lundi, février 07, 2022

Le pacte avec le diable

 

(10:24)

PACTE avec le diable, légende urbaine ?! Le ZAPPING des DAMNÉS.


Alexandre Lebreton :

Plusieurs célébrités ont déclaré publiquement avoir littéralement vendu leur âme au diable pour la gloire et la fortune... Tout ceci peut évidemment prêter à sourire car le monde profane est aujourd’hui totalement hermétique à ces idées-là.

Le livre de Joseph Niezgoda ‘‘The Lennon Prophecy, A New Examination of the Death Clues of the Beatles’’ a reconstitué un puzzle pour démontrer que John Lennon aurait fait un pacte avec Satan en échange de la gloire et de la fortune. Joseph Niezgoda, un fan des Beatles de la première génération, qui a lu la totalité des livres parus sur le célèbre groupe de rock, y a bien décelé un amour de la musique, mais aussi un certain amour pour Satan…

Niezgoda introduit son livre avec la célèbre citation de Lennon faite à son ami Tony Sheridan au milieu des années 60 : ‘‘J’ai vendu mon âme au diable’’. Puis il décrit comment ce groupe de musiciens composé de jeunes anglais lambda a fini par accéder à la gloire mondiale...

Niezgoda cite la date du 27 décembre 1960 comme étant le commencement du pacte. Cette nuit-là, les Beatles jouaient au Town Hall Ball Room à Litherland en Angleterre. À cette époque, Lennon n’était qu’un simple chanteur de rock de vingt ans au sein d’un groupe médiocre comparable à beaucoup d’autres groupes. Mais ce soir-là, les Beatles ont provoqué une réaction incroyable du public, une réaction complètement différente des autres fois : alors qu’ils jouaient, la foule a bondi de façon inattendue sur la scène et toutes les filles ont commencé à devenir hystériques. Cela n’était jamais arrivé auparavant mais c’est un comportement qui deviendra systématique par la suite. C’est ainsi que du jour au lendemain, la Beatlemania est née. Les quatre jeunes musiciens et chanteurs ont retenu cette nuit-là comme étant le tournant de leur carrière. Le pacte avait-il été conclu lors du solstice d’hiver quelques jours auparavant ? Préparant ainsi la foule pour cette réaction totalement exagérée du 27 décembre ? Une date retenue comme étant ‘‘l’anniversaire de la Beatlemania’’.

Niezgoda note aussi que ce concert marque le début d’un comportement ouvertement anti-chrétien de John Lennon. Plusieurs biographies de Lennon rapportent de nombreuses profanations réalisées publiquement, sans but apparent, si ce n’est que pour blasphémer Jésus-Christ.

Vingt ans plus tard, le neuf décembre 1980, Mark David Chapman tira cinq coups de revolver sur John Lennon devant le célèbre immeuble Dakota de New-York, où lui et sa femme Yoko Ono avaient un appartement (au même étage où a été tourné l’occulte film Rosemary’s Baby de Roman Polanski). Lennon décèdera peu de temps après cette attaque. Mark Chapman déclara plus tard qu’il avait été chargé de tuer Lennon par une ‘‘voix dans sa tête’’ qui insistait en martelant : ‘‘Fais-le, fais-le, fais le…’’. Cinq ans plus tard, en prison, Chapman a demandé à recevoir un exorcisme par un prêtre, il déclara ensuite qu’il avait été délivré de cinq ou six démons.

Une grande partie du livre de Niezgoda mène une enquête sur les ‘‘indices’’ laissés par les Beatles eux-mêmes sur les pochettes d’albums et dans leur musique. Des indices qui mènent vers l’occultisme. Pour étayer sa thèse, Niezgoda s’est documenté sur la sorcellerie, le mysticisme, la numérologie, les anagrammes, etc. Il affirme que des indices annonçant la mort de Lennon sont révélés dans les pochettes d’albums de Rubber Soul, Yesterday and Today, A Collection of Beatles Oldies, Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band, Yellow Submarine, Magical Mystery Tour, mais aussi dans les albums solo de Lennon comme Imagine et Walls and Bridges.

La couverture de l’album des Beatles ‘‘Yesterday and Today’’, sorti en 1966, ne révèle rien sur la mort de John Lennon, mais il montre explicitement que le groupe était impliqué dans le satanisme. Cette couverture surnommée ‘‘La couverture du boucher’’, montre les Beatles posant en blouse blanche de boucher avec de gros morceaux de viande crue sur leurs genoux, ainsi qu’un mannequin de bébé décapité… Cette photo très glauque fait clairement référence aux sacrifices d’enfants lors des rituels sataniques. Il ne s’agit pas là d’une œuvre artistique avant-gardiste ou d’une mauvaise farce, comme le prétendent certains fans des Beatles.

Niezgoda rapporte également certaines paroles de chansons qui révèlent la prédiction mystérieuse de la mort de John Lennon, ainsi que sa connexion avec Satan. Ses chansons lui ont souvent été transmises dans ses rêves, notamment celles qui ont eu le plus de succès. Dans l’une de ses dernières chansons, ‘‘Help me to help myself’’ (Aidez-moi à m’aider moi-même), il semblerait qu’il se soit rendu compte que son heure était arrivée. La chanson commence par ces paroles : ‘‘Eh bien, j’ai essayé si durement de rester en vie, mais l’ange de la destruction continue à me harceler de partout. Mais je sais dans mon cœur que nous ne sommes jamais vraiment partis…’’. À la fin de la chanson, on peut entendre Lennon murmurer : ‘‘Je vois, je vois. C’est ainsi que vous allez le faire, ok.’’ Comme le souligne Niezgoda, il n’y a rien dans son livre qui ne soit pas déjà dans le domaine public. Tout ce qu’il a fait, c’est de relier les éléments entre eux afin de révéler la question de l’occultisme et la forte probabilité que les Beatles aient reçu une aide surnaturelle dans leur ascension vers la gloire.

En décembre 2004, le célèbre Bob Dylan a donné une interview à Ed Bradley pour l’émission de télévision 60 Minutes (CBS), en voici quelques extraits :

- Bradley : Pourquoi continuer ? Pourquoi êtes-vous toujours là ?

- Dylan : C’est une question de destinée, j’ai fait une bonne affaire avec elle… il y a longtemps et… j’arrive au bout. - Bradley : De quelle affaire s’agit-il ?

- Dylan : Pour en arriver là où j’en suis maintenant.

- Bradley : Pourrais-je vous demander avec qui avez-vous fait cette ‘‘bonne affaire’’ ?

- Dylan : (rires) Avec… Vous savez, le commandant en chef.

- Bradley : … de cette terre ?

- Dylan : De cette terre, et du monde que nous ne pouvons pas voir.

Ici, lorsque Bob Dylan parle du commandant en chef, il se réfère à Lucifer commandant en chef des anges déchus (démons), le Prince de ce monde. Une interview édifiante dans laquelle il déclare également :

- Bradley : Vous arrive-t-il de regarder en arrière vos productions et de vous dire : ‘‘Ouah ! Cela me surprend !’’

- Dylan : J’avais l’habitude de le faire mais je ne le fais plus. Je ne sais pas comment j’en suis arrivé à écrire ces chansons.

- Bradley : Que voulez-vous dire par là ?

- Dylan : Toutes ces premières chansons ont été écrites comme par magie... “Darkness at the break of noon, shadows even the silver spoon, a handmade blade, the child’s balloon’’ (ndlr : paroles introduisant le célèbre morceau de Dylan ‘‘It’s All Right, Ma’’) Et bien essayez de vous asseoir et d’écrire un truc pareil, il y a une magie là-dedans... et ce n’est pas le type de magie à la Siegfried et Roy (ndlr : deux célèbres artistes magiciensillusionnistes), vous voyez ? C’est un autre type de magie pénétrante. Et vous savez, je l’ai fait, je l’ai fait pendant un certain temps.

Le célèbre rappeur Kanye West a déclaré sur scène : ‘‘J’ai vendu mon âme au diable, je sais que c’est un deal pourri, mais ça vient avec quelques surprises comme dans un ‘‘happy meal’’.

Katy Perry a ironisé lors d’une interview : ‘‘Je voulais être la ‘‘Amy Grant’’ de la musique. Mais ça n’a pas marché, alors… j’ai vendu mon âme au diable.’’ ... Elle a aujourd’hui le statut de star mondialement reconnue, dont un clip en particulier qui se réfère directement à la programmation MK [...].

Roger Morneau, l’auteur de ‘‘A Trip Into the Supernatural’’ (Un voyage dans le surnaturel) a fréquenté pendant plusieurs années une secte canadienne impliquée dans le spiritisme et l’adoration des démons. En 1995, lors d’un entretien vidéo avec Dan & Karen Houghton du Hart Research Center, Morneau a rapporté les paroles d’un célèbre musicien de jazz avec lequel il dînait lors d’une soirée :

‘‘Si je veux la puissance, je vais directement à sa source. Comment penses-tu que je suis devenu aussi célèbre ?’’ Je lui ai alors répondu : ‘‘Tu dois avoir de la chance.’’ Il déclara alors : ‘‘La chance, ça n’existe pas. Soit il y a une certaine puissance qui travaille pour toi quelque part, soit tu n’avances pas dans ce monde…’’ Ensuite on a parlé de la vénération des esprits (…) Il m’a dit que les soi-disant esprits des morts sont des démons. ‘‘Ils sont des anges déchus, des beaux êtres (…) Nous vénérons des esprits. Nous vénérons Lucifer et tous ses anges. Ils sont tous aussi beaux qu’au moment où ils furent chassés du Ciel (…) Donc nous sommes dans une guerre, le bien contre le mal. Nous sommes les méchants, mais nous ne sommes pas si mauvais. Je vois cette affaire comme les forces du bien et du mal, une personne croit en Dieu, l’autre croit en Lucifer, c’est comme de la politique.’’

