mercredi, octobre 09, 2019

Sujet tabou, les races


Ma conception raciste du monde
от Vincent Reynouard на Rutube

Pourquoi une vidéo de Vincent Reynouard ?

Vincent Reynouard a été emprisonné en France pour ses idées. L'arbitraire est désormais une triste réalité dans l'Union européenne et plus particulièrement en France. 
"Depuis le début du quinquennat Macron, écrit Julien Martel, une atmosphère de restriction des libertés s’est abattue sur la France. La liberté d’expression est attaquée par des textes de loi qui s’enchaînent. Or sans liberté d’expression, il n’y a pas de débats, pas de discours contradictoires qui permettent de remettre en cause ses préjugés et éventuellement de se forger sa propre pensée au fur et à mesure des argumentations et contre-argumentations."
Écoutons les personnes persécutées par la dictature oligarchique, leur combat ne manque pas de courage. Et, interrogeons-nous sur les raisons de cette persécution.

Les races


Au début du XXe siècle, René Guénon écrit :

"Toutes les traditions s’accordent à enseigner que l’humanité terrestre descend de quatre races primordiales, dont le mélange a formé un grand nombre de races secondaires... [...] 

Nous rappellerons simplement que leurs traditions respectives ont pour symbole quatre fleuves issus d’une même source principielle, et coulant vers les quatre points cardinaux, le long des flancs d’une montagne sur laquelle repose le Livre de Vie qui contient la Doctrine Sacrée [...]. On peut dire, en employant une expression biblique, que cette montagne sainte est celle sur laquelle s’est arrêtée, à une époque que nous laissons indéterminée, l’Arche de la Tradition, dans laquelle est contenu le Palladium de l’Empire Synarchique Universel (L'Ordre Mondial de la marchandise et du métissage des populations esclavagisées est imposé actuellement par l'oligarchie des ultra-riches. C'est une inversion satanique de l'Empire Universel. Empire qui pourrait s'apparenter à une sorte de Fédération planétaire des peuples libres, note un lecteur).

Quatre couleurs

(...) ces quatre races sont distinguées par une couleur qui est attribuée à chacune d’elles, et qui est symbolique en même temps qu’elle se rapporte à la couleur de peau propre à cette race, d’après les différences corporelles déterminées dans les hommes par leurs tempéraments respectifs ; il est donc permis de supposer que, dans bien des cas, les hommes ont dû se grouper d’après leurs affinités plus encore que d’après leurs origines. Tout le monde sait que l’on distingue les races blanche, jaune, noire et rouge, et Fabre d’Olivet a montré, dans son "Histoire philosophique du Genre humain" (qu’il avait présentée d’abord comme une étude de l’État social de l’Homme), que chaque race a eu à son tour une civilisation prédominante. Il en est résulté naturellement, à diverses reprises, des déplacements des centres des Universités principales ou particulières dans lesquelles se conservaient les traditions. On admet le plus ordinairement que la Métropole Sacrée [...] est située en Asie depuis le commencement des temps dits historiques, qui coïncide avec la période connue sous le nom de Cycle de Ram, période que certains ont appelée l’Âge d’Or, ou encore le Règne de Saturne... [...] 

À partir de ce centre, la race blanche s’étendait au Nord, la race jaune à l’Orient, la race noire au Midi, et la race rouge à l’Occident.

L’Université centrale était toujours située dans une région appartenant à la race dominante, qui donnait à cette région le nom de Terre du Principe, Asiah, et celui de Terre Sainte par excellence, ou de Terre Noble, Âryavarta ; de là partaient les instructeurs chargés de donner des lois aux divers peuples suivant les caractères spéciaux de ceux-ci, et aussi des envoyés auxquels étaient confiées d’autres missions. Les hommes de la race dominante s’appelaient Âryas, nobles, et, dans d’autres langues, Anakim ou Giborim, forts, puissants, et on leur donnait un grand nombre d’épithètes différentes ; mais tout ce qui se rapporte à eux ne doit pas être considéré comme se rapportant toujours à la même race, puisque chaque race a dominé dans certains temps ou dans certains pays.

Préservation des sociétés traditionnelles

Ainsi, nous ne chercherons point quelle fut la situation géographique de l’Âryavarta à telle ou telle époque, mais nous dirons que, indépendamment du partage général de la Terre entre les quatre races, il se forma fréquemment entre celles-ci des sortes d’associations, constituant des sociétés en apparence hétérogènes, mais strictement organisées par une législation qui, à l’origine, interdisait toujours l’union de ces éléments différents, pour des raisons d’ordre et de sélection (s’il est permis d’employer ici une expression aussi moderne). Parfois, c’était toute une nation, comme le peuple hébreu, à qui son législateur, pour les mêmes raisons, interdisait les unions avec les peuples étrangers, et ce peuple se subdivisait lui-même en un certain nombre de tribus nettement séparées. Comme chaque race ou chaque tribu formait une classe sociale exerçant une catégorie de fonctions déterminées, de même que, dans un corps vivant, chaque organe exerce sa fonction propre, il est naturel que les hommes, au début de chaque organisation, se soient groupés d’après les affinités de leurs natures individuelles. Peu à peu, les différences entre ces groupements se sont accentuées et fixées, de manière à prendre le caractère de distinctions ethniques, qu’elles n’avaient pas tout d’abord ; c’est là une origine très vraisemblable, sinon pour les races primordiales, du moins pour les races secondaires qui se sont formées ultérieurement.

Admission de l’enfant dans une collectivité

Ceci indique le point de départ ou le principe de l’institution des castes, sur laquelle repose toute société établie synarchiquement, c’est-à-dire en accord avec les règles organiques et harmoniques de notre Univers. La caste (en sanscrit varna) est déterminée pour chaque individu par sa nature propre, c’est-à-dire par l’ensemble des qualités potentielles qu’il apporte en naissant (djâtî), et qui passeront en acte dans le cours de son existence terrestre. Cette nature particulière, qui est le germe ou la racine de l’individualité actuelle, est elle-même la résultante de deux éléments distincts : d’une part, les affinités du milieu ambiant, dont une grande partie constituent ce qu’on appelle habituellement l’hérédité ; d’autre part, les influences des Forces cosmiques en action sur ce milieu, Forces qu’étudie spécialement l’Astrologie, et qui déterminent en puissance, c’est-à-dire par des tendances, la destinée individuelle, indépendamment de la façon particulière dont celle-ci se réalisera, laquelle relève à la fois de la liberté humaine et des circonstances concomitantes ; d’ailleurs, il faut reconnaître que la liberté, en fait, joue souvent dans les événements un rôle bien faible, sinon tout à fait nul. Pour déterminer la condition de l’individu, on a donc : d’une part, ce qui appartient d’une manière générale à la race ou à la famille (gôtrika, de gôtra, lignée), élément qui, dans les sociétés régulières, se synthétisait dans une épithète collective et ordinairement héréditaire, devenant bientôt un nom familial ; d’autre part, les qualités propres à l’individu (nâmika, de nâma, nom), qui déterminaient le nom spécial qui lui était donné, nom dont l’attribution était toujours accompagnée d’une cérémonie rituélique consacrant l’admission de l’enfant dans la collectivité à laquelle il devait appartenir. L’attribution du nom ne doit pas être confondue, comme elle l’a été plus tard dans les religions exotériques, avec l’initiation ou seconde naissance, lors de laquelle l’individu reçoit un deuxième nom, en même temps qu’il revêt une nouvelle individualité, distincte de son individualité profane.

Ceci montre que, si la caste, déterminant la fonction sociale de chacun, est souvent héréditaire en fait, par un effet de la sélection dont nous avons parlé, elle ne l’est pas en principe ni dès l’origine. D’autre part, on doit regarder comme irrégulière toute société où les castes ne sont pas distinctes, défaut d’organisation qui entraîne la destruction de toute hiérarchie véritable, et, par suite, le règne du despotisme, tyrannie d’un seul homme, ou de l’anarchie, tyrannie de la multitude."

Extrait de L’ARCHÉOMÈTRE de René Guénon, paru en 1911.


mardi, octobre 08, 2019

Le livre mystérieux de l'au-delà et la mystique divine

Le livre mystérieux de l'au-delà de Johannes Greber commenté par P. Jovanovic. [19:42 - Une allusion à l'islam authentique (celui étudié par René Guénon) qui explique une des raisons de l'islamophobie actuelle. Sur ce sujet, voir le développement de Pierre Hillard ICI]


Télécharger gratuitement le livre La communication avec le monde spirituel de Johannes Greber.

