu’aucun pilote n’ait eu le temps de donner l’alerte au sujet d’un détournement, par appel radio ou en activant un code sur le transpondeur.


– L’absence précise de données fournies par deux boîtes noires. Le fait que les autres boîtes auraient disparu ou auraient fondu, chose incroyable qui commence à être contestée par deux secouristes, Mike Bellone et Nicholas DeMasi.

– La destruction méticuleuse, opérée par Kevin Delaney, des enregistrements de conversations entre les tours de contrôle et les pilotes ou kamikazes supposés.

– La disparition des images filmées autour du Pentagone par les caméras de l’hôtel Sheraton, du Virginia Department of Transportation, et de la station essence CITGO de Jose Velasquez, emportées par le FBI, dans ce dernier cas, « dans les minutes qui ont suivi 497» le crash de 9h38.

– L’inefficacité des batteries de missile qui défendent le Pentagone et de celles qui défendent la Maison Blanche.

– L’absence simultanée, à leur poste, de MM. Rumsfeld, Eberhart, Winfield et Myers.

– Le retard de l’évacuation générale de la Maison Blanche (9h45), du Capitole (9h47), du département d’Etat ou du Pentagone, alors même que le vice président Dick Cheney et la conseillère pour la Sécurité Nationale Condoleezza Rice auraient été conduits en lieux sûrs au sous-sol de la Maison Blanche à 9h03, heure du second crash à New York, et alors que l’Administration Fédérale de l’Aviation (F.A.A.) avait prévenu de l’approche d’un avion à 9h24.

– L’échec pitoyable des forces de défense aériennes pour intercepter des avions qui se seraient écartés de leur trajectoire vingt à quarante minutes avant leur crash supposé. La dernière excuse avancée pour en rendre compte étant que les premiers avions de chasse furent envoyés de bases éloignées au lieu de bases plus proches comme McGuire, Pomona et Andrews, mais même cette excuse semble supposer des vitesses de vol incroyablement lentes.

– Les descriptions de plus en plus curieuses de l’incompétence des contrôleurs aériens.

– La trajectoire fort étrange des avions. Le fait que les vols 93 et 175 descendirent près de l’aéroport Stewart International 499. Le fait que l’UA 93 s’était approché de Cleveland et y aurait même atterri selon WCPO.

– Le fait que le seul avion qui ne menaçait personne dans l’immédiat, le vol UA 93, et aurait pu être repris par les passagers, avec les pirates capturés, a été vraisemblablement abattu par un jet blanc.

– Les doutes sur l’identité réelle des pirates, par ailleurs souvent surveillés sous leurs probables noms d’emprunt et formés dans des centres de l’US Air Force et des écoles d’aviation liées à la CIA.

– Les doutes sur l’identité réelle de certains passagers.

– L’incongruité de maints récits de passagers.

– L’impossibilité matérielle que tant d’appels téléphoniques aient pu être donnés depuis les avions à la hauteur où ils sont supposés avoir volé et durant la durée qui est rapportée (à moins que les avions aient atterri avant leurs crashs supposés).

– La coïncidence exceptionnelle contenue dans les archives en ligne dites Airline On-Time Statistics Searchable Database du Bureau of Transportation (B.T.S.) voulant que deux des avions du scénario officiel, les vols AA 11 et AA 77, n’étaient pas programmés au départ ce jour-là.

Le fait que cette information n’apparaisse plus sur cette base depuis septembre/octobre 2004, mais qu’il reste néanmoins indiqué qu’ils n’ont pas réellement décollé, aucune heure de décollage n’y étant inscrite. Ces avions ont-ils donc décollé sans passagers, peut-être dans le cadre d’un exercice militaire ?

– Le fait que ces deux avions n’ont été déclarés détruits à l’administration aérienne (F.A.A.) qu’en janvier 2002, ce qui est en contradiction avec les procédures habituelles. Ont-ils été détruits après le 11 septembre ? La compagnie American Airlines a-t-elle fait une fausse déclaration à la
F.A.A. ?

– L’impossibilité de retrouver dans les statistiques archivées un précédent vol du Boeing supposé s’être écrasé au Pentagone, et dont le numéro d’enregistrement aurait été N644AA. Du reste, aucun avion n’est arrivé à l’aéroport de Washington Dulles avec ce numéro d’enregistrement les jours précédant le 11 septembre, alors qu’il est possible de retracer l’arrivée des trois autres avions dits impliqués, à l’aéroport d’où ils seraient partis le 11 septembre (Boston et Newark).

– La validité actuelle des numéros d’enregistrement (registration number, tail number ou N number) ayant appartenu à deux des avions prétendument détruits (faire une recherche sur le site de la F.A.A. aircraft registry inquiry avec les N numbers 591UA pour UA 93, et 612UA pour UA 175).

– L’absence de rapport du National Transportation Safety Board (N.T.S.B.) au sujet des quatre crash, alors qu’il existe un rapport de trente-cinq pages de cet organisme réputé sérieux sur un accident de jet survenu en octobre 1999 avec à son bord une demi-douzaine de passagers dont le golfeur Payne Stewart 500. Pour expliquer la chose, de manière étonnamment lapidaire, le site http://N.T.S.B..gov n’invoque pas l’absence de boîtes noires – puisqu’il est au moins resté l’enregistreur de voix du cockpit du vol UA 93, comme lors du crash avec Payne Stewart – mais le fait que le FBI enquête encore. En fait, des avocats ont découvert que le FBI, le Département « de la Justice » et même le Congrès empêchent le N.T.S.B. d’examiner les données des boîtes, malgré les souhaits des familles. Cela atteint des proportions politiques étonnantes…

– L’étrangeté des récits conventionnels qui tentaient de voir un accident dans l’effondrement de la tour n°7 du World Trade Center, près de sept heures après l’effondrement des deux premières tours. La déclaration d’un des propriétaires du complexe entier du WTC, Larry Silverstein, prononçant le mot "pull", peu médiatisée, semble toutefois être une reconnaissance discrète de la démolition contrôlée de cette tour.

– Les nombreux mystères sur ce qui a provoqué l’effondrement des tours jumelles, et l’absence de plans détaillés de ces tours.

– L’absence d’explications claires aux explosions secondaires qui se sont produites à New York et au Pentagone, dont certaines furent enregistrées par des relevés sismiques.

– L’évacuation des débris en acier des tours vers des pays lointains avant qu’une enquête véritable n’ait pu être menée, et la mise au secret des débris de ce qui a frappé le Pentagone. N’est-ce pas précisément ce à quoi l’on s’attendrait de la part d’autorités qui auraient l’intention de dissimuler la trace de l’utilisation d’explosifs à New York et de faire obstacle à l’identification possible des engins impliqués dans les attaques ?

11 Septembre, le grand Bluff
de Sacha Sher



La question revient sans arrêt de savoir s’il y a eu tromperie de la part du gouvernement états-unien sur l’identité des criminels et sûr la réalité de l’enchaînement des événements. C’est ce que nous avons voulu sous-entendre par le mot bluff, qui porte le sens de tromperie et de poudre aux yeux et dont l’origine est anglo-américaine.



