« Quelle
étrange religion que la médecine ! C'est la seule religion qui
soit soutenue par la politique et, même lors de controverses
scientifiques, on ne peut la mettre en cause sans risquer d'être
persécuté ou ridiculisé. »
Upton
Sinclair
Selon
Platon, Socrate fut condamné à mort car il ne croyait pas aux dieux
reconnus par l'État. Plus tard, l'Inquisition a brûlé tout ce qui
dépassait son entendement ou pouvait mettre en péril l'hégémonie
de l'Église catholique qui nous a appris à accepter les dogmes sans
chercher à les comprendre. De nos jours, comme le disait déjà
George Bernard Shaw : « Nous n'avons pas perdu la foi, nous l'avons
simplement reportée sur les professions médicales. » La foi en
cette nouvelle religion est à présent devenue un véritable
fanatisme et les dieux ont été remplacés par des mandarins et des
experts. On ne réfléchit plus, on « croit ». On pourrait parodier
Shaw en disant que « la science est une nouvelle religion et la
vaccination est son eau bénite ». Nous persistons à appliquer
cette règle bien établie en écoutant les diktats de despotes, non
plus religieux certes, mais « scientifiques », sans faire la
moindre réserve quant à leur validité, oubliant souvent combien
ils ont pu être démentis et ont même été au centre de certains
scandales au cours des dernières années.
Dans son
ouvrage La Théologie de la médecine , le Dr Thomas S. Szasz,
psychiatre et professeur émérite de l'université de Syracuse dans
l'État de New York, constate : « Les peuples ont décidément des
goûts masochistes : autrefois ils se rendaient victimes des prêtres
en leur attribuant des pouvoirs médicaux, à présent ils se mettent
sous la coupe des médecins en leur attribuant des pouvoirs magiques.
» De surcroît, comme nous l'avons constaté, tous les pouvoirs
utilisent la peur pour mieux dominer. Le plus curieux est que cette
peur, qui précipite les consommateurs vers les vaccins, n'agisse pas
ou très peu dans l'autre sens, et que ces vaccins, truffés de
molécules potentiellement dangereuses (outre les bactéries et
virus), ne leur procurent aucune crainte.
Il est
grand temps de secouer le joug des idées reçues, d'autant que
l'actualité devrait nous aider. Lorsque nous apprenons la collusion
entre les politiques, les experts en santé publique et les
laboratoires, les intérêts colossaux que représentent les vaccins
à travers le monde, et surtout l'existence de milliers de victimes,
comment pouvons-nous encore croire que l'objectif des laboratoires
est la santé des citoyens ?
PLUS
GROS EST LE MENSONGE ET MIEUX IL PASSE
En mars
2009, la revue Anesthesiology News révélait que depuis 1996
un anesthésiste américain, le Dr Scott Reuben, a publié 21
articles scientifiques « bidons » qui décrivaient les bienfaits de
certaines molécules miraculeuses et qui n'étaient en fait qu'un
ramassis de statistiques sans fondement. Les patients supposés avoir
testé certains médicaments n'avaient en fait jamais existé. Reuben
a tout inventé et les revues scientifiques n'ont rien vu, mais, sur
la foi de ces résultats frauduleux, des millions de personnes ont
avalé des molécules bien réelles qui ont rapporté des sommes
colossales aux compagnies qui les commercialisent, Pfizer, Merck ou
Wyeth. Et comme par hasard, entre 2002 et 2007, Pfizer a octroyé
cinq bourses de recherche à ce médecin qui était aussi un de ses
intervenants attitrés pour faire des présentations rémunérées.
La presse américaine a qualifié ce médecin de « Dr Madoff de la
pharmacie » en référence à l'escroc de la finance. Mais ce cas
est loin d'être isolé ; j'en ai cité des dizaines dans l'un de mes
précédents ouvrages, montrant qu'on ne peut faire confiance à
cette industrie qui utilise des moyens que l'on peut qualifier de «
mafieux » (Information ou désinformation ? Guy Trédaniel
Éditeur).