"Dans son ouvrage monumental en trois volumes intitulés "La Mystique divine" (1882), le chanoine Ribet détaille les manifestations des différentes catégories d'Esprits : Dieu, Jésus, Marie, les anges, les bienheureux, les âmes du purgatoire, les démons et les damnés. 

Ce travail de synthèse approuvé en préface par le pape Léon XIII était réservé au clergé catholique, car à la fin de cet ouvrage, l’auteur fustige tout spiritisme qui se ferait en dehors du contrôle de l'Eglise de Rome. Au XXe siècle, ce savoir fut complètement abandonné."

"Le 24 avril 1917, le Vatican avait publié un décret interdisant à tous les membres de l’église catholique, religieux ou laïques, de communiquer avec le monde spirituel. Cette décision marquait un tournant dans la politique de Rome qui abandonnait ainsi sa tradition de l’enseignement mystique pour s’attacher au matérialisme du XXème siècle. La rupture fut d’autant plus grande que beaucoup de catholiques canonisés dans le passé, comme Sainte Catherine de Ricci, Sainte Lidwine ou Saint Oswald, avaient justement été déclarés « saints » en raison de leurs contacts fréquents avec l’au-delà."

Un résumé de la "mystique divine" par Johannes Greber :

"Il existe beaucoup de niveaux parallèles à ceux de votre terre. Les degrés terrestres que vous constatez dans les règnes animal, végétal et minéral possèdent également leur forme spirituelle correspondante.

Il faut donc parler aussi d'un règne animal spirituel, d'un règne végétal spirituel et d'un règne minéral spirituel. Ces règnes spirituels se rapportent aux espèces les plus variées constituées par les êtres vivants qui possèdent un corps fluidique et qui sont semblables aux êtres vivants qui possèdent un corps matériel que vous observez sur cette terre.

Lors du décès, après la séparation de l'esprit et du corps matériel, les Esprits avec leur corps fluidique retournent dans les sphères spirituelles. Ils y séjournent jusqu'à leur réincarnation terrestre qui commencera par une nouvelle naissance terrestre. Si l'esprit ne s'améliore pas, ses incarnations se produiront dans la même sphère matérielle, aussi longtemps qu'il n'aura pas atteint un stade évolutif le conduisant à une incarnation plus élevée, sur un plan plus parfait. [...]

Le christianisme actuel ne sait rien de ces vérités qui vont à l’encontre de votre logique et de votre raisonnement habituel." [...]



Le récit biblique de la création a été falsifié

"Malheureusement, dit Johannes Greber, ces vérités, qui étaient à l’origine mentionnées dans le récit biblique de la création, ont été supprimées. Il en reste très peu. Il n’est plus nulle part question de la création des Esprits, il ne reste que quelques bribes de la révolte, du combat et de la défection de ceux-ci. On ne parle pas des sphères, des plans d’évolution, ni de l’incorporation des corps fluidiques dans la matière terrestre. Quand votre Bible parle de la création terrestre, elle la présente comme une nouvelle création, indépendante de la création des Esprits et de la défection d’une partie du monde spirituel.

La version originale de la Bible contenait toutes ces vérités. Les version postérieures sont l’oeuvre de l’esprit du mal, afin de cacher aux hommes ce qui constitue le plan de rédemption de Dieu. Il fallait cacher à l’humanité la si consolante vérité qu’à la fin tout retournera à Dieu : Voilà ce qui est bon et ce qui plaît à Dieu notre Sauveur, lui qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité (Timothée 2 : 3 - 4). Ramener tout à Dieu est également le but de la création matérielle.

Les puissances des ténèbres avaient tout à gagner en propageant les doctrines de la désespérance, du découragement et de l’enfer éternel, aux portes duquel un de vos poètes place cette inscription amère : "Vous qui entrez ici abandonnez toute espérance". De telles paroles sonnaient bien aux oreilles des maîtres de ces lieux infernaux, bien mieux que la doctrine d’un Dieu compatissant."

lundi, octobre 07, 2019

L'instauration d'un régime oligarchique mondial


La réalité du Gouvernement mondial comme projet politique et financier, expliquée par nos dirigeants à travers une compilation d'émissions télévisées et d'interviews (en moins de 10 minutes).

Télécharger gratuitement Les Protocoles des Sages de Sion, édités par la Revue Internationale des Sociétés Secrètes.


L’intérêt des Protocoles (des sages de Sion) n’a pas disparu : en effet, le plan qui y est décrit, consistant à instaurer un régime oligarchique (non nécessairement juif), est en train d’être mis en vigueur, en temps réel ; cela s’appelle le Nouvel Ordre Mondial.

L’auteur anonyme des Protocoles décrit un plan magistral pour une vaste restructuration de la société, créant une nouvelle oligarchie et entraînant l’assujettissement de millions d’êtres humains. [...]


La difficulté des Protocoles réside dans une dissonance étrange entre leur langage imprudent et leur profonde pensée religieuse et sociale. « C’est un compte rendu parodique d’un plan satanique, subtil et très bien conçu », écrit le Prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne dans son analyse des Protocoles, écrite en 1966 et publiée seulement en 2001 :

« Les Protocoles exposent le plan d’un (nouveau) système social. Son dessein se situe bien au-dessus des capacités d’une âme ordinaire, y compris celle de son auteur. Il s’agit d’un processus dynamique en deux étapes, de déstabilisation, d’augmentation des libertés et du libéralisme, qui trouve son apogée dans un cataclysme social, au premier stade ; la seconde étape voyant se mettre en place une nouvelle hiérarchisation de la société. Ce qui est décrit est plus complexe qu’une bombe nucléaire. Il pourrait s’agir d’un plan volé et gauchi, formé par un esprit de génie. Son style putride de brochure antisémite cauteleuse en obscurci(rai)t (intentionnellement) la grande force de pensée et la vision pénétrante ».


Soljenitsyne est conscient des failles des Protocoles. « Leur style est celui d’un pamphlet dégueulasse, la puissante ligne de pensée est brisée, fragmentée, mêlée d’incantations nauséabondes et de grossières maladresses psychologiques. Le système qui y est décrit n’est pas nécessairement relatif aux Juifs ; il pourrait s’agir d’un système purement maçonnique, ou autre ; en même temps, son orientation fortement antisémite n’est nullement une composante fondamentale du projet [qui y est décrit] ».

Soljenitsyne procède à une expérimentation textuelle : il supprime les mots « Juifs », « Goyim » et « conspiration », et il aboutit à nombre d’idées dérangeantes. Il conclut : « Le texte démontre une clarté de vision impressionnante en ce qui concerne les deux systèmes sociétaux : le système occidental et le système soviétique. Si un puissant penseur, en 1901, pouvait prédire le développement de l’Occident avec quelque vraisemblance, comment aurait-il pu entrevoir le futur soviétique ? »

Soljenitsyne a bravé le régime soviétique, il a osé écrire et publier son mammouth, "L’Archipel du Goulag", implacable condamnation de la répression soviétique, et pourtant, même lui, il a calé : il n’a pas publié sa recherche sur les Protocoles. Il a demandé que cette étude ne soit publiée qu’après sa mort. C’est contre sa volonté qu’elle fut imprimée en un nombre très réduit d’exemplaires, en 2001. 

L'asservissement des esprits

Suivons le développement de la pensée de Soljenitsyne et plongeons le regard dans la boule de cristal des Protocoles, tout en écartant pour le moment leur « ligne juive » et en nous concentrant sur l’idée de la création d’un nouveau système, pas nécessairement dominé par les Juifs, donc. 

Le plan-maître commence par la reconstruction de l’esprit humain :

« Les esprits des gens doivent être détournés (de la contemplation) vers l’industrie et le commerce : dès lors, (les gens) n’auront plus le temps de penser. Les gens se consumeront à la poursuite de l’argent. Ce sera une poursuite vaine, car nous bâtirons l’industrie sur une base spéculative : les richesses tirées de la terre par l’industrie glisseront entre les mains des travailleurs et des industriels et se retrouveront entre celles des financiers.

« La lutte – intensifiée – pour la survie et la supériorité, accompagnée de crises et de chocs, créera des communautés froides et sans cœur, avec une forte aversion envers la religion. Leur seul guide sera celui de Mammon, auquel ils voueront un véritable culte ».

