jeudi, octobre 15, 2020

Quand l'OMS préconise le non-confinement, Macron renforce l'état d'urgence et instaure le couvre-feu

(24:24)

Dans cette vidéo, Verdi révèle aussi en quelques phrases sa pensée spiritualiste.

VERDI :

"Macron franchit un pas supplémentaire dans sa guerre contre les Français, en instaurant carrément un couvre-feu dans les principales métropoles régionales et l'agglomération parisienne :

https://francais.rt.com/france/79705-couvre-feu-annonce-par-emmanuel-macron-accueilli-plutot-froidement-par-classe-politique


Alors que nombre de pays, suivant les préconisations mêmes de l'OMS, ont assoupli leurs mesures sanitaires, une nouvelle fois, la France macronienne se distingue, se singularise gravement, en renforçant, au contraire, l'état d'urgence, à compter du 17 octobre : 

https://francais.rt.com/france/79686-covid-19-etat-urgence-sanitaire-retabli-a-partir-17-octobre


A rebours des préconisations de l'OMS, le Conseil scientifique prône le confinement : 
https://francais.rt.com/news/79546-president-conseil-scientifique-envisage-reconfinements


L'OMS met en garde contre les conséquences néfastes du confinement : 
https://francais.rt.com/international/79652-covid-19-oms-pointe-consequences-nefaste-confinement


Quelle humanité pour demain, ou les noirs desseins du Nouvel Ordre Mondial, une vidéo des plus éclairante, du docteur Carrie Madej : 



"Réaction19" est une association de défense des droits face aux mesures coercitives prises par les autorités, dont le fondateur est l'avocat maître Brusa : 


mercredi, octobre 14, 2020

Analyse du discours martial de Macron

par Salim Laïbi (Le Libre Penseur)

(29:00)

Macron, "le grand gourou du Temple de la Trouille", décrète un couvre-feu de 21 h à 6 h en Ile-de-France et dans 8 métropoles (Grenoble, Lille, Lyon, Aix-Marseille, Montpellier, Rouen, Saint-Etienne et Toulouse).

Commentaire de Ludovic Giveletil :

"Bon maintenant il va falloir arrêter de tomber de haut à chaque fois que ces tarés prennent la parole. La situation est désormais extrêmement claire : tout est intentionnel, calculé, programmé en conscience, il ne commettent ni des "fautes", ni des "approximations", non, ils déroulent à la perfection au contraire un plan parfaitement bien huilé, mis au point depuis belle lurette. Oui, il s'agit bien d'un complot mondial, un hold-up contre les populations mené par ces 0,1% de satanistes qui s'appuient et instrumentalisent 20 à 30% de la population pour parvenir à leurs fins. Comme toujours : les plus corruptibles, les plus lâches et les plus cons. Alors maintenant il faut passer au stade 2 de l'histoire : comment fait-on pour se sortir de ce bourbier avant qu'ils nous engloutissent définitivement corps et âme ?"


Un rabbin antisioniste dénonce la dictature mondiale

Rav Amnon Itshak : "Ils vont jusqu'au bout !"

(1:33)


Amnon Itshak (Yitzhak) est un rabbin israélien d'origine yéménite et appartenant au mouvement orthodoxe Haredi. Il dénonce le sionisme et la dictature mondiale mise en place par les hommes politiques corrompus aux ordres du pouvoir financier. Pouvoir qui est devenu, à l'insu de tous les peuples, la véritable gouvernance mondiale. Rappelez-vous de la déclaration d'Alain Minc, éminence grise de Rothschild et mentor de Macron, qui révéla le 26 septembre 2009 à France Inter : "On croit qu’il n’y a pas de gouvernance mondiale, c’est faux. Il y a une forme de gouvernance mondiale sauf qu’elle n’est pas codifiée, elle est empirique, elle est implicite, mais elle est décisive". 

Les vidéos d'Amnon Itshak : 


mardi, octobre 13, 2020

Covid-19 : l'étincelle avant le Grand Reset ?

"Le Covid-19 est l'élément déclencheur et voulu pour procéder à la bascule aboutissant à un nouveau monde d'essence totalitaire". Voilà comment le spécialiste de l'idéologie mondialiste, Pierre Hillard, voit les choses. Pour appuyer sa théorie, l'invité de "Politique & Eco" s'appuie sur des faits : la leçon de numérologie de Christine Lagarde, l'étrange Une du magazine The Economist de janvier 2019, les nanoparticules dans le vaccin de la fondation Bill Gates ou encore la prochaine réunion du Forum de Davos intitulée "Le temps de la grande remise à zéro". Pour Pierre Hillard, l'objectif final des mondialistes est l'avènement d'une gouvernance et d'une monnaie mondiale encadrant une humanité réduite, surveillée, tyrannisée et asservie au bon fonctionnement de la machine économique...

(49:36)



(...) on assiste à une mutation accélérée d’un monde prêt à basculer vers une étape supérieure préparée depuis longtemps par les thuriféraires du nouvel ordre mondial. Ce passage ne peut se faire qu’à travers un feu ardent. De nombreuses étapes ont déjà été franchies afin d’aboutir à cet idéal de communauté humaine unifiée et régie par une religion universelle en voie de parachèvement.

Pour mieux saisir ce remodelage en cours, nous devons avoir une vision longue de l’Histoire. Celle-ci n’est pas uniquement matérielle. Elle repose d’abord sur une métaphysique qui irrigue la vie des Etats et l’activité des hommes. Pour cela, tout chercheur se doit de définir le type de métaphysique adoptée par les sociétés humaines pour comprendre les conséquences civilisationnelles. Il est impératif de saisir ce qui fait l’esprit d’un système. Celui-ci est toujours le reflet d’une spiritualité qu’on peut, à titre personnel, approuver ou non. Il n’empêche que pour la compréhension de cette spiritualité, l’essentiel n’est pas d’éprouver un sentiment de rejet ou d’acceptation. Il est, d’abord et avant tout, de pouvoir définir ses traits propres, son essence, d’une manière structurée et logique, et cela, aussi froidement que le rapport d’un médecin légiste qui a procédé à une autopsie. Cette étude conduit tout d’abord à montrer que si, à titre individuel, il existe des personnes athées, dans sa globalité la nature humaine est profondément religieuse et recherche plus ou moins confusément des éléments de réconfort et d’espoir. À ces peuples, il est proposé et imposé depuis plus de deux siècles, comme nourriture, une religion appelée « les droits de l’homme », véritable « système d’exploitation », au sens informatique du terme au moins, structurant les codes politiques, juridiques et psychologiques des sociétés occidentales.

Cette religion des droits de l’homme est absolument incontournable. Elle est l’alpha et l’oméga de l’Occident. Cela est vrai pour les États européens, les États issus de l’influence coloniale européenne et les autorités de l’Église depuis Vatican II. Comment peut-on expliquer une telle mutation sachant que l’Occident, après avoir été païen, fut profondément catholique ?

En partant de l’ère païenne, on peut relever les magnifiques oeuvres architecturales et littéraires qui ont jalonné le monde antique. Le paganisme et ses multiples dieux, conduisant à l’acceptation de vérités multiples et réformables à tout moment, offraient aux hommes un cadre de vie les poussant à jouir de l’existence et des biens de ce monde. Ce comportement conduisait à la recherche des plaisirs allant des plus grossiers aux plus raffinés. Néanmoins, il existait, mais moins nombreux, des païens capables de mener une vie plus austère et maîtrisée.

Cependant, dans les deux cas, ces mondes vivaient dans un cadre dont la finalité était terrestre ; d’une certaine manière un idéal de vie fixé et plaqué au niveau du sol. Les préceptes d’homme déchu par le péché d’Adam ne pouvant être relevé que par la Rédemption étaient inconnus du monde antique.

L’avènement du christianisme a littéralement pulvérisé le cadre païen. En effet, le Christ, considéré par les chrétiens comme le Messie mort et ressuscité, a introduit des concepts révolutionnaires pour l’époque. Par son enseignement, le Christ a proclamé que la vie sur terre n’était qu'« une vie » et que la vraie vie était de gagner le Ciel afin de contempler Dieu face à face. Et comble de la stupéfaction pour un monde antique imprégné de l’existence des dieux aisément identifiables, la nouvelle religion issue de la Révélation indiquait l’existence d’un Dieu unique mais aussi trinitaire : une unité de substance, la seconde engendrée par la première, la troisième procédant des deux autres ; Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. L’impossibilité pour la nature humaine de concevoir et de voir ce mystère peut être surmontée avec un don gratuit de Dieu appelé grâce sanctifiante. Cette élévation de l’homme vers Dieu ne peut se faire qu’à partir du baptême, véritable tremplin greffant la nature humaine sur une vie surnaturelle. Toujours dans la logique du christianisme – et nous demandons au lecteur, peu importe ses conceptions personnelles, de comprendre au moins le déroulement du raisonnement proposé par cette religion sans oublier les conséquences politiques – les vertus surnaturelles infusées par le baptême se développent à condition que le baptisé mène une vie conforme aux commandements édictés par le Christ et ses vicaires, les papes. La notion d’amour du prochain et de son ennemi, ainsi que la notion de pardon furent des éléments distinctifs par rapport au monde païen. Fort de ces caractéristiques, le baptisé nourri par la grâce pareille à une respiration entre le Ciel et sa vie terrestre pourra, après sa mort, jouir pour l’éternité de la vision béatifique. Il va de soi que ce concept était absolument étranger au monde païen, d’autant plus que le christianisme introduisit un autre élément révolutionnaire : la distinction entre le spirituel et le temporel. Par la suite, le catholicisme s’est enraciné dans l’Empire romain. Il eut à subir les foudres des empereurs romains, qui s’acharnèrent sur les premières communautés chrétiennes en les martyrisant à Rome et dans de nombreuses régions de l’Empire. Cette opposition des chrétiens aux préceptes des païens venait aussi du fait, comme l’affirment les Saintes Écritures au psaume 95, 5, que « Tous les dieux des païens sont des démons. » L’incompatibilité entre ces deux mondes était donc complète. Malgré ces tribulations, les communautés catholiques se répandirent en particulier en raison du dévouement et de l’exemplarité de la plupart des chrétiens face aux épreuves. La reconnaissance officielle du catholicisme comme une des religions de l’Empire en 313 par l’édit de Milan fut un tournant décisif. Cet édit permettait aux chrétiens de ne plus adorer l’empereur comme un dieu. Le concept de distinction du spirituel et du temporel commençait ainsi à imprégner l’appareil politique romain.