LA
PRESSE INDÉPENDANTE EN OTAGE
Certaines
revues facilitent, inconsciemment ou non, la publication de travaux
financés par les grosses firmes pharmaceutiques avec la bénédiction
de toutes les instances de santé. En revanche, lorsqu'un journal de
santé indépendant risque de porter atteinte au dogme vaccinal, la
Commission paritaire des publications et agences de presse —
évidemment sous influence — le sanctionne. La plupart des
publications concernant les médecines dites douces et les
thérapeutiques non institutionnalisées en ont déjà pâti et ne
bénéficient pas du taux de TVA à 2,1 %, comme c'est le cas de
l'ensemble de la presse d'information. Récemment, le journal Nexus
a subi le même sort lorsqu'il a contesté « dans de nombreux
articles les acquis positifs de la science, mettant en doute
l'innocuité des vaccins, et partant, le principe même de la
vaccination ».
Normalement,
pour avoir droit à la commission paritaire, toute publication doit
présenter « un caractère d'intérêt général ». Mais quels sont
les critères qui permettent de définir cet intérêt lorsque les
personnes qui en sont chargées n'ont aucune compétence scientifique
ou médicale ? La presse n'est-elle pas là pour informer
objectivement et représenter un contre-pouvoir ? Doit-elle toujours
abonder dans le sens autorisé par les pouvoirs politiques ou
financiers ? Comment peut-il y avoir un débat d'idées si les
opinions divergentes n'ont plus le droit de s'exprimer ? La pensée
unique est-elle toujours fortement recommandée, sinon obligatoire,
comme les vaccins ? Quant aux journaux qui sont les porte-parole de
l'industrie pharmaceutique, notamment ceux ne contenant que des
publicités rédactionnelles, ils ont droit aux faveurs
administratives. Est-ce notre conception de la démocratie ? Pour
motiver son refus de Nexus, la Commission paritaire a révélé
ses inquiétudes concernant les « esprits fragiles » des lecteurs
qui pourraient lire les articles au « premier degré ». Elle ferait
bien de s'informer auprès des milliers de scientifiques qui
contestent le bien-fondé des vaccins sans lire quoi que ce soit au «
premier degré », bien au contraire, et avec des esprits avisés,
compétents, mais surtout pas « fragiles ».
CEUX
QUI REFUSENT LE DOGME VACCINAL
Les
médias se gardent bien de publier que la pratique vaccinale diminue
lorsque le niveau d'instruction et la catégorie
socio-professionnelle augmentent. D'après Le Courrier d' Alis
de septembre 1994, « 68,3 % seulement des parents qui ont au minimum
le niveau du bac vaccinent leurs enfants contre 82 % et même plus
chez les ouvriers. » Est-ce parce que les ouvriers font davantage
confiance à leurs médecins ou parce que les catégories plus
instruites ont accès à d'autres sources d'informations ? Ce sont
évidemment les mères aux discours naturalistes qui vaccinent le
moins leurs enfants et la résistance aux campagnes de vaccinations
est plus marquante dans le Sud que dans le Nord de la France et en
milieu rural. On pourrait croire que le fait de vivre près de la
Terre conserve davantage le bon sens. Quant aux médecins, ceux qui
pratiquent plus de vingt-cinq actes par jour et ceux qui font des
gardes ont tendance à vacciner plus que les autres. On pourrait en
déduire que ce qui sépare la médecine de terrain de la médecine
de troupeau est le respect des préceptes hippocratiques appliqués à
chaque individu en fonction de ce qui lui est propre : « Avant tout,
ne pas nuire ».