Le caractère visionnaire d’Anonyme est époustouflant : aux jours de la publication des Protocoles, l’Homme était encore la mesure des choses, et il faudra que bien quatre-vingts ans se passent, avant que Milton Friedman et son Ecole de Chicago n’intronisent les dieux Marché et Profit en seuls flambeaux guidant le Monde.

Le pouvoir des médias

L’outil pour l’asservissement des esprits, ce sont les médias...

« Il est une puissante force qui crée le mouvement de la pensée, dans le peuple : cette force, ce sont les journaux. C’est dans les journaux que le triomphe de la liberté de parole trouve son incarnation. Au moyen de la Presse nous avons conquis le pouvoir d’influencer les esprits tout en demeurant inaperçus. Nous éradiquerons de la mémoire des Hommes les faits historiques dont nous ne désirons pas qu’ils les connaissent, et nous ne laisserons perdurer que ceux qui nous conviennent. » [...]


La dette permet de déposséder les nations de leurs richesses

Un siècle avant l’avènement de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International, les Protocoles notaient que les prêts sont le meilleur moyen pour déposséder des pays de leurs richesses ; que les marchés financiers, avec leurs multiples produits dérivés, ponctionnent la richesse et l’accumulent entre les mains des prêtres de Mammon ; que le gain (« les forces du marché ») est la seule mesure du succès de toute stratégie. Oui, l’intérêt des Protocoles n’a pas disparu : en effet, le plan qui y est décrit, consistant à instaurer un régime oligarchique (non nécessairement juif) est en train d’être mis en vigueur, en temps réel ; cela s’appelle le Nouvel Ordre Mondial. [...]


Saper toute foi, extirper des esprits le principe divin lui-même

Les Protocoles :

« La Liberté pourrait être inoffensive et trouver sa place dans l’économie de l’Etat sans porter atteinte au bien-être du peuple, pour peu qu’elle reste cantonnée à la foi fondamentale en Dieu, bien supérieure et excluant la foi en la Fraternité humaine. C’est la raison pour laquelle il est indispensable, pour nous, de saper toute foi, d’extirper des esprits des gens le principe divin lui-même et l’Esprit, et de le remplacer par les calculs arithmétiques et les besoins matériels. » [...]


La destruction du christianisme

Les Protocoles : 

« Nous avons pris soin de discréditer les prélats catholiques et de ruiner leur mission, qui pourrait faire obstacle à la réalisation de nos plans. De jour en jour, leur influence sur les gens du peuple tombe plus bas. L’effondrement final de la chrétienté est proche. »

Nous sommes témoins de la mise en application de ce plan : la religion est déconsidérée, le néolibéralisme (culte de Mammon) la remplace, tandis qu’avec la déstabilisation du socialisme, nous assistons à l’effondrement d’une tentative courageuse de fraternité non fondée sur la religion, qui laisse un énorme vide idéologique.



Satan, le véritable planificateur

Cette observation a fait pousser les hauts cris à certains de mes lecteurs : « Le véritable planificateur du plan-Maître est notre vieil ennemi, le Prince de l’Univers (Satan, ndt), dont le but ultime est l’élimination de la Présence Divine et la perdition de l’Homme ». C’est vrai, mais le Prince de l’Univers ne peut agir directement. Il a besoin d’agents libres de leurs mouvements, qui choisissent d’accepter son projet. Ces agents indispensables et leurs alliés probables, d’après le pamphlet, sont les capitalistes financiers et les Maîtres du Discours, qui en sont l’"Esprit".

Ils promeuvent aux plus hautes destinées des « politiciens qui, en cas de désobéissance à nos instructions, devront faire face à des charges criminelles ou devront disparaître. Nous arrangerons les élections en faveur de candidats dont le passé est entaché de sombres méfaits, encore cachés. Ceux-là seront pour nous des agents à la fidélité à toute épreuve, par crainte d’être démasqués. » [...] 

L'instauration de l'oligarchie mondialiste

Les Protocoles prédisent l’apogée de la Nouvelle Bourgeoisie – l’apogée des adorateurs de Mammon, partisans de la mondialisation, viscéralement hostiles aux anciennes élites, à l’Esprit, à la religion, aux gens ordinaires. Très longtemps, ils furent les moteurs de la gauche, des mouvements aspirant à la démocratie : jusqu’à ce que leur objectif soit atteint - après quoi, ils négocièrent leur grand virage en épingle à cheveux, direction : l’oligarchie. [...]

Ainsi, on le voit, les Protocoles (expurgés de toute référence aux Juifs et aux conspirations) sont utiles, en ceci qu’ils décrivent le plan du Nouvel Ordre Mondial...

Israël Shamir


dimanche, octobre 06, 2019

"Maintenez l'humanité en dessous de 500 millions d'individus"

"Maintenez l'humanité en dessous de 500 millions d'individus en perpétuel équilibre avec la nature" est le premier commandement gravé sur un monument en granite érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, en Géorgie (Georgia Guidestones), dont la signature évoque la Rose-Croix. "Chevalier Rose-Croix" est le 18e grade de la franc-maçonnerie. 

Claire Séverac était persuadée que l'oligarchie qui accapare les richesses mène une guerre secrète contre les peuples : l'impitoyable eugénisme du nouvel ordre mondial.


Claire Séverac, décédée en 2016, a écrit deux livres remarquables « Complot mondial contre la santé » et surtout « La guerre secrète contre les peuples » (Durée de la vidéo, 46 minutes)



LE PLAN DES ÉLITES


Claire Séverac

Selon le dernier rapport d'Oxfam, En finir avec les inégalités extrêmes - Confiscation politique et inégalités économiques, publié le 20 janvier 2014, 1 % de la population mondiale possède autant que les 99 % restants. Les soixante-sept personnes les plus fortunées de la planète possèdent autant de richesses que la moitié de la population du monde, soit 3,6 milliards d'êtres humains.

Aux États-Unis, ce 1 % des plus riches a confisqué 95% de la croissance post-crise financière depuis 2009. Et de 2008 à 2010, en France - n'oubliez pas qu'il faut tous participer à l'effort national ! -, alors que les 10 % les plus pauvres ont perdu 179 millions d'euros, les 10 % les plus riches se sont enrichis de 24 milliards.

L'argent ne circule que dans un sens : vers les coffres des 1 % ! On compte 840 millions de personnes sous-alimentées dans le monde, des dizaines de millions d'enfants pauvres dans les pays riches et 30 millions d'esclaves sur la planète.


Cette situation est exactement celle prédite, il y a trente ans, par Zbigniew Brzeziriski, qui applique la loi de Pareto à la société : 20 % de la population suffisant à faire tourner le système, 80 % seront des bouches inutiles...


Nous y sommes ! Et toutes les déclarations officielles de lutte contre le chômage, les inégalités, pour retrouver « le plein-emploi », c'est du pipeau ! Les promesses rendent les enfants joyeux ! Mais ce besoin viscéral qu'ont les hommes de gagner leur vie et de nourrir leur famille est rayé de l'ordre du jour... La vérité, c'est que les 1 % n'ont plus besoin de cette masse grouillante ni de leur descendance, juste d'un réservoir d'hommes-machines, performants et sans états d'âme, que dans leurs recherches ils appellent déjà « post-humains »... Reste à savoir comment l'État va faire face aux frustrations terribles et à la violence qui va se déchaîner quand la société va prendre conscience que les carottes sont cuites...

Les mêmes banksters confisquent les semences, achètent toutes les réserves d'eau, polluent les océans et les terres du monde entier avec leurs OGM, pesticides et autres produits chimiques toxiques ; ils nous soumettent à des vaccins qui détruisent notre système immunitaire puis nous pulvérisent comme des cafards et nous exposent à des produits chimiques qui nous rendent malades ; ils nous empoisonnent avec la nourriture et nous empêchent de nous soigner librement, nous enlevant les chances de guérir... Ils rendent nos enfants autistes, illettrés, abrutis et stériles pendant qu'ils sortent de leur chapeau la GPA, les manipulations génétiques, l'ectogenèse... les bébés se feraient en dehors du corps de la femme, dans un utérus artificiel... Mais un bébé qui grandit dans une boîte, sur des rayonnages, sera-t-il encore un être humain ? Le rêve des maîtres du monde si bien décrit par Aldous Huxley est à notre porte : l'enfant ne serait plus le résultat de tout un inconscient transgénérationnel, d'une histoire, des quelque sept mille connexions de neurones établies dans le dialogue qu'il a avec sa mère in utero, ces milliards d'informations impalpables qui le façonnent...

