samedi, novembre 03, 2018

Les Juifs et le Talmud




Les livres des Editions Omnias Veritas sont rarement vendus dans les librairies, "… car il n’y a que les gens qui disent la vérité qui ne peuvent pas vendre leurs livres. Les livres que vous pouvez acheter partout ne vous apprendront jamais rien. Mais ces livres qui sont vendus sous la table, vous pouvez y trouver la vérité." (Roger Dommergue)


Les éditions Omnia Veritas rééditent le livre Les Juifs et le Talmud publié pour la première fois en 1913 et sous-titré "Morale et Principes sociaux des Juifs".

L'auteur, Flavien Brenier (1881-1932), dit Brenier de Saint-Christo, était un journaliste, polémiste et militant nationaliste français, actif dans différentes organisations royalistes, antidreyfusardes, antimaçonniques et antimarxistes. 

 
La puissante secte mondialiste et son messianisme


Flavien Brenier : 

"En consacrant cette étude à la secte des Pharisiens et à son code de morale, le Talmud, nous n’avons pas eu pour but de prêcher une haine sauvage contre la race juive ; rien n’est plus éloigné de notre pensée. Nous avons voulu, constatant la nocivité fondamentale de l’élément juif, en rechercher la cause, et nous sommes arrivés à cette conclusion que le Juif, avant d’être un malfaiteur, a été une victime : intoxiqué par la société secrète pharisienne, il s’est saturé de son poison, et, depuis vingt siècles déjà, il le dégorge sur le monde. [...]

Le roi-Messie antichrétien des Juifs

Le Talmud abonde en prédictions sur ce que se passera à la fin des temps, quand viendra le roi-Messie qui « broiera les non-Juifs sous les roues de son char ». 

Il y aura alors une grande guerre pendant laquelle les deux tiers des peuples périrent. Les Juifs, vainqueurs, mettront sept ans à brûler les armes des vaincus. Ceux-ci se soumettront aux Juifs et leur feront de grands présents, mais le roi-Messie n’acceptera pas le tribut des chrétiens, qui devront être entièrement exterminés

Tous les trésors des peuples passeront dans les mains des Juifs, dont la richesse sera sans mesure : les trésors du roi-Messie seront si vastes que les clefs qui serviront à l’enfermer fermeront la charge de trois cents de somme ; quant aux simples Juifs le moindre d’entre eux recevra deux mille huit cents esclaves. 

Après l’extermination des Chrétiens, les yeux des autres peuples s’ouvriront : ils demanderont la circoncision et l’habit de prosélytes, et le monde entier ne sera plus peuplé que de Juifs. Alors, la terre produira sans travail des gâteaux au miel, des vêtements de laine, et de si beau froment que chaque grain en sera aussi gros que les deux rognons du plus grand bœuf (Traité Sanhédrin, folios 88b. et 99 a ; Jalqût Siméoni, folios 56 ; Bachaï, folio 168 ; Sanhédrin, folio 101 a et b ; Maschmia Jeschûa, folios 49 a et 65 b ; Pesachim, folios 118 b et 119 a ; Bachaï, folio 72 a ; Jebammoth, folio 24 b ; Aboda Zarah, folio 3 b. Etc. etc.)

Nous avons tenu à rapporter ces fables et ces prédictions — qui portent dans le Talmud le nom de Aggades (récits) — parce qu’elles servent à mesurer la déchéance intellectuelle que la conquête pharisienne a infligée à la nation juive, et aussi parce qu’elles permettent de comprendre l’atmosphère d’orgueil délirant et de soif de domination dans laquelle Israël vit depuis des siècles."




vendredi, novembre 02, 2018

Les talmudistes ne sont pas les principaux responsables de la décadence moderne

La tuerie de Pittsburgh est la plus meurtrière contre la communauté juive aux États-Unis. Le journal israélien Haaretz dénonce un pogrom.

Le 27 octobre 2018, onze personnes ont été tuées et neuf autres blessées lors de l'attaque de la synagogue de Pittsburgh en Pennsylvanie. 

Le seul suspect de cette horreur est un suprématiste blanc, adepte d'armes à feu, nommé Robert Gregory Bowers (46 ans). Il voulait tuer les juifs, des "enfants de Satan" qu'il accusait de soutenir les migrants. 



"Les juifs risquent des pogroms épouvantables."
Roger Dommergue (vidéo).


Le professeur juif Roger Dommergue avait mis en garde sa communauté contre des explosions de violence comparables aux pogroms d'autrefois.


"Serons-nous toujours, écrit Roger Dommergue, par un fanatisme qui refusera de comprendre la réalité hormonale, soumis a un tragique fatum qui nous oblige soit être ignoblement massacrés, comme dans les pogroms russes, soit de massacrer l'humanité comme Freud et Marx ainsi que toute la conjoncture judéo-cartésienne où nous détenons une puissance politique absolue ?" 

"Victimes d’eux-mêmes, précise le Professeur Dommergue, hypnotisés par un rite à caractère religieux dont ils ne soupçonnent pas la malfaisance, ils sont tout entier incrustés dans la malédiction. Les Juifs se considèrent donc différents des autres, et ils le sont. De ce fait il est fatal qu’ils soient toujours et aujourd’hui plus qu’hier, un corps étranger parmi les nations.

Ils pénétrèrent les nations comme des étrangers Ils formaient donc un peuple parmi les peuples conservant ses caractères grâce à la circoncision premier-pubertaire et à des rites stricts et précis, grâce également à des lois qui les tenaient à l’écart et les perpétuaient. Ils entrèrent dans les sociétés non pas comme des hôtes modestes mais comme des conquérants. Ils s’emparent alors du commerce et de la finance, mais pas de façon aussi radicale et absolue qu’en l’an 2000. Ils ont un esprit de supériorité et une avidité pour l’argent qui les pousse à l’usure source épi-centrique de l’anti-juivisme de tous les temps et de tous les lieux. On les accueille d’abord sans préjugés, on leur octroie même des traitements de faveur qui consolident leur position. Leur prestige dans la richesse acquise au détriment de ceux qui les accueillent provoque une profonde aversion, le peuple s’exprime alors en pogroms et en expulsion du pays d’accueil. Telle fut partout et sans exception le cheminement de l’histoire juive. Aujourd’hui la situation est infiniment pire car leur hégémonie étant totale, les peuples sont réduits à la misère et à la dégénérescence."


Julius Evola refusait d'attribuer au seul juif la responsabilité de la subversion mondiale 

Lettre de Pierre Audabram au Professeur Roger Dommergue :

(...) il n'y a pas de contradictions flagrantes entre votre œuvre et celle d'Evola dans la mesure où l'on veut bien admettre qu'Evola pouvait ignorer les conséquences funestes de la pratique de la circoncision au 8ème jour après la naissance.

Il est évident que s'il avait connu et apprécié à sa juste valeur l'ensemble des données de votre domaine de recherches, celles-ci auraient figuré quelque part dans l'ensemble de ses livres.

En fait, la seule différence que l'on peut établir entre votre étude et celle d'Evola est une appréciation  différente des facteurs de décadence du monde moderne. Evola refuse d'attribuer au seul JUIF LA RESPONSABILITÉ DE LA SUBVERSION MONDIALE. Non qu'il nie la participation fondamentale et spectaculaire de la part des "circoncis" à cette subversion, mais il nous met en garde contre la tentation de vouloir à tout prix simplifier les données du problème en désignant un ennemi unique.

La décadence moderne est le produit de nombreux facteurs. La subversion judéo-maçonnique est pour Evola, un facteur secondaire, qui ne contredit en rien que les circoncis soient les agents dynamiques de cette fin de cycle telle que vous l'expliquez.

Il est souhaitable, je crois, de percevoir de la manière qui convient les facteurs premiers à savoir que, la juste appréciation de ceux-ci nous arrache au domaine de la pure polémique, au domaine du contingent, pour nous intégrer dans le monde des réalités métaphysiques, de ses lois et de ses conséquences.

Vous parlez du Kali yuga. Vous n'ignorez donc pas la doctrine des 4 âges et tout ce qui relève de la cyclologie universelle. Vous savez donc que les altérations successives du tissu social de l'humanité répondent à des influences cosmiques échelonnées dans le temps et auxquelles l'humanité ne peut en aucun cas échapper. Pourquoi alors vous battre avec un tel acharnement pour faire admettre des vérités aux représentants les plus saillants de cette humanité privée de toute transcendance ? Vous savez bien qu'ils ne pourront jamais comprendre les vérités que vous énoncez. Ils ne pourront jamais accéder à la vision totale et transcendante du monde. Ils appartiennent au monde et ne sont que des résultats. Vous n'appartenez pas au monde vous êtes en dehors de lui et le passez au crible de votre vision globale, ce qui vous fait souffrir. 

