mercredi, octobre 24, 2018

La rédemption d'une star du cinéma

Chow Yun-Fat  souhaite donner son argent aux défavorisés

Trailer de Project Gutenberg avec Chow Yun-Fat

Dans le film Project Gutenberg, signé Felix Chong (la trilogie Overhead), Chow Yun-Fat (Painter) est à la tête d'une organisation criminelle de faux monnayeurs. Mais dans la vraie vie, la super star du cinéma chinois compte léguer sa fortune (plus de 600 millions d'euros) à des œuvres caritatives.

"(...) le train de vie de la star est bien différent de celui de ses congénères hollywoodiens qui flambent au volant de leur Ferrari et s'achètent des villas luxueuses. Lui vit chichement et préfère se consacrer à des passe-temps simples, comme faire un jogging ou de la randonnée.

L'acteur prend modestement les transports en commun, achète ses vêtements dans des friperies et a gardé le même téléphone pendant 17 ans. Il ne dépenserait qu'une petite centaine d'euros par mois, révèle le site Jayne Stars."

« Mon rêve, c'est d'être une personne heureuse et normale. Le plus dur, dans la vie, ce n'est pas d'amasser de l'argent, mais d'avoir l'esprit en paix, de passer le reste de votre vie de façon simple, sans souci », explique Chow Yun-Fat (63 ans).

lundi, octobre 22, 2018

Comment on devient immortel ?

Les stars sont-elles soumises à une hiérarchie luciférienne ?

Radio Brunet - RMC 19 oct 2018. Le journaliste François Jouffa, qui a été un proche de Johnny Hallyday, nous raconte comment ce dernier lui a confié le plus sérieusement du monde qu'il avait "signé un pacte avec le diable et qu'il irait en enfer". (Source : Alexandre Lebreton, auteur du livre Mk - Abus rituels et Contrôle mental)



Comment on devient immortel ?

par Joël Labruyère

Il y a deux façons de procéder. La première est de suivre la voie régulière qui permet à l’âme de retrouver ses facultés divines originelles. La seconde est la voie anormale qui pousse un être à se hisser dans les degrés supérieurs de la hiérarchie qui contrôle la dimension terrestre.

Sur la première voie, celle du Retour au cœur du Père, on sort définitivement du système des dimensions déconnectées de l’Univers interne, alors que sur la voie irrégulière, on prend un titre de Maître ou de demi-dieu qui ne dure que le temps d’un cycle, après quoi, on retourne à la case départ. 

Les vrais spirituels empruntent la voie régulière, ils sortent du circuit de l’incarnation et de la souffrance, alors que les initiés des basses hiérarchies entretiennent la roue du monde, perpétuant
l’exploitation et la douleur ici-bas.

Qui sont ces initiés irréguliers ?

On le devient lorsqu’on veut s’élever par la volonté, la recherche du pouvoir, la célébrité et la gloire en ce monde. On peut emprunter une voie de fausse sainteté comme les initiés de la « main droite » qui ont cultivé une personnalité raffinée, ou au contraire - mais cela revient au même - on peut prendre la voie de la « main gauche » en développant la puissance qui vous hisse au dessus de l’humanité ordinaire. Dans les deux cas, si l’on va assez loin dans le développement choisi, on peut s’octroyer un poste dans la hiérarchie terrestre, au service d’un égrégore.


Peut-on devenir un immortel irrégulier par l’art ou la science ?

Tout à fait. Depuis le développement de la médiatisation, un être qui devient célèbre au plan international prend naturellement, grâce à son charisme, une place de choix dans la hiérarchie planétaire. C’est ainsi que des chanteurs de rock ou des vedettes de cinéma ont gagné une promotion sur une dimension invisible. L’artiste peut être totalement dépravé, ou bien au contraire, il peut s’agir d’un grand humanitariste. Le résultat est sensiblement le même car grâce à son charisme médiatique, la personnalité est devenue si lumineuse sur le plan astral, qu’elle règne sur la portion de l’humanité accordée à sa fréquence. Ici, bien et mal ne sont que les deux faces du jeu de la dualité terrestre. Mais, bien entendu, les humains qui se sont hissés au rang de demi-dieux grâce à leur talent ou leur action, sont aux yeux des masses des êtres divins. Le système politique les identifie par des médailles, des décorations, des prix, afin d’authentifier leur pouvoir occulte. Ainsi, lorsqu’un personnage de la scène médiatique reçoit une décoration au niveau national ou international, cela symbolise sa promotion dans la hiérarchie invisible. Ces décorations ont une fonction magique, à l’image des titres ronflants qu’on confère aux initiés de la hiérarchie ecclésiastique ou maçonnique. Chaque grade maçonnique symbolise un degré atteint dans les basses hiérarchies invisibles, mais il faut avoir fait preuve de ses mérites au service du « prince de ce monde » pour gagner une place de choix dans son administration.

Un chanteur de rock, par exemple, peut-il obtenir cette gratification ?

Prenons les exemples célèbres, comme Mick Jagger, Paul Mc Cartney ou Bob Dylan - sans oublier Elvis Presley qui est une idole qui reçoit un culte religieux. Ainsi, aujourd’hui, lorsqu’un américain sait qu’il va mourir, il dit qu’il va rejoindre Elvis !


Mick Jagger, le provocateur des Rolling Stones qui chantait « sympathie pour le diable » a été décoré du titre de Lord d’Angleterre. Symboliquement, c’est recevoir en héritage un domaine sur la face invisible de l’empire britannique. (Idem pour le Beatle Paul Mc Cartney)

Bob Dylan, le prince des poètes de la génération rock, a été promu à un rang élevé par les autorités maçonniques américaines et internationales. On se souvient de son accolade avec Jean-Paul II, après que Dylan soit d’abord passé à la synagogue de Rome. Nombre de pays l’ont décoré du titre de chevalier des arts et des lettres, ce qui témoigne de l’honneur qui lui est accordé sur la dimension occulte.


Ces artistes médiatisés et idolâtrés ont travaillé pour gonfler certains égrégores, et chaque travail reçoit son salaire. Rien n’est laissé au hasard. Que l’on s’appelle Mère Térésa ou Madonna, c’est le même combat professionnel pour la promotion dans la hiérarchie luciférienne. Il n’y a qu’une faible nuance entre la bonté ostentatoire des grands humanitaristes, et la sensualité des stars. Il faut avoir rendu de bons et fidèles services aux basses hiérarchies, que l’on en soit conscient ou pas. A un certain moment, l’initié sait qu’il est un élu car les pouvoirs qui lui sont octroyés en ce monde sont exorbitants – célébrité, richesse, honneur, pouvoir.

Toutefois, l’élu qui ne marche pas droit risque d’être jeté aux oubliettes.

Qu’arrive t-il aux célébrités assassinées ou qui meurent prématurément ?

Généralement, elles sont expédiées de l’autre côté pour être utilisées comme médiums afin de transmettre aux loges occultes des informations sur le futur. Tout a un sens dans l’économie des hiérarchies planétaires. Comme on dit : « chaque cheveu est compté ».

Un élu du système hiérarchique planétaire est un être qui dispose de qualités spirituelles particulières. Il a signé un pacte pour obtenir son pouvoir, son talent, et sa fortune anormale. Il s’est engagé à être un serviteur. Il peut focaliser l’énergie de millions d’êtres afin de redistribuer cette énergie astrale sur d’autres dimensions, au bénéfice des basses hiérarchies.


L’immortalité des grands personnages est donc factice et relative ?

Oui, elle ne dure que le temps d’un cycle, et seulement si l’entité qui a été élue est capable de gérer habilement sa « carrière magique ».

Le fantôme d’Elvis Presley ne sera pas éternellement une idole à laquelle l’Amérique rendra un culte. D’autre part, il n’est pas certain que l’entité Elvis Presley soit capable de diriger consciemment sa 
carrière magique dans l’au-delà. Son image est utilisée, mais l’entité n’avait pas atteint un niveau de maîtrise occulte suffisante. C’est un instrument. Peu à peu l’image astrale s’estompe et disparaît.

Quoi qu’il en soit, la fonction ésotérique de la gloire en ce monde c’est de constituer autour de personnalités charismatiques des foyers d’alimentation énergétique. Les stars sont des esclaves de la Grande Babylone. Les grands personnages politiques sont au dessus des célébrités dans la hiérarchie car les stars ne sont que leurs serviteurs, leurs bouffons, éventuellement leurs prostituées. C’est pourquoi, aucune célébrité du show business n’attaque le système qui la fait vivre, et qui pourrait la faire mourir.

Certaines vedettes jouent les révoltés dans un cadre contestataire délimité, mais jamais ils ne dévoileront les secrets initiatiques - à condition qu’ils comprennent comment ça fonctionne ! Le système est protégé. Un artiste peut prendre un profil de rebelle avant d’accéder au succès, mais dès qu’il est célèbre, il joue le jeu comme un enfant obéissant, ou il est renvoyé en bas.