Plusieurs expériences ont aussi été faites pour créer des humains génétiquement modifiés, et trente bébés transgéniques sont nés normaux et en bonne santé aux États-Unis. Quinze de ces enfants ont vu le jour au cours des trois dernières années, à la suite d'un programme expérimental de l'Institut de médecine de reproduction et des sciences de Saint Barnabas, dans le New Jersey. Ils sont nés de femmes qui avaient des problèmes pour procréer. Des gènes d'une autre femme ont été insérés dans leurs œufs, ensuite fécondés, afin qu'elles aient une chance de concevoir. Pour l'instant, deux de ces bébés ont fait l'objet de tests qui confirment qu'ils ont bien hérité des gènes de trois parents. Ce qui veut dire aussi qu'ils les ont intégrés dans leur lignée germinale et qu'ils vont les transmettre à leur descendance.

La crainte des généticiens qui écoutent leur conscience est évidemment que cette méthode soit utilisée pour créer une nouvelle race d'humains qui ait trois neurones et les muscles de Schwarzenegger. Crainte justifiée, quand on lit les déclarations de la crème de ce monde. Il n'y a pas de doute : ils veulent contrôler la reproduction humaine comme ils contrôlent celle des plantes et des animaux.

Ainsi, dans quelques décennies, quand nos descendants stériles voudront un enfant, ils devront acheter le seul spécimen en stock, à l'électroencéphalogramme presque plat, mais avec tous les attributs du gentil esclave !


LA VIE CONDAMNÉE



"L'individu est handicapé de se retrouver face à face avec une conspiration
si monstrueuse qu'il ne peut pas croire qu 'elle existe."
J. Edgar Hoover, Patron du FBI


Quand je dis que tout converge, c'est que toutes les mesures prises vont vers la destruction de l'Homme et non son mieux-être, et qu'il s'agit du même plan, du même travail de sape dans tous les domaines : en détruisant les écosystèmes, ils ont détruit notre lien avec la nature, notre communion avec le divin et notre indépendance alimentaire ; en brûlant les livres, ils nous privent du savoir et de notre place dans l'Histoire ; on ne parle plus à ses voisins, pressé que l'on est de rentrer à la maison pour se connecter aux réseaux sociaux où l'on a cinq mille amis que l'on ne connaît pas et qui n'en ont strictement rien à faire de nous !

Tout est fait pour que chaque individu se retrouve isolé, fragilisé et sans repère.

Avant, les anciens aidaient à élever les plus jeunes qui, à leur tour, prenaient soin des anciens quand le dos de ceux-ci se courbait. Maintenant, les enfants vont à la crèche et les vieux en maison de retraite... et dans le relais de la vie, on ne passe plus le bâton ! Chacun se démerde! C'est le progrès ! Attali et Minc martèlent dès qu'ils le peuvent que les vieux coûtent trop cher au système de santé... Après la réforme des allocations familiales, la brèche est ouverte et c'est sans doute la prochaine catégorie qui va être poussée dehors sans protection ! Au nom de la crise économique, on nous reprend tout, la valeur humaine et les moyens de la solidarité. On nous précarise, au nom de « l'effort national » auquel tout le monde doit contribuer... sauf la classe politique ! Dans le silence complice et veule des médias mainstream, des syndicats, bref... de tous ceux qui en croquent ! Mais la crise n'est pas une fatalité, pas plus que les cancers et autres maladies qui explosent ces dernières années. Elle n' est pas tombée du ciel. Elle n' est que l'épilogue d'une politique mondiale instaurée au détriment des humains, la confiscation des richesses par les 1 % qui n'ont plus besoin de nous ménager.

Ils ont fait main basse sur l'argent comme sur l'agriculture, l'élevage, l'énergie, la santé, et sur l'économie tout entière. Tout ce qui se passe est voulu, prévu et fait partie du plan. Le fait d'avoir marché sur une fourmilière nous empêche-t-il de dormir ? C'est à peu près le même degré d'empathie qu'ils ont pour nous et les souffrances qu'ils nous infligent.

La petite centaine de puissants qui concentrent entre leurs mains tout l'or et les pouvoirs du monde sont activement engagés dans une modification eugénique de notre planète et ne s'en cachent pas. Chacun y va de sa déclaration en faveur de la dépopulation.

John P. Holdren, conseiller scientifique de Barack Obama : « Un programme de stérilisation des femmes après leur deuxième ou troisième enfant [...] La capsule pourrait être implantée à la puberté et être amovible, avec une permission officielle, pour un nombre limité de naissances. »

Ted Turner, fondateur de CNN : « Une population mondiale totale comprise entre 250 et 300 millions de personnes, soit une baisse de 95 % par rapport aux niveaux actuels, serait idéal. »

Margaret Sanger, fondatrice de l'American Birth Control League (Ligue pour le contrôle des naissances ; qui devint le « planning familial ») : « Tous nos problèmes sont le résultat d'un excès de reproduction de la classe ouvrière. » Ou : « La chose la plus miséricordieuse qu'une famille nombreuse peut faire pour un de ses enfants, est de le tuer. »

Alberto Giubilini, de l'Université Monash à Melbourne, et Francesca Minerva, de l'Université de Melbourne, dans un article publié dans journal of Medical Ethics : « Nous croyons que lorsque des situations similaires à celles justifiant l'avortement se produisent après la naissance, on devrait autoriser ce que nous appelons l'avortement postnatal. Donc dire que le meurtre d'un nouveau-né peut être éthiquement acceptable dans les mêmes circonstances qu'un avortement. Ces circonstances comprennent (outre les handicaps) les cas où le nouveau-né a le potentiel pour une vie décente, mais où le bien-être de la famille est en danger. » Cette jeune femme au sourire éclatant dit ne pas même comprendre le tollé et les menaces de mort que ses écrits monstrueux ont produits puisqu'ils n'étaient destinés qu'à des scientifiques !

David Brower, premier directeur exécutif du Sierra Club : « La grossesse devrait être un crime contre la société, punissable, à moins que les parents aient une licence du gouvernement [...].Tous les parents potentiels devraient être tenus d'utiliser des contraceptifs chimiques, et des antidotes seraient donnés par le gouvernement aux citoyens choisis pour procréer. »

Quant à Bill Gates, il admet tranquillement que les vaccins pourraient être utilisés pour la dépopulation : « Il y a 6,8 milliards de gens sur la Terre, bientôt 9 milliards ; maintenant, si l'on fait vraiment un super boulot avec les nouveaux vaccins, les services de santé reproductive, on pourrait réduire ces chiffres de 10 à 15 %... »

Extrait du livre de Claire Séverac, La guerre secrète contre les peuples.

Claire Séverac

On nous dit que ce sont de simples avions de ligne... Dormez bien, braves gens, il ne se passe rien ! De ces traînées blanches laissées par des avions qui pulvérisent sur nos têtes des produits toxiques, transformant nos beaux ciels bleus en plafonds laiteux, au programme Haarp, officiellement destiné à permettre les communications longue distance, mais qui sert à bien d'autres fins... on nous ment sur tout. Le temps qui se détraque, les catastrophes météorologiques à répétition, dus au CO2 vraiment ? 

Des documents déclassifiés de l'armée, des experts repentis, des scientifiques intègres parlent, eux, de guerre climatique. Quelles meilleures armes que celles qui se dissimulent sous des phénomènes naturels ! Beaucoup d'entre nous ont entendu parler des diverses expériences de la CIA, toutes plus horrifiantes les unes que les autres. 

Mais combien savent qu'elles touchent le commun des mortels, que nous sommes tous victimes des armes bactériologiques, des implants, des nanoparticules, des mutations génétiques, des manipulations mentales, exposés aux perspectives terrifiantes ouvertes par le transhumanisme et l'eugénisme qui sont le but de nos élites ? 