L’ancienne star du porno, Shelley Lubben, a témoigné dans l’émission 700 Club (Out of Pornography and Into the Light - CBN) : ‘‘Aussitôt que la caméra commençait à tourner, c’était comme si Satan venait à moi... Je pouvais presque voir le diable me dire : ‘‘Tu vois Shelley, tout le monde va t’aimer maintenant, je vais te rendre célèbre’’. Le producteur s’étonnait : ‘‘Où as-tu trouvé cette fille ?’’ Je suis alors immédiatement passée du statut d’amateur à celui de professionnelle tournant des films pour adultes avec des stars du porno. Cela me détruisait, j’avais perdu ma féminité, j’ai perdu toute ma personnalité dans le porno.’’

Voici ce qu’elle rapporte concernant son premier jour de tournage en 1992 : ‘‘Dès que je suis entrée, j’ai eu l’impression qu’une sombre présence satanique m’envahissait. C’était terrifiant, sombre, cela n’avait rien à voir avec la prostitution. Je savais que j’étais dans le territoire de Satan. C’était comme la dernière frontière de Satan. Je me disais : ‘‘Oh mon Dieu, je ne peux pas croire que je vais le faire.’’ Shelley alla jusqu’au bout et sa carrière décolla, la célébrité et l’argent devinrent vite une obsession...

MK Abus rituels et contrôle mental.

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BONUS :



Le logo d'Ottawa, la capitale canadienne où sont décrétées les principales mesures de la dictature "sanitaire", comporte trois 6. 

"Lorsque la Bible dit que 666 est un nombre d'homme cela implique une certaine limitation : l'humanité bloquée sur le plan formel. Il y a trois 6, trois limitations [...], l'attaque de l'onde 666 est dirigée contre les trois centres vitaux de l'homme : le corps (la force vitale), le cœur (les sentiments) et le mental (la pensée). Internet constitue le dernier aspect celui de la pensée qui a été  mise sous la coupole 666, en 1998." (Sébastien Vaas)





Les marionnettistes et leurs âmes damnées

 

(4:30)

The Vanguard Group, TOUT appartient aux mêmes...



Philippe Juysmans :


Voilà 690 jours que le coup d’État planétaire organisé par les élites mondialistes est en cours, au titre d’une soi-disant pandémie qui dans les faits n’a pas tué plus qu’une grippe. Partout, les droits individuels ont été bafoués, et des lois iniques ont été publiées, en dehors de tout contrôle constitutionnel. C’est la politique du fait accompli qui prévaut, on prend des arrêtés liberticides, on les fait appliquer, et lorsque quelqu’un s’avise de les contester par voie de recours, la plupart du temps, ceux-ci sont rejetés par une justice à la botte de l’exécutif. Non seulement il est grand temps de se lever contre la tyrannie, mais il convient aussi de comprendre comment tout ceci a pu arriver.

Au-delà de la juste indignation que nous ressentons tous, peut-être est-il temps de commencer à cerner les véritables objectifs de ce qui est bel et bien une contre-révolution, que dis-je, une guerre menée par les élites contre les peuples. Il ne s’agit de rien moins que de nous ramener à l’époque féodale, dans laquelle les serfs, taillables et corvéables à merci étaient la propriété de leur seigneur.

Dans ce modèle les droits seront supplantés par les devoirs vis-à-vis de la société, et vos rares libertés seront toujours conditionnées à votre obéissance aveugle à l’autorité, et donc à leurs marionnettistes. Et ne nous berçons pas d’illusions, quand on parle de devoirs vis-à-vis de la société, il ne s’agit que revêtir la tyrannie des oripeaux de la solidarité.

Ce modèle, c’est le communisme pour les masses (le servage), et l’ultralibéralisme pour les élites ainsi que leurs meilleurs serviteurs.

Comment a-t-on pu en arriver là ?

Je crois que ceci est finalement la question centrale, et je me propose de vous livrer ici une théorie, qui, si elle n’est pas entièrement prouvée, a le mérite de tenir rudement bien la route sous tous les aspects.

En préambule, je rappelle que le vieux rêve des élites financières d’instituer leur pouvoir absolu ne date pas d’hier, c’est juste que les tentatives précédentes ont échoué parce que leurs pions étaient imparfaitement contrôlés. Les hommes de pouvoir, passé un certain point, n’en faisaient qu’à leur tête, et sauf à les faire assassiner, ce qui fait toujours désordre, les projets de domination mondiale des marionnettistes restaient plus ou moins lettre morte.

Ces petits cercles d’élites, principalement basées aux USA et au Royaume-Uni ont donc conçu un système de cooptation des hommes de pouvoir en s’assurant de leur totale soumission. Comment ? En usant d’un moyen vieux comme le monde, le chantage. Et si vous voyez Bill Gates comme un des marionnettistes, détrompez-vous, ce n’est qu’un pion à leur service, et il est tenu par le chantage (cfr. affaire Epstein). Pourquoi croyez-vous que la Reine d’Angleterre a pris la décision inouïe de retirer tous ses titres, honneurs et privilèges à son fils favori, Andrew ? Tout simplement parce que la révélation du contenu du dossier aurait pu faire tomber la monarchie.

On pourrait continuer avec Justin Trudeau, qui avait pu échapper à des poursuites pour viol sur mineur au moment où il exerçait encore la profession d’enseignant. Tout ceci ne constitue qu’une toute petite partie de ce que je crois être un système mis en place patiemment au fil des années par les marionnettistes. Petit à petit, ils ont placé des pions à eux, des gens sur qui ils ont barre, recrutés via des officines comme le Forum économique mondial et les Young Leaders. Leur dépravation n’est pas la conséquence de leur pouvoir, mais bien la condition sine qua non pour y être élevé.

Ainsi vous comprenez l’obéissance aveugle de ces exécutants, qui pour la plupart d’entre eux, on pris des décisions politiques qui ont causé la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes (cfr. arrêt « Rivotril »). Vous pouvez être bien sûr qu’ils ont agi à contrecoeur, et sous la menace; ceci transparaissait notamment dans certaines interventions de Emmanuel Macron. Personne avec tous ses boulons n’irait prendre officiellement des décisions ayant pour conséquence la mort d’un certain nombre de citoyens, et pourtant, tous l’ont fait ! Enfin, pas tous, certains dirigeants notamment africains n’ont pas suivi, ils ont été assassinés dès le début du coup d’État (Tanzanie, Haïti, Burundi), ou ont échappé de justesse, comme le président malgache à une tentative d’assassinat. Paradoxalement, les deux hommes soupçonnés d’avoir fomenté cet attentat étaient d’anciennes barbouzes françaises.

La mort n’a pas frappé que des présidents rétifs au discours des marionnettistes, elle a aussi fait des ravages parmi des chercheurs ayant travaillé sur le Sars-Cov2 et ceux qui vendaient des remèdes bon marché comme l’hydroxychloroquine. Je ne vais pas faire ici la recension de tous les morts, de toutes les explosions et incendies inexpliqués, pour cela je vous conseille la lecture du livre de Philippe Aimar, Enquête sur un virus Covid 19.

Arrivé à ce point, vous devriez avoir compris que ces pions, accros au pouvoir et tenus par des crimes sordides ne reculeront devant rien, sauf en cas de péril mortel pour leur petite personne.

Comment en sortir ?

Eh bien je crois qu’il est important de comprendre que de faire reculer le pouvoir ici où là ne changera strictement rien, les marionnettistes peaufineront leurs plans, et après avoir été virés par la porte, ils reviendront par la cheminée. Les marionnettistes ne sont pas le plus grand péril, ce sont leurs créatures qui représentent un danger : elles sont leurs bras armé et sont en position de pouvoir. Tant que le ver n’aura pas été retiré du fruit, il n’y aura aucune issue durable.

D’un autre côté, on ne peut que constater un certain amateurisme, et aussi une précipitation dans le chef des marionnettistes qui tend à montrer qu’ils savent que leur entreprise est fragile. Pourquoi n’ont-ils pas pris la peine de bétonner correctement leur stratégie ? Tout simplement parce qu’ils sont dans l’urgence absolue, l’économie mondiale est au bord de l’effondrement complet.

Il y avait donc urgence à installer un contrôle social fort, puisque le but c’est de faire subir toutes les conséquences de l’effondrement au peuple, tout en gardant fermement sa position de domination absolue.

Un autre élément qui pourrait bien être le grain de sable fatal à leur projet mégalomaniaque est que dans les faits, c’est presque 20% de la population qui ne marche plus, soit qu’ils étaient éveillés de longue date, soit qu’ils commencent à réaliser qu’on les a manipulés. Et si l’on voit assez fréquemment des gens s’éveiller, ceux qui décident de leur propre chef de revenir dans la caverne de Platon sont plus rares que le merle blanc.

Si nous n’étions pas si nombreux, il y a longtemps que nous serions déjà enfermés dans les camps de concentration que nos bons maîtres avaient fait construire à cette fin.

Je ne suis pas optimiste, mais disons qu’on commence à voir des failles un peu partout dans ce projet dystopique, c’est à nous, le peuple, qu’il reviendra de remettre la démocratie sur la bonne voie, et puis d’imaginer une société plus respectueuse des gens, plus économe, aussi, basée sur l’entente et la solidarité, parce que les débuts promettent d’être compliqués, attendu que l’effondrement, lui, est inéluctable. Cela passera probablement par un moratoire sur la dette, toute la dette. Mais me direz-vous, comment financerez-vous les pensions et les services publics ? Eh bien déjà, il n’y aura plus de dette, donc plus d’intérêts sur la dette. C’est bien ce modèle qui flanque la jaunisse aux marionnettistes, parce que c’est via la dette que l’on tient les peuples en esclavage.




dimanche, février 06, 2022

"La civilisation a disparu le jour où les banquiers et la haute finance ont pris le contrôle des Etats"


Coup d’état mondial ou la trahison des pseudo-élites

Echange entre Alexis Cossette et Valérie Bugault

Prajñâ

 
Alexis Cossette est Docteur en philosophie et religions comparées, Docteur en Sémantique, étudiant et pratiquant du Bouddhisme et des arts martiaux, en particulier l’Aïkido. 