Par ailleurs, puisque les dirigeants de l’hyperpuissance nord-américaine se montrent toujours aussi dominateurs après le 11-septembre, et que cet événement est devenu un récit fortifiant destiné à rehausser l’image du drapeau étoilé, l’acception de bluff en tant qu’esbroufe et que vantardise semble également pouvoir être retenue.



Mais surtout, puisqu’un bluff est une parole ou un acte prémédité, la question est de savoir si le 11-septembre n’est pas, à la fois une manoeuvre rhétorique utilisée à tour de bras et une manipulation planifiée depuis le début dans le but, notamment, de justifier le déploiement de forces militaires importantes au service d’objectifs méprisables.


11 Septembre, le grand Bluff, PDF gratuit ICI





samedi, septembre 01, 2018

Lettre ouverte au président Trump sur les conséquences du 11-Septembre

Manifestation à San Francisco, la guerre frauduleuse contre le terrorisme est basée sur le mythe du 11 Septembre.

par Thierry Meyssan


Monsieur le président,


Les crimes du 11 septembre 2001 n’ont jamais été jugés dans votre pays. C’est en tant que citoyen français ayant dénoncé le premier les incohérences de la version officielle et ouvert mondialement le débat sur la recherche des vrais coupables que je vous écris.

Lorsque nous sommes jurés d’un tribunal pénal, nous devons déterminer si le suspect qui nous est présenté est coupable ou non et, éventuellement, quelle peine doit lui être infligée. Lorsque nous avons assisté aux événements du 11-Septembre, l’administration Bush Jr. nous a affirmé que le coupable était Al-Qaïda et que la peine serait le renversement de ceux qui l’avaient aidé : les Talibans afghans, puis le régime irakien de Saddam Hussein.

Cependant quantité d’indices attestent l’impossibilité de cette thèse. Si nous étions des jurés, nous déclarerions alors objectivement les Talibans et le régime de Saddam Hussein innocents de ce crime. Bien sûr, nous ne saurions pas pour autant qui est le vrai coupable et cela nous frustrerait. Mais nous ne concevons pas de condamner des innocents d’un tel crime parce que nous n’avons pas su, ou pu, en trouver les coupables.

Nous avons tous compris que de hautes personnalités mentaient lorsque le secrétaire à la Justice et le directeur du FBI, Robert Mueller, ont révélé les noms des 19 pirates de l’air présumés. Car nous avions déjà sous les yeux les listes divulguées par les compagnies d’aviation de la totalité des passagers embarqués ; listes sur lesquelles aucun de ces suspects ne figurait.

À partir de quoi nous avons accumulé de forts soupçons vis-à-vis du « gouvernement de continuité », cette instance chargée de prendre le relai des autorités élues si celles-ci venaient à mourir lors d’une confrontation nucléaire. Nous avons émis l’hypothèse que ces attentats masquaient un coup d’État, conforme à la méthode qu’Edward Luttwak avait imaginée : maintenir l’apparence de l’Executif, mais lui imposer une autre politique.

Dans les jours qui ont suivi le 11-Septembre, l’administration Bush a pris plusieurs décisions :

- La création de l’Office of Homeland Security et le vote d’un volumineux Code anti-terroriste rédigé longtemps à l’avance, l’USA Patriot Act. Pour les affaires que l’administration qualifie elle-même de « terroristes », ce texte suspend la Bill of Rightsqui avait fait la gloire de votre pays. Il déséquilibre vos institutions. Il assure, deux siècles plus tard, le triomphe des grands propriétaires qui rédigèrent la Constitution et la défaite des héros de la guerre d’indépendance qui exigèrent qu’on lui ajoute la Bill of Rights.

- Le secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, créa l’Office of Force Transformation, sous le commandement de l’amiral Arthur Cebrowski. Il présenta immédiatement un plan, conçu de longue date, prévoyant de contrôler l’accès aux ressources naturelles des pays du Sud. Il exigeait de détruire les structures étatiques et la vie sociale dans la moitié du monde non encore globalisée.

Simultanément, le directeur de la CIA lança la « Matrice de l’attaque mondiale », un ensemble d’opérations secrètes dans 85 pays dont Rumsfeld et Cebrowski entendaient détruire les structures étatiques. En considérant que seuls les pays dont les économies étaient globalisées seraient stables et que les autres seraient détruits, les hommes du 11-Septembre placèrent les Forces armées US au service d’intérêts financiers transnationaux. Ils trahirent votre pays et en firent le bras armé de ces prédateurs.

Depuis 17 ans, nous voyons ce que donne à vos concitoyens le gouvernement des successeurs de ceux qui rédigèrent la Constitution et s’opposèrent sans succès à l’époque à la Bill of Rights : les riches sont devenus des super-riches, tandis que la classe moyenne a été diminuée par cinq et que la pauvreté s’est étendue.

Nous voyons aussi la mise en œuvre de la stratégie Rumsfeld-Cebrowski : de prétendues « guerres civiles » ont dévasté la quasi-totalité du Moyen-Orient élargi. Des villes entières ont été rayées de la carte de l’Afghanistan à la Libye, en passant par l’Arabie saoudite et la Turquie qui pourtant n’étaient pas, elles, en guerre.

En 2001, seuls deux citoyens US ont dénoncé les incohérences de la version bushienne, deux promoteurs immobiliers : le démocrate Jimmy Walter qui a été contraint de s’exiler, et vous-même qui êtes bientôt entré en politique et avez été élu président.

En 2011, nous avons vu le commandant de l’AfriCom être relevé de sa mission au profit de l’Otan pour avoir refusé de soutenir Al-Qaïda afin de renverser la Jamahiriya arabe libyenne. Puis, nous avons vu le LandCom de l’Otan organiser le soutien occidental aux jihadistes en général et à Al-Qaïda en particulier pour renverser la République arabe syrienne.

Ainsi les jihadistes, qui étaient considérés comme des « combattants de la liberté » contre les Soviétiques, puis comme des « terroristes » le 11-septembre, redevenaient les alliés de l’État profond qu’ils n’avaient jamais cessés d’être.

Aussi avons nous observé avec un immense espoir votre action pour supprimer un à un tous les soutiens aux jihadistes. C’est avec le même espoir que nous vous voyons aujourd’hui dialoguer avec votre homologue russe afin de rétablir la vie au Moyen-Orient dévasté. Et c’est avec une inquiétude équivalente que nous voyons Robert Mueller, devenu procureur spécial, poursuivre la destruction de votre patrie en s’attaquant à votre fonction.

Monsieur le président, non seulement vous et vos concitoyens souffrez de la dyarchie qui s’est installée dans votre pays depuis le coup d’État du 11-Septembre, mais le monde entier en est victime.

Monsieur le président, le 11-Septembre n’est pas une histoire ancienne. C’est le triomphe d’intérêts transnationaux qui écrasent aujourd’hui non seulement votre peuple, mais l’ensemble de l’humanité qui aspire à la liberté.


Livres :




de Thierry Meyssan



Politologue d'envergure internationale, Thierry MEYSSAN a choqué le monde en remettant en cause la version officielle des attentats du 11-Septembre. L'auteur, démonisé par les médias pro-atlantistes, livre ici le résultat de 6 ans d'analyses géopolitiques qui s'opposent frontalement à la propagande de guerre à laquelle sont soumis quotidiennement les peuples des « démocraties occidentales ».


