vendredi, octobre 04, 2019

Défendre la liberté d'expression de Zemmour...


Défendre la liberté d'expression de Zemmour sans oublier Soral et tous les dissidents français condamnés à des peines de prison ferme (ou avec du sursis) et de lourdes amendes pour des idées (Dieudonné, Ryssen, Reynouard, Bourbon, Benedetti, Blet, etc.)

Le patron du Figaro Magazine, Guillaume Roquette, a déclaré : « Je n’aime pas cette chasse à l’homme qui consiste à faire taire les gens ».


Martyr de la liberté d'expression, Dieudonné
(Il a écopé de trois ans de prison, dont un avec sursis)

"Expulsé du théâtre de la Main d'Or puis du théâtre de l'Ampoule, les autorités auront tout fait pour que Dieudonné ne puisse plus jouer ses spectacles à Paris. C'était sans compter sur la détermination de l'artiste : le Dieudobus est de retour."




jeudi, octobre 03, 2019

Le fascisme prophétisé

"1984", bande annonce.

"Écrivain, journaliste, combattant, militant, George Orwell - de son vrai nom Eric Arthur Blair - était un homme engagé contre toute forme de totalitarisme. Il n'a eu de cesse de dénoncer les travers de son époque : l'impérialisme britannique, le stalinisme, le nazisme, l'exploitation des classes laborieuses..."


Le fascisme prophétisé

par George Orwell


L'oppression capitaliste 
Le Talon de fer (The Iron Heel) de Jack London 

La réédition du livre de Jack London, "The Iron Heel", met à la portée de tous un livre qui a été très recherché pendant les années de l’offensive fasciste. Comme d’autres ouvrages de Jack London, il a eu de nombreux lecteurs en Allemagne et s’est acquis la réputation d’une oeuvre visionnaire décrivant avec précision l’ascension de Hitler. En fait, ce n’est pas ça du tout. "The Iron Heel" est simplement un récit ayant pour thème l’oppression capitaliste, écrit en un temps où diverses réalités qui ont rendu le fascisme possible – ainsi le brutal retour en force des nationalismes – n’étaient guère aisées à prévoir.


Impitoyable contre-attaque 

Là où, en revanche, London a fait preuve d’une prescience aiguë, c’est en comprenant que le passage au socialisme ne se ferait pas automatiquement, ni même facilement. La classe capitaliste n’allait pas disparaître, minée par ses « contradictions internes », comme une fleur qui meurt à la fin de la belle saison. La classe capitaliste était assez astucieuse pour comprendre ce qui se passait, pour oublier momentanément ses conflits internes et lancer sa contre-attaque contre le monde ouvrier. La lutte qui s’ensuivrait serait la plus sanglante et la plus impitoyable que le monde ait jamais connue.


Quand le dormeur s'éveillera (The Sleeper Wakes)

Il n’est pas sans intérêt de rapprocher "The Iron Heel" d’un autre ouvrage de fiction anticipatrice, écrit quelques années plus tôt, et auquel le livre de London doit beaucoup : je veux parler de "The Sleeper Wakes", de Herbert George Wells. On découvre ainsi les limites de London, en même temps que l’intérêt qu’il y a à ne pas être, comme Wells, un homme parfaitement civilisé. Littérairement parlant, "The Iron Heel" est très inférieur à l’oeuvre de Wells. C’est un livre à l’écriture incertaine, qui ne témoigne d’aucune compréhension des ressources de la science et dont le héros est ce genre de gramophone humain qui tend à disparaître jusque dans les tracts socialistes. Mais c’est précisément grâce à son côté « sauvage » que London a pu comprendre ce qui apparemment devait échapper à Wells, à savoir qu’une société hédoniste ne saurait se maintenir durablement.

 Un système de castes rigides

Tous ceux qui ont lu "The Sleeper Wakes" s’en souviennent. C’est la vision anticipée d’un monde sinistre, d’un monde nickelé où la société s’est figée en un système de castes rigides et où les ouvriers sont perpétuellement tenus en esclavage. C’est aussi un monde sans projet, dans lequel les classes supérieures, qui vivent du labeur des ouvriers, sont formées d’êtres mous, cyniques et totalement désabusés. Il n’y a dans la vie aucun but qui mérite d’être poursuivi, rien qui ressemble à la ferveur du révolutionnaire ou du martyr chrétien.


L'hédonisme poussé à son paroxysme
Le meilleur des mondes (Brave New World) d’Aldous Huxley

Dans "Brave New World" d’Aldous Huxley, sorte de parodie d’après-guerre de l’utopie wellsienne, ces tendances sont encore exagérées. Le principe hédoniste est ici poussé à son paroxysme, le monde entier n’est plus qu’un vaste hôtel sur la Riviera. Mais s’il est une brillante caricature du présent (le présent de 1930), "Brave New World" ne jette probablement aucune lumière sur l’avenir. Aucune société de l’espèce dépeinte ne pourrait subsister plus de deux ou trois générations, car une classe dirigeante ne pensant qu’à se « donner du bon temps » perdrait très vite tout ressort vital. Toute classe dirigeante a besoin d’observer une morale stricte, elle doit être animée d’une foi quasi religieuse en elle-même, d’une mystique. London l’a bien compris et, s’il présente la caste de ploutocrates qui gouvernent le monde pendant sept siècles comme des monstres inhumains, il se garde d’en faire des oisifs ou des sensualistes. Ils ne peuvent se maintenir en place que pour autant qu’ils croient sincèrement que la civilisation dépend d’eux et d’eux seuls – et en ce sens ils sont aussi courageux, capables et dévoués que les révolutionnaires qui les combattent.



Sur le plan intellectuel, London acceptait les conclusions du marxisme et pensait que les « contradictions » du capitalisme – la surproduction, les crises et tout le reste – subsisteraient même si la classe capitaliste parvenait à s’organiser en une force unifiée. Mais, par son tempérament, il se distinguait très nettement de la majorité des marxistes. Avec son goût pour la violence et la force physique, sa croyance en une « aristocratie naturelle », son culte de l’animalité et son exaltation de la sauvagerie primitive, il avait en lui ce qu’on pourrait sans exagération appeler une tendance au fascisme. Et cela l’a sans doute aidé à comprendre la façon dont réagirait la classe possédante dès qu’elle se sentirait vraiment menacée.

C’est précisément sur ce point que les socialistes marxistes ont pour la plupart achoppé. Ils ont donné de l’histoire une interprétation si mécaniste qu’ils n’ont même pas su prévoir des dangers pourtant évidents aux yeux d’individus qui n’avaient jamais entendu prononcer le nom de Marx. On reproche parfois à Marx de n’avoir pas su prédire la montée du fascisme. Je ne sais pas si cela est vrai ou non – à son époque, il n’aurait pu le faire qu’en termes très vagues –, mais ce qui est certain, c’est que ses adeptes n’ont vu en quoi le fascisme était dangereux que le jour où ils se sont eux-mêmes retrouvés à l’entrée du camp de concentration.

L'ennemie c'est la démocratie

Plus d’un an après que Hitler fut arrivé au pouvoir, le marxisme officiel proclamait encore que celui-ci était quantité négligeable et que le « social-fascisme » (c’est-à-dire la démocratie) était le véritable ennemi. London n’aurait sans doute pas fait pareille erreur. Il savait que les lois économiques n’agissent pas de la même façon que la loi de la pesanteur, qu’elles peuvent longtemps être tenues en suspens par des gens qui, comme Hitler, croient en leur destin.