Si nous ne nous y opposons pas, demain, ces nouvelles technologies au service des puissants feront de nous au mieux des pions, au pire des esclaves. Plus ou moins tenus secrets, ces projets revêtent tous un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l'écologie, la sécurité... En réalité, ils obéissent tous au plan d'une oligarchie qui n'a plus besoin de toutes « ces bouches inutiles », comme ses membres nous appellent en privé, et qui se donne ouvertement comme objectif de réduire l'humanité à 500 millions d'individus. Le plus grand génocide de l'histoire est en marche dans la désinformation la plus totale.

samedi, octobre 05, 2019

L'eugénisme est-il le but du nouvel ordre mondial ?


Si YouTube censure la vidéo, la regarder sur Kla.tv : https://www.kla.tv/15004


Le texte de la vidéo (14 minutes) :

L'eugénisme est-il le but du nouvel ordre mondial ? 


Alexander Benesch 

Alexander Benesch  est né le 19 février 1984 à Feuchtwangen en Allemagne. Il est le fondateur et l'exploitant de Recentr.com, anciennement infokrieg.tv - Avec des sujets tels que les structures de pouvoir secrètes, la criminologie, les méthodes et opérations des services secrets, le contrôle des idéologies et des scènes politiques, il est appelé « le Dictionnaire ambulant de la connaissance ». 

Vous verrez ensuite un extrait de la conférence de l'AZK : « Le nouvel ordre mondial » avec pour thème principal : « L'eugénisme est-il le but du nouvel ordre mondial ? »

  
Alexander Benesch :

Il est donc essentiel de comprendre comment les gouvernements manipulent leurs citoyens. Et, bien sûr, la question a déjà été posée aujourd'hui : Quel est le but ultime ? Que veulent-ils vraiment ? Ils ont plus d'argent qu'ils n'en ont besoin, ils ont plus de pouvoir qu’on ne pourrait jamais rêver. Quel est le but ultime ? Ont-ils peut-être quelque chose à ajouter ? Malheureusement, Oui ! Il y a un nombre incroyable de citations de l'élite mondiale, où ils disent : « Nous voulons réduire la population mondiale à 500 millions de personnes. » (voir textes des Georgia Guidestones)

Et maintenant j’aimerais demander à nos techniciens de passer le clip du film « Endgame - Blueprint for Global Enslavement ». Là, vous pouvez voir l'eugénisme dans son intégralité. Vous voyez ce que c'est, qui est derrière, comment il a été rebaptisé et comment il est présenté aujourd'hui sous un nouveau nom. Et je vous le dis, c'est vraiment grave ! Les problèmes de l'industrie pharmaceutique... Je veux dire, nous avons maintenant de nouvelles statistiques de l'Amérique. On a maintenant 40 % de risques de mourir d'un cancer*², et comme je l'ai dit, tout le monde a des allergies et tout part à la dérive. Des gens meurent en masse à cause de ces choses. Et nous voyons l'élite dire : « Oui, en fait, ça nous va très bien ! »Je vous prie donc de passer le clip sur l'eugénisme, et cela va certainement clarifier certaines choses.



Sur l’écran : [Extrait du film : Endgame - Blueprint for Global Enslavement] D'où vient cette attitude ? Pourquoi est-ce que les élites tuent de telles masses de gens, alors que personne ne leur résiste et qu’elles ont déjà pris le contrôle total ?

Quelle idéologie anime l'esprit psychopathe de l'élite ? Depuis l'époque de Platon, il y a 2 400 ans, les planificateurs des constructions étatiques ont déclaré ouvertement leur intention de contrôler chaque détail de la vie d'un citoyen. Depuis des programmes de reproduction jusqu'au massacre de vies indésirables.

Ce rêve ténébreux dure depuis des millénaires. La justification scientifique de la tyrannie a toujours attiré les élites parce qu'elle fournit un prétexte qui les arrange pour traiter les hommes plus mal que les animaux.

Thomas Malthus est connu pour sa déclaration selon laquelle un effondrement à grande échelle des approvisionnements en nourriture contribuerait à ce plan parce qu'elle éradiquerait les pauvres. Son scénario fictif a été plus tard appelé une catastrophe malthusienne. Malthus est important parce que ses idées ont mené à la montée d'un nouveau domaine de la science qui a finalement façonné le cours de l'histoire humaine pendant plus de 200 ans. Charles Darwin, un admirateur du concept de la catastrophe malthusienne, a développé la théorie de l'évolution. L'un des grands principes était la survie des plus forts. Avec l'aide de Thomas Huxley, surnommé « le bouledogue de Darwin » en raison de son soutien véhément aux théories de Darwin, ces enseignements ont acquis une large acceptation dans les cercles scientifiques importants en Angleterre et finalement dans le monde entier. A partir de la théorie de l'évolution de Darwin avec des principes sociaux appliqués au darwinisme social, Francis Galton, le cousin de Darwin, qui porte le titre de « Père de l'eugénisme », a vu une opportunité pour le progrès de l’humanité. Les familles Darwin, Galton, Huxley et Watchword étaient tellement obsédées par leur nouvelle théorie du façonnement de la société qu'elles ont juré de ne se reproduire qu'au sein de leurs quatre familles. Ils ont prédit à tort qu'ils ne créeraient que quelques générations de surhommes.La pseudoscience en plein essor n’était donc que la justification illusoire de la pratique de la consanguinité, qui était déjà répandue parmi les élites depuis des milliers d'années. L'expérience des quatre familles a été un désastre. Après seulement deux générations d'inceste, près de 90 % de leurs descendants sont morts à la naissance ou étaient physiquement ou mentalement handicapés.

Les classes riches et en particulier les familles royales du monde, qui étaient auparavant obsédées par la reproduction et remplies d'un profond mépris pour les classes inférieures, se précipitèrent vers la nouvelle science et commencèrent à en imposer ses buts à l'échelle mondiale avec beaucoup de véhémence.

La biométrie donne l'apparence d'une nouvelle science. Cependant, elle a été développée par Galton dans les années 1870 pour observer les traits raciaux et le développement génétique et pour décider qui devrait être autorisé à se reproduire.

En 1904, l'eugéniste Charles Davenport a lancé l’institut de recherche Cold Spring Harbor aux États-Unis, avec le soutien financier des éminents barons-voleurs Rockefeller, Carnegie et Harryman. En 1907, les premières lois sur la stérilisation ont été promulguées aux États-Unis. Des citoyens présentant de légères difformités ou de faibles notes dans leurs bulletins scolaires ont été arrêtés et stérilisés de force. En 1910, le bureau d'enregistrement de l'Eugénisme est créé aux Etats-Unis. A cette époque, les Britanniques avaient déjà créé le premier réseau de travailleurs sociaux pour servir d'espions et d'organes exécutifs du culte eugénique des races, qui a rapidement pris le contrôle de la société dans le monde occidental. Les travailleurs sociaux décidaient quels enfants devaient être volés, qui devait être stérilisé et, dans certains cas, qui devait être secrètement et discrètement assassiné.

En 1911, la famille Rockefeller exporte l'eugénisme en Allemagne en finançant l'Institut Kaiser Wilhelm, qui deviendra plus tard un pilier important du 3ème Reich. En 1912 à Londres, lors du Congrès international d’eugénisme, il y a eu un battage médiatique international autour de l’eugénisme et celui-ci en a acquis beaucoup de popularité.

H. G. Wells, l’écrivain futuriste, auteur de best-sellers de science-fiction, qui avait étudié la biologie auprès d’eugénistes de haut rang, a diffusé la nouvelle croyance dans le monde entier. En 1916 Margaret Sanger, la maîtresse de H. G. Wells, a commencé à recruter des eugénistes aux États-Unis.

En 1923, Margaret Sanger a reçu un soutien financier considérable de la famille Rockefeller. Margaret Sanger a écrit à son collègue eugéniste Clarence J. Gamble qu’il fallait des dirigeants noirs pour servir d'hommes de paille dans les programmes de stérilisation visant les communautés noires. En 1924 Hitler a écrit le livre « Mein Kampf » dans lequel il cite comme source d'inspiration des eugénistes américains. Hitler a même écrit une lettre d’admiration à l'eugéniste et écologiste américain Madison Grant. Il a appelé le livre de Grant « The Passing of the Great Race », sa bible. Hitler a conçu son plan pour le massacre des Juifs et des « autres », comme il les appelait, des « sous-hommes », sur la base du travail de Grant.

