samedi, décembre 09, 2023

Macron l'élu de Satan et d'IsraHell ?

"On peut supposer que le trône de l’empire mondial reviendra au président de l’Europe lorsque ce poste sera mis en fonction sur la base de la Constitution Européenne qui scelle la fin de la souveraineté des nations libres du vieux monde." Revue Undercover, n° 7, mai 2003.

25 octobre 2023
"Si l'Union Européenne devient un Etat, la France ne le sera plus. Elle sera un département européen sans souveraineté. À ce stade, toute tentative de sortie serait qualifié d'indépendantisme et pourrait être matée par une armée européenne." Aldo Sterone sur X, 1er décembre 2023.




Minorité de conscience

Une "minorité dissidente, si l’on peut la nommer ainsi, est répartie sur toute la terre, à travers toutes les races, les classes, les cultures et les religions. Progressivement, sous la pression des événements mondiaux, ces êtres vont se reconnaître, et se découvrant appartenir à la même « nation spirituelle », ils mettront en pratique la parole : « Aime ton prochain comme toi-même ».

Le bon grain se sépare de l'ivraie

(...) ceux-là se découvriront unis dans une fraternité qui ne doit rien au simulacre humanitaire de l’ordre mondial. Quant aux innombrables ayant abdiqué devant ce qu’il faut bien nommer la « puissance du mal », non par méchanceté, mais par ignorance et lâcheté, ils prendront la voie de l’endurcissement qui les transformera en des êtres robotiques, dangereux et immoraux. Non qu’ils soient mauvais, mais parce qu’ils croient devoir obéir à leurs bergers qui les conduiront là où ils n’iraient pas. En terme spirituel, c’est ce qu’on nomme un « jugement ». C’est un processus cyclique entre deux périodes qui permet de soustraire du collectif un groupe de pionniers dont la mission est de devancer la marche collective afin de l’accélérer. En l’absence de pionniers, tout le monde reste en arrière. Il n’y a rien d’injuste ou de cruel dans ce processus qui s’est déroulé maintes fois depuis l’origine des civilisations. Il est nécessaire de sauver les germes de conscience du flot régressif qui risque de l’emporter. Il n’y a rien de personnel ou d’égotique, et nul ne doit interpréter cette sélection comme un privilège donné à quelques uns, car c’est une lourde responsabilité. La conscience implique un devoir plus grand. Il faut des pionniers sinon tout se perd.

La libération de l’homme au sens spirituel
 
Notre compassion va vers l’humanité qui est retenue par la psychose sécuritaire. Mais notre amour doit se tourner vers ceux qui désirent la libération de l’homme au sens spirituel.

Il faut sauver l’amour du naufrage, et pour cela, il est indispensable de garder la tête hors du noir courant de l’inconscience où sont plongées nombre de personnes que nous aimons. Elles démontrent déjà de l’animosité à notre égard lorsque leurs croyances sont ébranlées par les faits. Mais le phénomène le plus inquiétant est la manifestation d’une mauvaise foi d’un genre redoutable. Elle se résume par cette attitude : « Je sais bien que c’est mauvais mais je le fais quand même ».

Perspectives pour l’avenir
 
Il faut appliquer un critère de lucidité qui consiste à ne plus accueillir l’information d’où quelle provienne sans la filtrer par notre décodeur interne et notre raison aux aguets.

La minorité consciente qui ne gobe plus les bobards de l’establishment est la cible d’attaques subtiles car on connaît ses points faibles, particulièrement son idéalisme et son goût pour les belles espérances. Une vieille dame disait : "Mes pauvres enfants, à l’avenir, il va vous falloir un démêloir".

D’un côté, ceux qui nous flattent avec leurs « messages » célestes pour nous maintenir dans une douce inconscience, et de l’autre ceux qui nous effraient pour nous vendre des systèmes de protection coûteux et dérisoires.

Parfois les gens disent : « cela ne nous laisse aucun espoir », et cette remarque nous renseigne sur l’attente d’un miracle qui est dans l’air. Nous répondons : « Puisque vous désirez un miracle, attendez-vous à ce qu’on vous en propose ! Vous devriez plutôt devenir votre propre lumière, et réaliser en vous-même le seul miracle qui compte, à savoir devenir conscient, fort et libre.» Mais pour celui qui a reçu « l’implant » de l’attente messianique, ce sont là des paroles peu satisfaisantes.

Ordo Ab Chao
 
Parlons donc des perspectives d’avenir, pour autant que nous puissions voir quelque chose dans ce brouillard. En réalité, le cours de l’histoire extérieure est déjà tracé de longue date, et c’est pourquoi les dirigeants de la planète - usurpateurs au demeurant – n’ont plus de pudeur à étaler leurs trafics. Les masses sont devenues si apathiques qu’elles iront dans le sens qu’on leur indique. C’est une affaire entendue. Dès lors, pourquoi les maîtres tergiverseraient-ils ? La crise du proche-Orient doit permettre d’allumer un incendie contrôlé. La chaotisation actuelle est orchestrée de main de « maître ».

Intuitivement, nombre de gens simples ressentent que quelque chose ne tourne pas rond, mais au final, ils se conforment aux ordres des médias, en portant au pouvoir des bandits doublés de super-menteurs dont la religion avérée est le satanisme. Ce fait révèle l’affaissement de la conscience morale. Les gens légitiment le mensonge dès l’instant où ils se sont laissés irradier par les messages subliminaux de la télévision et par d’autres sources de pollution. [...] C’est bien la télévision qui gouverne la volonté des masses et des classes moyennes. Seule une faible minorité échappe à l’embrigadement.

Mondialisme et satanisme américano-sioniste

Quant aux événements actuels, selon toute vraisemblance, le lobby américano-sioniste, après avoir inventé le « complot terroriste international » - ce qui est une manière d’avouer la conspiration pour terroriser les populations – cherche à énerver un peu les masses musulmanes et arabes, sachant qu’elles sont sous contrôle, plus intéressées par les rêves de Dallas que par le revival islamique. Et si elles descendent dans la rue au lieu de regarder le match en buvant du Coca, c’est qu’on les aura poussées par un féroce bombardement d’ondes capable de déclencher une crise de fanatisme.

Le but de la crise au proche-Orient est de focaliser l’angoisse du monde sur une région hautement magique qui fut le berceau du cycle des civilisations occidentales. Le serpent se mord la queue. Tout retourne au point de départ. Cette manœuvre pour tendre le fil jusqu’à son degré de résistance maximal permet d’amener progressivement une crise planétaire.

La crise finale
 
Les organisateurs savent où ils vont et comment ils vont y arriver. Cela demeure pour nous très tortueux et surréaliste. La crise finale s’alimente entre ces deux extrêmes : la menace de guerre d’un côté et l’espoir de paix de l’autre. La manipulation consiste à réguler ces deux courants par une propagande amplifiant les pulsions de révolte et de violence d’un côté, tout en stimulant le désir de paix et de sécurité de l’autre. Ces paroles sont sans doute pénibles aux oreilles des idéalistes qui sont tombés les yeux fermés dans la deuxième attitude, respectable au demeurant, mais qui témoigne d’une absence de lucidité par rapport à la dualité du « bien et du mal ». Voulons-nous continuer à être des billes dans le flippeur des maîtres du monde ? Alors, prenons parti en faveur du bien ou du mal avec lesquels ils contrôlent nos émotions, depuis zéro jusqu’à l’ébullition.

La menace d’un conflit généralisé débouchant sur une crise mondiale amènera une confusion et une détresse dont on ignore l’ampleur souhaitée par les maîtres du jeu. S’agit-il de déclencher un véritable déluge générant des catastrophes naturelles qui mettront les populations à genoux ? On ne sait jusqu’où le seuil de tolérance de l’humanité peut aller, mais un effondrement économique devrait suffire à inciter les masses à implorer le ciel.

Il ne sera pas difficile de lancer à la télévision le slogan « paix et sécurité ! » pour que plusieurs milliards de poitrines le reprennent en chœur. Tout cela sera suggéré au bon moment, et c’est pourquoi les maîtres de la guerre entretiennent un mouvement pacifiste international et qu’ils ont conservé jusqu’à ce jour les structures religieuses qui seront jetées après usage.

Lorsque l’humanité sera plongée dans la crainte d’une chaotisation, alors, les dirigeants de l’ordre mondial présenteront leur sauveur providentiel. Il faudra que l’humanité l’appelle de ses vœux, sinon cela ne pourra pas fonctionner. Vous voulez la paix et la sécurité ? Vous voulez un miracle ? Vous voulez le Messie ? Et bien, vous l’aurez voulu !

Toutefois, il est indispensable que le chef de l’ordre mondial soit investi d’une légitimité et que cet avènement relève d’une investiture sacrée car le fond humain est religieux.

Après l’Antéchrist…

Dans l’hypothèse d’une intervention X qui viendrait court-circuiter la phase finale du nouvel ordre mondial avec l’apparition de son chef messianique, on ne peut dire d’où viendrait ce contre-temps. Pourquoi un plan qui s’est déroulé au poil depuis deux siècles, capoterait-il sur le poteau ? Il y a peu d’imprévus, et les organisateurs ont sans doute un plan B. Qui peut changer le cours de ce qui est écrit ? Non, il faut que le scandale arrive sinon nous n’en verrons jamais le bout. Toutefois, il demeure des zones d’ombre qui laissent planer un certain suspense.

La France, fille aînée du Nouvel Ordre Mondial

On peut supposer que le trône de l’empire mondial reviendra au président de l’Europe lorsque ce poste sera mis en fonction sur la base de la Constitution Européenne qui scelle la fin de la souveraineté des nations libres du vieux monde. La rivalité artificielle entre les Etats-Unis et certains pays européens dont la France, sert à préparer cette situation d’émergence d’une Europe qui sera le porte-flambeau du nouvel ordre mondial aux yeux des nations. Les USA sont trop impopulaires.

Macron l'élu de Satan et d'IsraHell ?

Seul un président de l’Europe pourra ménager la sensibilité de l’Asie et l’Afrique, ce qui est impossible aux Etats-Unis impérialistes. Le candidat devra en outre revêtir une légitimité d’ordre théocratique afin de combler les attentes messianiques et les croyances enracinées dans les différentes cultures. Ce point est incontournable, et il explique pourquoi les réseaux du nouvel âge ont annoncé la venue d’un messie qui serait la synthèse à la fois du Christ, du Maitreya bouddhiste, de l’avatar Kalki hindou, de L’imam Maadi des musulmans, et bien entendu, du messie d’Israël, le justicier terrestre qui rétablira son « peuple élu » sur la Planète Promise…

Si l’on opte pour l’hypothèse d’un sauveur de type théocratique, il faudra qu’à la suite d’une propagande religieuse intense, il se présente comme un messie traditionnel doublé d’un homme d’état particulièrement charismatique. Un vraie bête politique que cette Bête ! Il lui faudra convaincre des races et des peuples opposés. Cela sera possible grâce à la technologie et aux satellites qui ont été mis en place dans ce but autour du globe. On peut diffuser des messages sonores que les gens croient entendre à l’intérieur d’eux-mêmes.

Les maîtres du complot

Avant que ce « sauveur » n’apparaisse, il faudra dévitaliser les dogmes religieux trop opposés. Cela n’est pas un problème grâce aux progrès de l'œcuménisme et par l’infiltration des Jésuites dans les religions du monde. Quatre siècles qu’ils y travaillent !

Si vous avez déjà vu un swami à la barbe blanche, vêtu de la robe safran des moines hindous, vous ne vous doutez peut-être pas que derrière sa peau sombre et son regard lumineux, se cache un père jésuite. Faites le tour de toutes les traditions, et vous aurez la même surprise, à travers les temples, les mosquées, les synagogues, les chapelles, les dojos, et bien entendu les loges, sans oublier pour l’anecdote les observatoires astronomiques ni les instituts scientifiques. Les jésuites n’ont pas chômé. Mais, leur reprocherons-nous d’avoir un projet et de la motivation, nous qui sommes si passifs ?

Ils se préparent à présenter au monde d’incroyables découvertes archéologiques qui bouleverseront les croyances religieuses traditionnelles. Ces révélations devraient rapprocher les croyants des diverses confessions autour d’un consensus théologique afin de les préparer à reconnaître la source commune de leur religion, et par conséquent l’unicité de leur sauveur ou messie. L’émotion de sa venue balaiera toutes les divisions dans une ferveur contre laquelle il ne fera pas bon émettre un doute.