"The Iron Heel" et "The Sleeper Wakes" sont tous deux écrits du point de vue populaire. "Brave New World", bien qu’étant avant tout une critique de l’hédonisme, est aussi, par voie de conséquence, une dénonciation du totalitarisme et du règne sans partage d’une caste. Il n’est pas sans intérêt de rapprocher ces ouvrages d’une utopie moins connue qui envisage la lutte des classes du point de vue de la classe supérieure, ou plutôt de la classe moyenne – je veux parler de The Secret of the League, d’Ernest Bramah.

La mentalité de la classe moyenne en période de crise

Ce livre a été écrit en 1907, au moment où l’essor du mouvement ouvrier commençait à effrayer les membres des classes moyennes qui se croyaient, à tort, menacées par ceux d’en bas plutôt que par ceux d’en haut. Vu sous l’angle de la prophétie politique, l’ouvrage est assez banal, mais il présente un grand intérêt par la lumière qu’il projette sur la mentalité de la classe moyenne en période de crise.

L’écrasement total du prolétariat

L’auteur imagine un gouvernement travailliste accédant au pouvoir avec une majorité si considérable qu’il serait vain d’espérer l’en chasser. Ce gouvernement, toutefois, se garde de mettre en place une économie véritablement socialiste : il se borne à utiliser le capitalisme au bénéfice des travailleurs en pratiquant une politique de hausse continue des salaires, en créant une gigantesque armée de bureaucrates et en accablant d’impôts les classes supérieures. Si bien que « tout part à vau-l’eau », selon l’expression consacrée. Par ailleurs, en matière de politique étrangère, le nouveau gouvernement se comporte à peu près comme le gouvernement d’Union que nous avons connu entre 1931 et 1939. Les classes moyennes et supérieures forment alors une coalition secrète et organisent leur révolte d’une manière très ingénieuse, du moins dans le cadre d’un capitalisme purement national : elles décrètent la grève des consommateurs. Deux ans durant, les membres des classes supérieures font secrètement provision de mazout et convertissent les installations industrielles de façon à utiliser ce combustible au lieu du charbon. Puis, brusquement, c’est le boycott de la principale industrie britannique, l’industrie charbonnière. Les mineurs se trouvent placés devant le fait accompli : aucun débouché pour le charbon pendant deux ans. C’est le chômage, et son cortège de misères, qui aboutit à une guerre civile au cours de laquelle les classes supérieures (trente ans avant Franco !) bénéficient de l’aide étrangère. Victorieuses, elles suppriment les syndicats et instituent un régime « fort », sans parlement – autrement dit un régime que nous qualifierions aujourd’hui de « fasciste ». Le ton général du livre est plutôt jovial, comme le permettait encore l’époque, mais ce à quoi tend l’auteur est sans équivoque.

Comment un écrivain honnête et sympathique comme Ernest Bramah a-t-il pu voir dans l’écrasement total du prolétariat une perspective plutôt réjouissante ? En fait, c’est tout bonnement la réaction d’une classe moyenne en difficulté, qui se sentait menacée non pas tant dans ses privilèges économiques que dans ses valeurs morales et son mode de vie. On découvre le même type de réflexe social d’hostilité à la classe ouvrière chez un écrivain antérieur, mais d’une tout autre importance, George Gissing. Le temps et Hitler aidant, les classes moyennes ont appris un certain nombre de choses et aujourd’hui elles ne feraient peut-être pas cause commune avec leurs oppresseurs contre leurs alliés naturels. Mais leur attitude dépendra en partie de la manière dont on les aura traitées, et l’imbécile propagande socialiste, avec sa manie de s’en prendre systématiquement au « petit bourgeois », porte à cet égard une lourde responsabilité."


George Orwell écrit ce texte en 1940, 9 années avant son plus célèbre roman, "1984".

1984 (Nineteen Eighty-Four) décrit "une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme. La liberté d'expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées, et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you).

"1984" est communément considéré comme une référence du roman d'anticipation, de la dystopie, voire de la science-fiction en général. La principale figure du roman, Big Brother, est devenue une figure métaphorique du régime policier et totalitaire, de la société de la surveillance, ainsi que de la réduction des libertés." Source



(titre original : Homage to Catalonia) 

"Texte fondateur qui préfigure en partie les visions dramatiques du monde totalitaire de 1984, Hommage à la Catalogne est autant un reportage qu'une réflexion sur la guerre d'Espagne. Engagé aux côtés des républicains, Orwell voit dans la trahison des communistes les conséquences du jeu politique stalinien. Il en découlera la prise de conscience d'un nécessaire engagement..."

Franco et l’entité sioniste

"Jamais Franco ne reconnut l’entité sioniste, et celle-ci ne le fut que par le socialiste Felipe Gonzales : d’une part Franco suivait la politique de l’Eglise catholique romaine qui, conformément au dit droit romain, jusqu’à ce que Paul VI rompit avec cette sagesse (pour des raison bien personnelles), refusait alors tout Etat qui n’avait point de frontières déclarées. Ce qui est toujours le cas de cet « Etat » ; et d’autre part, le Caudillo avait ses propres raisons exposées dans son article du 9 juillet 1950 :

« Un autre point névralgique de cette infiltration soviétique que la maçonnerie nous offre est celle de l’Etat d’Israël où, sous prétexte de créer un Etat confessionnel juif, on a procédé à une concentration d’éléments athées du centre de l’Europe et des bas -fonds internationaux
[y de los bajos fondos internationales], lesquels viennent en taxant de pharisiens et d’arriérés les ministres et représentants du culte mosaïque (ou mosaïste). Ce qui voulait être un Etat juif fondé sur les vieux moules du judaïsme international, se convertit en un foyer de concentration de gens sans foi et sans racine [foco de concentración de gentes sin fe y sin arraigo] ouverts aux consignes et aux influences étrangères. »"


Lire la totalité de l'article de Pierre Dortiguier Franco contre la franc-maçonnerie.

mardi, octobre 01, 2019

Satan "intronisé" au Vatican


Pierre Jovanovic cite le Père Gabriel Amorth à propos du Vatican infiltré par des satanistes.

"Le Père Martin, écrit Pierre Jovanovic dans La chute du Vatican et de Wall Street selon saint Jean, a raconté dans l'un de ses livres comment un groupe de prêtres satanistes au cœur même du Vatican avait tenté de consacrer la basilique saint Pierre avec une messe noire. Cet épisode a aussi été rapporté par l'écrivain français Roger Peyreffite dans son livre Les Clés de Saint Pierre." 

"Rome deviendra le siège de l'Antéchrist." 
(La Salette, 1846)

"Le dernier pape sera sous le contrôle de Satan." 
(Révélation de Fatima, 1917)


Satan "intronisé" au Vatican


En 1963, des prélats catholiques intronisèrent Satan au Vatican.

"L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963, date idéale pour la promesse historique qui allait s’accomplir. Comme le savaient très bien les principaux agents de ce Cérémonial, la tradition sataniste a depuis toujours prédit que le Temps du Prince serait inauguré au moment où un Pape prendrait le nom de l’Apôtre Paul.

À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Évènement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique.

L’entière et délicate question du Cérémonial fut confiée aux très sages mains du Gardien de Rome, homme de confiance du Prince. C’était un expert de l’élaboré Cérémonial de l’Église Catholique Romaine, un Expert du Cérémonial du Prince des Ténèbres et du Feu, prélat au visage de granit et à la langue fourchue.

Le but immédiat de chaque Cérémonial, il le savait bien, était de vénérer “l’abomination de la désolation”. Mais le but ultime étaient d’assurer que s’accomplisse la Montée du Prince dans la Citadelle comme une force irrésistible." 


Toujours selon le mensuel Chiesa Viva (fondé par le père Luigi Villa) :

– La décision d’élire Pape le cardinal Roncalli (Jean XXIII) fut prise par la Franc-maçonnerie.

– L’élection du cardinal Montini comme Pape (Paul VI) est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.