PDF gratuit :

Mettra fin à la guerre

de Christopher Bollyn

Extrait :

La vérité sur le 11/09 importe car depuis 15 ans les médias aux ordres, ont appuyé une fausse histoire, un faux récit, au sujet du 11/09 et sur la "Guerre contre le terrorisme" tout en supprimant les preuves qui réfutent le mythe officiel. 

Le peuple américain, encore une fois, historiquement, est d'avis que le gouvernement leur a menti à propos du 11/09. Voici un sondage réalisé par le New York Times et CBS, dans lequel on leur demandait s'ils pensaient que l'administration Bush avait menti au sujet du 11/09. 

En 2002, 3/4 de la population pensait que l'administration Bush, "mentait la plupart du temps" ou "cachait quelque chose". En 2004, cela a augmenté. En 2006, cela a augmenté davantage. Quand ils ont trouvé que seulement 16% de la population, pensait que l'administration disait la vérité : ils ont arrêté les sondages. Telle est notre très délicate situation politique résumée en quelques mots. 

Si les gouvernements et les médias nous mentent à propos du 11/09, cela signifie : "qu'ils" - le gouvernement et les médias - sont contrôlés, par ceux-là mêmes qui ont réalisé le 11/09. Il se peut que vous ne trouviez pas ça concluant, mais c'est une affaire d'État d'une très grande gravité. 

Donc, pourquoi le gouvernement et les médias cachent-ils la vérité à propos du 11/09 ? Eh bien, pour trois raisons fondamentales : 

1. Pour protéger l'identité des vrais coupables ; 

2. Pour éviter que le mythe officiel ne soit exposé comme n'étant qu'un paquet de mensonges ; 

et 3. Pour faire avancer la guerre frauduleuse contre le terrorisme : Les délais imposés par l'agenda de la guerre sioniste, menée par les États-Unis, étaient la raison principale du 11/09. 

jeudi, août 30, 2018

Le monde russe, cœur de la Tradition et de la lutte contre la décadence


Bande-annonce de la conférence de Christian Bouchet "Eurasisme et Tradition". 




Eurasisme & Tradition
Conférence de Christian Bouchet du 31 Mars 2018 à Lille
(environ 1 heure), 



Les guénoniens relèveront une petite erreur sur la date du début du Kali Yuga. René Guénon est précis sur ce point :

"Nous sommes, présentement dans le quatrième âge, le Kali Yuga ou "âge sombre", et nous y sommes, dit-on, depuis déjà plus de six mille ans, c’est-à-dire depuis une époque bien antérieure à toutes celles qui sont connues de l’histoire "classique"."

Quant au fascisme et à la franc-maçonnerie, René Guénon
(qui était peut-être moins naïf que Christian Bouchet sur ces sujets), affirme dans une lettre à R. Schneider datée du 6 janvier 1937 : "Il y a de singulières ressemblances entre les emblèmes du fascisme et ceux d'une certaine "Maçonnerie noire" qui n'avait d'ailleurs de maçonnique que le nom."

Dans son livre "Etudes sur la Franc-Maçonnerie et le compagnonnage", René Guénon dénonce clairement la déviation maçonnique : 

"Il faut à notre avis, prendre en quelque sorte le contre-pied de l’opinion courante, et considérer la « Maçonnerie spéculative » comme n’étant, à bien des points de vue, qu’une dégénérescence de la « Maçonnerie opérative ». Cette dernière, en effet, était vraiment complète dans son ordre, possédant à la fois la théorie et la pratique correspondante, et sa désignation peut, sous ce rapport, être entendue comme une allusion aux « opérations » de l’« art sacré », dont la construction selon les règles traditionnelles était une des applications. Quant à la « Maçonnerie spéculative » qui a d’ailleurs pris naissance à un moment où les corporations constructives étaient en pleine décadence, son nom indique assez clairement qu’elle est confinée dans la « spéculation » pure et simple, c’est-à-dire dans une théorie sans réalisation ; assurément, ce serait se méprendre de la plus étrange façon que de regarder cela comme un « progrès ». Si encore il n’y avait eu là qu’un amoindrissement, le mal ne serait pas si grand qu’il l’est en réalité ; mais, comme nous l’avons dit déjà à diverses reprises, il y a eu en outre une véritable déviation au début du XVIIIe siècle, lors de la constitution de la Grande Loge d’Angleterre, qui fut le point de départ de toute la Maçonnerie moderne. Nous n’y insisterons pas davantage pour le moment, mais nous tenons à faire remarquer que, si l’on veut comprendre vraiment l’esprit des constructeurs du moyen âge, ces observations sont tout à fait essentielles ; autrement, on ne s’en ferait qu’une idée fausse ou tout au moins fort incomplète.


M... à Macron !

L'Union européenne des marchands et des banquiers sera-t-elle finalement terrassée par un sursaut spirituel venu de Russie, ou/et le renouveau de valeurs traditionnelles dans un espace européen s'étendant sur le territoire de l'ancien empire des Habsbourg ?

Le 27 Août 2018, Emmanuel Macron réunissait nos ambassadeurs à l’Élysée. Au programme, l’Europe et comment la remettre en marche. 

Dans un entretien accordé au Parisien, Alice Weidel, l’une des dirigeante du parti Alternative pour l'Allemagne, évoque ce « rassemblement des progressistes » en ces termes : « Je n’y vois que le dernier sursaut d’une vieille élite complètement désorientée. […] Je pense, au contraire, qu’Emmanuel Macron finira par accélérer la division de l’Europe. »

Toujours selon Alice Weidel, ce seraient surtout ces partis populistes qui auraient désormais une longueur d’avance : « Les pays qui donnent actuellement une impulsion à l’Europe sont ceux d’Europe centrale et orientale, de l’Autriche à la Pologne en passant par la Hongrie, la Slovaquie et la Tchéquie » qui se partagent un territoire appartenant à l’ancien espace culturel commun de l’empire des Habsbourg. »
La Russie et les idées politiques au XXIème siècle 
Alexandre Douguine 
(Introduction, Alain Soral)



mercredi, août 29, 2018

Regards sur la France, terre d'accueil de la haine

Regard sur la France de la télévision russe





Regard sur la France d'Isabelle, blogueuse canadienne 


"J'ai rencontré deux couples de la Bretagne, en France, lors de mes voyages cet été et ces 4 personnes envisagent de faire les démarches pour sortir du pays le plus rapidement possible puisqu'elles disent que la vie au quotidien est devenue dangereuse et fort désagréable. Ils m'ont tous dit avoir été menacés verbalement et s'être fait montrer au moins une fois le signe du couteau sous la gorge, avoir été chassés d'un lieu public parce que squatté par des groupes de criminels étrangers, ne pas avoir la liberté et le sentiment de sécurité pour circuler le soir et la nuit. J'ai été surpris par l'intensité et la sévérité de leurs propos au début de la conversation, mais au bout de quelques minutes, j'ai compris que c'est la rage, la peur et un profond désespoir qui t'habite quand tu ne te sens plus chez toi dans ton propre pays..."

"Les médias russes "Russia Today" et "Sputnik News" discutent abondamment du chaos qui règne en Europe, dont plusieurs pays sont au bord de la guerre civile, à cause des vagues massives de migrants. Dans nos médias occidentaux : NADA !"