Le christianisme s’est développé et a monté en puissance malgré les invasions barbares. Du chaos engendré par la disparition de l’Empire romain, il ne restait plus qu’un rocher solide : l’Église incarnée par la papauté. Peu à peu, l’Église a pu imposer ses concepts à tout l’Occident grâce à l’évangélisation mais aussi à la conversion des princes au christianisme. Le baptême de Clovis en 496, la configuration d’une autorité politique légitimée par l’Église et le choix de Paris comme capitale de son royaume en 510 posaient les fondements de la première nation catholique : la France. Sous la direction de l’évêque saint Rémi, rappelant au fier prince franc ses devoirs pour sa personne et son royaume du fait de sa conversion sous l’égide du Christ « Roi des nations », la personne royale est à part, considérée, de par son sacre, comme le « lieutenant du Christ ». Sa mission première est d’assurer à ses sujets un cadre politique, en liaison avec l’Église, leur permettant de gagner le Ciel. De par ce baptême, la France devient le fer de lance de « l’Israël du Nouveau Testament ». Son obéissance aux préceptes de l’Église conduira à l’obtention de grâces. En revanche, son obstination dans une politique non conforme aux préceptes indiqués par l’Église conduira à des châtiments. Ces avertissements ne sont pas sans rappeler ceux intimés à l’Israël de l’Ancien Testament. C’est ainsi, dans cette même optique, que sainte Jeanne d’Arc viendra rappeler au dauphin Charles les obligations issues du baptême de Clovis, après l’extraordinaire événement de la « Triple donation » du 21 juin 1429. Et c’est là où nous devons évoquer le point central d’où tout découle : la non-reconnaissance par les Juifs du règne social du Christ et de son Église.

La non-reconnaissance du caractère messianique du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à continuer d’attendre « leur » véritable messie. Le judaïsme talmudique considère le Christ comme un imposteur qu’il faut abattre en tant qu’objet de scandale. Pour les représentants de la synagogue, le véritable messie doit apporter à Israël la gloire et une dignité au-dessus des autres peuples. Cette vision religieuse, qui est aussi matérielle et charnelle avec ses conséquences politiques (point capital à ne pas oublier), est diamétralement opposée à celle du christianisme.

D’un point de vue catholique, l’action du Christ a révoqué définitivement l’Ancienne Alliance (épître aux Hébreux VIII-XI) en ouvrant le chemin du Salut à l’ensemble de l’humanité divisée en nations dans le cadre d’une Nouvelle Alliance. En dehors de quelques Juifs à reconnaître la messianité du Christ, notamment les premiers chrétiens, le refus obstiné de la majorité d’accepter le Christ comme Fils de Dieu fait que, selon la Tradition de l’Église, le peuple juif mené par la synagogue est sous l’emprise de Satan. Ce prince déchu se sert de ce peuple rebelle pour combattre l’Église, ses oeuvres et les États s’inspirant du catholicisme. Ce fait a été clairement affirmé par le Christ quand il lance : « Vous êtes du ,diable, votre père, et ce sont les désirs de votre père que vous voulez accomplir » (Jean VIII, 44). Ces propos ont été réitérés d’une manière formelle par saint Jean qui, dans l’Apocalypse, réaffirme deux fois les méfaits de la « synagogue de Satan » (Apocalypse II, 9 ; III, 9). Nous demandons toujours au lecteur, même choqué, de conserver le fil de ces propos factuels afin de comprendre la logique des comportements des uns et des autres dans cette affaire.

En raison de cette opposition systématique à l’Église, la synagogue a produit le Talmud, sorte de code juridique, régissant la vie des Juifs afin de les conforter dans leurs convictions face à un monde temporel et spirituel catholique. En réaction, les autorités de l’Église ont combattu ce Talmud considéré comme une menace profonde en raison aussi de passages cachés aux chrétiens. La première condamnation eut lieu en 1244 avec le document Impia Judaeorum perfidia (« La perfidie impie des Juifs ») du pape Innocent IV. Elle faisait suite au premier procès du Talmud qui eut lieu en 1240, à Paris, sous l’égide de Saint Louis opposant des rabbins, en particulier Yehiel de Paris, face à des ecclésiastiques comme le franciscain Nicolas Donin. Le résultat de ce procès aboutit à brûler 24 charrettes de manuscrits talmudiques le 20 juin 1242 en place de Grève (actuelle place de l’Hôtel de Ville). Les condamnations papales du Talmud vont se multiplier avec, par exemple, Clément VIII (Cum hebraeorum malitia, 1593). La Tradition de l’Église a toujours été théologiquement anti-judaïque mais jamais antisémite. Au contraire, la promotion de l’antisémitisme entraîne obligatoirement des théories racialistes, darwiniennes et politiques qui ont toujours été réprouvées par les Pères de l’Église.

Cette opposition systématique s’est traduite pour la synagogue par un contre-projet spirituel et politique pour le peuple juif et pour les non-juifs (« Les Gentils »). Cette vision du monde s’appelle le noachisme. Une répartition définie de la mission des Juifs et du rôle attribué aux Gentils à l’échelle planétaire consiste à mettre un terme définitif au message traditionnel du Christ et de son Église, ainsi qu’à renverser la politique des États s’inspirant de son enseignement. Il s’agit de revenir à l’antique vision du mosaïsme (la religion de Moïse) pour les Juifs seuls et à attribuer aux Gentils les sept lois du noachisme, commandements imposés aux fils de Noé : 1) l’obligation d’avoir des magistrats (chargés de surveiller la bonne application des mesures) ; tandis que les six autres lois condamnent 2) le sacrilège, 3) le polythéisme, 4) l’inceste, 5) l’homicide, 6) le vol et 7) l’usage d’un membre d’un animal vivant (pas de cruauté à l’égard des animaux). Dans cette structure politique et spirituelle émanant de la synagogue, les non-juifs, constituant l’humanité avec ses subdivisions ethniques, sont sous la direction d’un peuple prêtre (le peuple juif), ce dernier étant l’intermédiaire, et le seul, entre le genre humain encadré religieusement et politiquement d’un côté, et le Dieu unique de l’autre. Cependant, la concrétisation de cet idéal ne peut se faire qu’à la condition expresse de procéder à une révision complète des dogmes catholiques. Parmi les sept lois du noachisme, la condamnation du polythéisme est formelle et s’applique au catholicisme. Cette religion qui est monothéiste, mais aussi trinitaire, est considérée par la synagogue comme une religion polythéiste (un tri théisme). Elle doit être réformée afin d’aboutir, comme l’explique un des grands porte-parole de cette pensée, le rabbin Élie Benamozegh, au « catholicisme d’Israël » Il s’agit de faire disparaître le caractère messianique du Christ, la Sainte Trinité et le dogme de l’immaculée Conception. L’Église catholique réformée et vidée de sa substance pourra ainsi être réintégrée dans les structures régissant la synagogue, cette dernière se considérant comme la seule héritière du message du Dieu unique dans le cadre d’une religion universelle.

Point capital à relever, la mission du peuple prêtre placé entre les non-juifs et le Dieu unique ne peut être totale qu’avec la disparition de tous les autres intermédiaires. Seule la religion catholique défend le principe des intermédiaires avec la reconnaissance d’un clergé qui est ordonné (le prêtre est le « transparent du Christ »), le tout couronné par un intermédiaire suprême en la personne du pape, le vicaire du Christ. Dans le domaine temporel, les rois de France étaient des intermédiaires en tant que « lieutenants du Christ ». L’accomplissement de l’idéal de la synagogue ne pourra se faire qu’avec l’effacement complet d’un ordre spirituel et politique issu de la Rédemption. La mise à mort de Louis XVI, intermédiaire entre le Christ et son peuple le 21 janvier 1793, fut une avancée décisive dans la longue marche permettant la concrétisation de la doctrine issue du judaïsme talmudique. Comme l’affirme le rabbin Isserles : « À mon humble avis, toute la Loi est en péril par le fait d’introduire un médiateur entre Dieu et nous ; il y a un prétexte à nier Dieu en disant que le médiateur seul nous suffit, comme cela s’est vu d’ailleurs à l’origine du polythéisme. » Fort de ces propos, le catholicisme traditionnel n’a pas sa place. Et ce qui est vrai dans le domaine temporel avec la mort de Louis XVI est valable pour l’Église qui, depuis Vatican II, s’engage à reconnaître les Juifs comme leurs frères aînés. Ce concept est en complète opposition avec la Tradition de l’Église qui enseigne au contraire que le judaïsme post-biblique, d’esprit démoniaque, est réprouvé et rejeté par Dieu d’une manière irrévocable.