– Le choix du cardinal  Karol Wojtyla (Jean-Paul II) comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.

– Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape.

Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.[...]

On pourrait se poser la question de savoir si Paul VI a réellement participé à la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, ce lointain 29 juin 1963, mais ce ne serait qu’une curiosité d’importance secondaire. Lorsque nous savons que l’oeuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de “supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes... [...] Ce que nous pouvons nous demander alors, c’est le sens des paroles de la Sainte Vierge à Fatima, lorsque dans son troisième secret, elle prononça ces mots : "Satan réussira effectivement à s’introduire jusqu’au sommet de l’Église !".

La Sainte Vierge se rapportait-elle au fait que Satan serait intronisé dans la Chapelle Paulinienne ou alors dans le “cœur” de l’Église, car le “sommet de l’Église” n’est pas un lieu ou une chapelle, mais c’est une seule personne: le Pape ! Et alors que veut dire l’expression : “Satan s’introduira jusqu’au Pape” ?

Puisque Satan ou Lucifer est le “dieu” de la Franc-maçonnerie, puisque son orgueil le pousse à se substituer en tout à Jésus-Christ et puisque le sommet de l’Église est le Vicaire du Christ, la phrase de la Sainte Vierge ne peut signifier autre chose que Satan arrivera à faire du Pape son Vicaire ! [...]

L’Apocalypse affirme que l’Antéchrist est formé par les trois Bêtes : le Dragon, la première Bête sortie de la mer, la deuxième Bête sortie de la terre qui a deux cornes semblables à celles d’un agneau, mais qui parle comme un Dragon.

La Franc-maçonnerie ou mieux, les Juifs kabbalistiques, expriment cette réalité par la Troisième Trinité maçonnique qui se compose de Lucifer, de l’Empereur du Monde, du Patriarche du Monde.


Le Vicaire de Satan est donc la deuxième Bête sortie de la terre, appelée par la Franc-maçonnerie : Patriarche du Monde.

Vu que la tâche de démolir l’Église par sa transformation en un “grand ordre mondial qui ne s’occupe que de questions humaines avec des objectifs humanistes” est la tâche que le fondateur des Illuminés de Bavière, Adam Weishaupt, s’est confiée à lui-même et à ses successeurs, le Patriarche du Monde assume automatiquement la charge de Chef de l’Ordre des Illuminés qu’on appelle : Pontife Suprême de la Franc-maçonnerie Universelle et aussi Patriarche de la Franc-maçonnerie."

Source : Chiesa Viva, n° 451, Juillet-Août 2012.



L'autel des élites

de Laurent Glauzy


Le pédo-satanisme est-il la conséquence de pratiques rituelles liées à une élite maçonnique ? 

Aujourd'hui, Bill Schnoebelen, ancien haut-représentant de l'Église de Satan, affirme que la Franc-maçonnerie pratique le pédo-satanisme comme rite initiatique du 33e degré du Rite écossais ancien et accepté. 

Dans Morals and Dogma, en 1871, Albert Pike, un des « pères » de la Franc-maçonnerie, atteste que « la religion devrait être, pour nous tous, initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu. » 

Et, en 1900, le grand mage Aleister Crowley, initié au 33e degré, avoue dans Magick in theory and practice, le sacrifice de cent cinquante enfants par an, entre 1912 et 1928. 

D'ailleurs, en 1941, la police trouve le cadavre d'une fillette dans une loge, à Béziers. 

En 1998, des squelettes d'enfants sont découverts sous la maison londonienne de Benjamin Franklin, rédacteur de la Constitution américaine, Franc-maçon et adepte du Hell Fire Club. 

Le pédo-satanisme serait donc une pratique partagée par une élite maçonnique transmettant le pouvoir à des politiciens et des financiers ayant les mêmes valeurs occultes. Telle est la certitude du Dr Cecilia Gatto Trocchi, anthropologue, elle ajoute qu'en quelques décennies, la société a évolué d'une logique matérialiste et communiste vers une spiritualité satanique et maçonnique. 

L'auteur, Laurent Glauzy, démontre notamment les relations ayant existé entre Buckingham Palace et le pédomane et nécrophile anglais Jimmy Savile. En 1990, Jean-Paul 2 décore cet « ami » des loges, de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand. Est-ce un hasard ? 

Don Luigi Villa, fils spirituel de Padre Pio et ancien agent de renseignement du Vatican, dénonçait l'influence satanique des « papes » depuis « Vatican II ».


lundi, septembre 30, 2019

La gouvernance satanique secrète


"Aussi bizarre et incroyable que cela puisse paraître, l'humanité a été colonisée par un culte satanique appelé "les Illuminati". Ce culte représente les banquiers maçonniques et juifs qui ont usurpé un monopole sur le crédit du gouvernement, qui leur permet d'exiger des intérêts sur les fonds qu'ils créent à partir de rien."


"L’Occident est sous complète domination satanique, dit Henry Makow. Les corporations, les politiciens, les médias et les institutions universitaires ont tous été achetés. Partout un chœur composé de castrats chante le même refrain. Tout le monde applaudit le démantèlement de gouvernements indépendants comme celui de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie. Tout le monde crie au "racisme" et chante les louanges de la "diversité" excepté lorsqu’il s’agit d’Israël.


Le pivot du pouvoir Illuminati est le cartel Juif Franc-maçon des banques centrales qui contrôlent le crédit des gouvernements à travers le monde. Ils créent l’argent à partir de rien (basé sur notre propre crédit) et donc pensent qu’ils sont Dieu.

Nous vivons les dernières étapes d’un complot à long terme fomenté par une kabbale de banquiers Juifs et leurs laquais maçonniques visant à ériger un état policier mondial, afin de nous contrôler par la ruse et la force (leurs mots d’ordre)."

Et toujours d'après Henry Makow :

"Cela ressemble au scénario d’un film de science-fiction des années 50. L’humanité est sous l’emprise d’un culte satanique. Tous ceux qui veulent progresser socialement doivent volontairement ou non, obéir à ce culte. Nos dirigeants politiques subissent un chantage sexuel pour s’assurer de leur loyauté à la cause.

Bien que les monuments phalliques et les pyramides de ce culte soient présents partout, personne n’ose mentionner son nom, ni défier sa domination.

Nous souffrons de dissonance cognitive. Nous sommes l’objet de constantes attaques psychiques, pourtant ces assauts ne sont pas rapportés par les médias de masse. La société ressemble à un géant aveugle et sourd conduit par un démon.

La loi de Murphy s’applique. Ce qui doit mal se passer finit par arriver. C’est bien le cas pour l’humanité en général. La société Occidentale a été subvertie par ce culte.

Une toute petite clique de banquiers kabbalistes, les Illuminati, ont supplanté Dieu (c’est-à-dire les lois morales et naturelles de l’Univers) au nom de termes spécieux comme «l’humanisme», la «raison» et le «progrès».

Ainsi, inversent-ils le vrai et le faux, le bien et le mal, décrétant que l’homosexualité, la promiscuité, la pédophilie, la bestialité et l’inceste sont sains et naturels.

Le bateau de la civilisation est en train de sombrer pendant que ses passagers dorment.


Les banquiers Illuminati sont en train de détruire les institutions de la civilisation Chrétienne – la religion (Dieu), la race, la nation et la famille – pour mieux introniser l’humanité à leur culte satanique.


Ils ont instigué et financé les guerres pour détruire les nations et ont porté au pinacle des auteurs qui répandent l’aliénation et la désillusion. Ils retiennent l’humanité prisonnière grâce au contrôle mental qu’ils exercent sur elle. Ce n’est pas une coïncidence si les médias de masse sont contrôlés par une poignée de corporations arborant des symboles occultes sur leur logo.