En 1929, l'eugénisme avait atteint l'acceptation des masses. La prétendue science a fait l'objet d'une promotion agressive dans les écoles, les églises et les festivals folkloriques dans les différents lands allemands. Les églises organisaient entre elles des concours, avec des récompenses financières pour ceux qui pouvaient le mieux incorporer l'eugénisme dans leurs sermons. De grandes communautés religieuses ont dit aux Américains que Jésus prônait l'eugénisme. La même année, plus de 25 États américains ont adopté des lois sur la stérilisation forcée. La Cour suprême s'est prononcée en faveur de pratiques brutales de stérilisation forcée.

Lorsqu’Hitler prit le pouvoir en 1933, l'un de ses premiers actes officiels fut d'adopter des lois eugéniques inspirées des lois des États-Unis. En 1936, l'Allemagne était en tête dans le domaine de l'eugénisme. Des mesures efficaces ont été prises pour stériliser et tuer des centaines de milliers de victimes. Les trois eugénistes américains les plus importants (Davenport, Laughlin et Goth) furent envoyés par les Rockefeller en Allemagne, où ils conseillèrent les nazis sur la manière de différencier le système d'extermination. Avec le soutien actif des États-Unis et de l'Angleterre, l'Allemagne avait franchi toutes les frontières. Des millions de personnes ont perdu la vie. Après la fin de la guerre, les Alliés ont épargné toutes les conséquences pénales de leurs crimes aux scientifiques nazis qui avaient torturé à mort des milliers de personnes. Le programme nazi d'eugénisme a mis l'élite dans l’embarras. Cependant, cette dernière n’avait pas l'intention d'arrêter leurs plans. Les puissances alliées se sont battues pour obtenir les scientifiques nazis eugénistes de haut rang. Peu importe que les médecins SS aient torturé à mort des dizaines de milliers de personnes, ils ont tout simplement été libérés. « L'ange de la mort » Josef Mengele et son supérieur Otmar von Verschuer n'ont pas été poursuivis par la justice. Même après la guerre, von Verschuer a continué son travail en Allemagne. Les eugénistes étaient furieux que leur grand travail ait été dévoilé. Ils se sont donc mis à déguiser leur programme. La revue trimestrielle «The Eugenics Review» a été renommée « Biologie sociale ». La fédération américaine pour le contrôle des naissances a été renommée Planning Familial (Planned Parenthood). De nouveaux termes tels que « transhumanisme », « contrôle des populations », « développement durable », « préservation » et « protection de l'environnement » ont remplacé l'hygiène raciale et le darwinisme social.

Dans le passé, de nombreux eugénistes étaient, de leur propre initiative, actifs dans le domaine scientifique du crypto-eugénisme. Ils ont délibérément dissimulé leurs vues sur l'eugénisme et sont devenus des anthropologues, des biologistes et des généticiens très respectés dans l'après-guerre. Les Alliés ont fait passer clandestinement à l'étranger des milliers de scientifiques nazis d'Allemagne et les ont placés à des postes clés dans le complexe militaro-industriel, comme la recherche sur les armes biologiques et la science des missiles.

Le fondateur d'IBM avait été un fidèle partisan d'Hitler. Thomas J. Watson avait envoyé aux nazis ses calculatrices à cartes perforées et ses techniciens IBM pour qu’ils les utilisent dans les camps d'extermination. Les tatouages des détenus du camp étaient des numéros d'identification IBM enregistrés dans les ordinateurs. IBM avait déjà utilisé des systèmes de cartes perforées similaires en 1928 dans une étude sur le mélange racial en Jamaïque. Les premiers vrais ordinateurs ont été inventés par un eugéniste pour être utilisés dans le domaine de l'eugénisme.

Julian Huxley, un haut fonctionnaire des Nations Unies et un eugéniste impénitent, a soutenu que les mouvements environnementaux et de préservation lancés par les principaux eugénistes devaient être utilisés pour véhiculer l’idée de la création d'un gouvernement mondial. Selon la vision de H.G. Wells, ce gouvernement devrait être contrôlé par une dictature scientifique et caractérisé par les principes de l'eugénisme.

Julian Huxley a fondé le « World Wildlife Fund » (WWF) avec le prince Bernhard des Pays-Bas, fondateur du groupe « Bilderberg » et ancien officier SS, et le prince Philip d'Angleterre. « Si j’étais réincarné, j’aimerais l’être sous la forme d’un virus mortel afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. » a dit le prince Philip en août 1988, selon l'agence de presse allemande DPA. (Fin du film) 


Alexander Benesch :

Donc, comme vous l'avez vu, cet homme prend les choses très au sérieux ! Et quelles sont nos stratégies ? Nous devons mettre l'accent sur la méthode scientifique. On parle tout le temps de contrôle de la conscience, de trucs et de manipulations. Comment puis-je me protéger de telles choses ? Je dois apprendre comment elles fonctionnent. J'ai donc commencé avec ces connaissances de base et c’est comme ça que je suis entré dans la thématique et que je m'y suis intéressé : Comment cela fonctionne-t-il ? Comment faire en sorte que les gens fassent les choses les plus folles ?

Nous devons faire attention à la désinformation. 

Nous devons protéger Internet.

Nous devons bloquer tous les programmes de cette élite mondiale :

pas de taxe globale sur le CO2,

pas d’Unions, pas de guerres !


Je vous remercie beaucoup. Voix OFF : Vous trouverez la conférence complète de l'AZK « Le Nouvel Ordre Mondial » d'Alexander Benesch en allemand, sous le lien : 




vendredi, octobre 04, 2019

Défendre la liberté d'expression de Zemmour...


Défendre la liberté d'expression de Zemmour sans oublier Soral et tous les dissidents français condamnés à des peines de prison ferme (ou avec du sursis) et de lourdes amendes pour des idées (Dieudonné, Ryssen, Reynouard, Bourbon, Benedetti, Blet, etc.)

Le patron du Figaro Magazine, Guillaume Roquette, a déclaré : « Je n’aime pas cette chasse à l’homme qui consiste à faire taire les gens ».


Martyr de la liberté d'expression, Dieudonné
(Il a écopé de trois ans de prison, dont un avec sursis)

"Expulsé du théâtre de la Main d'Or puis du théâtre de l'Ampoule, les autorités auront tout fait pour que Dieudonné ne puisse plus jouer ses spectacles à Paris. C'était sans compter sur la détermination de l'artiste : le Dieudobus est de retour."




jeudi, octobre 03, 2019

Le fascisme prophétisé

"1984", bande annonce.

"Écrivain, journaliste, combattant, militant, George Orwell - de son vrai nom Eric Arthur Blair - était un homme engagé contre toute forme de totalitarisme. Il n'a eu de cesse de dénoncer les travers de son époque : l'impérialisme britannique, le stalinisme, le nazisme, l'exploitation des classes laborieuses..."


Le fascisme prophétisé

par George Orwell


L'oppression capitaliste 
Le Talon de fer (The Iron Heel) de Jack London 

La réédition du livre de Jack London, "The Iron Heel", met à la portée de tous un livre qui a été très recherché pendant les années de l’offensive fasciste. Comme d’autres ouvrages de Jack London, il a eu de nombreux lecteurs en Allemagne et s’est acquis la réputation d’une oeuvre visionnaire décrivant avec précision l’ascension de Hitler. En fait, ce n’est pas ça du tout. "The Iron Heel" est simplement un récit ayant pour thème l’oppression capitaliste, écrit en un temps où diverses réalités qui ont rendu le fascisme possible – ainsi le brutal retour en force des nationalismes – n’étaient guère aisées à prévoir.


Impitoyable contre-attaque 

Là où, en revanche, London a fait preuve d’une prescience aiguë, c’est en comprenant que le passage au socialisme ne se ferait pas automatiquement, ni même facilement. La classe capitaliste n’allait pas disparaître, minée par ses « contradictions internes », comme une fleur qui meurt à la fin de la belle saison. La classe capitaliste était assez astucieuse pour comprendre ce qui se passait, pour oublier momentanément ses conflits internes et lancer sa contre-attaque contre le monde ouvrier. La lutte qui s’ensuivrait serait la plus sanglante et la plus impitoyable que le monde ait jamais connue.