Attendons le bouquet final en ne cédant pas à la séduction émotionnelle comme nos frères humains dont le test du 11 septembre 2001 a prouvé que la barrière immunitaire psycho-spirituelle est très endommagée.

Deux groupes humains

C’est pourquoi il y a deux groupes humains en présence sur la terre et ils se séparent l’un de l’autre à grande vitesse presque de jour en jour.

La minorité consciente est face à la multitude qui pourrait devenir hostile lorsqu’on la suggestionnera dans ce sens. Il va falloir se préparer à une longue résistance et peut-être à des persécutions. C’est pourquoi, il est temps de développer notre force intérieure. Nous sommes devant une occasion de mutation exceptionnelle."


Extrait de l'article "Les reçus et les recalés de Septembre 2001", revue Undercover (n° 7, mai 2003) qui a cessé de paraître (Certains titres de paragraphes ne sont pas dans l'article original).

Il est possible de se procurer les anciens numéros d'Undercover. Catalogue :

vendredi, décembre 08, 2023

Rite rabbinique à l'Elysée


Jeudi 7 décembre 2023 

"Vous ne rêvez pas ! Allumage de la 1ère bougie de Hanouka à l'Élysée par le Grand Rabbin de France en présence du président Macron. Une scène qui se déroule alors que la statue de la Sainte Vierge est déboulonnée et que des crèches sont interdites", écrit sur X Marcel D, créateur du Média en 4-4-2.

Le mot hébreu Hanouka signifie « inauguration ». La fête est ainsi nommée parce qu’elle célèbre la réinauguration du Second Temple de Jérusalem.


Un marrane franc-maçon à l'Elysée ?



Selon le neuro-chirurgien et essayiste nationaliste, Philippe Ploncard d'Assac (né en 1936), Emmanuel Macron est franc-maçon et marrane. Il écrit dans
 La Politique N° 195, avril 2018, "de Jack Lang, à Nicolas Sarkozy, François Hollande, à Emmanuel Macron aux origines « marranes » connues, c’est le même dénominateur commun que l’on retrouve dans leur haine de la France chrétienne." 

Adjoint au maire de Béthune de 1997 à 2001 et vice-président du conseil régional de 2004 à 2010, le Vert Alain Alpern affirme dans son blog : 

"Macron est juif et franc-maçon, ce qui lui a ouvert pas mal de portes.

Juif, cela parait impensable pour qui connait son parcours. Notamment, il a fréquenté le lycée La Providence, un établissement privé catholique d'Amiens fondé par la congrégation des jésuites. Mais, si mes sources sont bonnes, il est le fils d'un enfant caché, pendant la guerre, dans la région de Bagnères-de-Bigorre, où Emmanuel séjourne encore occasionnellement." 

"Autre indice, ajoute Alain Alpern, de la judéité de notre vedette : en septembre 2008, il se met en disponibilité de la fonction publique, et devient banquier d'affaires chez Rothschild & Cie, sur recommandation de 2 hommes qui ne cachent pas leur judéité, Jacques Attali et Serge Weinberg...

Bref, ce Marrane (du nom de ces juifs espagnols qui, dès le 15ème siècle, durent se convertir de force et continuèrent à pratiquer leur religion dans le secret) a su mener carrière grâce à sa foi secrète (qu'il n'a jamais confirmée) mais dont certains éminents dirigeants ont eu connaissance. [...]

Franc-maçon, disais-je... Attention, encore une fois, Macron ne l'a jamais avoué, mais je tiens l'information d'amis, francs-maçons eux-mêmes... [...]

Il n'est pas anodin que son premier soutien fut Gérard Collomb, maire de Lyon et franc-maçon proclamé...

Sa connaissance des réseaux juifs et maçonniques expliquent, en partie, sa carrière..."





jeudi, décembre 07, 2023

Le protestantisme



(16 minutes)
Youssef Hindi - Protestantisme, calvinisme et sionisme chrétien



Le protestantisme et la critique dissolvante  


Les « sciences traditionnelles » du moyen âge étaient réservées à une élite plus ou moins restreinte, et certaines d'entre elles étaient même l'apanage exclusif d'écoles très fermées, constituant un « ésotérisme » au sens le plus strict du mot ; mais, d'autre part, au second plan, et c'est le côté secondaire de la religion, nous voulons dire la morale, qui prit la première place : de là cette dégénérescence en « moralisme » qui est si sensible dans le Protestantisme actuel.

Il s'est produit là un phénomène parallèle à celui que nous avons signalé à l'égard de la philosophie ; la dissolution doctrinale, la disparition des éléments intellectuels de la religion, entraînait cette conséquence inévitable : partant du « rationalisme », on devait tomber au « sentimentalisme », et c'est dans les pays anglo-saxons qu'on en pourrait trouver les exemples les plus frappants. Ce dont il s'agit alors, ce n'est plus de religion, même amoindrie et déformée, c'est tout simplement de « religiosité », c'est-à-dire de vagues aspirations sentimentales qui ne se justifient par aucune connaissance réelle ; et à ce dernier stade correspondent des théories comme celle de l'« expérience religieuse » de William James, qui va jusqu'à voir dans le « subconscient » le moyen pour l'homme d'entrer en communication avec le divin. Ici, les derniers produits de la déchéance religieuse fusionnent avec ceux de la déchéance philosophique : l'« expérience religieuse » s'incorpore au « pragmatisme », au nom duquel on préconise l'idée d'un Dieu limité comme plus « avantageuse » que celle du Dieu infini, parce qu'on peut éprouver pour lui des sentiments comparables à ceux qu'on éprouve à l'égard d'un homme supérieur ; et, en même temps, par l'appel au « subconscient », on en arrive à rejoindre le spiritisme et toutes les « pseudo-religions » caractéristiques de notre époque [...].

D'un autre côté, la morale protestante, éliminant de plus en plus toute base doctrinale, finit par dégénérer en ce qu'on appelle la « morale laïque », qui compte parmi ses partisans les représentants de toutes les variétés du « Protestantisme libéral », aussi bien que les adversaires déclarés de toute idée religieuse ; au fond, chez les uns et les autres, ce sont les mêmes tendances qui prédominent, et la seule différence est que tous ne vont pas aussi loin dans le développement logique de tout ce qui s'y trouve 
impliqué.

En effet, la religion étant proprement une forme de la tradition, l'esprit anti-traditionnel ne peut être qu'antireligieux ; il commence par dénaturer la religion, et, quand il le peut, il finit par la supprimer entièrement. Le Protestantisme est illogique en ce que, tout en s'efforçant d'« humaniser » la religion, il laisse encore subsister malgré tout, au moins en théorie, un élément supra-humain, qui est la révélation ; il n'ose pas pousser la négation jusqu'au bout, mais, en livrant cette révélation à toutes les discussions qui sont la conséquence d'interprétations purement humaines, il la réduit en fait à n'être bientôt plus rien ; et, quand on voit des gens qui, tout en persistant à se dire « chrétiens », n'admettent même plus la divinité du Christ, il est permis de penser que ceux-là, sans s'en douter peut-être, sont beaucoup plus près de la négation complète que du véritable Christianisme. De semblables contradictions, d'ailleurs, ne doivent pas étonner outre mesure, car elles sont, dans tous les domaines, un des symptômes de notre époque de désordre et de confusion, de même que la division incessante du Protestantisme n'est qu'une des nombreuses manifestations de cette dispersion dans la multiplicité qui, comme nous l'avons dit, se retrouve partout dans la vie et la science moderne. D'autre part, il est naturel que le Protestantisme, avec l'esprit de négation qui l'anime, ait donné naissance à cette « critique » dissolvante qui, dans les mains des prétendus « historiens des religions », est devenue une arme de combat contre toute religion, et qu'ainsi, tout en prétendant ne reconnaître d'autre autorité que celle des Livres sacrés, il ait contribué pour une large part à la destruction de cette même autorité, c'est-à-dire du minimum de tradition qu'il conservait encore ; la révolte contre l'esprit traditionnel, une fois commencée, ne pouvait s'arrêter à mi-chemin... 

 René Guénon

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BONUS

Le Protestantisme et Mammon


Dès 1923, le pasteur E.W. Kenyon (1867-1948) se lança dans la promotion d’un nouveau christianisme. C’est lui le véritable père du mouvement qui se réclame de l’évangile de la prospérité.

Selon le pasteur Simon Mvondo, doyen de la Faculté de Théologie Biblique du Cameroun à Yaoundé :

Cet évangile se caractérise de deux manières. D’un côté, le chrétien doit posséder des richesses financières et matérielles qui sont, au dire des défenseurs de cet évangile, un signe de la bénédiction de Dieu.

Ainsi, un chrétien qui manque d’argent ou de biens matériels est considéré comme placé sous la malédiction de Dieu. Les adeptes de cet évangile recherchent des postes à grande responsabilité dans les lieux de service. Celui qui n’accède pas à ces postes à responsabilité n’est pas content de son sort. Alors il doit consulter son pasteur, son apôtre ou son prophète pour faire confession de péchés qui se cacheraient dans sa vie et adresser des prières à Dieu.

D’un autre côté, le chrétien doit être en bonne santé et ne pas souffrir de persécution ou de quelque problème que ce soit. D’où les prières de guérison et de délivrance organisées publiquement à même les carrefours des routes de nos villes et villages. Chaque difficulté dans la vie du chrétien est perçue comme un mauvais sort ou un démon lancé par notre adversaire le diable. Le chrétien doit donc ainsi se soumettre à la cure d’âme de ces leaders qui ont le prétendu don de guérison, de miracle ou de prophétie. Le mouvement a gagné l'Europe, l'Afrique et beaucoup d'autres endroits.

Le pasteur 
télévangéliste et éminent prédicateur de l'évangile de prospérité, Creflo Dollar le bien nommé, mène un train de vie princier. Il ne se déplace qu’en Rolls-Royce et en jet privé et est souvent accompagné de gardes du corps.


Creflo Dollar





mardi, décembre 05, 2023

Nous sommes tous des juifs à présent




"L’amère vérité, écrit Henry Makow, est que le judaïsme est un culte satanique (Satan-Mammon prince de ce monde et de l'argent) se faisant passer pour une religion. La plupart des Juifs et des chrétiens sionistes sont des dupes.

Les membres d’un culte satanique ne connaissent jamais le véritable ordre du jour. Les Juifs sont manipulés avec de fausses informations et des platitudes spécieuses. Ils pensent que l’antisémitisme est une «maladie irrationnelle». Comme la plupart des gens, ils veulent se conformer et être acceptés. Souvent cela relève d’une nécessité pratique.

De nos jours, par extension, la plupart de l’humanité se trouve dans cette situation. C’est-à-dire involontairement intronisée à un culte satanique : le judaïsme kabbaliste déguisé sous le masque de la laïcité. Nous sommes tous des Juifs à présent.

«Les Juifs se sont libérés à mesure que les Chrétiens se sont judaïsés», a écrit Karl Marx. «Ainsi, ils ont considérablement contribué à faire de l’argent, le moyen, la mesure et la finalité de toutes les activités humaines.» (Cité par Léon de Poncins, "Les Juifs et le Vatican", p.76) 

Les Juifs s’appuient sur deux livres différents. Les Juifs ordinaires et les gens en général considèrent l’Ancien Testament. (Même là, Dieu est de nature tribale et non universelle, pas vraiment Dieu mais plutôt un égrégore.) Seuls les initiés sont aptes à voir la véritable idéologie pernicieuse : la Kabbale et le Talmud qui contredisent effrontément l’Ancien Testament. Les Kabbalistes (c’est-à-dire les Illuminati) se vouent à inverser tout ce qui est sain, vrai et bon. Le Talmud considère les Juifs comme une race supérieure et voit les non-Juifs comme des sous humains.

«Jéhovah a créé les non-Juif sous forme humaine afin que les Juifs ne soient pas servis par des bêtes. Ainsi le non-Juif est un animal sous forme humaine, et condamné à servir le Juif, jour et nuit.»- Midrasch Talpioth, page 225, L.

«Vous êtes des êtres humains mais les habitants des nations du monde ne sont pas des êtres humains, mais des bêtes.» - Baba Mecia 114, 6.

La tragédie de la condition humaine est le produit de cet héritage kabbalistique haineux. Et le Nouvel Ordre Mondial est motivé par ce désir d’exploiter et de réduire en esclavage l’humanité. 