La subversion de l’humanité est la véritable histoire supprimée du monde moderne. Le seul véritable conflit est celui des Illuminati contre le reste de l’humanité. Tous les autres ont été mis en scène pour servir de diversion.

Comme si nous apprenions être atteint d’un cancer en phase terminale, nous refusons de le croire.


Les médias de masse nous disent que nos institutions démocratiques et culturelles sont fiables. Nous y croyons dur comme fer.


La conspiration

La conspiration est réelle et bien pire que nous puissions l’imaginer.

Des gens puissants ont planifié et organisé ce complot depuis des siècles. Ils ont érigé un état policier maléfique derrière la façade d’un gouvernement démocratique. La menace terroriste n’est qu’un prétexte pour étendre davantage leur contrôle sur nos vies.

S’ils se souciaient vraiment de la liberté, ils nous responsabiliseraient. Ils enseigneraient les valeurs civiques, le patriotisme et l’histoire véritable. Ils encourageraient des relations homme-femme stables, le mariage et la famille.

Au lieu de cela, ils nous sabotent. Les standards de l’éducation et de la culture sont rabaissés. Leurs "divertissements" regorgent d’occultisme, de pornographie, et de visions apocalyptiques effrayantes.


L’humanité souffre d’un développement arrêté. Nous sommes en transe. De la redite et des rengaines. Rien de nouveau ou de vrai. Nous manquons le rendez-vous avec notre créateur.


Le premier devoir d’un gouvernement est d’empêcher qu’il soit conquis par un culte satanique. Nos gouvernements ont échoué. Ils n’ont pas de légitimité.

Que faire ?

Une conspiration ne peut prospérer qu’au sein des ténèbres et du secret. Nous pouvons y résister simplement en faisant la lumière sur elle.

Nous devons dévoiler ses participants et leurs actes, en commençant par le 11/09 et le massacre de Newtown, y compris le faux attentat de Boston. Nos dirigeants et les médias de masse sont des menteurs et des traîtres, complices de meurtres de masse et de leur dissimulation.

Les Illuminati ont besoin d’un semblant de légitimité pour fonctionner. Nous devons la leur retirer.


Les révélations d’Edward Snowden sur l’espionnage massif de la NSA ont dérangé beaucoup de monde. Nous devons aider la masse endormie à reconnaître le véritable ennemi commun. Mais nous devons attendre qu’elle nous sollicite. Si elle nous le demande, alors nous pouvons la renseigner.


Nous devons résister pacifiquement. Tout le reste leur servirait de prétexte. Mais nous devons être armés et prêts à nous défendre. À mon avis, le port d’arme est la raison principale grâce à laquelle les américains sont encore relativement libres.


Nous faisons face à des satanistes. Étant donné leur passif, les choses vont se détériorer à moins qu’ils ne décident que le coût en soit trop élevé.

Ils participent activement à l’extinction de la civilisation. Qu’il ne soit pas dit que nous ne l’ayons même pas remarqué."

5 suggestions d'Henry Makow :

- 1) La nationalisation de la Fed, la création monétaire sans dette et l’abandon de la dette nationale créée par un simple jeu d’écriture. 

- 2) Une enquête indépendante sur le 11 Septembre et la poursuite des responsables de l’attentat et de sa dissimulation. 

- 3) Que toutes les campagnes politiques nationales soient financées par l’État. Pour le prix d’un croiseur de combat,nous pourrions avoir une véritable démocratie. 

- 4) Que les monopoles médiatiques soient dissous. 

- 5) Que cesse les interventions de l’OTAN (Rothschild). En l’état, la résistance populaire est un jeu de guignols manipulé par les banques.

Henry Makow a écrit :


Aussi bizarre et incroyable que cela puisse paraître, l'humanité a été colonisée par un culte satanique appelé "les Illuminati". Ce culte représente les banquiers maçonniques et juifs qui ont usurpé un monopole sur le crédit du gouvernement, qui leur permet d'exiger des intérêts sur les fonds qu'ils créent a partir de rien. Naturellement, ils veulent protéger ce privilège en le traduisant dans un monopole politique et culturel. Cela prend la forme d'un gouvernement mondial totalitaire dédié à Lucifer, qui représente leur mépris de Dieu. 

Ainsi, les gens qui contrôlent les cordons de notre bourse conspirent contre nous. Pour nous distraire et nous contrôler, ils ont utilisé un vaste réseau occulte (la franc-maçonnerie) pour infiltrer la plupart des organisations, en particulier le gouvernement, les agences de renseignement, le système éducatif et les médias de masse. 

L’humanité est repensée pour servir les Illuminati. Ils portent atteinte a des institutions comme celle du mariage et de la religion, et promeuvent la dépravation, le dysfonctionnement, la corruption et la division. Ils ont orchestré deux guerres mondiales et en planifient une troisième.


Un culte satanique dépravé appelé les Illuminati est engagé dans une guerre secrète contre l’humanité. Ceci est la clef permettant de comprendre l’histoire tragique de l’humanité et la situation dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. 

Depuis plus d’un millier d’années, les prêteurs de deniers kabbalistes ont conspiré pour usurper le pouvoir de l’Eglise et de l’Aristocratie, d’après le plan détaillé dans «Les Protocoles des Sages de Sion». 

Ce plan ne représente pas les Juifs, mais seulement une petite kabbale de banquiers qui sont organisés en sociétés secrètes maçonniques. Ils se sont mariés avec d’éminents Gentils et ont formé un vaste réseau clandestin occulte et criminel. Ils construisent activement un gouvernement mondial totalitaire derrière la façade de la démocratie. Remplaçant Dieu, la laïcité est une étape transitoire vers leur Satanisme. 

Ils impliquent les nations dans des guerres inutiles et ensorcèlent les masses avec la pornographie, la violence, la vulgarité et le divertissement. 

Ils s’attaquent à nos sources d’identité et d’amour – Dieu (la religion) ; la famille (la théorie du genre) ; la nation et la race – de façon à nous diminuer et à nous déshumaniser. 

Cela parait incroyable, mais après avoir lu certains de ces 70 courts articles, vous acquiescerez. Leur emprise est en partie basée sur leur contrôle mental qu’ils exercent. Si vous connaissez la vérité, ils ne peuvent plus vous influencer.



Des Juifs Satanistes (Kabbalistes) et des Francs-maçons mènent une guerre secrète contre Dieu et l'homme et sont proches de la victoire. 


Beaucoup de Juifs et de Francs-maçons ont constitué une force subversive – telle est la raison réelle de l'antisémitisme. Bien sur, la majorité des Juifs (et des Chrétiens) ne sont pas conscients de ce processus de possession satanique. Nous y avons tous succombé. Se faisant passer pour de la "laïcité" et de l"'humanisme", le Satanisme est la religion secrète de l'Occident.

dimanche, septembre 29, 2019

Les rapports du gouvernement américain sur le 11 septembre ont été réfutés



Les rapports du gouvernement américain sur le 11 septembre ont été réfutés : 

Le WTC7 a-t-il été dynamité ? 

par Daniele Ganser

Le 7 septembre 2019 l'historien et chercheur sur la paix suisse Daniele Ganser a publié dans le magazine en ligne Rubikon un article avec des résultats de recherche nouveaux et fondés sur les attaques terroristes du 11 septembre 2001 à New York. Ces articles scientifiques réfutent fondamentalement les déclarations officielles du gouvernement américain. Écoutez maintenant l'article légèrement raccourci du Pr. Ganser, qui peut être distribué gratuitement dans les conditions d'une licence Creative Commons :


Le dynamitage


L'histoire des attentats terroristes du 11 septembre 2001 doit être réécrite, car il y a maintenant des preuves : Le WTC7 a été dynamité.