Valérie Bugault est Docteur en droit privé et théoricienne du droit international et financier, géopoliticienne dans les domaines de l’économie globale et du juridique, des institutions nationales et internationales. Leur dénominateur commun est la recherche de l’Absolu.

Alexis Cossette : On pouvait croire avant 2019 que nous étions en démocratie. On s’est rendu compte en 2020 que ce n’était pas du tout le cas et que cela remontait à longtemps. Des institutions bancaires, des cartels bancaires qui contrôlent la dette, donc les états à la place des gouvernements, faisaient tomber des premiers ministres pour nommer des remplaçants. Et les gens ont commencé à se poser des questions … Il y aura le Brexit, l’arrivée de Donald Trump, le retour des nations, etc… Les élites ont accéléré la cadence et ont décidé en 2020 de faire tomber les masques et de précipiter la transformation civilisationnelle, le changement de civilisation… On a eu le sentiment que l’on s’en allait vers un état prison autoritaire. Pourquoi ont-ils accéléré la cadence ?

Valérie Bugault : Pendant qu’ils nous muselaient, ils se sont démasqués, ces « élites économiques » qui ont pris le pouvoir politique. Il n’y a plus de pouvoir politique dans nos états ni de démocratie. Le politique est sous contrôle du monde économique qui est contrôlé et dirigé par les banquiers. Lorsque vous disposez de toutes les ressources monétaires, vous les affectez là où il vous semble bon de les affecter. Il n’y a pas de monnaie au sens propre du terme, « c’est une arme de destruction, d’hégémonie », dans des mains d’intérêts qui représentent des intérêts particuliers de castes, là les banquiers.

Le pouvoir politique dans notre pays n’existe plus depuis longtemps, depuis que le parlementarisme représentatif s’est imposé avec une « pseudo séparation » des pouvoirs. Je ne parle pas pour les pays de type fédéral mais pour les pays unitaires comme la France. Je vous signale que le parti politique qui gagne les élections législatives envoie son personnel au gouvernement. Le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif ne sont absolument pas séparés puisqu’ils émanent du même parti politique. D’autre part, quant au pouvoir juridique qu’il faudrait appeler pouvoir juridictionnel, il fait parti intégrante du pouvoir exécutif puisque les représentants de la justice sont membres du gouvernement. La séparation des pouvoirs est une vaste fumisterie autant que d’appeler nos régimes une république est une escroquerie, parce que la république fait référence à la RES–publica, la « chose publique ». Nos régimes sont déterminés dans des rapports de force initiaux depuis toujours pour être aux mains des détenteurs de capitaux. Donc, il ne s’agit pas de chose publique mais « Privée ». On vit dans l’imposture, dans l’illusion, dans la mascarade, dans le cinéma de quartier, le grand guignol depuis longtemps.

A.C. : Ce que les gens ont du mal à comprendre, c’est la raison pour laquelle il y a une telle ampleur du contrôle. Les gens se disent : comment est-ce possible que les états, les élus, les journaux, les ordres professionnels, les infirmiers et les médecins, etc., aient pu être corrompus ? C’est l’absence de corruption et de contre-pouvoir qui est inimaginable pour le commun des mortels.

V.B. : L’observation de l’évolution des institutions donne la réponse-clé. Lorsque vous contrôlez par le haut vous contrôlez les gouvernements par l’affectation monétaire. Celui qui tient la monnaie fait les lois. Les lois sont faites pour ceux qui détiennent les capitaux et tout est organisé en fonction de ces intérêts-là. Donc, il ne faut s’étonner que tout soit corrompu. Quand les choses vont plutôt bien pour ceux qui ont le pouvoir, ils n’ont pas de velléité de changement immédiat. On ne se rend compte de rien. Ce qui s’est passé avec cette « PLANdémie covidique », c’est en réalité ces élites qui avaient déjà le contrôle politique, économique, social, monétaire, juridique des Etats.

Quand des gens sont au pouvoir mais de façon « officieuse » et qu’ils ont tous les pouvoirs, à un moment et fatalement à un moment, le besoin apparaît de paraître au grand jour et de ne plus s’embarrasser de faux semblants ; et s’ils pouvaient imposer ce qu’ils veulent sans les marionnettes qui les servent, ce serait encore plus simple pour eux. Ce projet, ils l’avaient de longue date mais ils ne devaient pas être mis en œuvre avant 2030-2050.

Une partie de leurs colonies leur a échappée et cette partie c’est la Chine. La Chine a repris le contrôle millénariste de sa civilisation. Elle a repris le contrôle des armes qui étaient utilisées contre elle, les a intégrées et renvoyées à son ennemi, l’Occident. Parce que l’Occident est désigné par la Chine comme l’ennemi. C’est nous qui les avons mis en esclavage pendant plus de 100 années. Ils ne l’oublieront jamais et il faut bien le comprendre. Mais ils ont bien compris aussi que ce n’était pas les populations mais que ce sont les banquiers qui avaient pris le contrôle des populations et qui étaient à la manœuvre. A partir du moment où ils ont compris cela et qu’ils ont eu suffisamment de ressources économiques chez eux pour commencer à imposer leurs propres visions des choses, les banquiers globalistes de chez nous ont commencé à s’inquiéter. Ils ont perdu le contrôle de la ½ du territoire. Certains pays étaient moins dociles que nous étions, nous, en Occident et que la Chine prenait en ayant cette attitude de décider et surtout en ayant les moyens de sa politique, prenait la tête d’un mouvement qui pouvait prendre beaucoup d’ampleur. Il a fallu qu’ils (en Occident) mettent un terme à cela assez rapidement. Ils ont resserré les forces chez eux, la dictature en interne, pour ne pas avoir de contestations intérieures chez les colonisés, les esclaves, les serfs que nous étions et que nous sommes encore et peut-être de plus en plus même, pour ensuite reprendre le contrôle effectif à la fois au niveau militaire, économique, politique et diriger leurs armes contre leurs ennemis désignés qui était en l’occurrence la Chine. Tous les médias, les politiques de nos pays, n’ont eu de cesse depuis quelques années, 2 ou 3 ans, de désigner un seul ennemi de l’Occident : la Chine. C’est une vaste plaisanterie.

A.C. : Et la Russie ? C’est le même thème. Il y a un Poutine nationaliste, la logique du retour de la nation, qui est arrivé au pouvoir un peu comme Trump aux USA, comme le Brexit ; il y a eu cette espèce de géopolitique autour de la nation qui met en péril le projet de gouvernement mondial des élites bancaires qui sont en difficulté à cause de ce retour de la Chine, de Poutine, de Trump, de Bolsonaro au Brésil, partout dans le monde, cette prise de conscience des erreurs du mondialisme.

V.B. : La situation politique en Chine est beaucoup plus claire que celle qui existe en Russie où il y a deux camps qui s’opposent : le camp globaliste qui a encore le contrôle de la banque centrale Russe et le contrôle de l’économie Russe, et l’autre clan plus patriotique ; je mets derrière les forces militaires et la plupart des services secrets. En réalité, la Russie est beaucoup plus divisée que ne l’est la Chine. Les forces patriotiques en Chine sont du côté du gouvernement Chinois. Ce n’est pas le cas des patriotes Russes… Quant à nous, en France, n’en parlons pas … ce n’est pas la peine d’aborder le sujet …

A partir du moment où vous jouez le jeu des partis politiques, vous ne pouvez pas être patriotes, parce que les partis politiques ont besoin de financement qui sont dans les mains des banquiers. C’est un jeu de dupes dans lequel vous ne pouvez pas gagner une guerre contre cet ennemi. Vous lui laissez le choix du terrain sur lequel on va combattre et de l’agenda des batailles … !

A.C. : Cependant en 2015-2016, 80 à 90% des dons à la campagne de Trump venaient de petits donateurs … Trump recevra 15.000 dollars de Wall-Street … Il s’en était moqué et avait dit : « cela a dû être une erreur ! ». C’est Hillary Clinton qui avait reçu tout l’argent des banquiers … Ce que les mondialistes contrôlent, c’est les médias, leurs temps d’antenne. Ils font et défont les candidats sur leurs couvertures de presse.

V.B. : Tout notre système est fondé sur la corruption dans un show-business de manifestation d’égotisme, à destination d’un public, qui n’a rien à voir avec une compétence particulière des candidats. C’est un jeu d’acteurs pas dans la compétence. Tout ce système est fallacieux et fait monter les plus malsains pathologiques. C’est ces gens-là qui prennent le pouvoir. Nos sociétés ne génèrent pas de méritocratie mais des gens contrôlables, sans aucune personnalité, des individus sans caractère propre. Le système génère ce genre de pathologie de pouvoir parce que ce ne sont pas les gens qui sont mis en avant qui ont le pouvoir. Ils ont abattu les masques et se sont mis en difficulté, ils apparaissent au grand jour. Maintenant on arrive à savoir que les « coups » arrivent de Davos, de la Chambre de Commerce international, de la B.R.I. et des banques centrales.

Mais en France tout est très verrouillé ! Le pouvoir est très verrouillé dans toutes les composantes de la société. Et l’on parle de réinitialisation, de mettre en œuvre cette perspective de "grand reset" à tous les niveaux, monétaire, économique, social, énergétique et surtout biologique pour « évoluer en tant qu’espèce » ! Tous les totalitarismes du 20ème siècle ont mis en avant l’homme nouveau : le bolchévisme, le nazisme et maintenant c’est le même discours, les mêmes psychopathes qui reviennent au-devant de la scène. L’homme nouveau n’est pas une nouveauté. Le nouvel ordre mondial n’est pas du tout nouveau car il date du moment où les puissances financières ont pris le contrôle des institutions politiques et cela ne date pas d’hier. On peut remonter à la guerre de sécession aux USA, en France avec la révolution française. La grande défaite américaine c’est 1913 de même que la grande défaite française c’est la révolution française qui a imposé le parlementarisme. Ensuite, Bonaparte avec ses volontés impériales qui a voulu copier l’empire dominant britannique en se laissant imposer par les banquiers qui l’entouraient la création de la banque centrale française en 1800. Puis ensuite on a eu le code de commerce qui a été le début de la fin pour la France.

