jeudi, juillet 08, 2021

La dimension magique et occultiste de la tyrannie actuelle



Lucien Cerise (auteur de "Gouverner par le chaos", PDF gratuit ci-dessous) est interviewé par Nicolas Bonnal, auteur du livre Internet et les secrets de la mondialisation.


Nicolas Bonnal : Lucien Cerise, un an et demi après le premier COVID, comment s’annonce le prochain ?

Lucien Cerise : Il faudrait dire « Comment s’annonce l’avenir ? » En effet, comme nous l’a annoncé Klaus Schwab, nous ne sommes pas censés sortir un jour de la crise dite sanitaire, qui est en fait purement politique. D’un point de vue sanitaire, la covid-19 n’est pas un problème, mais elle sert de prétexte à faire entrer le monde entier dans une « nouvelle normalité » – du moins, c’est ce que veut le biopouvoir transhumaniste.

Son projet est la société « sans contact », c’est-à-dire sans contacts humains, programme soutenu entre autres par le gouvernement sud-coréen, où les interactions sociales directes disparaîtront et seront encadrées, médiatisées et si possible remplacées par la techno-science, l’informatique et les écrans.

Pour y parvenir par étapes, le pouvoir accumule les mesures de contrôle social sans qu’aucune n’annule les autres et en espérant les rendre irréversibles. Le confinement et le couvre-feu doivent devenir perpétuels, le port du masque doit être permanent, la distanciation physique aussi, il faudra nous revacciner tous les six mois pour mettre à jour notre « passe sanitaire », nouvelle mouture du passeport intérieur des régimes totalitaires, etc. J’ai pris le train et l’avion récemment : il y a des annonces écrites et vocales qui nous parlent de biosécurité, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale même pour les personnes déjà vaccinées ou testées négatives au coronavirus. Pour éviter de tomber malade, nous devons donc tous vivre désormais comme des malades. Tout le monde – y compris les bien-portants – doit régler son comportement sur les malades et adopter un style de vie calqué sur celui des malades en acceptant de se soumettre quotidiennement à des mesures destinées en temps normal seulement aux malades.

La frontière entre maladie et santé s’efface : nous sommes tous potentiellement malades, comme chez le Docteur Knock, et nous devons donc tous accepter d’être tous traités comme des malades. Cette « nouvelle réalité » de la maladie permanente et omniprésente doit permettre de remettre votre santé entre les mains du biopouvoir cybernétique. Comment ? En implantant dans les esprits un parallèle entre les risques encourus par nos ordinateurs et par nos corps. La cybernétique ne distingue pas le vivant et la machine. Ainsi, le biopouvoir pose plusieurs équations : homme = ordinateur ; virus biologique = virus informatique ; anti-virus biologique = anti-virus informatique. Bill Gates est l’homme qui incarne cette fusion de l’informatique et de la santé publique.


D’où vient l’intérêt du fondateur de Microsoft pour les virus biologiques et les vaccins, au travers notamment de sa fondation GAVI – Global Alliance for Vaccines and Immunization ? Cela pose question. Lui et d’autres transhumanistes essayent de nous transformer en névrosés hypocondriaques volontairement intégrés dans un système fusionnant le corps humain et les machines par la transposition dans le biologique de ce qui existe en informatique : la peur permanente des virus – phénomène purement psychologique car, en réalité, il y a très peu de virus dangereux – et l’obligation de vivre avec un antivirus fabriqué, un pare-feu dans le langage informatique, équivalent du masque et du vaccin. Pourtant, l’antivirus biologique naturel existe déjà – il s’appelle le système immunitaire – mais justement, le projet est de remplacer l’immunité naturelle, gratuite et universelle, par une immunité artificielle, qui sera facturée et dépendante d’un fabricant d’antivirus. Comme disait quelqu’un sur Twitter :

« Privatisation du système immunitaire des êtres humains en cours : là où avant ton corps faisait le job tout seul pour chaque infection, la réponse immunitaire perdurait à vie, tu auras désormais besoin d’injections à répétition pour chaque variant de chaque virus. » (Anonyme, Twitter)



Nicolas Bonnal : Alan Moore, auteur des BD, V for Vendetta et Watchmen – accessoirement sorcier – déclarait que les publicitaires sont les nouveaux chamans…

Lucien Cerise : Ce type est un génie. Il a compris les constantes universelles de l’occultisme, qui en montrent la brûlante actualité, au-delà des variables culturelles et folkloriques, qui peuvent produire un sentiment d’éloignement ou d’exotisme.
 
L’occultisme est un rapport proactif et interventionniste à la perception de la réalité pour modifier la réalité. On ne touche pas directement la réalité matérielle, on touche sa perception, et surtout sa perception narrée, inscrite dans un récit. On peut donc transformer indirectement la réalité en agissant sur l’esprit des gens qui la perçoivent. Et agir sur l’esprit signifie agir sur la narration qui raconte la réalité, principe du Storytelling. Il n’y a pas d’esprit en dehors d’une narration, d’un langage, d’un code.

L’esprit humain est langagier, structuré par une grammaire et une syntaxe – les phénomènes psychiques n’arrivent pas au hasard – et constitué physiquement de signes linguistiques, qui sont les « unités discrètes », les briques élémentaires, les atomes de l’esprit. Pour agir sur l’esprit d’autrui comme un occultiste, il faut donc agir sur la narration qui structure son esprit, devenir un maître linguiste, un maître du langage – plus simplement, un bon écrivain, un bon scénariste – ce qui explique le rôle des « formules magiques », ce que l’on appelle aujourd’hui des slogans, et qui sont omniprésents dans l’espace médiatique et publicitaire.

« À l’origine toutes les facettes de notre culture, que ce soit des arts ou des sciences, appartenaient aux shamans. Le fait qu’à notre époque ce pouvoir magique ait dégénéré et soit devenu un simple divertissement et une manipulation est à mon avis une tragédie. En ce moment les gens qui utilisent le shamanisme et la magie pour influencer notre culture sont des publicitaires. Plutôt que d’essayer d’éveiller la conscience des gens, leur shamanisme est utilisé comme opium pour les tranquilliser et les rendre plus malléables. Avec leur boîte magique, la télévision, et leurs mots magiques, leurs slogans, ils arrivent à ce que tout le pays pense aux mêmes mots et aux mêmes choses banales, exactement au même moment. » – Alan Moore 

Un bon slogan transforme votre perception de la réalité et déclenche un comportement, ou du moins pèse sur votre comportement en reformulant votre description de la réalité, ou narration de la réalité, donc votre perception de la réalité. Il y a deux façons de peser sur le comportement d’autrui : directement par la pression physique, ou indirectement par la magie, ce qu’on appelle aujourd’hui la psychologie, c’est-à-dire en passant par le système de représentation et de perception d’autrui, ce qu’il a dans la tête, la manière dont il se raconte le monde, et dont il se raconte à lui-même. Le rapport du langage et de l’esprit est encore plus étroit qu’un filtre au travers duquel on percevrait la réalité depuis un esprit possédant son intégrité. En effet, l’esprit est intrinsèquement une structure langagière et linguistique, dépendante d’un récit. On entre dans l’esprit, c’est-à-dire dans l’intériorité, depuis l’extérieur du langage et des signifiants, entendus phonétiquement ou lus sur un support. Si l’on retire le langage, il n’y a plus d’esprit au sens humain du terme. Il y a du vécu hors langage, c’est-à-dire du vécu en dehors du sens, mais pas d’esprit au sens humain. Faites l’expérience : essayez de penser quelque chose en dehors du langage, et vous allez comprendre rapidement à quel point votre esprit est – et à quel point vous êtes – totalement dépendant du langage, et en particulier de votre langue maternelle. Il n’y a pas de langage privé, ou intérieur. Le solipsisme est une fiction théorique.

Le virus et la civilisation hallucinatoire

« Il n’y a pas de science occulte, il n’y a que des sciences occultées. » – Alexandre de Saint-Yves d’Alveydre.

Dans Le mythe de l’intériorité, Jacques Bouveresse s’appuie sur Wittgenstein et ses jeux de langage publics pour montrer que nous sommes des êtres intrinsèquement communicants, traversés par du code appris et reçu de l’extérieur. Même les gens qui croient à une intériorité pré-langagière (antéprédicative) sont obligés de passer par le langage, donc par l’extérieur, pour la penser et en parler. La structure de l’esprit est la structure du signe linguistique. L’esprit a donc une partie extérieure, constituée par le signifiant, et une partie intérieure, constituée par le signifié. Les deux parties sont dans un continuum, on passe de l’une à l’autre sans s’en rendre compte la plupart du temps. L’occultisme n’est rien d’autre que l’exploration de ce ruban de Möbius – pour reprendre une figure de topologie lacanienne – qui définit la continuité sémantique entre l’extériorité environnementale et l’intériorité mentale, et dont il faut prendre le contrôle si l’on souhaite peser sur le comportement d’autrui. C’est de la Programmation neuro-linguistique avant l’heure, tout le monde en fait sans le savoir et intuitivement quand on essaye d’influencer autrui, c’est-à-dire quand on essaye de pénétrer discrètement dans l’intériorité d’autrui pour le retourner en notre faveur, consciemment ou non. La psychologie du conditionnement, en particulier du conditionnement furtif, c’est-à-dire du piratage mental, autre nom de l’ingénierie sociale, c’est-à-dire le passage furtif de l’extérieur à l’intérieur de l’esprit, est la forme scientifique de l’occultisme, en tant qu’effort pour influencer autrui.



Nicolas Bonnal : Dès lors, au-delà de la PsyOp, est-il possible de considérer le « covidisme » comme un rituel surdimensionné via une amplification médiatique sans précédent ?

Lucien Cerise : Techniquement, le « covidisme » – la croyance en la narration politico-médiatique sur la covid-19 – est effectivement un égrégore, un facteur de convergence et d’uniformisation des comportements, qui doit synchroniser un maximum d’individus pour les faire agir comme un seul homme.