Le 11 septembre 2001, le plus grand attentat terroriste de l'histoire à ce jour s'est produit aux États-Unis, tuant environ 3 000 personnes. La plupart des gens croient, impressionnés par la télévision, qu’à l’époque seulement deux hautes tours se sont effondrées à New York. Mais ce n'est pas vrai, il y en avait trois. A savoir les célèbres tours jumelles WTC1 et WTC2, de plus de 400 mètres de haut, mais aussi le WTC7 de 186 mètres de haut. Contrairement aux tours jumelles, le WTC7 n'a pas été préalablement touché par un avion. Néanmoins, la construction massive en acier s'est effondrée à 17h20 en seulement sept secondes. L'effondrement a commencé soudainement, sans aucun signe avant-coureur visible, et s’est produit de manière totalement verticale. L'effondrement du WTC7 ne peut avoir que deux causes possibles : Incendie ou dynamitage contrôlé.

Pendant les premières deux secondes et 25 centièmes, la tour de 47 étages est tombée en chute libre, c'est-à-dire sans aucune résistance à l'accélération due à la gravité. Le gratte-ciel du WTC7 est ainsi descendu sur toute sa largeur de 25 mètres aussi rapidement qu'un parachutiste sans parachute qui sauterait du toit du bâtiment. Comment est-ce possible ? Comment une construction à ossature d'acier avec 81 colonnes d'acier verticales et solides peut-elle soudainement tomber en chute libre ?

La réponse à cette question importante est maintenant trouvée. Le 3 septembre 2019, presque 18 ans après l'attaque terroriste, l'ingénieur civil américain Pr. Leroy Hulsey de l'Université d'Alaska Fairbanks (UAF) a publié une étude approfondie de 114 pages sur l'effondrement du WTC7, étude commandée par l'ONG « Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11 septembre » et son président Richard Gage. L'étude de Hulsey aboutit, après quatre années de recherche, à une conclusion claire et sans ambiguïté :

« Le feu n'a pas causé l'effondrement du WTC7. L'effondrement du bâtiment ne peut s'expliquer que par la défaillance quasi simultanée de tous les piliers », explique le rapport. Bien que le mot « dynamitage » n'apparaisse nulle part dans le rapport, la conclusion de Hulsey est claire et convaincante (1) : le WTC7 a été dynamité.

Ce résultat de recherche a fait sensation. Il faut réécrire toute l'histoire des attentats terroristes du 11 septembre 2001 et de la guerre américaine contre l'Afghanistan, qui a commencé le 7 octobre 2001 et se poursuit encore aujourd'hui. Même l’armée allemande, qui participe à la guerre en Afghanistan, doit réfléchir à ce que signifie le dynamitage du WTC7.

L'effondrement du WTC7 fait l'objet de discussions depuis plusieurs années maintenant. En Angleterre, la journaliste de la BBC Jane Standley, qui a relaté en direct de New York le jour des attaques sur l'effondrement du WTC7, a provoqué la confusion. Le 11 septembre elle a rapporté l'effondrement du WTC7 20 minutes trop tôt, le bâtiment étant toujours debout et clairement visible derrière elle. « C'était une erreur », a dit plus tard Jane Standley. Le chef de l'information de la BBC, Richard Porter, s'est également excusé en 2008 pour l'erreur commise (2).

Quand j'ai entendu parler de l'effondrement, j'ai regardé les vidéos disponibles sur Internet. A l’époque j’étais chercheur au Centre de recherche sur la politique de sécurité de l'EPF Zurich et, en 2006, j'ai contacté des professeurs expérimentés de l'EPF en analyse structurelle et construction. « A mon avis, on a très probablement dynamité le bâtiment du WTC7 de façon professionnelle », explique Hugo Bachmann, professeur émérite d'analyse structurelle et de construction à l'EPF Zurich. Jörg Schneider, professeur émérite de l'EPF en analyse structurelle et construction, interprète également les données existantes de telle manière que « le bâtiment WTC7 a très probablement été dynamité ». Ces déclarations sont maintenant confirmées par le rapport Hulsey (3).

Le WTC7 fait également l’objet de discussions en Allemagne depuis des années. Le physicien Ansgar Schneider a à juste titre qualifié « d'extrêmement surprenant » l’effondrement soudain et simultané des 81 piliers en acier. « Pouvez-vous m'expliquer scientifiquement comment des incendies isolés et limités localement rendent possible que les piliers d'acier de l'extrémité Est s’accordent avec ceux de 100 mètres plus à l'ouest pour céder en même temps ? », a demandé Schneider dans une interview publiée par Rubikon. Seule une destruction délibérée du bâtiment pourrait expliquer cela (4).

Aux Etats-Unis, le débat sur le WTC7 est difficile. Dans le rapport final sur l'attaque terroriste de Thomas Kean et Lee Hamilton, qui a été présenté au public le 22 juillet 2004, l'effondrement du WTC7 est totalement absent.

Ce rapport ne peut donc pas être pris au sérieux, car même le nombre de gratte-ciels effondrés n'est pas correct. « La Commission a contourné un problème désagréable (expliquer comment le WTC7 a pu s'effondrer quasiment en chute libre) tout simplement en ne mentionnant pas l'effondrement du bâtiment », a protesté David Ray Griffin, chercheur sur le 11 septembre (5). Le National Institute of Standards and Technology (NIST) du gouvernement américain a affirmé dans un autre rapport publié le 21 août 2008 que le WTC7 s'était effondré suite à un incendie. Le rapport Hulsey montre maintenant que ce n'est pas la vérité. [...] (6). [...]

L'incendie n'a pas pu être la cause de l'effondrement de ce gratte-ciel. Le WTC7 été dynamité.

Le mathématicien américain Peter Michael Ketcham, qui a travaillé au NIST de 1997 à 2011 mais n'a pas participé à l'enquête sur le WTC7, a commencé à lire les rapports du NIST en août 2016. « Au début, j'étais en colère contre moi-même. Je n'arrivais pas à croire que je ne l'avais pas remarqué avant. Comment n'ai-je pas pu le remarquer au cours des 15 dernières années ? Et cette colère s'est ensuite rapidement tournée vers le NIST », se souvient Peter Ketcham. « Plus j'ai passé de temps à faire des recherches, plus il est devenu clair pour moi que le NIST présentait une conclusion préconçue et qu’il ignorait et omettait les faits. » Le rapport Hulsey a mis un terme à l'opération de camouflage du NIST et a donc apporté une contribution extrêmement importante à l'élucidation des attentats terroristes du 11 septembre 2001 (7).



de dd. & Dr. phil. Daniele Ganser 



Sources / Liens : https://www.rubikon.news/artikel/die-sprengung

(1) Leroy Hulsey, Zhili Quan, Feng Xiao : A Structural Reevaluation of the Collapse of World Trade Center 7. Draft. University of Alaska Fairbanks, 3. September 2019. 
(2) The Conspiracy Files : 9/11 — The Third Tower. BBC News, 6. Juli 2008. 
(3) Daniele Ganser : Der erbitterte Streit um den 11. September. Tages-Anzeiger, 9. September 2006. 
(4) Klaus-Dieter Kolenda: Geplanter Zusammenbruch. Rubikon, 10. Mai 2019. 
(5) David Ray Griffin: The 9/11 Commission Report. Omissions and Distortions (Olive Branch Press 2005), S. 28. 
(6) E. Lipton: Report Says Fire, Not Explosion, Felled 7 W.T.C. New York Times, 22. August 2008. Sowie: NIST: Global Structural Analysis of the Response of World Trade Center Buidling 7 to Fires and debris Impact Damage. US Departement of Commerce November 2008. 
(7) Peter Michael Ketcham: Thoughts from a Former NIST Employee. Europhysiscs News (EPN), 25. November 2016.

samedi, septembre 28, 2019

Fuite de données et chantage au sujet du 11 septembre : Qu'est-ce que cela signifie et à quel point est-ce explosif ?