À la
demande du Centre International de l'Enfance, la sociologue Claudine
Marenco, directeur de recherches au CNRS, a publié en 1986 une étude
sur « l'acceptabilité des vaccinations de l'enfance » qui
expliquait pourquoi la vaccination des enfants avait progressivement
pris en France le caractère d'une institution inquestionnable. « La
vaccination pour les mères de famille est bien moins objet de
connaissance qu'affaire de règle et de foi. » L'étude démontrait
que « à propos de vaccination des enfants, la parole est en quelque
sorte interdite » et que « l'obligation vaccinale fait des familles
une clientèle captive pour le pédiatre et le généraliste. » La
situation n'a guère évolué depuis cette époque.
LES
ENFANTS SONT DE PLUS EN PLUS MALADES
L'asthme
de l'enfance est devenu le problème numéro un en pédiatrie
[...]
les enfants non vaccinés se portent mieux que les autres, bien
entendu dans les populations bien nourries et qui vivent dans de
bonnes conditions d'hygiène. Ce sont les pays les plus vaccinalistes
qui connaissent le taux de maladies le plus élevé, tels les
États-Unis. Nous avons échangé les bénignes maladies de l'enfance
contre de graves pathologies. À l'échelle mondiale, constate le Dr
Michel Odent dans Jama, l'asthme de l'enfance est devenu le
problème numéro un en pédiatrie. Et dans une étude comparative
entre 243 enfants vaccinés et 203 enfants non vaccinés, le Dr Odent
signale une fréquence élevée de toutes les maladies,
particulièrement otites et crises d'asthme, chez les enfants
vaccinés.
D'après
l'OMS, dans l'ensemble de l'Europe occidentale, l'incidence de
l'asthme a doublé en dix ans. En Suisse, 8 % de la population
souffrent d'asthme, contre 2 % seulement il y a 25 ou 30 ans. En
Allemagne, on estime qu'il y a 4 millions d'asthmatiques. Et depuis
le début des années 1980, le nombre d'asthmatiques a augmenté de
plus de 60 % aux États-Unis où le nombre de décès dus à la
maladie a doublé, pour atteindre 5 000 par an. Au Japon, on compte
environ 3 millions d'asthmatiques. En Australie, un enfant sur six
est touché parmi les moins de 16 ans. Au niveau mondial, on
enregistre plus de 180 000 décès par an dus à cette affection.
Pourquoi tant d'enfants sont-ils asthmatiques ?
Bien que
les instances de la santé publique attribuent ces augmentations à
la pollution — qui n'a certes pas augmenté dans ces pays dans ces
proportions —, nombreux sont ceux qui estiment que les vaccinations
et la disparition des maladies infantiles favorisent l'asthme et les
allergies de toutes sortes. Dans ces pays, le pourcentage de
vaccination par le ROR, la polio, le DTP et l'hépatite B est de 95
%. Selon une étude anglo-saxonne du Churchill Hospital d'Oxford,
l'augmentation importante de l'asthme (qui a doublé en France depuis
vingt ans avec 3 500 décès annuels) est davantage liée aux vaccins
(BCG, coqueluche et rougeole) qu'à la pollution. En 1997, un article
paru dans Science sous le titre « Une épidémie en l'absence
d'infection » concluait que « les maladies infectieuses de
l'enfance peuvent, paradoxalement, protéger de l'asthme ». La même
année, dans Epidemiology, des chercheurs néo-zélandais ont
émis une hypothèse semblable. En effet, une étude menée sur 1 265
Néo-Zélandais nés en 1977, dont 23 d'entre eux n'étaient pas
vaccinés, prouva qu'aucun de ces derniers ne souffrait de l'asthme.
Chez les 1 242 autres qui avaient reçu soit le vaccin anti-polio,
soit le DTP, 23 % avaient des crises d'asthme et 30 % avaient dû
consulter pour diverses allergies. En 1996, le journal médical
anglais The Lancet publiait des études danoises et
britanniques qui démontraient que certaines maladies infantiles,
particulièrement la rougeole, protègent des allergies. Ces études
comparaient deux groupes de jeunes adultes âgés de 14 à 21 ans en
Guinée-Bissau, en Afrique de l'Ouest. Le premier groupe avait
attrapé la rougeole durant l'épidémie de 1979 (avant que le vaccin
n'y soit pratiqué), les autres avaient été vaccinés. Chez ce
second groupe, les chercheurs ont constaté 26 % d'allergies, soit le
double que dans le premier groupe.