A.C. : Les gens avec le Covid sont maintenant beaucoup plus sceptiques et les élites ont peur de ce réveil des peuples …

V.B. : Ils sont en difficulté sur tous les plans. Les populations se réveillent même si elles sont encore relativement dociles. Les européens au 20ième siècle ont été martyrisés par les 2 guerres mondiales et il y aura la trahison de politiques et de militaires français. Ce jour, les globalistes sont en difficulté au niveau politique parce que leurs mensonges deviennent tellement grossiers que même ceux qui ne veulent pas le voir, sont obligé de constater qu’il y a un problème. Il n’y a pas de droit individuel s’il n’y a pas de droit collectif. L’histoire des droits de l’homme est une vaste manipulation. Un droit sans devoir n’existe pas. C’est un jouet, un hochet que l’on donne mais qui peut être repris. Et c’est ce qui se passe !

A.C. : Sans le consentement des gens, le changement de civilisation est impossible …

V.B. : Nous passons d’un concept de civilisation à un concept de néant civilisationnel, de disparition de la civilisation et de l’humanité telle qu’on l’a connue parce que nous sommes dans une période de néant intégral, de disparition totale de ce qui a fait l’humanité.

La civilisation a disparu le jour où les banquiers et la haute finance ont pris le contrôle des Etats politiques. Donc, il n’y a plus de décision politique. Le dernier était De Gaulle qui a résisté tant bien que mal. Cela fait 40 années que c’est fini en France. La corruption a pris une telle ampleur que c’est devenu un mode de fonctionnement, un système de gestion politique …


Assiste-t-on à un coup d'ETAT international visant à installer un nouvel ordre mondial ?

(1:03:58)

GRAND LIVE avec VALERIE BUGAULT

Extrait de 2 minutes sur l'officialisation de la gouvernance mondiale et la dépopulation massive :



II
Valérie Bugault

Les institutions françaises sont faussement démocratiques car adossées à une prétendue « représentation du peuple » par des « élus » aux seuls services des financiers qui permettent à leur parti politique de les présenter aux élections. Au surplus, la prétendue séparation des pouvoirs, qui se garde bien de mentionner le seul moyen du pouvoir, celui de la création monétaire (laquelle est intégralement contrôlée par les banquiers privés) n’a jamais été pertinente. 

Ces institutions faussement démocratiques ne sont pas l’apanage de la France car elles se sont répandues dans tous les pays occidentaux, dits civilisés et en réalité soumis à la Haute finance apatride dont le Quartier Général historique est situé à la City of London. Le modèle commercial et maritime développé par l’Empire britannique a utilisé toutes les armes à sa disposition pour prévenir toute opposition.

Suivant leur volonté hégémonique, les puissances financières ont imposé au monde, en tant que modèle indépassable, son « droit », qui n’est autre qu’un intégrisme commercial caché derrière la généralisation de l’anonymat, permettant l’irresponsabilité. Pour favoriser leur développement, les tenanciers de la Haute Finance ont perfidement utilisé le concept de « Soft Law », qui met en œuvre la séduction des masses, la ruse et la corruption pour imposer des règles qui n’ont rien de « Soft » mais qui sont, tout au contraire, à l’origine de toutes les guerres récentes, qui visent au contrôle intégral des richesses créées par l’homme et des ressources naturelles présentes sur la planète. 

Peu à peu, le modèle juridique propre au droit continental, qui a permis le développement d’une « civilisation européenne » a été liquidé au profit du tout commerce imposé par les tenanciers de la Haute Finance internationale, promoteur du Nouvel Ordre Mondial. Cet Ordre, réel désordre, n’a rien de nouveau, il est l’officialisation institutionnelle de la prise de pouvoir hégémonique des puissances financières sur les États et sur le concept même de « politique ». 

Le long glissement qui a fait passer l’Europe du « fait politique » au « fait économique » est devenu officiel avec l’avènement des institutions européennes dont l’histoire, née sous le signe des cartels, a immanquablement évolué vers un intégrisme commercial et financier de type fédéral. Ces partisans du Nouvel Ordre Mondial ont prévu, pour nous, un avenir dans lequel la liberté, y compris celle de ressentir des émotions individuelles et celle consistant à avoir une capacité de libre discernement, ne sera plus qu’un lointain souvenir.

Les populations continueront-elles à être dupes de leur propre mise en esclavage ?

Site de Valérie Bugault : https://valeriebugault.fr


samedi, février 05, 2022

Réhumaniser nos dirigeants



"Si on ne réhumanise pas notre monde, si nos dirigeants ne sont pas réhumanisés eux-mêmes, on risque bel et bien de partir dans la matérialisation de l'humain, c'est-à-dire d'en faire un transhumain, voire un posthumain."

(11:01)

Vers une nouvelle société globalisée



Les bases du Nouveau Monde ont été posées en 3 parties qui se sont déroulées simultanément: la Dépossession par surendettement, la redéfinition du concept de l’Etat et l’appropriation de l’ensemble de l’outil et des processus de production de la planète, et par la révolution biotechnologique. 3 axes convergents qui mettent en péril de manière irréversible l’humain et la société tels que nous les avons connus à ce jour.

Les néolibéraux n’ont plus besoin de se cacher derrière une pseudo-démocratie ou derrière un faux libéralisme. La raison en est double.

Tout d’abord, il n’y a plus de démocratie, celle-ci ayant été remplacée par des dirigeants qui ressemblent plus à des administrateurs-délégués de conseil d’administration pour certains et pour d’autres à des lobbyistes mercenaires n’ayant plus aucune compassion ou même empathie envers des citoyens devenus de simples administrés.

Ensuite, il n’y a plus de marché. Les néolibéraux l’ont soigneusement cassé en mutualisation pertes et dettes , mais en veillant à s’approprier les bénéfices. Le marché et les ressources planétaires ont été confisqués par des dirigeants voraces qui ont dépossédé simultanément les États et les agents économiques locaux.

Les deux raisons précitées ont permis de combiner Dépossession à un coup d’État magistral. Et ce au niveau planétaire.

S’arrêter à ce constat serait une erreur grossière. Le but final de cette réorganisation de la planète que nous décrivons ici depuis de nombreuses années est une remise en question totale et finale de la société doublée d’un bricolage génétique de l’humanité qui fera de l’homme une ressource exploitable. Une révolution qui voudrait RE-CREER l’humanité sous l’empire et l’emprise de l’Intelligence artificielle.

Ami lecteur, vous ne pouvez passer à côté de cette dimension. Elle est essentielle. Les hommes-dieux veulent refaire le travail de la création INITIALE. D’où l’appellation RE-INITIALISATION.

Les temps sont devenus très courts. J’aimerais dire ici que personne ne devrait échapper à cette règle qui doit rétrograder l’essentiel de l’humanité, en la fusionnant avec la machine.

Il y aura ceux qui pourront supporter ce bricolage transhumaniste et ceux qui y succomberont.

A mon avis, une très petite élite devrait subsister dans le système, mais à un autre niveau. Ce seront les gagnants du Coup d’État planétaire. Eux pourront profiter du transhumanisme pour prétendre à l’immortalité. Ce qui inclura évidemment les greffes d’organes, etc. Pour les autres devenus inutiles, nous vous renvoyons à nos précédentes publications qui vous renseigneront notamment sur les projets prometteurs de M. Gates et de sa galaxie.

Le 13 mai 2019, M Klaus Schwab était au Chicago Council on Global Affaire. Et là, bien avant une quelconque pandémie covidienne, le patron du WEF a expliqué la grande réinitialisation version transhumanisme.

En effet, dans le cadre du Big Reset, l’homme de Davos a présenté en toute simplicité non seulement de la suppression du cash, de la suppression du capitalisme, de l’avènement du communautarisme mais aussi de l’appauvrissement généralisé. Tout cela fut acté il y a des années et nous en avions parlés dans nos ouvrages Dépossession et Coup d’État planétaire (décidément un titre inspiré).

M Shwab a décidé avec ses amis du changement de l’être humain.



De Liliane Held-Khawam, "Coup d'Etat Planétaire : Comment une élite financière s’arroge le pouvoir absolu par la captation universelle des ressources".
 
Ce livre est à lui seul un continent ! Il est le fruit d’une enquête aussi vaste et aussi capitale que son sujet même: l’émergence d’un nouveau monde, d’une forme de société inédite depuis les commencements de l’humanité.

Vous croyez vivre dans des Etats de droit, délimités par des frontières, protégeant les libertés de leurs citoyens ? Vous n’en serez plus très sûr après avoir refermé cet ouvrage.

Dans sa précédente enquête, "Dépossession", Liliane Held-Khawam avait documenté le détournement massif des moyens financiers de l’humanité au profit d’un petit nombre de sociétés. Avec "Coup d’Etat planétaire", elle va encore plus loin, décrivant les trois phases de l’instauration d’une véritable tyrannie globale à laquelle les valeurs et les lois démocratiques ne servent que de prétexte et d’alibi.

"Par le triptyque de son analyse de la formidable mutation dont nous sommes désormais à la fois les témoins et les acteurs contraints, Liliane Held-Khawam entreprend une œuvre fondamentale de lanceur d’alerte, une véritable œuvre de salut public !" (De la préface de Philippe Bourcier de Carbon)

PDF gratuit : "Le Grand Echiquier", de Zbigniew Brzezinski




vendredi, février 04, 2022

Spiritualité, des milliardaires se dépouillent de tout


(7:21)

Milliardaires aux pieds nus

France TV New Delhi :

"Régulièrement, ils ponctuent l’actualité. Tel businessman richissime a décidé d’abandonner son empire et de devenir moine jaïn. Du jour au lendemain, ils passent d’une vie d’opulence avec de nombreux serviteurs et entourés de belles choses à une vie d’ascèse, de vagabond, à traverser tout le pays. Ils quittent leur ancienne vie et même parfois leurs vêtements. Car les principes du jaïnisme sont très stricts. Ces moines ont un régime qui exclue la viande, les laitages, les œufs et même les légumes racinaires pour ne pas blesser les animaux qui vivent sous terre."

