vendredi, septembre 21, 2018

Invitée en France, Ahed Tamimi témoigne



Ahed Tamimi, l'icône de la résistance palestinienne, et sa famille étaient à la fête de l’Humanité où ils ont témoigné de la violence de l’occupation israélienne et de l'engagement de la jeunesse de Palestine.

Suite à l'invitation de l’Association France Palestine Solidarité, ils se sont rendus dans trois villes de France :



A Nantes, le 18 septembre 2018

A Grenoble (Échirolles), le 20 Septembre 2018

A Nancy (Tomblaine), le 21 septembre 2018




Mon refus d’être juif

(J’ai même souvent honte d’Israël, notamment lorsque je vois la cruelle colonisation militaire dont sont victimes des faibles, sans défense, qui ne font pas partie du « peuple élu ».)


par Shlomo Sand


Au cours de la première moitié du XXe siècle, mon père a abandonné l’école talmudique, n’a plus remis les pieds à la synagogue et a depuis lors exprimé son aversion pour les rabbins. 

En ce début de XXIe siècle, je me sens à mon tour dans l’obligation morale de rompre définitivement avec ce judéocentrisme tribal. Je suis pleinement conscient de n’avoir jamais véritablement été un juif laïc, sachant qu’un tel sujet imaginaire est dépourvu d’assise et d’horizon culturels et que son existence se fonde sur une vision creuse et ethnocentrique du monde. Je me suis trompé à l’époque, lorsque je croyais que la culture yiddish dans laquelle j’ai grandi était l’incarnation de la culture juive. En compagnie de Bernard Lazare, Mordechaï Anielewicz, Marcel Rayman et Marek Edelman, je me suis longtemps identifié comme partie prenante d’une minorité opprimée et rejetée. Je me suis obstiné à être juif avec Léon Blum, Julian Tuwim et bien d’autres qui avaient accepté d’endosser cette identité à cause des persécutions et des bourreaux, du crime et des assassinés.

Supportant mal que les lois israéliennes m’imposent l’appartenance à une ethnie fictive, supportant encore plus mal d’apparaître auprès du reste du monde comme membre d’un club d’élus, je souhaite démissionner et cesser de me considérer comme juif.

Bien que l’État d’Israël ne soit pas disposé à transformer la mention de ma nationalité de « juif » en « Israélien », j’ose espérer qu’aussi bien des gentils philosémites que des sionistes engagés et des antisionistes exaltés, souvent nourris de conceptions essentialistes, respecteront ma volonté et cesseront de me cataloguer comme juif. En vérité, ce qu’ils pensent m’importe peu, et pas davantage ce que pense le reliquat d’idiots antisémites. À la lumière des histoires tragiques du XXe siècle, je suis déterminé à ne plus faire bande à part dans un club de prestige réservé auquel d’autres hommes n’ont ni possibilité ni vocation de se joindre.

Par mon refus d’être juif, je représente une espèce en voie de disparition. En insistant sur le fait que seul mon passé historique était juif, que mon présent quotidien est israélien, pour le meilleur et pour le pire, et qu’enfin mon futur et celui de mes enfants, tel qu’en tout cas je le souhaite, doit être guidé par des principes universels, ouverts et généreux, je sais que je vais à l’encontre des modes dominantes orientées vers l’ethnocentrisme.

En tant qu’historien des temps modernes, j’émets l’hypothèse que la distance culturelle entre mon arrière-petit-fils et moi sera égale, voire supérieure, à celle qui me sépare de mon arrière-grand-père. Tant mieux ! Je vis, malheureusement, parmi trop de gens qui croient que leurs descendants leur ressembleront en tout point parce que pour eux les peuples sont éternels, et a fortiori un peuple-race comme leur peuple juif.

J’ai conscience de vivre dans l’une des sociétés les plus racistes du monde occidental. Le racisme est bien sûr omniprésent, mais en Israël on le trouve dans l’esprit des lois, on l’enseigne dans les écoles, il est diffusé dans les médias. Surtout, c’est là le plus terrible, les racistes ne savent pas qu’ils le sont et de ce fait ne se sentent nullement obligés de s’excuser. En conséquence Israël est devenu une référence particulièrement prisée par une majorité de mouvements d’extrême droite dans le monde dont jadis l’antisémitisme était bien connu.

Vivre dans une telle société m’est devenu insupportable mais, je l’avoue, il ne m’est pas moins difficile d’habiter ailleurs. Je fais partie du produit culturel, linguistique et même mental de l’entreprise sioniste, et je ne peux m’en défaire. Par ma vie quotidienne et ma culture de base, je suis un Israélien. Je n’en éprouve pas de fierté, pas plus qu’à être un homme aux yeux bruns et de taille moyenne. J’ai même souvent honte d’Israël, notamment lorsque je vois la cruelle colonisation militaire dont sont victimes des faibles, sans défense, qui ne font pas partie du « peuple élu ».


par Shlomo Sand


Quand le peuple juif fut-il créé ? Est-ce il y a quatre mille ans, ou bien sous la plume d'historiens juifs du XIXe siècle qui ont reconstitué rétrospectivement un peuple imaginé afin de façonner une nation future ?

Dans le sillage de la " contre-histoire " née en Israël dans les années 1990, Shlomo Sand nous entraîne dans une plongée à travers l'histoire " de longue durée " des juifs.

Les habitants de la Judée furent-ils exilés après la destruction du Second Temple, en l'an 70 de l'ère chrétienne, ou bien s'agit-il d'un mythe chrétien qui aurait infiltré la tradition juive ?

L'auteur montre comment, à partir du XIXe siècle, le temps biblique a commencé à être considéré par les premiers sionistes comme le temps historique, celui de la naissance d'une nation. Ce détour par le passé conduit l'historien à un questionnement beaucoup plus contemporain : à l'heure où certains biologistes israéliens cherchent encore à démontrer que les juifs forment un peuple doté d'un ADN spécifique, que cache aujourd'hui le concept d'" État juif ", et pourquoi cette entité n'a-t-elle pas réussi jusqu'à maintenant à se constituer en une république appartenant à l'ensemble de ses citoyens, quelle que soit leur religion ?

En dénonçant cette dérogation profonde au principe sur lequel se fonde toute démocratie moderne, Shlomo Sand délaisse le débat historiographique pour proposer une critique de la politique identitaire de son pays.



mercredi, septembre 19, 2018

L’hiver d’un monde


La contrefaçon du spirituel à la fin des temps.



L’hiver d’un monde


par Pierre-Yves Lenoble



En langage guénonien, on peut avancer que la Gauche est comparable à l’ « Anti-Tradition », alors que la Droite équivaut à la « Pseudo-Tradition ».

Qu’est-ce exactement qu’avoir une « bonne mort » ? : c’est parvenir à dématérialiser sa partie matérielle et à matérialiser sa partie immatérielle.

À bien des égards, il n’est pas impossible que l’humanité est en train de vivre une période post-apocalyptique : en effet, toutes les eschatologies traditionnelles affirment qu’à la fin des temps les hommes seront gourmands et pleins d’envies, en revanche aucune n’a prédit la surconsommation et l’obésité ; elles déclarent que la luxure et la dépravation des mœurs se répandront en masse mais aucune ne parle d’industrie du porno, de millions et de millions d’IVG ou de drag-queens éduquant les enfants ; elles évoquent les dissensions familiales et la division sociale, aucune n’avait prévu le féminisme, le transgenre ou la GPA/PMA ; toutes annoncent des calamités naturelles en tout genre, aucune n’a prédit la géo-ingénierie et les chemtrails ; toutes nous disent qu’il y aura des guerres destructrices partout sur terre, aucune ne fait mention d’attentats sous faux drapeaux ou de soft-power…

Corruption généralisée à tous les échelons de l’appareil étatique, hommes politiques soumis à des intérêts étrangers, conflits inter-ethniques, décadence culturelle et intellectuelle, flicage des populations, paupérisme et formation de bidonvilles, développement d’églises évangélistes et du wahhabisme, réseaux pédocriminels, attrait croissant pour le foot et la télé-poubelle, influence grandissante des ONG, bref, à la vue de tous ces signes des temps, il apparaît clair que la France va bientôt devenir un pays du Tiers-monde.

Les petits soldats de la sacro-sainte « liberté d’expression » autoriseraient-ils Voltaire à écrire cela en 2018 ? : « Vous prétendez que vos mères n’ont pas couché avec des boucs, ni vos pères avec des chèvres. Mais dites-moi, messieurs, pourquoi vous êtes le seul peuple de la terre à qui les lois aient jamais fait une pareille défense (Lévitique 17, 7 et 20, 15) ? Un législateur se serait-il jamais avisé de promulguer cette loi bizarre, si le délit n’avait pas été commun ? » (Dictionnaire Philosophique, Édition du journal Le Siècle, 1867, p. 497).