"C'est évident que les médias occidentaux ont reçu la commande d'éviter de publier les scandales qui impliquent des migrants pour ne pas alimenter la haine raciale ou, au mieux, de traiter ces nouvelles de façon à ne pas discréditer et condamner les façons de faire des hauts dirigeants européens concernant les politiques migratoires (un foutoir total!). Malgré que les médias et les politiciens tentent de mettre le couvert sur la marmite, l'indignation des peuples européens se fait entendre et semble se rallier de plus en plus aux groupes politiques dits "d'extrême droite", idéologie politique à laquelle plusieurs personnes ne se seraient jamais approchée dans le passé, mais qui représente aujourd'hui leur seule issue pour sortir, disent-elles, de l'enfer."


Dans son blogue, http://conscience-du-peuple.blogspot.com, Isabelle renvoie aux articles suivants : 

"Plus aucun quartier de Paris n’est sûr" : un autre coup mortel dans le métro parisien :


Une importante rixe éclate à Calais, des migrants et des CRS blessés



"Les étrangers dehors" : en Allemagne, Chemnitz s'enflamme après une attaque au couteau mortelle



"Regarde, regarde !" : une cinquantaine de migrants débarquent sur une plage espagnole (VIDEO)



Wauquiez : "L'immigration de masse est une menace pour la civilisation européenne"



mardi, août 28, 2018

L'ONU charge les généraux birmans : "génocide" contre les Rohingyas


L'ONU accuse les généraux birmans de génocide, mais épargne le clergé bouddhiste partisan du "nettoyage" ethnique, comme le moine nationaliste Ashin Wirathu.


"...il convient de s’interroger sur la réaction viscérale des partisans occidentaux du Tibet ou du bouddhisme (ou des deux), qui se refusent à imaginer la possibilité de moines bouddhistes faisant les quatre cents coups. Qu’un moine bouddhiste, tibétain de surcroît, puisse se comporter de manière autre que compassionnelle ou bienveillante est pour beaucoup proprement impensable, et ces photos de violence bouddhique constituent une sorte de scandale. C’est précisément cette question – pourquoi y aurait-il là un scandale ? – qu’il importe de poser.

On a trop vite oublié que, dans un autre pays d’Asie, le Sri Lanka, des moines bouddhistes mènent depuis des années une guerre impitoyable au nom d’un idéal de pureté ethnique et religieuse pour le moins paradoxal. Et que dire des moines bouddhistes japonais, qui participèrent avec enthousiasme à l’effort de guerre en Chine et dans le Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale ?", dit Bernard Faure, spécialiste reconnu du bouddhisme.



L'ONU charge les généraux birmans : "génocide" contre les Rohingyas

par Joël Chatreau



L'ONU ne mâche plus ses mots. L'Organisation des Nations unies réclame que le commandant en chef de l'armée birmane, Min Aung Hlaing, ainsi que cinq autres hauts gradés, soient poursuivis pour "génocide" à l'encontre de la minorité musulmane des Rohingyas, notamment dans l'Etat Rakhine. "Ils doivent faire l'objet d'enquêtes et de poursuites, ajoutent les enquêteurs, pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre dans les Etats Rakhine, Kachin et Shan".

Ce week-end, le peuple apatride persécuté dans le pays où il s'était établi en masse, la Birmanie, a marqué d'un "jour noir" le premier anniversaire de son exode sans précédent. En effet, à partir du 25 août 2017, au moins 700 000 hommes, femmes et enfants rohingyas, avaient été jetés sur les routes, réprimés dans une violence meurtrière et chassés par les soldats birmans. Depuis, ils s'entassent dans d'immenses camps de réfugiés au Bangladesh; près d'un million de personnes y seraient rassemblées.

"Les autorités civiles ont contribué (...) aux crimes atroces"

La dirigeante birmane Aung San Suu Kyi n'est pas épargnée par la mission de l'ONU. Les enquêteurs estiment dans leur rapport publié ce lundi qu'elle "n'a pas utilisé sa position de facto de chef du gouvernement, ni son autorité morale, pour contrer ou empêcher le déroulement des événements dans l'Etat Rakhine". "De par leurs actes et leurs omissions, les autorités civiles ont contribué à la commission de crimes atroces", écrivent-ils.

Le Conseil de sécurité a maintes fois exhorté le pouvoir birman à stopper ses opérations militaires contre les Rohingyas et à faire revenir les réfugiés sur son territoire en toute sécurité. Mais la Chine, qui soutient la Birmanie, met des bâtons dans les roues onusiennes. La mission d'enquête recommande désormais de faire appel à la Cour pénale internationale pour juger les accusés.


lundi, août 27, 2018

Les secrets d'un peuple-secte



Les secrets d'un peuple-secte 


par Jean Boyer



Un illustre juif, Jacob Alexandrovitch Brafman, milita activement dans les organisations secrètes israélites et parvint à connaître leurs secrets, cachés à tous les non-juifs.

Cette connaissance lui fit tellement horreur, quant à la malfaisance du Judaïsme, qu’il se présenta au tsar Alexandre II de Russie, pour lui dénoncer les secrets de l’organisation interne des colonies ou communautés juives.

Esclaves de leur communauté

Au sujet de tout ceci, il dit dans son oeuvre intéressante et documentée, intitulée « Le Livre du Kahal », en russe « Kniga Kagala » que le juif est un individu totalitairement assujetti à la communauté israélite, en matière politique, économique, religieuse, militaire, culturelle et jusque dans sa vie privée. C’est donc l’homme le plus privé de liberté qui existe au monde. Il a prêté des serments terribles de garder le secret sur tous les secrets des Fraternités et des Communautés juives, et de ses organes de gouvernement, également secrets. Et comme l’assure le dénonciateur, ces serments existent depuis dix-huit siècles.

De sorte que le juif n’est pas libre, comme les autres hommes, de choisir le travail qu’il désire, mais qu’il doit obéir aux ordres de ses chefs et choisir la fonction ou la profession que ceux-ci ordonnent, comme son lieu de travail. S’il désire entrer dans un parti politique ou participer à quelque activité politique, économique, religieuse ou culturelle que ce soit, il doit en demander l’autorisation aux dits chefs et se conformer à leurs résolutions.


Gouvernance mondiale des Pharisiens

Le Sacerdoce a été supprimé dans le Judaïsme il y a environ dix-huit siècles. La Société secrète juive des Saducéens, qui était celle qui, selon les préceptes bibliques, soutenait le Sacerdoce dans le peuple-secte d’Israël, privée du Temple depuis sa destruction avec celle de Jérusalem par les Romains (en 70 de l’ère chrétienne), fut vaincue et détruite par la société secrète des Pharisiens. Cette dernière, demeurée maîtresse du gouvernement du Judaïsme mondial, dissolva légalement le Sacerdoce, en décrétant que chaque juif serait son propre prêtre. Cependant, à l’ancienne classe sacerdotale des Lévites et des Cohen l’on permit, au moment où on les privait de leurs fonctions sacerdotales — et pour adoucir leur chute — la priorité au Cohen et la seconde au Lévite pour la lecture de la Thora et des Prophètes dans les services religieux. Les lectures devant être faites, faute de Cohen ou de Lévite dans un service, par un autre assistant, d’accord avec les règles approuvées par la Synagogue (Assemblée) ou Sainte Fraternité.