 
Le jaïnisme, une religion athée


« Le jaïnisme est athée et cet athéisme n’est ni une excuse, ni une polémique mais est plutôt acceptée comme constituant une attitude religieuse naturelle »

Charles Norton Edgecumbe Eliot


Les jaïns ne croient pas en Dieu. Leur religion enseigne l'existence d'un principe spirituel inhérent à l'âme.

« La doctrine jaina est fondée sur trois axiomes dont l'observance doit conduire à la délivrance de l'âme : le Vue droite, la Connaissance droite et la Conduite droite.

La Vue droite résulte soit d'un élan spontané, soit de l'étude des enseignements des maîtres : elle peut être visuelle, perceptive, relative à la perception suprasensible ou à la perception transcendantale : c'est une vision du monde extérieur particulière.

La Connaissance droite dérive soit des perceptions de la Vue droite, soit des enseignements, soit encore de la pensée ou du processus de la reconnaissance apportée par les sens ou l'intuition.

La Conduite droite doit donc découler logiquement des deux précédentes.

La logique jaïna procède de plusieurs concepts importants tels que ceux du Naya-vâda, science de la connaissance du réel sous tous ses aspects divers, lesquels varient en fonction des implications concrètes, de la synthèse des points communs, du moment vécu, de la pratique, de sa description correcte par le langage, de sa signification conventionnelle, etc.

La théorie du Syâd-vâda, qui est un corollaire du précédent, consiste en une vue relativiste destinée à ajuster l'affirmation et la négation des choses à leur mouvante réalité. La nature est ainsi divisée en « catégories » qui sont classées dans des ordres différents selon les points de vue d'où on les considère. C'est ainsi que, dans l'une de ces « catégories » (padârtha), il existe des « principes » (tattva) et des « masses d'êtres » (ashtîkâya) dont les plus importants sont l'âme (jîva), la matière (pudgala), la cause du mouvement (dharma), la cause de l'arrêt du mouvement (adharma) et enfin l'espace (âkâsha). Selon cette philosophie, l'âme seule possède la vie spirituelle et rend possible tous les aspects de la vie : elle est semblable l'âtman brahmanique. Cependant, il n'y a pas d'âme universelle et souveraine, mais une infinité de monades « métaphysiquement semblables et égales ». Seul les effets du karma peuvent modifier leur statut.

La matière est de structure atomique dans laquelle chaque atome (anu, paramânu) de nature corporelle est incréé, indivisible, indestructible, tout en possédant des saveurs, odeurs, et couleurs propres. C'est leur association qui constitue la matière, les « éléments » n'apparaissant qu'au niveau moléculaire, qui constitue le « support matériel » des âmes.

L'espace (âkâsha) est considéré comme une substance incorporelle immobile et inerte, dépourvue de qualités « sensibles » : c'est le « contenant » des âmes et de la matière. Le temps (kâla) est lui aussi considéré comme une substance sans espace. Il est constitué d'une infinité d'« atomes temporels » (kâlânu).

La cause du mouvement et de l'arrêt du mouvement (dharma et adharma) se trouve naturellement dans la pratique des trois « joyaux » du jaïnisme pour le premier et dans l'erreur pour le second.

Dans la philosophie jaïna, l'existence est composée de six « substances » qui sont :

1 — Dharmâshtikâya, un « corps » qui est le moyen du mouvement ;

2 — Adharmashtikaya, un « corps » qui permet à l'animé de devenir inanimé ou « en repos » ;

3 — Akshati-kâya, qui crée l'espace dans lequel les êtres animés et inanimés (en repos) peuvent vivre ;

4 — Pudgalâshtikâya, ce qui permet l'existence de la matière (pudgala) ;

5 — Jîvâshti-kaya, esprit qui existe par inférences ;

6 — Kâla, le Temps.

Ces six « substances » ou « corps » sont appelées Dravya.

Ces théories s'accompagnent, dans les doctrines jaïna, d'une vue cosmologique extrêmement élaborée, dans laquelle l'univers (loka) est schématiquement représenté comme un homme debout, composé de trois mondes : le monde inférieur (jambes), le monde médian (le corps) et le monde supérieur (la tête). Ces trois mondes sont entourés d'une triple enveloppe atmosphérique (air, vapeur, éther) au-delà de laquelle ne se trouve que de l'espace vide. Cet Univers est organisé autour d'un axe vertical creux à l'intérieur duquel se trouvent tous les êtres vivants « mobiles ». Chaque monde est divisé en de nombreux étages : le monde inférieur, le monde médian, qui comprend notre terre, avec des îles-continents, et enfin le monde supérieur, situé au-dessus du mont Meru et où se trouvent les divinités : les âmes libérées y occupent le sommet (chignon de l'homme cosmique). En ce qui concerne les âges du monde, le jaïnisme admet la classification brâhmanique, le cinquième âge (qui est le nôtre) aurait commencé en 523 et serait caractérisé par la douleur. Il sera suivi d'un sixième et dernier « âge » long lui aussi de 21 000 ans à la fin duquel la race humaine subira de terribles transformations, sans toutefois que le monde disparaisse (comme dans la théorie du Pralaya hindou), l'univers étant indestructible.

Les âmes individuelles sont sujettes à la transmigration, sauf évidemment les « âmes libres » ou délivrées (Mukta) et les âmes « parfaites » (Siddha), ces dernières pouvant parvenir à l'état de Tirthakara afin d'enseigner le monde. Cependant, selon les jaïna, tous les composés naturels sont doués de psychisme, les minéraux comme les végétaux, mais à des degrés différents que celui des animaux et des hommes. « Une goutte d'eau, par exemple, est formée d'une quantité innombrable d'individus aqueux dont chacun est doué d'âme ». [« Manuel des études indiennes », § 2475]

L'organisme corporel est, selon les jaïna, composé de deux à cinq corps : le corps physique, le corps de transformation (transformable selon le désir de celui qui le porte, et qui est le privilège des seuls êtres célestes ou infernaux), le corps de transfert qui permet à l'esprit de se transporter en n'importe quel point de l'espace, le corps ardent (Tejas) constitué d'énergie, enfin le corps karmique composé de la masse de karma accumulée par l'être, en vertu de ses actions et pensées. La qualité karmique de l'âme est symbolisée par une « couleur » ; ces couleurs peuvent comporter six teintes, du noir au blanc, représentant toutes les valeurs karmiques allant des êtres infernaux aux saints les plus purs. Les activités de notre existence (laquelle est métaphysiquement impure) comportent à la fois un aspect matériel et un aspect immatériel.

Cette philosophie complexe dans laquelle la notion de karma s'éloigne un peu de celle qu'en ont le brahmanisme et le bouddhisme, oblige le fidèle à obéir à toute une série de « vœux » qui constituent une sorte de morale exigeante conduisant à cinq abstentions majeures :
  • nuisance aux êtres vivants,
  • fausseté,
  • vol,
  • indiscipline charnelle,
  • attachement aux biens de ce monde.

Il s'ensuit que le fidèle jaïna, afin de devenir pur, devra s'abstenir de toute nuisance envers les êtres vivants et sensibles, ceci parfois poussé jusqu'à l'extrême, en respirant, marchant, mangeant, travaillant, buvant, etc. Cette attitude d'absolu respect de la vie sous toutes ses formes devra obligatoirement être accompagnée de vertus positives bienveillance, charité, compassion, tolérance, etc.

Dans cette optique, les fidèles jaïna, comme les fidèles bouddhistes sont classés en deux ordres, les laïcs et les religieux, chacun d'eux devant observer une morale particulière et comportant des degrés de pureté de vie : à la limite (douzième degré) le jaïna peut même se suicider par inanition pour atteindre la véritable paix spirituelle. Laïcs comme religieux devront donc s'astreindre, à des degrés divers cependant, à la méditation, aux jeûnes purificatoires, à certaines pratiques du yoga (concentration, immobilité de l'esprit, etc.). C'est ainsi que le fidèle peut, s'il le désire, arriver par quatorze stades d'évolution, depuis l'ignorance totale (source de fausseté et d'erreur) jusqu'à la libération finale, c'est-à-dire le stade où l'âme de l'être devenu parfait (Siddha, Arhat, Kevalin) n'agit plus avec le corps et l'abandonne.

Le jaïnisme reconnaît au cours des âges l'existence d'un grand nombre de Kevalin ou Arhat (appelés Tîrthakara), théoriquement au nombre de 720, mais dont l'histoire ecclésiastique jaïna n'a retenu que les 24 derniers. Les disciples du Mahâvîrâ (le 24ème des Tîthakara ou « prophètes) furent, selon la tradition, extrêmement nombreux, non seulement dans le Bihâr (où ils s'opposaient aux disciples du Bouddha), mais plus particulièrement dans le Mysore (Karnâtaka) et dans l'ouest de l'Inde. Le jaïnisme eut plusieurs « Thera » (Anciens) ou maîtres dont l'un des plus célèbres fut (sixième à partir du Mahâvîra) Bhadra-bâhu, qui serait mort 162 ou 170 ans après le Mahâvîra. Il aurait réuni les premiers textes de foi jaïna, les anga et les pûrva et aurait provoqué la réunion d'un grand concile jaïna dans la ville de Pâtaliputra, à l'époque du roi Maurya Chandragupta. Cependant, vers 79 se produisit un schisme au sein de la communauté jaïna, schisme qui aboutit à la création de deux grandes sectes, celle des Shvetâmbara « Ceux qui sont vêtus de blanc » et celle des Dîgambara « Ceux qui sont vêtus de ciel » (c'est-à-dire nus), opposant les jaïna « traditionalistes » qui avaient émigré dans le sud de l'Inde et ceux, moins rigoristes, qui étaient demeurés dans le nord. Les deux courants se répandirent dans toute l'Inde et, comme les bouddhistes, eurent à souffrir des persécutions de certains souverains attachés au brahmanisme comme de celles des Huns hephtalites.