Brigitte Bardot a égratigné le système, mais pas jusqu’aux responsabilités supérieures, car elle en est un produit, dès avant sa naissance. Elle dispose d’un certain égrégore, et possède une petite niche de « sainteté » dans la hiérarchie, quoique seulement pour le reflet astral de ses années glorieuses.

Elle est donc dans le coup, même si le système l’épingle pour ses positions politiquement incorrectes, lesquelles ne lui vaudront pas un titre d’éternelle comme d’autres stars conscientes des mécanismes ésotériques, et qui sont des initiés. Bardot est protégée pour son image astrale, encore vivace mais qui s’effrite.

Pour tenir un égrégore, il faut avoir développé une conscience luciférienne puissante au service de l’ordre mondial.

Bardot sera récupérée après sa mort si elle ne choisit pas de sortir du système.

Ces entités peuvent-elles échapper un jour au désir de briller et d’être reconnues ?

Accède t-on au plus haut niveau de la célébrité si on ne le désire pas depuis de nombreuses incarnations ?

Et les grands noms du passé ?

Ces êtres dont la gloire fut posthume n’étaient pas médiatisées de leur vivant, et seule leur image astrale peut être utilisée par les entités occultes qui gèrent la circulation énergétique à leur profit. C’est comme de racheter les droits d’un auteur en faisant fructifier la valeur commerciale de son nom. Certains égrégores exercent un droit d’exploitation sur l’image de tel saint ou personnage historique et captent ainsi les sentiments attachés à son nom, mais l’âme du personnage n’est plus dans ce circuit.

Par exemple, François d’Assise aurait refusé de servir de stimulant pour entretenir un culte de sa personnalité, mais cela n’empêche pas l’égrégore catholique romain d’utiliser son image de sainteté pour vampiriser les adorateurs du « poverello ».

Cette organisation de vampirisation astrale est la « Grande Babylone », avec ses dieux et ses héros. C’est une mafia occulte qui gère les images des grands personnages mondiaux, lesquels ne sont pas impliqués dans ce syndicat, soit qu’ils sont sortis définitivement du circuit des renaissances, ou sont incarnés à nouveau sur la terre dans le plus grand anonymat.

Par exemple, lorsque Platon s’est réincarné pour la dernière fois, c’est dans la personnalité d’un écrivain du 19° siècle totalement inconnu. Les grands rôles ne sont pas obligatoirement ceux que l’histoire enregistre. Tout ceci est très aléatoire. Par exemple, Vincent van Gogh est mort pauvre et inconnu. Or, l’une de ses peintures est la plus chère du monde. Dès lors, on parle beaucoup de lui, et l’on a construit un mythe autour de son image, sans qu’il soit impliqué dans ce cirque.

Il s’est formé un culte autour de l’image astrale de van Gogh. Il est peu probable qu’il découvre qu’il n’a été durant son périple ici-bas qu’un peintre raté, mystérieusement devenu le plus cher du monde ! Tout cela est très occulte.

Pourquoi un homme qui n’aurait pas vendu une croûte de son vivant, devient-il un mort richissime ? Le monde invisible détourne à son profit les œuvres puissantes.

On pourrait citer Mozart et nombre de génies, maudits durant leur existence, mais que le système récupère pour son ambiance culturelle qui sinon serait stérile et creuse.

Certains médiums racontent aux gens qu’ils ont été tel personnage du passé. Selon les modes, c’est un prêtre égyptien ou une princesse celtique. C’est de la sottise. Il faut se souvenir que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute.

Qui gère le circuit de la célébrité ?

Des entités irrégulières se sont octroyées une place dans les basses hiérarchies grâce à un développement occulte qui leur permet de ne pas revenir en incarnation.

Ces entités sont organisées en concessions exploitant les réserves énergétiques de l’âme humaine. Ce commerce malsain remonte à une très haute antiquité. Ces entités ont parfois usurpé l’identité et même l’apparence des dieux qui coiffent le circuit du système solaire. Ces faux dieux et ces entités irrégulières forment les basses hiérarchies planétaires. C’est un circuit fermé rejeté hors du monde divin.

Il s’entretient par la récupération de l’énergie de l’âme humaine qui seule peut synthétiser la force universelle fondamentale. C’est pourquoi, la méthode privilégiée pour capter l’énergie de l’âme demeure les rites et la prière. Du fait que les religions ont perdu le monopole du culte des divinités, il s’est développé un système médiatique international qui pompe une énergie énorme quoique d’un taux vibratoire déprécié. Ce système permet donc aux célébrités d’accéder au statut de demi dieux aux yeux des foules qui veulent des idoles à adorer à la place des divinités démodées.

Cette crise nécessitera au final de faire apparaître un personnage messianique qui se présentera comme le sauveur, l’avatar divin descendu sur la terre. Les loges orientales et occidentales se disputent à ce sujet, sans compter le messianisme juif qui voudrait imposer son roi David.

Un consensus sera adopté, si ce n’est déjà fait. Que le spectacle commence !

Nous avons parlé de la pseudo immortalité des « maîtres » de la hiérarchie planétaire. Nous voyons que pour parvenir à s’élever dans ces degrés il faut avoir développé un pouvoir occulte spécial. Ce pouvoir est lié à la kundalini inférieure, et ne présente aucun caractère libérateur au sens spirituel. Dès lors, comment un être qui n’emprunte pas ce chemin de puissance, peut-il sortir du circuit terrestre ?

La condition pour sortir du circuit c’est de ne pas s’y enchaîner d’avantage. Par conséquent, il faut comprendre que le développement de nos pouvoirs naturels – comme le recommande l’occultisme –est une entrave plutôt qu’une aide.

Nous n’avons pas à rechercher plus de pouvoir si nous voulons sortir d’un circuit planétaire où l’on se hisse précisément en développant une puissance anormale.

Si l’on ne recherche ni la célébrité, ni les pouvoirs occultes, ni la gloire, ni la fortune en ce monde, alors, on est déjà à moitié sorti d’affaire, car nous n’intéressons plus les basses hiérarchies qui vivent de l’exploitation des ambitions mondaines.

On nous considérera alors comme des créatures sans importance, des minables, des ratés, ce qui est tout à notre avantage, car les entités lucifériennes qui surveillent le circuit planétaire, ne peuvent imaginer qu’on puisse rechercher une autre lumière que celle qui illumine leur univers d’illusion.

On devient intérieurement des petits enfants, et l’air de rien, on sort du bac à sable sans se faire remarquer. Bien entendu, il faut couper les liens avec les séductions de la Grande Babylone, ses
passions, ses tentations et ses illusions – tout ce qui mobilise les hommes ordinaires.

Ce n’est évidemment pas facile lorsqu’on a une personnalité développée, car celle-ci veut devenir toujours plus grande, plus intelligente, plus forte, plus douée, etc…

Il faut traverser et vaincre les trois tentations dans le désert : l’orgueil, le pouvoir et l’attachement aux richesses.

C’est dire qu’il faut prendre le chemin inverse de ceux qui deviennent importants, et qui sont dès lors récupérés par les basses hiérarchies qui les tentent avec l’appât de la gloire, du pouvoir et de la richesse.

Comment un être doté d’une personnalité développée peut-il se libérer ? Celui qui brille d’un certain charisme, qui est ambitieux, peut-il échapper à la tentation de la célébrité, du pouvoir et de la richesse ?

Il doit prendre conscience que le développement de ses pouvoirs personnels le conduiront à pactiser avec des puissants - au plan visible ou invisible - qui pourraient faire de lui leur allié ou un serviteur, s’ils détectent en lui un potentiel. Les monastères et les loges maçonniques sont remplis d’esclaves qui plient l’échine, à cause de l’orgueil spirituel ou mondain qui les dévore.

Si l’on a une personnalité ambitieuse, volontaire ou téméraire, il est évident qu’on ne doit pas refouler ce que l’on est.

Il faut convertir nos défauts en vertus en restituant à l’univers l’essence de nos pouvoirs individuels. Que celui qui a le sens de l’organisation, trouve sa place dans un groupe spirituel de bonne foi où il pourra faire profiter les autres de ses capacités. Que celui qui est ambitieux recherche un but spirituel élevé à la mesure de son désir. Que celui qui est un meneur, aide les autres à avancer vers la lumière, en montrant l’exemple du dévouement et de l’ardeur. Alors, celui qui a des défauts liés à l’orgueil, le goût du pouvoir ou le désir d’expansion, les mettra au service de son désir de vérité et de libération.


Les serviteurs de la vérité ne sont ni indécis, ni dénués de volonté. Leur volonté ardente est convertie en volonté de servir.

Sur la voie spirituelle régulière, on agit avec volonté et détermination, mais on ne cherche pas de profit personnel, alors que sur la voie irrégulière, on recherche uniquement le pouvoir pour soi-même.

Les deux immortalités, la vraie et la fausse, découlent de deux attitudes inverses : servir Dieu ou servir le monde.

Les idées new age, confuses et complaisantes, ainsi que la religiosité mondaine, tentent de conjuguer ces tendances inconciliables. Mais il n’y a qu’une voie d’immortalisation, c’est sortir du circuit de la mort.