Les cycles se succèdent et je crois que la meilleure manière de se tourner vers l'avenir est de fuir les conflits désagrégateurs en misant toute notre énergie sur l'étude la plus complète possible des causes premières et secondes de la déchéance moderne. A cet égard, votre contribution restera remarquable et il est nécessaire que tous ceux qui s’intéressent à cette véritable recherche prennent connaissance de vos travaux. Il nous appartient de nous tourner vers ceux qui cherchent et de les instruire. Il existe encore des hommes qui s'obstinent à rester debout : la difficulté est de les rencontrer...

Pierre Audabram.


Livres et pdf gratuits de Roger Dommergue :

mercredi, octobre 31, 2018

Les Brigandes et l'islamisation de la France




Réponse des Brigandes à un musulman : sommes-nous « islamophobes » ?

Un musulman français qui se dit patriote et s’intéresse à des auteurs comme Alain Soral, Pierre Hillard ou Youssef Hindi nous a écrit récemment pour nous demander notre vision de l’Islam : « êtes-vous vraiment « islamophobes » ? »


Il s’interrogeait aussi sur la politique des lobbies oligarchiques, qui taxent d’islamophobie des groupes dissidents comme le nôtre, mais combattent pourtant des musulmans notamment pour les intérêts d’Israël.

Afin de clarifier notre position sur l’Islam et l’islamophobie, il nous a paru opportun de publier notre réponse, qui n’est cependant pas exhaustive :


Cher ami,

Tout d’abord, merci pour votre mail et l’intérêt dont il témoigne.
De celui-ci, si je comprends bien, ressort deux interrogations majeures :

– Qui sommes-nous ? Sommes-nous vraiment « islamophobes » et « racistes » ?

– Quelle est la politique des lobbies oligarchiques envers l’Islam ? Ils attaquent les musulmans ennemis d’Israël d’un côté, et ils dénoncent en Europe les groupes prétendument « islamophobes » : « c’est à n’y rien comprendre ! » dites-vous.

Première question :

Nous défendons la diversité de l’ordre naturel, voulue par Dieu, et donc l’identité de tous les peuples et communautés possibles et imaginables. Ainsi, nous estimons que l’Islam est légitime en terre arabe et que cette religion correspond à ce peuple. Par contre, nous estimons que la diffusion de l’Islam en Europe nuit à notre civilisation, car cette religion n’est pas adaptée aux peuples européens qui ont développé d’autres systèmes spirituels et culturels dans lesquels ils peuvent réellement être ce qu’ils sont. En fait, nous sommes contre le mondialisme, car le mondialisme détruit la diversité et donc la vie. Or, la diffusion de l’Islam en Occident est une conséquence du mondialisme. Autant que la diffusion d’une certaine culture occidentale de bas-étage dans le monde entier, chose que nous condamnons aussi. Chaque civilisation devrait avoir ses propres systèmes d’évolution et ses propres référentiels sociaux et spirituels.


Au vu des auteurs que vous avez pour références, je ne vous apprendrai donc rien en vous disant que tous ceux qui s’opposent au rouleau compresseur du mondialisme, et défendent leur patrie, sont taxés par la propagande médiatique de « racisme » et autre « fascismo-nazisme ».

Concernant « l’islamophobie » : nous ne sommes pas contre l’Islam dans la mesure où il évolue dans le monde arabe qui lui est propre, et dans la mesure où il est cadré pour ne pas devenir un outil de conquête, dérive que cette religion a connue à plusieurs reprises. Comme le catholicisme, oui. C’est le problème du monothéisme : le monothéisme peut dériver facilement vers le mondialisme, surtout lorsqu’il s’insinue dans le politique (un seul Dieu qui donne une seul Loi et une seule religion pour le monde entier). Une religion monothéiste doit donc être bien séparée du politique, selon notre opinion.

Par contre, en ce qui concerne l’utilisation de l’Islam faite en Occident (chose sur laquelle nous reviendrons pour ce qui est de la deuxième question), oui nous sommes en partie « islamophobes » (« phobe » : la peur). Comment ne pas l’être, en tant qu’Occidental, lorsqu’on sait que dans de nombreux milieux musulmans monte la haine du blanc et du chrétien ? Ce qui n’est pas la faute du simple croyant musulman, mais la faute d’un grand courant musulman dont les autorités font le jeu du mondialisme. Mais c’est un autre sujet, que nous aborderons en partie pour ce qui concerne la 2ème question. De nos yeux d’Occidentaux, nous constatons que l’Islam qu’on nous amène n’est pas notre ami, et de toute façon ne correspond pas à notre civilisation. Donc nous disons : soit vous respectez réellement ce que nous sommes, soit vous retournez en terre d’Islam pour vivre pleinement votre religion. Un musulman qui respecte la France et l’Europe et ne cherche pas à faire de prosélytisme pour sa religion n’a pas de raison d’être inquiété chez nous. Notre chanson Foutez le Camp ne dit pas « Si vous êtes musulmans, foutez le camp ! », mais bien : « Si vous n’aimez pas la France, foutez le camp ! » Un musulman qui aime la France, avec tout ce que cela implique, a sa place ici s’il est né ici. Mais combien de musulmans aiment vraiment la France ?

Cela nous amène à la deuxième question :

L’oligarchie mondialiste utilise les grandes religions, ce sont de puissants instruments pour soulever les foules. Elle utilise d’autant plus facilement les religions monothéistes qui, comme dit plus haut, peuvent dériver facilement vers le mondialisme. L’Islam n’échappe pas à cela.

Cette religion est diffusée massivement en Europe pour briser plus encore l’identité européenne, pour faire en sorte que vivre dans un monde où l’Islam est une des religions principales devienne « normal » pour les nouvelles générations occidentales. Cela s’intègre au plan des mondialistes : détruire les particularités nationales et tout mélanger pour créer une « civilisation unique » sur Terre. L’islamisation de terres occidentales permet d’avancer ce mélange et, sans doute aussi, de tenir davantage l’Islam sous contrôle et de tester différentes choses pour l’adapter au monde moderne. Entendons-nous bien : il est clair que le but de l’oligarchie mondialiste n’est pas d’imposer la charia dans le monde occidental, cela n’aurait pas de sens pour ses intérêts ! Son but est d’arriver au final à fondre monde musulman et monde occidental dans la grande soupe cosmopolite mondiale. L’oligarchie mondialiste veut un monde unifié et uniformisé selon ses intérêts, elle ne veut rien d’autre.

Afin d’être plus clair, il faut expliquer comment le système joue avec deux Islams différents pour arriver au final à unifier monde musulman et monde occidental dans cette grande civilisation mondiale :

De manière générale, et sans être un spécialiste de la question, on distingue à peu près « trois Islams » au niveau politique : deux sont utilisés par le système, et un autre refuse de s’y soumettre.

Les deux Islams utilisés par le système sont :

– L’Islam modéré, ouvert et moderne. C’est celui qui est compatible avec la civilisation technocratique dite « occidentale », devenue civilisation mondiale. C’est un Islam façon world culture américanisée. Au final, il ne doit rester que lui : celui qui, avec d’autres religions, doit être un des ciments de la nouvelle religion mondiale, parfaitement adaptée à l’Ordre mondial en place.

– L’Islam barbare et meurtrier, aussi caricatural qu’un méchant dans un film de super-héros, au point que c’en est grossier. Il est exacerbé par le système, et l’Occident l’a d’ailleurs monté (cf. Daech) avec son financement et l’aide de ses services spéciaux. Cet Islam est un super repoussoir : à moins d’être fanatique ou d’être un psychopathe sadique, personne ne voudrait le rejoindre. Son rôle est donc très simple : il est si repoussant et si effrayant que, à côté de lui, l’autre Islam précédemment cité semble formidable et s’unir avec lui devient presque souhaitable.

Les mondialistes sont face à une lourde tâche en voulant fusionner Occident et Islam, ennemis séculaires, et il faut donc qu’ils utilisent tous les stratagèmes pour rendre désirable leur « bon Islam ». L’islamisme meurtrier sert à cela, et le système le fera disparaître comme il est arrivé (dans la violence) s’il n’en a plus besoin.

Le troisième Islam, c’est celui de ceux qui refusent de jouer à ce jeu dirigé par l’oligarchie mondialiste. Ils ne veulent pas être les « gentils musulmans » soumis aux USA et à Israël, et ils ne veulent pas non plus être dans le rôle des méchants qui, à l’extrême opposé, voudraient décapiter tout ce qui n’est pas musulman et faire exploser des bus pour effrayer les bobos occidentaux. Non, ils veulent juste « être musulmans chez eux », et ne pas avoir de compte à rendre au pouvoir oligarchique. C’était l’Irak de Saddam Hussein, c’est la Syrie de Bachar el-Assad, c’est l’Iran, etc. Du coup l’Occident dit : ce sont des dictatures à abattre !