Un grand, concile se réunit sous la présidence des Shvetâmbara vers 980 (ou 983) après la mort du Mahâvîra (fin 5ème siècle) à Valabhî, qui permit à ceux-ci de fixer la rédaction définitive de leur canon. Mais, comme pour le bouddhisme, le jaïnisme vit, au cours des siècles, la création de sectes très nombreuses, différant seulement sur des points de détail de la doctrine ou sur des pratiques. Il y aurait ainsi environ 84 sectes se réclamant des Shvetâmbara, alors qu'il n'y en aurait eu que quatre parmi les Digambara. Cependant, au 18ème siècle, naquit à Surat une nouvelle secte, différente des deux autres, nommée Sthânakavâsî qui refusait le culte des images et qui préconisait le retour à la pureté des origines du jaïnisme. Car, au cours des âges, cette religion subit, bien entendu, de nombreuses transformations, dues pour la plupart à l'influence de l'hindouisme, laquelle se traduisit principalement par l'adoption de rites et de coutumes hindoues. Mais, en règle générale, la tradition jaïna se remarque par une admirable continuité, dans l'espace comme dans le temps. Le fidèle jaïna est astreint (comme les fidèles de l'hindouisme d'ailleurs) à de multiples observances quotidiennes, notamment la récitation des six Âvashyaka : vœu d'avoir à éviter tout acte blâmable ; louange des 24 Tîrthakara ; prière aux êtres supérieurs ; confession ; méditation silencieuse, et enfin refus de tout ce qui n'est pas absolument indispensable...

Les jaïna développèrent également, surtout dans l'ouest de l'Inde, et peut-être déjà à partir des 4ème et 5ème siècle, une sorte de tantrisme mêlé de traditions hindoues.

La communauté religieuse jaïna accepte les femmes, qui furent, dès le début, en assez grand nombre, bien que les Dîgambara estiment qu'elles ne peuvent parvenir à la délivrance qu'après être renées dans un.corps d'homme. Les laïcs doivent aussi observer des vœux quotidiens, mais moins sévères que ceux des moines.

Le jaïnisme ne se différencie guère des autres religions indiennes, en ce sens que sa métaphysique est tout entière fondée sur la croyance en la transmigration des âmes, et son éthique sur la croyance en la délivrance finale. Mais, contrairement au bouddhisme il croit en la réalité de la substance. L'être est formé d'une âme (jîva) et d'une substance inerte et atomique (pudgala). Leurs interactions mutuelles créent le Karman (ou Karma).

Ce Karman est fait de matière et détermine la personnalité. On dit même parfois qu'il donne une teinte à l'individu. C'est de lui que l'âme doit s'affranchir si elle veut mettre fin au cycle des renaissances. Ce Karman ne peut être détruit que par un genre de vie et une discipline appropriés. Lorsque cela est fait, le jîva entre au Nirvana et redevient une pure lumière.

La discipline morale est beaucoup plus dure que la « voie moyenne » enseignée par le bouddhisme. L'adepte jaïna doit s'abstenir de commettre les cinq fautes principales : le meurtre et la violence envers les vivants, le mensonge, le vol, l'incontinence sexuelle, la convoitise, l'attachement aux biens matériels. C'est la religion indienne où le principe de non-violence (ahimsâ) est respecté le plus strictement, puisque l'on peut voir certains jaïna porter devant leur bouche un écran qui les empêche d'avaler les insectes, ou balayer la route devant eux pour ne pas écraser un animal. Cela les détourne également de certaines professions. La vie monastique est encore plus stricte, et les moines ont le droit de se suicider par inanition, droit qui s'est d'ailleurs étendu aux laïcs.

Les laïcs et les religieux jaïna ont toujours été étroitement solidaires, et c'est le travail des premiers qui apporte de nombreuses ressources aux seconds. Cela explique la richesse des temples, les manuscrits innombrables (les plus anciens de toute l'Inde), les écoles, les hôpitaux (certains sont réservés aux animaux) fondés par les jaïna. Ils sont peu nombreux niais ont une importance économique et culturelle considérable.

C'est la fermeté de sa tradition qui a permis au jaïnisme de se maintenir, mais cela n'empêcha pas le développement de sa littérature religieuse et philosophique, ni l'existence de sectes différentes. Les rapports avec l'hindouisme ne posent plus de problèmes, d'autant plus que les jaïna, qui n'ont pas de clergé, ont dû faire appel, pour leur rituel, à des prêtres hindous rétribués : les Pûjâri, qui prennent soin des sanctuaires et célèbrent les offices. Pendant ce temps les moines jaïna peuvent se consacrer à la recherche de la sainteté et à l'enseignement. »


Louis Frédéric



jeudi, février 03, 2022

Déesses et Prêtresses Babyloniennes d'hier et d'aujourd'hui...

(9:34)



Alexandre Lebreton :

Le XXème Siècle a vu naître un phénomène d’ampleur mondial, celui de l’idolâtrie de certaines personnalités propulsées par la lumière artificielle de ce monde : ce sont les nouvelles Prêtresses Babyloniennes ou Reines du divertissement et de la propagande luciférienne. Ces figures publiques, généralement façonnées depuis la plus tendre enfance pour certaines fonctions, montrent pour beaucoup d’entre-elles des signes de fractionnement d’identité, de dissociation, voir de médiumnité et de possession… tout comme les anciennes prêtresses du monde antique païen avec ses cultes à la déesse et à la fertilité. N’est-ce pas Beyoncé qui a publiquement déclaré avoir une personnalité multiple et décrit ses états dissociatifs et autres amnésies lorsqu’elle est sur scène ?

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Lors des abus rituels, écrit Alexandre Lebreton dans "MK - Abus rituels et contrôle mental", les enfants reçoivent la transmission de ‘‘l’initiation’’, la ‘‘Violence Initiale’’ qui les prépare à devenir eux-mêmes des adultes œuvrant pour le ‘‘côté obscur’’. Le projet luciférien s’étalant sur plusieurs siècles, donc sur plusieurs générations, le conditionnement et plus encore la programmation mentale des enfants de l’élite forment un protocole indispensable. La programmation à la loyauté, à la fidélité et à la loi du silence est la fondation pour contrôler ces enfants, destinés à perpétuer le projet mondialiste luciférien. Il s’agit d’obtenir une société dont les institutions et les diverses strates de contrôle se retrouvent verrouillées et tenues avec une main de fer par des individus au service de leurs démons intérieurs… Ces enfants dissociés et fractionnés dès le plus jeune âge ont un cerveau ‘‘recâblé’’ leur donnant certaines facultés intellectuelles et créatives, mais aussi un corps énergétique totalement ouvert au monde des esprits, à la médiumnité consciente ou non. Dans le luciférisme, le processus dissociatif est perçu comme un état d’illumination spirituelle, permettant l’accès à d’autres dimensions.


Ces enfants reçoivent le pouvoir, la puissance et la lumière, ils deviennent des canaux utilisés par des anges déchus pour incarner et établir la doctrine luciférienne sur cette terre. Ainsi donc s’est mis en place petit à petit un monde gouverné indirectement par des entités existant sur un autre plan. Des entités qui ont besoin d’êtres humains bien incarnés en chair et en os pour agir ici-bas dans la matière. De la même manière que l’Esprit Saint s’infuse dans certains humains en état de grâce pour leur inspirer la sagesse, l’intelligence, la force, la charité, la foi, l’espérance… Une force anti-christique, contre-initiatique, peut également s’infuser dans l’humain, plus particulièrement chez ceux ayant les portes grandes ouvertes depuis la petite enfance lors de leur ‘‘initiation’’ par les traumatismes extrêmes. Certains fragments de leurs âmes sont totalement liés et asservis au royaume déchu, au ‘‘Prince de ce monde’’. Ce processus n’est ni plus ni moins qu’une inversion de la sanctification. Ces lignées de sang lucifériennes, pieds et poings liés aux démons depuis des générations représentent l’infra-humain, résultant de cette contre-initiation. Les abus rituels traumatiques, les sacrifices, la magie, la démonologie, la dissociation - possession - "illumination", le contrôle des fragments d’âme, mais aussi les sites servant aux cérémonies, avec une énergie tellurique particulière, toutes ces connaissances occultes sont les outils qui vont permettre la connexion avec ces entités déchues qui offrent à cette hiérarchie humaine luciférienne le pouvoir d’établir une domination passagère ici-bas.


‘‘Ces lignées, détentrices d’un sang particulier hérité d’un ancien ‘‘pacte’’ avec les anges déchus, récréent ou réveillent à dessein des sociétés secrètes, des écoles, des sectes, par l’intermédiaire de certaines individualités spécialement préparées, que l’on pourrait considérer comme un genre particulier de ‘‘possédés’’ et chargées de pouvoirs nécessaires, toujours d’ordre psychique, bien entendu, qui leur permettent de provoquer pour une certaine période plus ou moins longue mais toujours limitées, des phénomènes qui constituent l’élément ‘‘catalyseur’’ autour duquel se créeront ces groupements.’’ ‘‘Mémoire du sang : contre-initiation, culte des ancêtres.’’ - Alexandre de Dànann.

(...) la maçonnerie moderne transmet-elle des initiations et des connaissances similaires à celles qui étaient enseignées avant le déluge, puis du temps de Nimrod et de Babylone ? Cette connaissance maçonnique secrète a-t-elle conservé une doctrine purement luciférienne, c’est à dire basée sur le paganisme et le satanisme, incluant entre autre des pratiques sexuelles dépravées et des sacrifices de sang (magie sexuelle et démonologie) ? Sacrifient-ils toujours le Taureau de Mithras ? Pratiquent-ils encore le baptême de sang ? S’agit-il de cette maçonnerie ‘‘parasitée’’, la maçonnerie noire aux rituels initiatiques traumatiques dont parle Albert Mackey ? Les traumatismes entraînant des états modifiés de conscience, les sacrifices de sang et la magie sexuelle pédocriminelle sont-ils des clés initiatiques que certaines sociétés secrètes modernes utiliseraient pour établir des connexions avec certaines entités et acquérir ainsi de la puissance et du pouvoir ?


