vendredi, septembre 27, 2019

Pourquoi le dieu du Capital est Satan


(pour comprendre l’affaire Epstein)



"Sur le plan moral, écrit Alain Soral dans Comprendre l'Empire, les réseaux de la domination par le mensonge et la dissimulation sont déjà le mal.

Mais ce mal peut aller beaucoup plus loin quand ceux qui s'appellent eux-mêmes "les fils de la lumière" - sans doute en référence à l'idéologie des Lumières qui les a portés - y voit un autre sens, plus noir, plus trouble et plus ésotérique.


Lucifer signifiant aussi "porteur de lumière", soit dans le livre d' Isaïe, ce roi babylonien raillé pour avoir voulu s'élever au-dessus de sa condition d'homme et dépasser Dieu.

Une figure prométhéenne associée à l'orgueil et progressivement devenue, dans la tradition chrétienne, le symbole du mal et un des noms du Diable. Personnage que l'Apocalypse selon Saint Jean identifie à Satan le tentateur, Satan le menteur, Satan le diviseur, et désigné aussi par Jésus, dans l’Évangile de Jean, comme "meurtrier" et "Seigneur de la Terre"...

Dès lors, l'existence, au plus haut niveau d'initiation, de maçonneries sataniques type : Illuminati, Skull and Bones et autres sectes vouant un culte aux dieux anti-chrétiens, babyloniens ou égyptiens, tel Moloch, avec cérémonies simulant des meurtres d'enfants comme dans The Cremation of care du Bohemian Club, n'est pas si délirante.

Pas si délirante, puisque pour assumer la cruauté qu'impliquent les décisions prises au plus haut niveau par ces réseaux de domination occultes sur l'humanité souffrante-décisions générant : chômage, famines et guerres - il faut avoir renoncé aux commandements chrétiens d'humilité et de charité et avoir, littéralement, voué son âme au diable !"

"C'est d'ailleurs, poursuit Soral, ce constat terrifié que faisait le producteur hollywoodien Aaron Russo, suite aux propos que lui aurait tenus le grand initié Nick Rockefeller. Propos révélant les desseins maléfiques de l'oligarchie mondialiste et qu'Aaron Russo osa dénoncer dans une confession vidéo célèbre, quelques mois avant sa mort, parce qu' il se savait condamné...

Articulés autour du noyau onusien - ONU qui reprenait, après la Deuxième Guerre mondiale, le principe mondialiste de la Société des Nations initiée en 1918 par notre compatriote, au service du
pouvoir bancaire anglo-saxon, Jean Monnet - le CFR, la commission Trilatérale et le groupe Bilderberg, mais encore le FMI (de notre futur président Strauss-Kahn), l'OMC (de Pascal Lamy, autre agent français au service des intérêts anglo-saxons), l'OCDE, les lobbies militaro-industriels, 
énergétiques, agro-alimentaires et pharmacochimiques (servi par l'OMS), ainsi que des clubs plus ésotériques tels que Skull and Bones et Bohemian Club, auxquels il faut encore ajouter d'autres relais français tels que Le Siècle et le Club des Cordelières...

Tous ces réseaux de pouvoir, travaillant la main dans la main pour des raisons d'intérêts financiers et de solidarité de caste, constituent ce réseau des réseaux qui est, de fait, la structure combattante de l'Empire.

Un Empire travaillant au Nouvel ordre mondial, soit à l'abolition de la démocratie et au pouvoir bancaire intégral - forme achevée du Capital - sur le dos du travail, des nations et des peuples..."

(Alain Soral, Comprendre l'Empire - Demain la gouvernance mondiale ou la révolte des Nations, publié en 2011.)

Huit années après la parution de son livre, Alain Soral est l'une des victimes de l'abolition de la démocratie et de la liberté d'expression en France. 

Émue, Marion Sigaut réagit à la condamnation à la prison ferme d’Alain Soral :


Le Saint-Empire Euro-Germanique

"Sous Ursula von der Leyen, l'UE est en train de passer d'une démocratie à une tyrannie."  Cristian Terhes, député europée...