La
sclérose en plaques
De même,
la sclérose en plaques était quasiment inconnue chez l'enfant avant
l'introduction du vaccin contre l'hépatite B, même si de rares cas
ont été décrits dès le milieu du XIXe. Or, comme l'a signalé le
Dr Dominique Le Houezec, pédiatre et Conseiller médical du Revahb :
« 30% des affections démyélinisantes signalées chez les enfants
de moins de 15 ans sont apparus dans le délai d'un mois ou moins
après une vaccination, ce qui en accroît donc notablement
l'incidence dans cette fenêtre de temps. Les caractéristiques de
ces observations montrent une légère prédominance féminine avec
un sex-ratio garçon/fille de 0,42 pour les SEP (67 cas) et 0,55 pour
les autres démyélinisations (33 cas).
Le
diabète
Quant au
diabète, bien qu'on ne puisse ignorer les mécanismes d'autoimmunité
induits par certains composants alimentaires (protéines de lait de
vache, gluten, etc.) ou les effets d'une alimentation de plus en plus
riche en produits raffinés et transformés, la littérature médicale
rapportait déjà en 1947 une réduction du taux de glucose dans le
sang chez certains enfants ayant reçu un vaccin contre la
coqueluche. Ensuite, au cours des années 1960 et 1970, les
chercheurs commencèrent à se poser des questions sur les vaccins à
virus vivants qui pourraient contribuer à l'émergence du diabète.
Le New Zealand Medical Journal du 24 mai 1996 a publié les
révélations d'un médecin américain, le Pr. Barthelow Classen, sur
un lien probable entre la vaccination anti-hépatite B et le diabète
insulinodépendant. En 1988, on a procédé en Nouvelle-Zélande à
une campagne de vaccination massive et 70 % de jeunes de moins de 16
ans ont reçu ce vaccin. Au cours des trois années suivantes, on a
pu constater une augmentation de 60 % des diabètes
insulinodépendants. Pour le Pr. Classen, c'est la libération
d'interférons déclenchée par la vaccination qui est à l'origine
de cette augmentation de diabète. Mais le vaccin contre l'hépatite
B n'est pas le seul à induire ce phénomène.
Le
cancer
Après
les accidents, le cancer est la seconde cause de mortalité chez les
enfants de moins de 12 ans. Les principaux cancers concernant les
enfants sont des leucémies (environ 30 % des affections malignes),
puis les tumeurs du système nerveux central (20 %). Ensuite viennent
les lymphomes, la maladie de Hodgkin, les tumeurs du système nerveux
sympathique ou neuroblastomes, les tumeurs rénales (néphroblastomes)
et les tumeurs osseuses. Pourquoi l'apparition de cette maladie (qui
met en général des années à se développer) à un si jeune âge ?
Pourquoi une maladie de dégénérescence si précoce ?
Comme le
cancer est une maladie qui a souvent de multiples causes, il est
difficile de répondre précisément à cette question. Cependant, on
peut avancer quelques pistes en rapport avec la vaccination. Tout
d'abord le rapport entre certains virus et certains cancers est un
fait médicalement accepté. Ensuite, dès le mois de mai 1960, le
journal Science et vie signalait qu'un biologiste venait de
démontrer expérimentalement qu'en vaccinant ses cobayes (rongeurs)
avec tous les vaccins alors obligatoires, il provoquait une leucémie
sur leur descendance, ce qui le menait à se demander si ces vaccins
ne pouvaient pas avoir les mêmes effets chez l'humain et être
responsables de l'augmentation du nombre de leucémies chez les
enfants français. Dans le même ordre d'idée, le magazine Science
du 7 novembre 1986 a publié les résultats des expériences menées
à Los Angeles, aux États-Unis, qui ont montré que deux virus
inoffensifs, mis en présence l'un de l'autre, peuvent se recombiner
et donner naissance à un « mutant » pathogène. Cette souche
virulente peut alors entrer en conflit avec son hôte et déclencher
une maladie, voire la mort.