Les médias de masse procèdent à une séance d’hypnose collective en continu, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que l’on peut décrire à la suite de Tchakhotine comme un « viol des foules », mais un viol consenti, une pénétration furtive de l’intériorité d’autrui, pour téléguider autrui, agir sur lui depuis son extériorité sans qu’il en soit pleinement conscient. Tout ceci évoque le concept d’Inception, comme dans le film de Christopher Nolan, consistant à pénétrer dans l’inconscient d’autrui pour y déposer une idée, un mot-clé, un signifiant déclencheur (trigger) qui sera activé à un moment donné, pas toujours immédiatement, comme une bombe à retardement.

Tel est le rôle du symbole de l’arc-en-ciel et de tous les signes de ralliement, hashtags, graffitis, slogans, et de la pratique d’ingénierie sociale d’hameçonnage (phishing), fondée sur le double sens, l’ambivalence sémantique, qui fait passer une signification sous couvert d’une autre signification, avec un sens caché dans un autre sens, principe de la stéganographie.

Autrefois utilisé par les causes mondialistes écologique et LGBT, l’arc-en-ciel du slogan #ToutIraBien a inondé les fenêtres du monde entier au premier confinement. PsyOp ou égrégore noachide ?

En fait, nous baignons tous dans un environnement sémantique partagé et nous pratiquons tous naturellement cette influence subliminale sur autrui, pour le programmer, le déprogrammer ou nous déprogrammer et reprogrammer nous-mêmes quand nous sommes mal à l’aise avec une influence psycho-sociale que nous ressentons comme nuisible. L’occultisme et ses versions scientifiques comme l’ingénierie sociale consistent donc à faire consciemment et de manière rationnelle, méthodique et planifiée ce que l’on fait déjà spontanément, comme Monsieur Jourdain prenant conscience qu’il parle en prose depuis toujours. La méthode des Nudges, qui consiste à envelopper autrui en tapissant son environnement d’incitations douces ou indirectes, commence à être bien connue du grand public. Poussé à son terme, cet effort pour influencer autrui culmine dans la « zombification », c’est-à-dire l’abolition de la conscience réflexive pour réduire autrui à devenir un esclave mental, une marionnette qui obéit au doigt et à l’œil. Pour revenir au coronavirus, le résultat concret de cette opération de Mind Control de masse est ce bal des zombies que nous voyons se déployer autour de nous quotidiennement. Tous ces êtres qui portent des masques dans la rue ou qui vont se faire inoculer avec des produits génétiques expérimentaux sont sous l’effet d’un envoûtement, véritable opération psychologique d’ingénierie sociale, c’est-à-dire de piratage mental ou de rituel occultiste de masse, au sens d’Alan Moore.



Nicolas Bonnal : Si le lien entre ingénierie et magie se résume à la furtivité, la Kabbale, adepte des petits calculs et grands secrets, en est-elle la quintessence ?

Lucien Cerise : Les magiciens, les illusionnistes, prestidigitateurs et autres mentalistes exploitent les angles morts de la perception et de l’attention du public, ces zones écrans derrière lesquelles on peut se cacher et qui sont générées par les biais psychologiques et cognitifs du fonctionnement normal du cerveau. Il en va de même pour l’ingénierie sociale dans son volet du piratage informatique, qui n’est autre que du piratage psychologique et cognitif car on s’attaque non pas à la machine mais à son utilisateur selon deux axes, l’usurpation d’identité et l’abus de confiance – en jouant avec la sensibilité d’autrui selon la trilogie de Karpman sauveur/bourreau/victime. Dans tous les cas, une dose de furtivité est nécessaire pour agir.

Le réel, c’est-à-dire le geste réel de l’ingénierie magique, c’est-à-dire la modification intentionnelle du lien social, doit devenir invisible et être remplacé par une illusion de transformation spontanée. Par exemple : si les médias ne parlaient pas de la covid-19, les gens ne sauraient même pas que ça existe. La réalité serait différente : les symptômes de la covid-19 seraient interprétés comme une grippe ou une pneumonie banale, et personne n’accepterait les mesures totalitaires dites sanitaires. La nomination, le fait de nommer une chose, la fait exister, soit en la soulignant et en l’extrayant du bruit de fond, soit en la faisant être à partir de rien, création ex nihilo. Dans la controverse entre Réalisme et Nominalisme, le langage a choisi : il est nominaliste. La magie kabbalistique exploite les ressources nominalistes du langage mais a besoin de vous faire croire au Réalisme pour produire une illusion d’objectivité incontestable en dissimulant le geste subjectif de construction langagière de la réalité. Je me suis amusé à angliciser ce constructivisme en inventant le concept de « reality-building ». L’ingénierie sociale, comme la kabbale, consiste à nommer les choses pour les faire exister, en effaçant le geste de la nomination créatrice, le geste de la fonction performative du langage, pour donner l’illusion que cela arrive tout seul. Le pouvoir politique en général consiste à appliquer toutes les ressources de ce nominalisme furtif, pour laisser entendre que les choses nommées par le pouvoir ne dépendent pas de sa volonté mais existent objectivement, ce qui permet d’asseoir la domination symbolique du récit du pouvoir dans les esprits.



Nicolas Bonnal : Dans cette perspective, le panopticon de Jeremy Bentham n’est que l’application de l’En To Pan cher à la Gnose…

Lucien Cerise : On doit à Michel Foucault d’avoir montré l’actualité du concept de panoptique de Bentham, ce modèle de prison où les prisonniers ne savent pas s’ils sont surveillés ou non par les gardiens, ce qui les conduit à intérioriser la surveillance comme un risque permanent et à auto-discipliner leur comportement. On trouve ici le point de départ d’une réflexion sur l’exercice du pouvoir dans le champ subtil. Les corps n’ont plus besoin d’être disciplinés par d’autres corps ou par de la matière. La domination des corps est psychologique et intériorisée, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une auto-soumission des corps par l’esprit, sous la forme d’une parole venant de l’extérieur et assimilée, à laquelle on s’identifie. La noosphère, la « sphère de la pensée humaine » chez Teilhard de Chardin, notion proche du grand Autre de Lacan ou de l’inconscient collectif jungien, exerce une force de contrainte sur les individus et de façonnage du réel. On en voit les résultats avec ces gens qui portent encore le masque même quand ce n’est plus obligatoire. L’esprit, c’est-à-dire l’information diffusée par le pouvoir, surveille et discipline les corps sans besoin d’un policier ou d’un gardien de prison.

Chez l’être humain, l’information est plus forte que la matière brute, plus forte que l’instinct de conservation, et peut façonner le comportement jusqu’au suicide collectif. C’est ce que la psychologie appelle les pulsions de mort, qui sont un effet du langage humain, absent chez les animaux. Essayez de faire porter volontairement des masques qui empêchent de respirer à des animaux. Leur instinct vital se révoltera rapidement, sauf s’ils sont en voie d’hominisation, sensibilisés au langage humain et à ses effets de déréalisation, c’est-à-dire dressés comme des chiens sous influence de la parole d’un maître. Tout le domaine du sens, de la sémantique, de l’information langagière est lui-même de la matière, mais organisé de manière néguentropique pour réduire l’incertitude. Son caractère morbide et entropique advient quand il essaye d’encadrer totalement le réel et son caractère toujours imprévisible.

L’utopie d’en finir totalement avec l’incertitude est d’ailleurs le fil conducteur du biopouvoir, autre concept tiré de l’œuvre de Foucault et retravaillé par Giorgio Agamben. Le sommet du pouvoir est le contrôle scientifique de la vie dans ses moindres aspects, et l’artificialisation du monde naturel dans la mesure du possible. La recherche sur les interfaces cerveau/machine ou corps/machine, c’est-à-dire le couplage direct du cerveau ou du corps sur un dispositif informatique fermé ou ouvert comme internet, est déjà ancienne.

Un exemple bien connu est le développement des implants électroniques sous-cutanés, puces RFID ou autres, ainsi que la recherche sur les moyens de les faire accepter à la population de manière souriante et détendue. On se souvient des Implant Parties qui ont eu lieu dans divers pays, dont la France.



Nicolas Bonnal : Selon les gnostiques, le diable serait sans limite. Toute spéculation est-elle donc d’essence diabolique ? Cela évoque la dialectique de la carte et du territoire, et la tentative du symbole, ou de la pensée, de modéliser le réel. Hystérie, paranoïa, schizophrénie sont des noms savants aux symptômes identifiés en démonologie. Seuls les signifiants changent-ils ?

Lucien Cerise : Pour l’occultisme, la pensée ne doit pas se contenter de modéliser le réel, la carte ne doit pas se limiter à représenter le territoire : la pensée doit être le réel, la carte doit remplacer complètement le territoire. Pour qualifier ce moment où l’image du réel supplante le réel, Jean Baudrillard parlait d’hyper-réalité. Pour y parvenir, il faut reléguer définitivement le réel dans les oubliettes, de sorte que le réel ne soit plus la référence de la pensée, afin qu’il ne pose plus de limite au libre jeu de la pensée spéculative. Il faut parvenir à reconnaître sans sourciller et sans dissonance cognitive que 2 + 2 = 5, ou qu’une femme qui dit être un homme est un homme.

Pour l’occultiste, la pensée, la représentation du réel, doit être libre par rapport au réel : libre de le déformer, mais surtout libre de ne plus être indexée sur du réel extérieur à elle-même, donc libre d’être autoréférentielle. En économie, la spéculation infinie, sans limite, apparaît quand la valeur d’usage disparaît au profit de la valeur d’échange, quand la monnaie se réduit à un signe. La perte de contact avec un référent réel et la préférence accordée aux signes, c’est-à-dire aux idées, est symptomatique de l’entrée dans la folie, qui est une sorte d’ivresse du langage, une ivresse des idées, une ivresse sémantique, car la pensée ne veut plus tenir compte des limites du sens, limites matérielles, objectives qui viennent dégriser la dérive interprétative. Pour le paranoïaque, tout fait sens, tout est interprétable, il n’y a pas de limites à son interprétation du réel et à son système d’idées. La transgression de toutes les limites, la démesure, l’hubris, le déni de réalité et le délire de toute-puissance caractérisent de nombreuses pathologies mentales et comportementales que l’on décrivait jadis comme des états de possession démoniaque.