Chaque découverte scientifique chasse l’autre dans l’oubli et chacune est un coup de grâce à la pensée matérialiste et progressiste : il n’y a qu’une seule vérité, immuable car de nature toute spirituelle, il n’y en a pas trente-six.

Aucune civilisation n’a survécu à la perte de sa sacralité révélée. Notre société mondialisée n’est qu’une parodie de civilisation, un amas humain acculturé se cherchant en vain des sacralités artificielles.

L’homme inférieur préfère avoir tort avec la masse qu’avoir raison avec la minorité. L’homme supérieur préfère la liberté de penser et la quête de vérité à toute représentation sociale… et même à sa propre mort.

Les formes externes que revêtent les êtres sont transitoires, seules les formes internes qui les soutiennent sont éternelles.

Le destin des civilisations ressemble par analogie au déroulement annuel des quatre saisons : 

1) Printemps : la civilisation bourgeonne à partir d’une sacralité collective révélée et autour d’une autorité spirituelle légitime, porteuse d’une vision du monde unicitaire, qui organise pas à pas l’ensemble du corps social ; 

2) Été : le groupe, notamment et surtout les élites temporelles, est totalement soumis aux représentants du Sacré, toute la société est ordonnée, hiérarchisée et atteint un apex civilisationnel (cela se concrétise par de grandioses productions intellectuelles, architecturales et artistiques en tant que fruits culturels) ; 

3) Automne : les élites profanes (noblesse et bourgeoisie) se révoltent contre l’autorité sacrale de leur cléricature, s’auto-divinisent illégitimement, remettent en cause les anciens piliers traditionnels et changent toute la tournure d’esprit générale (arrivée de nouveaux cultes, les pensées et les croyances se rationalisent, fractures diverses au sein de la société) : la décadence s’enclenche inexorablement ; 

4) Hiver : c’est l’ère terminale des foules et des masses indistinctes (mélangées spirituellement, culturellement et ethniquement) voyant la profanation, la solidification et la mort lente de tous les aspects de la société, c’est le « règne de la quantité », la « fin de l’histoire »…

Source :

mardi, septembre 18, 2018

Réouverture du National Solar Observatory, mais on ne nous dit pas tout !


Le National Solar Observatory (NSO) au Nouveau-Mexique est rouvert à compter de ce lundi 17 septembre. 

L'Association des universités pour la recherche en astronomie (AURA) a expliqué dans un communiqué que l'observatoire avait été fermé depuis le 6 septembre en raison d'une enquête visant à mettre fin à des activités criminelles dans la région.

"L'AURA a collaboré dans une enquête criminelle au Sacramento Peak. Durant cette période, nous avons eu peur qu'un suspect puisse représenter une menace pour les employés et les civils. C'est pour cette raison que l'AURA a évacué provisoirement les employés", apprend-on du message diffusé par l'AURA. (fr.sputniknews.com)

Le National Solar Observatory (NSO) avait été évacué le jeudi 6 septembre par des agents du FBI sans que les causes de cette décision soient communiquées. Le mutisme des autorités engendra de nombreuses spéculations de la part des internautes : vaisseaux spatiaux se dirigeant vers la terre, flash solaire apocalyptique, planète X...

La planète X

Au milieu du XXe siècle, un lama tibétain révèle l'existence de la planète X.

Au Tibet, "en 1959, écrit Peter Kolosimo, une mission russe erre de monastère en monastère (le récit de cette aventure sera fait par un Scandinave durant un congrès d’astronautique tenu à Moscou), cherchant dans le pays le plus secret du monde une voie qui la conduirait aux étoiles.

Le voyage est plein de difficultés : deux hommes de l’expédition sont blessés en tombant dans une crevasse ; trois autres, exténués, sont obligés de se faire hospitaliser dans un village. Pourtant, la ténacité reçoit sa récompense : dans une lamaserie située non loin du sanctuaire de Galjan, les explorateurs arrivent à obtenir d’être reçus par un vieux sage, astronome étonnamment au courant des problèmes de l’astronautique.

Ce lama ayant admis pouvoir – suivant certaines circonstances – entrer en contact avec les habitants d’une autre planète, les Russes lui demandent de leur permettre d’assister à ce genre d’expérience. Après s’être fait beaucoup prier, le vieillard finit par consentir à condition que seuls deux étrangers participent à la séance.

Après quelques jours de repos, les hommes choisis sont appelés à suivre une série d’exercices de concentration accompagnés de gymnastique yoga et d’un régime alimentaire particulier.

Puis, enfin, le grand jour arrive dans la pauvre cellule du lama. Le moine tient les étrangers par la main. Ils se concentrent comme on le leur a enseigné. Un instrument de musique scande à intervalles réguliers des sons assourdis jusqu’au moment où ils s’arrêtent brusquement. Le silence règne.

Une image provenant des profondeurs de l’espace prend consistance ; d’abord floue, elle devient de plus en plus claire. Un être extrêmement étrange regarde fixement le trio. Son corps a des apparences humaine, mais son visage est indescriptible, et ses membres sont ceux des arthropodes. Il se tient debout et immobile tandis qu’autour de lui tourne une miniature du Système solaire. Autour d’une grosse boule brillante se meuvent Mercure, Vénus, la Terre, Mars…

Les Russes regardent ces sphères, les identifient et les comptent… ils en compte dix… plus loin que Pluton, un autre globe tourne autour du Soleil.

D’où viennent ces images ? Le moine, têtu, ne veut répondre à aucune question. Il ne se montre un peu plus loquace que sur un point : au delà de Pluton, il existe effectivement une autre planète (ou un satellite de Neptune sorti de son orbite) qu’on découvrira dans peu de temps.

L’expérience a été intéressante mais, dans le fond, infructueuse. Voici ce qu’en dit un des hommes qui prirent part à la séance à côté du lama : « Ni moi ni mon camarade ne saurons jamais si cet être est apparu réellement devant nous ou si nous l’avons imaginé. Nous ne saurons jamais s’il a été projeté à travers le cosmos ou s’il dépendait de la volonté du Tibétain. Nous pouvons le décrire vaguement…, ce qui est vrai, c’est qu’il n’avait rien de réel ni de terrestre et il nous paraît impossible que l’imagination seule ait pu concevoir un personnage aussi étrange. »



Peter Kolosimo, Terre énigmatique.



dimanche, septembre 16, 2018

Tatiana agressée par des racailles d'origine arabe

Paris outragé, Paris  bidonvilisé, Paris insécurisé, mais Paris islamisé !


L’islamisation des banlieues françaises est totale ou presque


par Eric Zemmour


L’assimilation, l’intégration, la mise en conformité au sein de ces quartiers exigent désormais d’être un musulman comme les autres. L’islam est l’horizon identitaire indépassable de ces populations. Un islam bricolé, un islam mythifié, un islam simplifié par internet peut-être, mais un islam qui aspire à devenir leur identifiant politique. 

En 2007, déjà, certains ont évoqué des « émeutes de ramadan », mais les militants islamistes n’y avaient pris aucune part. La vie de ces derniers dans les banlieues françaises est rythmée par les relations ambivalentes qu’ils entretiennent avec les caïds de la drogue, à la fois complices – les trafiquants n’hésitent jamais à alimenter la cause tandis que certains dignitaires religieux pardonnent les exactions commises à l’encontre des « infidèles » – et tendues lorsque la morale islamique contredit les nécessités du business. Les caïds sont les patrons de nombreuses cités, ils déterminent la loi et l’appliquent aux contrevenants (y compris par condamnation à mort), et se substituent aux services publics et à l’action sociale, tandis que l’islam sculpte le paysage, mental et moral, mais aussi vestimentaire, sexuel, commercial. 

Trappes a bénéficié du plan Borloo de rénovation urbaine pour un montant de 350 millions d’euros. Les barres HLM ont été abattues ; des immeubles pimpants de trois étages et des rues arborées les ont remplacés. Le chômage y est important (17 % de la population), mais moins que dans la commune voisine de Chanteloup-les-Vignes (25 %). En 2011, Trappes a reçu le premier prix des villes fleuries. Mais la population est restée la même. Il y a quelques années encore, une troupe de théâtre local, dirigée avec un enthousiasme inaltérable par Alain Degois, dit « Papy », pouvait révéler un Jamel Debbouze, un Omar Sy, ou une Sophia Aram. Peu à peu, la mosquée fédère et rassemble la jeunesse de la ville. Trappes est aussi la preuve que la loi républicaine peine à s’appliquer dans des territoires où l’énorme majorité de la population n’accepte pas qu’elle soit en contradiction avec une loi religieuse qui la surplombe.