L'arthrite
juvénile chronique
La
fréquence de l'arthrite juvénile chronique a plus que doublé
depuis dix ans, passant en France de 5 000 à 10 000 en 1990 à plus
de 20 000 actuellement. L'arthrite chronique affecte maintenant
environ un Américain sur cinq. Depuis la mise en route de la
campagne de vaccination de masse, cette affection qui se manifestait
chez les enfants avant la deuxième dentition, touchant davantage les
fillettes, semble maintenant frapper autant les deux sexes et de plus
en plus de nourrissons. Nombre de parents mettent en cause les
vaccinations et notamment le vaccin anti-hépatite B. Sous la plume
du Dr Escoffier-Lambiotte, Le Monde du 12 novembre 1970
évoquait déjà les travaux de divers chercheurs américains
montrant le rôle du virus de la rubéole dans l'apparition des
rhumatismes : « Une série de travaux récents ont montré que les
cellules synoviales saines (qui entourent les articulations) en
culture, sont altérées sérieusement par le virus de la rubéole,
alors que les mêmes cellules prélevées autour d'articulations
"rhumatisantes" lui résistent. Ce qui semblerait confirmer
que les virus jouent un rôle important dans certains processus
rhumatoïdes. Les mêmes chercheurs américains ont montré que les
sérums des malades ayant eu la rubéole empêchaient l'apparition de
ces lésions rhumatismales dans les cultures cellulaires. En 1970
toujours, le HEW (service de la Santé, de l'Éducation et du
bien-être) des États-Unis a reconnu que « 26 % des enfants
vaccinés contre la rubéole au cours d'un programme d'essai national
avaient développé de l'arthrite et des douleurs rhumatismales.
Plusieurs d'entre eux avaient dû être hospitalisés. »
Depuis,
ces observations ont été confirmées. En 2002, par exemple, le
Vaers (Vaccin Adverse Events Reporting System) a publié les
résultats d'une étude examinant l'impact des vaccinations contre la
rubéole et l'hépatite B sur le développement d'une arthrite
chronique chez l'adulte . Les chercheurs évaluaient cet impact par
rapport à celui d'une vaccination contre la diphtérie et le
tétanos. Selon leurs résultats ce sont les femmes qui ont été les
plus touchées (trois fois plus que les hommes) par l'arthrite suite
à ces vaccinations et ce, dès 10 à 15 jours après l'injection des
vaccins et pendant au moins un an. Le vaccin contre la rubéole
augmentait de 32 à 53 % le risque d'arthrite tandis que celui contre
l'hépatite B l'élevait de 5 à 10 %. Tout récemment, en juillet
2009, le journal Vaccine a rapporté le cas d'une fillette de
11 ans atteinte d'arthrite juvénile stabilisée depuis l'âge de 7
ans. 5 jours après première vaccination contre la rubéole. cette
enfant a vu son arthrite revenir en force brutalement. Ses médecins
pensent que ce n'est pas dû à la vaccination elle-même mais à un
« mimétisme moléculaire entre le virus de la rubéole et
l'arthrite juvénile ».