C’est pour cela qu’on peut croire que le système a, en effet, une certaine position « antimusulmane » : il veut éliminer la frange musulmane qui refuse le jeu du système, qui refuse la civilisation occidentale technocratique qu’on voudrait imposer sur la Terre entière.

Notons d’ailleurs que le « 2ème Islam » dont nous avons parlé, l’islamisme barbare, ne sert pas qu’à rendre désirable l’Islam modernisé et adapté à la civilisation globale : il sert aussi dans l’autre sens à diaboliser, par amalgames, ce « 3ème Islam » qui ne veut pas de l’Ordre mondial ! Même si ce « 3ème Islam » est le seul à combattre vraiment l’islamisme terroriste, il n’en reste pas moins que par associations d’idées, dans la tête des gens, un « méchant musulman » au service de Bachar el-Assad est forcément similaire à un psychopathe de Daech ! Avec l’impact émotionnel de l’islamisme meurtrier, les médias n’ont plus qu’à dire « ces musulmans-là sont méchants » pour attiser une peur et une haine viscérale contre eux, et « ces musulmans-là sont gentils » pour qu’on leur jette des fleurs et qu’on leur baise les mains, tellement ils paraissent « bons » à côté des autres.

Le système veut donc détruire l’Islam « antimondialiste », mais à côté de cela il a besoin de ses deux autres Islam, le « bon » et le « méchant », afin de faire avancer son projet. Il défend donc mordicus la diffusion de l’Islam en Europe. Et si on est occidental et que l’on s’oppose à cette islamisation (qui n’est, ce que peu de personnes voient, qu’une première étape pour amener à une fusion religieuse future), alors on est un « méchant facho », un « islamophobe ». Nous ferions mieux, selon la propagande du système, de nous « ouvrir aux autres cultures » : c’est-à-dire de renier notre identité pour devenir des « citoyens du monde », à la fois musulmans, chrétiens et bouddhistes, vegans et mangeurs de steak, non-violents et amateurs de rap extrémiste, défenseurs des droits de l’enfant et ouverts aux thèses pédophiles – bref, un prototype sans identité de la nouvelle civilisation technocratique, un consommateur qui marche au gré des modes médiatiques. Pour cela, l’Islam est utile en Europe : il faut amener un nouveau référentiel culturel et religieux en Occident pour passer une étape de plus dans la fusion culturelle et religieuse programmée par le mondialisme.

Bien entendu, les musulmans qui ne jouent pas ce jeu-là ne sont en aucun cas responsables de ce plan, mais par contre, ils en sont des acteurs passifs ou inconscients lorsqu’ils regardent avec complaisance et une certaine satisfaction l’islamisation de l’Occident, ce qui est souvent le cas il faut le dire.

Étant donné que l’Islam est utilisé en tant qu’outil de conquête, d’un côté par la violence barbare, de l’autre par le mélange plus séduisant avec le monde moderne, beaucoup de musulmans se retrouvent pris dans cet élan de conquête. De plus, la propagande culturelle a alimenté chez nombre d’entre eux (principalement les nouvelles générations) un certain sentiment de haine du blanc et du chrétien.

Cette islamisation a pour effet de provoquer chez une frange des peuples occidentaux une réaction de rejet total de l’Islam, ce qui n’est pas l’effet final voulu par le système, mais qui est forcément un effet prévu dans le plan. On a donc une partie des musulmans d’Occident qui se renforce dans un sentiment anti-occidental, et une partie des occidentaux qui se renforce dans un sentiment antimusulman. Cela est inévitable, et peut-être qu’il faudra un conflit, ou du moins une menace sérieuse de conflit, pour que le système puisse imposer une union, une « paix » qui n’en sera que plus désirée par les deux camps. (Il faut souvent une guerre pour imposer de nouvelles structures internationales ayant pour prétexte de garantir la paix et la sécurité : par exemple, l’ONU et ses nombreuses filiales après 1945)

Un conflit est-il voulu ou non, et aura-t-il lieu ou non ? Cela fait partie des inconnues. On pourrait peut-être donner des pistes, mais cela serait hors-sujet. Peut-être que cette espèce de racisme anti-blanc qu’on développe dans « l’Islam de banlieue » n’a pas directement pour but d’arriver au conflit, mais d’apprendre aux Blancs à baisser la tête, à se remettre à niveau avec le reste du monde et à perdre leur orgueil culturel afin d’aider la civilisation unique et nivelée à se mettre en place ? On ne sait pas. En tout cas, si on peut tergiverser sur les moyens qui seront utilisés à court terme et sur les situations que nous allons vivre, on sait que le but de l’oligarchie est, peu importe ces moyens, d’arriver à fusionner progressivement monde musulman et monde occidental sur le long terme. Cette fusion est un gros défi, d’où la complexité des stratagèmes utilisés, et d’où notre incapacité à pouvoir tout savoir, car il est certain que les factions oligarchiques ont leur plan A, B, C, D, etc. Il ne faut pas les sous-estimer : si elles n’étaient pas organisées, elles n’auraient pas le pouvoir.

Voilà comment nous voyons les choses. Étant donné votre sensibilité, il me semble que vous serez au moins partiellement d’accord avec cette vision des choses. Je pense que, en tant que musulman, éveiller vos coreligionnaires sur cette réalité et sur l’importance de sortir de ce jeu mené par le système, qui se moque de nous comme de vous, est un des plus importants services que vous puissiez rendre à la France actuellement.

Avec nos salutations respectueuses,


Antoine Duvivier, secrétaire des Brigandes

mardi, octobre 30, 2018

Le césarisme a le vent en poupe

Le plus grand pays d’Amérique Latine est désormais dirigé par un dur ouvertement raciste, homophobe et misogyne : Jair Bolsonaro.


Le Brésil bascule à l'extrême-droite, un esprit antidémocratique (ou antisystème) s'empare des populations de l'Italie aux Philippines en passant par la Hongrie, Pologne, République Tchèque, Turquie, Inde, etc



"Cet esprit, quand on l'étudie attentivement, est mondialement identique dans ses causes et ses justifications.

On peut en résumer les facteurs agissants comme suit : les populations sentent d'instinct que tous les partis politiques démocratiques sont fondamentalement semblables ; (...) que la démocratie a refusé de régler la question sociale, et a antagonisé les classes au lieu de les pacifier en leur rendant justice ; que la démocratie ne peut trouver son principe d'autorité que dans un mode électoral corruptible et corrompu ; que la démocratie, portant en elle-même les germes du mal social et de la crise économique, ne peut pas les guérir ; que la démocratie a fait faillite, a échoué dans tout ce qu'elle avait promis et a faussement substitué le matérialisme aux forces spirituelles des nations. (...)

La qualité d'homme d'Etat exige une grande vision, capable de pénétrer l'avenir et de discerner les signes de notre époque. C'est pourquoi il est du devoir de nos hommes d'Etat, de ceux à qui est confié le sort futur du pays, de prendre conscience du nouvel espoir populaire et de préparer les voies pour la réponse à la grande question, quelque regret qu'ils aient d'abandonner la routine établie et de quitter les sentiers battus.

Un dur, un vrai, un César

L'opinion publique exige aujourd'hui une autorité ferme et responsable que la démocratie ne peut donner ; elle exige que la politique des partis démocratiques soit remplacée par une politique totalement nationale sans voix discordante, chose que la démocratie ne peut apporter ; elle exige un règlement énergique de la question sociale et que la démocratie ne peut lui procurer ; elle exige la fin de l'exploitation populaire par une petite oligarchie tyrannique de grands capitalistes, elle exige un redressement, une restauration, une renaissance, autant de choses que la vieille démocratie expirante ne peut produire. [...]

La crise économique qui atteint si cruellement le monde entier n'est que l'aspect extérieur et superficiel de la crise, plus profonde qui secoue le monde et menace les fondements mêmes de la civilisation chrétienne. A un moment donné, nous nous sommes engagés dans la voie, séduisante mais fausse, du matérialisme, parce qu'elle brisait l'armature spirituelle de notre société occidentale, et cette voie nous a conduits au désastre. [...]

Il faut un changement, non un changement superficiel, mais un changement radical de tout notre système politique.

L'Etat ne doit plus se contenter d'être un simple administrateur des deniers qu'il perçoit, mais il doit reprendre son rôle de dirigeant, qui est le rôle le plus important, si nous admettons que nous avons des destinées nationales réelles et que nous devons y atteindre. [...]