"La présence ostensible du salafisme – favorisée par l’accoutrement spécifique des adeptes – est un symptôme nouveau et fulgurant. Elle exprime une rupture en valeurs avec la société française, une volonté de la subvertir moralement et juridiquement qu’il serait illusoire de dissimuler et qui pose des questions essentielles."

La dernière étape – encore lointaine ? – sera-t-elle la fédération politique de ces mouvements spontanés et disparates ? Un an après l’alarme de Trappes, l’islam était assez enraciné et puissant pour envoyer des centaines de jeunes « français » se battre en Syrie au nom du djihad. Comme la pointe émergée d’un iceberg banlieusard grandi dans la haine du roman national français, en voie de lente sécession.

Eric Zemmour, Le suicide français.



Dans son dernier livre, Destin français, Eric Zemmour fait l'inventaire de ce qui a conduit le pays au déclin : l'immigration, l'antiracisme, la gauche, la mondialisation, l'effacement de la nation…



vendredi, septembre 14, 2018

Le Dalaï-lama est favorable au retour des réfugiés chez eux

Le vent est-il en train de tourner ? Face à la montée des populismes, un objectif de l'empire, le remplacement des peuples par des millions de réfugiés déracinés socialement et culturellement, va-t-il échouer ? (Voir : La Kabbale et la fin des Etats-nations)



Migrants : pour le Dalaï-lama, "l’Europe appartient aux Européens"


Le Dalaï-Lama a déclaré mercredi (12 Septembre 2018) à Malmø en Suède que « l’Europe appartient aux Européens » et qu’à terme il était souhaitable que les réfugiés retournent chez eux « pour reconstruire leur propre pays ».

S’exprimant à une conférence dans la troisième plus importante ville suédoise, qui abrite une importante population d’immigrés, le Dalaï-Lama, prix Nobel de la paix 1989, a souligné que l’Europe était « moralement responsable » lorsqu’il s’agit d’aider « un réfugié dont la vie est réellement en danger ».



"Recevez-les, aidez-les, éduquez-les…"

"Recevez-les, aidez-les, éduquez-les… Mais à terme, ils doivent développer leur propre pays", a déclaré le chef spirituel du bouddhisme tibétain qui a fui en 1959 le Tibet pour s’exiler en Inde, à la suite de la répression par les autorités communistes chinoises d’un soulèvement tibétain.

"Je pense que l’Europe appartient aux Européens", a ajouté le Dalaï-Lama, 83 ans, estimant que ces derniers devraient faire comprendre aux réfugiés qu’à terme "ils devraient reconstruire leur propre pays".

Le Dalaï-Lama est considéré par ses nombreux partisans comme un maître à penser comparable au Mahatma Gandhi ou à Martin Luther King.


Source : LeParisien

mercredi, septembre 12, 2018

MK-Monarch et contre-initiation

Apprenez à voir #1


MK-Monarch et contre-initiation


Alexandre Lebreton


(...) traumatismes, dissociation, sorties astrales, expériences paranormales et pouvoirs psychiques vont main dans la main, l’un déclenchant les autres, bien ce ne soit pas systématique. Ce lien entre traumatismes / dissociation et connexion avec d’autres dimensions est un point clé dans la programmation mentale de type MK-Monarch. 


Programmation occulte

Lors des abus rituels, il s’agit de ‘‘déverrouiller’’ l’enfant pour l’initier et ainsi le sacraliser aux yeux du culte luciférien. L’aspect spirituel et métaphysique de la programmation est tout aussi important, et même certainement plus important que l’aspect purement scientifique (neurologique et psychiatrique). En effet, la connexion reliant les membres de ce culte/réseau mondial au monde des esprits est indispensable pour mener à bien le projet de domination ici-bas. 

Connexion avec les forces de l'inframonde

D’une manière systématique, la descendance chargée de mener à son terme l’Ordre mondial doit donc être d’un côté spirituellement connectée aux milices lucifériennes tout en étant psychologiquement et physiquement rattachée au réseau terrestre (familles et réseaux de pouvoirs, sociétés secrètes). Un réseau terrestre bien incarné dans le monde matériel et accomplissant donc un plan établit depuis d’autres sphères : la rébellion luciférienne continuant son accomplissement sur terre… Sans ce protocole de fractionnement systématique des enfants dans ces lignées de sang et plus globalement dans tous ces cultes lucifériens, la connexion aux autres dimensions et la ‘‘racine de la violence’’ ne pourrait pas se transmettre d’une génération à l’autre et le culte de l’horreur ne pourrait certainement pas subsister durant les siècles. La dissociation profonde provoquée par les traumatismes, que l’on peut qualifier comme un violent ‘‘déverrouillage spirituel’’ (un véritable viol spirituel), pratiqué de manière systématique sur l’équipe au sol produit donc des médiums recevant l’illumination et la connexion au porteur de lumière : Lucifer. Ces individus totalement fractionnés et multiples possèdent donc certaines personnalités alter connectées et liées au royaume spirituel de Satan. C’est ce que décrit le pasteur Tom Hawkins lorsqu’il écrit que des personnalités dissociées peuvent être entraînées lors des traumatismes à entrer dans des états de transe qui vont les connecter au ‘‘deuxième ciel’’, au ‘‘royaume de l’air’’ dont Satan est le prince. Ces fragments de personnalités sont liés et retenus captifs dans ce royaume et ils sont utilisés pour appliquer ici-bas le plan mondial de Satan.


Les contre-initiés, maîtres d'œuvre du nouvel ordre mondial

Satan aurait donc un plan établi pour régner sur terre et il utiliserait certains humains (lui vouant un culte) comme catalyseurs pour mettre en place son projet terrestre, des humains passés par la contre-initiation, une inversion de la sanctification aboutissant à des pouvoirs et des connexions d’ordre surnaturel… Il est intéressant de noter ici que la franc-maçonnerie se réfère également à de mystérieuses entités d’une autre dimension qui inspirent (pour ne pas dire qu’elles dictent) ses propres actions pour la mise en place de l’Ordre mondial. 

Les entités selon l'occultiste pédophile Leadbeater

Le franc-maçon Charles Webster Leadbeater (prêtre anglican et théosophe, lui-même accusé de pédomanie) a clairement écrit que la franc-maçonnerie établissait certaines connexions avec des
‘‘êtres resplendissants’’ de l’au-delà : ‘‘Lorsqu’un de ces esprits lumineux s’attache à nous par une cérémonie maçonnique, nous ne devons pas penser à lui en terme de dirigeant ou d’attendant, mais simplement comme un frère. Notre égocentrisme est tellement enraciné que lorsque nous entendons parler d’une telle association merveilleuse, notre première pensée, même inconsciemment, est de se demander ce que nous pourrions obtenir de cette relation. Que pourrions-nous apprendre de cet être resplendissant ? Va-t-il nous guider, nous conseiller, nous protéger ? Ou bien au contraire, est-il un serviteur que nous pouvons utiliser pour notre propre volonté ?


Les Supérieurs Inconnus des loges

Le franc-maçon Oswald Wirth évoque également cela d’une manière explicite lorsqu’il écrit que les Maîtres - car ainsi les désignent les Initiés - s’enveloppent dans un mystère impénétrable ; ils restent invisibles derrière l’épais rideau qui nous sépare de l’au-delà… Ils ne travaillent plus que sur la planche à tracer, c’est à dire intellectuellement, en concevant ce qui doit se construire. Ce sont les intelligences constructives du Monde, puissances effectives pour les Initiés qui entrent en rapport avec les Supérieurs Inconnus de la tradition.

Voici donc un franc-maçon qui déclare clairement que des Maîtres venant de l’au-delà, dictent aux Supérieurs Inconnus des arrières loges maçonniques, comment construire le monde, car ce sont selon ses termes les intelligences constructives du Monde…

La croyance que l’humain peut entrer en contact et être utilisé et manipulé par des entités dites ‘‘supérieures’’ dans un but spécifique n’est pas quelque chose de nouveau. En effet, l’humain peut servir d’outil pour des forces qui relèvent d’une autre dimension. [...]