La chape de plomb qui est tombée sur les attentats du 11 septembre indique qu'un pouvoir occulte, "une forme de gouvernance mondiale", dit Alain Minc, impose la loi de l'omerta aux politiciens, aux journalistes, aux célébrités. On se souvient de Jean-Marie Bigard demandant publiquement pardon pour avoir douté de la version officielle des attentats. Qui a contraint l’humoriste à la repentance télévisée et au silence ? 

Cette gouvernance mondiale est-elle celle du Dajjal des musulmans, du Chakravartin à rebours de René Guénon, de l'Antéchrist des chrétiens, du Messie des juifs ?

Une fuite de données et un chantage au sujet du 11 septembre pourraient mettre fin au complot contre la vérité.

Fuite de données et chantage au sujet du 11 septembre :
Qu'est-ce que cela signifie et à quel point est-ce explosif ?




Opinion sans fard, aujourd'hui avec Thomas Röper, exploitant du site web critique envers les médias www.anti-spiegel.ru. Son travail se concentre sur la critique de la couverture médiatique occidentale en général, l'image (médiatique) de la Russie en Allemagne et les thèmes de géopolitique et d'économie. 


Aujourd'hui, nous parlons de « théories de conspiration », car le groupe de pirates « The Dark Overlord » a menacé de publier des documents piratés à propos du 11 septembre, qui auraient apparemment « des conséquences dévastatrices pour le Deep State des Etats-Unis ». Ce n'est pas un sujet qu’évoquent les médias allemands, or il pourrait être très explosif ; ou pas. C'est actuellement de la pure spéculation. 

Même si beaucoup d'entre vous connaissent probablement les choses bizarres qui circulent à propos du 11 septembre, j'aimerais en parler brièvement ici pour tous ceux qui n'en ont jamais entendu parler. 

La version officielle du 11 septembre est connue : Oussama Ben Laden a envoyé en Amérique douze terroristes qui ont piraté quatre avions et commis la pire attaque terroriste de l'histoire. Jusqu’ici, c'est simple et clair. 

Toutefois, il y a quelques points d'interrogation que je voudrais mentionner brièvement. D'abord, une question simple : Combien de tours se sont effondrées à New York le 11 septembre ? Si votre réponse est « deux », je dois vous décevoir. Il y avait trois tours, mais la troisième, « World Trade Center 7 » ou « Salomon Building » (WTC7), n'a pourtant été percutée par aucun avion. Il n'y a eu que quelques petits incendies qui, selon la version officielle, ont provoqué l'effondrement du bâtiment en chute libre. Le problème, c'est que cela ne s'est jamais produit avant ou après le 11 septembre. Cela malgré le fait qu'il y a eu beaucoup de tours dans le monde où des incendies plus grands et plus ardents ont duré beaucoup plus longtemps que dans le cas du WTC7, comme vous pouvez le voir sur cette image ironique mais vraie. Cependant aucun des bâtiments ne s'est effondré, cela ne s'est produit qu’au WTC7. 

Il est également curieux que la BBC ait rapporté l'effondrement du WTC7 en direct de New York 20 minutes avant l'effondrement. La correspondante avait reçu la nouvelle du téléscripteur Reuters et l'avait relatée en direct à la télévision, alors qu'en arrière-plan, on pouvait voir que le bâtiment était toujours debout. La BBC ne s'est excusée pour ce faux reportage qu’en 2009. […] 

Mais il y a d'autres incohérences à propos du 11 septembre. 

Il est courant en aviation qu'un avion qui vole sans contact radio ou dévie de sa trajectoire soit suivi par des intercepteurs. Chaque pays dispose d'escadrons spéciaux à cet effet, qui atteignent généralement un tel avion en quelques minutes. Comme je l'ai dit, c'est la routine et cela arrive pratiquement toutes les semaines. Ce n'est que le 11 septembre que cette routine est censée avoir échoué avec quatre avions en même temps : A 8h14, le premier avion a été piraté, à 8h46, ce premier avion a percuté une tour à New York et c’est seulement à 10h03 que le dernier avion s'est écrasé. Ainsi, même après le premier impact à New York, les avions ont encore pu voler une heure et 17 minutes sans être dérangés dans l'espace aérien américain et sans que des intercepteurs soient envoyés. Quelque chose qui ne s'est jamais produit ni avant ni après le 11 septembre. 

Et enfin, l'impact sur le Pentagone est aussi quelque chose que les pilotes ne peuvent pas vraiment expliquer. Même les meilleurs pilotes ne sont pas capables de piloter un Boeing 757 à 800 km/h à une altitude de dix mètres comme des amateurs sont censés l'avoir fait selon la version officielle. 

Comme je l'ai dit, ce sont tous des faits, pas des théories de conspiration. Il y a encore d'autres questions sans réponse, mais laissons cela de côté. […] Les « théoriciens du complot » qui posent ces questions discutent actuellement de trois versions et les appellent « Surprise », « LIHOP » et « MIHOP ». 

« Surprise » est la version officielle : Ben Laden a surpris les USA. 

« LIHOP » signifie « Let It Happen On Purpose » et signifie que c'était Oussama Ben Laden, mais que les USA le savaient et l'ont laissé faire. Pour une raison ou une autre. Et « MIHOP » signifie « Make It Happen On Purpose » et signifie que les USA ont eux-mêmes mis en œuvre le 11 septembre. 

Aujourd'hui, on peut se demander pourquoi quelqu'un aux États-Unis, voire le gouvernement lui-même, aurait fait cela ou même l’aurait seulement permis. Il y a aussi des théories à ce sujet, parce que beaucoup d'argent a été gagné avec le 11 septembre. Les jours précédents, par exemple, de grandes sommes ont été misées en bourse sur la baisse des cours précisément des compagnies aériennes et des constructeurs d’avions concernés par les attentats du 11 septembre, mais pas des autres compagnies. Et les prix ont ensuite chuté massivement. Ces transactions n'ont jamais fait l'objet d'une enquête et à ce jour, personne ne sait qui a gagné le jackpot. 

Le World Trade Center avait également changé de mains en juillet 2001, deux mois avant le 11 septembre, et le nouveau propriétaire avait souscrit une assurance, si bien que le 11 septembre lui a rapporté de gros profits. Il a reçu des compagnies d'assurance 4,5 milliards de dollars, soit beaucoup plus que la valeur réelle des bâtiments. 

Mais tout cela est infime par rapport aux bénéfices qu’a rapportés l'industrie de l'armement aux États-Unis dans la guerre contre le terrorisme qui a suivi, soit des centaines de milliards de dollars. L'industrie pétrolière des USA, qui a obtenu les droits sur le pétrole irakien après la guerre en Irak, en a également tiré des milliards de dollars. 

Et comme par hasard, de hauts membres du gouvernement américain, jusqu'au vice-président, étaient très étroitement liés à l'industrie pétrolière et, justement à toutes les entreprises qui en ont le plus profité. Ils travaillaient pour elles avec des salaires de millions de dollars avant de rejoindre l'administration Bush. 

Certains peuvent considérer cela comme une coïncidence, d'autres comme suspect. Je n'ai présenté ici que des faits, chacun doit rechercher par lui-même les réponses aux questions qu’il peut se poser. […]

Et si on sait tout cela, alors les messages des derniers jours sont intéressants. Le groupe de pirates « The Dark Overlord », spécialisé dans le vol de données et le chantage et qui a déjà volé et fait fuiter une saison complète de Netflix pour lui extorquer de l'argent, affirme maintenant qu'ils ont piraté des documents explosifs sur le 11 septembre. Ils parlent de 18 000 documents qu'ils ont obtenus de cabinets d'avocats, de compagnies d'assurance et d'organismes gouvernementaux, dont certains auraient dû être détruits. 