Contre-initiation :

Une force vise "à entraîner les hommes vers l’infra-humain ; aussi le terme de « contre-initiation » est-il celui qui convient le mieux pour désigner ce à quoi se rattachent, dans leur ensemble et à des degrés divers (...), les agents humains par lesquels s’accomplit l’action antitraditionnelle..." (René Guénon, "Le règne de la quantité".)


Contre-initiation tibétaine et magie sexuelle :

Le Nang-tcheud (expression tibétaine) est la forme diabolisée du tantrisme et l’arcane de sociétés secrètes perverses. C’est une magie rouge. "Le pseudo-tantrika, tue sa partenaire, soit par strangulation, soit en la poignardant dans le dos. Par ce rite horrible, il vise à s’incorporer le double de sa victime qui survivra en son propre organisme, mais à l’état spectral, c’est-à-dire spirituellement mort."
(J.-L. Bernard)



mercredi, février 02, 2022

La Doctrine de l'Eveil



Julius Evola se propose de mettre en lumière la nature véritable du bouddhisme des origines, doctrine qui devait se désagréger jusqu’à l’invraisemblable dans la plupart de ses formes postérieures, quand, du fait de sa divulgation et de sa diffusion, il devint plus ou moins une religion. En réalité, le noyau essentiel de l’enseignement avait un caractère métaphysique et initiatique. 

L’interprétation du bouddhisme comme une simple morale fondée sur la compassion, l’humanitarisme, l’envie de fuir la vie parce que « la vie est douleur », est tout ce qu’il y a de plus extrinsèque, profane et superficiel. Le bouddhisme a été déterminé au contraire par une volonté d’inconditionné qui s’est affirmée de la façon la plus radicale, par la recherche de ce qui est au-delà de la vie comme de la mort. Ce qu’il s’agit de vaincre, ce n’est pas tant la « douleur » que l'agitation et la contingence de toute existence conditionnée, qui ont pour origine, base et substrat le désir, une soif qui, par sa nature même, ne pourra jamais s’éteindre dans la vie courante, une intoxication ou « manie », une « ignorance », l’aveuglement qui provoque une identification désespérée, passionnée et insatiable du Moi à telle ou telle forme du monde éphémère dans le courant éternel du devenir, le samsâra.


PDF gratuit :






"Le libre arbitre, c'est fini !"

Une équation dangereuse


Ils envisagent de pirater le corps, le cerveau, la vie de chaque être humain. 

Selon Yuval Noah Harari, pirater le cerveau d'un humain, "c’est apprendre à connaître cette personne mieux qu’elle ne se connaît elle-même".



"L’obligation vaccinale par les moyens les plus coercitifs qui soient ne serait-elle pas ce fameux cheval de Troie pour que l’intelligence artificielle s’introduise dans nos corps à notre insu et sans notre consentement ?"



Yuval Noah Harari :

Le libre arbitre, c'est fini !

Courte vidéo :

Nous sommes confrontés est la montée des dictatures numériques, qui surveilleront tout le monde en permanence.

Ce danger peut être énoncé sous la forme d’une équation simple, qui, je pense, pourrait être l’équation déterminante de la vie au XXIe siècle :

B x C x D = AHH !

Ce qui signifie ? La connaissance biologique multipliée par la puissance de calcul multipliée par les données (data) équivaut à la capacité de pirater les humains, AHH (Ability to Hack Humans).

Si vous connaissez suffisamment la biologie et avez suffisamment de puissance de calcul et de données, vous pouvez pirater mon corps, mon cerveau et ma vie, et vous pouvez me comprendre mieux que je ne me comprends moi-même. Vous pouvez connaître mon type de personnalité, mes opinions politiques, mes préférences sexuelles, mes faiblesses mentales, mes peurs et mes espoirs les plus profonds. Vous en savez plus sur moi que je n’en sais sur moi-même. Et vous pouvez le faire non seulement à moi, mais à tout le monde.

Un système qui nous comprend mieux que nous ne nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, peut manipuler nos sentiments et nos décisions et peut finalement prendre des décisions pour nous.

Dans le passé, de nombreux gouvernements et tyrans voulaient le faire, mais personne ne comprenait assez bien la biologie et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la Gestapo ni le KGB ne pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins certaines entreprises et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement tout le monde. Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses – nous sommes maintenant des animaux piratables. C’est ce que nous sommes.

Le pouvoir de pirater des humains peut être utilisé à de bonnes fins, comme fournir de bien meilleurs soins de santé. Mais si ce pouvoir tombe entre les mains d’un Staline du XXIe siècle, le résultat sera le pire régime totalitaire de l’histoire de l’humanité. Et nous avons déjà un certain nombre de candidats pour le poste de Staline du XXIe siècle.

Imaginez la Corée du Nord dans vingt ans, quand tout le monde devra porter un bracelet biométrique qui surveille en permanence votre tension artérielle, votre rythme cardiaque, votre activité cérébrale vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Vous écoutez un discours à la radio du grand leader et ils savent ce que vous ressentez réellement. Vous pouvez taper dans vos mains et sourire, mais si vous êtes en colère, ils le savent, vous serez demain au goulag.

Et si nous permettons l’émergence de tels régimes de surveillance totale, ne pensez pas que les riches et les puissants dans des endroits comme Davos seront en sécurité, demandez simplement à Jeff Bezos. Dans l’URSS de Staline, l’État surveillait les membres de l’élite communiste plus que quiconque. Il en sera de même pour les futurs régimes de surveillance totale. Plus vous êtes haut dans la hiérarchie, plus vous serez surveillé de près...

Lisez l’avertissement de Yuval Harari à Davos dans son intégralité :




mardi, février 01, 2022

Le wokisme est une secte cruelle et dangereuse

 


La logique naturelle du wokisme consiste à détruire la vie de personnes des deux sexes, de toutes les races et, si nécessaire, de tous les âges, afin de tirer parti d’un programme idéologique autrement irréalisable…

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1962, apparaît l'éveillisme, l'ancêtre du wokisme.


Le wokisme a été décrit par ses détracteurs comme l’utilisation omniprésente de la race – et dans une moindre mesure du sexe – pour remplacer la méritocratie et garantir ainsi l’égalité des résultats. La mise en œuvre de cette idéologie s’accompagne d’actions réparatrices visant à récompenser ceux du présent en expiant les injustices commises envers les autres dans le passé.


Certains y voient une mise à jour des modes du marxisme culturel des années 1960. D’autres se moquent qu’il ne s’agisse que d’un retour au politiquement correct des années 1980.

D’autres encore le considèrent comme le successeur logique des obsessions des années 1990 en matière de race, de classe et de sexe, mais avec une touche jacobine, soviétique et maoïste plus forte et plus dangereuse. L’hystérie du wokisme invite également à des comparaisons avec les procès des sorcières de Salem et le maccarthysme.

Mais peu ont décrit le wokisme comme le credo cruel qu’il est.

La logique naturelle du wokisme est de détruire la vie de personnes des deux sexes, de toutes les races et, si nécessaire, de tous les âges, afin de tirer parti d’un programme idéologique autrement irréalisable. Il est nihiliste et détruit tout ce qu’il touche. Il déchire les ennemis comme les amis, que ce soit en alimentant la haine médiatique de Donald Trump ou la fausse déification du désastre qu’est devenu Joe Biden.

Les victimes du wokisme


La fin du financement des forces de l’ordre et la diffamation de la police ont entraîné un nombre record de meurtres dans 12 villes américaines. Une vague de crimes violents frappe même les banlieues américaines.

Sans crainte d’être arrêtés, inculpés, condamnés et incarcérés, des criminels professionnels violents enhardis ont, au cours de l’année écoulée, volé, agressé et tué des innocents en toute impunité.

Les victimes à l’arrêt de bus, dans le métro ou dans un magasin de meubles ne semblent pas mériter l’attention des médias ou des progressistes, et encore moins la sympathie.

Elles sont les ignorées, les anonymes et les dommages collatéraux oubliés de la grande expérience de redéfinition du crime en tant que construction sociale. Les coupables sont les universitaires d’élite, les activistes et les milliardaires comme George Soros qui ne sont pas touchés par ce qu’ils ont engendré.

Nous avons tous vu les vidéos des vastes étendues d’épaves et de déchets éparpillés par les voleurs de trains le long des voies de l’Union Pacific à Los Angeles. Pourtant, ce désordre de l’Ouest sauvage est bien plus que les manifestations concrètes des efforts désordonnés du procureur du comté de Los Angeles, George Gascón, pour excuser les criminels des conséquences légales.

Les paquets jetés au sol par les voyous et les gangsters représentent, entre autres, les résultats perdus des tests de dépistage du COVID-19 des malades. Sans doute attendent-ils encore, sans le savoir, près de la fenêtre, la livraison de résultats qui ne viendront jamais. Le paquet dans la poussière était peut-être une pièce clé de tracteur attendue en vain par l’agriculteur fauché de la Central Valley. Le gâchis comprenait les médicaments vitaux expédiés aux malades qui ont disparu.

Et qu’ont fait nos dirigeants élus en réponse à cela ? Le gouverneur Gavin Newsom s’est excusé d’avoir utilisé le mot insensible de « gangs » pour décrire ceux qui pillent, saccagent et mettent à sac les wagons.

Toujours à la recherche de cibles

Il est cruel d’endoctriner les enfants en leur faisant croire qu’ils sont intrinsèquement coupables d’oppression en raison de leur couleur de peau. Une définition précise du racisme est la maltraitance collective d’un individu en raison de son apparence innée – sous prétexte qu’un tel préjugé est mérité, étant donné que la cible est jugée mentalement, spirituellement ou moralement inférieure en raison de ces traits. Mais c’est là, en résumé, l’essence de la théorie critique de la race : la destruction de tous les traits humains et de toutes les caractéristiques uniques, les individus diabolisés étant réduits à des membres stéréotypés et sans visage d’un collectif.