Cependant je tiens à souligner que la vaste majorité des Juifs et des francs-maçons ne connaissent pas le Talmud et la Kabbale et s’opposeraient probablement à ce plan, s’ils parvenaient à comprendre qu’il existe réellement. [...]


Note sur la franc-maçonnerie :

La franc-maçonnerie est du kabbalisme pour les Gentils. Les goyim profitent du contrôle frauduleux des banquiers juifs sur le crédit des nations et leur servent en échange d’instrument de procuration.

Le Dr. Isaac Wise a écrit: «La franc-maçonnerie est une institution juive dont l’histoire, les degrés, les charges, les mots de passe et les explications sont juifs du début à la fin.»

Le kabbalisme est un culte satanique sexuel dédié à l’adoration du pénis. Ses symboles (les obélisques comme celui du monument de Washington) sont partout présents au sein de nos villes.

Dans son ouvrage "Morals and Dogma", 1871, Albert Pike a déclaré que les maçons des degrés inférieurs sont maintenus dans l’ignorance au sujet de la consécration de la franc-maçonnerie à Satan, ainsi qu’à propos de la pratique de l’homosexualité.

Un initié «commémore par une observance sacramentelle cette passion mystérieuse ; et tandis qu’il pénètre la chair nue de la victime, il semble revigoré par un extrait de la fontaine de vie universelle… d’où la signification du phallus.» (p. 393) En 1919, les archives maçonniques de Budapest furent saisies. Les Chrétiens découvrirent que lors d’un conclave du B’nai Brith ayant eu lieu en 1897, le Grand Maître avait dit: «Nous devons répandre l’esprit de révolte au sein des travailleurs. C’est eux que nous devons envoyer sur les barricades, en s’assurant que leurs désirs ne soient jamais satisfaits, car nous avons besoin de leur mécontentement pour ruiner la civilisation chrétienne et provoquer l’anarchie. Il est nécessaire que le moment advienne où les Chrétiens imploreront eux-mêmes les Juifs de prendre le contrôle.» (Cecile Tormay, An Outlaw’s Diary) Le père Maximilien Kolbe (1894-1941) que le Pape Jean-Paul II a canonisé en 1982, a écrit: «Nous pouvons identifier avec certitude une mafia appelé la «franc-maçonnerie». La main manœuvrant tout cela vers un but clair et spécifique est le sionisme international.»

«La franc-maçonnerie est le plus grand ennemi de l’Église. En fait, par ses tentacules orientés dans toutes les directions, elle est capable d’affecter tout le monde… [Ses rangs comprennent] des gouverneurs, des ministres, des hommes d’affaires, des personnalités de haut rang, si bien qu’elle peut diriger partout et toujours… Le cinéma, le théâtre, la littérature, l’art en général, tous sont largement dirigés par la main invisible de la franc-maçonnerie.»

Henry Makow, Illuminati 3téléchargement gratuit ICI


Illuminati III

Cela ressemble au scénario d’un film de science-fiction des années 50. L’humanité est sous l’emprise d’un culte satanique. Tous ceux qui veulent progresser socialement doivent volontairement ou non, obéir à ce culte. Nos dirigeants politiques subissent un chantage sexuel pour s’assurer de leur loyauté à la cause. Bien que les monuments phalliques et les pyramides de ce culte soient présents partout, personne n’ose mentionner son nom, ni défier sa domination. Nous souffrons de dissonance cognitive. Nous sommes l’objet de constantes attaques psychiques, pourtant ces assauts ne sont pas rapportés par les médias de masse. La société ressemble à un géant aveugle et sourd conduit par un démon. La loi de Murphy s’applique. Ce qui doit mal se passer finit par arriver. C’est bien le cas pour l’humanité en général. La société occidentale a été subvertie par ce culte. Une toute petite clique de banquiers kabbalistes, les Illuminati, ont supplanté Dieu (c’est-à-dire les lois morales et naturelles de l’Univers) au nom de termes spécieux comme «l’humanisme», la «raison» et le «progrès». Ainsi, inversent-ils le vrai et le faux, le bien et le mal, décrétant que l’homosexualité, la promiscuité, la pédophilie, la bestialité et l’inceste sont sains et naturels. ...


dimanche, décembre 03, 2023

La fin du chantage à l’antisémitisme

 



Dominique de Villepin accusé d'antisémitisme "après avoir pointé du doigt le poids financier sur les médias et le monde du spectacle qui musèle l’opposition à la politique de nettoyage ethnique mené par l’État juif".


La fin du chantage à l’antisémitisme

Par Youssef Hindi


Sommaire

- Le mythe du peuple-race

- Israël et le nouvel antijudaïsme

*


Il y a bien longtemps que la chasse aux antisémites a viré au délire paranoïaque. Le dernier exemple en date est l’accusation dont a fait l’objet Dominique de Villepin après avoir pointé du doigt le poids financier sur les médias et le monde du spectacle qui musèle l’opposition à la politique de nettoyage ethnique mené par l’État juif. Pourtant, Jacques Attali, qui a accusé l’ancien ministre d’antisémitisme, a écrit un livre entier pour vanter les mérites des juifs dans le domaine économique : "Les Juifs, le monde et l’argent – Histoire économique du peuple juif" (Fayard, 2002).
La vantardise de Jacques Attali, qui se targuait d’avoir « inventé Emmanuel Macron », devient de l’antisémitisme lorsqu’un non-juif pointe du doigt ce fait.

Nous allons tenter ici de démêler les nœuds historiques, théologiques et « raciaux » qui sous-tendent l’accusation d’antisémitisme. Cette brève étude servira d’outil d’autodéfense contre le « rayon paralysant » de l’antisémitisme.


Le mythe du peuple-race


Le concept d’antisémitisme s’appuie sur le judaïsme, religion d’un peuple particulier, « sacré », les Hébreux.

« Tu es un peuple consacré par Yahvé, ton Dieu : il t’a choisi, Yahvé, ton Dieu, pour lui être un peuple spécial entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. Si Yahvé vous a préférés, vous a distingués, ce n’est pas que vous soyez plus nombreux que les autres peuples, car vous êtes le moindre de tous ; c’est parce que Yahvé vous aime... » (Deutéronome 7, 6-8)

Au cours du XIXe siècle, le grand historien juif allemand Heinrich Graetz (1817-1891) a laïcisé l’ethnocentrisme biblique pour rétablir le lien entre les juifs que l’assimilation tendait à rompre. Dans les années 1850, il fait paraître un ouvrage sur l’histoire des juifs, L’Histoire des juifs depuis les temps anciens jusqu’à nos jours.

Graetz diffusa cette forme laïcisée du concept biblique de peuple-race juif en tant que nation. Il postule dans son ouvrage une continuité historique du peuple juif, afin de recréer un lien – quelque peu rompu par l’émancipation – entre toutes les communautés juives. Il défend l’idée que les juifs constituent un seul et même peuple, une seule et même race avec une seule et même origine.

Il laïcisa également l’idée proprement biblique de la supériorité du peuple juif sur les autres – « Yahvé vous a consacrés, préférés, vous a distingués ». Graetz préconisait donc une mise à l’écart vis-à-vis du reste du peuple allemand ; les juifs ne devaient en aucun cas s’assimiler aux Allemands et aux autres peuples, sous peine d’en être souillés.

Son ouvrage fut d’ailleurs utilisé par les premiers colons sionistes, et encore aujourd’hui il demeure une référence majeure dans les livres portant sur l’histoire du peuple juif, et il est enseigné en Israël.

À propos de ce racialisme biblique laïcisé appliqué par le sionisme, l’historien israélien Shlomo Sand écrit :

« Le sionisme prit à la tradition religieuse juive son aspect le plus orgueilleux et le plus refermé sur soi-même. La proclamation divine : "C’est un peuple qui a sa demeure à part, et qui ne fait point partie des nations" (Nombres 23, 9), destiné à édifier une communauté monothéiste élue et sanctifié au sein du monde antique, fut traduite en une philosophie d’action laïque séparatiste. » 

Le judaïsme est une religion non universelle, qui ne repose par sur la foi, mais sur la race, et qui se transmet par le sang. Ainsi, la plupart des juifs, croyants ou athées, pensent appartenir à un peuple-race descendant direct des Hébreux. Les juifs du Maghreb ne sont pas des descendants des Hébreux. Ils sont majoritairement des Imazighen (Berbères) convertis au judaïsme ; les autres sont des juifs d’Arabie, venus avec les musulmans en Afrique du Nord. Quant aux Ashkénazes, les études génétiques récentes sont formelles :

« En 2020, les Ashkénazes, ou Juifs d’Europe du Nord, représentent 75 % des Juifs du monde. Aujourd’hui, après un siècle de recherches, nous sommes sur le point de comprendre enfin leurs origines, tant sur le plan culturel que génétique. Les Ashkénazes ne sont pas simplement les descendants de gentils européens convertis au judaïsme. Tous portent une signature génétique claire d’une ascendance moyen-orientale. Leur composante ancestrale majoritairement européenne n’est pas non plus homogène ; la plupart de leurs ancêtres européens étaient semblables aux Européens du Sud modernes, tandis qu’une petite minorité d’ascendants ashkénazes ressemble davantage aux populations d’Europe du Nord. Enfin, l’analyse ne révèle pratiquement aucune sous-structure génétique chez les Ashkénazes d’Europe. Les Juifs lituaniens, ukrainiens, polonais, roumains et hongrois ont tous les mêmes ancêtres, alors qu’ils ne descendent pas de populations juives locales et régionales distinctes (comme c’est le cas, par exemple, des Romaniotes, les Juifs originaires de Grèce)…

Ces découvertes génomiques ont permis aux scientifiques et aux historiens d’esquisser au moins les grandes lignes d’un récit sur l’émergence des Ashkénazes. Jusqu’à cette année, l’histoire par défaut de l’ethnogenèse ashkénaze était qu’il y a environ un millénaire, un groupe de Juifs a quitté les territoires post-romains de l’Europe occidentale, la Gaule (France), l’Ibérie (Espagne) et l’Italie, pour émigrer en Allemagne via la Rhénanie. Ces migrants étaient issus d’un mélange de divers gentils d’Europe du Sud, d’Italie et d’Ibérie, ainsi que de migrants juifs du Moyen-Orient. La date d’apparition de cette population est encore débattue. Le mélange clé entre Juifs et Gentils a peut-être commencé dans les siècles qui ont suivi la chute de Rome, ou peut-être à l’apogée de l’Empire. L’ascendance paternelle de ces Juifs provient du Moyen-Orient. Néanmoins, ils ont périodiquement épousé des femmes locales, comme en témoignent leurs nombreuses lignées d’ADNmt [génome mitochondrial, NDLR] qui ne sont pas typiquement moyen-orientales.

Se déplaçant vers l’est à travers la vaste frontière alors ouverte par l’expansion de la Pologne-Lituanie de la fin du Moyen Âge et du début de la modernité, ces proto-Ashkénazes se sont mariés avec un petit nombre de locaux, augmentant minimalement leur fraction ancestrale européenne le long d’une trajectoire alimentée par un taux de natalité élevé pour devenir l’une des plus grandes minorités d’Europe de l’Est. Ce n’est qu’alors, il y a deux siècles, que les forces inexorablement inquisitrices des Lumières ont attiré l’attention de leurs concitoyens européens sur cette communauté humaine singulière, et que les Ashkénazes ont revendiqué leur rôle de premier plan sur la scène intellectuelle et culturelle du continent sur lequel ils avaient résidé pendant plus d’un millénaire. » 

Si les descendants des Hébreux sont quelque part, c’est en Palestine ; et c’est ce que mettent en évidence les études génétiques qui ont comparé l’ADN des Palestiniens aux anciens ADN des Cananéens, des Israélites et des Judéens. Le sionisme a donc consisté à implanté en Palestine des descendants d’Européens convertis au judaïsme chassant les Palestiniens qui sont, eux, de vrais sémites.

Il est fascinant de constater que le monde occidental, matérialiste, qui prétend avoir dépasser « les vieilleries religieuses et les mythes », a adopté la narration sioniste et ses fondements théologico-raciaux directement issus de la Bible hébraïque, laquelle sert d’ailleurs de cadastre aux juifs sionistes religieux et athées. Et ce, au point d’amalgamer complètement le sionisme avec l’idée de peuple-race juif.