Quand le dormeur s'éveillera (The Sleeper Wakes)

Il n’est pas sans intérêt de rapprocher "The Iron Heel" d’un autre ouvrage de fiction anticipatrice, écrit quelques années plus tôt, et auquel le livre de London doit beaucoup : je veux parler de "The Sleeper Wakes", de Herbert George Wells. On découvre ainsi les limites de London, en même temps que l’intérêt qu’il y a à ne pas être, comme Wells, un homme parfaitement civilisé. Littérairement parlant, "The Iron Heel" est très inférieur à l’oeuvre de Wells. C’est un livre à l’écriture incertaine, qui ne témoigne d’aucune compréhension des ressources de la science et dont le héros est ce genre de gramophone humain qui tend à disparaître jusque dans les tracts socialistes. Mais c’est précisément grâce à son côté « sauvage » que London a pu comprendre ce qui apparemment devait échapper à Wells, à savoir qu’une société hédoniste ne saurait se maintenir durablement.

 Un système de castes rigides

Tous ceux qui ont lu "The Sleeper Wakes" s’en souviennent. C’est la vision anticipée d’un monde sinistre, d’un monde nickelé où la société s’est figée en un système de castes rigides et où les ouvriers sont perpétuellement tenus en esclavage. C’est aussi un monde sans projet, dans lequel les classes supérieures, qui vivent du labeur des ouvriers, sont formées d’êtres mous, cyniques et totalement désabusés. Il n’y a dans la vie aucun but qui mérite d’être poursuivi, rien qui ressemble à la ferveur du révolutionnaire ou du martyr chrétien.


L'hédonisme poussé à son paroxysme
Le meilleur des mondes (Brave New World) d’Aldous Huxley

Dans "Brave New World" d’Aldous Huxley, sorte de parodie d’après-guerre de l’utopie wellsienne, ces tendances sont encore exagérées. Le principe hédoniste est ici poussé à son paroxysme, le monde entier n’est plus qu’un vaste hôtel sur la Riviera. Mais s’il est une brillante caricature du présent (le présent de 1930), "Brave New World" ne jette probablement aucune lumière sur l’avenir. Aucune société de l’espèce dépeinte ne pourrait subsister plus de deux ou trois générations, car une classe dirigeante ne pensant qu’à se « donner du bon temps » perdrait très vite tout ressort vital. Toute classe dirigeante a besoin d’observer une morale stricte, elle doit être animée d’une foi quasi religieuse en elle-même, d’une mystique. London l’a bien compris et, s’il présente la caste de ploutocrates qui gouvernent le monde pendant sept siècles comme des monstres inhumains, il se garde d’en faire des oisifs ou des sensualistes. Ils ne peuvent se maintenir en place que pour autant qu’ils croient sincèrement que la civilisation dépend d’eux et d’eux seuls – et en ce sens ils sont aussi courageux, capables et dévoués que les révolutionnaires qui les combattent.



Sur le plan intellectuel, London acceptait les conclusions du marxisme et pensait que les « contradictions » du capitalisme – la surproduction, les crises et tout le reste – subsisteraient même si la classe capitaliste parvenait à s’organiser en une force unifiée. Mais, par son tempérament, il se distinguait très nettement de la majorité des marxistes. Avec son goût pour la violence et la force physique, sa croyance en une « aristocratie naturelle », son culte de l’animalité et son exaltation de la sauvagerie primitive, il avait en lui ce qu’on pourrait sans exagération appeler une tendance au fascisme. Et cela l’a sans doute aidé à comprendre la façon dont réagirait la classe possédante dès qu’elle se sentirait vraiment menacée.

C’est précisément sur ce point que les socialistes marxistes ont pour la plupart achoppé. Ils ont donné de l’histoire une interprétation si mécaniste qu’ils n’ont même pas su prévoir des dangers pourtant évidents aux yeux d’individus qui n’avaient jamais entendu prononcer le nom de Marx. On reproche parfois à Marx de n’avoir pas su prédire la montée du fascisme. Je ne sais pas si cela est vrai ou non – à son époque, il n’aurait pu le faire qu’en termes très vagues –, mais ce qui est certain, c’est que ses adeptes n’ont vu en quoi le fascisme était dangereux que le jour où ils se sont eux-mêmes retrouvés à l’entrée du camp de concentration.

L'ennemie c'est la démocratie

Plus d’un an après que Hitler fut arrivé au pouvoir, le marxisme officiel proclamait encore que celui-ci était quantité négligeable et que le « social-fascisme » (c’est-à-dire la démocratie) était le véritable ennemi. London n’aurait sans doute pas fait pareille erreur. Il savait que les lois économiques n’agissent pas de la même façon que la loi de la pesanteur, qu’elles peuvent longtemps être tenues en suspens par des gens qui, comme Hitler, croient en leur destin.

"The Iron Heel" et "The Sleeper Wakes" sont tous deux écrits du point de vue populaire. "Brave New World", bien qu’étant avant tout une critique de l’hédonisme, est aussi, par voie de conséquence, une dénonciation du totalitarisme et du règne sans partage d’une caste. Il n’est pas sans intérêt de rapprocher ces ouvrages d’une utopie moins connue qui envisage la lutte des classes du point de vue de la classe supérieure, ou plutôt de la classe moyenne – je veux parler de The Secret of the League, d’Ernest Bramah.

La mentalité de la classe moyenne en période de crise

Ce livre a été écrit en 1907, au moment où l’essor du mouvement ouvrier commençait à effrayer les membres des classes moyennes qui se croyaient, à tort, menacées par ceux d’en bas plutôt que par ceux d’en haut. Vu sous l’angle de la prophétie politique, l’ouvrage est assez banal, mais il présente un grand intérêt par la lumière qu’il projette sur la mentalité de la classe moyenne en période de crise.

L’écrasement total du prolétariat

L’auteur imagine un gouvernement travailliste accédant au pouvoir avec une majorité si considérable qu’il serait vain d’espérer l’en chasser. Ce gouvernement, toutefois, se garde de mettre en place une économie véritablement socialiste : il se borne à utiliser le capitalisme au bénéfice des travailleurs en pratiquant une politique de hausse continue des salaires, en créant une gigantesque armée de bureaucrates et en accablant d’impôts les classes supérieures. Si bien que « tout part à vau-l’eau », selon l’expression consacrée. Par ailleurs, en matière de politique étrangère, le nouveau gouvernement se comporte à peu près comme le gouvernement d’Union que nous avons connu entre 1931 et 1939. Les classes moyennes et supérieures forment alors une coalition secrète et organisent leur révolte d’une manière très ingénieuse, du moins dans le cadre d’un capitalisme purement national : elles décrètent la grève des consommateurs. Deux ans durant, les membres des classes supérieures font secrètement provision de mazout et convertissent les installations industrielles de façon à utiliser ce combustible au lieu du charbon. Puis, brusquement, c’est le boycott de la principale industrie britannique, l’industrie charbonnière. Les mineurs se trouvent placés devant le fait accompli : aucun débouché pour le charbon pendant deux ans. C’est le chômage, et son cortège de misères, qui aboutit à une guerre civile au cours de laquelle les classes supérieures (trente ans avant Franco !) bénéficient de l’aide étrangère. Victorieuses, elles suppriment les syndicats et instituent un régime « fort », sans parlement – autrement dit un régime que nous qualifierions aujourd’hui de « fasciste ». Le ton général du livre est plutôt jovial, comme le permettait encore l’époque, mais ce à quoi tend l’auteur est sans équivoque.

Comment un écrivain honnête et sympathique comme Ernest Bramah a-t-il pu voir dans l’écrasement total du prolétariat une perspective plutôt réjouissante ? En fait, c’est tout bonnement la réaction d’une classe moyenne en difficulté, qui se sentait menacée non pas tant dans ses privilèges économiques que dans ses valeurs morales et son mode de vie. On découvre le même type de réflexe social d’hostilité à la classe ouvrière chez un écrivain antérieur, mais d’une tout autre importance, George Gissing. Le temps et Hitler aidant, les classes moyennes ont appris un certain nombre de choses et aujourd’hui elles ne feraient peut-être pas cause commune avec leurs oppresseurs contre leurs alliés naturels. Mais leur attitude dépendra en partie de la manière dont on les aura traitées, et l’imbécile propagande socialiste, avec sa manie de s’en prendre systématiquement au « petit bourgeois », porte à cet égard une lourde responsabilité."


George Orwell écrit ce texte en 1940, 9 années avant son plus célèbre roman, "1984".

1984 (Nineteen Eighty-Four) décrit "une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazisme. La liberté d'expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées, et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you).