Pendant plus d’un demi-siècle, les athlètes féminines ont cherché à obtenir la parité dans l’attitude de la société vis-à-vis du sport. Le titre IX a obligé les universités à assurer une égalité approximative pour les sports féminins et masculins.

Mais l’effort des wokistes pour redéfinir les hommes biologiques en transition comme identiques aux femmes biologiques va certainement détruire le travail de milliers d’athlètes pionniers.

Ironiquement, le mouvement sexiste woke a permis aux hommes de prendre des hormones et de subir des opérations chirurgicales pour devenir des femmes – même si leur ossature immuable, leur musculature ou les caractéristiques de leurs organes garantissent un concours injuste et asymétrique.

La vie de milliers de jeunes athlètes féminines sera probablement diminuée. Chaque sprinteuse, chaque nageuse et toutes les perchistes féminines auront désormais inévitablement, à une date future, un rendez-vous avec l’implosion de leur carrière, définie par leur défaite face à une femme/mâle biologique transgenre.

Les records sont en train d’être réécrits, la nature même des sports féminins individuels a changé, et bientôt il n’y aura plus de notion de « sport féminin » du tout.

Les œufs cassés oubliés de l’omelette woke

Les wokistes verts postulent qu’ils sauvent des vies en déployant des efforts radicaux pour restreindre la production de gaz et de pétrole, pour augmenter le prix des carburants. Ils veulent forcer les Américains à acheter des sources alternatives d’énergie éolienne et solaire et des voitures à batterie à des prix élevés. Mais loin de la salle des professeurs, des millions d’Américains ont plus froid et sont moins mobiles cet hiver, payant beaucoup plus pour chauffer leur maison et se rendre au travail.

La plupart des activistes du changement climatique qui se réveillent voient rarement les pauvres qui essaient de vider leur sac à main pour grappiller des combinaisons d’argent liquide et de cartes de crédit afin d’obtenir plus de 100 dollars pour remplir le réservoir d’essence de leur voiture. Les conducteurs de Tesla sont peut-être les architectes de la guerre contre les carburants carbonés de l’année dernière. Mais ce sont des victimes bien réelles qui paient pour leur piété : ceux qui n’ont pas la possibilité d’acheter des voitures électriques hors de prix.

Pour le wokiste cosmopolite, la frontière est bien des choses : une simple construction xénophobe, une barrière raciste, un tic nationaliste.

Mais les milliers de personnes qui vivent près de la frontière mexicaine voient leurs maisons et leurs fermes envahies par les trafiquants de drogue et, en cas de pandémie, par des milliers de clandestins non vaccinés et peut-être malades. Ils subissent de plein fouet la violence quotidienne alors que toute sécurité disparaît.

Pour les pauvres américains, qui dépendent des cliniques de santé publiques et des droits de l’État, l’afflux de milliers d’étrangers illégaux dans leurs communautés devient un jeu à somme nulle. Plus les non-citoyens sollicitent ces services déjà surchargés, moins il y a de citoyens qui ont accès à des soins de qualité.

Les collèges et les universités doivent maintenant aller au-delà de leurs anciens quotas raciaux de facto pour les admissions et les embauches, déjà principalement basés sur la représentation proportionnelle et l’impact disparate. Mais maintenant, une sorte de système de réparation émerge. C’est ce que la gauche elle-même appelait par dérision la « surreprésentation ».

L’équité dans notre monde orwellien n’est pas l’égalité, mais la rétribution. Encore une fois, c’est l’idée de faire payer la génération actuelle pour les péchés supposés des morts de longue date des siècles passés.

Outre la destruction du mérite par la substitution de critères raciaux, des millions de personnes issues d’une génération rejetée se verront claquer la porte de leur carrière, simplement à cause de la couleur de leur peau. Et ils ne l’oublieront jamais.

Les wokistes ne font même pas l’effort d’admettre que la classe sociale compte autant, voire plus, que la race. Ce faisant, ils empêchent des millions d’étudiants blancs et asiatiques pauvres, qui ont réussi dans la pauvreté à obtenir d’excellentes notes et résultats aux tests, d’être admis dans les meilleures écoles. Leur réussite réelle, malgré l’absence de parents riches, diplômés ou bien connectés, ne signifie pas grand-chose.

Dès qu’une société sans morale – pour des raisons naïves, utopiques ou ignobles – commence à calibrer les cérémonies de remise des diplômes, l’espace dans les dortoirs, la sélection des colocataires, les résultats et les normes de notation en fonction de la race, non seulement elle perd son niveau de vie, mais elle le mérite. Et il se peut qu’il ait un rendez-vous futur avec la violence du Rwanda, de l’Irak ou des Balkans.

Le pouvoir, et non l'"équité", est le credo

En résumé, le wokisme n’a rien à voir avec la gentillesse, l’égalité, la justice ou la moralité.

C’est le programme de pouvoir de l’élite de toutes les races. Pour différentes raisons, ils truquent le jeu dans leur propre intérêt, sans se soucier de ceux qui en souffrent.

Les riches Blancs partent du principe qu’ils possèdent l’argent, l’influence, les compétences en matière de réseautage et les relations nécessaires pour contourner les règles d’exclusion qu’ils imposent aux autres. Pour eux, il y a rarement des coûts. Mais ils gagnent un gain psychologique apparent à se sentir spirituellement supérieurs tout en conduisant une Range Rover.

Ils se défoulent sur le sentiment de pouvoir qu’ils exercent pour organiser la vie de millions de personnes jugées moins importantes qu’eux. Et dans la mesure où ils se sentent coupables de leur propre monopole de la richesse et des loisirs, ce remords superficiel et passager est atténué par la sollicitude abstraite envers « l’autre ».

S’ils peuvent s’assurer que 50 % des publicités télévisées mettent en avant les Afro-Américains, ils s’inquiètent peu de la crise existentielle de la nation que représentent les 800 Noirs assassinés à Chicago l’année dernière. Et aucun de ces cadres de la télévision n’a la moindre idée – ou probablement la moindre préoccupation – de la façon d’y mettre fin.

Les personnes wokes souscrivent un contrat médiéval selon lequel toutes leurs indulgences matérielles peuvent être compensées par des signes de vertu en faveur des moins fortunés, mais toujours aux dépens de quelqu’un d’autre.

Wokistes = carriéristes fortunés

Et pour les millions de non-blancs de l’élite aisée ? La résurgence des obsessions raciales détruit commodément la vieille idée de classe, même si elle est désormais le calibrage bien plus précis de l’inégalité.

Malgré tous les discours alarmistes sur les « constructions » de genre, la race est en quelque sorte seule exemptée et déclarée innée, définissable et immuable. L’apparence d’une personne devient le refuge permanent des victimes, même des multimilliardaires de la NBA et des rappeurs milliardaires.

Un Ward Churchill ou une Elizabeth Warren peuvent chercher désespérément à tirer parti d’une carrière en devenant amérindiens, apparemment comme s’ils étaient presque piégés dans leur propre corps blanc. Pourtant, ils ne parviennent toujours pas à construire de telles identités supposées à la manière de Bruce/Caitlyn Jenner.

Si la race est désormais le seul baromètre immuable pour déterminer qui est une victime et qui est un agresseur, alors LeBron James, Jay-Z, Kayne West, Chris Rock, Michelle Obama et Oprah Winfrey feront toujours partie des éternels opprimés. L’énorme influence, le pouvoir, le statut et la richesse qu’ils exercent n’annulent jamais leur statut de victime, malgré une nation qui a adopté la discrimination positive depuis trois générations.

Dans le calcul immoral du wokisme, les pauvres blancs ou les enfants d’Asie du Sud-Est issus d’abandons scolaires mal payés constituent « les privilégiés ». Et un raciste multimillionnaire comme la présentatrice de télévision Joy Reid prétend être la victime perpétuelle, pas le retraité afro-américain du centre-ville qui, en 2021, a perdu la protection de la police locale.

Il n’est pas étonnant que l’élite « woke » et les gauchistes fortunés fassent une fixation sur la race, étant donné qu’ils constituent désormais la classe dirigeante. Sinon, leur propre privilège serait la cible évidente de la « Révolution » autrefois bien-aimée.

Ils craignent donc que, selon leurs propres normes gauchistes antérieures, ils puissent eux aussi se retrouver du mauvais côté de leur ligne Maginot morale. L’obsession du wokisme à débusquer le « privilège blanc » est un moyen pour les riches d’éviter (pour ainsi dire) le sort de Marie-Antoinette.

Le wokisme totalitaire

Une dernière remarque. Nous savons que le wokisme est à la fois contraire à la nature humaine et antithétique à la démocratie et au gouvernement constitutionnel.

Sans soutien public, il a adopté toute une série de moyens cruels, soviétiques et maoïstes pour atteindre ses propres objectifs. Le discours des wokistes sur les « racistes » ressemble étrangement au discours soviétique sur les « contre-révolutionnaires ». Le wokiste d’aujourd’hui débite des choses qui pourraient sortir tout droit de la bouche du personnage de Boris Pasternak, le commissaire aux armées Strelnikov, ou du Petit livre rouge de Mao concernant la « suppression des contre-révolutionnaires ».

Il n’est pas étonnant que les wokistes, les soi-disant « humanistes » soient les premiers à recourir à la trotskisation et à l’iconoclasme. Ils sont passés maîtres dans l’art de la censure, de la mise sur liste noire, de la désignation de boucs émissaires, de la déploration, de l’humiliation rituelle, du doxxing, de la culture de l’annulation, de l’ostracisme et de la mise à l’écart.

La logique du wokisme est l’éternelle logique du Jacobin tyrannique avec ses listes guillotinées de révolutionnaires impurs, du lynchage du XIXe siècle prenant d’assaut la prison frontalière, des gardes rouges traquant le contre-révolutionnaire et des hospitalisations mentales forcées de l’Union soviétique.

Mais par-dessus tout, le wokisme est un culte cruel – créé par et pour le bénéfice carriériste des privilégiés.



Traduction de AmGreatness.com par Aube Digitale




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