En effet, l’antisionisme est considéré comme de l’antisémitisme par le président de la République « laïque » française. Le 16 juillet 2017, lors du 75e anniversaire de la rafle du Vel’ d’Hiv’, Emmanuel Macron, en présence du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, a déclaré, sous les applaudissements de l’assistance : « Nous ne céderons rien à l’antisionisme, car il est la forme réinventée de l’antisémitisme. »

Israël et le nouvel antijudaïsme

L’écrivain juif français Bernard Lazare a mis en évidence, dans son ouvrage L’Antisémitisme, son histoire et ses causes (1894), que depuis l’Antiquité, à Rome, à Alexandrie et ailleurs, puis durant tout le Moyen Âge en Europe, la présence des juifs et leurs activités (notamment économique) a systématiquement déclenché l’antijudaïsme des peuples.

La question de l’antijudaïsme se pose à nouveau mais de manière différente aux époques précédentes, pour deux raisons : la mondialisation, qui permet, entre autres choses, et via Internet, de diffuser la même information, les mêmes faits, la même réalité, instantanément et partout dans le monde ; et l’existence de l’État d’Israël, dont les atrocités qu’il commet depuis des décennies, l’épuration ethnique dont il se rend actuellement coupable et l’incroyable insolence qu’il affiche, ne manquent pas de susciter l’hostilité de tous les habitants de la planète.
La conséquence en est la montée graduelle, et à terme exponentielle, de l’antijudaïsme, de manière simultanée dans de nombreux pays du monde, y compris à la tête des États.

Ce ne sont pas les antisionistes qui amalgament judaïsme, race et sionisme, mais les juifs sionistes eux-mêmes. Et ceci est extrêmement dangereux, car tous les juifs se retrouvent associés à l’infamie israélienne. Raison pour laquelle Rony Brauman (médecin et fils d’un militant sioniste) a récemment déclaré :

« Moi je suis juif et je considère qu’Israël me met en danger... Israël aujourd’hui, met en danger les juifs » ; et d’ajouter que non seulement Israël est « l’endroit où les juifs sont le plus en danger au monde mais Israël met en danger les juifs du monde ». 

Le chantage à l’antisémitisme est désormais une arme inefficace, en raison de son utilisation intempestive. Ce chantage est devenu dangereux, non pas pour ceux qui critiquent Israël et dont le nombre augmente de façon exponentielle, mais pour les juifs qui sont de facto associés à la politique d’épuration ethnique que mènent le foyer national juif et Israël depuis un siècle. Quand Netanyahou dit du peuple juif qu’il est celui de « la lumière » contre « le peuple des ténèbres », à savoir les Palestiniens, il est fidèle à la Bible hébraïque selon laquelle « Yahvé a consacré, préféré, distingué » le peuple juif. Ceux qui, parmi les juifs, apportent leur soutien inconditionnel à Israël apparaissent aux yeux du monde comme des tribalistes, exceptionnalistes, suprémaciste qui applaudissent une épuration ethnique qui a lieu sous nos yeux.

Par conséquent, il est urgent, vital, notamment pour les juifs, d’accepter la réalité historique, théologique et génétique.
Les juifs ne sont pas les descendants des Hébreux ; les juifs ne constituent donc pas une race à part et supérieure, et la loi juive interdit le retour en Terre sainte avant l’arrivée du Messie. Quant à ceux qui voient des antisémites partout, ils sont désormais considérés comme des paranoïaques ou des manipulateurs.

C’en est fini du chantage à l’antisémitisme.

Youssef Hindi

Source

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BONUS :


Télécharger gratuitement le livre de Texe Marrs, "La science de l’ADN et le sang de la lignée juive".

Qui sont les Juifs ? Qui sont leurs ancêtres ? Les Juifs sont-ils une race homogène ? Les Juifs descendent-ils d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ?

Aujourd’hui, la science de l’ADN révèle que presque tous les Juifs dans le monde proviennent de la Khazarie. Ils ne sont pas de la lignée d’Abraham et des prophètes, mais du roi Bulan et des peuples païens du Caucase. Les ancêtres des Juifs d’aujourd’hui ne sont pas les Israélites, mais les Khazars. Au 8e siècle, le peuple de la Khazarie se convertit du paganisme au judaïsme.

Au 10e siècle, ces Khazars convertis « juifs » émigrèrent vers l’Europe de l’Est, particulièrement en Pologne et en Lituanie. En 1948, les Khazars, se croyant erronément des « Juifs », arrivèrent en territoire de la Palestine et y installèrent l’état d’Israël. Le peuple d’Israël d’aujourd’hui est pratiquement tout d’extraction khazare (de souche turco-mongoloïde). Les « Juifs » n’ont aucun droit génétique sur la terre d’Israël, pas plus que de lien familial avec l’Israël de l’histoire. La science de l’ADN se joint aux récentes découvertes de l’histoire et de l’archéologie pour présenter au monde un portrait exact et remarquable du peuple juif. Maintenant, tout change !

samedi, décembre 02, 2023

Le Mouvement pour l'Intégration Spirituelle dans l'Absolu

 

Lors des retraites de yoga MISA
(le Mouvement pour l'Intégration Spirituelle dans l'Absolu)
les plus belles femmes sont élues “Miss Shakti“



Gregorian Bivolaru et le Mouvement pour l'Intégration Spirituelle dans l'Absolu


Par Elisabeth Feytit


Gregorian Bivolaru, gourou de l'organisation internationale de yoga tantrique MISA (Mouvement pour l’intégration spirituelle vers l’absolu, renommé Atman) a été arrêté le 28 novembre 2023.

175 policiers signent un gros coup de filet puisque suite à une intervention simultanée dans quatre villes différentes (région parisienne et Alpes-Maritimes), 40 responsables du groupe ont également été interpellés, dont certains officiant en France (association Yoga Intégral).

Sur les lieux de l’interpellation, 26 femmes ont été également trouvées, vivant dans des conditions d’hygiène déplorables. Elles ont été libérées.

Déjà condamné pour viol sur mineurs en Roumanie et sous le coup d’un mandat d’arrêt européen d'Interpol, le gourou d’origine roumaine, vivait en France, d’où il gérait une galaxie de centaines d'écoles dans 31 pays, dont la France. Il est suspecté de “traite de personnes“, “séquestration en bande organisée“, “viol“ et “abus de faiblesse en bande organisée“.

J’avais évoqué ce sinistre personnage qui dit très officiellement avoir pour mission de coucher avec mille vierges pour atteindre l’éveil dans la série “Yoga, super pouvoirs et secte sexuelle“ avec Geoffrey L’anonyme en avril 2022. En effet, l’école de yoga Agama, évoquée dans l’émission, est une émanation directe de MISA. Son gourou Narcis Tarcau, Roumain lui aussi, est accusé de viols et exploitation de ses adeptes, mais continue tranquillement ses activités sur une île paradisiaque de Thaïlande.

L’expérience racontée par Geoffrey montre très concrètement la manière dont les victimes principalement des femmes, étaient amenées, par des techniques de manipulation bien rodées et au fil des années, à perdre toute notion de consentement et à accepter des relations sexuelles avec leur gourou et d’autres enseignants, dans l’espoir d’un avancement spirituel.

Concernant Gregorian Bivolaru, les victimes qui ont pu témoigner expliquent que MISA fonctionne par cercles concentriques, avec comme produit d’appel le yoga tantrique. Ensuite, on propose aux femmes les plus engagées (venues des 4 coins de la planète) de se rendre sur les bords de la Mer noire à un rassemblement international, pendant lequel les plus belles femmes seront élues “Miss Shakti“. Des photos d’elles en sous-vêtements étaient envoyées à Bivolaru, qui faisait son choix (en excluant les Françaises, pour éviter les poursuites judiciaires) et les faisait venir en France. Dans la maison principale du circuit, vivaient en permanence 30 à 60 femmes qui se subdivisent en 3 groupes :

5 à 10 d’entre elles étaient préparées pendant 15 jours avant d’être envoyées dans une garçonnière parisienne pour être “initiées“ dans des conditions d’une extrême violence par le gourou avant d’être renvoyées dans leur pays d'origine, 15 femmes roumaines s’occupaient de la logistique et 20 femmes roumaines contribuaient à des services sexuels (en ligne ou pas) pour financer les activités du groupe.

Par ailleurs, un ashram près de Fontainebleau hébergeait certaines femmes pour de plus longs séjours : le cercle le plus interne de MISA.

J’avais été informée de l’ouverture d’une information judiciaire par le parquet de Paris en juillet 2023 suite à un signalement de la Miviludes au procureur de la République un an plus tôt et je savais que son arrestation était imminente.

Mais les choses sont toujours très incertaines dans ce genre d’affaire où les ramifications politiques peuvent être profondes. Il est évident qu’un réseau d’une telle ampleur a ses protecteurs ; Bivolaru comme Tarcau s’en targuent d’ailleurs !

En 2005, alors que Bivolaru avait été condamné à 6 ans de prison en Roumanie pour viol sur mineur, il avait obtenu l’asile politique en Suède, ainsi qu'une nouvelle identité. Deux députés danois du Parlement européen l’avaient alors publiquement défendu, dont une députée qui était adepte de la branche danoise du mouvement… Arrêté en France en 2016 et extradé en Roumanie, il n’a purgé qu’un an de prison, ce qui lui a permis de repartir en Scandinavie, précisément quelques jours avant que de nouvelles poursuites ne soient engagées contre lui. Recherché par Interpol, il s’était alors réfugié à Paris, où il vivait depuis des années.

Espérons cette fois que justice soit faite et que les ami•es haut placés de ce criminel soient elleux aussi inquiétés.

Pour aller plus loin :

1. Un réseau sectaire de yoga tantrique démantelé en France (RFI, novembre 2023).

2. Yoga, super pouvoirs et secte sexuelle (Méta de Choc, avril 2022)
https://metadechoc.fr/podcast/yoga-super-pouvoirs-et-secte-sexuelle/


Source : Méta de Choc https://twitter.com/ChocMeta



Elisabeth Feytit est entrée dans la spiritualité du “New Age” par la porte du développement personnel. Elle explique aujourd'hui les dérives de ce courant spirituel.


jeudi, novembre 30, 2023

Un gourou et 40 personnes ont été arrêtés en France


Gregorian Bivolaru avait déjà été arrêté en 2004 en Roumanie, accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec une mineure.

La police française a démantelé un réseau international de yoga controversé et placé 41 personnes en garde à vue, dont son chef spirituel.

Un total de 41 personnes ont été interpellées mardi par la police en France, soupçonnées d’être liées à une secte internationale accusée de nombreuses dérives sous couvert de pratique du yoga, a-t-on appris de source proche du dossier, confirmant une information de Libération.

Parmi les interpellés figure Gregorian Bivolaru, le gourou roumain et fondateur de ce mouvement international de yoga controversé, a précisé cette source. Le chef spirituel de la fédération de yoga tantrique Atman est accusé d’endoctriner les adeptes féminines de son organisation afin de les exploiter sexuellement, selon des informations de Libération.

Gregorian Bivolaru a été arrêté lors d’un vaste coup de filet durant lequel 175 policiers sont intervenus en simultané dans plusieurs régions de France. Selon les témoignages de victimes, le Roumain de 71 ans aurait fait venir ses fidèles dans une maison de la région parisienne pour des «initiations sexuelles» de yoga tantrique.

Déjà condamné pour viol sur mineur en Roumanie et recherché par Interpol pour «traites de femmes», Gregorian Bivolaru fait l’objet d’une information judiciaire depuis juillet 2023 pour «traite de personnes», «séquestration en bande organisée», «viol» et «abus de faiblesse en bande organisée par des membres d’une secte», détaille le média français.




dimanche, novembre 26, 2023

La série britannique Torchwood et les prédateurs d'enfants


Résumé Torchwood Saison 3, épisode 5: "Les enfants de la terre". 
Le colonel Oduya apprend que les enfants représentent en fait une drogue pour des non-humains. Les autorités font regrouper les enfants du pays dans les écoles pour lancer une campagne de vaccination...


La dernière saison de Torchwood, « Les enfants de la Terre », écrite par Stephen Russell Davies, officier de l’Ordre de l’Empire Britannique, diffusée en 2009, est-elle une pure fiction ?


De terribles prédateurs, les 456, vivant probablement dans une autre dimension, ont besoin de la vitalité des enfants de la Terre. Ils envoient un répugnant et redoutable émissaire pour traiter directement avec les gouvernements terriens.

Les puissants qui nous gouvernent sont dépeints avec réalisme. Ils sont calculateurs, cyniques, dénués de compassion. Ils collaborent immédiatement avec les 456. Des millions d’enfants issus des milieux les plus modestes seront déportés dans le monde des prédateurs à condition que la progéniture des puissants et des nantis soit épargnée.