Enfants soumis aux rites contre-initiatiques

Le processus des abus rituels traumatiques visant à ‘‘initier’’, ‘‘sacraliser’’ et ‘‘baptiser’’ des enfants n’est ni plus ni moins qu’une inversion de la sanctification, une contre-initiation ou contre-révélation, visant à établir un règne luciférien d’ordre surnaturel. Lucifer étant considéré par ces groupes comme le dieu civilisateur, apportant la connaissance et la lumière aux humains… [...]

Le phénomène de dissociation chez l’enfant, volontairement exploité par certains groupes, est une connaissance occulte, la pierre angulaire du secret et du pouvoir ; cela d’une manière internationale, que ce soit dans le domaine politique, militaire, religieux ou mafieux. Les initiés connaissent très bien l’importance que ces états modifiés de conscience peuvent avoir pour le contrôle mental d’un individu. La programmation MK ne consiste donc pas simplement à créer une esclave sexuelle, une super-starlette ou un assassin, c’est avant tout un outil essentiel de contrôle politique global.

Esclaves MK

Fritz Springmeier décrit sans détour l’étendu de ce fléau dans notre monde moderne, une déclaration qui semble à première vue alarmante mais qui au final se trouve être plutôt éclairante pour comprendre certains rouages (et certains blocages) de notre société moderne :

‘‘Le contrôle mental consiste à infiltrer et à contrôler la société de derrière la scène. Il faut intégrer cela si l’on veut contrôler une institution comme le lobby médical par exemple. Vous devez placer des gens sûrs à des postes clés parce qu’un maillon faible dans la chaîne finira toujours par lâcher. Vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir des maillons faibles. Si vous souhaitez contrôler un lobby très puissant tel que le système médical, alors vous devez contrôler un très large spectre d’éléments comme le système hospitalier, les facultés de médecine, l’Ordre des médecins, etc. Tout cela exige que des esclaves MK soient disposés à tous les niveaux du système, à tous les points stratégiques. Vous ne pouvez pas avoir de maillons faibles. Par exemple, une filière de médecins indépendants qui pratiqueraient une médecine parallèle; il vous faut alors contrôler le système judiciaire pour pouvoir faire condamner ces médecins ‘‘hors normes’’. Il faut mettre en place un vaste appareil occulte. Si l’on ne comprend pas les tenants et les aboutissants de la programmation mentale, on ne peut pas comprendre comment il est possible de disposer d’un tel type de contrôle global sur la société.’’

Pions humains et démocratie de façade

Comme déjà cité en avant-propos, le célèbre pirate informatique Kevin Mitnick a déclaré : ‘‘Le maillon faible dans tout système de sécurité réside dans le facteur humain.’’ Pour pouvoir sécuriser un système de domination à l’échelle mondiale, il est donc impératif de mettre en place un piratage de l’esprit des pions humains placés aux postes stratégiques derrière les façades démocratiques.

Véritable objectif de l'abus rituel sur les enfants

Nous pouvons rappeler ici les déclarations du Dr. Catherine Gould en 1994 dans le documentaire ‘‘In Satan’s Name’’ (Au Nom de Satan) : 

‘‘Il y a certainement des banquiers, des psychologues, des gens des médias, nous avons aussi entendu parler des services de protection de l’enfance mais également d’officiers de police… car ils ont intérêt à être présents dans tous ces milieux socioprofessionnels… Lorsque j’ai commencé ce travail, je pensais que les motivations derrière la pédophilie se limitaient au sexe et à l’argent, mais j’ai commencé à réaliser au court de mes dix années de recherches que les motivations sont bien plus sinistres encore… Les enfants sont abusés dans un but d’endoctrinement. L’abus rituel sur les enfants est un protocole pour formater des humains à un culte. Il s’agit de formater des enfants qui ont tellement été abusés, tellement été soumis au contrôle mental qu’ils deviennent très utiles à la secte, à tous les niveaux… Je pense que le but de tout cela est d’obtenir le maximum de contrôle, que ce soit dans ce pays ou bien dans un autre.’’

Le Dr. Lawrence Pazder parle également d’une infiltration systématique : ‘‘Ils ont une apparence normale et mènent une vie tout aussi normale au premier abord. Ils sont présents dans toutes les couches de la société qu’ils ont soigneusement infiltrée. Toute position de pouvoir ou d’influence sur la société doit être considérée pour eux comme une cible pour l’infiltration. Les bourreaux ont de l’argent disponible, beaucoup ont des situations impeccables : docteurs, ministres, professions de tous types.’’

 Rôle contre-initiatique des arrières loges de haut degré

Pour établir une telle infiltration des institutions et des divers organismes, la franc-maçonnerie - dont la plupart des membres ignorent l’activité des arrières loges de haut degré - joue un rôle essentiel qui n’est plus à démontrer aujourd’hui. Le réseau maçonnique pratique une subversion systématique des valeurs traditionnelles chrétiennes au profit des valeurs illuministes et humanistes remplaçant Dieu par l’Homme ; autrement dit il s’agit de la doctrine luciférienne, la contre-révélation, ou contre-initiation, appliquée par la haute maçonnerie; mais aussi par d’autres sociétés secrètes initiatiques de type pyramidal formant toute la Grande Babylone : ‘‘la religion sans nom’’. [...]

Aspect occulte de l'abus rituel sur les enfants

Les enfants soumis aux tortures et aux viols, totalement dissociés et ouverts à d’autres dimensions, sont exploités comme des ponts reliant deux mondes et comme un réservoir de puissance démoniaque. Ils servent de médiums, des intermédiaires que le sorcier-bourreau va utiliser avec la magie sexuelle pour exploiter au maximum cette brèche spirituelle que représente l’enfant en état de dissociation. Il s’agit d’un véritable braquage spirituel, un viol à la fois physique, énergétique et spirituel.

La programmation MK basée sur le fractionnement de l’âme symbolise parfaitement l’apogée de la quête de l’homme luciférien voulant devenir lui-même un dieu créateur. En pratiquant ces horreurs, il crée des poupées humaines, des sortes de coquilles vides, des golem qu’il va pouvoir remplir et programmer selon ses propres désirs. Il manipule le monde intérieur de l’esclave comme il le veut, tout comme un petit dieu manipulant un humain robotisé, cela en jouant dans cette autre dimension qu’est l’espace-temps de l’univers intérieur de sa victime. Un univers qu’il aménage comme bon lui semble. 

Le programmateur, l'enfant "Monarch" et les démons

La création d’un golem est le but ultime des occultistes lucifériens, kabbalistes et satanistes de tous poils. Lucifer n’est pas un véritable créateur, il n’est pas le créateur du Ciel ni de la terre, c’est pourquoi il prend plaisir à créer chez les victimes un monde intérieur avec un ciel, une terre et un enfer de sa propre création. Il va aménager ce monde à sa manière avec une armée d’entités démoniaques qui vont coopérer avec le programmeur pour contrôler la victime. Ainsi une sorte de trinité satanique se met en place : le Père (le programmeur), le Fils (l’enfant ‘‘Monarch’’) et le Saint Esprit (les démons). Une obscure trinité qui va former l’ultime offense à Dieu : le sabotage, le détournement et l’exploitation de sa créature bien aimée, l’être humain.

Le sabotage de la conscience de l’homme pour le détourner de Dieu s’applique aujourd’hui autant sur les esclaves MK d’une manière la plus dure qu’il soit, que sur l’humanité dans sa globalité d’une manière plus diffuse mais tout aussi abjecte.

Sans ces outils que sont le contrôle mental basé sur le trouble dissociatif de l’identité, la drogue, l’hypnose, la psychotronique, etc, ces organisations occultes échoueraient dans leur plan de domination car elles seraient dans l’impossibilité de garder le secret sur leurs actes ignobles appliqués à une si grande échelle. Les sorciers-contrôleurs ont bien compris que cette méthode de contrôle mental qui utilise les traumatismes et la dissociation s’applique également à l’échelle de la société et que c’est quelque chose d’indispensable pour pouvoir gouverner ‘‘aisément et tranquillement’’. C’est ce que nous explique William Sargant lorsqu’il a écrit que les méthodes d’initiations religieuses se rapprochent souvent tellement des techniques politiques modernes de lavage de cerveau et de contrôle de la pensée que l’une jette la lumière sur les mécanismes de l’autre.