Les signifiants ont changé, ce qui a eu aussi un impact sur la formulation des symptômes et leur signifié. Aujourd’hui, une hystérique ne dira pas qu’elle est possédée par le diable mais qu’elle a envie de s’amuser et de s’éclater, ou qu’elle mène une lutte féministe contre le patriarcat.



Nicolas Bonnal : L’harmonie jacobine égalisant, tout y est pesé, voire aseptisé, et qui après avoir tenté de mettre la France en damiers, fait maintenant fleurir les cubes à travers un monde digne de l’ordinateur de 2001, l’Odyssée de l’espace. Programmation génocidaire en vue ?

Lucien Cerise : L’esprit jacobin de la révolution française, c’est l’esprit du progressisme maçonnique, c’est-à-dire l’esprit scientiste, mathématique, géométrique. Bien sûr, cette approche entièrement quantitative du monde, qui réduit tout aux nombres, est assez répandue au-delà de la pensée maçonnique et se rencontre à diverses époques et en divers lieux. Les cultures juive et arabo-musulmane attribuent une valeur numérique aux lettres de leurs alphabets, ce qui a donné la numérologie mystique, ou guématrie, qui se développe aussi en Grèce antique à l’époque de Pythagore, se poursuit avec Platon et la fameuse phrase gravée à l’entrée de son école – « Nul n’entre ici s’il n’est géomètre » – et s’épanouit dans la techno-science occidentale. On en trouve une expression politique dans le projet de quadrillage administratif de la France en départements dessinés en carrés, enfermant la vie dans des formes à angles droits, programme élaboré sous l’Ancien régime et qui sera repris par les premiers révolutionnaires en 1790 avant de l’abandonner sous la pression du réel. Le cube est la projection tridimensionnelle du carré, c’est-à-dire de l’angle droit, qui n’existe pas dans la nature. Trouver une forme à angles droits dans la nature signifie qu’une intelligence est forcément passée par là pour la fabriquer.

C’est toute la signification du monolithe noir, en tant que cube allongé, dans le célèbre film de Stanley Kubrick que vous mentionnez. Il est totalement noir et vide de sens, ce qui signifie qu’il peut recevoir toutes les significations car il n’en porte aucune par lui-même. Pourquoi ? Parce que, comme dirait Marshall McLuan : « Le média est le message ». Parce que c’est la forme matérielle à angles droits qui compte, qui est significative, en ce sens qu’elle tranche avec tout ce que la nature peut produire naturellement, et qu’elle se signale ainsi comme étant nécessairement un produit culturel, un artefact, donc la trace d’une intelligence. Le monolithe noir de 2001 symbolise l’émergence de l’intellect et de la culture supranaturelle à l’état pur : il apparaît chez les primates quand ils inventent le premier outil, la première prothèse ; il apparaît sur la Lune en tant que symbole du passage d’une intelligence extra-terrestre, que l’équipe d’astronautes humains découvre avec stupeur ; il réapparaît à la fin, en miroir de l’intelligence artificielle Hal, l’ordinateur tueur d’humains, pour suggérer au spectateur quel est le sens de l’Histoire, qui tient en quelques mots : « La culture doit remplacer la nature. »

Remplacer veut dire tuer. La culture doit tuer la nature, l’esprit doit tuer le corps, tel est le cœur conceptuel de la pensée gnostique, progressiste, utopiste, prométhéenne, transhumaniste et maçonnique. Ce qui était impossible naturellement deviendra possible culturellement, par la techno-science, et rendra la nature obsolète. L’esprit vaincra la matière. L’âme vaincra le corps. L’utopie vaincra le réel.



Nicolas Bonnal : La franc-maçonnerie bâtissant la cité tel un tableau de loge pour acclimater la population, sortir de cette idéologie n’implique t’il pas de détruire ses landmarks urbains rythmant la vie et donc la pensée ?

Lucien Cerise : Le principe progressiste « La culture doit tuer la nature » transposé dans le domaine esthétique signifie que l’angle droit doit remplacer, ou tuer, la forme naturelle, plutôt arrondie. L’architecture contemporaine diffuse ce nouvel ordre visuel maçonnique dans le monde entier avec l’émergence de ce qu’on appelle le « style international » au XXe siècle, c’est-à-dire la généralisation des tours rectangulaires, froides et sans âme. Ces formes géométriques pures et impersonnelles s’opposent à toutes les architectures traditionnelles et ancestrales, qui imitent la nature et sont souvent anthropomorphiques, conçues à l’image du corps humain, ou en cercles concentriques, en voutes, en ogives, parfois ornées de statues, ce qui explique pourquoi on s’y reconnaît. En revanche, l’architecture moderne, de même que la peinture abstraite, ne ressemble à rien de ce qu’il y a dans la nature et n’est pas faite pour les humains.

Le bâtiment de la nouvelle Bibliothèque nationale de France radicalise l’anti-naturalisme avec sa végétation totalement encadrée, littéralement cernée et encerclée par une construction minérale entièrement à angles droits, et où les arbres du jardin intérieur ont besoin d’être soutenus par des câbles métalliques pour ne pas tomber. Le message est fort : la nature ne doit plus être auto-suffisante, indépendante, autonome, elle doit être réécrite, redessinée, recomposée, restructurée, placée sous la dépendance de la culture. L’esprit maçonnique, c’est la haine de la nature et le projet de la rééduquer, de la transformer, de la tuer en la plaçant sous tutelle de la culture. Appliqué à la nature humaine, c’est le programme transhumaniste, le Great Reset, etc. Pour faire accepter ce projet global, on utilisera des termes aux connotations positives et on parlera de civiliser la nature, comme on parle aussi d’augmenter l’humain avec de nouvelles capacités et de nouvelles prothèses. Mais il ne faut pas se leurrer : au prétexte de civiliser, d’augmenter ou de réparer le monde naturel, le but est bien de le détruire, comme le veut la kabbale avec la notion de Tikkoun Olam. Pour détruire la nature et la remplacer entièrement par de la culture, il faut commencer par stériliser la nature. Le remplacement de fruits et légumes fertiles, avec des pépins et noyaux, par des fruits et légumes stériles, sans pépins ni noyaux, est l’objectif du développement des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), introduits également dans les thérapies génétiques inoculées au prétexte de la covid-19, et qui vont stériliser l’espèce humaine. Les semences végétales et animales doivent devenir l’objet d’un marché, mais surtout d’un contrôle. Transposé aux êtres humains, la procréation doit devenir entièrement assistée – médicalement et scientifiquement – au moyen d’utérus artificiels ou d’autres artifices de laboratoires.

Si l’on pousse cette logique à son terme, le monde réel est réduit à un désert stérile, et entièrement reproduit dans un simulacre virtuel sous contrôle total, comme dans le film Matrix. La stérilisation du vivant est le fil conducteur du capitalisme mondialiste. C’est aussi, malheureusement, ce qui définit notre environnement socio-économique global, attaquant notre espèce avec le LGBT, vaste opération de normalisation et de promotion d’une sexualité stérile, et qui est passé à la vitesse encore supérieure depuis 2020 avec la dictature sanitaire. Face à ce désastre, les penseurs naturalistes et écologistes sont effectivement des sources d’inspiration.



Nicolas Bonnal : Pour y parvenir, ne faut-il pas viser ces landmarks, car même plus nombreux, il n’existe aucune chance d’en réchapper, la domination bi-séculaire l’atteste ?

Lucien Cerise : Il faut viser qualitativement pour ce qui concerne la métapolitique, mais pour ce qui concerne la politique concrète de terrain, il faut viser la quantité, c’est-à-dire la moyenne, et ne pas craindre une forme de nivellement par le bas car c’est ainsi que fonctionnent les sociétés humaines. On dit que la démocratie commence en Grèce antique mais en fait elle est consubstantielle à toute forme d’organisation humaine puisque c’est le règne de la moyenne et du consensus. Même les dictateurs se préoccupent de ce pensent les masses, au moins pour façonner ce qu’elles pensent et essayer de tuer dans l’œuf toute contestation émergente. N’importe quelle tribu préhistorique ou isolée au fond de la forêt amazonienne doit élaborer un consensus entre ses membres, avec des négociations, des compromis, des compromissions et des stratégies de persuasion, qui tirent l’intelligence collective vers une moyenne. C’est d’ailleurs ce qui embête le pouvoir mondialiste actuel, qui a décidé de remplacer le peuple par des machines pour ne plus avoir à travailler sur la construction de ce consensus en permanence. La fabrique du consentement et de l’opinion publique présente un coût, et le pouvoir en a marre. Ça tombe bien pour lui, on peut pratiquement tout automatiser de nos jours. Ensuite, pour s’en sortir quand on fait partie du petit peuple, c’est-à-dire pour échapper à la stérilisation, à la dépopulation, au génocide, il faut comprendre que le problème n’est pas réductible à la kabbale ou à la franc-maçonnerie. La déconstruction intégrale de tous leurs symboles architecturaux permettrait, certes, de purger l’environnement visuel, mais ne mettrait pas fin à la dialectique de la nature et de la culture, qui est universelle. À titre personnel, je considère même que c’est le sens problématique de l’Histoire. Comment gérer le progrès technique pour qu’il ne devienne pas une menace contre la vie ? La première réponse est anti-progressiste, ou « luddite » : refuser le progrès technique. La deuxième réponse est maçonnique : la culture tuera la nature inévitablement, donc autant y aller à fond. Guillaume Faye a proposé une solution intermédiaire avec l’archéo-futurisme, mais elle pose un problème de cohérence interne. Aucune de ces trois réponses n’est satisfaisante. En tant que cette problématique est universelle, elle est aussi présente dans la kabbale et la franc-maçonnerie, évidemment. 