La doctrine issue du judaïsme talmudique consistant à installer une religion universelle selon ses codes propres a obligatoirement des conséquences politiques. Afin de mener à bien les points défendus par la synagogue, il s’avère nécessaire de parfaire les structures politiques favorisant une gouvernance mondiale. Ces structures régissant l’humanité unifiée doivent épouser parfaitement les canons spirituels du mosaïsme pour les Juifs et du noachisme pour les non-juifs. Comme le rapporte avec raison le rabbin Benamozegh : « Cette place particulière accordée à Israël n’est donc pas, comme on l’a trop souvent reproché aux Juifs, un égoïste privilège ; c’est le complément religieux nécessaire à la constitution de la grande famille humaine […]. Dans ce monde des nations qui constituent une grande famille, Israël apparaît comme le cœur de l’humanité avec une fonction toute particulière, et la glorieuse mission de travailler à l’unité future de tout le genre humain ».

Dès les débuts du christianisme, une bataille s’engage entre les agents de la synagogue et de l’Église. Cette dernière réussit à imposer son modèle et sa vision du monde à tout l’Occident. Du Ier siècle jusqu’au XIIIe siècle, l’Église et les États catholiques tiennent la dragée haute face à toutes les menaces. En effet, durant cette période, on observe une floraison d’hérésies qui menacent de subvertir le monde chrétien. Toutes les hérésies qui parsèment cette période (l’arianisme, les bogomiles, les nestoriens, les cathares… et autres mouvements) se caractérisent toujours par une influence du judaïsme cherchant à mettre à bas les sociétés de cette époque construites sur l’enseignement de l’Église. Par exemple, le principe du « gilgoul » (principe de la métempsycose), propre à la Kabbale, se retrouve dans le catharisme quand ce dernier professe sa croyance dans la migration des âmes. Ce concept est absolument rejeté dans la Tradition de l’Église. Ces hérésies n’étaient que les paravents de la synagogue. On retrouve ces influences du judaïsme talmudique même dans l’orthodoxie. Comme le rappelle Alexandre Soljenitsyne dans son livre Deux Siècles ensemble la fin du XVe siècle en Russie connut un assaut de la synagogue pour modifier les structures religieuses de l’orthodoxie et le cadre politique. Cette tentative fut appelée « l’hérésie des judaïsants ». À cette époque, un Juif appelé
Skharia aidé de ses coreligionnaires réussit à convaincre les dirigeants orthodoxes que la Loi de Moïse était la seule divine. Il niait la divinité du Christ, la Sainte Trinité et rejetait la Sainte Vierge. Il poussa même le clergé à prendre des prénoms juifs. Ainsi, le pope Alexis à Novgorod prit le nom d’Abraham et sa femme celui de Sarah. Du noachisme à l’état pur ! Cette tentative de soumission de l’orthodoxie à la synagogue alla très loin puisque l’archimandrite Zosime, acquis à l’hérésie, fut nommé à la tête de l’Église russe tandis que certains membres de la famille impériale succombaient aussi aux nouveaux concepts. Le monde spirituel et temporel russe était presque dans la main de la synagogue. Il fallut attendre l’action efficace de l’archevêque de Novgorod, Gennadius, pour décapiter l’hérésie lors d’un concile tenu en 1490.

Ce combat mené victorieusement par l’Église et les États face aux tentatives d’inversion de la synagogue a connu ses premiers revers au tournant du XIVe siècle et XVe siècle. L’époque du « Grand Schisme » qui se produisit en pleine guerre de Cent Ans aboutit à la présence de deux papes, l’un à Avignon, l’autre à Rome, de 1378 à 1417. Le relâchement théologique de certains membres du clergé, la débauche pour d’autres et l’amour des biens de ce monde furent des fêlures qui profitèrent à la partie adverse. Dans ce rapport de force, les hommes d’Église avaient perdu des convictions amoindrissant les capacités de résistance et de réplique des États et des peuples. Ces faiblesses permirent à la synagogue de s’engouffrer dans la brèche. Décadence de la théologie scolastique, et désordre de la vie politique et civile conduisirent les élites à se tourner vers des oeuvres brillantes vues comme des remèdes parmi les auteurs païens. Le principe en lui-même n’était pas mauvais. On oublie trop souvent que les dirigeants de l’Église ont encouragé l’étude de ces textes. Cependant l’étude des classiques grecs et latins n’était pas une fin en soi. Ils devaient servir de marchepied pour approfondir la connaissance du christianisme permettant d’établir le contraste entre les écrivains païens et le plus apporté par la Révélation.

En raison du désordre provoqué par le Grand Schisme et de l’anarchie générale due à la guerre de Cent Ans, le concept du « plus » ne fut pas observé. Les intellectuels de cette époque restèrent fixés à la lettre de leurs lectures. Certes, ce fut progressif comme c’est le cas avec Pétrarque (1304-1374). Mais l’étude des idées païennes, aux dépens des principes émanant de la Révélation, fit tache d’huile. L’idée de l’homme déchu et racheté par le christianisme se substitua en faveur du principe de l’homme s’élevant par les seules forces de sa raison et de son libre arbitre. C’est le principe nietzschéen avant l’heure du « surhomme ».

La marche et le progrès du genre humain de plus en plus déifiés prirent le dessus. L’idéal de jouissance offerte par la vie terrestre se substitua à la ,finalité du Ciel prescrite par l’Église. Le surnaturel fut placardisé. La diffusion de ces idées bénéficièrent de l’action d’hommes de talent comme Comenius (né Amos Komensky, 1592-1670, membre de la branche protestante des Frères moraves). Convaincu de la nécessité de la pédagogie pour tous, il développa tout un programme éducatif, en particulier en faveur des enfants pour formater leurs esprits selon ses vues rationalistes. Dans le rationalisme, seule la raison humaine est en mesure de connaître et d’établir la vérité. Il n’est donc pas étonnant qu’un institut comme l’Unesco, émanation direction de la mystique mondialiste, ait lancé un « Prix Comenius » en 1992.

La conséquence de tout ce travail en amont, coupé de plus en plus de l’enseignement de l’Église, se référant systématiquement aux auteurs païens fit que le nouvel état d’esprit toucha les arts et la littérature puis, de proche en proche, la sphère du religieux, annonçant ainsi la Réforme et ses dérivés comme le gallicanisme et le jansénisme ; l’ensemble aboutissant à la laïcisation des principes constituant l’État. 1789 était en germe dans la Renaissance. Depuis cette date, la Révolution avec un grand « R », c’est-à-dire le renversement complet d’un monde hérité de la Rédemption, était en marche.

La Réforme insufflée par Martin Luther et Jean Calvin (sans oublier Philipp Melanchthon ou encore Thomas Cranmer) institua une plus grande liberté de conscience religieuse parmi les fidèles convertis au protestantisme. Le croyant, même commettant des actes délictueux, peut être sauvé à condition d’émettre un acte de foi intérieur par l’imputation des mérites du Christ. Une telle conception des choses ouvre de larges portes et permet des combinaisons multiples d’arrangement. L’acte se faisant sans intermédiaire (sans le prêtre pour la confession), le pasteur n’est qu’un fonctionnaire comme le rabbin. Là aussi, on peut reconnaître la tendance du protestantisme qui, outre la diversité de chaque individu voyant « midi à sa porte », n’est qu’un christianisme judaïsé. Cette évolution des pensées et la mainmise du protestantisme sur l’Europe du Nord n’ont fait qu’accélérer la désacralisation des sociétés. Dans cette affaire, la franc-maçonnerie joua un rôle supplémentaire. Officiellement créée en 1717 par deux protestants anglais à Londres, James Anderson et Théophile Desaguliers (fils de huguenot émigré en Angleterre), sa philosophie première repose sur le triptyque : le nominalisme (pas de vérité éternelle), le naturalisme (pas de religion révélée d’où une opposition foncière au catholicisme) et la primauté de l’homme. Ces principes sont dans la continuité des idées de la Renaissance. Elles n’ont fait que prendre de l’ampleur et s’affirmer avec le temps. Bien entendu, la maçonnerie a des racines profondes dont on peut retrouver des traces dans des documents émanant de groupes discrets luttant contre la mission de l’Église et son modèle de civilisation. C’est le cas d’un document, la Charte de Cologne, datant de 1535 comme le rapporte le livre prophétique de monseigneur Delassus La Conjuration antichrétienne, paru en 1910. La maçonnerie, véritable Golem de la synagogue (créature humanoïde de la mythologie juive qui assiste et protège son créateur), a trouvé au XVIIIe siècle auprès des philosophes des Lumières (Voltaire, Diderot…) un appui capital. Ces derniers ont façonné l’esprit des élites en faveur d’une désacralisation totale de la société avec la promotion des droits de l’homme, qui ne sont qu’un noachisme laïcisé.

La proclamation du Tiers État comme assemblée constituante, le 17 juin 1789, renverse complètement l’édifice de la France née du baptême de Clovis. Selon les nouveaux « dogmes » instituant la République, l’autorité vient de l’homme seul qui est son propre juge, son propre maître, sa propre loi, sa propre référence.