Le pouvoir politique répand un mensonge pour amadouer les populations. On fait croire qu’une terrible pandémie menace le monde. Les enfants doivent être rapidement vaccinés.

L’armée entre en action, prétextant la vaccination, les enfants des classes populaires sont raflés dans les écoles et chez eux…


Sohrawardî & la philosophie illuminative



Sohrawardî, né en 1155, au nord-ouest de l’Iran, dans l’ancien pays des Mèdes, est appelé le cheikh al-Ishrâq ou Sâhid al-Ishrâq (Maître de la philosophie illuminative).


Sohrawardî considère que la philosophie est indispensable au mystique, de même qu’un philosophe ne peut pas se passer de la mystique ; ces deux voies se complètent et ont besoin l’une de l’autre. Tout d’abord, par une trilogie d’ouvrages nommés « Kitâb at-Talwîhât al-lawhîyah wa-l’arshîya », « Kitâb al-Muqâwamât » et Kitâb al-Mashâri’ wa-l-Mutârahât », il prépare les disciples à une formation philosophique. Celle-ci se fonde sur l’héritage des néoplatoniciens, ou plutôt sur une mise au point personnelle de Sohrawardî qu’il appelle la philosophie des « Anciens Péripatéticiens ». C’est un entraînement dialectique destiné à celui qui veut suivre de près le contenu de ses philosophèmes exposés dans son « Hikmat al-Ishrâq », « la philosophie de l’Orient » qui est « une philosophie illuminative ».


Le philosophe gnostique à la rencontre de l’Ange


Qui est l’Ange personnel ?

« Le thème du soi impliqué comme « réalité objective » dans la connaissance de soi, dans l’acte du sujet se connaissant soi-même, a trouvé sa résolution finale (au sens musical du mot) dans la rencontre de l’Ange au Sinaï mystique. Plus exactement dit, le soi nous apparaît dès lors, en tant que notre moi essentiel et authentique, comme moi à la seconde personne, alter ego, si réel que le moi terrestre qui en est le reflet, l’image exilée, entre en dialogue avec lui. Qu’il soit l’archétype éternel du gnostique, qu’il lui révèle son origine, ce qu’il était avant d’être manifesté, projeté et exilé en ce monde-ci, que pour le retrouver, se conjoindre de nouveau à lui, il faille au gnostique cette quête de la connaissance de soi dont le récit de Sohrawardî vient de nous figurer les étapes jusqu’au passage par la Source de la Vie, c’est ce qu’attestent les déclarations de l’Ange au gnostique qui est son « enfant », de même que l’Ange est lui-même l’« enfant » de l’Ange qui le précède. Les termes les plus caractéristiques qui le désignent dans la gnose islamique en général, sont les équivalents des termes usités pour l’Ange dans la gnose tout court : l’homme essentiel, réel (al-insâm al-haqîqî = ho ontôs anthrôpos), l’homme parfait (al-insân al-kâmil = anthrôpos teleios), Nature Parfaite, moi-lumière, homme de lumière (shakhs nûrânî) etc. » (Henry Corbin)


Initiation à la chevalerie spirituelle


Dans ces récits d'initiation qui font suite au texte de Sohravardî traduit et présenté antérieurement par Henry Corbin sous le titre « L'Archange empourpré », ce qui nous est proposé est comme une aventure religieuse du Moi profond. Dans la doctrine sohravardienne de l'Ishrâq, l'« Ange » est en effet le double céleste de la psyché terrestre. Etre de lumière qui le fond dans sa réalité d'âme, l'« Ange » est le principe transcendant de son individualité. Le Destin de l'homme est unique et voué à l'Unique. Mais un Unique qui n'est tel que pour chacun. Le sens dernier de ce livre est que notre solitude au sein du monde n'est pas un destin sans issue mais une essentielle « dualitude ». Cette autre part de nous-même qu'est notre « Ange » peut nous soutenir dès ici-bas si nous savons entendre son appel transformant, au cœur de notre vie la plus singulière.



Illustration : "Ange", par William Blake

jeudi, novembre 23, 2023

Quand on abolira la circoncision, le monde sanglant cessera de marcher sur la tête



"La suppression radicale de la circoncision au 8ème jour réglerait la question juive (Comme je l’ai expliqué dans mes ouvrages secrets). Mais, hélas, le Judéo-Cartésianisme est lancé et rien ne peut désormais arrêter sa course vers le néant. Le Rothschildo-Marxisme va nous exterminer. Après les ruines… On verra !
Après l’âge de fer, du béton, des ténèbres, ce sera l’âge d’or mais nous ne serons plus là pour le voir."

"Il n’existe plus désormais que deux partis : le mondialisme, judéopathie totalitaire, exterminatrice de l’homme et de la planète, et le nationalisme des Goyim qui ne sont pas encore totalement nécrosés par l’influence capitalisto-marxiste juive." 


Il faut abolir la circoncision, alors le monde sanglant cessera de marcher sur la tête

Par Roger Dommergue 



Un écrivain, Dominique Aubier, qui écrivit, pour les Juifs exclusivement, un livre sur la circoncision, a dit « Qui aurait pu penser qu’un rite pût aller si loin et risquer de tout détruire à la frontière des nations ? » .

Il est maintenant temps de soulager les Juifs de leur immense fardeau qui est en fait le plus grand marché de dupes de toute l’humanité.

Il est important de savoir que le système hormonal commande l’être et le système nerveux qui ne joue qu’un rôle très effacé dans des activités complexes.

Dans ma thèse de doctorat : « Le dandysme, hyperthyroïdien physiologique » j’ai montré que Chopin, Musset, Lamartine, etc., sont des thyroïdiens. Cela définit leur physique et leur mentalité. Leur hypersensibilité, leur réaction extrême au système nerveux, vient du fait que ce sont des thyroïdiens.

Au huitième jour après la naissance, la première puberté, qui va durer 21 jours, empêchera l’harmonisation de tout le système glandulaire. La génitale interne hypotrophiée affaiblira le sens moral et l’esprit de synthèse. Ils auront tout juste assez de génitale interne pour diriger hypophyse et thyroïde qui seront développées de façon considérable : aussi des spéculations extraordinaires se développeront mais l’être n’aura aucun scrupule. Le circoncis au 8e jour pourra tricher et mentir uniquement selon son intérêt matériel. Voilà qui explique clairement l’antisémitisme de tous les temps et de tous les lieux.

Leurs énormes possibilités analytiques, leur mémoire, feront d’eux de remarquables spécialistes dans les aspects les plus divers : finance, médecins spécialistes, avocats beaucoup plus compétents que la plupart des goyim. Les prix Nobel de science vont foisonner (peut-être pas au profit de l’humanité, mais cela est un autre problème ; "le mensonge du progrès c’est Israël", a dit Simone Weil).

Leur thyroïde puissante leur donnera des automatismes remarquables comme le pianiste Horowitz, ou le violoniste Yéhudi Menuhin. 
Malheureusement ces extraordinaires qualités ne vont pas guérir la finance, l’usure et le progrès. Par exemple l’énorme escroquerie de la Federal Reserve montre un énorme potentiel spéculatif et un manque complet de sens moral. Une plaisanterie connue dit :  « A côté des financiers, Al Capone est un gentleman ».

Ainsi Rothschild et Marx ne sont pas antagonistes, le premier dirige tous les gouvernements par l’argent, le second règne sur les masses par la révolution.

Pour rendre la liberté aux Juifs il faut donc abolir la circoncision : alors le monde sanglant cessera de marcher sur la tête.

Nous sommes tous manipulés : le problème est donc de sauver les Juifs en réparant un désordre hormonal. [...]

Supprimons à jamais la circoncision au moment de la première puberté et le cauchemar planétaire s’évanouira.

Si la circoncision n’est pas abolie, les jeunes Juifs ne connaîtront que l’avenir des cimetières.

La farce juridique, sorte de confiture informe qui implique que la liberté d’expression soit interdite aux révisionnistes, est une preuve ubuesque de la dictature juive. Les parlementeurs sont complices ils sont bien payés par le bulletin de vote et nos impôts.

Peu importe si un enfant sur quatre meurt toutes les quatre secondes… étranglé par la spéculation.

Si la circoncision au 8e jour n’existe plus, la génitale interne retrouvera la plénitude de ses fonctions et la thyroïde et l’hypophyse resteront très efficientes, par hérédité, ce qui justifiera l’émergence de vraies élites.


Livres de Roger Dommergue Polacco de Menasce :

La fin des impostures

Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d'avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique. De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombés dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l'exemple type du juif de religion catholique. Tout d'abord les sémites ne sont pas d'origine européenne, ils sont ethniquement proches de l'arabe, pas du gaulois. Ensuite le juif appartient d'abord au peuple d'Israël, c'est sa communauté nationale. Enfin le judaïsme entérine religieusement le plus vieux racisme que la terre ait jamais porté. Seul le peuple élu appartient à l'essence même de dieu, les autres hommes sont assimilés à des animaux. Pas de prosélytisme chez les rabbins, convertir des animaux au judaïsme est inutile. Preuve de sa félonie, le juif se dit Français d'origine roumaine (François Copé, Pierre Moscovici), Français d'origine hongroise (Nicolas Sarkozy), Français d'origine luxembourgeoise (Stéphane Bern), Français d'origine espagnole (David Pujadas)... Quand il ne se dit pas Français, le juif se dit Européen, Corse, Breton ... Citoyen du monde. Mais jamais, oh combien jamais il ne se dit juif.





PDF gratuit ICI

Un souci de vérité synthétique motive ce long exposé. Je vous le livre sans aucun espoir de réponse intelligente et exhaustive. En effet hormis Simone Weil, Bernard Lazare, Bergson et quelques autres congénères, je n'ai jamais rencontré de Juif intellectuellement honnête. Je ne vois que leurs mensonges et leur mauvaise foi exsuder de partout. J'aimerais ne pas être parmi les Juifs, une rarissime exception susceptible de probité et de synthèse. Poser la question du silence de Heidegger est déjà inconscient en soi et je vais m'en expliquer de la façon la plus claire possible. L'histoire contemporaine nous montre clairement que la méconnaissance de l'ordre hiérarchique fondé sur la suprématie de l'autorité spirituelle sur le temporel, entraîne nécessairement, déséquilibre, anarchie sociale, confusion des valeurs, domination de l'inférieur sur le supérieur, dégénérescence biologique, intellectuelle, morale, esthétique, oubli des principes transcendants puis négation de la véritable connaissance provenant de l'esprit pénétrant notions d'identité et synthèse, et non de l'esprit dit à tort scientifique...





À l'heure où le mal s'est emparé subtilement de la dialectique et de la logique, de tous les instruments de la pensée au profit de toutes les inversions, l'impossibilité d'exprimer la vérité naît de ce qu'elle ne se manifeste plus dans le cœur de l'homme que par des émotions, des élans, des sursauts fulgurants, mais impuissants : il ne reste qu'une seule valeur digne d'être exprimée : la souffrance de l'âme et du cœur. Aussi avez-vous restitué cette souffrance mais de la seule manière que vous pouviez, c'est-à-dire pure, débarrassée de toutes les compensations que sont haine, vengeance, ironie, moquerie. Toute trace de coquetterie, tout souci d'esthétique comme la moindre recherche même légitime des effets, dénaturent la réflexion métaphysique, née d'une épreuve exceptionnelle de la vie. La souffrance n'est vraie et exemplaire que si elle subit les injures et les quolibets comme l'enfant désarmé reçoit les coups, avec un regard étonné. La dernière ressource de celui qui a compris le monde moderne c'est de s'exposer aux gifles. Ce ne fut pas là le résultat d'une délibération, vous vous êtes reproduit vous-même et il se trouve que dans cette image, il n'y rien à retrancher, rien à ajouter : elle est en quelque sorte le miroir où se réfléchit l'aventure misérable du monde moderne : votre diagnostic est compatissant mais implacable.


PDF gratuit Dossiers secrets du XXIe siècle :

dimanche, novembre 19, 2023

Crimes rituels d'enfants


Juifs célébrant le fait de tuer des enfants

- La présence du ministre israélien de la sécurité Itamar Ben-Gvir à un mariage où des colons poignardaient une photo d'un bébé palestinien brûlé vif par un colon en 2015 sur des chants religieux juifs célébrant le fait de tuer des enfants palestiniens.
- Cette vidéo remonte à 2015. Bien avant le 7 Octobre 2023. Et devinez quoi ? Le procureur a prétendu avoir perdu la vidéo quand le procès de ces extrémistes a commencé. Ils n’ont jamais été condamnés.
- Le bébé de 18 mois s’appelait Ali Dawabshe. Ses parents aussi ont été brûlés vifs. Ils sont morts des suites de leurs blessures.