Alors, comment devient-on immortel ?

Sur la voie régulière, il faut le désir sincère et conscient de revenir à notre origine - pour autant que l’on ait conservé la nostalgie de ce paradis perdu.

Sur la voie des anormaux des basses hiérarchies, il faut le désir de devenir un dieu en enfer - parce qu’on ne sait plus d’où l’on est venu, et qu’on ne voit pas d’autre façon d’avancer que la fuite en avant.

Entre les deux, il y a les tièdes, ceux qui se demanderont toujours quel chemin est le plus sécurisant, ou pour la majorité, qui ne se demandent rien du tout.

dimanche, octobre 21, 2018

Les Juifs sont-ils des Aryens comme les autres ?

La croix gammée, un symbole universel


Les Sémites-aryens

par Joël Labruyère


Helena Blavasky a fait remarquer que les Sémites qui sont apparus en Mésopotamie - Assyrie, Babylone - venant de l’Orient, étaient à l’origine un clan de brahmanes expulsés de l’Inde, pour une raison inexpliquée. Les Juifs comme les Gitans seraient sortis du sein de la mère Inde, à la différence que les uns étaient des brahmanes (lévites) et que les autres sont issus de la caste des intouchables (Gita(n) signifie « chant » en sanskrit).

Sur les routes du monde l'errance de ces deux peuples remarquables ne peut jamais cesser, si l'on en croit la malédiction proférée à leur encontre.

L'histoire officielle, pour le moins confuse, des Sémites serait une fable, car les Juifs sortiraient du tronc aryen apparu après la chute de l’Atlantide. Voilà de quoi réconcilier tout le monde, sauf les talmudistes si jaloux de leur exclusivité raciale.

Pour étayer son allégation, madame Blavatsky rapproche l’étymologie de Brama (Dieu suprême) avec celle d’Abram ( “ père élevé ” en hébreu). Les êtres issus de la racine d’A-braham (A est privatif) auraient renié Brahma et perdu leur état de brahmane (les lévites de l'hindouisme).

Carlo Suarès, le cabaliste français qui a remis à jour le code de lecture biblique originel, a posé ce problème en faisant remarquer qu’il s’agirait de deux courants spirituels en sens inverse – l’un (Ab-ram) met le Père (AB) en avant, tandis que l’autre (Bra-ma) est tourné vers l’origine, la Mère (MA). On connaît l’insistance du judéo-christianisme sur la figure du Père (Ab), alors que l’Inde voue un culte à la Mère divine (Ma).

De quoi les vrais-faux Sémites-aryens se seraient-ils rendus coupables pour avoir été rejetés du sein de la mère Inde, renommée pour sa tolérance envers tous les cultes ? Est-ce à cause de la circoncision qui est un système d’eugénisme scientifique permettant de faire muter la conscience par le choc infligé à l’hypophyse ?

Roger Dommergue Polacco de Menasce a analysé les effets de la circoncision à huit jours sur le psychisme des enfants d'Israël. Ces études ne sont pas publiques, car, bien qu'étant d'origine juive, 
Dommergue Polacco a mis en pièces les fondations de l'édifice talmudique et le mythe du peuple élu. Ses pamphlets s'adressent à ses « coreligionnaires qu'il entend sauver de la catastrophe où Israël périra entraînant la civilisation mondiale dans sa chute ».

Curieusement les thèses de Suarès et de Dommergue Polacco, tous deux originaires d'Alexandrie, expriment les deux facettes de la circoncision.

L'une positive avec Suarès qui explique comment le traumatisme de la circoncision à huit jours stimule le psychisme en transmutant l'érotisme en cérébralité, ce qui rend l'être plus adaptable.


A l'opposé, Dommergue Polacco prétend que le psychisme hypertrophié par la stimulation de l'hypophyse lors du premier cycle pubertaire infantile (après les sept premiers jours de la vie) - psychisme qu'il décrit comme le particularisme juif - se comportera comme une machine analytique qui met tout en pièces, destructrice de la nature, car incapable d'appréhender l'ensemble de l'écologie universelle.

La pensée analytique de nombre de savants et penseurs juifs serait issue de ce système d'eugénisme archaïque, qui aurait été conservé par nos Sémites-aryens modernes après le déluge.



C'est un fait que l'efficacité du mental moderne réside dans l'esprit analytique et que cette pensée qui dissèque tout, a créé la civilisation matérialiste. Cette tournure mentale n'est pas (ou n'est plus) l'apanage d'une race particulière puisque l'humanité entière en est désormais dotée.

Rappelons que le monde antique fonctionnait selon la pensée analogique qui refuse d'expérimenter ce qui est destructeur pour l'âme et la nature.

La pensée analogique entrevoit la relation qui existe entre toutes les choses. Cela la rend prudente envers le vivant. Des philosophes antiques refusaient les idées dont se targuent nos intellectuels. Sur cette conscience morale sont établies les civilisations qui entrevoyaient une écologie universelle.

Nous ne savons pas si les Sémites-aryens pratiquaient déjà la circoncision vers la fin de la période atlantéenne, ou si cette pratique fut instaurée durant le cycle actuel afin de pallier à la perte des pouvoirs magiques atlantes, ni si cette pratique a été jugée indésirable en Inde lors de la venue des Aryens-sémites atlantes ?

Israël garde ses mystères et peu de Juifs, parmi ceux qui se prétendent émancipés, s’aventurent dans des recherches sérieuses sur leur passé occulte, à cause de l’autorité du judaïsme.


Sera-t-on accusé d’antisémitisme si l’on démontre que les Juifs sont des Aryens comme les autres Occidentaux celtiques, francs, etc ? Les Arabes ne sont-ils pas également des Aryens orientaux ?

Les nazis ont fait preuve de stupidité en s’en prenant à leurs cousins aryens circoncis, et de leur côté, les Juifs sont bluffés par leurs rabbins qui exaltent une origine sémitique (Sem = le Nom) pour justifier le tire de “ peuple élu ”, alors que les peuples blancs sortent tous du tronc atlante - ainsi d'ailleurs que les peuples africains, de même que les Asiatiques issus de l’antique race jaune apparue avant la race blanche en Atlantide.

Les Etats-Unis, en accueillant à nouveau ces peuples, méritent le nom de “ nouvelle Atlantide ”. C’est en Amérique que le karma des races issues de l'Atlantide se réglera.


de Helena Petrovna Blavatsky


Edition abrégée de la Doctrine Secrète (tome II, III, IV, V, VI), établie en 1920 par un scientifique français, très versé dans l'approche théosophique de Madame Blavatsky. Cet abrégé permet une approche synthétique de la Doctrine Secrète.

Un des ouvrages qui ont le plus stimulé la pensée des chercheurs de l'ésotérisme fut La Doctrine Secrète publiée en 1888 par Mme H. P Blavatsky, un personnage par bien des côtés énigmatique et demeuré inconnu tant à ses laudateurs qu'à ses détracteurs. Cette femme ne revendique pas la paternité de la doctrine occulte qu'elle a tenté de collationner dans les diverses traditions dont les textes, en ce fameux XIXe siècle, ont été traduits dans les principales langues européennes par des savants et érudits chercheurs. Elle demande que l'on réfléchisse à l'identité qui se dégage de ces écrits, la plupart oubliés, sur la cosmogénèse, l'anthropogénèse et autres sujets connexes, qui montrent qu'une connaissance de l'homme et de l'univers, et de la place qu'il y occupe, était répandue dans les divers centres initiatiques de notre planète dès les époques protohistoriques.



Téléchargement gratuit des 6 volumes de La Doctrine Secrète ICI.


jeudi, octobre 18, 2018

L’islamisation en Seine-Saint-Denis : bienvenue dans la réalité



L'islamisation n'est pas le vrai problème,
une analyse de H. Ryssen




Nous avons plutôt affaire à une « chocolatisation » de la France, à une invasion africaine. Nombre d’Africains ne sont pas musulmans mais de culture chrétienne (Sud du Nigeria, une moitié de l’Erythrée, une majorité de l’Ethiopie, etc). 



L’islamisation en Seine-Saint-Denis



Par Louis Hausalter


"Marianne" a lu "Inch’allah", l’enquête dirigée par les journalistes du "Monde" Gérard Davet et Fabrice Lhomme sur la progression en Seine-Saint-Denis d’un islam en rupture avec la société française. Un livre rigoureux, mais qui documente une réalité sur laquelle de nombreux témoins lancent l’alerte depuis longtemps.