La Révolution de 1789 est l’an I d’un nouveau baptême qui, si on s’en tient aux travaux émanant de laïcs catholiques et d’ecclésiastiques du XIXe siècle et d’une partie du XXe siècle (Joseph de Maistre, Louis de Bonald, monseigneur Gaume, monseigneur Delassus, monseigneur de Ségur, Louis Veuillot, cardinal Pie…), fut d’essence satanique.

Cependant, il ne faut pas voir les événements de 1789 comme une fin. C’est tout l’inverse. C’est un passage vers un niveau supérieur pour aboutir en fin de course à une gouvernance mondiale. 1789 a été une étape décisive dans la mise en forme du mondialisme. D’ailleurs, le révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) dans son ouvrage "La République universelle" avait bien compris que 1789 n’était qu’un tremplin vers l’établissement d’une humanité unie dans un cadre politique planétaire sous l’égide des droits de l’homme. Qui plus est, les événements révolutionnaires étaient dans la conformité du judaïsme talmudique puisqu’ils détruisaient un intermédiaire, le lieutenant du Christ en la personne de Louis XVI. Ils faisaient entrer les Juifs dans la société française, devenus de plein droit français en septembre 1791, permettant ainsi de préparer l’avenir. Les propos d’Adrien Duport à la séance de l’Assemblée du 27 septembre 1791, membre du club des Jacobins, furent déterminants pour l’accession à la citoyenneté française après quelques échecs enregistrés au début de la Révolution. Son discours résume parfaitement cet œcuménisme mettant toutes les religions sur le même pied et permettant ainsi de poser les fondements d’une religion cultes ne permet plus qu’aucune distinction soit mise entre les droits politiques des citoyens à raison de leur croyance. La question de l’existence politique (des Juifs) a été ajournée. Cependant, les Turcs, les musulmans, les hommes de toutes les sectes sont admis à jouir en France des droits politiques. Je demande que l’ajournement soit révoqué et qu’en conséquence il soit décrété que les Juifs jouiront en France des droits de citoyen actif. » Ces propos cadrant parfaitement avec l’esprit de la Révolution sont à mettre en parallèle avec,ceux très profonds de Samuel Cahen qui, dans la revue Archives, israélites en 1847, n’hésitait pas à afficher ses sentiments où se mêlent unité du genre humain et messianisme juif : « Et nous aussi, nous soutenons, à l’exemple de célèbres talmudistes, qu’il ne faut pas entendre l’arrivée du Messie dans le sens grossier des soi-disant conservateurs. Le Messie est venu pour nous le 28 février 1790 avec la Déclaration des droits de l’homme. Le Messie que nous attendons, c’est la diffusion des lumières, c’est la reconnaissance de tous les droits, c’est l’émancipation de l’humanité entière […]. »

Après la tempête de 1789 et la diffusion du nouvel évangile des droits de l’homme en Europe grâce aux conquêtes napoléoniennes, un nouveau cadre spirituel et politique s’impose pour la France. Le monde politique ancien ayant été déraciné, les nouveaux principes diffusent à partir du XIXe siècle des nouveaux codes en France, mais aussi en Europe comme dans le Nouveau Monde afin de procéder au passage par étape à l’étage supérieur (« étape » : terme capital dans la promotion du mondialisme).

En lisant tout le programme condensé dans l’ouvrage du rabbin Élie Benamozegh, Israël et l’humanité, on se rend compte qu’il s’agit ni plus ni moins de réaliser l’antique idéal de la synagogue consistant, d’une part, à régenter l’humanité dans un cadre politique unifié (une République universelle) et, d’autre part, de remettre à l’honneur la Jérusalem de l’Ancien Testament porte-glaive du messianisme triomphant sur les ruines du trône de saint Pierre. Cette politique de très longue haleine a été poursuivie entre autres par « l’Alliance israélite universelle », fondée en 1860 par Adolphe Crémieux, dont la mission est de continuer l’oeuvre de la Révolution. Parmi la liste des présidents, notons la présence du juriste René Cassin lié au général de Gaulle dès la Seconde Guerre mondiale.

Cette volonté de faire aboutir les principes issus de la Révolution a été très bien résumée par un historien juif J. Salvador auteur d’un livre sur le Christ et sa doctrine. Son ouvrage a fait l’objet d’une recension dans les colonnes des « Archives israélites » sous la plume de Maurice Hess en 1864 qui, tout en donnant largement son avis, n’hésite pas à citer directement l’auteur : « L’auteur s’efforce ici à démontrer qu’il ne suffit pas de faire la critique de Jésus, pas plus que de faire un roman de sa vie, pour répandre la lumière sur la naissance, la croissance et la décadence du christianisme, mais que, pour faire comprendre ce mouvement qui nous entraîne encore aujourd’hui, il faut remonter plus haut, embrasser des horizons plus étendus, expliquer comment les dix-huit siècles de la foi sont sortis des dix-huit siècles de la loi, pourquoi l’antique Jérusalem fut matériellement vaincue par l’antique Rome, en même temps que la ville universelle, par son contact avec la ville éternelle, fut transformée elle-même en ville éternelle, – par quel enchaînement d’événements historiques enfin cette dualité de centre religieux est devenue, depuis la décadence du catholicisme, une véritable pluralité indéfinie, ayant la tendance manifeste de se replier au centre unique qui les a engendré tous ; en d’autres termes, pourquoi il devient aujourd’hui une nécessité historique :

Que les inspirations de la Judée et son levain originel interviennent encore une fois ; C’est ce que l’auteur s’est efforcé à démontrer, et en voici la conclusion dernière :

Tel Jésus-Dieu et non pas homme, s’est substitué d’autorité aux dieux établis et a trouvé sa plus haute manifestation dans le sein de Rome : tel un messianisme des nouveaux jours doit éclore et se développer ; telle une Jérusalem de nouvel ordre, saintement assise entre l’Orient et l’Occident, doit se substituer à la double cité des Césars et des Papes.

Or, je ne m’en cache point : depuis une longue suite d’années, je n’ai nourri d’autre pensée que l’avenir de cette oeuvre. – Autant que mes forces ont pu me le permettre, j’en ai dressé le drapeau. Il ne tardera pas à flotter avec efficacité entre des mains plus jeunes que les miennes ».

Et Maurice Hess de conclure : « Nous sommes heureux de nous trouver en parfaite communion de sentiments avec les conclusions de l’auteur. »

Cet idéal n’a fait que se poursuivre dans l’action menée par la politique anticatholique de la IIIe République en France, la destruction de l’Autriche-Hongrie catholique après la Première Guerre mondiale et la suprématie du monde anglo-saxon judéo-protestant imposant son modèle à partir du traité de Versailles (1919). Les idéologies nazies et communistes sont apparues comme des oppositions face au modèle général gérant le monde occidental. En fait, ces idéologies n’ont été que les branches rebelles, des dissidences « protestantes » si l’on peut dire, de la philosophie maçonnique. Cette dernière se consacre à la primauté de l’homme en général. Le nazisme et le communisme se sont focalisés sur une catégorie d’homme. Dans le cas allemand, ce fut la promotion ethnique du Germain, de l’Aryen paré de toutes les qualités par rapport aux autres peuples de la terre. On retrouve en particulier les germes de cette théorie dans la Société de Thulé. Dans le cas russe, le communisme a misé sur l’aspect sociétal, le travailleur (l’ouvrier et le paysan) aux dépens d’autres catégories sociales, essentiellement bourgeoises et aristocratiques. Ajoutons que ces branches furent faussement dissidentes, car elles ont été appuyées dans leur avènement par les grands financiers de Wall Street et de la City comme l’a prouvé d’une manière irréfutable le grand historien Antony Sutton. Outre le fait d’être d’excellents laboratoires pour étudier les effets de la dictature au niveau d’un pays et de la manipulation des foules (Edward Bernays, 1891-1995, neveu de Freud en savait quelque chose) – en attendant d’en élargir l’expérimentation à l’échelle planétaire dans le cadre du nouvel ordre mondial en cours de réalisation –, ces idéologies favorisées à l’origine par l’oligarchie ont été de parfaits allume-feux pour provoquer les chaos permettant le passage d’un monde ancien à un monde nouveau.

N’oublions jamais que ces passages violents obéissent aux règles de la nature. Par exemple, la mutation de la chenille en papillon passe par une zone intermédiaire, l’élaboration d’un cocon, qui autorise par une violente révolution tissulaire, le climax, la transformation en chrysalide. Les docteurs Frankenstein du monde oligarchique expérimentent le même procédé sur les États et le genre humain.

La révolution de Vatican II, qui n’est que 1789 dans l’Église, a été l’estocade décisive conduisant le vicaire du Christ à plier le genou devant le Sanhédrin. Depuis ce moment, l’Église est « éclipsée ». Comme le rapporte Radio Vatican, recevant le président du Congrès juif mondial en septembre 2013, Ronald S. Lauder, le pape François s’est plu à rappeler que « pour être un bon chrétien, il est nécessaire de comprendre l’Histoire et les traditions juives », tout en affirmant que les Juifs et les chrétiens ont les mêmes racines. Une telle déclaration s’inscrivant dans la tradition du noachisme se comprend en raison de l’ouverture de l’Église au monde depuis Jean XXIII. Le président du Congrès juif mondial, parfaitement conscient de la revanche en cours de la synagogue sur l’Église, s’est fendu d’une déclaration qui sonne l’hallali ou plutôt le chofar : « Le pontificat de François a non seulement relancé l’Église catholique, mais aussi donné un nouvel élan aux relations avec le judaïsme. Jamais ces 2000 dernières années, les relations entre l’Église catholique et le peuple juif n'ont été si bonnes. L’oeuvre des papes successif au cours des cinq dernières décennies a contribué à surmonter beaucoup de préjugés. Cela nous permet maintenant de travailler ensemble pour défendre la liberté religieuse partout où elle est menacée et quelle que soit la communauté affectée » Cette situation et ces propos révèlent que les autorités de l’Église conciliaire se soumettent aux principes de la synagogue aboutissant à la logique progressive du triptyque juif : techouva (le processus de repentance), tikkounolam (la réparation) et tsedaka (le principe religieux de l’aumône et de la justice – en termes plus directs une « amende » – pour demander pardon de ses péchés). [...]