Mais si l’on fait le compte du nombre de gens qui sont d’accord pour tuer la nature – pour tuer leur nature – au nom du progrès culturel, il faut admettre que cela dépasse largement les effectifs de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Ces forces occultes et occultistes disposent de nombreux relais complaisants dans le peuple. Leur domination bi-séculaire se réalise avec une vraie complicité populaire, il suffit de sortir dans la rue et de compter les masques pour s’en rendre compte. Aujourd’hui, pour ma part, je pense qu’il faut arrêter de tout mettre sur le compte des minorités actives et se demander si, finalement, la majorité silencieuse n’a pas plus de responsabilités dans ce qui se passe. Ce discours qui consiste à exonérer de la situation le bon peuple, ou les individus qui en sont issus dans les « forces de l’ordre », pour n’accuser que les oligarques, ce discours est contre-productif. 

J’affirme que l’agent de police ordinaire, venant des classes moyennes comme moi mais qui me colle malgré tout une amende pour non-port du masque dans la rue, a plus de responsabilité dans la situation que Jacques Attali, Bill Gates ou Klaus Schwab. Ces trois figures du Great Reset estiment avoir un intérêt à tout détruire, et elles font leur job avec beaucoup d’application et de conscience professionnelle, mais où est l’intérêt du flic de base, qui sera lui-même sacrifié à la fin, et remplacé par un drone de surveillance ? Quel sera l’intérêt des agents de police qui viendront nous chercher chez nous pour nous emmener au centre de vaccination obligatoire ? Ce fossé entre l’intérêt bien compris de l’individu et son comportement rend ce comportement encore plus inexcusable quand l’individu n’en bénéficie pas.

Article complet (nombreux liens, documents et livres conseillés) :

Lucien Cerise, sa dernière interview sur la dimension magique et occultiste de la tyrannie actuelle : « L’occultisme est un rapport proactif et interventionniste à la perception de la réalité pour modifier la réalité. On ne touche pas directement la réalité matérielle, on touche sa perception, et surtout sa perception narrée, inscrite dans un récit. On peut donc transformer indirectement la réalité en agissant sur l’esprit des gens qui la perçoivent. Et agir sur l’esprit signifie agir sur la narration qui raconte la réalité, principe du Storytelling…Poussé à son terme, cet effort pour influencer autrui culmine dans la « zombification », c’est-à-dire l’abolition de la conscience réflexive pour réduire autrui à devenir un esclave mental, une marionnette qui obéit au doigt et à l’œil…si les médias ne parlaient pas de la covid-19, les gens ne sauraient même pas que ça existe. »



Gouverner par le chaos
Lucien Cerise 
PDF gratuit

mercredi, juillet 07, 2021

La Russie sauvera l'Occident, l'orthodoxie sauvera le christianisme


On s'interroge, François est-il le vicaire de Satan ? 
On prophétise, la Russie sauvera l'Occident, l'orthodoxie sauvera le christianisme...

(18:40)

Le Pape est béni mais il est surtout très oui-oui, c'est à se demander pour qui il travaille.


Campagnol tvl :

L'injustice faite aux humbles, l'arrogance des puissants, la discrimination selon le statut sanitaire, l'obligation de se soumettre à une opération médicale douteuse, l'irruption permanente de l'administration dans le privé, tout cela devrait faire bondir l'Eglise catholique mais non. Elle organise des symposiums sur l'économie numérique et trouve que tout cela est très bien.


Christi Miles :

Ce à quoi je veux en venir n’est pas agréable à entendre ni plaisant à dire, je peux vous l’assurer, mais rien ne sert de se voiler la face devant les réalités qui fâchent. Je suis par conséquent obligé en conscience à le dire sans ambages, en l’écrivant noir sur blanc : dans la personne de Jorge Mario Bergoglio nous avons affaire à un possédé. Oui, vous avez bien lu : à un possédé du Démon. Nous sommes bel et bien confrontés à un suppôt de Satan, à un véritable agent de l’Enfer et à un précurseur de l’Antichrist, voire, très vraisemblablement, au Faux Prophète annoncé par Saint-Jean dans sa vision eschatologique (Ap. 13, 11)…

La nature maléfique de ses actes en est la preuve éclatante. Et la manière insolite, foudroyante et unanime par laquelle ce personnage ordinaire, dépourvu de charisme, parfaitement banal jusqu’au jour de son élection, a réussi à captiver subitement les fidèles et littéralement hypnotiser le monde entier, est un clair indice qui, a posteriori, vient confirmer cette lecture des évènements.

François est devenu une idole planétaire, le héros humaniste d’un monde moderne totalement émancipé de la loi naturelle et des commandements divins, la coqueluche d’une société sans Dieu et sans autre loi que celle issue de la « souveraineté populaire », le leader incontestable et incontesté de la modernité antichrétienne démocratique, pluraliste et sécularisée.

Il a été élu Homme de l’Année et a fait « la une » des publications les plus emblématiques de la presse occidentale « progressiste » : Time, Vanity Fair, Rolling Stone, The Advocate, The New Yorker, pour n’en citer que quelques-uns parmi les principaux porte-paroles du mondialisme laïciste-féministe-homosexualiste qui ont érigé l’humble résident de la Maison Sainte-Marthe en leur icône de prédilection, le catapultant vers un statut quasi messianique de chef religieux planétaire.

Ce qui ne devrait pas nous surprendre outre mesure, compte tenu du fait que François incarne à la perfection l’idéologie gnostique, naturaliste et œcuménique de la franc-maçonnerie, dont les idéaux laïques et humanistes constituent la quintessence de la pensée bergoglienne.

Christi Miles, François, Pape du Monde et de la Synagogue
PDF gratuit



mardi, juillet 06, 2021

Les cas Johan Livernette & Jacques Cviklinski

(2:31)

Catholique Cardiaque VS Franc-Maçon Diabétique



"Un État dans l'État (PDF gratuit ci-dessous) ?! C'est sous ce titre que la journaliste française Sophie Coignard publia son livre enquête sur les réseaux maçonniques hexagonaux. "Il faut bien comprendre que la Franc-maçonnerie est bien plus qu'un réseau social, c'est vraiment un Etat dans l'Etat", affirmait-elle sur le plateau du JT de France 2. Elle a également mis les pieds dans le plat en déclarant :

"Quand un magistrat est franc-maçon, que le prévenu est franc-maçon et que son avocat est franc-maçon,  éventuellement l'expert judiciaire aussi, ça peut poser un problème ! Et j'ai évidemment des exemples ! " (Emission "Revu & Corrigé", France 5 - 24/03/2009) 

Rendre la justice fait l'objet d'une prestation de serment, lorsque vous devenez magistrat vous prêtez serment... Si vous êtes franc-maçon lequel des deux serments l'emporte sur l'autre au moment de juger ? Il est évident qu'au niveau de la justice, ces collusions maçonniques posent un sérieux problème."

Alexandre Lebreton, Franc-maçonnerie et schizophrénie - Comprendre les arcanes du pouvoir.



Johan Livernette a écrit La franc-maçonnerie, 300 ans d'imposture. "Arrachez à la franc-maçonnerie le masque dont elle se couvre et faites-la voir telle qu’elle est", avait écrit le pape Léon XIII en 1884 dans son encyclique Humanum genus. À l’occasion du tricentenaire de la franc-maçonnerie, Johan Livernette a suivi cette recommandation à la lettre.

Démasquer la secte maçonnique sous tous ses aspects fut le cheval de bataille de cet auteur catholique engagé. L’action des sociétés secrètes étant décisive dans l’avancée du mondialisme, son étude s’inscrit dans la continuité de son précédent ouvrage Le complot contre Dieu. Rigoureuse et structurée, elle se base sur une abondante documentation et des faits historiques irréfutables.

La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture est certainement l’un des livres les plus complets ayant été écrits sur le sujet."


Un Etat dans l'Etat
Sophie Coignard
PDF gratuit




lundi, juillet 05, 2021

Le logo de l'Opération Warp Speed est composé de symboles occultes


"Operation Warp Speed", c’est le nom d’un vaste programme mis en place par l’administration Trump pour acheminer et administrer le vaccin contre le Covid-19.

 Le logo de l'Opération Warp Speed 




L'image du virus est sur le symbole de l'antahkarana ce qui indique que le Covid sert de couverture à un programme occulte (dirigé contre l'esprit)


Derrière l'image du virus, il y a un hexagone contenant une figure à 3 branches rappelant le triskèle celtique. Ce symbole se nomme "antahkarana" en sanskrit, qui signifie "pont", pont entre le moi conscient et le moi supérieur. Dans le système hindou, l'antahkarana symbolise les trois aspects du mental "et, par extension, le cerveau", précise un article du site beholdthemark.

Selon cet article, "un enseignement théosophique dit que la glande pituitaire (ou hypophyse) est connectée à l'antahkarana. Cette glande fait partie du cerveau mais se trouve à l'extérieur de la barrière hémato-encéphalique".

Le logo indique que le cerveau est au cœur de l'objectif de cette opération militaire.

L'auteur de l'article analyse les autres éléments qui sont représentés autour de l'antahkarana :

"La seule conclusion à laquelle je peux en arriver pour expliquer les signes représentés (sur le côté droit du symbole de l'antahkarana), c'est qu'il s'agit de trois lettres hébraïques "Vav" en haut à droite et une lettre hébraïque "Yodh" en bas à droite. La valeur numérique de Vav est 6 donc nous obtenons trois six à cet endroit du logo, c'est-à-dire le nombre de la Bête.