C’est un livre aussi passionnant qu’inquiétant. Pendant près d’un an, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, enquêteurs connus et reconnus du Monde, ont dirigé cinq étudiants en journalisme qui ont arpenté la Seine-Saint-Denis. Leur mission : déceler les traces concrètes de l’islamisation du département le plus pauvre de France, un sujet qui « se prête à tous les raccourcis, à tous les amalgames » et qui « effraye les tenants du politiquement correct », comme l’admettent volontiers Davet et Lhomme. L’initiative est partie de l’une des confidences retentissantes de François Hollande aux deux journalistes dans Un président ne devrait pas dire ça : « Qu’il y ait un problème avec l’islam, c’est vrai. Nul n’en doute. »


Saluons-le d’emblée : l’enquête est remarquable par son contenu et sa rigueur, servie par une galerie d’acteurs et de témoins qui ont accepté de parler sans réclamer l’anonymat. De cette directrice d’école qui se bat face aux tentatives d’intrusion religieuse à cette gynécologue atterrée par l’obscurantisme de ses patientes, de ces élus qui se livrent à toutes les compromissions pour s’attirer les faveurs des électeurs musulmans à ce syndicaliste qui réclame des salles de prière dans les dépôts de la RATP, le tableau dressé est édifiant. Les auteurs l’écrivent d’ailleurs noir sur blanc : « Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis ». Dans ce département où, selon les estimations officieuses, une bonne moitié de la population est musulmane, une contre-société s’installe, avec ses codes et ses valeurs propres, en rupture avec la République.


"Des quartiers complets sont sous la coupe du halal"

Même la préfète à l’Egalité des chances du 93, Fadela Benrabia, le décrit avec une sincérité désarmante : « Quand on se lève le matin, on va faire son petit chemin pour conduire ses enfants à l’école, qu’est-ce qu’on voit ? On passe devant le kebab du coin qui est fermé parce qu’on sait que le responsable s’est fait arrêter, ensuite la première boucherie halal, la deuxième boucherie halal, la troisième boucherie halal, ensuite la libraire religieuse et le muslim style qui vend des niqabs… Qu’est-ce que ça fabrique ? Des normes. Des quartiers complets sont sous la coupe du halal. »*

Nul doute que l’intérêt porté par Davet et Lhomme à ce sujet brûlant attirera les projecteurs, et c’est tant mieux. Ce lundi 15 octobre, le duo était invité dans la matinale de France Inter et a pu évoquer, à une heure de grande écoute, ce risque de sécession que refusent de voir ceux qui franchissent rarement le périphérique. Mais en lisant cet ouvrage survient la désagréable impression que les sommités du Monde sont plus écoutées que ceux qui tirent la sonnette d’alarme depuis des années. Pourquoi ces résistants de terrain - dont certains sont si bien décrits dans ce livre - n’ont-ils pas eu droit à la même attention ? Pourquoi les professeurs qui alertaient dès 2002, dans les Territoires perdus de la République, sur la montée de l’antisémitisme et du sexisme dans des établissements scolaires franciliens, n’ont-ils pas été plus écoutés à l’époque ? Pourquoi les enquêtes sur les dérives communautaristes et clientélistes qui rongent certaines banlieues suscitent-elles aussi peu de réactions pour inverser la donne sur le terrain ?
On peut d’autant plus le regretter que le temps perdu joue pour les islamistes, et donc contre la France. Car à la lecture de cette enquête implacable, on réalise l’immense poids des lâchetés et abandons successifs, et peu de solutions pour les surmonter surgissent. Comme s’il était déjà trop tard.

https://www.marianne.net/societe/davet-lhomme-et-l-islamisation-en-seine-saint-denis-bienvenue-dans-la-realite



sous la direction de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Fayard, 300 pages.



Ou/et



Hervé Ryssen

"A travers l’étude des ouvrages de nombreux penseurs contemporains, marxistes ou libéraux (Alain Minc, Jacques Attali, Alain Finkielkraut, Edgar Morin, Marek Halter, Jacques Derrida, Pierre Bourdieu, Guy Konopnicki, Albert Jacquard, etc.), on découvre que les intellectuels « cosmopolites » appellent maintenant ouvertement au métissage généralisé, à la suppression des frontières et à l’unification du monde, dans un discours inlassablement répété et de plus en plus débridé.

Cette obsession mondialiste trouve une partie de son explication dans la tradition mosaïque. Chez les Juifs, en effet, l’attente du Messie constitue le point central de leurs espérances. Et cette attente fébrile se confond avec la suppression des conflits, qu’ils soient nationaux ou sociaux. Ici encore, les textes sont très explicites (Emmanuel Lévinas, Jacob Kaplan, George Steiner, Moshe Idel, etc.). C’est précisément cette attente messianique qui donne un sens à toute cette production intellectuelle et artistique, dans la mesure où elle se confond avec l’unification du monde et l’instauration de la « Paix » universelle. Là est assurément le point central du judaïsme.

Ce qui ressort de tout cela, c’est que l’avènement du monde nouveau et des temps messianiques passe par la destruction du catholicisme et du monde européen traditionnel. Il faut avoir lu les travaux de Wilhelm Reich et les ouvrages des “freudo-marxistes” pour comprendre jusqu’où peut aller cette rage de destruction. Le thème de la “vengeance” se retrouve d’ailleurs aussi bien dans les textes religieux du XVIe siècle que chez certains romanciers contemporains comme Albert Cohen. Ces permanences sont étonnantes. Elles traversent les siècles, se transmettent sans prendre une ride de génération en génération. Voilà ce que sont les "espérances planétariennes".





lundi, octobre 15, 2018

Le retour du Diable


Je vais me marier avec Lucifer



par Anne Archet (Suisse)

La nuit de la Saint-Jean, pendant que mes compatriotes iront défiler derrière le fleurdelysé pour ensuite boire de la Molson Ex en chantant du Paul Piché autour d’un feu de camp, je serai fort probablement occupée à livrer mon corps à Satan. Je pourrais aussi vendre mon âme, mais comme je ne suis pas convaincue d’en avoir une, je vais m’abstenir. La dernière chose à faire serait de tromper le diable sur la marchandise.

Vous vous souvenez de Stella, l’adepte du satanisme que j’ai rencontrée en mai dernier ? Elle m’a invité chez elle samedi dernier et nous avons passé une soirée des plus intéressantes – si on oublie le steak monumental et saignant qu’elle m’a servi (et que j’ai eu le culot de refuser).


Stella est décidément un drôle d’oiseau. À la regarder, on jurerait une bonne sœur défroquée devenue bibliothécaire. Mais dès qu’elle se met à parler de Satan, on jurerait que les flammes éternelles de l’enfer brûlent dans ses yeux. Après le repas, nous nous sommes installées au salon avec une bouteille de porto et j’ai pu lui poser toutes les questions qui me trottent dans la cervelle depuis un mois. La plus importante étant : pourquoi une jeune femme, au début du XXIe siècle, s’adonne-telle au satanisme, surtout lorsqu’elle se dit athée ? Les satanistes ne seraient-ils pas « des athées dépravés qui se sentent trop seuls dans leur coin et qui avaient besoin de faire partie de quelque chose – et qui cherchent le réconfort du groupe pour ne pas avoir à se justifier, seul, devant tous... », comme me l’a déjà dit Berthold ?

Sa réponse fut évasive, mais en fouillant, j’ai fini par comprendre. Stella est un produit du mouvement charismatique catholique. Ses parents étaient des cathos version hardcore, qui n’arrivaient jamais à formuler une phrase sans employer le mot « Jésus ». Elle a vécu dans la peur, dans le péché, et dans la peur du péché. Elle m’a même confié qu’adolescente, on lui attachait les poignets à la tête de son lit, la nuit, pour faire en sorte qu’elle « ne se pollue pas ». Stella serait devenue suppôt de Satan de la même manière que Lucifer est devenu le prince des ténèbres : en se rebellant. Et sa révolte s’est inscrite, tout naturellement, dans le cadre de référence familial. Même son appartement reflète son goût du sacrilège : crucifix inversé sur le mur, bible qui sert de marchepied dans les toilettes… et même, croyez-le ou non, serviettes hygiéniques à l’effigie du Christ.

Bref, le culte de Satan serait une façon comme une autre de régler ses comptes avec le christianisme. Mais que font les adeptes du grand S lors de leurs petites sauteries ? Stella n’a pas voulu en parler. « On ne peut comprendre réellement nos cérémonies sans les avoir vécues » m’a-t-elle répété inlassablement. Soit, mais en gros, en quoi ça consiste ? « Essentiellement, il s’agit d’incarner physiquement l’union mystique avec Satan... » En commentant à répétition le péché de la chair, je suppose ? « Ça fait partie de l’expérience » m’a-t-elle répondu. Et c’est tout ce que j’ai pu lu soutirer. En revanche, elle m’a parlé des « Compagnes de l’Introït », le groupe qu’elle a créé avec douze autres femmes qui partagent les mêmes convictions diaboliques. « Je dois en parler à mes sœurs, mais si ça t’intéresse, je crois qu’il serait possible que tu participes à notre prochaine cérémonie ».

Comme de fait, le lendemain, j’ai reçu un coup de fil de Stella, m’annonçant que ma candidature a été examinée et acceptée. Une Compagne viendra me chercher le 23 juin prochain en début de journée pour m’amener quelque part dans les Cantons de l’Est où je prendrai part à la cérémonie. Curiosité, quand tu nous tiens…


Le Satanisme sans masque


Question : Le satanisme est-il un culte rendu au Diable ?