La création du « Georgia Guidestones » en 1980, réunissant un ensemble monumental de six blocs en granit faisant suite à une commande anonyme, affiche en plusieurs langues la volonté d’aboutir à une humanité de moins de 500 millions d’individus. Un véritable programme gravé sur la pierre présente les plus strictes mesures d’une gouvernance mondiale dictatoriale. Ce monument ne doit pas être vu comme un simple élément décoratif. Enfin, il faut ajouter ce fait majeur qui est la destruction de la cellule familiale classique, conséquence logique des principes de 1789. Théorie du genre et mariage pour tous ne sont que les premières étapes pour dissoudre ce qui constitue le socle même de la civilisation. Associée à cette volonté de mélanger les populations, cette philosophie du « glocal » (combinaison du local et global) consiste à installer partout des populations hétérogènes et déracinées sur tous les continents. La finalité de cette utopie est de créer un bloc humain planétaire indifférencié allant de pair avec la promotion du transsexualisme stade suprême fusionnant le corps de l’homme et de la femme.


Pierre Hillard

lundi, octobre 12, 2020

Dès l'enfance : Surveiller, Dénoncer, Punir

La nouvelle société

(0:52)


Liliane Held-Khawam :

"Cette vidéo « éducative » de Allianz met en scène des enfants-flics. La Nouvelle Société est une société de surveillance et de contrôle. Elle se fera par la technologie, mais aussi par ses membres rééduqués." (Liliane Held-Khawam a écrit "Coup d'Etat planétaire - Comment une élite financière s'arroge le pouvoir absolu par la captation universelle des ressources".)

Au Canada, dénoncer son prochain se fait en ligne en quelques clics. Gare à ceux qui refusent la corona-muselière !

Comme dans l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), la gouvernance mondiale récompensera-t-elle les enfants qui enverront leurs parents au goulag en les dénonçant ?


dimanche, octobre 11, 2020

L'actu au Diapason par un ancien franc-maçon

Avec un vocabulaire familier, Stéphane Blet parle de méthodes kabbalistiques, du Talmud, de mœurs sexuelles, de Jean-Pierre Chalençon, du roi du Maroc, de Ryssen, etc.


(28:03)


"J’ignorais jusqu’à présent le pouvoir de la prière… à ma grande honte. Il m’aura fallu attendre 53 ans et une incarcération pour comprendre le message d’amour porté par le christianisme."

Hervé Ryssen


Message de Hervé Ryssen depuis la prison de Fleury-Mérogis


Chers amis,

Je reçois bien toutes vos lettres, tout votre courrier, toutes vos prières, et je sais qu’ici, d’autres prisonniers subissent sans doute une détresse plus grande que la mienne. Je vous en remercie du fond du cœur car je ne vous cache pas que l’on passe ici parfois par des moments difficiles.

J’ignorais jusqu’à présent le pouvoir de la prière… à ma grande honte. Il m’aura fallu attendre 53 ans et une incarcération pour comprendre le message d’amour porté par le christianisme. J’ignore si ce sentiment perdurera en moi. Je ne suis même pas certain que l’on puisse parler de foi religieuse. Tout ce que je sais est que cette solitude qui m’est imposée depuis maintenant deux semaines et les conditions que l’on me fait subir ici m’ont remué l’âme.

Toutes vos lettres m’ont été d’un grand secours. Elles ont aussi visiblement intrigué l’administration pénitentiaire qui, à mon arrivée, ignorait tout des causes de mon incarcération, résumées en un lapidaire chef d’inculpation : « Injure, provocation, haine, etc. » ; tant et si bien qu’ils ont jugé préférable de me placer à l’isolement ; c’est-à-dire qu’on est seul en cellule, au lieu d’être à deux, et à un étage séparé d’un bâtiment.

La prison de Fleury-Mérogis, qui est la plus grande d’Europe, a libéré des centaines de détenus au mois de mars, du fait de la crise sanitaire. Il y a donc de la place pour les dissidents.

Si la solitude carcérale peut être propice à certains déplacements tectoniques dans l’âme humaine, je ne la conseillerais pourtant pas à certains qui, parmi vous, peut-être, pourraient être tentés par cette expérience. Il faut en effet savoir que les prisons françaises abritent 80 % d’étrangers ; la chose est connue. Mais pour avoir observé les cours de « promenade », où des groupes de 70-80 détenus viennent se dégourdir les jambes, je puis vous dire que la proportion d’Européens ne dépasse ici jamais les 5 % ; et l’on est même souvent plus proche des 2 ou 3 %.

Tous ces prisonniers expriment évidemment bruyamment leur désir de se faire entendre et hurlent à n’en plus finir à la fenêtre en conversations croisées – quand ils ne mettent pas leur musique exotique pour réjouir toute la société. Vous comprenez ainsi aisément qu’un intellectuel patriote sensible des oreilles ne puisse pas consacrer autant de temps qu’il le souhaiterait à la lecture ou à l’écriture. J’essaie néanmoins de répondre à vos lettres, autant que faire se peut. J’espère que vous me pardonnerez si je ne suis pas parvenu au bout de cette correspondance à la fin de mon séjour.

Je remercie encore une fois tous les sympathisants et les personnalités de la cause nationale qui œuvrent à la défense de la liberté d’expression.

N’envoyez pas d’argent, pas de chèque, pas de mandat, pas de virement : rien. Faites un don à toutes les organisations patriotes dont les responsables se sont manifestés sans restriction. Sans omettre les personnalités avec qui nous avons pu autrefois avoir quelques différends et qui ont exprimé leur sympathie.

Je n’ai besoin de rien ici mais je serai heureux de vous savoir avec moi le 2 décembre prochain, à la 17e chambre du tribunal de Paris.

Que Dieu vous garde.

Hervé Ryssen

Post-scriptum : s’il y a un attentat « antisémite » deux jours avant mon procès, je saurai que c’est un coup de la LICRA !




samedi, octobre 10, 2020

Le REGENERON, le remède anti-covid

Trump veut offrir le REGENERON à tous les malades.

(4:49)

Les militaires distribueront les médicaments. " ... nous allons faire en sorte que vous les receviez et qu'ils soient gratuits", dit Donald Trump."

Bonjour, vous me reconnaissez peut-être, c'est votre président préféré, et je suis devant le bureau ovale de la Maison Blanche, qui est toujours un endroit passionnant où se trouver. Je suis rentré il y a un jour du centre médical de Walter Reed, j'y ai passé quatre jours. Je n'étais pas obligé d'y aller, j'aurais pu rester à la Maison Blanche, mais les médecins ont dit que parce que je suis le président, je devais le faire, alors j'ai dit "très bien, dites-moi ce que je dois faire et je vous écouterai". Ce sont de grands professionnels, ils ont fait un travail fantastique, et d'ailleurs pas seulement à Walter Reed, dans tout le pays, nous avons les meilleurs médecins du monde, nous avons les meilleures infirmières, les meilleurs premiers intervenants, les forces de l'ordre aussi d'ailleurs, les pompiers, tout le monde est formidable, nous avons des gens formidables, c'est un pays formidable,... mais j'y ai passé quatre jours et quand je suis arrivé, je ne me sentais pas si bien que ça. Puis très vite, ils m'ont donné du Regeneron, ça s'appelle comme ça, Regeneron, et d'autres choses aussi mais je pense que c'était ça, la clé. Ils m'ont donné du regeneron, et c'était incroyable, je me suis sentie bien immédiatement, je me sentais aussi bien il y a trois jours que maintenant, donc, je veux juste dire que nous avons du regeneron, nous avons un médicament très similaire des laboratoires Eli Lilly. Ces médicaments sortent et nous essayons de les obtenir en urgence. Nous avons autorisé tout ça, je l'ai autorisé, et si vous êtes à l'hôpital et que vous vous sentez vraiment mal, je pense que nous allons faire en sorte que vous les receviez et qu'ils soient gratuits, surtout si vous êtes un senior, nous allons nous occuper de vous rapidement.

Nous avons des centaines de milliers de doses, qui sont quasiment prêtes, j'ai obtenu une autorisation d'utilisation d'urgence, tout est prêt, nous devons la faire signer maintenant, et vous irez mieux, vous irez mieux très vite. Ce sont des choses auxquelles personne n'aurait pensé il y a quelques mois, le travail des scientifiques et des laboratoires est incroyable, en plus de ça, vous avez d'autres médicaments qui aident beaucoup, mais celui-là, ils appellent ça un traitement, mais pour moi ce n'était pas juste un traitement, ça m'a fait aller mieux, donc j'appelle ça un remède. Je veux que nous ayons ces remèdes, nous devons le faire, nous devons les faire approuver, je veux les amener dans les hôpitaux où les gens se sentent mal, c'est beaucoup plus important pour moi que le vaccin, mais en ce qui concerne les vaccins, nous avons beaucoup de sociétés qui sont en phase finale, johnson et johnson, moderna, pfizer, toutes de grandes entreprises, beaucoup d'entre elles. Nous allons avoir un vaccin efficace très bientôt, je pense que nous devrions l'avoir.