Ordo ab Chao

‘‘Ordo ab Chao’’, l’ordre naît du chaos, est la devise de la franc-maçonnerie mais c’est aussi le cœur des secrets alchimiques. Cette formule peut-être à la fois utilisée pour réaliser la perfection du côté du bien comme du côté du mal. Pour la plupart des francs-maçons, c’est avant tout une notion de développement personnel, un travail consistant à vaincre le monstre intérieur semeur de chaos, les forces obscures du mental et de l’ego, qu’il faut combattre et transcender pour retrouver l’Ordre Divin. En alchimie, les deux opérations les plus importantes sont ‘‘Dissoudre’’ (chaos) et ‘‘Coaguler’’ (ordo). La Dissolution signifie la décomposition des éléments, vient ensuite la Coagulation qui consiste à solidifier l’élément dissous dans un nouvel état, un nouvel ordre. Nous constatons aujourd’hui que cette formule maçonnique Ordo ab Chao, cette oeuvre alchimique de décomposition et de recomposition est appliquée consciencieusement dans les programmes de contrôle mental, qu’ils soient à l’échelle individuelle ou collective. Actuellement, l’Ordo ab Chao n’est pas appliqué dans une dynamique d’élévation spirituelle, mais dans une dynamique de contrôle total (bien que cette situation serve paradoxalement à créer une élévation spirituelle d’un petit nombre).


Dissociation sociale, terrorisme, effacement culturel, moral...

Le contrôle mental des masses passe par le déclenchement d’une ‘‘dissociation’’ (chaos social) où l’individu ne s’identifie plus à lui-même, il devient la société en elle-même (ex : les mouvements ‘‘Je suis Charlie’’ ou ‘‘Je suis Paris’’ suite à des actes de terrorisme). Cette dissociation sociale est provoquée par toute une série de déstabilisations de la société créant les conditions idéales pour instaurer un nouvel ordre, une nouvelle structure sociétale. C’est la théorie ‘‘tabula rasa’’ de Kurt Lewin, de Eric Trist et de bien d’autres…

Le lavage de cerveau d’un individu passe par l’effacement, la dissolution de sa personnalité originelle pour installer ensuite un nouveau système interne, il en est de même pour le peuple : détruire ses racines, ses valeurs, ses traditions, ses croyances, sa famille, jusqu’à sa notion d’homme ou de femme (théorie du gender), tout ceci afin d’obtenir une masse totalement dissociée/déconnectée, sans repères, infantilisée et malléable à souhait. Le but étant de pouvoir aisément construire un Nouvel Ordre Mondial. La devise qui consiste à créer du chaos pour pouvoir établir un nouvel ordre est appliquée [...] sur les sujets MK-Monarch qui auront fatalement besoin du programmeur pour pouvoir à nouveau fonctionner suite au chaos psychique volontairement créé chez eux par les traumatismes.

Cette formule, telle une fractale, nous la retrouvons à grande échelle dans le chaos sociétal actuel : pour pouvoir à nouveau fonctionner suite au chaos qui se dessine inéluctablement, la société (dans un stress post-traumatique généralisé) aura besoin des sorciers contrôleurs (les programmeurs de grande échelle) pour se rétablir et à nouveau fonctionner dans un Nouvel Ordre Mondial, avec une religion mondiale luciférienne.

(...) les codes de cette sous-culture luciférienne imprègnent peu à peu les masses populaires profanes psychologiquement canalisées vers ce Nouvel Ordre Mondial. Un nouvel ordre dans lequel les peuples et les cultures traditionnelles (l’ancien monde) se seront totalement dissous… Il s’agit de ‘‘l’oeuvre Babylonienne’’, une programmation mentale à l’échelle mondiale avec le transhumanisme à la clé. Le transhumanisme prônant l’usage des sciences et des technologies afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains, allant même jusqu’à considérer la vieillesse comme une maladie. [...]


Plan luciférien pluriséculaire

Lors des abus rituels, les enfants reçoivent la transmission de ‘‘l’initiation’’, la ‘‘Violence Initiale’’ qui les prépare à devenir eux-mêmes des adultes œuvrant pour le ‘‘côté obscur’’. Le projet luciférien s’étalant sur plusieurs siècles, donc sur plusieurs générations, le conditionnement et plus encore la programmation mentale des enfants de l’élite forment un protocole indispensable. La programmation à la loyauté, à la fidélité et à la loi du silence est la fondation pour contrôler ces enfants, destinés à perpétuer le projet mondialiste luciférien. Il s’agit d’obtenir une société dont les institutions et les diverses strates de contrôle se retrouvent verrouillées et tenues avec une main de fer par des individus au service de leurs démons intérieurs… Ces enfants dissociés et fractionnés dès le plus jeune âge ont un cerveau ‘‘recâblé’’ leur donnant certaines facultés intellectuelles et créatives, mais aussi un corps énergétique totalement ouvert au monde des esprits, à la médiumnité consciente ou non. Dans le luciférisme, le processus dissociatif est perçu comme un état d’illumination spirituelle, permettant l’accès à d’autres dimensions.

Enfants contre-initiés

Ces enfants reçoivent le pouvoir, la puissance et la lumière, ils deviennent des canaux utilisés par des anges déchus pour incarner et établir la doctrine luciférienne sur cette terre. Ainsi donc s’est mis en place petit à petit un monde gouverné indirectement par des entités existant sur un autre plan. Des entités qui ont besoin d’êtres humains bien incarnés en chair et en os pour agir ici-bas dans la matière. De la même manière que l’Esprit Saint s’infuse dans certains humains en état de grâce pour leur inspirer la sagesse, l’intelligence, la force, la charité, la foi, l’espérance… Une force antichristique, contre-initiatique, peut également s’infuser dans l’humain, plus particulièrement chez ceux ayant les portes grandes ouvertes depuis la petite enfance lors de leur ‘‘initiation’’ par les traumatismes extrêmes. Certains fragments de leurs âmes sont totalement liés et asservis au royaume déchu, au ‘‘Prince de ce monde’’. Ce processus n’est ni plus ni moins qu’une inversion de la sanctification. Ces lignées de sang lucifériennes, pieds et poings liés aux démons depuis des générations représentent l’infra-humain, résultant de cette contre-initiation.

Les abus rituels traumatiques, les sacrifices, la magie, la démonologie, la dissociation-possession-"illumination", le contrôle des fragments d’âme, mais aussi les sites servant aux cérémonies, avec une énergie tellurique particulière, toutes ces connaissances occultes sont les outils qui vont permettre la connexion avec ces entités déchues qui offrent à cette hiérarchie humaine luciférienne le pouvoir d’établir une domination passagère ici-bas.


Lignées contre-initiatiques


‘‘Ces lignées, détentrices d’un sang particulier hérité d’un ancien ‘‘pacte’’ avec les anges déchus, récréent ou réveillent à dessein des sociétés secrètes, des écoles, des sectes, par l’intermédiaire de certaines individualités spécialement préparées, que l’on pourrait considérer comme un genre particulier de ‘‘possédés’’ et chargées de pouvoirs nécessaires, toujours d’ordre psychique, bien entendu, qui leur permettent de provoquer pour une certaine période plus ou moins longue mais toujours limitées, des phénomènes qui constituent l’élément ‘‘catalyseur’’ autour duquel se créeront ces groupements.’’ ‘‘Mémoire du sang : contre-initiation, culte des ancêtres.’’ Alexandre de Dànann.



Alexandre de Dànann, "Mémoire du sang : contre-initiation, et privilèges de certains lignages". 


Il s'agit d'une approche christique et biblique de la contre-initiation venue de temps immémoriaux. René Guénon précise dans une de ses notes : « Le chapitre VI de la Genèse pourrait peut-être fournir, sous une forme symbolique, quelques indications se rapportant à ces origines lointaines de la contre-initiation ».


Après avoir laissé entrevoir les origines bibliques de la “contre-initiation” dans l’union des humains avec les anges déchus, l’auteur de cet essai veut en considérer les conséquences, même lointaines : d’une part, la naissance de lignages “spéciaux” dont le sang en garda longtemps la mémoire à l’aide de cultes tels que celui des ancêtres ; d’autre part, la transmission, par les anges rebelles, de certaines connaissances concernant le sang, au sens le plus large du mot. Ces lignages, qui refusèrent toujours le sens de la Rédemption et la doctrine du Christ, seraient ainsi les moyens d’opérer de la “contre-initiation” tout au long de l’histoire. Cependant au cours des siècles, la “mémoire du sang” en s’affaiblissant et en se brouillant, ces lignages brisèrent leur cadre pour proposer leurs connaissances visant à “déifier lucifériquement l’homme” à d’autres initiables. Il s’agissait alors de les intégrer, par des méthodes telles que le pacte de sang, certaines “palingénésies” réalisées à partir des os et des cendres, l’emploi de la semence humaine, le “mariage” avec les esprits élémentaires, etc. (Alexandre Lebreton)

lundi, septembre 10, 2018

11 Septembre, le coupable est celui à qui le crime profite


17 ans après, peut-on nier l'évidence ?