Réponse : L’expression « adoration du Diable » est utilisée de multiples façons, souvent pour décrire la magie noire et les pratiques dont on affuble les satanistes, comme par exemple les rituels sexuels et les sacrifices d’animaux. Ce qui est généralement compris par « culte du Diable » recouvre les pratiques des amateurs de l’occulte qui n’ont aucune connaissance réelle du véritable Satanisme, et qui jouent aux satanistes en invoquant le Diable et d’autres sornettes.


Souvent, l’expression populaire « adoration du Diable » est utilisée dans un sens moral pour décrire un certain type de comportement dans le domaine de l’occultisme. Selon le sens littéral, l’« adoration du Diable » signifie un culte religieux rendu au démon.
A travers ses diverses significations, il apparaît en réalité que le Satanisme n’est pas un « culte du Diable » : les satanistes n’adorent rien, et les pratiques et les rites réels du Satanisme sont très différents de l’image conventionnelle répandue dans le public et les clichés des médias, du cinéma et de la littérature fantastique ou d’épouvante.

Alors que certains rituels impliquent des formes diverses de décorum occulte - robes, temple, autel, objets - la plupart des pratiques en sont exemptes. La véritable magie d’un sataniste opère directement à travers son mode de vie – ce qu’il recherche et réalise dans toutes les situations de l‘existence réelle en accomplissant son destin, et dans le but de faire avancer la « dialectique satanique » (c’est la voie de la « main gauche », la « sinister dialectic » des initiés anglo-saxons)

Le véritable sataniste vit sa vie de manière satanique au lieu de se livrer à des amusements occultes. Il préfère la vie réelle aux rituels et cérémonies. Il ne théorise pas, et n’écrit pas des livres pour raconter sa vie ou faire des disciples.

Ceux qui utilisent une forme rituelle ou un support occulte extérieur n’en sont encore qu’à l’apprentissage, le stade de novice – au tout début de leur vie satanique. (On trouve ces rituels dans « Le livre noir de Satan » : la Messe Noire, la cérémonie d’initiation et le Rituel de Mort. Edité en anglais sous le titre « The Black Book of Satan »)

Question : Qui est le Diable ou Satan ? Existe t-il vraiment, et si oui, comment les satanistes le perçoivent-ils ?


Réponse : Il existe, mais pas sous la forme de la figure cornue avec des pieds fourchus. Au contraire, il n’est pas enfermé dans notre univers spatial et temporel, mais il existe plutôt sur une dimension supérieure que la tradition ésotérique nomme le « plan a-causal ». (le non manifesté) Satan fait peur car il est le Grand Inconnu. On appréhende le plan a-causal à travers les archétypes, en mettant une image symbolique sur ce qui n’a pas de structure spatiale.

Les descriptions conventionnelles du Diable ou de Satan ne sont fondamentalement que des images infantiles judéo-chrétiennes. La réalité est bien plus terrifiante !

De plus, des expressions comme « culte de Satan » avec le sens de dévotion respectueuse, proviennent d’une vision de non-initié. En réalité, on travaille uniquement avec les énergies a-causales ou les forces qu’elles représentent, afin de devenir « comme le Diable », ou s’identifier à lui, si l’on préfère. Et cela est une expansion de notre être individuel, plutôt qu’une soumission ou une négation. Pour l’exprimer simplement, le sataniste véritable devient UN avec Satan, et dans les premiers degrés, il tente de lui ressembler.

Question : Est-ce que le satanisme implique des sacrifices humains ?

Réponse : Parfois un sataniste peut se livrer à un « abattage » - lors d’un rituel magique ou dans la vie réelle (par exemple, par le meurtre ou en manipulant quelqu’un jusqu’à ce qu’il se tue). Que cela advienne ou non, repose sur la destinée du sataniste et la manière dont il doit se dépasser pour que son destin s’accomplisse.

Quoi qu’il en soit, pour qu’un tel dépassement soit possible, les victimes doivent être sélectionnées – ce qui veut dire qu’elles doivent être jugées assez méprisables ou nuisibles pour qu’on les sacrifie sans aucun remord. C’est à cause de leur bassesse qu’elles sont jugées bonnes à éliminer du point de vue sataniste. En pratique, cela signifie que dès l’instant où quelqu’un a été jugé vraiment méprisable (en raison de son caractère et de ses actes vils), et que par conséquent il peut convenir pour un sacrifice, il sera testé afin que le jugement soit confirmé. Avec fair play, les tests laissent une chance aux victimes. Deux ou trois mises à l’épreuve sont généralement effectuées sans que la victime le sache. C’est seulement si elle échoue à ces épreuves, que « l’abattage » peut être décidé, pour la gloire du satanisme en général et non par haine personnelle.

La raison d’être d’un abattage satanique est fondée sur le fait que certains individus sont trop méprisables, et qu’ils constituent une charge qui freine l’évolution. Leur disparition est salutaire car elle soulage l’espèce humaine. Et cela favorise en outre la réalisation ultime des buts sataniques.

De plus, ceux qui sont choisis pour le sacrifice se sont eux-mêmes sélectionnés à cause de leurs actes vils – ils ont manifesté la bassesse de leur caractère, et ce choix est donc objectivement fondé sur ce qu’ils sont capables de faire ou de ne pas faire dans la vie réelle. Ainsi, les sacrifier est vu comme un acte de justice naturelle, une mesure de salubrité d’urgence.

Question : Généralement, cet « abattage », comme vous dites, n’est-il pas un acte criminel ?



Réponse : La « Loi » (la justice humaine) n’est qu’une succession de vaines tentatives effectuées par une majorité médiocre pour empêcher les rares individus créatifs de rendre leur vie extatique. Ou, si l’on veut, la loi est un moyen de brider les nobles instincts des plus forts – elle sert à freiner l’authentique expérience de vivre.

Ce qui importe, c’est qu’un individu qui développe son propre jugement, possède le sens de la « justice naturelle », grâce à un caractère qui s’est formé par l’expérience. La « Loi » est l’expression de la tyrannie d’une société qui nie le jugement individuel et qui traite les gens comme des enfants.

Question : A propos des enfants, quelle place ont-ils dans le satanisme, dans les rituels par exemple ?


Réponse : Le but essentiel du satanisme est de développer l’individualité – se forger un caractère structuré et intuitif, l’esprit satanique. L’entraînement satanique d’un novice aide à construire son caractère, à développer une individualité unique, consciente de son potentiel et de sa destinée.

Cette formation ne peut commencer que lorsque l’individu est capable d’évaluer les choses ou qu’il apprend à se faire un jugement sur la vie par lui-même.


Cela a généralement lieu vers l’âge de seize ans. Avant, il ne peut y avoir aucune participation dans le Satanisme, soit rituellement ou d’une autre manière, simplement parce que le Satanisme oblige chaque individu à faire ses propres choix – ou à décider par lui-même s’il désire se soumettre à un entraînement satanique et se diriger vers un mode de vie satanique.

Dans certaines circonstances - par exemple dans le cas d’un enfant né de parents satanistes – il y aura une simple cérémonie pour consacrer le nouveau-né aux forces des ténèbres. Mais jusqu’à ce que cet enfant grandisse et soit en âge de prendre ses propres décisions, il n’y aura rien d’autre, et il ne doit rien y avoir. Obliger un être à prendre cette voie serait en totale contradiction avec l’essence du Satanisme.

Le satanisme n’est pas intéressé par corrompre autrui sans son consentement – il veut former des individus forts et individualisés, capables de penser et de juger par eux-mêmes. Toute autre démarche ne serait pas du véritable satanisme.

Question : Mais n’est-il pas prouvé que les satanistes contrôlent et utilisent les autres et qu’ils les manipulent ?

Réponse : Bien entendu. Certains êtres sont naturellement destinés à la fonction d’esclaves. Et les satanistes seront alors leurs leaders. Mais chaque individu à le libre-choix - s’il a besoin de suivre, d’être guidé, et s’il aime être manipulé, ou bien s’il est si faible qu’il n’a pas de caractère autonome, et que sa nature est d’être dominé. L’existence est souvent brutale : le fort domine pendant que le faible se soumet. L’évolution de déroule à travers ce rapport de forces. Les humains sont ainsi, même si la plupart veulent vivre dans l’illusion que les choses sont différentes.

Voici un exemple qui va faire frissonner les âmes sensibles et sans doute également les pseudo-satanistes.

Par faiblesse, certaines personnes deviennent des intoxiqués – comme dans le cas des drogués. En tant que tels, ce sont des ratés. Un sataniste les considère avec mépris – ils ont fait leur choix et révèlent ainsi leur faiblesse de caractère. Dès lors, le sataniste est en droit de considérer qu’il est juste d’utiliser ces êtres méprisables, en satisfaisant leurs vices, par exemple. En l'occurrence, leur fournir de la drogue. Cela peut permettre au sataniste de vivre sa vie de manière encore plus satanique tout en stimulant la « dialectique funeste » dans deux directions. 

Premièrement, comme le drogué impénitent devra mourir dans un futur plus ou moins proche, il se supprime lui-même.