LA CROIX DU SUD :


jeudi, octobre 08, 2020

Covid 19 - Un prélat catholique appelle à résister au plan mondialiste

(0:56)

 Mgr Athanasius Schneider au Séminaire Saint Vincent de Paul - Institut du Bon Pasteur, Courtalain, Centre, France (30 septembre 2020).


Covid 19 – Mgr Schneider appelle à résister au plan mondialiste


Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, était en France pour une courte visite à la fin du mois dernier. Il a répondu aux questions posées par Jeanne Smits pour le site américain Life Site News sur la crise actuelle du COVID-19. Le prélat a mis en garde contre «l’esclavage» mis en place par des mesures «absurdes» qui empêchent même les gens d’utiliser leur raison.

«Dans une certaine mesure, ce qui était évident est maintenant prouvé après la première période de COVID au début de cette année: il est prouvé que les victimes et les malades n’étaient pas plus nombreux qu’aux épidémies de grippe des autres années. Par conséquent, vous devez vous demander pourquoi les gouvernements des années précédentes, alors que dans certains cas il y avait aussi de fortes épidémies de grippe, n’ont-ils pas adopté les mêmes règles ?»

Au sujet du port du masque obligatoire, Mgr Schneider a déclaré :

«C’est un signe extérieur que toute la population est soumise, et que ceux qui nous gouvernent tiennent maintenant entre leurs mains toute la population, vraiment comme des esclaves obéissants et des marionnettes. Ceci est très dangereux et devrait nous inquiéter profondément.»

Le prélat n’hésite pas à dénoncer une dictature mondiale au profit du gouvernement mondial et appelle à y résister.

«Nous vivons dans une société de mensonge, et donc les gens qui utilisent encore leur raison, même les incroyants, doivent s’unir pour protester contre les dangers évidents d’une dictature.»

Mgr Schneider soupçonne que d’une manière ou d’une autre, tous les gouvernements seront invités à collaborer à l’avortement par l’administration obligatoire de vaccins utilisant des cellules prélevées sur des bébés avortés.

«Je n’affirme pas que cela va arriver, mais c’est mon soupçon : il me semble réaliste que cela puisse arriver. C’est pour moi la dernière étape du satanisme : que Satan et le gouvernement mondial – en fin de compte le gouvernement mondial maçonnique – obligeront tous, même l’Église, à accepter l’avortement de cette manière. Et donc nous devons résister très fortement contre cela, si cela arrive. Nous devons même accepter d’être des martyrs.»

Le prélat demande aux catholiques de ne pas céder à l’obsession hygiéniste qui relève du naturalisme.

«Et puis, nous devons aussi faire preuve de courage, pour être, quand nous allons à l’église, plus normaux; au lieu de montrer à l’église que nous observons le nouvel esclavage que l’État nous impose. Bien sûr, je le répète, même à l’église, nous pouvons observer des mesures telles que la désinfection : c’est bien de manière normale, désinfecter les bancs par exemple, mais pas de manière exagérée.»

Source :

*******

Le 7 novembre 2011, invité à l'émission Service Public de France Inter, Matthieu Ricard, le VRP du lamaïsme, déclare dès le début de son intervention : « On doit en arriver à une gouvernance mondiale ». LIRE LA SUITE :


mardi, octobre 06, 2020

Covid 19 & tests PCR : Crimes contre l'humanité

Un réseau international d'avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s'est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l'humanité jamais commis.

(49:21)


Bonjour, je m'appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J'ai pratiqué le droit principalement en tant qu'avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l'une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd'hui l'une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l'un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd'hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars. Je suis également l'un des quatre membres de la commission d'enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d'experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l'ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd'hui, doit être rebaptisée "scandale du Corona". Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l'humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus. C'est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d'avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s'est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l'humanité jamais commis.

Les crimes contre l'humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c'est-à-dire lorsqu'ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd'hui, les crimes contre l'humanité sont régis par l'article 7 du code pénal international. Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d'une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes :

1- Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l'infection par le Covid-19 ?

2- Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu'à faire paniquer les gens pour qu'ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger afin, qu'en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d'énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu'à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?

Et 3- Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l'objet d'un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l'hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l'équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l'organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l'Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu'elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona...



dimanche, octobre 04, 2020

Ils votent l’état d’urgence sanitaire permanent !

(8:27)


Les patriotes français appellent à la rébellion,
à "la révolte de l'intelligence et de la liberté"



Marcel sur le reconfinement, la colère et nos résistants

(12:25)

 
Marcel :

"Mes amis, avec ce 4-4-2 j’ai voulu mettre en avant nos résistants que l’on se doit de cajoler et la colère sainte qui va certainement nous donner un coup de main. J'espère que cette vidéo vous aura donné du courage et de la bonne humeur. Merci à tous pour ce super soutien !"

https://www.youtube.com/channel/UCSXbrC5qIGlF-QgY_3odysA

Facebook :








mercredi, septembre 30, 2020

David Icke dénonce un sortilège jeté sur la psyché humaine

(9:29)


Un sort hypnotique lancé sur la race humaine

Si les gens ne veulent pas se faire arnaquer, ils doivent d'abord s'informer et ils doivent cesser d'obtenir toutes leurs perceptions des médias grand public. Lorsque vous vous éloignez des sources traditionnelles et que vous regardez des sources alternatives où les récits sont remis en question au lieu d'être répétés et répétés, alors vous pouvez commencer à voir comment les points se connectent.

Que se passe t-il ? c'est le point de la compréhension révélatrice.

Vous savez que les médias grand public vous diront que quelque chose se passe. Ils ne vous diront pas avec précision et impartialité pourquoi cela se produit.

J'ai cette phrase: "Connais le résultat et tu verras le voyage". Si vous ne savez pas où le monde est emmené et qui est corrompu , et les techniques de manipulation qui nous y mènent, alors le monde est un endroit aléatoire.

Tu regardes un journal et tu regardes les nouvelles ou quoi que ce soit et beaucoup de choses aléatoires se produisent.

Dans cette perspective de perception aléatoire, donner un sens au monde, vous n'y arriverez pas Quand vous savez où le monde est emmené, vous savez en gros qui nous y emmène, et pourquoi et les techniques de manipulation pour nous y emmener, soudainement le hasard disparaît. Parce que ce qui est aléatoire pour la plupart des gens devient une séquence d'événements très claire qui nous emmène dans une direction très évidente vers le résultat.

L'une des expressions très pertinentes aujourd'hui de ce contrôle mental, ce qu'on appelle le contrôle mental basé sur le traumatisme, est que lorsque quelqu'un est traumatisé, dans un état d'anxiété, dans un état de peur, ils deviennent massivement suggestible. C'est pourquoi ils utilisent un traumatisme, cela fait partie de la programmation de l'esprit.

Donc ce qu'ils font à l'humanité dans son ensemble, c'est produire des raisons de craindre, des raisons pour un traumatisme, des raisons pour l'anxiété et lorsqu'ils ont manipulé les gens dans ces états, ils activent ensuite un contrôle de l'esprit, des suggestions qui y changent la perception.

Si vous avez quelqu'un - beaucoup de gens qui regardent ça auront vu cela dans leur propre expérience au cours des derniers mois - si vous obtenez quelqu'un de si traumatisé par un virus mortel, ils deviennent absolument ouverts à la suggestion hypnotique, car ce culte ne cible pas vraiment massivement l'esprit conscient, il cible le subconscient, qui filtre ensuite pour devenir une perception consciente. Ils y ont mis les suggestions et changé la psyché des gens.

Ce qui s'est passé, c'est que tant de gens, au cours des derniers mois, ont été mis sous un sort hypnotique et en effet les gens sont soumis à un sort hypnotique toute leur vie : vous commencez, vous passez par le système éducatif et puis dans le monde de, vous savez, où les médias vous disent tout. C'est un sort hypnotique lancé sur la race humaine.

Et quand les gens parlent de réveil, qu'est-ce que cela signifie?

Cela signifie qu'ils se réveillent de la transe. Ils se réveillent du sortilège. Et donc je rencontre tellement de gens à cause de ce que je fais et que disent-ils? Je me suis réveillé! C'est exactement ce qui se passe. Lorsque vous pouvez publier des informations qui donnent un angle différent à tout, ce que vous faites est de briser le charme parce que le sort est essentiellement tout ce que quiconque a toujours entendu, toutes les sources traditionnelles, ce sont toutes les sources du sort. Et quand les gens entendent d'autres sources d'informations et d'autres façons de voir le monde, ça brise le charme et les gens disent "je me suis réveillé!"

Ouais tu t'es réveillé de la transe dans laquelle tu as été mis depuis le le jour où tu es né.

Que s'est-il passé durant les dernières semaines de ce canular? Cela a été l'exemple le plus puissant, le plus évident d'un sortilège jeté sur la psyché humaine. Parce que quelqu'un "tu te sens endormi" leur a dit de le faire. Pas de questionnement. Aucune recherche. Pas de "a qui cela profite?". Simplement fais-le.