La démocratie, qui a créé les oligarchies financières et les dictatures matérialistes, est devenue leur esclave et elle est totalement incapable de les contrôler, encore moins de les détruire."




Extraits d'un discours du fasciste canadien Adrien Arcand (1899-1967), fondateur du Parti national-chrétien et auteur, entre autres, de Le Christianisme a-t-il fait faillite ? (Causerie prononcée à Montréal en 1954 sur le christianisme, force positive visée par le talmudisme et la franc-maçonnerie.)


lundi, octobre 29, 2018

L'Archange empourpré


Extrait d'un exposé de Christian Jambet intitulé "Hiérarchies et fonctions des anges chez Sohravardi" filmé à l'E.P.H.E lors des 13èmes Journées Corbin, novembre 2017. Christian Jambet a écrit La fin de toute chose, une analyse de l'exégèse métaphysique de l'eschatologie coranique élaborée par Mullâ Sadrâ, philosophe iranien chiite du XVIIe siècle.



Shihnoddin Yahya Sohravardi fut un mystique et un doctrinaire persan qui vécut au XIIe siècle. Il est né en 1155 (549 de l'hégire) dans le nord-ouest de l'Iran, limitrophe de l'Azerbaïdjan. D'une famille aisée, il fit ses premières études à Marâgheb, dans sa province natale qui fut typologiquement le lieu sanctifié de l'hagiographie de Zoroastre et de l'Avesta. Il y avait aussi des communautés nestoriennes dans la province et, comme l'écrit justement Henry Corbin : « Ce double "voisinage" est à retenir ; il peut éclairer la première éclosion des projets de notre shaykh. »

Sohravarin, après un procès inique, mourut martyr à Alep, en Syrie, à trente-six ans, le 29 juillet 1191 (585 de l'hégire), pour avoir défendu ses idées — et sa foi — contre des juges sectaires et Saladin, champion d'une orthodoxie islamique impitoyable, qui venait d'essuyer une cuisante défaite trois semaines auparavant, à Saint-Jean-d'Acre, devant les croisés conduits par Richard Cœur de Lion.

Sohravardî a écrit une œuvre capitale qui le place parmi les plus grands de la pensée et aussi de la révélation divine. Il est, pour les Iraniens, l'homme de la « résurrection », doctrine que l'on désigne simplement par le terme Ishrâq, la Lumière, celle du soleil à son lever, l'aurora consurgens, l'« orient » de la pensée, notre orient ésotérique à chacun de nous.

A travers sa foi islamique, Sohravardî a perpétué la pensée et la révélation zoroastriennes. Aujourd'hui encore, son empreinte est toujours forte en Iran — il a une école — et plus que jamais la « vision » qu'il à reçue de Dieu, la démarche ésotérique et les emprunts faits dans la cosmogonie de l'Avesta qu'il a introduits dans la religion islamique le placent au premier plan des grands découvreurs de ces continents inconnus du royaume de Dieu. Il eut une grande influence en Inde. C'est dire l'actualité de l’œuvre sohravardienne dans notre époque inquiète, attirée par les voies convergentes de l'Autre Monde et l'enrichissement qu'apporte son livre, l'Archange empourpré, remarquablement traduit du persan et de l'arabe par Henry Corbin. L'œuvre de Sohravardi doit être appréhendée par ses deux volets, apparemment opposés, mais qui finalement se complètent et forment un tout monolithique : la révélation et la doctrine une maïeutique qui se manifeste d'une manière récurrente à travers la mystique, celle-ci conduite par le Guide, l'ange de la Spiritualité — l'empourpré —, c'est-à-dire dont l'aile droite s'élève dans la Lumière et la gauche plonge dans les ténèbres. Ainsi, le message sohravardien est théophanique, initiatique et salvifique.

Qu'est-ce donc que l'auteur — l'architecte — d'une pareille perspective ? Un philosophe ? Un prophète — lui qui a osé déclarer qu'après Mahomet un autre prophète pouvait encore venir ? Un pèlerin de la Lumière ? C'est peut-être sous ce dernier vocable que l'on pourrait le mieux situer. Un homo viator, un homme du voyage, de l'initiation intérieure (pour lui, l'homme peut s'élever devant Dieu sans le secours d'un maître), un témoin du Verbe.

« Plus l'oiseau est intelligent, plus il va loin », écrit prophétiquement Sohravardi dans le Récit de l'Archange empourpré, l'un des quinze traités qui constituent son œuvre. Pour lui, « aller loin », c'est partir à la quête de la Source de Vie, chassant la mort par l'épée initiatique qui nous délivre de la « cotte de mailles » (les limbes). Ainsi, le Sage répond au disciple « Trouve la Source de Vie. De cette source fais couler l'eau à flots sur ta tête, jusqu'à ce que cette cotte de mailles [au lieu de t'enserrer à l'étroit] devienne un simple vêtement » qui flotte avec souplesse autour de ta personne. Alors tu seras invulnérable aux coups portés par cette Épée.»

Trouver la Source de Vie et peut-être encore aller au-delà, passer par la montagne de Qâf où se trouve l'arbre Tûba, se « retrouver » dans le miroir — le Graal, selon Sohravardi —, telle est l'une, des voies de l'initiation qui mène aux Verbes, lesquels aboutissent au Verbe. Car, poursuit le Sage : « Sache que Dieu Très Haut a eu certains nombres de Verbes majeurs (Kali-mat-é Kobra), émanant de l'éclat de son auguste Face. Ces verbes forment un ordre hiérarchique. Le Premier à émaner est le Verbe suprême.» (Traité VII, Le bruissement des ailes de Gabriel, § 7.)

Sohravardi nous convie au mépris des épreuves que nous devons endurer — même de notre vie —, à aller vers cette Source de Vie. Mais déjà son œuvre est elle-même une source claire, vivifiante, inépuisable. L'Archange empourpré est non seulement une « œuvre révélée », une doctrine — qui lui a coûté la vie —, mais un merveilleux chant d'amour à Dieu et aux hommes. Un livre essentiel que l'on garde au chevet.

Michel Hérubel



Quinze traités et récits mystiques 
de Sohravardi (traduction Henry Corbin)


Commentaire d'un lecteur :


Maître Henry CORBIN - Philosophe, orientaliste, historien, Professeur émérite titulaire de la Chaire des études religieuses à l'École Pratique des Hautes Études - a consacré son oeuvre à la traduction et au commentaire (Herméneutique) de la Philosophie Orientale. Il nous en livre ici une série textes majeurs du Grand Voyageur Sohrawardi. 

Celui-ci, aura su, en Parfait pèlerin de l'Esprit, nous inviter par le parcours de 15 traités initiatiques à la résurrection de la Théosophie de Lumière des Sages de l'ancienne Perse. 

Dans une nostalgie de l'Unité au Plérome, le Récit Poétique de ses ascensions au sein de ce "Mundus Imaginalis", monde médian et médiateur, nous convie à lancer un pont lumineux. Grâce à un cœur purifié, ouvert à la philosophie de la Beauté et de l'Amour Spiritualisé, le mystique persan nous soumet sa Vision à l'horizon d'une Aurore boréale, perception supra-sensible des Couleurs, de son Corps Subtil au sein d'une géographie de la transcendance (grottes et cavernes, Source, Haute montagne, Grand Rocher, Orient, Nord, Occident...) comme autant d'étapes et de degrés par lesquels passe le fidèle d'Amour, chevalier de l'Esprit, Héros de la quête en La Divine Lumière...


samedi, octobre 27, 2018

Centre de spiritualité chiite Zahra France, la véritable raison de la perquisition


Environ 200 policiers ont mené le 2 octobre 2018 douze perquisitions à Grande-Synthe (Nord) au siège du centre de spiritualité chiite Zahra France et aux domiciles de ses principaux dirigeants.

Une perquisition qui serait un acte d'intimidation orchestré par les marionnettes françaises des wahhabo-sionistes. 

"(...) nous dénonçons, explique le Centre Zahra, depuis de nombreux mois le projet NEOM, dont nous avons expliqué les véritables enjeux, apparents et cachés, mettant ainsi en péril des intérêts majeurs, tant du point de vue économique, qu’eschatologique. Compte tenu de notre audience croissante et de l’engouement qu’a suscité notre travail sur ce sujet à travers le monde entier, il était certain qu’une réaction à notre encontre serait à prévoir de la part des promoteurs de ce projet. Ces derniers, qui préfèrent rester dans l’ombre dans leur rôle habituel de marionnettistes, n’ont certainement pas apprécié que le Centre Zahra France et le Parti Anti Sioniste dévoilent au grand jour leurs intentions maléfiques.  Les autorités françaises ont certainement subi des pressions afin de nous « mettre au pas », ce qui explique leur intervention très médiatisée, qui était une façon de répondre aux exigences wahhabo-sionistes, et tenter de préserver les contrats mirobolants que leur font miroiter les Al-Saoud concernant le projet NEOM."