Yodh est égal à 10, ce qui n'est pas nécessairement négatif. La (dixième lettre de l'alphabet hébreu) représente cependant une main ; située sur le côté droit du symbole, cela peut donc être considéré comme la main droite. La main où (se trouvera) la Marque (de la Bête). 

Si nous additionnons ces chiffres, nous sommes à 28.

L'Antahkarana est contenu dans un hexagone, donc 6.

Il y a 13 étoiles au total. Celles-ci représentent probablement les 13 entreprises qui ont obtenu des contrats gouvernementaux pour produire des vaccins Covid. L'interprétation la plus appropriée, c'est une référence 13ème chapitre de l'Apocalypse sur la Marque de la Bête. 13 représente également la mort de quelque chose (des gens ? une époque ?) et un changement transformateur.

Seules 5 des 13 sociétés ont été sélectionnées pour produire des vaccins approuvés... Ces 5 étoiles figurent dans le cercle intérieur. Elle indique le nombre 25 (5 étoiles x 5 pointes par étoile)...

Additionnons 6 (l'hexagone, polygone à 6 côtés), 25 (les pointes des étoiles) et 28 (valeur numérique des lettres hébraïques), nous sommes à 59.

(...) nous voyons 6 lignes sur la gauche qui encadrent les étoiles et  sont connectées à l'hexagone. Elles peuvent indiquer des "pointes" faisant allusion à la protéine de pointe (spike) qui est la protéine que tous les "vaccins" sont censés produire dans les cellules humaines. Ces 6 lignes peuvent aussi représenter le chiffre romain "I" ou 1. Il y en a donc un autre 6.

59+6 = 65. Nous avons juste besoin d'un 1 de plus pour donner un peu plus de compréhension à tout cela. Nous le trouvons dans la figure centrale qui représente le virus dans un cercle, ou une monade, qui signifie l'unité c'est-à-dire 1. Donc 66. Le Livre des Révélations est le 66e livre de la Bible. 

Il y a certainement un message occulte derrière ces nombres, mais qui s'en soucie ?

L'image du virus est sur le symbole de l'antahkarana ce qui indique que le Covid sert de couverture à un programme occulte (dirigé contre l'esprit).

Pourquoi les spikes et l'antahkarana ?

Il a été démontré que la protéine de pointe (spike) traverse et endommage la barrière hémato-encéphalique. Il n'est pas facile de faire franchir cette barrière aux éléments (étrangers au cerveau), il est donc très préoccupant que les vaccins soient conçus pour fabriquer cette protéine de pointe. Dans le logo (ci-dessus), les pointes s'enfoncent dans l'antahkarana qui (ne l'oublions pas) symbolise l'esprit/cerveau.

Des personnes malveillantes ont peut-être découvert que la protéine de pointe permet de franchir la barrière hémato-encéphalique afin de se frayer un chemin vers le cerveau. 

Les charges utiles de nanoparticules lipidiques, y compris les siARN (petits ARN interférents), les transcrits CRISPR ou les points quantiques, auront plus de facilité à atteindre leurs cibles dans le cerveau en raison d'une barrière hémato-encéphalique endommagée.

L'objectif de l'actuelle campagne d'inoculations pourrait également être la création d'une maladie auto-immune de la barrière hémato-encéphalique, amenant le corps à attaquer perpétuellement ses propres cellules endothéliales, endommageant définitivement la barrière hémato-encéphalique. Cela pourrait justifier pendant des années des campagnes répétées de "vaccination" sous le prétexte de pandémie de Covid pour plus de thérapies géniques et de points quantiques (nanoparticules semi-conductrices) affectant le cerveau.

Nous avons un logo (indiscutablement de nature occulte) qui est utilisé pour une campagne nationale de vaccination, et des preuves que la protéine (spike) (...) affecte la barrière hémato-encéphalique...

D'après un article de beholdthemark.


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ו Vav ou Waw

La lettre hébraïque Vav ou Waw, qui a pour valeur le nombre 6, se retrouve dans les 3 W qui désignent Internet (World Wide Web), vecteur de la communication globale sur la fréquence www ou 666. Cette fréquence englobe toutes les énergies connectées sur le réseau. Le transhumanisme, Klaus Schwab et les ultra-riches de Davos envisagent de créer une humanité nouvelle avec un cerveau directement connecté au monde digital.


dimanche, juillet 04, 2021

Swendenborg, le Christophe Colomb du monde de l'esprit

(3:03)

Tels les deux battements du cœur, diastole et systole : les correspondances qui unissent le macrocosme au microcosme constituent un lien permanent, organique entre ces deux univers…. Emanuel Swedenborg nous propose ainsi une véritable organicité de ces deux mondes dont les lois n’ont pourtant rien d’analogue... (Extrait d'un exposé intitulé "Emanuel Swedenborg, scribe des anges" par Rémi Soulié et Samuel Macaigne.)

La théorie de Swedenborg (1688-1772) "repose sur le principe des correspondances entre le monde spirituel et le monde matériel —une théorie qui intéressera Baudelaire, dont un poème s'intitule précisément "Correspondances". Pour Swedenborg, monde spirituel et monde naturel s'interpénètrent au point que toute frontière est fluide et incertaine. Le ciel et l'enfer ne sont pas des récompenses ou des punitions mais des états librement choisis : le ciel est un lieu de travail, d'altruisme, d'empathie, tandis que l'enfer est le règne de l'individualisme, de la haine, de la méfiance, de la poursuite du pouvoir. La personne haineuse et avide de pouvoir quitterait le ciel avec effroi pour retourner dans l'enfer, qui lui convient mieux. La conversation entre les anges et les esprits détermine les plus petits faits de notre vie. Swedenborg fait une grande place à l'amour, tant spirituel que physique..." (source)

"Comme son nom l'indique, écrit Régis Boyer, Emanuel Swedenborg est Suédois, et comme chacun sait, il a rédigé en latin une œuvre considérable qui fait de lui l'un des grands mystiques de l'Europe moderne. Voila pour l'essentiel et n'importe s'il ne s'appelle pas vraiment Swedenborg, n'importe s'il a composé au moins autant de travaux scientifiques que de mystiques. Ajoutez Seraphitus-Seraphita que Balzac, vaut-il la peine de le rappeler, a emprunté au grand Suédois (mais où ? comment ? pourquoi ? allez donc savoir !) et le tour de la question est fait.

(...) ce que nous pouvons déduire de la fréquentation des écrits de Swedenborg, c'est que ce fut un esprit supérieur passionné de sciences mathématiques, doublé d'un bon vivant de commerce agréable...

(...) il appliqua à la religion chrétienne une réflexion scientifique qu'avaient formée des décennies d'observations expérimentales et d'intenses méditations.

Le 22 mars 1769, l'Eglise officielle de Suède le déclare hérétique : il a, en effet, annoncé la fin de l'Eglise actuelle et l'avènement d'une Eglise nouvelle fondée sur ses révélations, à lui, Swedenborg. Cela n'altère ni ses certitudes ni sa tranquillité d'âme. Il voyage. II est en 1771 à Amsterdam pour surveiller l'impression de son dernier grand ouvrage : "La vraie Religion chrétienne", contenant la théologie universelle de l'Eglise nouvelle prédite par le Seigneur dans le livre de Daniel (Vera christiana religio). Puis il se rend en Angleterre où il rencontre le chef des méthodistes, John Wesley, auquel il prédit le jour de sa propre mort : le 29 mars 1772. C'est bien en effet ce jour-la, à Londres, deux mois après avoir vu Wesley, qu'il rend l'esprit.

Seront publies à titre posthume l'"Adversaria in Libros Veteris Testamenti" et ce "Diarium spirituale" (publie en anglais de 1883 a 1902) où se trouvent rassembles tous les matériaux visionnaires qui faisaient le fond de sa prédication, tandis que se constituait assez rapidement après sa mort une église swedenborgienne toujours bien vivante aujourd'hui et dont les assises sont formées, pour l'essentiel, des enseignements de celui qui a été surnommé le Christophe Colomb du monde de l'esprit."



L'œuvre complète de Swedenborg au format numérique
(téléchargement gratuit)


Voici la liste chronologique de tous les ouvrages théologiques publiés par Swedenborg de son vivant, ici au format PDF. Cliquez sur le titre ou le volume de votre choix pour le lire ou le télécharger (ouvrir le PDF correspondant en cliquant sur le titre de votre choix / dans l'onglet "fichier" de votre navigateur cliquez sur "exporter au format PDF" afin de le télécharger sur votre ordinateur).



samedi, juillet 03, 2021

Haarp, arme de la dictature mondiale ?


Quand un pasteur canadien a été menotté pour avoir incité des gens à aller à l'église, Jean Robin a déclaré : "La dictature communiste se développe aussi au Canada. Trudeau est une pourriture communiste." Jean Robin est journaliste, essayiste, éditeur (Éditions Tatamis).

Prétextant la grippe Covid, les Canadiens ont été soumis à des lois de plus en plus liberticides. Or les mensonges du diabolique docteur Fauci, un des principaux acteurs étasuniens de la dictature sanitaire, sont désormais connus au Canada. Utilise-t-on maintenant l'arme climatique pour continuer à terroriser et soumettre les Canadiens ?

(1:00)

Le village de Lytton, en Colombie-Britannique, a été évacué en raison d'un feu de forêt particulièrement intense alors que la région a enregistré ces derniers jours des records de chaleur (près de 50°).

Un youtubeur a mis en ligne une petite vidéo avec ce commentaire :

"Pour les plus sceptiques sur l'existence du projet HAARP ... Petit rappel : ITélé (CNEWS actuel, média mainstream) en parle dans son journal du 02 octobre 2008. Complot ou pas Complot !?"