Pourquoi est-ce que tout est fréquence? Ma voix est maintenant une fréquence. Et la fausseté, le mensonge, la tromperie est une fréquence. La vérité est une fréquence beaucoup plus puissante. Et ils connaissent le pouvoir de la vérité qui circule parce que les gens vibrent avec. Et donc, s'ils veulent réaliser ce que nous dévoilons maintenant, ce que nous vivons, qu'ils vont contrôler des milliards de personnes, ils doivent contrôler leurs perceptions. Ils le doivent.



mardi, septembre 29, 2020

L'ONU révèle les grandes orientations de l'Agenda 2030

(34:09)
(Si nécessaire, vous pouvez activer les sous-titres en français)

Isabelle :

(...)

"La présentation des Nations Unies nous amène à croire (nous programme) que la pandémie mondiale aura permis de nous montrer toutes les fractures dans notre monde, de soulever les grandes injustices et vulnérabilités qui nous forcent maintenant à agir, à créer un nouveau monde.

Le confinement des populations a redonné à la Nature ses droits, démontrant ainsi que l'Homme est le grand responsable de la menace du réchauffement climatique, d'où l'urgence d'agir.

Cette pandémie prouve que l'Homme s'adapte aux changements et qu'il est prêt et motivé à changer ses comportements, à faire des sacrifices, à contribuer à rendre notre planète plus saine et plus juste.

On nous montre les feux en Californie et en Australie, par le témoignage d'une jeune femme qui a bravé les flammes, comme étant la preuve que le climat mondial se réchauffe.

On nous annonce sur un ton dramatique et alarmiste, en utilisant des acteurs connus, des "gens du peuple" et des hauts dirigeants, qu'il nous reste moins de 10 ans (7 ans et moins de 100 jours) pour sauver la planète d'une catastrophe assurée!

La réponse ultime et absolue à tous ces problèmes urgents et mondiaux, chantée par Beyoncé: unissons-nous pour accomplir l'Agenda 2030!"

Source :


lundi, septembre 28, 2020

USA, arrestation de chrétiens qui chantent des psaumes sans masque

et sans la "distanciation physique", "distanciation sociale" ou "éloignement sanitaire"... 

(2:21)


Un chant de psaumes auquel ont assisté plus de 150 personnes à l'extérieur de la mairie de Moscow (Idaho) a conduit à trois arrestations, dont celle de Gabriel Rench, candidat républicain à la Commission du comté de Latah. Rench se présente contre le démocrate sortant, Tom Lamar, lors des élections de novembre.

Le décret sur les masques est entré en vigueur au début du mois de juillet et stipule que les masques doivent être portés à l’intérieur et à l’extérieur des lieux publics.

Les personnes qui enfreignent le décret sont passibles d'une amende de 1 000 dollars et d'une peine maximale de six mois de prison.

Source : 


dimanche, septembre 27, 2020

Attali, ou la dictature par la pandémie

(4:13)


La Chaîne qui pique :

"Jacques Attali est un mondialiste, c'est à dire qu'il oeuvre pour qu'advienne un gouvernement mondialisé. 

Les élites sans scrupule qui pilotent ce projet totalitaire semblent être prêtes à tout, comme par exemple provoquer une psychose en faisant passer une épidémie peu mortelle pour une véritable pandémie. La peur étant l'arme incontournable de toute dictature qui se respecte, peut-on redouter un succès de cette entreprise machiavélique ? Le nouvel ordre mondial en marche.

Ma vidéo titrée "Isoler de force les enfants ?" :




Bientôt dans votre ville : La réponse totalitaire de l'Australie au Covid crée un précédent pour tout dictateur en devenir


(Traduction Sott.net)


Les habitants de Melbourne sont prisonniers dans leur ville et risquent d'être détenus indéfiniment pour « pré-crime » et même de voir leurs enfants enlevés sur la base de statistiques Covid souvent inexactes. Combien de temps avant que cela ne se répète ailleurs ?

Les Américains seraient bien avisés de prêter attention à ce qui se passe en Australie. Le Premier ministre de l'État de Victoria, Dan Andrews, s'est lancé dans une course à la police pour rivaliser avec le Patriot Act, en présentant récemment un projet de loi qui donne au gouvernement de l'État le pouvoir de détenir préventivement des personnes « à haut risque », pour une durée indéterminée, dans des installations de quarantaine, sur la base de simples soupçons de non-respect des ordres d'auto-isolement.

Cette mesure est justifiée par l'utilisation de statistiques Covid-19 que même l'establishment médiatique qui aime bien la peur, a reconnu être probablement fortement exagérées, sur la base d'un test dont le créateur a, parait-il, été horrifié à l'idée de l'utiliser pour diagnostiquer une infection virale. Pourtant, le même establishment médiatique a adopté le verrouillage totalitaire décidé par Dan Andrews comme le modèle que les États-Unis devraient adopter.

Un désastre pour la démocratie

Ressemblant plus au méchant d'un dessin animé qu'à un politicien, Dan Andrews a averti en début de semaine les habitants de Melbourne que « les chances étaient très faibles » qu'ils puissent échapper à « la ceinture d'acier » que son gouvernement a construit autour de la ville. Alors que le verrouillage dans reste le l'état se relâchait un peu jeudi, les Melbourniens eux sont encore soumis à une réglementation stricte et sont menacés d'une amende de 5 000 dollars s'ils tentent de fuir vers des climats plus favorables. Et si l'idée d'être détenus préventivement pendant des mois pour être des « théoriciens de la conspiration » ne dissuade pas suffisamment les résidents d'avoir des crimes de pensées, la disposition du projet de loi Omnibus qui permet au gouvernement de retirer les enfants à leurs parents jusqu'à une durée de 30 mois, le fera certainement. Le projet de loi a été adopté par la chambre basse de l'État de Victoria la semaine dernière.

L'État de Victoria a déclaré l'état de catastrophe le 2 août dernier avec 123 décès dus au coronavirus dans tout l'état pendant toute la durée de la pandémie, citant une hausse soudaine et inexplicable du nombre de cas dans sa décision d'enfermer les résidents des logements publics dans leurs appartements et d'envoyer des membres des services militaires faire du porte-à-porte pour s'assurer que les citoyens obéissent.

La vidéo de la police traînant une femme enceinte hors de son domicile pour avoir simplement encouragé une manifestation contre le verrouillage des logements dans sa petite ville, en solidarité avec les habitants de Melbourne, a déclenché une indignation internationale, et la condition économique et psychologique des habitants s'est rapidement détériorée au cours des deux derniers mois.

La santé mentale n'est pas la seule à avoir souffert de ce confinement du « Dictateur Dan ». Le nombre de décès dus au coronavirus a en effet grimpé en flèche, passant de 123 lors de l'imposition du confinement le 2 août à un énorme 773 à partir de mercredi. Bien sûr, « énorme » est relatif - étant donné les dizaines de milliers de personnes supposées infectées, on pourrait s'attendre à un nombre de décès beaucoup plus élevé, du moins jusqu'à ce qu'on se rappelle que 90 % des « cas » diagnostiqués par le test PCR ne portaient probablement pas assez de virus dans leur organisme pour présenter des symptômes ou infecter d'autres personnes. Si c'est une bonne nouvelle pour tous les Australiens qui ne mourront pas du Covid-19, c'est une mauvaise nouvelle pour ceux qui sont maintenant enfermés dans leur maison à cause de ces chiffres inexacts.

La dictature, ça veut dire que l'on n'a jamais à admettre d'erreurs

Même en mettant de côté les faux positifs, les terrifiants modèles informatiques qui ont inspiré tant de pays et d'États à verrouiller ont depuis longtemps été dénoncés comme étant erronés. Cependant, les politiques qu'ils ont inspirées n'ont pas été réexaminées. Étant donné les énormes dommages collatéraux qui découlent de l'arrêt de l'économie d'un pays - les statisticiens ont averti il y a quelques mois que le nombre de suicides en Australie serait dix fois plus élevé que celui des décès dus au virus, une part importante de ces décès inclue des jeunes, tandis que les experts médicaux britanniques et américains ont averti que les confinements tuent plus que le virus qu'ils sont censés arrêter - il n'y a aucune excuse pour enfermer les jeunes et les personnes en bonne santé afin de protéger les personnes âgées. Le fait que ces mêmes personnes âgées soient plus susceptibles de mourir de causes autres que le Covid-19 lorsqu'elles sont maintenues dans l'isolement social ne fait qu'ajouter à l'insulte.

Personne ne veut admettre qu'il a fait une erreur. Le Premier ministre Andrews est félicité par les médias internationaux pour s'être approprié encore plus de pouvoirs, et de nombreux dirigeants américains et britanniques sont impatients de suivre ses traces. Il est rare que l'on tente de corriger des statistiques fallacieuses, malgré la découverte généralisée de la tenue de registres frauduleux (ou simplement tenus avec incompétence) aux États-Unis et au Royaume-Uni. Même le fait de comprendre que la plupart des méthodes de dépistage du Covid-19 sont extrêmement imprécises n'a pas contribué à ralentir l'enthousiasme qui s'est emparé d'une population pour lui faire avaler ce test (littéralement).