La prison robotique 

"L'homme s'enfonça dans le matérialisme et méprisa le raffinement de l'âme. L'âme elle-même devint un objet de doute et de mépris. Dès lors, les hiérarchies spirituelles parasitaires devinrent elles aussi de plus en plus perverses, uniquement préoccupées de manigances politiciennes pour exploiter durablement le troupeau humain.C'est à ce point de décadence visible et invisible qu'un démon puissant, Ahriman, se mit en devoir de préparer son incarnation terrestre. Armé d'une intelligence colossale, ce démon a entrepris d'imposer son ordre dans le chaos terrestre généré par les hiérarchies spirituelles lucifériennes.

Ayant formé des esprits puissants pour servir sa cause, il les a mis à la tête des organisations terrestres pour mener celles-ci dans la direction de son idéal de progrès matériel. Il a fait main basse sur la volonté des élites et des masses, les détournant de leurs anciennes croyances pour les formater dans l'idéal mondialiste. Il a habilement détourné l'idéal du dieu unique - sans doute d'origine luciférienne - pour orienter la pensée humaine vers l'idéal d'unité planétaire et de globalisation.

Ahriman, le démon de la matière, s'est emparé des commandes de la pensée analytique pour mettre en place la technologie qui devra servir de corps physique à son incarnation personnelle.

L'humanité aspirait à une unité virtuelle, une fausse unité spirituelle dans un monde fondé sur la loi des contraires, eh bien Ahriman lui procurera ce qu'elle désire ! Mais attention, car l'unité globale et l'ordre technocratique d'Ahriman s'imposeront par l'annulation de la liberté de conscience. Le dieu unique de l'enfer matérialiste va s'incarner prochainement comme une araignée sur la grille planétaire électromagnétique.

Sa démesure est à la dimension de la peur et de l'avidité humaine qui l'ont invoquée. Une horde d'entités de même nature qu'Ahriman s'est introduite sur la planète depuis 150 ans, en se dissimulant dans le subconscient des humains. Cela lie les hommes encore plus étroitement à la matière et les rend robotiques. Comme la majorité du genre humain semble apprécier l'ahrimanisation de la conscience et le progrès technique qui en résulte, alors l'humanité va se diriger naturellement vers un état d'humanoïde robotique. L'effort de la pensée individuelle aura disparu car la pensée sera réservée aux machines."  Joël Labruyère

Projet NEOM : l'aboutissement du mondialisme (I) 



Projet NEOM : Pourquoi le mont Sinaï ? (II)

Projet NEOM : La trilogie du Grand Israël (III)

Projet NEOM : Le nouvel Islam des Saoud (IV)


Projet NEOM : Le défi ou la mutinerie artificielle (V)


Projet NEOM : La dernière séduction (VI)

Projet NEOM : qu'est-ce qui les unit ? (VII)

Projet NEOM : Le dernier espoir (VIII)


Lecture :

En Islam iranien. Aspects spirituels et philosophiques
Henry Corbin

A l'intérieur de la communauté islamique, le monde iranien a formé dès l'origine un ensemble dont les caractères et la vocation ne s'élucident que si l'on considère l'univers spirituel iranien comme formant un tout, avant et depuis l'Islam. L'Iran islamique a été par excellence la patrie des plus grands philosophes et mystiques de l'Islam. 

Le monument que Henry Corbin présente ici en quatre volumes de sept livres est le résultat de plus de vingt ans de recherches menées en Iran même. Sa méthode se veut essentiellement phénoménologique, sans se rattacher à une école déterminée. Il s'agit pour lui de rencontrer le fait religieux en laissant se montrer l'objet religieux tel qu'il se montre à ceux à qui il se montre. Le phénoménologue doit donc devenir l'hôte spirituel de ceux à qui se montre cet objet et en assumer avec eux la charge. Toute considération historique restera donc ici immanente à cet objet, sans lui imposer du dehors quelque catégorie étrangère, considération dialectique ou autre.








vendredi, octobre 26, 2018

Révélation : la CIA a dépensé 30 millions de dollars pour créer Daech

Présenté comme "conspirationniste" par les médias mainstream, François Asselineau​ avait dit qui finance et soutient l'Etat islamique (Daech).



La CIA a dépensé 30 millions de dollars pour créer Daech

Par R. Mahmoudi



Dans des confessions faites à une chaîne de télévision arabe, Nabil Naïm, un des fondateurs du groupe Djihad islamique et ancien bras droit d’Aymane Al-Zawahiri, le successeur d’Oussama Ben Laden à la tête d’Al-Qaïda, révèle que le chef de Daech, Abou Bakr Al-Baghdadi est un agent des services secrets américains. «Il est connu, affirme-t-il, qu’Al-Baghdadi a été libéré de prison par les Américains et qu’il a dépensé de 20 à 30 millions dollars pour constituer son groupe, Daech. Tout l’armement de Daech était américain». Et de témoigner : «J’étais responsable d’un camp de quelques dizaines d’élément, j’ai vu que ce groupe dépensait des sommes faramineuses pour ses approvisionnements quotidiens».

Quelles ont été les rapports entre Daech et Al-Qaïda ? Nabil Naïm raconte : «Al-Zawahiri a demandé à Al-Baghdadi de lui prêter allégeance, mais celui-ci – parce qu’il est à l’origine un agent américain – lui a répondu que la question de la libération de l’Irak et de la Syrie le concernait lui et son organisation, et que c’est donc à Al-Zawahiri de lui prêter allégeance. Cet échange a provoqué la rupture définitive et sanglante entre les deux hommes».

Cet ancien chef terroriste égyptien, qui se dit déçu par la tournure prise par l’action des groupes islamistes en général, estime que Daech applique les préceptes d’un manuel rédigé par un certain Abou Bakr Naji, La gestion de la sauvagerie, s’inspirant fondamentalement de la méthode génocidaire et de la terre brulée pratiquées au XIIe siècle par l’empereur moghole, Gengis Khan. Cette politique recoupe, selon Nabil Naïm, avec celles des Etats-Unis, notamment en Irak, en tuant à la fois des sunnites et des chiites, en s’inspirant de l’ouvrage écrit par Henry Kissinger, La guerre des cent ans, prévoyant des guerres intercommunautaires dans la région du Moyen-Orient.

L’ancien chef terroriste estime qu’il suffit, pour s’en convaincre, de savoir que Daech n’a tué aucun Américain, que les groupes armés qui combattent le régime de Bachar Al-Assad n’ont jamais tiré une seule balle contre des cibles israéliennes et qu’Issam Hattitou, qui dirige la guerre menée par les Frères musulmans contre le régime syrien, est installé non pas à Riyad ni à Beyrouth mais bien à Tel-Aviv. C’est le cas aussi d’Ahmed Jarba qui «se pavane» entre New York, Paris et Londres, «chez ses employeurs et ses parrains», indique-t-il.

L’ancien bras droit d’Al-Zawahiri est convaincu qu’il s’agit d’un complot contre la région, ourdi par Benyamin Netanyahu et Dick Chenney en 1998 et baptisé «Bouclier propre», visant à détruire quatre pays de la région du Moyen-Orient : l’Irak, la Syrie, l’Egypte, puis l’Arabie Saoudite, en instrumentant les groupes extrémistes religieux.

Sur l’épisode égyptien, Nabil Naïm révèle que dans le procès de l’ex-président Mohamed Morsi, poursuivi pour intelligence avec Israël et de liens avec Ayman Al-Zawahiri, il s’agit d’une mission dont Assem Al-Haddam a été chargé en 2012 par Barack Obama en personne, lequel lui a demandé d’enjoindre aux Frères musulmans de prendre sous sa coupe le Hamas palestinien et Al-Qaïda. Dans son appel, mis sur écoute, Morsi demande à Al-Zahwahiri – qu’il qualifie de «commandeur des croyants» – de lui envoyer ses troupes dans le désert du Sinaï, en promettant de leur assurer une couverture totale.

Ce qui aurait poussé l’armée égyptienne à intervenir pour mettre fin au règne des Frères musul
mans.



Génocide des Yésidis

Les djihadistes de Daech (et, selon toute logique, les maîtres d'œuvre américano-wahhabo-sionistes) seront-ils condamnés pour génocide et crimes contre l'humanité ?