Laurent Guyénot 


L'empire américano-sioniste

Chez les analystes politiques critiques de ce qu’on peut nommer l’empire américano-sioniste, on trouve deux visions opposées de la relation entre les États-Unis et Israël. Pour certains, Israël est la tête de pont ou le gendarme des États-Unis au Moyen-Orient, voire une colonie américaine. Ce sont les États-Unis qui se servent d’Israël dans leur géopolitique hégémonique. C’est la vision de la gauche juive, représentée par Noam Chomsky. À mon avis, elle est fondamentalement malhonnête. Je pense qu’il n’y aujourd’hui aucune excuse pour ne pas voir que c’est en réalité Israël qui manipule les États-Unis. C’est le grand mérite des professeurs John Mearsheimer et Stephen Walt de l’avoir démontré dans leur livre Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, publié en 2007. La destruction de l’Irak, de la Libye et de la Syrie ne sont pas, et n’ont jamais été, dans l’intérêt des États-Unis. Bien sûr, il a fallu mobiliser certains intérêts américains pour entraîner les États-Unis dans ces aventures, mais fondamentalement, ces guerres ont été déclenchées dans l’intérêt d’Israël. Et cela a été possible parce que ce qu’on nomme l’État profond américain est aujourd’hui largement contrôlé par les néoconservateurs, qui sont, je le démontre dans mon livre, un réseau de crypto-sionistes machiavéliques.


La destruction des « sept nations » ennemies d’Israël


Je pense que la meilleure illustration de cette emprise d’Israël sur la politique étrangère américaine se trouve dans les déclarations faites par le président George W. Bush quelques jours après le 11 septembre 2001, ciblant sept nations. Ce chiffre de sept nations a été plusieurs fois repris depuis, par exemple par le général Wesley Clark, fils du rabbin Benjamin Jacob Kanne, qui donnait la liste suivante : « l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et pour finir l’Iran. » Or, tous les juifs savent ce que veulent dire les « sept nations » : ce sont les ennemis d’Israël voués à la destruction selon le Deutéronome (7 :1-2) et le Livre de Josué (24 :11). La destruction des « sept nations » ennemies d’Israël est un projet qui n’émane pas des vrais patriotes américains, mais des néoconservateurs, dont certains, je le rappelle, sont fils ou petit-fils de rabbins. Faut-il le rappeler, les néoconservateurs ne sont pas plus conservateurs que les « nouveaux chrétiens » du Moyen Âge n’étaient chrétiens : ils ont détourné le mouvement conservateur républicain, qui était traditionnellement isolationniste, pour le transformer en machine de guerre contre les ennemis d’Israël. [...]


Des agents d'Israël infiltrés dans le gouvernement US et dans la société civile américaine

Selon l’agent renégat Victor Ostrovsky (By Way of Deception, 1 990), le Mossad tire son efficacité de son réseau international de sayanim (« collaborateurs »), terme hébreu désignant des juifs vivant hors d’Israël et prêts à accomplir sur demande des actions illégales, sans nécessairement connaître leur finalité. Une opération de l’envergure du 11-Septembre nécessite la collaboration, non seulement d’un réseau infiltré dans le gouvernement, mais aussi de puissants collaborateurs dans la société civile.


Larry Silverstein, ami intime de Sharon et Netanyahou

Larry Silverstein, titulaire du bail des Tours jumelles depuis avril 2001, apparaît comme l’archétype de ces super-sayanim new yorkais. Il est membre dirigeant de la United Jewish Appeal Federation of Jewish Philanthropies of New York, le plus grand leveur de fonds américains pour Israël (après l’État américain, qui verse chaque année trois milliards d’aide à Israël). Silverstein était aussi, au moment des attentats, l’ami intime d’Ariel Sharon et de Benjamin Netanyahou ; il est en conversation téléphonique chaque dimanche avec ce dernier, selon le journal israélien Haaretz.

Le partenaire de Silverstein dans le bail du WTC pour le centre commercial du sous-sol était Frank Lowy, un autre « philanthrope » sioniste proche d’Ehud Barak et Ehud Olmert, et ancien membre de la Haganah. Le chef de la New York Port Authority, qui privatisa le WTC en concédant le bail à Silverstein et Lowy, était Lewis Eisenberg, également membre de la United Jewish Appeal Federation et ancien viceprésident de l’AIPAC.

Silverstein, Lowy et Eisenberg furent sans aucun doute 
trois hommes clés dans la planification des attentats contre les Tours jumelles. 

Un fils de rabbin, responsable de la Division criminelle du Département de la Justice en 2001, détruit de toutes les preuves concernant le 11-Septembre


Mais tout aussi crucial fut le rôle de ceux qui ont couvert les véritables criminels, au plus haut niveau des autorités policières et judiciaires. Au premier rang vient Michael Chertoff, qui dirigeait la Division criminelle du Département de la Justice en 2001 ; ce fils d’un rabbin orthodoxe et d’une pionnière du Mossad fut responsable de la rétention et destruction de toutes les preuves concernant le 11-Septembre, des caméras du Pentagone aux poutres du World Trade Center. C’est à lui également que les « espions » israéliens (y compris les « Israéliens dansants ») doivent leur discret rapatriement. En 2003, il est nommé à la tête du nouveau Department of Homeland Security chargé du contre-terrorisme sur le territoire américain, ce qui lui permet de contrôler la dissidence tout en continuant à restreindre l’accès au dossier du 11-Septembre à travers le programme Sensitive Security Information.

 Faire disparaître des indices avec les 70 000 tonnes d’acier du WTC  

Si une enquête impartiale était un jour ouverte, le maire de New York Rudolph Giuliani et son successeur à partir de janvier 2002, Michael Bloomberg, devraient aussi s’expliquer sur leur rôle dans la vente des 70 000 tonnes d’acier du WTC à Metals Management (dirigé par le sioniste Alan Ratner), pour recyclage en Chine et en Inde. Sur le banc des accusés devrait aussi comparaître le commissaire de police de la ville Bernard Kerik, aujourd’hui en prison pour fraude fiscale suite à un « prêt » de 250 000 dollars reçu de l’homme d’affaires israélien Eitan Wertheimer lors d’un « séjour d’observation » en Israël début septembre 2001.

Un autre richissime sioniste

Selon le rapport gouvernemental du NIST (National Institute for Standards and Technology), le Boeing qui s’encastra dans la Tour Nord « a fait une entaille de plus de la moitié de la largeur du bâtiment et qui s’étendait du 93e au 99e étage. Tous ces étages étaient occupés par Marsh & McLennan, une compagnie d’assurance internationale qui occupait également le 100e étage. » Le PDG de Marsh & McLennan est alors Jeffrey Greenberg, fils de Maurice Greenberg, richissime sioniste qui contribua massivement à la campagne de George W. Bush. 

Maurice Greenberg se trouve aussi être le propriétaire de Kroll Associates (renommée Kroll Inc. en août 2001), la compagnie en charge de la sécurité dans tout le complexe du World Trade Center. 

Les Greenberg étaient aussi les assureurs des Tours jumelles mais, le 24 juillet 2001, ils avaient pris la précaution de réassurer leur contrat auprès de concurrents, ce qui leur évita d’avoir à indemniser eux-mêmes Silverstein et Lowy. Et, comme le monde est petit, en novembre 2000, le conseil d’administration de Marsh & McLennan accueille en son sein Lewis Paul Bremer, celui-là même qui interviendra le 11 septembre 2001 sur le plateau de NBC – sans rien laisser transparaître de la peine que lui cause la mort de ses employés (295 seront officiellement dénombrés parmi les victimes).

Des complices dans les aéroports et les compagnies aériennes 

D’autres complicités devront être recherchées dans les aéroports et les compagnies aériennes impliquées dans les attentats, au minimum par de fausses informations. Les deux aéroports d’où sont prétendument partis les vols AA11, UA175 et UA93 (l’aéroport Logan à Boston et l’aéroport Newark Liberty près de New York) sous-traitaient leur sécurité à la compagnie International Consultants on Targeted Security (ICTS), une firme à capital israélien présidée par Menahem Atzmon, un des financiers du Likoud. 