Deuxièmement, la « drogue-culture » est symptomatique d’une société infectée par la maladie du judéo-christianisme où une mentalité d’esclave triomphe alors que les instincts nobles sont réprimés et persécutés. (L’idée de combat, la guerre en tant qu’expression de saine vitalité est une idée hérétique dans cette civilisation dégénérée.) Une telle société doit être minée et détruite afin d’être remplacée par une civilisation plus saine.

A propos de la santé, chacun demeure libre de son choix en toutes circonstances, en dépit des oppositions extérieures néfastes. La force de caractère et l’esprit peuvent vaincre toutes les situations.

Un sataniste est quelqu’un qui triomphe, même (et spécialement) dans l’adversité, et qui vit selon une devise qui n’est comprise aujourd’hui que par de rares élus : « Plutôt la mort que le déshonneur ». Se soumettre, se rendre, ne pas essayer de gagner est une grande honte. Un sataniste sait avec une arrogante certitude que l’esprit humain peut triompher de tout et de tous – et il refusera d’admettre la défaite et la reddition. Il est résigné à mourir si nécessaire, plutôt que d’agir à l’encontre de ses principes sataniques. Grâce à cela, les satanistes sont forts, et c’est pourquoi ils inspirent aux autres une certaine frayeur. Grâce à cette démarche, ils exultent – ils savourent la vie et vivent à fond.

Question : Comment devient-on un initié sataniste ?


Réponse : La première chose est de s‘assurer que l’on comprend ce qu’est le satanisme et ce qu’il implique, en contactant d’autres satanistes, par exemple, ou en lisant les écrits sur le satanisme originel , comme les travaux de l’Ordre X... (Note : Il existe plusieurs dizaines d’ordres, cercles, temples ou églises satanistes, disséminées à travers le monde anglo-saxon, Etats-Unis, Angleterre, Nouvelle-Zélande, et implantés de manière parfois officielle, telle la médiatique Church of Satan d’Anton LaVey méprisée des puristes. Les groupes sataniques sérieux ne se font pas connaître publiquement et il n’y a pas d’annonce pour recruter, sauf dans le cas de manipulation des services secrets qui pourraient contrôler des ordres sataniques bidons. En France, un chercheur sans relation initiatique n’a pratiquement aucune chance d’en découvrir, y compris sur internet où pullulent les sites de farces et attrapes dont les noms diaboliques évocateurs ne cachent souvent qu’une personne isolée qui joue à « coucou fais-moi peur ». La mode Goth n’est pas du satanisme, pas plus que le paganisme, la sorcellerie ou la magie noire ou grise.)

Alors, ayant compris de quoi il retourne, un candidat peut prendre la décision d’entreprendre la quête selon la « Voie de la Main gauche » et se mettre à « vivre sataniquement » (C’est à dire librement, non pas anarchiquement, mais en ne comptant que sur les règles qu’il s’impose à lui-même).

Cela est généralement formalisé par un simple rituel d’initiation – dont la fonction est de permettre au candidat d’affirmer son désir de suivre la voie de Satan. Ce rituel peut être de nature cérémonielle, à travers la structure d’un ordre ou d’un groupe satanique, ou bien une auto-initiation. Des exemples de rituels pourront être découverts par ceux qui sont assez curieux pour chercher.

Selon ce processus, on se livrera à diverses techniques et méthodes au cours d’une période de plusieurs mois, sachant que leur seule finalité est de poser une fondation satanique solide en terme de force de caractère. Ces techniques sont disponibles dans divers écrits satanistes (littérature anglo-saxonne spécialisée). Un certain nombre de ces méthodes servent à obtenir de l’expérience dans le monde réel , alors que d’autres impliquent un travail occulte et magique – comme les rituels. Une grande insistance est donnée au désir de réussite et à l’effort personnel.

Cette période de noviciat dure à peu près un an, parfois deux. Il y a des défis à affronter, des épreuves pour renforcer notre force de caractère, forger notre jugement, développer l’intuition et la maîtrise de soi. Bien entendu, il y a aussi des satisfactions charnelles, matérielles, et spirituelles (dans le sens maléfique, naturellement !)

Il se développe un éveil du sens de sa propre destinée et une compréhension de ce qui demeure caché au grand nombre à cause du niveau de conscience rudimentaire.

Pendant cette période, l’on commence à soutenir les forces obscures simplement en commettant des actes sataniques individuels. C’est aider l’évolution de notre propre individualité mais également de l’existence en général. L’on prend personnellement de l’importance par nos actes et nos succès

Si l’on est assez chanceux, l’on pourra bénéficier de la direction et des conseils d’un sataniste qui a déjà parcouru le chemin – un Maître ou une Maîtresse satanique.

Ce qui est important avant tout, c’est de vivre notre vie, réaliser concrètement, agir sur le monde réel, apprendre et développer notre force de caractère, la connaissance, etc...

La plupart des gens gaspillent leur vie. Quant à lui, un sataniste veut devenir un dieu et se prépare à changer le monde pour que ses rêves s’accomplissent. La plupart des gens rêvent mais ils manquent de courage pour agir.

Ce n’est pas important si les choses ne marchent pas comme prévu, car il y a d’autres lieux dans d’autres temps. Il y a toujours de nouveaux rêves à réaliser. Et la vie ne s’achève pas avec la mort du corps causal – l’on peut devenir immortel ! C’est seulement la forme de vie qui change. Toutefois, cette immortalité n’est pas donnée – ce n’est pas une récompense. Elle doit être conquise par un acte conscient : devenir UN avec les forces des ténèbres elles-mêmes, s’unir à Satan, le suprême et terrible inconnu ténébreux.

Il y a tant de choses puissantes dans l’univers, mais rien ne surpasse l’Homme. Parmi toutes les forces de vie, nous possédons individuellement le plus grand potentiel : le feu créateur de la vie est au dedans de nous. Le Satanisme est un moyen, non seulement de le comprendre, mais de le mettre en application – d’actualiser ainsi notre divin (et diabolique) potentiel. Pour vivre l’existence de façon totale. Pour collaborer sataniquement avec l’évolution et nous élever jusqu’à un autre royaume.

Mais le Satanisme est également dangereux – c’est une voie d’expérimentation redoutable. Il requiert un véritable désir démoniaque et une grande force de caractère. C’est une Hérésie originelle ! Elle est donc réservée aux rares élus capables de défier l’existence, et qui, désirant devenir comme des dieux, sont disposés à en assumer les risques. Ces risques peuvent être fatals. On ne badine pas avec Satan.



Note de René Guénon sur les "saints de Satan" :
"Le dernier degré de la hiérarchie « contre-initiatique » est occupé par ce qu’on appelle les « saints de Satan » (awliyâ esh-Shaytân), qui sont en quelque sorte l’inverse des véritables saints (awliyâ er-Rahman), et qui manifestent ainsi l’expression la plus complète possible de la « spiritualité à rebours ». [...]
(...) sorte de « réalisation à rebours », cette voie ne peut aboutir finalement qu’à la « désintégration » totale de l’être conscient et à sa dissolution sans retour. (Cet aboutissement extrême, bien entendu, ne constitue en fait qu’un cas exceptionnel, qui est précisément celui des awliyâ esh-Shaytân ; pour ceux qui sont allés moins loin dans ce sens, il s’agit seulement d’une voie sans issue, où ils peuvent demeurer enfermés pour une indéfinité « éonienne » ou cyclique.)

vendredi, octobre 12, 2018

La chasse aux pédocriminels satanistes devrait commencer



Le Monde est sur le Point d'Apprendre les Horribles Crimes de la Mafia Khazariane




Par Benjamin Fulford 



La mafia Khazariane a torturé, assassiné et cannibalisé des enfants et ce, à des proportions horribles, et le monde est sur le point de l'apprendre alors que les tribunaux militaires commencent leurs travaux. Des images et des témoignages très troublants envoyés par la police de New York et la CIA montrent à quel point la mafia Khazariane est vraiment monstrueuse. Ces gens sont au-delà de la vérité et de la réconciliation et ne méritent même pas une mort rapide.

Commençons par les statistiques du FBI sur les enfants disparus aux États-Unis, afin que les sceptiques puissent empêcher que le diabolisme même de ces actes ne leur bloque l'esprit. En 2015, 442 032 mineurs ont disparu, dont 42 032 n'ont pas été retrouvés.


https://www.fbi.gov/file-repository/2015-ncic-missing-person-and-unidentified-person-statistics.pdf/view


En comparaison, la même année, au Japon, 17 971 enfants (l'équivalent de 44 927 aux États-Unis, après ajustement pour tenir compte des différences démographiques) ont disparu, et près de 99 % de ces enfants ont été retrouvés.

https://www.npa.go.jp/safetylife/seianki/fumei/H28yukuehumeisya.pdf

Les photos ci-dessous, envoyées par la CIA, sont en rapport avec Anderson Cooper, star de CNN et héritier de FRB Vanderbilt et peuvent donner un indice sur ce qui est arrivé à au moins certains de ces enfants.