Voir la vidéo :




Le programme militaire High Frequency Active Auroral
Research Program (HAARP)

La capacité à générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale ... de même que la création de conditions météorologiques artificielles sont une partie d'un
ensemble intégré de technologies militaires. 

La technologie grâce à laquelle tout cela est possible est le programme HAARP. D'un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive et, pire encore, pour Richard Williams, physicien et consultant au laboratoire David Sarnoff à Princeton : "HAARP constitue un acte irresponsable de vandalisme mondial".

Tandis que notre planète est déjà traversée par une infinité de radiations artificielles, le projet HAARP - High frequency active auroral research program - est un programme américain de recherche sur l'ionosphère, afin de la modifier localement par des ondes à haute fréquence (HF), et d'étudier les modifications sur les communications longue distance. Il est officiellement présenté comme une pure recherche scientifique, mais en réalité, il est sous contrôle exclusif de militaires. Installé en 1995, près de Gakona, une petite localité au nord-est d'Anchorage, en Alaska, ce complexe s'étend sur plusieurs hectares, loin des zones habitées à forte densité. Ce vaste périmètre plat et déboisé est planté de 180 antennes de 20 mètres de haut, alignées sur 15 rangs de 12 antennes, reliées chacune à un émetteur d'une puissance de 3,6 millions de watts en 2006, passé apparemment à 20 mégawatts3 en 2008. Les émetteurs sont alimentés en énergie par six turbines brûlant quelque 95 tonnes de diesel par jour. L'installation rejette 7 tonnes de déchets par jour.

Ce projet, de près de trente millions de dollars par an, a été financé par la Navy, l'US Air Force et le département de la Défense, en partenariat avec l'Université d'Alaska et certains n'hésitent pas à affirmer que l'armée américaine serait en train de rééditer, dans le plus grand secret et sous une forme plus économique, mais bien plus dangereuse, son projet de "Guerre des étoiles". Comparé à cette puissance monstrueuse, la bombe atomique correspond, semble-t-il, à un boulet de canon.

HAARP a été conçu grâce aux recherches sur les phénomènes électromagnétiques de Nikola Tesla, scientifique yougoslave du début du XXe siècle. On lui doit, entre autres, l'utilisation généralisée du courant alternatif. Cet inventeur de génie, qui fut également un innovateur dans de nombreux domaines comme ceux du moteur asynchrone et de la transmission d'énergie sans fil, a consacré une grande partie de son temps à étudier "l'énergie ionosphérique".

Ses découvertes furent financées, exploitées, puis censurées pour des raisons inconnues par le banquier J . P. Morgan et la société Westinghouse. Il mourut dans la misère et la plupart de ses travaux demeurent occultés. Mais, après son décès, le FBI confisqua la totalité de ses effets personnels et toutes ses notes de travail.

Moins d'un siècle plus tard, Bernard Eastlund, physicien de l'Institut de technologie du Massachusetts, se contenta de reprendre les premiers travaux de Tesla dans le domaine de l'énergie électromagnétique et déposa ainsi, entre 1987 et 1994, douze brevets qui constituent les bases du projet HAARP. Mais ce projet lui échappa plus tard, et Eastlund en fut exclu pour des raisons restées obscures ; les brevets passèrent sous le contrôle d'un consortium pétrolier : APTI (Advanced Power Technologies Inc.) créé par ARCO (Atlantic Richfield Company, appartenant à Rockefeller, qui avait financé Easdund et HAARP). En 1994, ARCO vend sa filiale APTI à e-Systems, y compris les brevets d'Easdund et le contrat HAARP. e-Systems est spécialisé dans la production d'équipement électronique de guerre, de machines de navigation et de reconnaissance, y compris des systèmes d'espionnage hautement sophistiqués. Ses plus gros clients sont la CIA et autres agences d'espionnage comme la NSA (National Security Agency) et le National Reconnaissance Office ; 1,8 milliards de dollars de leurs ventes annuelles se font avec ces organisations, dont 800 millions pour des projets si secrets que même le Congrès des États-Unis ne sait pas comment l'argent est dépensé. La CIA et e-Systems sont si proches qu'on les dit indissociables et interchangeables !

Un an après, e-Systems est racheté pour 2,3 milliards de dollars par Raytheon Corporation, qui possède aussi Hughes Aircraft, ce qui fait qu'il devient propriétaire du brevet #5,003, 1 86 (Welsbach). Lui appartient aussi la société General Dynamics robotique, qui fabrique des drones autonomes tels que le RQ-4 Global Hawk qui peut voler pendant soixante-douze heures, avec une charge utile de 10 tonnes
ou plus, fonctionnant entièrement sur la programmation et le signal micro-ondes d'une intelligence artificielle, sans ravitaillement. Cela dépasse de loin l'ensemencement local des nuages ou la prévention de tempêtes. e-Systems héberge aussi le troisième ordinateur le plus rapide au monde, qui traite les données de la NSA qui doivent être colossales puisque, d'après les révélations de Snowden, ils surveillent tout le monde !

Cela permet à Raytheon de contrôler tous les aspects de la manipulation climatique, de l'ensemencement des nuages (cloud seeding) pour produire ou repousser la pluie, aux applications les plus sophistiquées.

L'objectif officiel de HAARP est de générer un bouclier protecteur global capable de déceler et de contrer les avions ou les missiles ennemis qui s'engageraient dans l'espace aérien américain et d'empêcher toute communication radio et satellite dans une zone déterminée. L OACI (Organisation de l'aviation civile) a tout de même été alarmée par les risques que cela pouvait faire courir à l'aviation civile en perturbant les instruments de bord jusqu'à plusieurs centaines (voire milliers) de kilomètres lors de son fonctionnement à pleine puissance !

Selon des études de spécialistes en armement, il permet également de communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés dans des coins les plus reculés des océans, et peut pareillement scanner le sous-sol de la Terre entière et les mers à des profondeurs extrêmes. Ainsi, aucun pays n'a plus les moyens de cacher l'implantation de bases secrètes souterraines abritant des armes nucléaires, aucun sous-marin d'être invisible pour les Américains. 

HAARP est également capable de transmettre de fortes quantités d'énergie d'un point à l'autre du globe, sans l'apport d'un câble électrique. L'installation est aussi connectée à l'un des ordinateurs les plus puissants de la planète, celui de l'Université d'Alaska... Mais, ce n'est pas tout !

Sa capacité d'influencer l'ionosphère serait beaucoup plus importante que ce qui est officiellement admis. HAARP peut aussi être utilisé pour la manipulation du climat, en créant des perturbations atmosphériques sur d'autres continents avec toutes les conséquences que cela implique sur les écosystèmes et, d'après Marc Filterman dans "Les Armes de l 'ombre", produire "le maintien en l'air de façon stable de nuages artificiels qui peuvent servir de réflecteurs pour prolonger une couverture radar ou de communication. Cela peut expliquer le largage à haute altitude de produits par des avions militaires."

Le système agirait donc en parfaite corrélation avec les chemtrails. Le revers de la médaille est que ce réseau peut aussi interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles transcontinentaux, voire même "les griller comme le ferait un vulgaire four à micro-ondes avec votre potage", ajoute Michael Golan et, ce qui est pire que tout, influencer les comportements humains "puisque ce système admet une modulation de O à 50 kHz, on est donc capable d'interférer sur le spectre cérébral."

En 1975, le sénateur démocrate américain Gaylord Nelson (décédé en 2005) a obligé la Marine nationale à publier le résultat des recherches qui prouvent bien que ces basses fréquences risquent de modifier la chimie du sang chez l'être humain et de changer ses états émotionnels, comme on le fait avec la psychotronique.

En fait, l'objectif réel de HAARP semble être de "pouvoir atteindre et bombarder à volonté n'importe quel point de la Terre et de l'espace proche avec un faisceau d'énergie directif ultra-puissant, sans utiliser de satellite" ! Mais le professeur Zielinski, physicien allemand spécialiste en électronique quantique, nous indique que toute l'efficacité du dispositif HAARP réside dans l'utilisation de cette électronique d'avant-garde.

HAARP serait en réalité, de par la nature spéciale de son signal d'émission, l'arme ultime des États-Unis !

(Préface de Pierre Hillard)
PDF gratuit


vendredi, juillet 02, 2021

Satanisme ?



Le modèle tel qu’il est imposé est métaphysiquement subversif. Il a substitué l’Utopie au Mythe, ou autrement dit l’Illusion du Devenir au modèle de l’Être. Il exprime une vision linéaire et déclinante du temps, contraire à la circularité et il propose des versions diverses et variées de la “Terre Promise”. Il a fait de sa métaphysique une pensée avide, insatiable, ennemie de toute forme et de toute identité. A la différence de la hiérarchie et de son imaginaire pyramidal, cette métaphysique ne peut pas construire des pyramides, pas même renversées, sinon sous forme de farce ou de caricature. Son sommet se révèle être un gouffre. On peut le reconnaître dans toutes les conceptions religieuses antiques qui furent en mesure de lire le futur. En nous plaçant dans la vision religieuse de notre époque, on peut dire que le modèle dont on parle et que l’on observe aujourd’hui est, selon sa propre définition, un Satanisme.

Si l’on veut bien regarder plus en arrière, en nous référant à des conceptions plus antiques qui ne se fondent pas sur le dualisme Bien/Mal, on se rend compte que nous nous trouvons, d’une façon ou d’une autre, en présence du même phénomène. En fait, pour nos anciens, le Mal était l’absence du Bien (soit l’incapacité de hiérarchiser ou de discipliner). Le Mundus existait pour protéger l’Urbs de l’Immonde, où tout ce qu’il y avait de sacré mais aussi tout qui n’était pas ordonné et réparti correctement (par le Rex et le Pontifex) possédait une forte valeur désagrégative et destructrice.