Une société, couverture aux services secrets israéliens, quitte le WTC une semaine avant les attentats

Une enquête approfondie devrait aussi s’intéresser à Zim Israel Navigational, un géant du transport maritime détenu à 48 % par l’État hébreu (et connu pour servir occasionnellement de couverture aux services secrets israéliens), dont l’antenne américaine quitta ses bureaux du WTC avec ses 200 employés le 4 septembre 2001, une semaine avant les attentats – « comme par un acte de Dieu », commente le PDG Shaul Cohen-Mintz. Et, cela va sans dire, l’imposture massive du 11-Septembre n’aurait pas été possible sans un tamisage serré de la couverture médiatique, qui, comme chacun sait, est aujourd’hui entre les mains de directeurs et de rédacteurs ayant démontré leur indulgence sans limite envers les crimes d’Israël.

La messagerie israélienne Odigo prévient des attentats deux heures avant

D’autres aspects doivent être pris en considération. Dans son édition du 27 septembre 2001, le Washington Post rapporte que « des responsables de la société de messagerie instantanée Odigo ont confirmé aujourd’hui que deux employés ont reçu des messages les alertant sur une attaque du WTC deux heures avant que des terroristes n’écrasent des avions sur les points culminants de New York ». Le premier avion frappa les Tours jumelles comme annoncé, « presque à la minute près », a confirmé le vice-président d’Odigo, Alex Diamandis. Odigo est une firme israélienne rachetée peu après le 11-Septembre par Converse InfoSys, autre firme israélienne dont l’investigateur Carl Cameron révélera le rôle dans l’espionnage israélien : Converse InfoSys gère avec Amdocs (également israélienne) « pratiquement tous les aspects du système téléphonique américain », mais en plus « fournit aux agences américaines l’équipement et le software pour les écoutes téléphoniques » et, de surcroît, « travaille étroitement avec le gouvernement israélien ».


Malgré le nombre élevé d’Israéliens travaillant au WTC, un seul a péri dans les Tours jumelles

Les avertissements véhiculés par Odigo doivent être mis en perspective avec un autre aspect peu connu du 11- Septembre : au lendemain des attaques, le ministère de l’Intérieur d’Israël rapportait, par la voix du Jerusalem Post, que 4 000 Israéliens étaient manquants au WTC5. Lorsque le président George Bush s’exprima devant le Congrès le 20 septembre, il précisa que parmi les victimes de l’attentat se trouvaient 130 Israéliens. C’était un nombre relativement bas, étant donné la proportion d’Israéliens travaillant au WTC. Et cependant, il s’avéra encore très exagéré : en fin de compte, un seul Israélien a péri dans les Tours jumelles, selon le New York Times du 22 septembre.

Dénoncer l'amitié entre les Bush et les Saoud pour détourner d'Israël

Tous les faits accumulés dans ce chapitre donnent un sens nouveau aux propos du sénateur Bob Graham, le pseudo whistleblower de la Commission sur le 11-Septembre qui évoquait dans une interview à PBS en décembre 2002, « des preuves que des gouvernements étrangers ont contribué à faciliter les activités d’au moins certains des terroristes aux États-Unis ». Graham, bien sûr, voulait parler de l’Arabie saoudite. Pourquoi la famille Saoud aurait-elle aidé Oussama Ben Laden après l’avoir déchu de sa nationalité saoudienne et avoir mis sa tête à prix pour ses attentats sur leur sol ?

Réponse de Graham : « La menace de soulèvements sociaux contre la monarchie, sous la conduite d’Al-Qaïda. » Les Saoud auraient aidé Ben Laden sous sa menace de fomenter une révolution. Cette théorie ridicule (que Graham, à court d’argument, développa dans un roman) n’a qu’un seul but : détourner les soupçons loin du seul « gouvernement étranger » dont les liens avec les terroristes présumés sont démontrés : Israël. On sourit pareillement en lisant, dans le résumé du livre La Guerre d’Après (2 003) de l’anti-saoudien Laurent Murawiec, que « le pouvoir royal [saoudien] a réussi au fil des ans à infiltrer des agents d’influence au plus haut niveau de l’administration américaine et à organiser un efficace lobby intellectuel qui contrôle désormais plusieurs universités du pays parmi les plus prestigieuses ».

En affirmant en outre que la piste saoudienne a été étouffée en raison de l’amitié entre les Bush et les Saoud, Graham et ses amis néoconservateurs se servent de George W. Bush comme fusible. La stratégie paye, puisque le 9/11 Truth Movement renâcle à prononcer le nom d’Israël mais s’acharne contre le clan Bush – en exploitant à outrance, par exemple, le rôle joué dans la sécurité du WTC (jusqu’en 1998) par la société Securacom/Stratesec, que codirigea le frère du président Marvin Bush (jusqu’en juin 2000).

On reconnaît l’art de Machiavel : faire accomplir par un autre le sale boulot (la mise du Moyen-Orient à feu et à sang), puis diriger la vindicte populaire contre lui. Le jour où, sous la pression de l’opinion publique, les grands médias seront forcés d’abandonner la thèse officielle, le mouvement contestataire aura déjà été soigneusement infiltré, et le slogan « 9/11 is an inside job » aura préparé les esprits à un déchaînement contre Bush, Cheney et quelques autres, tandis que les néoconservateurs resteront judiciairement hors d’atteinte. Quant à l’implication d’Israël, si elle vient à s’ébruiter, elle sera euphémisée par la bonne vieille sophistique de Noam Chomsky, qui martèle sans relâche qu’Israël n’est que la tête de pont et le gendarme des États-Unis au Moyen-Orient. « America made me do it », pourra toujours plaider l’État hébreu.


Le rôle d'Aaron Russo : incriminer le milieu White Anglo-Saxon Protestant (WASP) pour préserver les banquiers juifs et les sionistes 

Signalons, pour sa valeur symbolique, une tentative réussie d’orienter le complotisme populaire vers l’élite affairiste WASP, symbolisée par le nom des Rockefeller – par opposition implicite à celui des Rothschild associé à la finance juive et au sionisme. Début 2007, six mois avant d’être emporté par un cancer, le producteur et réalisateur de cinéma Aaron Russo prétendait, dans une interview accordée à Alex Jones pour Infowars.com, que Nicholas Rockefeller lui avait annoncé les attentats du 11-Septembre et leurs conséquences détaillées onze mois à l’avance, en les attribuant à un complot de l’élite financière américaine pour établir un Nouvel Ordre Mondial fondé sur un asservissement globalisé. Nick Rockefeller, décédé avant l’interview de Russo, était une figure mineure et lointaine de la fameuse dynastie ; la probabilité qu’il ait eu connaissance d’un tel complot est dérisoire, et l’idée qu’il ait partagé cette connaissance avec un petit producteur hollywoodien est plus ridicule encore. Plus probablement, se sachant condamné, Russo se sera laissé convaincre de « faire quelque chose pour Israël » avant de quitter ce monde, prévoyant de surcroît que son décès augmenterait l’impact de sa rumeur complotiste.

Ce serait une erreur, cependant, d’accuser uniquement l’État profond israélien des attentats du 11-Septembre. Une opération aussi complexe, destinée à modifier le cours de l’histoire, implique nécessairement plusieurs réseaux puissants, dont les intérêts ne coïncident pas entièrement, et qui se tiennent otages les uns des autres. Il est impossible, à ce stade, de dire qui savait quoi et qui a fait quoi, mais il est facile d’imaginer que certains participants au complot (le clan Bush, par exemple) ont été manipulés par les vrais concepteurs, croyant autoriser une petite opération sous faux drapeau (deux avions virtuels et un missile au Pentagone) dans un but limité (le renversement du régime des Taliban dans l’intérêt du projet UNOCAL), pour s’apercevoir trop tard que les sionistes néoconservateurs avaient vu beaucoup plus grand, et se trouver embarqués malgré eux dans une machination géopolitique de portée mondiale. C’est ainsi que Bush II aurait été contraint, par le chantage, de cautionner l’invasion de l’Irak que son père avait refusée aux sionistes dix ans plus tôt.



L’arme du crime

La question des véritables coupables des attentats du 11- Septembre est intimement liée à celle de la technique employée pour détruire les Tours jumelles. C’est l’arme du crime qui, en général, conduit au criminel. La confirmation de l’usage d’explosifs au World Trade Center est venue en février 2009, lorsqu’une équipe internationale de neuf chimistes menée par les professeurs Niels Harrit de l’Université de Copenhague et Steven Earl Jones de l’Université Brigham Young (Utah) publièrent, après examen des échantillons de la poussière du WTC, un article dans la revue scientifique Open Chemical Physics Journal sous le titre « Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9-11 World Trade Center Catastrophe ». La nano-thermite (ou thermate) dont ils ont découvert la trace dans la poussière du WTC est un explosif de très haute température utilisé pour sectionner des poutres en acier dans les opérations de démolition contrôlée des structures d’acier. Le caractère scientifique de cette découverte a obligé les médias à en faire état, tout en minimisant son importance. Ainsi, dans l’émission C à vous du 2 décembre 2009 sur France 5, la nouvelle est commentée ainsi : « ça veut dire quoi ? ça change un peu la donne sur l’effondrement des deux tours.