"La Fédération internationale des droits de l'Homme (FIDH) et l'ONG irakienne Kinyat ont demandé jeudi aux pays d'origine des djihadistes étrangers qui ont participé aux sévices commis par l'Etat islamique (EI) à l'encontre des Yézidis en Irak de les poursuivre pour génocide et crimes contre l'humanité. "Il ne s'agissait pas d'actes isolés mais de quelque chose de programmé et voulu par Daech", a expliqué le président d'honneur de la FIDH, l'avocat Patrick Baudouin." 




mercredi, octobre 24, 2018

La rédemption d'une star du cinéma

Chow Yun-Fat  souhaite donner son argent aux défavorisés

Trailer de Project Gutenberg avec Chow Yun-Fat

Dans le film Project Gutenberg, signé Felix Chong (la trilogie Overhead), Chow Yun-Fat (Painter) est à la tête d'une organisation criminelle de faux monnayeurs. Mais dans la vraie vie, la super star du cinéma chinois compte léguer sa fortune (plus de 600 millions d'euros) à des œuvres caritatives.

"(...) le train de vie de la star est bien différent de celui de ses congénères hollywoodiens qui flambent au volant de leur Ferrari et s'achètent des villas luxueuses. Lui vit chichement et préfère se consacrer à des passe-temps simples, comme faire un jogging ou de la randonnée.

L'acteur prend modestement les transports en commun, achète ses vêtements dans des friperies et a gardé le même téléphone pendant 17 ans. Il ne dépenserait qu'une petite centaine d'euros par mois, révèle le site Jayne Stars."

« Mon rêve, c'est d'être une personne heureuse et normale. Le plus dur, dans la vie, ce n'est pas d'amasser de l'argent, mais d'avoir l'esprit en paix, de passer le reste de votre vie de façon simple, sans souci », explique Chow Yun-Fat (63 ans).

lundi, octobre 22, 2018

Comment on devient immortel ?

Les stars sont-elles soumises à une hiérarchie luciférienne ?

Radio Brunet - RMC 19 oct 2018. Le journaliste François Jouffa, qui a été un proche de Johnny Hallyday, nous raconte comment ce dernier lui a confié le plus sérieusement du monde qu'il avait "signé un pacte avec le diable et qu'il irait en enfer". (Source : Alexandre Lebreton, auteur du livre Mk - Abus rituels et Contrôle mental)



Comment on devient immortel ?

par Joël Labruyère

Il y a deux façons de procéder. La première est de suivre la voie régulière qui permet à l’âme de retrouver ses facultés divines originelles. La seconde est la voie anormale qui pousse un être à se hisser dans les degrés supérieurs de la hiérarchie qui contrôle la dimension terrestre.

Sur la première voie, celle du Retour au cœur du Père, on sort définitivement du système des dimensions déconnectées de l’Univers interne, alors que sur la voie irrégulière, on prend un titre de Maître ou de demi-dieu qui ne dure que le temps d’un cycle, après quoi, on retourne à la case départ. 

Les vrais spirituels empruntent la voie régulière, ils sortent du circuit de l’incarnation et de la souffrance, alors que les initiés des basses hiérarchies entretiennent la roue du monde, perpétuant
l’exploitation et la douleur ici-bas.

Qui sont ces initiés irréguliers ?

On le devient lorsqu’on veut s’élever par la volonté, la recherche du pouvoir, la célébrité et la gloire en ce monde. On peut emprunter une voie de fausse sainteté comme les initiés de la « main droite » qui ont cultivé une personnalité raffinée, ou au contraire - mais cela revient au même - on peut prendre la voie de la « main gauche » en développant la puissance qui vous hisse au dessus de l’humanité ordinaire. Dans les deux cas, si l’on va assez loin dans le développement choisi, on peut s’octroyer un poste dans la hiérarchie terrestre, au service d’un égrégore.


Peut-on devenir un immortel irrégulier par l’art ou la science ?

Tout à fait. Depuis le développement de la médiatisation, un être qui devient célèbre au plan international prend naturellement, grâce à son charisme, une place de choix dans la hiérarchie planétaire. C’est ainsi que des chanteurs de rock ou des vedettes de cinéma ont gagné une promotion sur une dimension invisible. L’artiste peut être totalement dépravé, ou bien au contraire, il peut s’agir d’un grand humanitariste. Le résultat est sensiblement le même car grâce à son charisme médiatique, la personnalité est devenue si lumineuse sur le plan astral, qu’elle règne sur la portion de l’humanité accordée à sa fréquence. Ici, bien et mal ne sont que les deux faces du jeu de la dualité terrestre. Mais, bien entendu, les humains qui se sont hissés au rang de demi-dieux grâce à leur talent ou leur action, sont aux yeux des masses des êtres divins. Le système politique les identifie par des médailles, des décorations, des prix, afin d’authentifier leur pouvoir occulte. Ainsi, lorsqu’un personnage de la scène médiatique reçoit une décoration au niveau national ou international, cela symbolise sa promotion dans la hiérarchie invisible. Ces décorations ont une fonction magique, à l’image des titres ronflants qu’on confère aux initiés de la hiérarchie ecclésiastique ou maçonnique. Chaque grade maçonnique symbolise un degré atteint dans les basses hiérarchies invisibles, mais il faut avoir fait preuve de ses mérites au service du « prince de ce monde » pour gagner une place de choix dans son administration.

Un chanteur de rock, par exemple, peut-il obtenir cette gratification ?

Prenons les exemples célèbres, comme Mick Jagger, Paul Mc Cartney ou Bob Dylan - sans oublier Elvis Presley qui est une idole qui reçoit un culte religieux. Ainsi, aujourd’hui, lorsqu’un américain sait qu’il va mourir, il dit qu’il va rejoindre Elvis !


Mick Jagger, le provocateur des Rolling Stones qui chantait « sympathie pour le diable » a été décoré du titre de Lord d’Angleterre. Symboliquement, c’est recevoir en héritage un domaine sur la face invisible de l’empire britannique. (Idem pour le Beatle Paul Mc Cartney)

Bob Dylan, le prince des poètes de la génération rock, a été promu à un rang élevé par les autorités maçonniques américaines et internationales. On se souvient de son accolade avec Jean-Paul II, après que Dylan soit d’abord passé à la synagogue de Rome. Nombre de pays l’ont décoré du titre de chevalier des arts et des lettres, ce qui témoigne de l’honneur qui lui est accordé sur la dimension occulte.


Ces artistes médiatisés et idolâtrés ont travaillé pour gonfler certains égrégores, et chaque travail reçoit son salaire. Rien n’est laissé au hasard. Que l’on s’appelle Mère Térésa ou Madonna, c’est le même combat professionnel pour la promotion dans la hiérarchie luciférienne. Il n’y a qu’une faible nuance entre la bonté ostentatoire des grands humanitaristes, et la sensualité des stars. Il faut avoir rendu de bons et fidèles services aux basses hiérarchies, que l’on en soit conscient ou pas. A un certain moment, l’initié sait qu’il est un élu car les pouvoirs qui lui sont octroyés en ce monde sont exorbitants – célébrité, richesse, honneur, pouvoir.

Toutefois, l’élu qui ne marche pas droit risque d’être jeté aux oubliettes.

Qu’arrive t-il aux célébrités assassinées ou qui meurent prématurément ?

Généralement, elles sont expédiées de l’autre côté pour être utilisées comme médiums afin de transmettre aux loges occultes des informations sur le futur. Tout a un sens dans l’économie des hiérarchies planétaires. Comme on dit : « chaque cheveu est compté ».

Un élu du système hiérarchique planétaire est un être qui dispose de qualités spirituelles particulières. Il a signé un pacte pour obtenir son pouvoir, son talent, et sa fortune anormale. Il s’est engagé à être un serviteur. Il peut focaliser l’énergie de millions d’êtres afin de redistribuer cette énergie astrale sur d’autres dimensions, au bénéfice des basses hiérarchies.


L’immortalité des grands personnages est donc factice et relative ?

Oui, elle ne dure que le temps d’un cycle, et seulement si l’entité qui a été élue est capable de gérer habilement sa « carrière magique ».

Le fantôme d’Elvis Presley ne sera pas éternellement une idole à laquelle l’Amérique rendra un culte. D’autre part, il n’est pas certain que l’entité Elvis Presley soit capable de diriger consciemment sa 
carrière magique dans l’au-delà. Son image est utilisée, mais l’entité n’avait pas atteint un niveau de maîtrise occulte suffisante. C’est un instrument. Peu à peu l’image astrale s’estompe et disparaît.

Quoi qu’il en soit, la fonction ésotérique de la gloire en ce monde c’est de constituer autour de personnalités charismatiques des foyers d’alimentation énergétique. Les stars sont des esclaves de la Grande Babylone. Les grands personnages politiques sont au dessus des célébrités dans la hiérarchie car les stars ne sont que leurs serviteurs, leurs bouffons, éventuellement leurs prostituées. C’est pourquoi, aucune célébrité du show business n’attaque le système qui la fait vivre, et qui pourrait la faire mourir.