Maintenant, « The Dark Overlord » veut de l'argent des organisations concernées, menaçant en cas de refus de publier les documents. Parallèlement, ils offrent les documents à quiconque est prêt à les monnayer. 

Et ils disent : « A toutes les autres parties concernées (compagnies aériennes, avocats de première instance, sociétés d'enquête, FBI, TSA, FAA, banques, sociétés de sécurité, etc.) : Nous allons vous démolir si vous ne commencez pas à « jouer au ballon ». Toute cette situation deviendra bientôt une tragédie bien plus grande pour votre survie. Faites le bon choix. » 

On ne sait pas ce qu'ils ont vraiment. Cela peut être très explosif en ce qui concerne les questions en suspens. Ou pas. Ils ont maintenant publié les premiers documents et ils semblent au moins authentiques, mais ils ne sont pas particulièrement intéressants. Cependant, le groupe de pirates lui-même le dit aussi et annonce d'autres publications, les documents deviennent ainsi à chaque fois plus explosifs. On verra bien. Je trouve intéressant qu'il n'y ait pas d’informations sur cette histoire dans les médias allemands. Seule RT-Deutsch en a parlé, avec tous les liens vérifiables, ce n'est donc pas une histoire imaginaire. 

Le seul reportage des médias grand public allemands je l'ai trouvé sur T-Online, où l'histoire est minimisée et où il est beaucoup question de « théories de conspiration ». Quoi qu'il en soit, peut-être que tout cela n'a pas de conséquences, mais je pense qu'il est intéressant de noter que les médias grand public allemands n'en parlent pas, alors qu’on peut lire beaucoup de choses sur le précédent piratage de Netflix dans ces médias en Allemagne. Et je me demande ce qui a la plus grande valeur informative : Que Netflix ait été victime de chantage à cause d'une série télévisée ou que les autorités gouvernementales américaines soient victimes de chantage à cause de documents piratés sur le 11 septembre. Mais chacun peut juger par lui-même. 



de dd.

vendredi, septembre 27, 2019

Une involution civilisationnelle, le tittytainment


Le tittytainment

par Lucien Cerise

Les architectes de la mondialisation l'ont parfaitement compris : pour être vraiment efficace, la fabrique du consentement suppose l'abolition de toutes les frontières.

En effet, c'est le maintien de frontières, à tous les niveaux de l'existence, qui rend possible la comparaison, la contradiction, la possibilité de dire « non » et tout le jeu de la dialectique politique qui s'ensuit. C'est aussi le maintien de frontières qui appuie le protectionnisme économique nécessaire si l'on souhaite conserver l'autonomie matérielle et l'indépendance intellectuelle qu'elle permet. 


À l'opposé, l'ingénierie mondialiste cherche en visée ultime à élaborer ce fameux « village global » sans frontières, qui donnerait les moyens d'obtenir le consentement définitif des populations sur tous les sujets, de sorte à ne pas être contraint d'y travailler constamment. 

Avec l'abolition des frontières, c'est-à-dire du principe même de toute extériorité, s'abolit également la possibilité de toute comparaison et contradiction fondamentale, donc de tout contre-pouvoir critique et de toute résistance. Un monde mondialisé, unipolaire, sans frontières et politiquement unifié sous un gouvernement centralisé et un système unique de valeurs et de normes, en finirait une bonne fois pour toutes avec la possibilité même de penser autrement. A monde unique, pensée unique. À ce titre, l'ingénierie du Nouvel Ordre mondial, comme effacement des frontières sous une tutelle unique, s'identifie à un processus de régression préœdipienne et d'infantilisation délibérée des populations.

Du point de vue de la psychogenèse, le giron maternel est éprouvé par l'enfant comme une continuité de son vécu intra-utérin, c'est-à-dire comme ce monde unique et englobant, sans extériorité, sans limites, sans frontières, monde absolu, sans comparaison, ni relativisation, ni contradiction ; et l'enfance est cet âge de la vie sans politique, marqué par l'adhésion spontanée aux valeurs dominantes du corps social, l'immersion conformiste et grégaire dans les normes du monde environnant, et surtout l'impuissance à réagir contre une altération de ses conditions de vie. 

Construire la dépolitisation de l'humanité, construire le « oui » à tout, le consentement global, passe donc par un abaissement provoqué de sa maturité psychique moyenne et son retour dans une espèce de giron maternel étendu au monde entier.

Dans la perspective de bâtir cette docilité générale, Zbigniew Brzezinski, l'homme qui était derrière Oussama Ben Laden dans les années quatre-vingt l'homme qui [...] (était) derrière Barack Obama, a proposé le concept de tittytainment. Deux journalistes allemands nous rapportent la naissance de cette notion à l'occasion de la première rencontre internationale State of the World Forum, tenue en septembre 1995 dans un grand hôtel californien : « L'hôtel Fairmont de San Francisco est un cadre idéal pour les rêves aux dimensions planétaires. [...]

L'avenir, les pragmatiques du Fairmont le résument en une fraction et un concept : "deux dixièmes" et "tittytainment". Dans le siècle à venir, deux dixièmes de la population active suffiraient à maintenir l'activité de l'économie mondiale. [...] Mais pour le reste ? Peut-on envisager que 80 % des personnes souhaitant travailler se retrouvent sans emploi ?

"Il est sûr, dit l'auteur américain Jeremy Rifkin, qui a écrit le livre La Fin du travail, que les 80 % restants vont avoir des problèmes considérables." [...] C'est un nouvel ordre social que l'on dessine au Fairmont, un univers de pays riches, sans classe moyenne digne de ce nom - et personne n'y apporte de démenti. 

L'expression "tittytainment", proposée par ce vieux grognard de Zbigniew Brzezinski, fait en revanche carrière. Ce natif de Pologne a été quatre années durant conseiller pour la Sécurité nationale auprès du président américain Jimmy Carter. Depuis il se consacre aux questions géostratégiques. "Tittytainment", selon Brzezinski est une combinaison des mots "entertainment" et "tits", le terme d'argot américain pour désigner les seins. Brzezinski pense moins au sexe, en l'occurrence, qu'au lait qui coule de la poitrine d'une mère qui allaite. Un cocktail de divertissement abrutissant et d'alimentation suffisante permettrait selon lui de maintenir de bonne humeur la population frustrée de la planète. [...] On voit émerger la société des deux dixièmes, celle où l'on devra avoir recours au tittytainment pour que les exclus restent tranquilles. 

Le songe creux et infantilisant dans lequel Brzezinski propose d'enfermer les populations pour mieux les contrôler présente les caractéristiques d'une sorte de réalité virtuelle complètement dépolitisée, un Disneyland global fondé sur la consommation et le Spectacle. La sécurisation totale du pouvoir des élites s'appuie nécessairement sur la déréalisation de l'existence de la plèbe, déréalisation qui consiste en un « réenchantement du monde » forcené (thème de l'université d'été 2005 du MEDEF), dont le but est de parvenir à faire creuser gentiment sa propre tombe à quelqu'un, puis à l'y faire descendre avec le sourire et à se recouvrir de terre dans la joie et la bonne humeur. On reconnaîtra ici la tendance sociologique dite du cocooning, jouant le rôle d'un nouvel opium du peuple, bien plus efficace que la religion car totalement dénué d'effet de sublimation. 