Les rabbins sont des gouvernants totalitaires

De sorte que le Judaïsme moderne n’est qu’un prolongement du pharisaïsme, qui donna à ses rabbins, non le rôle de prêtres, mais celui de gouvernants totalitaires de la nation juive dispersée de par le monde. Le Sacerdoce étant actuellement supprimé comme il l’a été depuis dix-neuf siècles.

Les rabbins dirigent leurs Communautés en matière politique, économique, religieuse, sociale et dans toutes les activités de la vie d’un juif. La propagande juive tendant à représenter le rabbin comme un prêtre a pour objet de présenter au public comme inoffensifs ces chefs de la grande Conspiration révolutionnaire juive, afin qu’ils jouissent, en tant que prêtres inoffensifs, des garanties accordées par le gouvernement au sacerdoce, à l’abri une fois de plus du bel idéal de la liberté religieuse.

Lorsque dans le Judaïsme religieux, l’on invite le rabbin à présider des cérémonies de mariage ou de circoncision, ou même à diriger des services religieux, il s’agit d’un luxe mais non d’une nécessité, car dans le Judaïsme les services religieux, les mariages, les circoncisions, etc. sont valables sans qu’y assiste un rabbin, sous la direction de quelque membre d’une Synagogue (Assemblée), ou Sainte Fraternité Synagogale.

Aux États-unis, où le judaïsme et le rabbinisme tiennent tant de place, il est difficile qu’il existe une communauté juive sans rabbin, mais en Asie, en Afrique, y compris parmi les communautés juives clandestines de l’Amérique latine, abondent dans les villages et les bourgs les communautés israélites qui n’ont pas de rabbin et qui cependant fonctionnent normalement, et pour tenir sans rabbin les conseils directeurs d’une communauté la seule chose indispensable est que s’y effectuent les études de la bible, du talmud, de la cabale, dans les communautés cabalistiques ; ainsi que les connaissances générales en matière d’organisation politique, d’espionnage, de contrôle, de noyautage et autres, nécessaires pour qu’une petite communauté de village ou de bourg puisse imposer sa domination secrète là où elle fonctionne.

La synagogue

Dans la nation juive, qui a envahi toutes les nations du monde, le mot « synagogue » possède trois significations, en premier lieu il signifie assemblée, c’est-à-dire la cellule de base d’organisation du judaïsme.

Pour qu’il y ait « quorum » ou « Miniam » dans une synagogue, il faut que dix membres au moins s’y trouvent réunis. D’autre part, une synagogue (assemblée) fonctionnant publiquement dans le judaïsme peut avoir trente, cent ou davantage de membres, au contraire, les synagogues secrètes du judaïsme clandestin, ne possèdent que dix ou plus, mais juste le nombre nécessaire pour pouvoir fonctionner dans l’ombre, sans que les membres du peuple envahi se doutent de leur fonctionnement.

En outre, le mot synagogue a une seconde signification, il sert à désigner l’édifice spécial dans lequel se réunissent pour siéger les synagogues (assemblées) et aussi la salle de réunion dans des maisons particulières ou saintes fraternités synagogales, comme l’ordonnent les « Takanot » ou lois réglementaires de la communauté juive dont ils forment partie. Dans la grande synagogue fonctionnent les gouvernements des communautés. Parfois s’y trouvent les archives des communautés fonctionnant publiquement, finalement on appelle « synagogue » le judaïsme en général.


Le rabbin révolutionnaire Akiba


Le rabbin, comme dirigeant totalitaire d’une communauté juive théocratique, assume aussi comme il est naturel des tâches religieuses et d’instruction religieuse ; mais il dirige aussi les affaires de conquête politique, économique, militaire, sociale, etc., des autres nations, il existe même des rabbins qui se spécialisent dans les enlèvements, le terrorisme et les révolutions, comme le propre (père de) Karl Marx, par exemple, et le rabbin Akiba, qui projeta et dirigea en secret la troisième et gigantesque révolution juive organisée pour conquérir ou détruire l’empire romain (en l’an 130 de l’ère chrétienne).

Quand Hadrien, empereur humaniste, lettré, poète et philosophe à la réputation pacifique, se fâche 

Dans toutes les provinces les juifs se soulevèrent, arborant l’attrayant drapeau de la libération de tous les peuples conquis par Rome, et dans les endroits où momentanément la révolution triompha, les juifs assassinèrent en masse les civils romains ou dévoués à eux, y compris les femmes et les enfants, obéissant selon eux à ce qu’a ordonné leur dieu dans les passages de la bible [...].

Finalement les légions romaines récupérèrent la Judée et pacifièrent les autres provinces soulevées, recourant selon les ordres d’Hadrien à l’extermination totale du cheval de Troie de la nation étrangère, qui avait envahi tout l’empire et se trouvait sur le point de le détruire. Il existe des historiens israélites qui affirment qu’Hadrien extermina la moitié de la population juive du monde, c’est-à-dire une majorité des juifs de l’empire, coup dont le judaïsme ne se releva pas pendant 900 ans, c’est-à-dire près d’un millénaire.

L’empereur romain Hadrien, connaissant déjà la tromperie des Israélites de se faire passer pour membres de la nation qu’ils ont envahie, donna à ses légions les ordres suivants :

"Même s’ils jurent se convertir en bons citoyens romains ; et s’ils adorent à Jupiter et a nos autres dieux : tuez-les, si vous ne voulez qu’ils détruisent Rome ou qu’ils la conquièrent, par les moyens secrets et lâches qu’ils ont coutume d’employer."

Hadrien, en utilisant la torture put découvrir les rabbins membres du « Sanhedryn » ou gouvernement mondial juif et les capturer, sauf un seul qui réussit à fuir. Tous ces criminels, responsables du carnage de centaines de mille hommes, femmes et enfants, Hadrien les fit mourir sur la Croix, comme il était d’usage à l’époque, y compris le rabbin Akiba.

Ce qui restait des Juifs de l’Empire, se sauva grâce à la mort d'Hadrien (10 juillet 138). En pleurant et baisant les pieds de son successeur Antonin Pius, les membres de diverses délégations juives venus implorer sa clémence obtinrent qu’il leur fasse grâce de la vie et qu’il abroge les décrets exterminateurs d'Hadrien.

Le rabbin Akiba et le Talmud

Au génie du rabbin Akiba, révolutionnaire sans égal, génie politique et écrivain encyclopédique pour cette époque, on doit la plus grande partie du Talmud, oeuvre que le sage rabbin présenta à son peuple comme une compilation de la tradition orale, des révélations faites à Moïse sur le Sinaï, par le Dieu d’Israël, de plus grande valeur que celles contenues dans la Bible, comme l’affirment les talmudistes les plus fanatiques.

Bible, Talmud, Cabale...

Les rabbins, avant de recevoir le titre officiel de leur fonction, doivent étudier, et passer des examens rigoureux, sur la Bible, le Talmud et la Cabale, s’il s’agit d’une communauté cabaliste, et, en outre, sur les matières correspondant à la spécialité à laquelle ils veulent se consacrer. Il existe des communautés qui répudient la Cabale, mais n’en sont pas moins fanatiquement impérialistes que les autres.