Évidemment, il n’est pas question de remettre en cause les deux avions qui ont percuté les tours. Mais ça veut dire qu’il a peut-être été mis au préalable avant le choc des avions de l’explosif dans le WTC et que le choc des avions a fait s’effondrer [sic] et exploser la thermite. ça voudrait dire que la sécurité du WTC était peut-être beaucoup moins bonne que ce qu’on nous a laissé croire à l’époque. » Le message implicite et comme subliminal de cette répétition de « ça veut dire » est : « ça ne veut surtout pas dire que la thèse d’Al-Qaïda s’effondre. » Or la nano-thermite est un produit de nanotechnologie que seule une industrie de pointe est en mesure de produire. Un tel traitement de l’information fonctionne comme un vaccin : une petite dose d’info dévitalisée, injectée une fois et une seule, immunise contre la fièvre conspirationniste, tout en protégeant les médias contre l’accusation de censure.



Mini-bombes à neutrons 

Mais il y a peut-être une autre explication au fait qu’une chaîne de télévision institutionnelle ait pris le risque d’écorner la version officielle en évoquant la présence de nano-thermite dans la poussière du World Trade Center. Un certain nombre de savants actifs dans la recherche de la vérité sur le 11-Septembre soulèvent l’objection que la nanothermite, si elle est suffisante pour expliquer la « démolition contrôlée » classique de la Tour 7, possède un pouvoir explosif bien trop faible pour rendre compte de la force des explosions observées dans les Tours jumelles, de la pulvérisation en fine poussière de la quasi-totalité de leur béton (sans compter les 1 100 victimes dont pas un seul morceau n’a pu être retrouvé), et des profonds cratères creusés à leur base. La nano-thermite n’explique pas les températures atteignant 800 °C dans les décombres du WTC jusqu’à six mois après le 11-Septembre. Elle n’explique pas le fort pourcentage de résidus de réactions de fusion/fission mesuré dans les décombres (baryum, strontium, thorium, uranium, lithium, lanthanum, yttrium, chromium, tritium), et pas davantage le taux élevé de cancers rares (thyroïde, leucémie, myélome multiple) parmi les personnes travaillant sur les décombres, cancers typiques des irradiations. Pour ces raisons et d’autres, plusieurs scientifiques rejettent la thèse de la nano-thermite et se tournent vers l’hypothèse de l’utilisation de mini-bombes à neutrons (mini-nukes) placées près des colonnes centrales des bâtiments. C’est aussi l’explication la plus plausible pour les deux trous s’étendant sur toute la hauteur du WTC6, un bâtiment de 8 étages situé à côté de la Tour Nord, qui abritait des agences gouvernementales. La roche fondue dans le cratère central, à l’aspect de verre multicolore, est la signature d’une réaction nucléaire.

Attentat de Bali, l’investigateur australien Joe Vialls accuse Israël

L’usage probable de mini-bombes nucléaires renforce la piste israélienne ; contrairement aux États-Unis, en effet, Israël n’a jamais signé le Traité de non-prolifération et son arsenal nucléaire n’est soumis à aucun contrôle. De plus, ce n’est pas le seul cas dans lequel Israël est soupçonné d’avoir utilisé ce genre de bombes dans une opération sous faux drapeau. Le 12 octobre 2003 à Bali (Indonésie), un engin explosif placé dans une canalisation souterraine détruisit un night-club fréquenté par des Australiens, faisant 187 morts et plus de 300 blessés. L’attentat, mis sur le compte d’islamistes, stoppa net en Australie un puissant mouvement de protestation contre la guerre en Irak. Selon l’investigateur australien Joe Vialls, la force de la déflagration, qui endommagea et mit le feu à 27 bâtiments alentours, est l’indice d’un engin nucléaire, tout comme le fait que 30 personnes ont été totalement vaporisées par l’explosion, et que des centaines d’autres alentours ont reçu des brûlures que les médecins australiens déclarèrent n’avoir jamais vues. Vialls conclut à l’usage d’une bombe à fission au plutonium, qui ne laisse derrière elle que des radiations alpha indétectables par les compteurs Geiger. Et il accuse l’État d’Israël.


La « poussiérisation » (dustification) des Tours jumelles

Dans le cas du WTC, une poignée d’individus, en deux ou trois jours seulement, ont pu aisément dissimuler des mini-bombes nucléaires à peine plus grosses qu’une pomme, tous les cinq ou dix étages à proximité des colonnes centrales, et les mêmes personnes ont pu déclencher la séquence d’explosions. En revanche, la démolition des mêmes Tours jumelles par de la nano-thermite aurait nécessité des centaines de gens travaillant pendant des mois, faisant des dégâts à tous les étages pour fixer les explosifs directement sur les colonnes centrales. Le professeur Neils Harrit a estimé la quantité nécessaire minimale de nano-thermite à 29 000 tonnes. Cela aurait demandé plus d’un millier de camions, dont le simple déchargement aurait mobilisé une équipe à plein temps pendant plus d’un mois. La discrétion, dans ces conditions, est purement et simplement inconcevable.

Et cependant, la théorie de la « démolition contrôlée » des Tours jumelles par nano-thermite continue d’être promue par les personnalités et les associations les plus en vue au sein du « mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre ». Cela soulève de pénibles questions. Jim Fetzer, fondateur de l’association de savants Scholars for 9/11 Truth, a subi de nombreuses attaques au sein du mouvement depuis qu’il s’est prononcé en faveur de l’hypothèse des mini-bombes nucléaires et en a déduit la probable culpabilité d’Israël. Au contraire, Steven Jones, cofondateur de la même association, récolte un écho beaucoup plus large depuis qu’il s’est séparé de Fetzer pour fonder l’association concurrente Scholars for 9/11 Truth and Justice qui défend exclusivement la thèse de la nano-thermite. Plus troublant encore, au moment où les déficiences de la théorie de la nano-thermite commencent à se savoir, une nouvelle théorie apparaît, qui contourne la simple alternative des mini-bombes nucléaires par une théorie extrêmement complexe qui renvoie la responsabilité des attentats vers le complexe militaro-industriel américain plutôt que vers Israël : selon le professeur Judy Wood, qui promeut cette théorie avec le plus de zèle et de soutien, la « poussiérisation » (dustification) des Tours jumelles ne peut s’expliquer que par l’usage d’« armes à énergie directive » (Directed Energy Weapons) inconnues du public, capables de détruire des bâtiments par de simples « rayons » (beams) immatériels, et émettant peut-être depuis des stations orbitales (Star Wars beam weapons). Pour appuyer sa thèse, Wood ne fournit pas le moindre indice de l’existence de telles armes.


Les agents de désinformation détournent les soupçons d'Israël

Les dissensions au sein du « mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre » font naître chez certains l’impression pénible que des « agents de désinformation » contaminent la recherche par des « demi-vérités » destinées à détourner les soupçons d’Israël et s’assurer que les 9/11 truthers américains continuent de chanter en cœur, derrière Luke Rudkowski de WeAreChange ou Alex Jones de Infowars, par exemple : « 9/11 was an inside job ! » 

Médias aux ordres

Cela pourrait s’appliquer à d’autres fausses pistes ayant fourvoyé et retardé la recherche citoyenne sur la vérité, comme le film In Plane Site de Dave von Kleist et William Lewis (2 004), qui a focalisé l’attention sur une analyse peu convaincante de quelques images des crashs sur les Tours jumelles dans le but de prouver qu’il s’agissait d’avions militaires, alors qu’une analyse de l’ensemble des images démontre que ces avions sont des montages vidéos. Le résultat fut évidemment d’occulter la question que posent les images truquées diffusées sur toutes les grandes chaînes : quelle communauté d’intérêts a aujourd’hui acquis sur les médias de masse une emprise suffisante pour orchestrer et imposer une telle manipulation des esprits ? Poser la question, c’est y répondre.

À n’en pas douter, la démonstration de ce pouvoir médiatique fait aussi partie d’un chantage complexe que les conspirateurs exercent sur les hautes autorités américaines pour les forcer à réprimer le mouvement contestataire et ainsi couvrir leur crime.


Livre :



50 ans de manipulations

de Laurent Guyénot



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