Les
maladies auto-immunes
Au cours
des vingt dernières années, les maladies auto-immunes ou
neurologiques se sont multipliées, les taux de troubles de
l'attention ont doublé, les problèmes d'apprentissage ont triplé
et l'autisme a augmenté de manière vertigineuse à travers le
monde. Le Dr Andrew Wakefield tire la sonnette d'alarme : « Nous
sommes au cœur d'une épidémie à échelle internationale. Ceux qui
avaient la charge d'en trouver les causes et d'y apporter les remèdes
ont échoué. Parmi les raisons de cet échec, il y a le fait que ces
gens sont confrontés à la perspective qu'ils pourraient, eux-mêmes,
être les responsables de cette épidémie. Dès lors, tout ce qu'ils
entreprennent pour pouvoir se disculper ne peut, en fait, que
retarder le progrès. Je crois vraiment que les responsables de la
santé savent pertinemment qu'il y a un problème ; ils veulent
cependant le nier, et acceptent la perte d'un nombre indéterminé
d'enfants parce qu'ils pensent que le succès de leur politique de
santé publique — la vaccination obligatoire — entraîne
inéluctablement des sacrifices. Ni moi, ni mes collègues ne pouvons
accepter la croyance qu'un seul enfant soit "sacrifiable".
On a déjà eu affaire à pareilles croyances au cours de l'histoire
! »
Pour
nous rassurer, les fabricants de vaccins avouent qu'on ne devrait pas
vacciner un enfant qui ne présente pas une réponse immunitaire
satisfaisante. Mais il y a là une contradiction car, d'après le
rapport du Comité médical de la Fondation de la Déficience
Immunitaire, publié en 1992, « la plupart des déficiences
immunitaires ne peuvent être diagnostiquées avant l'âge de un an
». Or, avant un an, l'enfant a déjà reçu une bonne dose de
vaccins. Il est donc incontestable que cette pratique est
irresponsable et dangereuse et que chaque vaccination d'un enfant est
un jeu de roulette russe.
Selon la
médecine officielle, la santé est l'absence de maladies, ce qui a
généré ce que l'on appelle « la médecine préventive », concept
qui s'est imposé sans discussion et qui a permis toutes les dérives
puisque l'objectif est la disparition totale des maladies. Cependant,
la véritable prévention ne consiste pas à multiplier les vaccins
pour « prévenir » les maladies. Comme je l'ai déjà dit, nous
devrions abandonner cette logique de guerre contre les microbes et
les virus sans les craindre car sans eux, la vie n'existerait pas,
nous ne devons pas l'oublier.
Sylvie
Simon, Vaccins, mensonges et propagande.
Vaccins,
mensonges et propagande
En
deux siècles d'histoire, la vaccination a connu succès et
scandales. Aujourd'hui il est bien difficile de savoir si les données
scientifiques sont suffisantes pour créer sans cesse et sans risque
de nouveaux vaccins.
Contrairement aux médicaments, les vaccins sont destinés aux bien-portants pour prévenir une hypothétique maladie. Il semble donc important que chacun connaisse les risques de ces maladies ainsi que ceux induits par les vaccins.
Saviez-vous que la population vaccinée contre la grippe est passée aux États-Unis de 15 % en 1980 à 65 % aujourd'hui, sans qu'aucune diminution des décès liés à cette maladie n'ait été observée ? Pourquoi les autorités de santé taisent-elles le fait que le nombre de décès par rougeole n'a pas diminué depuis 1988 en dépit d'une couverture vaccinale beaucoup plus étendue ? Peut-être parce que les vaccins, loin d'être les parents pauvres des médicaments, sont à l'origine de plus de 20 % du chiffre d'affaires de certains laboratoires pharmaceutiques...
Écrit par une spécialiste de la désinformation en matière de santé, ce livre contient les données les plus parlantes sur les vaccins des informations dont bon nombre de médecins n'ont même pas connaissance.
Par recoupements de chiffres, de dates, Sylvie Simon démontre magistralement comment l'industrie pharmaceutique, les médias et les gouvernements nous manipulent dès lors qu'il est question de vaccin. Pour qu'on ne puisse plus dire « si j'avais su... ».
Cliquer sur la vignette pour
feuilleter le livre.