... et l'art de la subversion

Lorsque dans un pays se présentent beaucoup de candidats au rabbinat, on les partage entre les spécialités les plus variées, comme par exemple : contrôle et conquête politique, espionnage, sabotage, contrôle et direction de la presse et de la propagande, conquête économique, culturelle, religieuse, direction de la subversion, terrorisme, révolutions, etc.

Un programme d'infiltration

D’autre part, les Parnassim, ou membres du Kahal, Kelillah, ou Conseils suprêmes régionaux et locaux, qui dirigent la communauté locale dressent un programme d’infiltration de tous les Juifs qui en font partie, dans les différents partis ou groupes politiques, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, comme dans toutes les institutions et sociétés de la nation qu’ils ont envahie, et les Juifs n’ont qu’à obéir à leurs chefs.

Naturellement lorsqu’un Juif peut obtenir une situation très importante dans quelqu’autre parti ou société ou comme collaborateur d’un leader ou gouvernant « gentil », il est autorisé à changer de position ou à cumuler les deux, si elles ne sont pas incompatibles.

Contrôle des juifs par la dictature religieuse

L’israélite russe Jacob Alexandrovitch Brafman dit que le contrôle exercé sur chaque juif dans toutes les activités de sa vie publique est très strict, et même sur beaucoup de sa vie privée car l’autorité totalitaire de la communauté juive sur les individus qui la composent est absolue et pénètre jusque dans l’intimité des foyers juifs. [...]

L’israélite russe, Jacob Alexandrovitch Brafman, dénonça secrètement au siècle passé au tsar Alexandre II de Russie, le lieu, entre murs et souterrains bien cachés, où se trouvaient les archives ultra-secrètes de la Communauté régionale de la province de Minsk, de l’empire russe, dirigée par son grand Kahal, son Beth Din regional, son grand Rabbin, son assemblée d’Anciens, formée par les chefs des familles patriarcales qui composent chaque Communauté. Et par son Assemblée générale, formée par les rabbins représentants des Communautés locales et des Synagogues (assemblées) ou Fraternités et autres Institutions, composant la Communauté régionale, révélant que la structure interne de ces Communautés régionales, à cause de leur autorité souveraine, variait selon ses lois internes.

La police du Tsar contre le Grand Kahal

La police secrète du Tsar, dirigée par l’illustre juif renégat, agissant par surprise, saisit plus de deux mille documents, signés par les rabbins dirigeants du Grand Kahal, c’est-à-dire les Parnassim, par les juges des Beth Din ou Tribunal secret existant dans chaque Communauté, ou dayanim, et par les autres fonctionnaires juifs russes.

Le Tsar Alexandre prit la précaution de faire collationner par des experts en écriture la signature des rabbins et autres dirigeants juifs avec les pièces et documents publics existant dans les archives impériales afin de prouver que les signatures étaient authentiques. En outre, comme tous les documents étaient manuscrits, y compris les procès-verbaux des réunions secrètes du Kahal ou du Grand Kahal de Minsk, l’on identifia les dirigeants juifs auteurs des manuscrits, également de la même écriture.

Brafman était célibataire et n’avait pas d’enfants, de sorte qu’il risqua héroïquement seulement sa propre vie, mais il prit la précaution justifiée de se placer sous la protection de la Police et de l’Armée impériales, afin d’éviter que les Juifs ne l’assassinent, comme ils le font pour tous ceux qui révèlent le moindre secret du Judaïsme.

Le secret grâce auquel le Judaïsme peut obtenir l’obéissance aveugle et totale, c’est-à-dire dans toutes les activités de la vie humaine, des Israélites, hommes et femmes, à leurs supérieurs immédiats, y compris le Kahal régional, lorsqu’il intervient pour donner un ordre, réside dans le maintien en vigueur dans chaque communauté du monde, de lois répressives prévoyant des châtiments si terribles qu’elles obligent les Israélites à obéir à leurs chefs. Aux coupables de désobéissances réitérées est réservé le poison, administré sous la forme que je vais détailler, et les représailles contre la femme et les enfants.

Les châtiments ordonnés par le Beth Din ou Tribunal secret

Jacob Brafman, dans son oeuvre citée, "Le Livre du Kahal", et dans son ouvrage de valeur : "Fraternités juives locales et de l’Univers", nous explique quelles sont ces mesures de châtiment, non seulement contre les désobéissants mais à plus forte raison contre ceux qui révèlent aux « gentils » les secrets du Judaïsme et de ses organisations ultra-secrètes, et surtout contre les traîtres, apostats et renégats.

Parmi les mesures prises contre les Juifs qui n’obéiraient pas aux ordres de leurs chefs, mesures imposées par le Kahal ou Conseil Suprême, ou le Beth Din ou Tribunal secret, figurent les suivantes :

1. — Tout juif, en entrant à treize ans dans le Judaïsme, dans la Sainte Fraternité synagogale dont il fera partie, et ensuite à dix-sept ans, est contraint de signer des feuilles en blanc et des Lettres de Change ou des Billets à Ordre en blanc, que ses chefs rabbins pourront remplir plus tard d’engagements graves et compromettants pour le malheureux garçon qui les a signés en blanc.

Ensuite, tous les dix ans chaque juif ou juive doit signer de nouveaux papiers en blanc, y compris Lettres et Billets, en répétant tous les serments de loyauté à la nation, à la religion juives (s’il s’agit de juifs religieux) supérieurs à ceux prêtés à la nation qu’ils ont envahie ou aux institutions politiques, militaires, religieuses ou autres dans lesquelles ils sont infiltrés, auxquels il dénie toute valeur. Il répète en outre le serment prêté lors de son entrée à treize ans dans la Société secrète juive, de se convertir dorénavant en un espion de la nation juive (voir les articles sur les sayanim), tenu d’informer ses rabbins chefs de tout secret militaire, politique, économique, religieux ou de tout ordre, dont il aurait connaissance, non seulement dans son travail, mais en un lieu quelconque.

Après avoir prêté en diverses occasions ces serments, et d’autres, et signé en blanc les documents l’Israélite habitant en un quelconque pays du monde, demeure hypothéqué, sa vie durant, par la Nation-secte juive.

C’est pourquoi, lorsque un Israélite révèle à des Gentils des secrets de sa Nation-secte, et trahit, lorsqu’il cesse de payer ses impôts (ou taxes) à la Communauté ou simplement lorsqu’il désobéit aux ordres du Muhamada Secret (Bureau directeur de sa Fraternité) et autres autorités communales citées, l’on remplit le papier, la Lettre de change ou le Billet à ordre en blanc de la manière la plus nuisible au pauvre juif châtié et l’on procède contre lui devant les tribunaux ordinaires pour le saisir et lui enlever tous ses biens.