Pâques de Sang


Ariel Toaff, auteur du livre "Pâques de Sang", estime que certains enfants chrétiens auraient pu avoir été tués par "une minorité de Juifs fondamentalistes d'origine ashkénaze". 


Télécharger gratuitement le livre d'Ariel Toaff "Pâques de Sang" :



L'auteur, Ariel Toaff, est le fils du Grand Rabbin de Rome et professeur de la Renaissance juive et d'histoire médiévale à l'Université Bar-Ilan en Israël, près de Tel Aviv. 

M. Toaff est particulièrement qualifié pour écrire ce livre, car il connaît parfaitement la littérature qui en découle en anglais, français, allemand et italien, ainsi que les sources documentaires originales en latin, italien médiéval, hébreu et yiddish. Ce n'est pas quelque chose sur quoi il a travaillé en secret. Au contraire, il y a travaillé ouvertement avec ses étudiants de l’université et ses collègues en Israël pendant plusieurs années ; un de ses étudiants allait même publier un article sur le sujet. 

L'auteur est extrêmement attentif à ce qu'il dit et ses conclusions doivent être prises au sérieux. 

Ce livre se lit comme une intrigue policière. S’il avait été publié en Israël, en hébreu, personne ne s'en serait soucié. On trouve un grand nombre de textes littéraires en hébreu que les juifs ne veulent pas que les Gentils connaissent. Mais l'annonce par le Dr Toaff de la publication de son livre en Italie, en italien, a soulevé une tempête de colère dans le monde entier. Sous une pression insupportable, le livre a dû être retiré de la publication. 



Les Pâques sanglantes du Dr Ariel Toaff


par Israël Shamir


Le sang, la trahison, la torture et la reddition sont si intimement mêlés, dans l’histoire du Dr Ariel Toaff, un juif italien, qu’on pourrait croire qu’elle a été campée par son éminent compatriote Umberto Eco. Ce Dr Toaff est tombé par hasard sur une découverte
effrayante : horrifié, il n’en poursuivit pas moins courageusement son chemin, impavide, jusqu’au jour où il subit la pression – insupportable – de sa communauté. Il a fini par se rétracter. Brisé.

Le Dr Toaff est le fils du grand rabbin de Rome. Il est professeur à l’Université juive de Bar Ilan, non loin de Tel Aviv. Il s’est fait un nom par ses études pénétrantes sur la juiverie médiévale. Sa somme en trois volumes : Amour, Travail et Mort (sous-titrée La vie juive dans l’Ombrie médiévale) est une encyclopédie de son champ de recherches (lequel pourrait paraître, à première vue, extrêmement spécialisé). C’est en poursuivant ses recherches dans ce domaine qu’il découvrit que les communautés juives ashkénazes vivant dans le Nord de l’Italie pratiquaient une forme particulièrement horrible de sacrifices humains : en effet, leurs sages et leurs adeptes kidnappaient et crucifiaient des bébés chrétiens, dont ils utilisaient le sang au cours de rituels magiques invoquant l’Esprit de Vengeance contre les Goyim honnis.

Il s’est, en particulier, intéressé au cas de saint Simon de Trente. Ce bébé âgé de deux ans, originaire de la ville italienne de Trente, fut kidnappé chez lui par une poignée de juifs ashkénazes, à la veille de la Pâque de l’an 1475. La nuit suivante, les kidnappeurs assassinèrent l’enfant, le saignèrent, lui transpercèrent le corps avec des aiguilles, et le crucifièrent, la tête en bas, aux invocations : « Puissent tous les chrétiens périr, qu’ils se trouvent sur terre ou en mer ! ». C’est ainsi qu’ils célébrèrent leur Pâque – un rituel archaïque consistant à faire couler le sang et à tuer des bébés, au sens le plus littéral du terme tuer, sans nul recours à la trans-substanciation du sang en vin.

Les criminels furent arrêtés ; ils avouèrent et furent jugés coupables par l’Evêque de Trente. Immédiatement, les juifs élevèrent une protestation au Pape, lequel envoya à Trente l’Evêque de Vintimille, à des fins d’investigation. Celui-ci aurait reçu un pot-de-vin confortable de la part des juifs, en conséquence de quoi il conclut que l’enfant avait été assassiné par une bombe plantée là par le Hamas, afin de ruiner la réputation d’Israël, aucun projectile d’artillerie de Tsahal n’ayant été retrouvé sur la plage de Trente. « Simon avait été tué par des chrétiens, dans l’évidente intention d’apporter la ruine aux juifs », indique l’Encyclopédie juive d’avant-guerre, extrêmement prémonitoire : en effet, ce même argument fut utilisé, mot pour mot, par les juifs, en 2006, afin de tenter de justifier le massacre massif d’enfants, à Kafr Qana.

Au quinzième siècle, les juifs étaient, certes, influents. Mais ils n’étaient pas (encore) tout-puissants. Ils ne pouvaient pas se jouer du monde entier comme ils le firent, en 2002, après leurs massacres à Jénine, donnant à absolument tout le monde l’ordre de dégager, au motif qu’il n’y aurait rien eu à voir. A l’époque, ils ne bénéficiaient pas du veto pavlovien des Etats-Unis au Conseil de Sécurité de l’ONU. Ils n’étaient pas en mesure de bombarder Rome, et il allait s’écouler encore quatre siècles avant que ne fût inventé le mot « antisémitisme ». On leur accorda un marché d’ami, bien pire encore qu’un traitement de faveur : le Pape Sixte IV réunit une commission de six cardinaux, présidée par le meilleur juriste de l’époque, et il lui confia le re-jugement de cette affaire. Et (même) cette Cour Suprême trouva les assassins coupables. Les minutes du procès ont survécu aux siècles, et on peut les consulter, de nos jours, au Vatican.

[Pour plus de détail sur la version catholique de ces événements, voir http://www.stsimonoftrent.com

Pour plus de détail sur la version juive des mêmes événements, voir http://www.jewishencyclopedia.com/view.jsp?artid=803&letter=S ]


En 1965, l’Eglise catholique romaine entama une sorte de perestroika [1]. Ce furent les tristes vieux jours de Vatican II, durant lesquels les modernisateurs éradiquèrent les fondements de la tradition, dans l’espoir de mettre la foi au goût du jour et de la faire coller au nouveau narratif judéo-compatible de la modernité. Dit plus simplement : les évêques voulaient être aimés par la presse libérale.

Les juifs, toujours en alerte, profitèrent de cette opportunité pour pousser les évêques à décanoniser saint Simon de Trente. Les évêques furent bien trop heureux d’une telle aubaine : déjà, au cours d’un rituel bizarre, les dirigeants de l’Eglise catholique avaient trouvé les juifs innocents de la Crucifixion du Christ, tout en reconnaissant la faute de l’Eglise dans la persécution des juifs : en comparaison avec une volte-face aussi magistrale, la crucifixion d’un bambin italien n’était que de la petite bière, vous l’imaginez aisément… En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les évêques décidèrent donc que les aveux des assassins n’étaient pas recevables, car ils auraient été obtenus sous la torture et, ainsi, les accusés furent innocentés, le jeune martyr étant, quant à lui, tout simplement passé par pertes et profits. Il fut mis un terme à son culte, qui fut prestement interdit, et les reliques de l’enfant martyrisé furent retirées de l’église où elles reposaient et jetées en un lieu secret, afin d’éviter toute reprise intempestive d’éventuels pèlerinages.

[ http://www.trentinocultura.net/orizzonti/notizie/Anno-2006/rogger.doc_cvt.asp ]

Mais revenons au Dr. Ariel Toaff. En étudiant les archives du procès, celui-ci a fait une découverte stupéfiante : bien loin d’avoir été dictées par des investigateurs zélés recourant à la torture, les confessions des assassins du petit Simon contenaient des éléments totalement inconnus des hommes d’Eglise ou des gendarmes italiens. Les assassins appartenaient à la petite communauté ashkénaze attardée : ils pratiquaient des rites qui leur étaient propres, très différents de ceux des juifs italiens autochtones ; ces rites ont été fidèlement décrits dans leurs dépositions, or, ils étaient totalement inconnus de la brigade criminelle de l’époque. « Ces formules liturgiques, en hébreu, à la tonalité violemment anti-chrétienne, ne sauraient être les projections de juges, qui n’auraient en aucun cas pu connaître ces prières n’appartenant en aucun cas au rituel des (juifs) italiens, mais à la tradition ashkénaze », écrit Toaff. Un aveu n’a de valeur que s’il contient un minimum de véridicité et de détails vérifiables concernant le crime, dont la police n’aurait pas eu préalablement connaissance : cette loi d’airain de l’investigation criminelle avait été scrupuleusement respectée, dans l’enquête sur le crime rituel de Trente.

Cette découverte est de taille à secouer l’Eglise, à lui procurer un choc salutaire et à lui redonner forme. Le noble rabbin lettré Ariel Toaff, docteur de l’université, a remis saint Simon à l’ordre du jour – oui, lui, saint-Simon, ce bébé victime à un double titre : victime de la vengeance, au quinzième siècle, et victime de la perestroïka (vaticanesque) du vingtième. Voilà qui appelait repentance de la part des docteurs du Vatican, qui ont oublié l’enfant assassiné, tout à leur drague d’importants juifs américains. Mais ceux-là ne reconnaissent toujours pas leur funeste erreur. Monsignor Iginio Rogger, un historien de l’Eglise, qui a induit en erreur les investigateurs sur l’affaire de saint Simon, dans les années 1960, a déclaré que les aveux n’étaient absolument pas fiables, car « les juges avaient eu recours à d’horribles tortures ». C’était là, à tout le moins, formuler une observation antisioniste – et, « donc », antisémite – car si on devait rejeter du revers de la main tous les aveux obtenus sous la torture, tous les prisonniers palestiniens qui croupissent dans les atroces geôles juives devraient être libérés illico. C’était aussi, là, une remarque anti-américaine, car les Etats-Unis reconnaissent la valeur de la torture, qu’ils pratiquent allègrement, notamment (mais pas seulement) à Guantanamo. C’était là, de surcroît, formuler une objection négationniste, étant donné qu’elle invalide en essence le procès de Nuremberg.

« Je ne voudrais pas être à la place de Toaff, et avoir à répondre de ses assertions devant des historiens ayant sérieusement étudié cette affaire », a déclaré Rogger à USA Today. Mais la place de Toaff est préférable – et de très loin – à celle de Rogger, qui devra répondre de son manque d’égards envers le saint, au Paradis.

De plus, le crime perpétré à Trente n’était nullement une exception : Toaff a découvert de nombreux autres cas de ces sacrifices sanglants, dans lesquels il est fait état d’enfants mutilés, dont le sang versé fut utilisé dans la confection de matzots (pain azyme), leurs occurrences s’étendant sur plus de cinq siècles d’histoire européenne.

[ cliquer ici outpouring of blood and its baking in Matzo ]

Le sang, ce breuvage magique, était un remède populaire, à cette époque lointaine, comme d’ailleurs en tous les temps : Hérode tenta de rester jeune en se baignant dans le sang de bébés assassinés ; les alchimistes utilisèrent du sang, dans leurs expériences tentant de transmuter le plomb en or ; les sages juifs s’adonnaient à la magie, et ils avaient recours au sang comme tout un chacun. Ces denrées précieuses qu’étaient le sang humain, la poudre de sang humain et les matzots complémentées au sang humain faisaient l’objet d’un commerce extrêmement lucratif.

Des commerçants juifs en faisaient commerce, accompagnées d’attestations rabbiniques en autorisant la vente ; le produit le plus prisé et le plus cher était le sang d’un goy katan, c’est-à-dire d’un enfant non-juif. Beaucoup moins recherché (et, donc, bien meilleur marché) était le sang provenant d’une circoncision. Ces sacrifices sanglants étaient des « actions et des réactions instinctives, viscérales, virulentes, au cours desquelles des enfants ne comprenant rien à ce qui leur arrivait devenaient des victimes innocentes de l’amour de Dieu et de la vengeance », a écrit Toaff dans la préface de son ouvrage. « Leur sang baignait les autels de Dieu, lequel, croyait-on, avait besoin d’être guidé, et parfois même d’être poussé impatiemment, selon les cas, soit à protéger, soit à punir ».