Aujourd’hui, ce même désordre, nous l’appelons satanisme. En effet, si l’on considère avec attention ce qui est dit sur Satan (« Il existe mais Il n’est pas ») il s'avère que ce sont les formes du désordre, de la malveillance déchaînée qui, lorsque il n'y a pas d’axe hiérarchique, constituent Satan, lequel se nourrit constamment de toute nouvelle scorie et dégénération. Il s’agit d’un abîme, et non pas d’un sommet, d’un vide et non pas d’une pyramide.

C’est pourquoi toutes les personnalisations de l’Antéchrist et les identifications à la Marque de la Bête sont aussi trompeuses que présomptueuses pour celui qui les craint, à cause d’une erreur de perspective ou par manque de modestie : dans l’Apocalypse, il est dit clairement que l’Antéchrist aurait trompé quiconque sauf les élus qui l'auraient été eux-mêmes s’ils n’avaient pas été, précisément, des élus. Celui qui entend identifier l’Antéchrist se considère donc automatiquement comme élu tandis que qui, au contraire, est attiré par lui et n’hésite pas à endosser un tel rôle, se trompe lui aussi dans son identification mimétique à quelque chose qui le dépasse.

C’est justement une telle confusion qui accompagne toute attitude satanique, caractérisée avant tout par le désordre, l’absence de conscience et de contrôle de soi, avec la haine du beau, du sourire et du bonheur. Tolkien a donné de tout cela (de Sauron à Saruman) une image assez précise et exacte.

Ont peut donc assister à tout ce qui arrive comme si c’était la trame de Rosemary’s Baby, bien que sa mise en scène, imprégnée de suggestions obscures et contradictoires, tourne carrément à la folie. Quand bien même quelques-uns se prendraient pour l’incarnation de l’Antéchrist ou pour un de ses annonciateurs (et, à un certain niveau de perturbation psychique et de possession subtile, cela se peut) leur éventuelle tentative de réaliser à la lettre ce qu’ils ne sont pas en mesure de comprendre ne peut être qu’une illusion. Ce que nous définissons comme satanisme se situe dans les actions, dans les gestes, dans les rites, dans les symboles, dans les pensées, dans les hypnoses, non pas dans les plans des forcenés s’imaginent pouvoir mettre en œuvre.

Toujours dans l'ouvrage déjà cité de 2002, j'écrivais que le verbe, qui se décline au passif dans l’ère de la non-conscience, ne peut finalement pas avoir de sujets, mais seulement des compléments d’agent. Le système unique qui impose sa dictature subversive (et, dès lors, satanique) peut avoir lui aussi un Comité Central mais pas un Centre. Son vampirisme dégénéré s’exprime dans chaque forme de dévastation et de cruauté : depuis la pédophilie jusqu’aux sacrifices humains, en passant par toutes les manifestations de destruction du moi (au travers des identités sexuelle, ethnique, culturelle, idéologique jusqu’à la narco dépendance et à l'addiction à l’écran). Et il le fait subtilement, par le biais d'automatismes, de conditionnements psychiques, plutôt que par celui d’actions et de programmes.

On ne répond pas à un tel défi avec un appel à la résistance, parce qu'il ne s'agit pas de quelque chose de solide mais de gazeux. Cela ne se combat qu’avec l’auto-conscience, la verticalité, le sourire, le bonheur, la créativité et le Symbole.

Ce n’est pas un hasard si, avec toutes les justifications politiques possibles, les symboles traditionnels sont à l’index aujourd’hui : parce que chacun possède une valeur propre. Comme en ont une les rites, dont certains sont inconsciemment anthropologiques, et qui sont eux-mêmes constamment mis à l’index. Le Reset signera-t-il un renforcement du satanisme ? Peut-être, en tout cas celui-ci est
intrinsèque à une époque comme la nôtre où Utopie et Subversion se sont substituées aux Archétypes délaissés. Tout au plus, le Reset ne rendra-t-il que plus visible ce qui est depuis longtemps.

Gabriele Adinolfi, extrait de 
(PDF gratuit)

Ce ne sera jamais comme avant. Quand, et si, la pandémie, l’infection et la psychose de la Covid 19 finissent un jour, de quelque façon qu’elles se terminent, le monde ne sera plus le même. Là-dessus, nous sommes tous d’accord. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois au cours de ce millénaire. Au lendemain de la destruction des tours jumelles, Bush Jr. affirmait déjà : "Rien ne sera comme avant". Et, en effet, beaucoup de choses ont changé dans notre mode de vie, à commencer par notre accoutumance à nous laisser dépouiller de nos droits intimes et à subir des intrusions, même de la part de civils. Aujourd’hui, une humanité anxieuse, en particulier en Europe, aspire à retrouver la normalité, nouvelle ou ancienne peu importe. Elle pensait avoir exorcisé la mort, en la cachant sous le tapis, en organisant des funérailles bâclées en guise de rite de refoulement. Or, voilà que maintenant, matraquée de manière obsessionnelle par la terreur pandémique des médias, elle redécouvre avec effroi une loi naturelle qu’elle s’obstinait à ne pas voir : celle de la mort. Pire encore : qu'elle est inévitable. L’humanité occidentale, bouleversée par cette découverte, se montre désormais incapable de faire face à la mort, et donc à la vie. Certains pays catholiques comme l’Espagne ou l’Irlande, peut-être parce qu’ils sont plus habitués à l’assistance caritative que d’autres, sont particulièrement traumatisés par l’évidence de cette issue. Surtout si l’on meurt isolé, et que l’on n’a oublié les paroles de la chanson de Fabrizio De André: « Quand on meurt, on meurt seul ». C’est pourquoi veut-on être accompagné, pour ne pas avoir trop peur ? Allez savoir ! Cela ne promet rien de bon pour l'avenir, parce que l’inconsistance anthropologique n’offre aucune perspective. En choisissant la passivité et des solutions qui n’engagent pas sa propre responsabilité, c’est un désastre sans égal qui s’annonce. Cela dit, chacun se demande : quel futur peut-on imaginer ? Que peut-on espérer ? Toute la classe dirigeante mondiale se pose la question et suggère des réponses dans lesquelles on pense avoir trouvé le Reset (la relance) de l’économie. Soit la New Economy, soit la Green Economy. Et elle se tourne vers Davos, où chacun s’illusionne de voir enfin tranchés les nœuds et résolues les controverses. D’autres aussi regardent vers Davos. pour savoir où nous conduit le Grand Frère. Les uns comme les autres sont, comme diraient les Français, à côté de la plaque. Bien sûr, ils se trompent. ...


La révolution des "complotistes"...



"La tolérance atteindra bientôt un tel niveau, que les personnes intelligentes seront interdites de toute réflexion... pour ne pas offenser les imbéciles." (Dostoïevski)





Nous le constatons tous les jours depuis 1 an et demi. Le Covid a divisé la société française et ce qui est plus grave, a divisé même les familles. Nous assistons à un phénomène de radicalisation dans les deux camps : le camp de ceux qui réfléchissent par eux-mêmes et le camp qui se nourrit de la bouillie propagandiste que lui fournissent les médias. Et plus les mois passent et plus ces deux blocs se raidissent car chacun des deux pense détenir la vérité.

Mais pour le savoir il faut se poser une question : lequel des deux camps est le plus proche de la vérité ? Celui qui cherche, qui fouille, qui vérifie, qui contrôle, qui dissèque, qui compare, qui analyse et qui synthétise ? Ou bien celui qui le cul posé sur son canapé et le cerveau ramolli, se contente d'avaler tout ce que lui raconte la télé ? Moi j'ai ma petite idée...

Et parce qu'en France la situation est grave, on constate que malgré la pression médiatique, gouvernementale et médicale, le nombre de non vaccinés est infiniment supérieur à la petite minorité qui va à l'abattoir de son plein gré.

Et même si le gouverne-ment et les médias tentent désespérément de nous faire croire le contraire, la vaccination suicidaire ne touche que 23,5% des Français, moyenne que l'on retrouve chez tous nos voisins européens tout aussi méfiants que nous. Avec près de 60%, le Royaume Uni comme à son habitude, se démarque par son originalité en vaccinant massivement, ce qui a pour conséquence, un nombre de décès impressionnant faisant de la perfide Albion, le pays où l'on meurt le plus de la vaccination.

Mais bon, au risque d'être cynique, je ne vais pas m'en plaindre tant cette monarchie poussiéreuse et putride où Julian Assange croupit depuis des lustres et où le diable Rothschild a établi son siège social, apparaît comme l'épicentre de tout ce que l'humanité peut concentrer de pervers, de tortueux et de malsain. Le Royaume Uni ressemble à un empire en décomposition qui ne veut pas mourir et qui dans sa souffrance veut entrainer dans sa tombe, le reste du monde avec lui.

L'opération Covid, je l'affirme depuis des mois, n'a rien d'un problème de santé : c'est une conspiration criminelle ourdie par les cartels bancaires et les pouvoirs financiers, ayant pour but de sauver les meubles du capitalisme en faillite. Les Rothschild et les autres familles qui dirigent ce monde dans l'ombre, ne s'embarrassent pas de bons sentiments puisqu'à leurs yeux et aux yeux de leurs serviteurs, gouvernements et pouvoirs à leurs bottes, ministres et autres domestiques, nous les êtres humains, ne sommes considérés que comme du bétail, des animaux à forme humaine nés pour les servir. Et je suis prêt à parier ma chemise que cette conspiration monstrueuse a été conçue dans les salons dorés de la City de Londres, siège social des plus grands crimes contre l'humanité depuis Cromwell.

Mais revenons en France où l'agent Attali - qui a selon ses propres dires "inventé Macron" - nous promet une révolution avant 2022. Il ne faut pas prendre notre Raspoutine à la légère car il ne parle pas sans savoir. Il sait ce qui se prépare. Et pour une bonne raison, les révolutions n'ont jamais été des actes spontanés mais le fruit de complots, le résultat de longues machinations. Pour s'en convaincre la révolution de 1789 qui a vu la légalisation de l'usure votée le 2 octobre de la même année au profit des banquiers, et la citoyenneté accordée aux Juifs peu de temps après.