Et le juif ainsi poursuivi par son propre Peuple-secte, ne peut échapper en plaçant ses affaires, ses propriétés et ses autres biens au nom de sa femme et de ses enfants, car eux aussi ont dû signer en leur temps papiers, lettres et billets en blanc. C’est pourquoi certains juifs désespérés disent quelquefois : « Hélas ! comme il en coûte cher d’être juif ! »

Dans les Takanot, Ascamot et autres lois internes du Peuple-secte, il est en général interdit qu’un juif en attaque un autre devant les Tribunaux ordinaires du pays dans lequel il vit, sans permission des autorités juives respectives. En règle générale les Juifs doivent régler leurs différends seulement devant le Tribunal de leur Communauté. La seule exception se produit lorsque le Kahal ou le Beth Din, après avoir rempli les papiers commerciaux signés en blanc par le juif désobéissant ou coupable d’une autre faute, ordonne à l’un des « serviteurs du Kahal » de se présenter devant un Tribunal ordinaire, dans les fins décrites ci-dessus.

2. — Dans le Judaïsme orthodoxe, qui groupe l’immense majorité des Israélites du monde, la femme est contrainte d’aller, après la menstruation ou l’accouchement, à la Kiba ou bain rituel — qui dans le judaïsme clandestin est installé comme le reste dans un lieu secret — sous peine de demeurer impure et de ne pouvoir entretenir de contact sexuel avec son mari. Les rabbins et autres dirigeants israélites en profitent pour châtier le juif ayant désobéi à leurs ordres en empêchant sa femme d’aller à la Kiba et en ordonnant aux employés du bain de la tenir à l’écart, de sorte que l’épouse de l’israélite, sous peine de rester maudite pour l’éternité doit refuser tout contact sexuel à son époux, ce qui dans la majorité des cas se traduit pour le malheureux mari, transformé en taureau en rut, par la nécessité de se rendre et d’obéir aux ordres de ses chefs pour pouvoir regagner le lit matrimonial.

Lorsque le juif désobéissant possède une ou plusieurs maîtresses juives, il est procédé avec elles, comme pour l’épouse, afin de les obliger à interdire le lit sexuel à leur amant.

3. — Dans les cas plus légers, le Beth Din se contente d’imposer de fortes amendes aux désobéissants, surtout lorsque le juif ne paye pas ponctuellement ses impôts (taxes) à sa Communauté. Mais lorsque les amendes ne suffisent pas, l’on remplit les papiers signés en blanc et l’on saisit les biens. Grâce à ces moyens coercitifs, le Judaïsme a réussi à être la secte la mieux financée du monde.

4. — Dans les cas plus graves de désobéissance réitérée, sans que les sanctions précédentes aient donné de résultat, ou dans les cas où il s’agit d’un juif qui ait révélé des secrets du Judaïsme, d’un traître ou d’un apostat, converti sincèrement à une religion de « gentils » (christianisme, islamisme, bouddhisme, etc.), la peine de mort — dans la majorité des cas par empoisonnementest décrétée par le Tribunal secret (Beth Din) de la Communauté, et exécutée par le « Procureur secret », qui existe dans toute Communauté israélite, et dont l’identité est inconnue de ses membres. Ce « Procureur secret » est chargé de la police secrète de la Communauté, qui surveille tous les actes des Juifs, car il peut compter, en plus de ses espions professionnels et de ses experts en poisons, sur ses chefs subalternes et sur l’appui de tous les membres de la Communauté, qui ont prêté serment de dénoncer au « Procureur secret » par le moyen adéquat, tout ce qu’ils voient et entendent de contraire aux intérêts et aux lois et institutions de la nation juive parmi leurs amis juifs, dans la Fraternité ou les groupes dont ils font partie, et même au sein de leur foyer familial. Les enfants dénonçant leurs parents, les parents leurs enfants, le mari l’épouse et vice-versa, ainsi dans tout le monde juif. La peine de mort par empoisonnement, ainsi décrétée, peut être étendue à un fils ou à l’épouse du juif châtié, qui sont empoisonnés sans pitié. Et le Beth Din de chaque communauté peut toujours compter sur des médecins juifs qui délivreront un certificat médical de décès pour infarctus cardiaque ou toute autre cause de mort naturelle, qui dissimuleront le crime commis. A cette mesure et à d’autres le Judaïsme doit d’avoir pu se maintenir pendant tant de siècles, en dépit des pires tempêtes provoquées par ses invasions et agressions criminelles contre les autres peuples.

Tout ceci convertit les Fraternités synagogales juives et les communautés qu’elles intègrent en véritables armées politiques, sous une discipline de fer et en sociétés totalitaires dans lesquelles l’obéissance de leurs membres est garantie, en outre de l’idéal israélite de domination de chaque nation et du monde entier, par la crainte des terribles châtiments qui menacent les juifs infiltrés dans les gouvernements, les armées, les partis politiques et autres organisations et sociétés de chaque nation, s’ils n’obéissent pas aux ordres reçus de leurs chefs, afin d’aider la communauté juive de ce pays à contrôler toutes ses institutions, en vue de conquérir par des moyens occultes la nation entière.

C’est pourquoi il est actuellement impossible que les Juifs se convertissent sincèrement à une religion « gentil », mais seulement en apparence, sachant que s’ils se convertissaient réellement, non seulement ils seraient assassinés mais que la vie de leurs enfants et de leur femme serait en danger ; les rabbins croyant ainsi appliquer la peine de mort ordonnée contre les apostats par l’Ancien Testament de la Bible, qui inclut en outre l’extension de cette peine dans certains cas à la famille du coupable, comme le sait parfaitement toute personne qui étudie la Bible.

5. — La peine la plus solennelle qu’applique le judaïsme religieux aux Israélites coupables d’un ou de plusieurs délits cités au paragraphe antérieur, est le herem ou l’excommunication, c’est-à-dire l’expulsion de l’Israélite du sein du judaïsme. Parmi les Juifs non religieux, l’on supprime le mot excommunication et les rites religieux qui l’ont séculairement accompagnée, pour l’appeler seulement « expulsion de la communauté juive », au cours d’une cérémonie non religieuse, sinon exclusivement politique.

Comme il s’agit pour le Juif excommunié ou expulsé de l’obliger à demander pardon et à se replacer sous le contrôle du judaïsme, on ne lui applique pas immédiatement la peine de mort, mais le boycottage économique, politique et social. L’on interdit à sa femme ou à ses maîtresses juives d’avoir des relations sexuelles avec lui et l’on oblige ses amis à couper tout rapport avec lui. Il s’agit de le ruiner économiquement, par les moyens que nous avons mentionnés et de l’annihiler politiquement si l’excommunié est un homme politique, ou de le ruiner dans quelque autre office ou profession qu’il exerce, jusqu’à l’annihiler complètement.

Et l’excommunication n’est levée ou l’expulsion abrogée que si le Juif sanctionné se jette à genoux, baise les pieds et demande pardon aux Rabbins formant le Tribunal rabbinique qui l’excommunia du Judaïsme religieux ou l’expulsa de quelque communauté de Juifs non-religieux. En outre, de prêter de nouveau, serments d’obéissance aveugle et absolue à tous les ordres de ses chefs, et de répéter tous les serments que tout israélite prête en entrant dans la secte juive respective, en général à treize ans et jurer de ne pas commettre à nouveau les fautes pour lesquelles il a été excommunié du Judaïsme religieux ou expulsé du non-religieux.

La peine de mort par empoisonnement n’est appliquée qu’aux excommuniés ou expulsés rebelles, qui ne demandent pas pardon ni ne passent par les humiliations susdites.