Cette remarque quelque peu hermétique est plus facile à comprendre, si on lit l’ouvrage du professeur Israël Yuval Deux Nations dans Ton Giron [Two Ntions in your Womb]Yuval y explique que les libations de sang étaient nécessaires (aux yeux des magiciens juifs) si l’on voulait amener la Vengeance Divine sur les Goyim. Il cite également un cas irréfutable (c’est-à-dire non démenti par les juifs eux-mêmes) d’un sacrifice sanglant pratiqué par un juif. [lire, à ce sujet, mon article « Diffamations Sanglantes », sur mon site : http://www.israelshamir.net ].

Toaff surpasse Yuval, en mettant l’accent sur le recours habituel des juifs au sang humain, au Moyen-Age, à des fins de magie et en faisant place à l’élément antichrétien : la crucifixion des victimes et les vociférations contre le Christ et la Vierge Marie. A ce sujet, son ouvrage est confirmé par le livre (certes, plus timide) d’Elliott Horowitz : Des Rites sans foi ni loi : Pourim et le Legs de la Violence juive [Reckless Rites : Purim and the Legacy of Jewish Violence, Princeton University Press, 2006] [ http://www.iupress.indiana.edu/journals/jss/jss4-2.html ]. Horowitz y informe ses lecteurs au sujet de rituels fort étranges : flagellations de la Vierge, destructions de crucifix, passages à tabac et assassinats de chrétiens.

Désormais, c’est du passé. Aujourd’hui, nous pouvons nous retourner vers le passé et dire : oui, certains sages et certains mystiques juifs ont pratiqué des sacrifices humains. Ils ont assassiné des enfants, ils en ont mutilé le petit corps et ils ont utilisé leur sang afin de faire se déverser l’Ire Divine contre leurs voisins non-juifs. Ils ont moqué les rites chrétiens en utilisant le sang de chrétiens, en lieu et place du sang du Christ.

L’Eglise, et les peuples, dans l’ensemble de l’Europe, avaient donc raison. Les Européens (ainsi que les Arabes, et les Russes) n’étaient nullement des bigots cinglés ; ils comprenaient fort bien ce qu’ils voyaient de leurs propres yeux. Ils punirent les coupables, et ils laissèrent les innocents vivre en paix.

Nous, les humains, nous sommes capables d’examiner cette page horrible de l’Histoire sans perdre pour autant notre dignité, et nous sommes capables, tant qu’à faire, de verser une larme ou deux pour les pauvres enfants détruits par ces monstres avides de colère divine. Les juifs devraient être plus modestes, et cesser d’entretenir leurs blessures historiques comme autant de tours dans leur sac : leurs ancêtres furent florissants, en dépit de ces terribles exactions perpétrées par certains de leurs coreligionnaires, tandis qu’au contraire, dans l’Etat juif, les péchés d’une poignée de Palestiniens retombent sur tous les Palestiniens. Nous devrions aussi rejeter d’un haussement d’épaules les geignements des amis d’Israël quand ceux-ci refusent que nous voyions les massacres de Jénine ou de Qana, car – oui, très exactement – il s’agit là de « diffamation sanglante », comme ils disent : autant dire qu’il ne s’agit (hélas !) absolument pas de diffamation.

Espérons que l’acte extrêmement courageux du Professeur Toaff représentera un tournant dans la vie de l’Eglise. La déviation causée par la perestroïka de Vatican II est allée trop loin. Souvenez-vous que la perestroïka russe s’est terminée par l’effondrement total de l’ensemble de la structure soviétique. Si les antipapistes redoutaient un anti-christ sur le Saint-Siège de saintPierre, demeure le danger, très réel, d’un Gorbatchev mitré.

Dans la ville italienne d’Orvieto, sur la côte adriatique, les juifs ont exigé l’interdiction d’une exposition de grande valeur artistique et la cessation de la procession commémorant le miracle de Trani.

[ http://www.haaretz.com/hasen/spages/815206.html ]

C’est en effet à Trani que, voici un millénaire, une hostie consacrée fut dérobée, à l’église, par une juive. Après quoi, cette voleuse décida de frire le corps du Christ dans l’huile bouillante. Mais, miraculeusement, l’hostie se transforma en chair humaine et se mit à saigner abondamment, tant et si bien que le sang sacré se répandit dans toute la maison de cette femme juive. De fait, de tels cas de profanation d’hostiles sont bien attestés dans l’ensemble de l’Europe ; ils ont été bien décrits par Yuval, Horowitz et Toaff ; ils se sont effectivement produits, et seul un infâme culot juif [chutzpah] poussa l’Association Romaine des Amis d’Israël à adresser une missive au Pape afin d’exiger de lui que fût mis un terme à un culte observé depuis un millénaire. Et cette association a eu gain de cause. L’Eglise s’est soumise, les panneaux de l’exposition furent démantelés, la procession fut annulée et de plates excuses furent adressées aux juifs, à la grande satisfaction des ambassadeurs d’Israël Gideon Meir (auprès du gouvernement italien) et Oden Ben Hur (auprès du Vatican), qui avaient édicté cette capitulation.

« Etrange monde, que le nôtre » – écrivit Domenico Savino dans l’excellent web-magazine Effedieffe.

[ http://www.effedieffe.com/interventizeta.php?id=1766&parametro=religione ]


« L’offense est attribuée à la Foi chrétienne, et le pardon est exigé, non pas des victimes, mais des coupables. » Savino se demande rhétoriquement s’il était vraiment impossible d’ignorer tout simplement l’exigence des Amis d’Israël, et il cite longuement les propos du Cardinal Walter Kasper, lequel représenta le Vatican lors de cette capitulation. Kasper y a fait son « full Monty » [Allusion à un film anglais des années 1980, où des chômeurs, dans l’espoir de trouver du boulot, procèdent à un strip-teese intégral] : il nia que l’Eglise est le Véritable et Unique Israël Elu, il affirma la position d’égalité des juifs, en tant que « frères aînés », il dénia la nécessité du Christ et il sollicita le pardon des juifs, le tout, en promettant un « nouveau printemps, pour l’Eglise et pour le monde ».

« Un printemps, pour l’Eglise ? ! ? », se récrie Savino. « Ah, mais nous avons déjà entendu ça ! Le Pape, à l’issue de Vatican II, avait dit : « Nous attendions le printemps, et c’est l’orage qui est venu ». Ce printemps, nous en avons plus qu’assez, et après cette réconciliation, à Orvieto, je ne veux plus entendre ne serait-ce que le mot « printemps », car dès que je l’entends prononcer, je vois le rictus de satisfaction des « frères aînés » Gideon Meir et Oden Ben Hur ! »

La perestroïka n’a pas affecté la seule Italie, ni la seule Eglise catholique. En Allemagne, un nouveau sacrilège est en préparation : une « Bible politiquement correcte », dans laquelle le récit de la Passion du Christ sera modifié, afin de ne pas causer d’inconfort aux juifs. Ce titre est trompeur : ils ne peuvent pas, en effet, intituler leur produit de merde « Nouvelle traduction allemande de la Bible, exempte de sexisme et d’antisémitisme », de la même manière qu’on ne saurait qualifier ses propres eaux usées de « vin exempt de substances dangereuses pour la santé ». « Changer une seule lettre de la Bible, cela équivaut à détruire le monde », affirme le Talmud, qui cite l’exemple d’un rouleau de la Torah dans lequel un seul mot avait été modifié, « meod » (très), devenant « mavet » (mort). Une telle Torah célébrant la mort pourrait à n’en pas douter entraîner la fin du monde.

Ces saintes écritures « antisemitism-free » mettront à n’en pas douter l’accent sur la souffrance juive, l’Eglise jouant le rôle du sale type, dans la pièce. Elles exalteront Judas et répudieront le Christ. De la même manière, en expurger les « préjugés sexistes » aura pour effet la suppression de l’Annonciation, cette grande dichotomie entre la monocausalité stérile des juifs et la fusion chrétienne du Ciel et de la Terre. De fait, le modèle chrétien a eu tellement plus de succès que même les juifs l’ont adopté dans leur Cabbale, et qu’ils ont apparemment décidé de laisser aux Allemands leur vieille monocausalité, dont ils n’avaient plus rien à faire.

En Angleterre, un hebdomadaire libéral paraissant de longue date, The Observer, a changé de plumage, devenant un nid de néocons soutenant la guerre et l’alliance Blair-Bush. Avec une parfaite logique, ce périodique a aussi renoncé au Christ, lui préférant les juifs, comme il appert dans cette critique d’un ouvrage récemment paru en Grande-Bretagne :

[ http://www.observer.guardian.co.uk/review/story/0,,200583,00.html ]

Adams Mars-Jones y préfère Oscar Schindler au Général Adam von Trott, exécuté en raison de la part qu’il prit au Complot des Généraux [contre Hitler, ndt], en 1944 ! : « C’est ce qui fit de la Liste de Schindler un film si étonnant : ce film répondait à l’éthique juive en montrant le cheminement extérieur du héros, plutôt qu’un cheminement intérieur. Le type était foireux. Et alors ? Ce sont ses oignons ; l’important, c’est qu’il ait sauvé des juifs ! Ses mitzvahs [B.A., ndt] lui ont valu une place parmi les Justes Gentils, et en l’absence d’une vie dans l’au-delà (car ça, ce n’est pas vraiment un péché mignon de la foi juive), c’est tout ce qu’on peut en dire. Ayons plus de ce ton-là, et moins de ce culte du martyre. La vénération pour le sacrifice, pour une victoire purement symbolique, peut faire dérailler l’entreprise la mieux intentionnée, et risque d’insulter les morts, lesquels n’avaient pas le choix. »

Le critique de l’Observer a clairement explicité son choix pour Judas ou Caïphe (« bien que foireux, il a voulu sauver des juifs ») et contre Jésus Christ, qui incarnait le Sacrifice. Son appel à « moins de culte du martyre, moins de vénération pour le sacrifice, pour une victoire purement symbolique » ferait du Golgotha le dernier mot de la question, avec nulle Résurrection en vue. Qui a besoin des vertus chrétiennes ? Les péchés et les vices de l’homme sont ses oignons, n’est-ce pas, dès lors qu’il a sauvé des juifs », et le mieux qu’un goy puisse espérer, c’est une « place parmi les Justes Gentils ». De ce point de vue, saint Simon et d’autre enfants ne sont pas morts en vain : ils ont contribué à l’appel des juifs à la Vengeance Divine, et c’est là le maximum de ce qu’ils étaient en mesure d’espérer. De la même manière, les soldats britanniques ne sauraient espérer meilleur sort que celui de mourir pour Israël dans les rues de Bassora ou de Téhéran, ou ailleurs…

Ainsi, à Rome, à Berlin ou à Londres, les juifs ont gagné une manche ou deux, dans leur compétition avec l’Eglise catholique. En s’acharnant avec entêtement, en ne regrettant jamais rien, en ne s’excusant jamais de rien, en œuvrant sans relâche contre le christianisme, ils ont réussi à remplacer, dans les esprits simples, les images de la Via Dolorosa, du Golgotha et de la Résurrection, par leurs grossières déformations de l’histoire humaine prenant la forme d’une interminable souffrance de juifs innocents, de diffamations sanglantes, d’holocaustes et de rédemption sioniste en Terre sainte. Ainsi, les gens ont rejeté – on peut les comprendre (mais non les excuser, ndt) – l’idée de la culpabilité juive dans la mise à mort du Christ : en lieu et place, les juifs ont réussi à installer dans leur intellect une idée encore bien plus absurde : celle de la culpabilité de l’Eglise dans la mort de juifs !

Les conséquences ne sont pas purement théologiques. La Grande-Bretagne, l’Italie et l’Allemagne acquiescent à l’étranglement de la Palestine pourtant chrétienne, au blocus de Gaza, au vol de terres appartenant à l’Eglise à Bethléem et à Jérusalem. Ces pays soutiennent le Drang Nach Osten américain. Pire : ils ont perdu leur liens avec Dieu, leur empathie envers leurs frères humains se tarit ; on dirait qu’un esprit de vengeance aveugle – que, seul, un sang innocent serait en mesure de conjurer – s’est emparé d’eux.