Les Français sont heureux d'apprendre que cette fameuse Révolution dont on nous rabat les oreilles dans nos livres d'Histoire truqués, a vu nos ancêtres abattre la monarchie française pour faire de nous les esclaves des banquiers et de la minorité qui l'accompagne. Une révolution colorée, spécialité de ceux qui sont devenus des experts en manipulation des peuples et autres coups d'Etat et attentats sous faux drapeau.

Dans le monde qui vient, nous brûlerons tous leurs livres d'Histoire, toutes leurs légendes de "Siècle des Lumières", tous leurs mensonges, toutes leurs tromperies et toutes leurs trahisons. Nous ferons le plus beau feu purificateur de la Saint Jean auquel notre pays n'a jamais assisté depuis 232 ans.

Attali sait qu'il va se produire une révolution en France car tout est fait pour ça. Le serviteur Macron est chargé des basses œuvres. Pousser le peuple à bout en lui imposant semaine après semaine, mois après mois, les mesures les plus abjectes, les plus injustes, les plus absurdes, les plus révoltantes. Attali s'étonne d'ailleurs de la résilience des Français, de cette capacité à se faire sodomiser sans qu'ils ne réagissent et ça, même quand on s'en prend à leurs propres enfants en leur imposant la vaccination. Donc, on va continuer à sodomiser le peuple, mais avec plus de brutalité encore et plus de violence, pour l'obliger à réagir enfin.

Et même si la grande majorité est - comme le disait De Gaulle,- composée de "veaux" et de beaufs avinés adhérant tels des simples d'esprit aux thèses d'Eric Zemmour, un autre agent sioniste occupé à entretenir le feu contre les Musulmans, il est en effet bien possible que cette révolution ait lieu enfin.

Notre Raspoutine a cependant pris soin de préciser que pour que tout change sans que rien ne change - en clair que ceux qui nous dominent, continuent à nous dominer - il faut "canaliser" cette révolution, la piloter de manière à ce qu'elle ne dérape pas dans un sens opposé aux intérêts de "l'élite". Oui, je sais, Attali comme tous les mégalomanes, ne doute de rien. Mais il ignore sans doute contre qui la colère des Français risque de se retourner... car depuis, Internet est passé par là et les ignorants d'hier sont devenus les sachants d'aujourd'hui. Ceux que l'on surnomme "les complotistes".

Et puisque le Savoir est une arme, beaucoup ont compris qui sont ceux qui les oppriment, ceux qui les soumettent, ceux qui les répriment, ceux qui les jugent, ceux qui les rackettent, ceux qui les exploitent, ceux qui leur mentent, ceux qui les trahissent et ceux qui ont fait de la France leur propriété privée et de nous, des Palestiniens dans notre propre pays.

Et c'est pour cette raison qu'il sera difficile aux experts de la manipulation de "canaliser" cette révolution qui vient car il est bien possible que cet événement annoncé, soit la première vraie révolution du peuple français. Celle qui restera dans la mémoire collective comme "la révolution des complotistes".

Et certains devraient par simple mesure de prudence, commencer à s'y préparer car les victimes expiatoires ne seront pas comme l'espère Eric Zemmour, les banlieues et les Musulmans, mais d'autres, vivant dans les quartiers huppés et dorés du Triangle d'or parisien...

Après des siècles de tromperies et de trahisons, l'Histoire a parfois des rebondissements surprenants...

Eric Montana

Source :

https://mediazone.zonefr.com/news/la-révolution-des-complotistes-392  (Vidéo de 1:32 mn avec le sulfureux Attali)


jeudi, juillet 01, 2021

Une scientifique de l’OMS risque la peine de mort

 

L’Inde pourrait être le premier pays à poursuivre en justice un scientifique de l’OMS pour avoir déconseillé l’ivermectine contre le Covid-19. L’association du barreau de l’Inde a entamé une procédure.

Le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA) a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS, l’accusant d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l’ivermectine.

La scientifique de l’OMS est accusée d’avoir commis un tweet trompeur le 10 mai 2021 contre l’utilisation de l’ivermectine qui a eu pour effet que l’État du Tamil Nadu a retiré l’ivermectine du protocole le lendemain 11. Il venait juste de déclarer ce traitement efficace contre Covid-19.

Si le Dr Soumya Swaminathan est déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.

L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a menacé de poursuites pénales le Dr Swaminathan "pour chaque décès" causé par ses actes de commission et d’omission. Le mémoire accusait le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.

L’ivermectine est un médicament bon marché qui est prescrit comme antiparasitaire. Il a gagné en popularité pour la prévention de la covid-19. L’OMS et la FDA n’approuvent pas l’ivermectine mais de nombreux médecins et scientifiques pensent qu’elle est efficace. Certains affirment que les États indiens qui ont utilisé l’ivermectine ont obtenu de bien meilleurs résultats et beaucoup moins de décès dus à la covid que les États indiens qui n’ont pas utilisé l’ivermectine.

Dans les régions de Delhi, de l’Uttar Pradesh, de l’Uttarakhand et de Goa les cas ont chuté respectivement de 98 %, 97 %, 94 % et 86 %. En revanche, le Tamil Nadu qui a choisi de ne pas utiliser l’ivermectine, le nombre de cas a explosé et est devenu le plus élevé de l’Inde. Les décès au Tamil Nadu ont été multipliés par dix.

Dans un test portant sur plus de 4 000 personnes en Inde (plus de 3 000 ont pris de l’ivermectine) et plus de 1 000 n’en ont pas pris. Les résultats ont montré que 2 % des personnes ayant pris de l’ivermectine avaient une covid confirmée par un test PCR et que 11,7 % des personnes n’ayant pas pris d’ivermectine avaient une covid confirmée par un test PCR.

Les accusations spécifiques incluent la conduite d’une campagne de désinformation contre l’ivermectine et la publication de déclarations dans les médias sociaux et grand public pour influencer à tort le public contre l’utilisation de l’ivermectine malgré l’existence de grandes quantités de données cliniques montrant sa profonde efficacité dans la prévention et le traitement de la covid-19.

Campagne de désinformation de l’OMS ?

TrialSite a des preuves que l’OMS supprime des données importantes relatives au traitement de Covid19. Récemment, elle publié un rapport sur l’effort local important de l’opération de santé publique dans l’Uttar Pradesh mais a omis le fait fondamental, que l’ivermectine est en fait largement utilisée dans le cadre de l’initiative. Pourquoi l’OMS se donnerait-elle tant de mal pour supprimer cette information importante, c’est-à-dire un traitement qui fonctionne réellement ? Quel type de programme cette organisation a-t-elle adopté lorsqu’elle semble utiliser la désinformation pour tromper et perturber les nations cherchant à maîtriser cette pandémie ? Cette récente action en justice en Inde est-elle simplement un geste symbolique ou représente-t-elle le signe avant-coureur d’autres actions en justice à venir ? », se demande TriaSite.

Source : L’Observateur


BONUS :


La mise à mort des marouts 

Marout : terme sanscrit ou dravidien de même racine que Morigu (en gallo-celtique) et "mort". Le marout est un être à l'âme morte, au psychisme mort quant à son essence, quoique susceptible de donner des apparences de vie à ce faux vivant ou mort-vivant. [...]

Ne possédant par nature qu'une âme pourrie, cet être hybride contaminera les hautes sphères de la société [...]. Les Tibétains nomment ces marouts "cadavres vivants". [...]

Selon la légende hindoue, les marouts seraient les instruments (les marionnettes) de Roudra qui se servirait d'eux et de leur poison morbide pour répandre les épidémies
. C'était l'opinion du sage Apollonius de Tyane (le Christ pythagoricien), selon son historiographe. Une épidémie grave ravageant Ephèse, le thaumaturge y mit fin en faisant lapider à mort un marout...

(Note : 2020-2021, la véritable épidémie serait provoquée par l'injection anti-Covid.)

[...]

Les marouts s'identifient à leurs yeux éteints, à leur regard fuyant ou fébrile, à leur égocentrisme forcené... La plupart vivent dans un climat d'argent parce qu'ils sont parasitaires par définition... De plus, fermés à toute forme de paradis (spirituel, affectif...) ils ne peuvent que s'enfermer dans les paradis artificiels (luxe, drogue...).

D'après un article de Jean-Louis Bernard, auteur du livre Apollonius de Tyane et Jésus.



La vie d’Apollonius de Tyane
Philostrate
PDF gratuit ICI


Introduction à la vie d’Apollonius de Tyane. Le nom d’Apollonius de Tyane a eu un grand retentissement. Apollonius a été, de son vivant même, non seulement honoré comme un sage, mais redouté par les uns comme un Magicien, adoré par les autres comme un dieu, ou tout au moins vénéré comme un être surnaturel. Dans la primitive Église, sa renommée, un certain instant, parut un danger. Au XVe siècle, la polémique antichrétienne a cru trouver dans la vie de ce personnage une occasion d’attaques détournées. Aujourd’hui le dieu s’est évanoui, le philosophe a perdu sa portée, il ne reste d’Apollonius de Tyane que le thaumaturge. Après avoir été présenté comme un continuateur de Pythagore et un rival de Jésus-Christ, il n’est plus considéré que comme un précurseur de Swedenborg.

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Le non-vacciné, cette espèce à abattre. Florian Philippot s'est exprimé pour condamner sans réserve cette inquiétante dérive, citant notamment "Rhinocéros" d'Eugène Ionesco, cette fable qui met en scène les ravages du zèle conformiste qui forme progressivement et inéluctablement le terreau d'une société tyrannique.

Fuir l’aliénation collective consiste à se connaître soi-même

Les véritables maîtres du monde sont des prédateurs et des illusionnistes Carlos Castaneda nommait ces prédateurs les "Flyers".  L...