 Commission de Censure du Kahal

Cette Dictature totalitaire, que la Communauté juive religieuse exerce sur tout individu juif, entraîne entre autres conséquences, l’existence d’une Commission de Censure préalable pour les écrits, brochures et livres que les Juifs désirent publier. Cette censure est exercée par l’Honorable commission très secrète, de censure du Kahal, et tout Israélite infiltré en quelque nation du monde, doit obtenir l’approbation de ses écrits, brochures ou livres par cette commission du grand Kahal qui gouverne sa Communauté régionale. Les journalistes et speakers de radio et de télévision sont seulement obligés à suivre des règles générales, et ne sont assujettis à la censure préalable qu’en des cas d’extrême importance.

Le Tribunal rabbinique d’Amsterdam excommunie Spinoza

Baruch Spinoza est sans conteste le plus grand génie philosophique du Judaïsme, dans toute son histoire. En se voyant pris dans les chaînes de la censure rabbinique, il tenta de les rompre, en un geste de défense de la liberté de pensée et d’indépendance, ce qui lui valut l’excommunication fulminante que prononça contre lui le Tribunal rabbinique d’Amsterdam, présidé ni plus ni moins que par le Grand Rabbin de cette Communauté, qui se disait son meilleur ami.

Le cérémonial de ce procès nous est conté en la forme suivante : « Enfin arriva le jour de l’excommunication et une énorme foule se réunit pour assister à cet acte lugubre. Il commença par l’allumage, en silence et cérémonieusement, d’une série de cierges noirs et par l’ouverture de l’Arche sainte contenant les livres de la Loi mosaïque. Ainsi fut ravivé l’intérêt des croyants pour que la scène soit plus horrible. Le Grand Rabbin, ancien ami et précepteur, et maintenant le plus cruel adversaire de l’accusé, dut exécuter la sentence. Il demeura debout, saisi par la douleur, mais inflexible.

Le peuple l’observait avec la plus grande attention. D’en-haut, d’une voix mélancolique, le chanteur entonnait les paroles d’exécration, tandis que, venant d’un autre côté se mêlaient à ces malédictions les notes aiguës d’une trompette. Et les cierges noirs s’inclinaient répandant leur cire goutte à goutte dans un grand récipient rempli de sang » (Lewes, Historia biografica de la filosofia). La formule de condamnation suivante fut prononcée :

« Par décret des anges et des saints, nous t’excommunions, Baruch Spinoza, nous te maudissons et nous t’expulsons, avec l’accord des Anciens et de cette sacrée Communauté, en présence des Livres Saints : par les 613 préceptes qu’ils comportent, par l’anathème par lequel Josué maudit Jéricho, par la malédiction que prononça Elie contre les petits et par toutes les excommunications écrites dans les livres. Maudit sois-tu, de jour et de nuit ; maudit éveillé et maudit dans tes songes ; maudit en entrant et en sortant. Que le Seigneur ne te pardonne pas. Que la fureur et la colère divine s’allument dorénavant contre cet homme et lui imposent toutes les malédictions inscrites dans les livres de la Loi. Que le Seigneur efface son nom sous le soleil, et qu’il l’expulse pour son crime de toutes les tribus d’Israël, avec toutes les malédictions inscrites dans les livres de la Loi. Et nous ordonnons que personne ne lui rende aucun service, ni habite avec lui sous le même toit, ni qu’il s’approche à moins de quatre coudées, ni qu’il lise aucun écrit rédigé par lui ». (Pollock, Vida de Spinoza)

« Une fois proférées ces pompeuses paroles, tous les cierges allumés furent noyés dans le sang et de toutes les gorges jaillit un cri furieux de haine et de malédiction. Et dans les épaisses ténèbres, sous de solennelles exécrations, tous clamèrent : Amen, Amen ! » (J.K. Hosmer, Los Judios).

Dans les Encyclopédies juives modernes, qui disent la vérité dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des cas, comme elles sont à portée de tous dans les Bibliothèques publiques, dans certains cas où les Juifs désirent garder le secret, comme celui de la paternité du judaïsme et du communisme, et en beaucoup d’autres cas, lesdites encyclopédies oublient ou passent sous silence certains faits, jusqu’à dire des mensonges pour désorienter le lecteur « gentil », les chefs des Communautés juives, donnent aux israélites qui ont reçu la permission de leurs chefs de lire certaine Encyclopédie, un livre, également présenté par ordre alphabétique, disant par exemple : « Jewish Encyclopedia tome II, page x ; mot x : « Dit » (suit le texte de ce qu’ils disent) et indiquant ensuite « lire » (et suit le texte respectif). Ces brochures écrites en clé de code connue par celui qui va les utiliser, doivent être rendus après utilisation. [...]


Un Etat dans l’Etat

Comme le lecteur pourra le constater, la discipline de fer qui règne dans le Judaïsme est pire que celle de l’armée. Et si dans l’armée un soldat ne peut se rebeller avec succès contre ses supérieurs et doit leur obéir, à plus forte raison un individu juif ne peut se rebeller avec succès contre sa Communauté ni contre les chefs qui la dirigent. Et devant les peines terribles réprimant les désobéissances, tous les Juifs se soumettent. Tous les actes qu’ils effectuent dans les nations qu’ils ont envahies, qu’il s’agisse de leur activité politique, militaire, policière, scientifique, culturelle, syndicale, et en général tous les actes de leur vie publique, obéissent aux ordres reçus de leurs chefs juifs, de sorte que les Communautés juives, publiques ou clandestines, se convertissent en un Etat dans l’Etat.

Jean Boyer.

PDF gratuit, LE LIVRE DU KAHAL, de Jacob Alexandrovitch Brafman.

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BONUS


De nos jours, en Russie et dans d'autres pays, le massacre du Tsar et sa famille en 1918 (ainsi que la mort de millions de Russes orthodoxes) est attribué aux judéo-bolcheviques.





de Jean Boyer


Cet ouvrage expose les ''Grands Secrets'' de la subversion et des révolutions qui ont renversé les gouvernements patriotes civils ou militaires ayant surgi à travers le monde afin d'empêcher que leurs pays ne tombent dans l'anarchie, le chaos ou l'esclavage totalitaire collectiviste (dissimulés sous le masque du socialisme ou du communisme). 

L'exposé de ces ''Grands Secrets'' donnera à ces gouvernements patriotes et à leurs chefs militaires et policiers, ainsi qu'aux peuples menacés par cette grande fraude, la connaissance profonde des tactiques occultes qu'emploie le ''Super Secret Révolutionnaire'', pour renverser ces régimes, ainsi que de l'aide mondiale sur laquelle comptent les agents de la subversion et de la révolution.

Après lecture des ''Pires Ennemis de nos Peuples'', il apparaît évident que tout gouvernement doit s'efforcer de convaincre son peuple de la tromperie qu'emploient les promoteurs de la subversion du terrorisme et des révolutions, lesquels, en se posant comme rédempteurs du peuple, mentent effrontément. 

Il était nécessaire de produire cette étude, résumée mais profonde, sur la ''tête'' qui a dirigé de façon occulte la quasi-totalité des révolutions de ces derniers siècles. Cette ''tête secrète'' a été dénoncée dans des centaines de textes, beaucoup d'entre eux sont mentionnés dans ce livre, comme documents probatoires, sur lesquels repose ce travail.




Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...