Certaines vedettes jouent les révoltés dans un cadre contestataire délimité, mais jamais ils ne dévoileront les secrets initiatiques - à condition qu’ils comprennent comment ça fonctionne ! Le système est protégé. Un artiste peut prendre un profil de rebelle avant d’accéder au succès, mais dès qu’il est célèbre, il joue le jeu comme un enfant obéissant, ou il est renvoyé en bas.

Brigitte Bardot a égratigné le système, mais pas jusqu’aux responsabilités supérieures, car elle en est un produit, dès avant sa naissance. Elle dispose d’un certain égrégore, et possède une petite niche de « sainteté » dans la hiérarchie, quoique seulement pour le reflet astral de ses années glorieuses.

Elle est donc dans le coup, même si le système l’épingle pour ses positions politiquement incorrectes, lesquelles ne lui vaudront pas un titre d’éternelle comme d’autres stars conscientes des mécanismes ésotériques, et qui sont des initiés. Bardot est protégée pour son image astrale, encore vivace mais qui s’effrite.

Pour tenir un égrégore, il faut avoir développé une conscience luciférienne puissante au service de l’ordre mondial.

Bardot sera récupérée après sa mort si elle ne choisit pas de sortir du système.

Ces entités peuvent-elles échapper un jour au désir de briller et d’être reconnues ?

Accède t-on au plus haut niveau de la célébrité si on ne le désire pas depuis de nombreuses incarnations ?

Et les grands noms du passé ?

Ces êtres dont la gloire fut posthume n’étaient pas médiatisées de leur vivant, et seule leur image astrale peut être utilisée par les entités occultes qui gèrent la circulation énergétique à leur profit. C’est comme de racheter les droits d’un auteur en faisant fructifier la valeur commerciale de son nom. Certains égrégores exercent un droit d’exploitation sur l’image de tel saint ou personnage historique et captent ainsi les sentiments attachés à son nom, mais l’âme du personnage n’est plus dans ce circuit.

Par exemple, François d’Assise aurait refusé de servir de stimulant pour entretenir un culte de sa personnalité, mais cela n’empêche pas l’égrégore catholique romain d’utiliser son image de sainteté pour vampiriser les adorateurs du « poverello ».

Cette organisation de vampirisation astrale est la « Grande Babylone », avec ses dieux et ses héros. C’est une mafia occulte qui gère les images des grands personnages mondiaux, lesquels ne sont pas impliqués dans ce syndicat, soit qu’ils sont sortis définitivement du circuit des renaissances, ou sont incarnés à nouveau sur la terre dans le plus grand anonymat.

Par exemple, lorsque Platon s’est réincarné pour la dernière fois, c’est dans la personnalité d’un écrivain du 19° siècle totalement inconnu. Les grands rôles ne sont pas obligatoirement ceux que l’histoire enregistre. Tout ceci est très aléatoire. Par exemple, Vincent van Gogh est mort pauvre et inconnu. Or, l’une de ses peintures est la plus chère du monde. Dès lors, on parle beaucoup de lui, et l’on a construit un mythe autour de son image, sans qu’il soit impliqué dans ce cirque.

Il s’est formé un culte autour de l’image astrale de van Gogh. Il est peu probable qu’il découvre qu’il n’a été durant son périple ici-bas qu’un peintre raté, mystérieusement devenu le plus cher du monde ! Tout cela est très occulte.

Pourquoi un homme qui n’aurait pas vendu une croûte de son vivant, devient-il un mort richissime ? Le monde invisible détourne à son profit les œuvres puissantes.

On pourrait citer Mozart et nombre de génies, maudits durant leur existence, mais que le système récupère pour son ambiance culturelle qui sinon serait stérile et creuse.

Certains médiums racontent aux gens qu’ils ont été tel personnage du passé. Selon les modes, c’est un prêtre égyptien ou une princesse celtique. C’est de la sottise. Il faut se souvenir que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute.

Qui gère le circuit de la célébrité ?

Des entités irrégulières se sont octroyées une place dans les basses hiérarchies grâce à un développement occulte qui leur permet de ne pas revenir en incarnation.

Ces entités sont organisées en concessions exploitant les réserves énergétiques de l’âme humaine. Ce commerce malsain remonte à une très haute antiquité. Ces entités ont parfois usurpé l’identité et même l’apparence des dieux qui coiffent le circuit du système solaire. Ces faux dieux et ces entités irrégulières forment les basses hiérarchies planétaires. C’est un circuit fermé rejeté hors du monde divin.

Il s’entretient par la récupération de l’énergie de l’âme humaine qui seule peut synthétiser la force universelle fondamentale. C’est pourquoi, la méthode privilégiée pour capter l’énergie de l’âme demeure les rites et la prière. Du fait que les religions ont perdu le monopole du culte des divinités, il s’est développé un système médiatique international qui pompe une énergie énorme quoique d’un taux vibratoire déprécié. Ce système permet donc aux célébrités d’accéder au statut de demi dieux aux yeux des foules qui veulent des idoles à adorer à la place des divinités démodées.

Cette crise nécessitera au final de faire apparaître un personnage messianique qui se présentera comme le sauveur, l’avatar divin descendu sur la terre. Les loges orientales et occidentales se disputent à ce sujet, sans compter le messianisme juif qui voudrait imposer son roi David.

Un consensus sera adopté, si ce n’est déjà fait. Que le spectacle commence !

Nous avons parlé de la pseudo immortalité des « maîtres » de la hiérarchie planétaire. Nous voyons que pour parvenir à s’élever dans ces degrés il faut avoir développé un pouvoir occulte spécial. Ce pouvoir est lié à la kundalini inférieure, et ne présente aucun caractère libérateur au sens spirituel. Dès lors, comment un être qui n’emprunte pas ce chemin de puissance, peut-il sortir du circuit terrestre ?

La condition pour sortir du circuit c’est de ne pas s’y enchaîner d’avantage. Par conséquent, il faut comprendre que le développement de nos pouvoirs naturels – comme le recommande l’occultisme –est une entrave plutôt qu’une aide.

Nous n’avons pas à rechercher plus de pouvoir si nous voulons sortir d’un circuit planétaire où l’on se hisse précisément en développant une puissance anormale.

Si l’on ne recherche ni la célébrité, ni les pouvoirs occultes, ni la gloire, ni la fortune en ce monde, alors, on est déjà à moitié sorti d’affaire, car nous n’intéressons plus les basses hiérarchies qui vivent de l’exploitation des ambitions mondaines.

On nous considérera alors comme des créatures sans importance, des minables, des ratés, ce qui est tout à notre avantage, car les entités lucifériennes qui surveillent le circuit planétaire, ne peuvent imaginer qu’on puisse rechercher une autre lumière que celle qui illumine leur univers d’illusion.

On devient intérieurement des petits enfants, et l’air de rien, on sort du bac à sable sans se faire remarquer. Bien entendu, il faut couper les liens avec les séductions de la Grande Babylone, ses
passions, ses tentations et ses illusions – tout ce qui mobilise les hommes ordinaires.

Ce n’est évidemment pas facile lorsqu’on a une personnalité développée, car celle-ci veut devenir toujours plus grande, plus intelligente, plus forte, plus douée, etc…

Il faut traverser et vaincre les trois tentations dans le désert : l’orgueil, le pouvoir et l’attachement aux richesses.

C’est dire qu’il faut prendre le chemin inverse de ceux qui deviennent importants, et qui sont dès lors récupérés par les basses hiérarchies qui les tentent avec l’appât de la gloire, du pouvoir et de la richesse.

Comment un être doté d’une personnalité développée peut-il se libérer ? Celui qui brille d’un certain charisme, qui est ambitieux, peut-il échapper à la tentation de la célébrité, du pouvoir et de la richesse ?

Il doit prendre conscience que le développement de ses pouvoirs personnels le conduiront à pactiser avec des puissants - au plan visible ou invisible - qui pourraient faire de lui leur allié ou un serviteur, s’ils détectent en lui un potentiel. Les monastères et les loges maçonniques sont remplis d’esclaves qui plient l’échine, à cause de l’orgueil spirituel ou mondain qui les dévore.

Si l’on a une personnalité ambitieuse, volontaire ou téméraire, il est évident qu’on ne doit pas refouler ce que l’on est.