L'ingénierie sociale se donne ainsi pour objectif de rendre tolérable, et même désirable, une involution civilisationnelle profondément morbide en la parant de tous les traits du rajeunissement perpétuel, donc apparemment de la vitalité et de l'avenir, avec, pour visée ultime, la "fœtalisation" de l'humanité au moyen de son insertion dans un environnement social conçu a limage d'un immense utérus artificiel, c'est-à-dire dénué de frontières et de contradictions. Le stade intra-utérin et, par extension tous les stades immatures (nouveau-nés, nourrissons, bébés et jeunes enfants) se caractérisent, certes par leur vitalité organique, mais surtout par leur plasticité mentale aisément malléable ainsi que leur état d'aliénation totale, complètement à la merci d'autrui (la Hilflosigkeit freudienne). 

Il s'agit donc de reproduire dans l'extra-utérin les conditions d'une existence intra-utérine : fusion avec autrui dans un grand tout homogène et enveloppant, obéissance au mouvement général, jouissance continue et immédiate, complétude, identité unifiée, absence de tensions, de contradictions, de contestations, pure positivité, donc fin de l'Histoire, fin de tout, en un mot, le paradis, le cocon définitif ! 

De nombreux auteurs ont étudié d'un point de vue critique les aspects de cette régression préœdipienne globalisée à commencer par Gilles Châtelet dans son Vivre et penser comme des porcs - De l'incitation à l'envie et à l'ennui dans les démocraties-marchés. 

Les autres titres ne sont pas moins éloquents, de Jean-Claude Michéa : L'Enseignement de l'ignorance et ses conditions modernes, à Dany-Robert Dufour, L'Art de réduire les têtes - sur la nouvelle servitude de l'homme libéré à l'ère du capitalisme total, en passant par Charles Melman et Jean-Pierre Lebrun L'Homme sans gravité. Jouir à tout prix, Michel Schneider Big Mother. Psychopathologie de la vie politique, et Jean-Claude Liaudet, Le Complexe d'Ubu ou la Névrose libérale

Tous ces textes se consacrent à l'analyse du contrôle social contemporain dans ses spécificités inédites, à savoir la dépolitisation des masses par la mise en place d'un type de société reposant sur les caractéristiques du giron maternel, induisant un abaissement de l'âge mental moyen ainsi qu'un certain nombre de nouvelles pathologies mentales tournant autour de la dépression et de la perversion. 

En cherchant à abolir toutes les frontières, donc toutes les limites, et dans le même geste la notion même d'extériorité, de monde extérieur, objectif, réel, l'ingénierie mondialiste cherche ainsi à construire une forme de société déréalisée s'appuyant sur une culture de l'intériorité, de la fusion charnelle dans un bloc identitaire homogène, et du rejet corrélatif de tout ce qui est hétérogène, autre, bref de tout ce qui rappelle le Père, c'est-à-dire l'instance qui fissure l'emprise exclusive et englobante du monde maternel pour introduire au "monde extérieur" et au réel.

Lucien Cerise, Gouverner par le chaos - Ingénierie sociale et mondialisation. 


Vous, les mondialistes messianiques, secte diabolique et mortifère, matrice de guerres, pillages et misère, vous savez pourquoi vous
"Ouvrez les frontières"


"(...) l'abolition des frontières, c'est le règne de la mort, tant au plan biologique que psychique. Il n'y a de vie psychique, c'est-à-dire de production de sens, que dans l'incertitude et l'affrontement à un quelque chose qui résiste, à un réel quelconque, une frontière, une limite. Si les frontières ne résistent plus, ce sont les principes mêmes d'identité, de distinction et d'élaboration sémantique qui vacillent, signant à terme l'effondrement du système sur lui-même, ou alors sa survie dans un espace liminaire qui est celui du « zombie », à mi-chemin entre la vie et la mort." (Lucien Cerise)

Pourquoi le dieu du Capital est Satan


(pour comprendre l’affaire Epstein)



"Sur le plan moral, écrit Alain Soral dans Comprendre l'Empire, les réseaux de la domination par le mensonge et la dissimulation sont déjà le mal.

Mais ce mal peut aller beaucoup plus loin quand ceux qui s'appellent eux-mêmes "les fils de la lumière" - sans doute en référence à l'idéologie des Lumières qui les a portés - y voit un autre sens, plus noir, plus trouble et plus ésotérique.


Lucifer signifiant aussi "porteur de lumière", soit dans le livre d' Isaïe, ce roi babylonien raillé pour avoir voulu s'élever au-dessus de sa condition d'homme et dépasser Dieu.

Une figure prométhéenne associée à l'orgueil et progressivement devenue, dans la tradition chrétienne, le symbole du mal et un des noms du Diable. Personnage que l'Apocalypse selon Saint Jean identifie à Satan le tentateur, Satan le menteur, Satan le diviseur, et désigné aussi par Jésus, dans l’Évangile de Jean, comme "meurtrier" et "Seigneur de la Terre"...

Dès lors, l'existence, au plus haut niveau d'initiation, de maçonneries sataniques type : Illuminati, Skull and Bones et autres sectes vouant un culte aux dieux anti-chrétiens, babyloniens ou égyptiens, tel Moloch, avec cérémonies simulant des meurtres d'enfants comme dans The Cremation of care du Bohemian Club, n'est pas si délirante.

Pas si délirante, puisque pour assumer la cruauté qu'impliquent les décisions prises au plus haut niveau par ces réseaux de domination occultes sur l'humanité souffrante-décisions générant : chômage, famines et guerres - il faut avoir renoncé aux commandements chrétiens d'humilité et de charité et avoir, littéralement, voué son âme au diable !"

"C'est d'ailleurs, poursuit Soral, ce constat terrifié que faisait le producteur hollywoodien Aaron Russo, suite aux propos que lui aurait tenus le grand initié Nick Rockefeller. Propos révélant les desseins maléfiques de l'oligarchie mondialiste et qu'Aaron Russo osa dénoncer dans une confession vidéo célèbre, quelques mois avant sa mort, parce qu' il se savait condamné...

Articulés autour du noyau onusien - ONU qui reprenait, après la Deuxième Guerre mondiale, le principe mondialiste de la Société des Nations initiée en 1918 par notre compatriote, au service du
pouvoir bancaire anglo-saxon, Jean Monnet - le CFR, la commission Trilatérale et le groupe Bilderberg, mais encore le FMI (de notre futur président Strauss-Kahn), l'OMC (de Pascal Lamy, autre agent français au service des intérêts anglo-saxons), l'OCDE, les lobbies militaro-industriels, 
énergétiques, agro-alimentaires et pharmacochimiques (servi par l'OMS), ainsi que des clubs plus ésotériques tels que Skull and Bones et Bohemian Club, auxquels il faut encore ajouter d'autres relais français tels que Le Siècle et le Club des Cordelières...

Tous ces réseaux de pouvoir, travaillant la main dans la main pour des raisons d'intérêts financiers et de solidarité de caste, constituent ce réseau des réseaux qui est, de fait, la structure combattante de l'Empire.

Un Empire travaillant au Nouvel ordre mondial, soit à l'abolition de la démocratie et au pouvoir bancaire intégral - forme achevée du Capital - sur le dos du travail, des nations et des peuples..."

(Alain Soral, Comprendre l'Empire - Demain la gouvernance mondiale ou la révolte des Nations, publié en 2011.)

Huit années après la parution de son livre, Alain Soral est l'une des victimes de l'abolition de la démocratie et de la liberté d'expression en France. 

Émue, Marion Sigaut réagit à la condamnation à la prison ferme d’Alain Soral :


Des apparitions et d'autres phénomènes surnaturels

Hologramme de dragon projeté dans le ciel lors d'un match de baseball en Corée du Sud. Fox News : "Le Vatican s'apprête à publi...