"1984" est communément considéré comme une référence du roman d'anticipation, de la dystopie, voire de la science-fiction en général. La principale figure du roman, Big Brother, est devenue une figure métaphorique du régime policier et totalitaire, de la société de la surveillance, ainsi que de la réduction des libertés." Source



(titre original : Homage to Catalonia) 

"Texte fondateur qui préfigure en partie les visions dramatiques du monde totalitaire de 1984, Hommage à la Catalogne est autant un reportage qu'une réflexion sur la guerre d'Espagne. Engagé aux côtés des républicains, Orwell voit dans la trahison des communistes les conséquences du jeu politique stalinien. Il en découlera la prise de conscience d'un nécessaire engagement..."

Franco et l’entité sioniste

"Jamais Franco ne reconnut l’entité sioniste, et celle-ci ne le fut que par le socialiste Felipe Gonzales : d’une part Franco suivait la politique de l’Eglise catholique romaine qui, conformément au dit droit romain, jusqu’à ce que Paul VI rompit avec cette sagesse (pour des raison bien personnelles), refusait alors tout Etat qui n’avait point de frontières déclarées. Ce qui est toujours le cas de cet « Etat » ; et d’autre part, le Caudillo avait ses propres raisons exposées dans son article du 9 juillet 1950 :

« Un autre point névralgique de cette infiltration soviétique que la maçonnerie nous offre est celle de l’Etat d’Israël où, sous prétexte de créer un Etat confessionnel juif, on a procédé à une concentration d’éléments athées du centre de l’Europe et des bas -fonds internationaux
[y de los bajos fondos internationales], lesquels viennent en taxant de pharisiens et d’arriérés les ministres et représentants du culte mosaïque (ou mosaïste). Ce qui voulait être un Etat juif fondé sur les vieux moules du judaïsme international, se convertit en un foyer de concentration de gens sans foi et sans racine [foco de concentración de gentes sin fe y sin arraigo] ouverts aux consignes et aux influences étrangères. »"


Lire la totalité de l'article de Pierre Dortiguier Franco contre la franc-maçonnerie.

mardi, octobre 01, 2019

Satan "intronisé" au Vatican


Pierre Jovanovic cite le Père Gabriel Amorth à propos du Vatican infiltré par des satanistes.

"Le Père Martin, écrit Pierre Jovanovic dans La chute du Vatican et de Wall Street selon saint Jean, a raconté dans l'un de ses livres comment un groupe de prêtres satanistes au cœur même du Vatican avait tenté de consacrer la basilique saint Pierre avec une messe noire. Cet épisode a aussi été rapporté par l'écrivain français Roger Peyreffite dans son livre Les Clés de Saint Pierre." 

"Rome deviendra le siège de l'Antéchrist." 
(La Salette, 1846)

"Le dernier pape sera sous le contrôle de Satan." 
(Révélation de Fatima, 1917)


Satan "intronisé" au Vatican


En 1963, des prélats catholiques intronisèrent Satan au Vatican.

"L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963, date idéale pour la promesse historique qui allait s’accomplir. Comme le savaient très bien les principaux agents de ce Cérémonial, la tradition sataniste a depuis toujours prédit que le Temps du Prince serait inauguré au moment où un Pape prendrait le nom de l’Apôtre Paul.

À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Évènement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique.

L’entière et délicate question du Cérémonial fut confiée aux très sages mains du Gardien de Rome, homme de confiance du Prince. C’était un expert de l’élaboré Cérémonial de l’Église Catholique Romaine, un Expert du Cérémonial du Prince des Ténèbres et du Feu, prélat au visage de granit et à la langue fourchue.

Le but immédiat de chaque Cérémonial, il le savait bien, était de vénérer “l’abomination de la désolation”. Mais le but ultime étaient d’assurer que s’accomplisse la Montée du Prince dans la Citadelle comme une force irrésistible." 


Toujours selon le mensuel Chiesa Viva (fondé par le père Luigi Villa) :

– La décision d’élire Pape le cardinal Roncalli (Jean XXIII) fut prise par la Franc-maçonnerie.

– L’élection du cardinal Montini comme Pape (Paul VI) est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.

– Le choix du cardinal  Karol Wojtyla (Jean-Paul II) comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.

– Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape.

Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.[...]

On pourrait se poser la question de savoir si Paul VI a réellement participé à la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, ce lointain 29 juin 1963, mais ce ne serait qu’une curiosité d’importance secondaire. Lorsque nous savons que l’oeuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de “supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes... [...] Ce que nous pouvons nous demander alors, c’est le sens des paroles de la Sainte Vierge à Fatima, lorsque dans son troisième secret, elle prononça ces mots : "Satan réussira effectivement à s’introduire jusqu’au sommet de l’Église !".

La Sainte Vierge se rapportait-elle au fait que Satan serait intronisé dans la Chapelle Paulinienne ou alors dans le “cœur” de l’Église, car le “sommet de l’Église” n’est pas un lieu ou une chapelle, mais c’est une seule personne: le Pape ! Et alors que veut dire l’expression : “Satan s’introduira jusqu’au Pape” ?

Puisque Satan ou Lucifer est le “dieu” de la Franc-maçonnerie, puisque son orgueil le pousse à se substituer en tout à Jésus-Christ et puisque le sommet de l’Église est le Vicaire du Christ, la phrase de la Sainte Vierge ne peut signifier autre chose que Satan arrivera à faire du Pape son Vicaire ! [...]

L’Apocalypse affirme que l’Antéchrist est formé par les trois Bêtes : le Dragon, la première Bête sortie de la mer, la deuxième Bête sortie de la terre qui a deux cornes semblables à celles d’un agneau, mais qui parle comme un Dragon.

La Franc-maçonnerie ou mieux, les Juifs kabbalistiques, expriment cette réalité par la Troisième Trinité maçonnique qui se compose de Lucifer, de l’Empereur du Monde, du Patriarche du Monde.


Le Vicaire de Satan est donc la deuxième Bête sortie de la terre, appelée par la Franc-maçonnerie : Patriarche du Monde.

Vu que la tâche de démolir l’Église par sa transformation en un “grand ordre mondial qui ne s’occupe que de questions humaines avec des objectifs humanistes” est la tâche que le fondateur des Illuminés de Bavière, Adam Weishaupt, s’est confiée à lui-même et à ses successeurs, le Patriarche du Monde assume automatiquement la charge de Chef de l’Ordre des Illuminés qu’on appelle : Pontife Suprême de la Franc-maçonnerie Universelle et aussi Patriarche de la Franc-maçonnerie."

Source : Chiesa Viva, n° 451, Juillet-Août 2012.



L'autel des élites

de Laurent Glauzy


Le pédo-satanisme est-il la conséquence de pratiques rituelles liées à une élite maçonnique ? 

Aujourd'hui, Bill Schnoebelen, ancien haut-représentant de l'Église de Satan, affirme que la Franc-maçonnerie pratique le pédo-satanisme comme rite initiatique du 33e degré du Rite écossais ancien et accepté. 

Dans Morals and Dogma, en 1871, Albert Pike, un des « pères » de la Franc-maçonnerie, atteste que « la religion devrait être, pour nous tous, initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu. » 

Et, en 1900, le grand mage Aleister Crowley, initié au 33e degré, avoue dans Magick in theory and practice, le sacrifice de cent cinquante enfants par an, entre 1912 et 1928. 

D'ailleurs, en 1941, la police trouve le cadavre d'une fillette dans une loge, à Béziers. 

En 1998, des squelettes d'enfants sont découverts sous la maison londonienne de Benjamin Franklin, rédacteur de la Constitution américaine, Franc-maçon et adepte du Hell Fire Club. 

Le pédo-satanisme serait donc une pratique partagée par une élite maçonnique transmettant le pouvoir à des politiciens et des financiers ayant les mêmes valeurs occultes. Telle est la certitude du Dr Cecilia Gatto Trocchi, anthropologue, elle ajoute qu'en quelques décennies, la société a évolué d'une logique matérialiste et communiste vers une spiritualité satanique et maçonnique. 

L'auteur, Laurent Glauzy, démontre notamment les relations ayant existé entre Buckingham Palace et le pédomane et nécrophile anglais Jimmy Savile. En 1990, Jean-Paul 2 décore cet « ami » des loges, de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand. Est-ce un hasard ? 

Don Luigi Villa, fils spirituel de Padre Pio et ancien agent de renseignement du Vatican, dénonçait l'influence satanique des « papes » depuis « Vatican II ».


Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...