La publication de l’ouvrage du Dr Toaff pourrait bien marquer un point de retournement (atteint in extremis) dans l’histoire occidentale – un retournement à trois cent soixante degrés, faisant repasser l’Occident, de son pardon à Judas, à l’adoration du Christ. Certes : sa relation de sacrifices rituels d’enfants ne fait que produire une petite fêlure dans l’immense édifice d’un exceptionnalisme juif profondément ancré dans le béton de la mentalité européenne.

Mais les immenses édifices ont le don de s’effondrer d’un seul bloc. Cela, un certain 11 septembre nous l’a appris.

Apparemment, les juifs se sont sentis visés… Alors, aussitôt, ils ont attaqué Toaff, tels un essaim de moucherons en furie [Voir mon article ‘Carter et l’essaim de moucherons’ (Titre original : Carter and Swarm) sur mon site, au lien suivant : http://www.israelshamir.net ]. 


Un historien juif de renom, rabbin et lui-même fils de rabbin, a relaté des événements vieux de cinq siècles. Et alors ? Y a-t-il là de quoi s’émouvoir ? Au Moyen-Age, le recours au sang humain, la nécromancie et la magie noire n’étaient pas le fait exclusif des juifs ; les sorcières et les mages goyim ne donnaient certes pas leur part aux chiens ! Alors : rejoignez tout simplement le club humain, avec ses verrues et ses défauts ! Mais c’est là chose bien trop humiliante, pour d’arrogants Sélectionnés (par God Himself !).

« C’est absolument incroyable qu’il y ait quelqu’un – un historien israélien, de surcroît ! – pour accorder une once de légitimité à l’accusation diffamatoire sanglante qui a été la source de souffrances indicibles et d’agressions innombrables contre les juifs, à travers l’Histoire », a déclaré Abe Foxman, directeur national (pour les Etats-Unis) de l’Anti-Defamation League, laquelle a qualifié le livre de « dénué de fondement », l’accusant « d’apporter de l’eau au moulin des antisémites, partout dans le monde ».

Plus rabbin qu’historien, Foxman sait a priori, selon sa foi et son intime conviction, qu’il s’agirait là de « billevesées ». Mais n’a-t-il pas dit la même chose, à propos du Massacre de Jénine ?

Dans un communiqué de presse, l’Université (israélienne) Bar-Ilan « exprime sa grande colère et son extrême mécontentement au sujet de Toaff, en raison du manque de tact dont il a fait montre en publiant son ouvrage sur les accusations de meurtres rituels (juifs) en Italie. Son choix d’une maison d’édition privée italienne, le titre particulièrement provocateur de l’ouvrage et les interprétations données par les médias de son contenu ont offensé les sensibilités de juifs du monde entier, et porté atteinte au délicat tissu des relations entre juifs et chrétiens. L’Université Bar-Ilan condamne avec la dernière énergie et rejette totalement ce que semble suggérer l’ouvrage de Toaff, ainsi que les reportages diffusés par les médias portant sur son contenu, comme si les accusations sanglantes ayant conduit à l’assassinat de millions de juifs innocents avaient un quelconque fondement. »

Qu’en termes incendiaires ces choses-là sont dites ! Toaff a été immédiatement en butte à une énorme pression communautaire: il allait se retrouver – à soixante-cinq ans – sur la paille, à la rue, probablement sans retraite, sans amis et sans étudiants, ostracisé et excommunié. Sans doute sa vie elle-même était-elle menacée : l’on sait que les juifs ont l’habitude d’employer des tueurs professionnels extrêmement discrets pour éliminer de telles nuisances. Jadis, on les appelait ‘rodef’. Aujourd’hui, ce sont les ‘kidon’. Mais seul le nom a changé : ils sont toujours aussi efficaces, et ils ont été interceptés bien plus rarement que d’autres maniaques en manque de sang. La réputation de Toaf allait être totalement ruinée : une certaine Sue Blackwell

[ http://www.sue.be/pal ] se dit prête à « consulter ses amis juifs » et le traite de nazi, un Phare de Flicage [Searchlight] sponsorisé par l’ADL allait révéler, envahir ou inventer de toutes pièces sa vie privée ; bien des petits juifs, sur le ouèbe, n’allaient pas manquer de le traîner dans la boue, sur leurs blogs et sur leur corvette porte-étendard, j’ai nommé l’ « encyclopédie en ligne » Wikipedia…

Au début de l’attaque, il a tenté de résister

[ http://www.haaretz.com/hasen/spages/826066.html] : « Je ne renoncerai jamais à ma dévotion envers la vérité et les libertés académiques, dût le monde entier me crucifier ! »

Toaff a déclaré, voici de cela quelques jours, au quotidien israélien Haaretz qu’il existe une base factuelle à certaines des accusations de recours à des crimes rituels, portées contre des juifs, au Moyen-Age.

Mais Toaff n’était pas fait de pierre. A l’instar de Winston Smith, le personnage principal du roman 1984 d’Orwell, il a craqué, dans sa cellule mentale surveillée par l’inquisition juive. Il a donc publié ses plus plates excuses, arrêté de diffuser son livre, promis de le soumettre à l’Imprimatur juive et même « de faire don de tous les fonds résultants de la vente de son livre à l’Anti-Defamation League » de notre excellent Abe Foxman.

Ses derniers mots furent aussi touchants que ceux prononcés par Galilée abjurant son hérésie : « Je ne permettrait jamais qu’un quelconque contempteur des juifs m’instrumentalise, ou se serve de mes recherches en guise d’instrument pour attiser les flammes, une fois encore, de la haine qui a conduit à l’assassinat de millions de juifs. Je présente mes sincères excuses à tous ceux qui auraient été offensés par les articles et les faits déformés qui ont été attribués à mon livre, ainsi qu’à moi-même. »

Ainsi Ariel Toaff a-t-il cédé à la pression de la communauté. Non qu’importe le moins du monde ce qu’il peut bien dire, aujourd’hui. Nous ne savons pas, en effet, quelles tortures mentales ont bien pu lui être infligées par la Gestapo juive de l’ADL, ni de quelle manière il a été contraint à se rétracter.

Ce qu’il nous a apporté est amplement suffisant.

Vous allez me dire : mais que nous a-t-il apporté, au juste ? D’une certaine manière, sa contribution s’assimile à celle de Benny Morris et d’autres Nouveaux historiens israéliens : ceux-ci se sont contentés de répéter les données dont nous avions connaissance, de sources palestiniennes, notamment grâce à Abu Lughud et à Edward Saïd. Mais les sources palestiniennes n’étaient pas jugées fiables : seules, les sources juives sont considérées dignes de foi, dans notre univers judéo-centré. C’est donc la raison pour laquelle Morris et consorts ont aidé des millions de personnes à se libérer du narratif sioniste imposé. Cela n’aurait pas été nécessaire, eussions-nous été capables de croire un goy confronté à un juif, un arabe parlant de l’Expulsion de 1948, ou encore un Italien parlant de saint Simon, voire, peut-être, un Allemand évoquant les déportations de la seconde guerre mondiale. Et voici que Toaff vient de libérer moult âmes captives en répétant ce que nous savions déjà, à partir de moult sources italiennes, anglaises, allemandes ou russes.

Si la « diffamation sanglante » s’avère non pas une diffamation, mais bel et bien un crime caractérisé, alors, peut-être d’autres assertions juives vont-elles, à leur tour, s’effondrer ? Les Russes n’étaient peut-être pas responsables des pogroms, allez savoir ? Peut-être cet Ahmadinejad n’est-il pas le nouvel Hitler fanatique et ivre de destructions dont on nous bassine ? Et si les musulmans n’étaient pas ces haïsseurs de juifs malfaisants dont on nous rebat les oreilles ? Bigre !

Par ailleurs, Ariel Toaff nous a offert une meurtrière de tir nous permettant d’observer les processus en action au sein de la juiverie, et de comprendre de quelle manière cette incroyable discipline d’Essaim est perpétuée, de quelle manière les dissidents sont châtiés, de quelle manière l’uniformité mentale est obtenue.

La juiverie, de ce point de vue, est effectivement exceptionnelle : un savant chrétien (ou musulman) qui découvrirait une tache dans la longue histoire de l’Eglise ne chercherait certainement pas à la dissimuler, car il sait qu’il ne sera pas ramené à résipiscence par la terreur ; qu’il ne sera pas ostracisé, même s’il fait sienne les opinions les plus viles ; et que, quand bien même serait-il excommunié, ce scientifique ou cet écrivain trouverait un soutien amplement suffisant, comme celui dont ont bénéficié un Salman Rushdee, un Voltaire ou encore un Tolstoï.

Ni l’Eglise ni la Umma ne requièrent une telle discipline aveugle, et ni le Pape ni aucun Imam ne détient, sur ses coreligionnaires, le pouvoir dont dispose Monsieur Abe Foxman. Or, Foxman se tape totalement de la vérité : il opte toujours pour ce qui (à ses yeux, tout au moins) est « bon pour les juifs ». Et peu importe la foule des témoins : même un reportage live sur un sacrifice humain rituel juif ne saurait le contraindre à admettre une vérité déplaisante : il trouvera toujours une bonne raison. Nous l’avons vu, dans le cas du bombardement de Qana [au Liban], quand les avions israéliens ont détruit un bâtiment, tuant près de cinquante enfants, soit assurément bien plus que ce que les sages de l’Ombrie n’en ont jamais tués.

Par conséquent, n’espérez pas que le bouquin de Toaff convaincra les juifs – rien n’est en mesure de le faire.

Ne soyez pas envieux de cette union des cœurs et des esprits juifs ; le revers de la médaille de cette unité, c’est le fait qu’Aucun Juif N’Est Libre. Ce sont ses parents, qui forcent quelqu’un à être juif ; un juif n’a aucune liberté d’esprit, à aucun stade de son existence. La seule chose qu’il ait à faire, c’est : obéir aux ordres. Cher lecteur juif, si cela pouvait te permettre de comprendre que tu es un esclave, ce que tu as lu jusqu’ici n’aura pas été vain. Tant que tu resteras incapable de répondre, à la question rhétorique « n’es-tu pas un juif ? » par un simple « non », tu resteras un prisonnier sur parole, un captif au bout de sa corde.

Tôt ou tard, ils vont tirer sur la corde. Tôt au tard, tu devras mentir, rechercher des paroles ambigües, afin de nier que ce que tu sais est exact et authentique. La liberté est à ta porte ; alors, tends la main et saisis-la ! Comme le Royaume des Cieux, la liberté est à toi : il te suffit de la demander. La Liberté, c’est le Christ, car c’est avec son cœur qu’un homme choisit le Christ, non avec son prépuce. Tu es libre, dès lors que tu accueilles le Christ et que tu es capable de répondre, comme le dit l’Evangile [Matthieu 5:37] : « Que ton « Oui » signifie bien : « Oui, je suis un chrétien ! », et que ton « Non » signifie bien : « Non, je ne suis pas un juif ! » ! »

Grâce au Ciel, c’est possible !

Toaff était sur le point de s’en sortir ; quel dommage, qu’il ait perdu courage !

Son triste sort me rappelle celui d’Uriel (presque un homonyme !) Acosta. Noble précurseur de Spinoza, cet Acosta (né vers 1585 à Oporto, Portugal – mort en avril 1640 à Amsterdam) s’étant attaqué au judaïsme rabbinique, fut excommunié. « Âme sensible, Acosta ne supporta pas l’isolement résultant de sa mise à l’écart, et il se parjura, comme l’indique l’Encyclopedia Britannica. Excommunié une seconde fois après avoir été accusé de dissuader les chrétiens de se convertir au judaïsme, il prononça publiquement son autocritique après avoir souffert de longues années d’ostracisme. Cette humiliation détruisit ce qui lui restait d’estime de soi, et il se suicida d’une décharge de chevrotines. » L’erreur – fatale – commise par Acosta, c’est d’avoir été loin, mais pas assez.

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[1] Etrangement, ce procès ecclésial a coïncidé, pratiquement, avec la première Perestroïka [le dézingage de Staline] entreprise par Krushchev lors du vingt-deuxième Congrès du Parti communiste de l’URSS, en 1961, au cours duquel ledit Parti se repentit des péchés et des crimes commis par ses grands dirigeants d’autrefois. Une génération plus tard, c’est-à-dire trente ans après, le Parti lui-même s’effondra et ses adhérents furent décimés par la deuxième Perestroïka. La pénitence, c’est bon, pour l’âme. A cette importante différence près : l’âme, quant à elle, est immortelle…

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