La vidéo ci-dessous, qui a été envoyée par messagerie par la Police de New York à la CIA, est encore plus effroyable. On y voit une jeune fille dont le visage aurait été arraché par Hillary Clinton dans un rituel satanique. Attention, c'est très visuel et j'ai arrêté de regarder peu après 2 minutes.

https://youtu.be/zIbY6jyQpJ8

Maintenant, je commence à comprendre le regard d'horreur sur le visage de George Soros lorsque, lors d'une conférence de presse, je lui ai posé une question sur les familles qui possèdent la Réserve Fédérale (FRB). Il avait probablement vu ce genre de choses de première main.

La poursuite de ces criminels devrait enfin commencer, maintenant que le gouvernement militaire des États-Unis, qui soutient le président Donald Trump, a obtenu une majorité à la Cour Suprême avec la confirmation du juge Brett Kavanaugh, indiquent des sources au Pentagone. 

Les sources expliquent "Le procureur général Jeff Sessions a déjà rencontré le véritable procureur spécial, le procureur fédéral John Huber de l'Utah, afin que les 57 000 actes d'accusation puissent être descellés,".

"Le siège de Kavanaugh à la Cour Suprême devrait déclencher la déclassification des documents de la FISA et autres, ainsi que les tribunaux militaires", disent les sources. En outre, ils ajoutent : "Le Sénat a approuvé à l'unanimité une résolution demandant la déclassification des documents du 9/11, de sorte que le décor est maintenant planté pour faire tomber les Sionistes et l'État Profond."


Un autre aspect dans le déclenchement des poursuites contre ces criminels est l'action militaire conjointe en cours, avec les États-Unis et la Russie, contre l'État renégat d'Israël, disent les sources. En particulier, " la guerre électronique de la Russie ne vise pas seulement à imposer une zone d'exclusion aérienne au-dessus d'Israël, mais aussi à empêcher le lancement de missiles InterContinentaux et autres, rendant l'option Samson obsolète et faisant que le désarmement nucléaire soit la seule option possible ", expliquent les sources du Pentagone. 

Autrement dit, Israël ne peut plus utiliser le chantage nucléaire pour protéger les satanistes aux États-Unis. De plus, des sources de la P2 du Vatican confirment que le Premier Ministre Israélien, Benjamin Netanyahou, est un assassin satanique qui doit être arrêté ou mis hors d’état de nuire le plus tôt possible.

Et ils continuent en disant: " Les États-Unis et la Russie envisagent aussi d'imposer un blocus maritime et terrestre à Israël pour forcer cet État à mettre fin à ses activités criminelles.

Les sources ont envoyé cette photo avec l'explication que "même la Maison Blanche a déclaré Octobre Rouge".

Les sources du Pentagone ont également déclaré : "Il semble que la Cabale ayant perdu un sous-marin ou une base sous-marine, ait riposté en envoyant du ricin au secrétaire de la Défense James Mattis et au chef de la marine John Richardson."

Les sources du Pentagone faisaient référence à la destruction d'une " résidence refuge pour les Clinton ainsi que leur entourage, dont un bunker souterrain construit pour stocker l'or ", selon des sources de la CIA en Indonésie.

Cette destruction fait la une de l'actualité alors que le récent tsunami qui a frappé l'Indonésie, et sur lequel même des experts cités par The Washington Postnote ont fait référence comme "...n'étant pas un événement simple", a déclaré Adam Switzer, chercheur principal au Earth Observatory, à Singapour. "Ce tremblement de terre était au-delà des limites des systèmes d'alerte" disponibles.

Voici la véritable explication, selon la CIA :

"Clinton contrôlait l'or provenant de la mine de Grasberg / Freeport. La Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative, avec un bureau en Papouasie, étaient l’instrument pour blanchir l'argent obtenu de la vente de l'or non déclaré. (Beaucoup de tout cela était de l'or hors-livre).

"Mme Clinton a fait affaire avec une certaine faction de l'armée Indonésienne pendant des années - ceux qui en contrôlent l'accès là-bas.

"Les Chinois ont confirmé tout cela et savaient que le seul moyen était de l'inonder. Le tsunami a été déclenché par les Chinois.


"Le tsunami n'a pas été possible, scientifiquement parlant. Tout a été fait avec soin, puis imputé à une technologie défectueuse et à un angle de glissement de faille "bizarre". Mais cet angle de glissement de faille était "bizarre" (si vous demandez aux géologues) parce que ce n'était pas naturel.

"Les systèmes de communication peuvent être manipulés. C'est pourquoi le troisième tsunami n'a pas été montré. Ce système d'alerte aux tsunamis fonctionne depuis qu'il a été mis au point après la catastrophe de Noël 2004.

"Il y a des lasers invisibles qui n'ont pas de couleur dans le spectre visible. Cela va au-delà du DEW (Directed-Energy Weapons). Au-delà du DEW, il y a un laser NON visible. Les militaires Chinois sont brillants, cela ne peut être détecté. Ils ont pris la technologie DEW et l'ont améliorée.

"C'était un coup direct provenant d'une arme laser invisible de la Chine. Cela a détruit la résidence refuge de Clinton, l'entourage qui y vivait et leur bunker souterrain. Malheureusement, il y a eu de sérieux dommages collatéraux."

Les sources de la CIA affirment que près de 500 millions de dollars en espèces (et non 270 millions de dollars comme on l'a signalé la semaine dernière) ont été saisis par les forces spéciales lors de la descente dans la cachette de Clinton avant sa destruction. Vous trouverez ci-dessous une capture d'écran Google Earth du complexe détruit.

L'argent a été réparti "entre un certain groupe de hauts responsables du gouvernement Indonésien, dont le Vice-Président Jusuf Kalla, et le cercle restreint de Trump, militaire inclus", selon les sources. On sait maintenant pourquoi les généraux ont reçu du ricin par la poste.
Nous avons également été autorisés à donner à nos lecteurs plus d'informations sur l'une de nos sources CIA. Celui-ci était responsable des services clandestins de l'agence à Jakarta, travaillant de l'ambassade des États-Unis de 1965 à 1985.
"Quand il était là, il m'avait dit qu'il n'y avait que 20 citoyens Américains vivant en permanence à Jakarta. Tous travaillaient sous couverture à l'Ambassade diplomatique. Il m'a dit, et je cite : " Notre équipe a reconduit Bung Karno (le président Sukarno) hors du pouvoir et nous avons installé Soeharto à sa place ".

"Et oui, son équipe, ainsi que le siège de Langley et d'autres agences alphabétiques, ont aidé Soeharto à tuer jusqu'à un million de Chinois Indonésiens qui étaient qualifiés de PKI (Partai Komunis Indonesia). Il s'agissait d'un démantèlement soigneusement planifié de la soi-disant opposition de Soeharto. Cela a été également planifié avec le gouvernement Australien ; ils ont été fortement impliqués dans cette tentative de génocide. C'est également à cette époque que Soeharto a cédé le contrôle de Freeport à l'Agence. Il y a tellement plus que cela dans cette affaire, mais cela suffit pour l'instant.

"J'ai demandé à ce cow-boy pourquoi il avait fait cela ; sa réponse : " C'était mon travail. Je travaillais pour le gouvernement des États-Unis. Vous n'avez pas posé de questions à l'époque. Si ça avait été le cas, vous auriez disparu. 

Il m'a dit qu'il était personnellement impliqué dans l'envoi de deux cargos de riz à Kalimantan, car là-bas, ils n'avaient rien à manger et les Dayaks et les Malais mouraient de faim pendant cette crise, car tous les envois de riz de Jakarta étaient bloqués (Il l'a fait avec du personnel privé.) Et pour ajouter encore plus, oui, il était proche du cartel Bush Senior à l'époque. Il faisait partie de la vieille garde. Il n'en reste plus beaucoup."

Pour terminer, notre source, qui est liée aux bases secrètes de l'Antarctique (il est un parent de l'amiral Richard Byrd, célèbre explorateur de l'Antarctique), nous a rappelé qu'il s'y passait quelque chose de vraiment bizarre, disant que la citation ci-dessous de la semaine dernière était vraie :

"L'Antarctique ouvre un WORMHOLE. Oui, il y a là-bas une " ouverture " vers d'autres dimensions. En raison des déplacements magnétiques extrêmement élevés qui se produisent dans et près de l'Antarctique, il s'agit littéralement de " déchirer un nouveau tissu " dans le champ dimensionnel. C'est la raison pour laquelle TOUS ces chefs de gouvernement se sont rendus là-bas. C'est pourquoi ils ont fermé l'Antarctique au public et ainsi de suite. Le public ne reçoit que 5% de l'histoire. Et maintenant tu as l'autre version."


Cette source a noté que même des publications réputées comme Scientific American rapportaient : "Il y a quelque chose de mystérieux qui arrive au sol gelé de l'Antarctique, et cela pourrait bouleverser la physique telle que nous la connaissons."

Nous essaierons à nouveau de visiter l'Antarctique au cours de l'été austral afin de rapporter directement à nos lecteurs ce qui s'y passe réellement. S'il y a vraiment une anomalie, comme un vortex qui s'y ouvre, toute la population de la planète devrait en être informée et en avoir la preuve, pas seulement quelques dirigeants.