Il faut convertir nos défauts en vertus en restituant à l’univers l’essence de nos pouvoirs individuels. Que celui qui a le sens de l’organisation, trouve sa place dans un groupe spirituel de bonne foi où il pourra faire profiter les autres de ses capacités. Que celui qui est ambitieux recherche un but spirituel élevé à la mesure de son désir. Que celui qui est un meneur, aide les autres à avancer vers la lumière, en montrant l’exemple du dévouement et de l’ardeur. Alors, celui qui a des défauts liés à l’orgueil, le goût du pouvoir ou le désir d’expansion, les mettra au service de son désir de vérité et de libération.


Les serviteurs de la vérité ne sont ni indécis, ni dénués de volonté. Leur volonté ardente est convertie en volonté de servir.

Sur la voie spirituelle régulière, on agit avec volonté et détermination, mais on ne cherche pas de profit personnel, alors que sur la voie irrégulière, on recherche uniquement le pouvoir pour soi-même.

Les deux immortalités, la vraie et la fausse, découlent de deux attitudes inverses : servir Dieu ou servir le monde.

Les idées new age, confuses et complaisantes, ainsi que la religiosité mondaine, tentent de conjuguer ces tendances inconciliables. Mais il n’y a qu’une voie d’immortalisation, c’est sortir du circuit de la mort.

Alors, comment devient-on immortel ?

Sur la voie régulière, il faut le désir sincère et conscient de revenir à notre origine - pour autant que l’on ait conservé la nostalgie de ce paradis perdu.

Sur la voie des anormaux des basses hiérarchies, il faut le désir de devenir un dieu en enfer - parce qu’on ne sait plus d’où l’on est venu, et qu’on ne voit pas d’autre façon d’avancer que la fuite en avant.

Entre les deux, il y a les tièdes, ceux qui se demanderont toujours quel chemin est le plus sécurisant, ou pour la majorité, qui ne se demandent rien du tout.

dimanche, octobre 21, 2018

Les Juifs sont-ils des Aryens comme les autres ?

La croix gammée, un symbole universel


Les Sémites-aryens

par Joël Labruyère


Helena Blavasky a fait remarquer que les Sémites qui sont apparus en Mésopotamie - Assyrie, Babylone - venant de l’Orient, étaient à l’origine un clan de brahmanes expulsés de l’Inde, pour une raison inexpliquée. Les Juifs comme les Gitans seraient sortis du sein de la mère Inde, à la différence que les uns étaient des brahmanes (lévites) et que les autres sont issus de la caste des intouchables (Gita(n) signifie « chant » en sanskrit).

Sur les routes du monde l'errance de ces deux peuples remarquables ne peut jamais cesser, si l'on en croit la malédiction proférée à leur encontre.

L'histoire officielle, pour le moins confuse, des Sémites serait une fable, car les Juifs sortiraient du tronc aryen apparu après la chute de l’Atlantide. Voilà de quoi réconcilier tout le monde, sauf les talmudistes si jaloux de leur exclusivité raciale.

Pour étayer son allégation, madame Blavatsky rapproche l’étymologie de Brama (Dieu suprême) avec celle d’Abram ( “ père élevé ” en hébreu). Les êtres issus de la racine d’A-braham (A est privatif) auraient renié Brahma et perdu leur état de brahmane (les lévites de l'hindouisme).

Carlo Suarès, le cabaliste français qui a remis à jour le code de lecture biblique originel, a posé ce problème en faisant remarquer qu’il s’agirait de deux courants spirituels en sens inverse – l’un (Ab-ram) met le Père (AB) en avant, tandis que l’autre (Bra-ma) est tourné vers l’origine, la Mère (MA). On connaît l’insistance du judéo-christianisme sur la figure du Père (Ab), alors que l’Inde voue un culte à la Mère divine (Ma).

De quoi les vrais-faux Sémites-aryens se seraient-ils rendus coupables pour avoir été rejetés du sein de la mère Inde, renommée pour sa tolérance envers tous les cultes ? Est-ce à cause de la circoncision qui est un système d’eugénisme scientifique permettant de faire muter la conscience par le choc infligé à l’hypophyse ?

Roger Dommergue Polacco de Menasce a analysé les effets de la circoncision à huit jours sur le psychisme des enfants d'Israël. Ces études ne sont pas publiques, car, bien qu'étant d'origine juive, 
Dommergue Polacco a mis en pièces les fondations de l'édifice talmudique et le mythe du peuple élu. Ses pamphlets s'adressent à ses « coreligionnaires qu'il entend sauver de la catastrophe où Israël périra entraînant la civilisation mondiale dans sa chute ».

Curieusement les thèses de Suarès et de Dommergue Polacco, tous deux originaires d'Alexandrie, expriment les deux facettes de la circoncision.

L'une positive avec Suarès qui explique comment le traumatisme de la circoncision à huit jours stimule le psychisme en transmutant l'érotisme en cérébralité, ce qui rend l'être plus adaptable.


A l'opposé, Dommergue Polacco prétend que le psychisme hypertrophié par la stimulation de l'hypophyse lors du premier cycle pubertaire infantile (après les sept premiers jours de la vie) - psychisme qu'il décrit comme le particularisme juif - se comportera comme une machine analytique qui met tout en pièces, destructrice de la nature, car incapable d'appréhender l'ensemble de l'écologie universelle.

La pensée analytique de nombre de savants et penseurs juifs serait issue de ce système d'eugénisme archaïque, qui aurait été conservé par nos Sémites-aryens modernes après le déluge.



C'est un fait que l'efficacité du mental moderne réside dans l'esprit analytique et que cette pensée qui dissèque tout, a créé la civilisation matérialiste. Cette tournure mentale n'est pas (ou n'est plus) l'apanage d'une race particulière puisque l'humanité entière en est désormais dotée.

Rappelons que le monde antique fonctionnait selon la pensée analogique qui refuse d'expérimenter ce qui est destructeur pour l'âme et la nature.

La pensée analogique entrevoit la relation qui existe entre toutes les choses. Cela la rend prudente envers le vivant. Des philosophes antiques refusaient les idées dont se targuent nos intellectuels. Sur cette conscience morale sont établies les civilisations qui entrevoyaient une écologie universelle.

Nous ne savons pas si les Sémites-aryens pratiquaient déjà la circoncision vers la fin de la période atlantéenne, ou si cette pratique fut instaurée durant le cycle actuel afin de pallier à la perte des pouvoirs magiques atlantes, ni si cette pratique a été jugée indésirable en Inde lors de la venue des Aryens-sémites atlantes ?

Israël garde ses mystères et peu de Juifs, parmi ceux qui se prétendent émancipés, s’aventurent dans des recherches sérieuses sur leur passé occulte, à cause de l’autorité du judaïsme.


Sera-t-on accusé d’antisémitisme si l’on démontre que les Juifs sont des Aryens comme les autres Occidentaux celtiques, francs, etc ? Les Arabes ne sont-ils pas également des Aryens orientaux ?

Les nazis ont fait preuve de stupidité en s’en prenant à leurs cousins aryens circoncis, et de leur côté, les Juifs sont bluffés par leurs rabbins qui exaltent une origine sémitique (Sem = le Nom) pour justifier le tire de “ peuple élu ”, alors que les peuples blancs sortent tous du tronc atlante - ainsi d'ailleurs que les peuples africains, de même que les Asiatiques issus de l’antique race jaune apparue avant la race blanche en Atlantide.

Les Etats-Unis, en accueillant à nouveau ces peuples, méritent le nom de “ nouvelle Atlantide ”. C’est en Amérique que le karma des races issues de l'Atlantide se réglera.


de Helena Petrovna Blavatsky


Edition abrégée de la Doctrine Secrète (tome II, III, IV, V, VI), établie en 1920 par un scientifique français, très versé dans l'approche théosophique de Madame Blavatsky. Cet abrégé permet une approche synthétique de la Doctrine Secrète.

Un des ouvrages qui ont le plus stimulé la pensée des chercheurs de l'ésotérisme fut La Doctrine Secrète publiée en 1888 par Mme H. P Blavatsky, un personnage par bien des côtés énigmatique et demeuré inconnu tant à ses laudateurs qu'à ses détracteurs. Cette femme ne revendique pas la paternité de la doctrine occulte qu'elle a tenté de collationner dans les diverses traditions dont les textes, en ce fameux XIXe siècle, ont été traduits dans les principales langues européennes par des savants et érudits chercheurs. Elle demande que l'on réfléchisse à l'identité qui se dégage de ces écrits, la plupart oubliés, sur la cosmogénèse, l'anthropogénèse et autres sujets connexes, qui montrent qu'une connaissance de l'homme et de l'univers, et de la place qu'il y occupe, était répandue dans les divers centres initiatiques de notre planète dès les époques protohistoriques.



Téléchargement gratuit des 6 volumes de La Doctrine Secrète ICI.


Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...