Et Dan Andrews est loin d'être le seul dirigeant à infliger ce que l'on ne peut qualifier que de cruelles expériences psychologiques à son peuple sous le couvert d'une réponse virale. Qu'il s'agisse de la promesse de la Nouvelle-Zélande d'enfermer dans des installations de quarantaine toutes les personnes dont le test est positif et les membres de leur famille, de l'interdiction des visites à domicile décrétée par le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, de la menace du maire de Los Angeles Eric Garcetti de couper l'eau aux maisons et aux entreprises qui accueillent des fêtes, ou les gouverneurs des États américains qui ont exigé que les maisons de retraite acceptent les patients positifs au Covid-19 malgré le risque qu'ils encourent, il semble que dans le monde entier, tous les aspirants dictateurs des « démocraties » anglophones se battent pour savoir qui pourra franchir la ligne d'arrivée en premier.

Alors que nous regardons avec horreur ce qui se passe dans l'État de Victoria, nous devons faire ce que nous pouvons pour arrêter la montée du totalitarisme dans nos propres pays.

Traduction Sott.net - Source : Helen Buyniski, RT


Les Accords d’Abraham, un arrière fond maçonnique

 

(1:35)

President Trump participates in Abraham Accords agreement between UAE, Bahrain and Israel.

Trump, en campagne électorale, veut forcer les alliés arabo-musulmans des États-Unis à reconnaître l’entité sioniste

DONALD TRUMP a réalisé aux Etats-Unis une grande cérémonie sur le thème de l’Alliance d’Abraham : chrétiens, représentés par les Etats-Unis, juifs, représentés par l’Entité Sioniste, et musulmans, représentés par les Emirats Arabes Unis et Bahreïn, témoigneraient de la restauration de relations harmonieuses originelles entre descendants spirituels du patriarche biblique. Il a mis en place une cérémonie, appelée « Accords d’Abraham », le 15 septembre, à Washington. Cet accord politique, la reconnaissance de l’Entité Sioniste par deux pays arabes, a été obtenue sous la supervision de leur commun allié états-unien ; il a été placé dans le cadre symbolique d’une déclaration pour le dialogue interreligieux, spécialement entre confessions se réclamant toutes d’Abraham, le premier ancêtre monothéiste commun.

Il faut relever, dans cette cérémonie, outre le sionisme évident, un arrière-fond maçonnique très net, celui de la franc-maçonnerie britannique du début du dix-huitième siècle, aspirant à unifier tous les hommes monothéistes de bonne volonté au-delà des différences “superficielles” (telle est leur point de vue) des confessions officielles. Cela se mélange fort bien depuis trois siècles avec le protestantisme états-unien. Donald Trump s’inscrit parfaitement dans l’Histoire longue de son pays, contrairement à ce qu’affirment régulièrement les media gauchistes hystériques. Sur ce point précis, on ne l’en félicitera pas forcément pour autant.

Pourquoi ce type de cérémonies maintenant ? Pourquoi ces pressions très fortes de l’Etat états-unien, qui ne sont pas à prendre à la légère, en particulier pour les pays pauvres ou fragiles, en faveur de la reconnaissance de l’Entité Sioniste, ou, étape supplémentaire, de Jérusalem comme sa capitale ? Donald Trump est à l’évidence entrée dans la dernière phase de sa campagne électorale pour sa réélection. Et il joue au maximum la carte sioniste.

Il y a aussi un piège électoral évident pour Joe Biden : soit il suit Trump sur sa politique très sioniste, et il vexera une large partie de l’aile gauche du parti démocrate, qui cultive la grosse provocation politique aux Etats-Unis, soutenir les Palestiniens, soit il s’oppose à lui, même de manière nuancée, et ce serait un suicide politique aux Etats-Unis, en apparaissant pour un soutien bien terne de l’Entité Sioniste, cause sacrée pour des motifs très divers pour les ¾ des électeurs, soit quasiment tous les républicains et la majorité des démocrates.

En effet, Donald Trump sait qu’il conserve des chances très sérieuses de l’emporter s’il réussit à mobiliser à nouveau l’électorat chrétien-sioniste, plusieurs dizaines de millions de personnes, de l’ordre de 30 à 40 millions d’adultes, en sa faveur. Ces protestants sont persuadés que l’Entité Sioniste serait une résurrection de l’Israël biblique, et correspondrait encore et toujours à la volonté divine. Ce point de vue est opposé à celui de la théologie catholique traditionnelle. Ces chrétiens-sionistes sont le véritable enjeu électoral pour Trump, et pas les 6 millions de Juifs états-uniens, peu religieux pour la plupart, et qui votent à 75 ou 80 % pour le parti démocrate. Les chrétiens-sionistes sont blancs et noirs : les premiers voteraient pour Trump, les seconds s’abstiendraient, tiraillés entre principes religieux et solidarité raciale, ce qui pourrait aussi s’avérer stratégique dans les Etats disputés du Sud — comme la Caroline du Nord ou la Virginie —.

Cette campagne électorale a déjà eu des conséquences majeures pour le Moyen-Orient : l’Entité Sioniste, jusqu’à l’été 2020, ne pouvait espérer être reconnue des pays arabes, du moins tant qu’elle ne rendrait pas une part jugée décente des terres de Palestine aux Palestiniens. Hors de l’Egypte et de la Jordanie, soit des pays arabo-musulmans immédiatement voisins, aucun autre Etat arabo-musulman, par principe, acceptait jusque-là de reconnaître l’Entité Sioniste. Les dirigeants palestiniens de l’OLP ont été, eux, de leur propre aveu, piégés dans un prétendu « processus de paix » qui devait ne jamais aboutir dans les années 1990. Depuis quelques mois, avec le forcing de l’administration Trump, l’Entité sioniste est reconnue par un nombre croissant de pays arabes, ce qui est une véritable trahison de leur part.

Donald Trump a multiplié les plus petites cérémonies sur ces thèmes chéris de son électorat : ainsi, le Kossovo, micro-Etat balkanique musulman, pauvre et mafieux — et tout sauf une réussite de la prétendue communauté internationale —, a reconnu l’Entité Sioniste. La Serbie voisine a, quant à elle, reconnu Jérusalem comme sa capitale. L’humiliation a été manifeste pour le président serbe (depuis 2017) Vucic, un ex-nationaliste complètement apostat, Trump tenant, pour des raisons pratiques, les deux pays étant voisins, à les mêler dans ses félicitations publiques télévisées. Or, les Serbes et les Albanais — qui peuplent le Kossovo désormais exclusivement ou presque — se détestant cordialement ; l’impair diplomatique est manifeste. L’effet politique a été calamiteux en Serbie pour Vucic, manifestement un valet de Washington. La Serbie est un pays encore traumatisé par la guerre d’agression de l’OTAN en 1999, qui a provoqué la sécession du Kossovo, cœur historique ancien de la Serbie. C’est d’ailleurs bien fait pour lui.

Les pays musulmans pauvres, en crise économique grave, ou dépendants de Washington, subissent des pressions intenses. Le Qatar, petit pays qui abrite une des plus grandes bases américaines de la région, a cependant refusé énergiquement, soutenu par Erdogan, son grand allié régional, et champion récent de la cause palestinienne. Le Qatar est aussi un pays très riche, qui peut se le permettre. Mais pourraient succomber Oman, les Comores, Djibouti, le Soudan. Le Bahreïn, pressenti depuis longtemps, qui avait fait mine de résister durant quelques semaines après la reconnaissance de l’Entité par les Emirats Arabes Unis cet été, a fini par céder aux pressions écrasantes de Trump ; le régime politique en place, une dictature oligarchique de la minorité sunnite sur la majorité chiite, ne tient en effet que grâce au soutien, y compris militaire, de l’étranger, Washington, et très concrètement, de Riyad. Il est probable que les pays mentionnés, d’ailleurs explicitement cités par le ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis Mike Pompeo, cèdent dans les semaines ou les jours qui viennent. Trump tient probablement à ce que les reconnaissances de l’Entité Sioniste se suivent jusqu’à l’élection présidentielle du 3 novembre 2020. Elles permettraient aussi au parti républicain, euphorique sur ce sujet, d’améliorer ses scores en nombre de sièges à la chambre des députés, à majorité démocrate — qui devrait se maintenir —, au sénat, qui devrait rester aux républicains.

Toutefois, les grands pays arabes ou musulmans, comme l’Arabie Séoudite, le Pakistan, l’Indonésie, ont refusé de suivre cette voie, au nom de la défense légitime des droits des Palestiniens. L’Iran reste opposé bien sûr à ces manœuvres, directement dirigées contre la République Islamique et son grand allié local sur le front palestinien, le Hezbollah libanais, qu’il s’agit ainsi d’isoler politiquement et économiquement. Quant à la Turquie, elle se fait la championne des refus de reconnaissance de l’Entité Sioniste, alors qu’elle la reconnaît depuis 1948 ! Erdogan, qui s’est distingué à l’été 2020 en manifestant toute sa sympathie au Hamas palestinien, à la philosophie politico-religieuse proche de la sienne, en recevant publiquement ses dirigeants en exil, s’est bien gardé pour autant de rompre avec Tel-Aviv. C’est une attitude plus qu’ambiguë. A l’exclusion de l’Iran, pays assez isolé, au-delà des manœuvres états-uniennes et des tensions avec ses voisins arabes dans le Golfe Persique, du fait de sa nature chiite— et 90 % des musulmans sont sunnites dans le monde —, les Palestiniens ne disposent plus de vrais grands champions de leur cause dans le monde arabo-musulman.

S. de S.

Réchauffement climatique : La Froide Vérité

De nos jours, des vidéos sont rapidement censurées et les paroles s'envolent . Grâce à la transcription et l'impression de l'aud...