Vincenzo Mazzara, membre des Chevaliers Teutoniques et doyen de la Loge des Francs-Maçons P2 du Vatican, dit que des préparatifs sont en cours pour que l'humanité commence à construire une flotte de vaisseaux-arcs et se déployer dans l'univers.

Comme d'habitude, ma réaction à ce genre de choses est d'y croire quand je le vois. Pour l'instant, la Société Dragon Blanc s'efforce d'obtenir un financement de plusieurs milliards de dollars pour une campagne terrestre massive visant à mettre fin à la pauvreté et à la destruction environnementale.


Traduction Estelle Petite Etoile.
Version originale anglaise : http://www.benjaminfulford.net


Ndlt : Pour ceux qui comprennent l’anglais, je suggérerais vraiment, que vous vous abonniez à la lettre hebdomadaire de Benjamin Fulford. Les gens comme lui travaillent fort pour nous, et ce, au péril de leur vie. Les soutenir est un tout petit moyen de leur témoigner notre reconnaissance.

By Le Suisse - octobre 12, 2018



Les aventures extraordinaires de l'amiral Richard Evelyn Byrd (1888-1957) 


Extrait d’un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra (n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980) :

“1926 : Byrd, accompagné d'un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchait depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, et dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu'un rocher vertical. Soudain, du haut de la falaise blanche où l'expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable.

Sous leurs yeux médusés s'étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d'une végétation luxuriante et apparemment baignée d'un chaud soleil permanent. Une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace. (…)

Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde. Ils entraient dans une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8 c) les obligea à quitter leurs équipements d'explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. (…)

Hélas ! Il fallait borner là, l'exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manque de vivres, et l'épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d'ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.

Quelques jours plus tard, après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu'ils appelaient entre eux le "paradis perdu". Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée”.

Si Byrd n'était pas Amiral dans l'U.S. Navy, et s'il n'avait pas participé par la suite à de nombreuses autres expéditions polaires (1929, 1936 ,1947, 1956) nous pourrions considérer ce récit comme le début d'un roman fantastique ou d'une amusante plaisanterie. Mais Byrd consacra une grande partie de sa vie à l’exploration des pôles et il déclara successivement :

- En 1947 : qu'il aimerait revoir cette terre au-delà du Pôle Nord, qui est "le centre du grand Inconnu".

- En novembre 1955 avant son départ pour explorer le pôle Sud : "C'est la plus importante expédition de l'histoire du monde".

- En janvier 1956 dans un message radio en provenance de l'expédition antarctique et confirmé par la presse américaine du 5 février 1956 :

"Le 13 janvier, des membres de l'expédition des États-Unis ont accompli un vol de 4 300 km à partir de la base de Mc Murdo Sound, située à 640 km à l'Ouest du pôle Sud et pénétré dans une terre sur une distance de 3700 km au-delà du pôle".

- En mars 1956 à son retour du Pôle Sud : "La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire".

(NB : Notons avec soin le terme "Au-delà" et non "au-dessus" utilisé par l'amiral Byrd). Si Byrd avait volé au-dessus des pôles Nord et Sud, en direction des immensités glacées qui s'y étendent, il serait incompréhensible qu'il ait qualifié ce territoire de "Grand Inconnu".)

Livres (en anglais) :





(en français) :


Seul 
Premier hivernage en solitaire dans l'Antarctique, 1934
Richard E. Byrd 


21 mars 1934 : l’automne austral commence. Le 28 mars, les cinquante-cinq membres de l’expédition Byrd prennent congé de leur chef Byrd pour 5 mois à 80° de latitude sud et regagnent la Petite Amérique, leur mouillage à dix jours de marche de là. Richard Byrd est seul, avec pour unique occupation, outre les relevés scientifiques, l’observation du ciel qui s’assombrit chaque jour, jusqu’à l’obscurité complète de l’hiver. Le solitaire pourtant ne chôme pas, la survie est une ruse de tous les instants, contre une nature qui semble ne connaitre qu’un registre : celui de la violence. Naufragé volontaire au cœur de l’Antarctique, Richard Byrd devra affronter les éléments déchaînés, la peur, la folie. Lucidité et honnêteté : telles sont les maîtresses vertus de ce récit qui ne nous épargne rien de ce qu’il advient à l’infortuné prisonnier de lui-même. L’expérience sera terrible. Byrd mettra quatre ans avant de se décider à la raconter. Un recul qui lui permettra de tourner le dos au style purement documentaire qu’attendaient sans doute ses lecteurs et de livrer l’un des plus grands livres jamais écrits sur la solitude.


Qui est Benjamin Fulford ?

par Laurent Freeman

Benjamin Fulford fils d’un diplomate canadien basé en Amérique du sud, Benjamin Fulford part faire des études de journalisme à Tokyo dans les années 80, après avoir passé cinq ans dans une tribu amazonienne. A la fin de son cursus universitaire, il est embauché par le magazine Forbes Asia, au sein duquel il va gravir les échelons jusqu’à en devenir directeur de publication. A ce titre, il sera amené à côtoyer nombre de ministres de la zone Asie, et en gardera un carnet d’adresse qu’on imagine épique. Il a également animé un talk show d’économie, en prime time sur un des principaux networks japonais.

Au pays du soleil levant, c’est un journaliste connu, qui a vendu plus d’un million de livres sur les quelques-uns qu’il a publié. Au début des années 2000, il va claquer la porte de Forbes en publiant, contre l’avis de sa hiérarchie, une enquête sur la corruption mettant en cause le ministre des finances japonais d’alors. A la suite de quoi il sera contraint de basculer dans la clandestinité, et se verra alors offrir l’aide et la protection de la Société du Dragon Blanc, dont il se fera occasionnellement le porte parole auprès des occidentaux au pouvoir sur notre planète.

La tentaculaire Famille du Dragon, pendant asiatique de la franc-maçonnerie, est présente dans plus de 170 pays et véhicule ses valeurs humaines aux travers notamment des arts martiaux. Pas un club d’arts martial qui ne s’ouvre sans leur assentiment tacite. Elle se targue d’avoir une armée d’un million de ninjas surentraînés disséminés aux quatre coins de la planète, et tente de contraindre les familles régnantes à la reddition afin de libérer l’humanité du joug de l’asservissement. C’est notamment elle qui est à la manœuvre derrière le procès Keenan, en rapport avec l’arrestation à la frontière italienne en 2009 de deux japonais transportant l’équivalent de 450 milliards de $ en bons du trésor US, que la justice italienne a saisis en prétextant qu’ils étaient faux.

En lisant Fulford, on est immédiatement plongé dans un monde d’arcanes totalement inaccessibles au commun des mortels. Il survole la géopolitique mondiale avec une vision d’ensemble que d’aucuns qualifieraient de totalement délirante. Et encore, l’adjectif est faible : les aventures de James Bond, à côté, c’est tricot magazine ! On nage donc avec allégresse en plein délire mythomane, et c’est tellement jubilatoire qu’à chaque exemplaire de sa newsletter (sur abonnement, à 2$ l’unité) les commentaires s’empilent sur des kilomètres, drainant toutes sortes d’illuminés dans leur sillage, à l’instar d’un David Wilcox ou d’un Alfred Lambremont Webre. Mais à l’origine de la légende, il y a les faits qui valident la crédibilité de l’artiste. Un vrai journaliste, sans concession, qui va effectivement sacrifier sa carrière sur l’autel de la vérité. Et il est visiblement allé très haut (jusqu’au dessus) ! A ce titre comme tout emmerdeur patenté qui se respecte, il afficherait plusieurs tentatives d’assassinat au compteur, de nombreuses campagnes de diffamation (on le dit notamment toxicomane), et il est vrai que lui-même n’hésite pas à défrayer la chronique, avec des interventions pour le moins déconcertantes !

Pour ma part, j’ai commencé à le suivre de près en mars 2011, quand, peu de temps après avoir appris la mise en industrialisation au Japon des moteurs Minato et assisté aux premiers tests de véhicules propulsés à l’énergie libre, j’ai vu déferler la plus grosse vague de l’histoire et que, 911 et guerre en Irak aidant, je me suis surpris à me demander si quelqu’un, quelque part, comptabilisait les têtes nucléaires US. C’est effectivement lui qui aura été le premier a parler d’acte de guerre à propos du tsunami du 11/3.

Bref, vous l’aurez compris, c’est un OVNI journalistique que je vous propose de découvrir. Il est tellement hors cadre que, même si la plupart des infos qu’il balance ont beau être reprises un peu partout sur la toile, chercher à les recouper est un véritable chemin de croix, qui ramène bien trop souvent à sa seule source. Épisodiquement, on voit passer une news qui vient confirmer, parfois avec un mois de décalage, quelque propos surréaliste tenu dans ses colonnes. Mais ses analyses présentent malgré tout l’avantage d’offrir une vision beaucoup plus orientale des événements du monde, car il est indubitablement plus japonais que canadien, malgré les apparences.

Source :

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